Premier cours : La Métamorphose... De A à Z

Debout et à vos places ! 5 points sont enlevés à chacun. Mon cours n'est pas un lieu de
rencontre, vous assouvirez vos ardeurs sexuels à la sortie. Maintenant,
chacun choisit une place qu'il gardera toute l'année, et attend, debout,
que tout le monde soit arrivé.

5 points !!! Mais il est complètement malade ce prof !!!

Monsieur !!! Mais on ...

Matteo ne préférait pas continuer . Vu le regard excessif du prof envers lui, il obéissa gentiment en allant s'assoir, tout en continuant à le regarder d'un œil noir . Il prit place entre Marion et Lily . Il sortit ses affaires de Méthamorphose et ouvrit son livre . Il chuchota à Lily, quand le prof eût le dos tourné, même si elle était encore bizarre :

T'as vu ? Je suis tombé à la page des ardeurs sexuelles ! Ohh ! Et il y a le prof en exemple !

Ce petit acte grisant envers le prof n'était d'autre qu'acte de vengeance . Enlever 10 points à Poufsouffle et à Serpentard uniquement parce que nous aidons une amie !!! Pendant que Matteo exprima sa vengeance, D'autres élèves rentrèrent : La préfète de Serdaigle, Lily Clark, que Matteo avait déjà vu à plusieurs cours, Atrion, un élève de Serpentard, et avant tout un grand ami de Lily et Thomas, et une autre Serpentard, que Matteo ne connaissait pas . Tout ces petits arrivants venaient ajouter un peu de sympathie à ce cours, après ce que le prof a osé dire : 5 points sont retirés à chacun !!!

Un coup de feu ? Un Doloris expérimenté ? A quoi pouvait bien être comparée la voix qui venait d’exploser sur un timbre dur et autoritaire ? La sentence était tombée comme un couperet : 5 points de moins pour les bavards. C’était donc la taxe à payer pour avoir saluer ses camarades, et ce, avant le début du cours. Sympathique… Non seulement Wolfgang était à la hauteur de la réputation qui le précédait, mais en plus il battait des records de rapidité dans la course à celui qui serait le plus vaniteux. La Vanité, oui… Le péché capital parmi les péchés capitaux. Celui qui pervertie le cœur des faibles qui se laissent aveugler par la recherche d’une gloire aussi honorifique que futile. Le défaut qui perdra tous ceux dont l’unique jouissance est d’accéder à un quelconque pouvoir superficiel et dont la moindre feuille de lauriers procure un plaisir orgasmique. Un poste de professeur lui assurant autorité et responsabilités, avec des élèves soumis à terroriser à loisir : il devait être au septième ciel. Ou plutôt 10 pieds sous terre… chez Lucifer. Envie, Colère, Vanité… Luxure… Il avait pratiquement carton plein !

Lily ne broncha pas et se leva, docile et obéissante (il devait vraiment jubiler). Elle lança un regard noir lourd de sous-entendus lorsque Matteo sembla protester et mima un « Chut » silencieux sur ses lèvres.

Son homonyme de Serdaigle s’était installé en silence, suivie de près par une fille plus que singulière. Lily regarda entrer la Serpentard et la jaugea d’un oeil critique. La nature faisait preuve de beaucoup d’étrangeté parfois… Un pas décidé qu’elle connaissait résonna : son ami Atrion adressa un regard dans sa direction. Un léger sourire vint étirer ses lèvres lorsque Matteo lui murmura.

Le buste droit, le regard mauvais, elle attendit patiemment que le vaniteux professeur fasse résonner de nouveau sa voix autoritaire. Ce qui ne devrait pas prendre beaucoup de temps, les pécheurs ne restent jamais bien longtemps loin de la tentation !

Thomas était toujours concentré sur l'expression de Lily. Malheureusement, son petit éclat de rire était fait plus fort qu'il ne l'aurait souhaité, il était très peu probable que Lily ne l'aie pas entendu, tout comme ses camarades, ou même le professeur. Il attendait toujours la réponse de Baker, qui ne vint pas. A la place, c'était le Poufsouffle, Matteo Lomen, qui parla :

- Lily, on est pas bêtes . On sait qu'il y a autre chose . On est tes amis !

