- Spoiler:
Musique à écouter tout en lisant le poème car c'est justement le poème-chanson qui m'a inspirée le poème qui va suivre ! (^^ si vous voulez bien entendu mais c'bien de lire des poèmes avec fonds musical x) )
Sans toi.
Sans toi, le jour continue de se lever.
Sans toi, les heures continuent d’avancer,
Sans toi, je continue à dormir, à marcher,
Sans toi, tout est néanmoins tellement vacillant,
Même le silence dans lequel souvent j'aimais demeurer,
A des accès de nostalgie qui perdurent, me fait pleurer.
Sans toi, le jour n’a plus la même couleur,
Sans toi, les heures n’ont plus la même saveur.
Sans toi, j’avance sans avancer, et j’ai peur…
Peur de perdre ta trace, perdre ton souvenir.
Peur de perdre les traces de ce qu’il me reste de toi.
Ces choses, toutes ces choses que tu m’as laissée.
Même si les souvenirs ne s’effacent jamais,
Même si mes pensées se précipitent vers toi,
L’impression qu’elles s’éloignent me saisit,
Répandant un frisson de frayeur dans mon esprit…
Et envahissant mon cœur d’une étrange langueur…
Je tremble de t’oublier, malgré mes promesses,
Malgré ma promesse avant que tu ne disparaisses.
Et je crie, je hurle impuissament pour que tu reviennes,
Mais on ne m’entend pas. D’entres mes lèvres,
Ce sont des cris muets qui s’en échappent.
La seule chose pouvant parler à ma place,
C’est cette larme glissant doucement le long de ma joue.
Mais qui peut la voir… ? Qui, alors que tu es si loin.
L’angoisse me saisit à la gorge, me glace.
Et elles roulent, comme des diamants étoilés,
Elles roulent de chaque côté de ce pâle visage
ce visage qui était mien et que je ne reconnais plus.
Elles manifestent la tristesse émanant de moi-même,
Tristesse qu’elles tentent avec espoir de dissiper…
Tentant de disséminer cette angoisse lancinante,
Et créant dans mes yeux cette flamme dansante,
Qui depuis que tu es partit, est née sans me quitter.
Sans toi. Sans toi, je n’avance plus comme avant…
Mon regard n’a plus de guide, il s’évade au hasard du temps.
Il va, va sans jamais regarder au loin, car tu n’y es plus.
Sans toi, la vie n’est plus comme auparavant.
Sans toi, je ne sais plus que penser, vers où m’orienter.
Mon regard se perd, mes pensées s’évadent vers ton souvenir,
Essayant de te voir, te revoir, ne serait-ce que l'ombre de ton sourire.
Tentant de voir s’il peut te retrouver, mon esprit part…
Mais lorsqu’il me revient sans rien, je me sens vidée, épuisée.
Il ne t’a pas trouvé, je le savais mais ne voulait me l’avouer.
Me laissant tomber à genoux, fermant les yeux, j’espère…
Tout ce qu’il me reste, c’est le souvenir, le souvenir de toi,
Le souvenir de ton regard, de ton sourire, de ton rire…
Qui depuis longtemps ne me fait plus sourire,
Et qui néanmoins reste gravé dans mon esprit…Et le restera.
Faisant ainsi vivre ton souvenir, vivre ta personne en moi,
Comme si tu étais toujours là… Souvent, à y penser, je soupire.
Je ne sais plus que faire, mais une chose certaine ; je le veux,
Tu demeureras à jamais dans ma mémoire, au fond de mon cœur.
Si c’est tout ce qu’il me reste de toi, alors je te promets ceci.
Et ce même si je dois vivre dans le souvenir pour cela.
Et ce même si je dois survivre des centaines d'années encore...
Sans toi.
Daté du 30/03/2010.
(c) Eurora.
Sans toi, le jour continue de se lever.
Sans toi, les heures continuent d’avancer,
Sans toi, je continue à dormir, à marcher,
Sans toi, tout est néanmoins tellement vacillant,
Même le silence dans lequel souvent j'aimais demeurer,
A des accès de nostalgie qui perdurent, me fait pleurer.
Sans toi, le jour n’a plus la même couleur,
Sans toi, les heures n’ont plus la même saveur.
Sans toi, j’avance sans avancer, et j’ai peur…
Peur de perdre ta trace, perdre ton souvenir.
Peur de perdre les traces de ce qu’il me reste de toi.
Ces choses, toutes ces choses que tu m’as laissée.
Même si les souvenirs ne s’effacent jamais,
Même si mes pensées se précipitent vers toi,
L’impression qu’elles s’éloignent me saisit,
Répandant un frisson de frayeur dans mon esprit…
Et envahissant mon cœur d’une étrange langueur…
Je tremble de t’oublier, malgré mes promesses,
Malgré ma promesse avant que tu ne disparaisses.
Et je crie, je hurle impuissament pour que tu reviennes,
Mais on ne m’entend pas. D’entres mes lèvres,
Ce sont des cris muets qui s’en échappent.
La seule chose pouvant parler à ma place,
C’est cette larme glissant doucement le long de ma joue.
Mais qui peut la voir… ? Qui, alors que tu es si loin.
L’angoisse me saisit à la gorge, me glace.
Et elles roulent, comme des diamants étoilés,
Elles roulent de chaque côté de ce pâle visage
ce visage qui était mien et que je ne reconnais plus.
Elles manifestent la tristesse émanant de moi-même,
Tristesse qu’elles tentent avec espoir de dissiper…
Tentant de disséminer cette angoisse lancinante,
Et créant dans mes yeux cette flamme dansante,
Qui depuis que tu es partit, est née sans me quitter.
Sans toi. Sans toi, je n’avance plus comme avant…
Mon regard n’a plus de guide, il s’évade au hasard du temps.
Il va, va sans jamais regarder au loin, car tu n’y es plus.
Sans toi, la vie n’est plus comme auparavant.
Sans toi, je ne sais plus que penser, vers où m’orienter.
Mon regard se perd, mes pensées s’évadent vers ton souvenir,
Essayant de te voir, te revoir, ne serait-ce que l'ombre de ton sourire.
Tentant de voir s’il peut te retrouver, mon esprit part…
Mais lorsqu’il me revient sans rien, je me sens vidée, épuisée.
Il ne t’a pas trouvé, je le savais mais ne voulait me l’avouer.
Me laissant tomber à genoux, fermant les yeux, j’espère…
Tout ce qu’il me reste, c’est le souvenir, le souvenir de toi,
Le souvenir de ton regard, de ton sourire, de ton rire…
Qui depuis longtemps ne me fait plus sourire,
Et qui néanmoins reste gravé dans mon esprit…Et le restera.
Faisant ainsi vivre ton souvenir, vivre ta personne en moi,
Comme si tu étais toujours là… Souvent, à y penser, je soupire.
Je ne sais plus que faire, mais une chose certaine ; je le veux,
Tu demeureras à jamais dans ma mémoire, au fond de mon cœur.
Si c’est tout ce qu’il me reste de toi, alors je te promets ceci.
Et ce même si je dois vivre dans le souvenir pour cela.
Et ce même si je dois survivre des centaines d'années encore...
Sans toi.
Daté du 30/03/2010.
(c) Eurora.