Thomas lui jeta un regard noir. Il ne sut pourquoi, mais ce n'était pas le moment de lui parler. Il se passait quelque chose, quelque chose de très fort dont Thomas sentait que rares serait ceux qui pourraient le percer. Encore moins toute une bande réunie autour d'elle. Il préféra détourner les yeux et voir l'arrivée de Lily Clark, une jeune préfete de Serdaigle. Elle lui adressa un léger sourire mais ne fit rien de plus envers lui. Elle alla directement s'installer en attendant le début du cours. Le cours qui allait d'ailleurs bientôt commencer, le professeur prit la parole.

Debout et à vos places ! 5 points sont enlevés à chacun. Mon cours n'est pas un lieu de rencontre, vous assouvirez vos ardeurs sexuels à la sortie. Maintenant, chacun choisit une place qu'il gardera toute l'année, et attend, debout, que tout le monde soit arrivé.

Bam! Quelle entrée en matière! Thomas eut un petit rictus, il ne s'attendait pas du tout à ça. Il n'avait pas l'air à première vue sévère mais ses paroles ont démenti les préjugés. Très bien. Il voulait de la discipline, il voulait être servi. Ca commencait d'ailleurs bien, puisqu'une élève venait d'échapper à la punition. Elle était de Serpentard, c'était Abigail Stalker, une des batteuses de l'équipe. Elle avait une personnalité très forte et Thomas n'a toujours pas réussi à la cerner.

Il se leva donc et resta à coté de son amie Lily. Il voulait garder cette place pour le reste de l'année, en espérant que dans des jours meilleurs elle serait d'une humeur moins massacrante. Le coeur de Thomas se réchauffa quand vint le prochain élève : c'était Aweness, son camarade préfet de la maison vert et argent, et son ami. Contre toute surprise, il ne fit pas mine de le voir, et alla se mettre debout à l'endroit de la salle où il y avait le moins de monde, près de la où Lily Clark était.

Irrité, Thomas entendit chuchoter derrière lui, se retournant légèrement, il vit qui accomplissait cet acte : Matteo. Super! Au moins ce n'était pas un autre Serpentard qui attirerait les foudres du Professeur. Eux au moins savent se tenir et sont assez intelligents pour ne pas se faire remarquer deux fois d'affilée.

Bien droit, Thomas attendit le début du cours.

Le réveil fut dur ce jour-là. Anaelle s'était levé sans envie et avec une difficulté certaine. Les premiers cours de la rentrée était périlleux, mais le réveil était encore pire. La jeune blonde s'était rêveillé dans le dortoir des Poufsoufles et l'état des autres filles n'étaient guères mieux : les baillements et les soupirs se faisaient à gogo, une grande partie ronchonnaient et rêver de repartir dans les pays des songes. Debout, la jeune fille s'était étirée maintes fois mais elle se sentait toujours aussi engourdie. La reprise était dure, violente mais Anaelle adorait ça autant qu'elle détestait : une nouvelle année recommnçait, mais les vacances étaient belles et bien finies.

La blondinette s'était donc levée, lavée et avait décidé de descendre manger un bout pour ne pas avoir l'estomac dans les talons toute la matinée. Elle rejoignit des connaisances et partagea des bouts de ses vacances avec ses amies. Le plaisir de se retrouver, c'était merveilleux. Elle alla à son premier cours et la matinée se passa sans encombre. Elève disciplinée et intéressée, elle avait prit note et avait participée du mieux qu'elle pouvait. C'était une joie pour elle, bien que son lit lui manquait fortement. Son sac en bandouillère, ses affaires commençaient à peser sur ses épaules. Un ou deux livres passaient, mais en avoir trois ou quatre était une autre paire de manche. Pourquoi fallait-il que les professeur insistent pour que les élèves aient autant de livre ? Ils ne voulaient pas penser à leur pauvre petit dos ?

Anaelle termina sa matinée là où elle l'avait commencée : dans son dortoir. Il n'y avait presque personne et Anaelle vénéra ce moment de simple silence. Plus de rires, plus de cris, plus de conversation : rien. Le silence. Elle savoura les quelques miutes qu'elle pouvait passer comme ça. Mais sa joie fut vite envolée : elle regarda par la fenêtre et fut grisée, sans jeu de mot, par le mauvais temps. Quelques jours auparavant, le soleil innondait l'angleterre de ses doux rayons et faisait la joie de beaucoup., mais le stéréotype anglais était de retour : il faisait moche. Priant pour que la pluie ne s'amène pas à ce joyeux calvaire, Anaelle changea ses affaires pour l'après-midi. Début de programme : cours de Métamorphose. Ce n'était pas son préféré, mais elle appréciait tout de même l'enseignement qu'elle pouvait en retenir. Elle sourit lorsqu'elle rangea son livre dans son sac en pensant de façon distraite au nouveau professeur qui était désigné pour remplacer l'ancienne. Elle avait entendu toute chose à son propos, mais elle s'en fichait : tant qu'il était un bon professeur, les on-dit n'étaient pas important.

Après le déjeuner, la Poufsouffle se rendit compte qu'elle était à la limite du retard. Elle se pressa, courut même à certains endroit et rejoignit la salle de classe. La porte était toujours ouverte, et la jeune fille souffla de soulagement. Elle calma un peu l'allure pour reprendre contenance. Arrivée à la hauteur de la salle, elle regarda furtivement les élèves : l'ambiance était étrange, une impression que les élèves étaient tendues et que le professeur n'était pas vraiment content. Elle serra son sac contre elle et entra discrètement dans la salle, s'approchant du professeur pour le salua d'un hochement de tête et d'un timide " Bonjour Professeur". Elle inspecta les places libres et se rendit à l'une d'entre elle qui se trouvait au milieu de la pièce. Tous les élèves étant debout, la jeune fille s'interdit de s'assoir et sortit discrètement ses affaires sur la table, un silence pesant commençant à se faire sentir. Elle releva la tête et regarda le professeur, intriguée.

C'était le premier cours de magie d'Elhora. Non pas dans le sens où la jeune fille n'avait jamais suivit un cours dans son existence, mais plutôt dans celui où c'était son tout premier cours dans sa nouvelle école : l'école de magie de Poudlard. En effet, Elhora avait commencé son apprentissage dans l'Académie de Beaubâton, en France et maintenant qu'elle était allongée sur son lit, observant son nouvel uniforme bleu et noir de la maison Serdaigle, Elhora avait peur de ce qui pouvait l'attendre une fois en salle de classe.

Ce matin-là, pour être sûre d'arriver à l'heure, Elhora avait mis son réveil une demi-heure plus tôt -même si cela devait réveiller les autres filles qui dormaient dans la même pièce qu'elle- et cela faisait maintenant vingt minutes qu'elle était allongée sur son lit à observer son uniforme.
La jeune Serdaigle était une " lève-tôt " et cela depuis toujours. Aussi lorsque le réveil sonna, elle l'éteint desuite mais resta quand même quelques peu dans son lit à rêver de la nouvelle vie qui s'offrait à elle. Finalement, Elhora se décida et rejoint sa salle de bain pour prendre une rapide douche -froide- et commencer à se préparer.
Lorsque finalement, elle descendit dans la grande salle, Elhora fut surprise du peu de personne qui était levée et qui prenait leur repas du matin. En même temps, le soleil s'était levée depuis peu, mais quand même... La jeune fille se dirigea vers la table de sa maison -toujours aussi éberluée- et après avoir pris de quoi rassasier son ventre, pour ce matin du moins, se dirigea vers sa salle de cours.
Son premier cours était le cours de métamorphose et bien qu'elle se soit levée tôt, Elhora avait préférée prendre son temps pour ne pas non plus arriver trop tôt.
La porte de la salle était ouverte et la jeune fille hésita une petite seconde avant d'entrer. Elle regarda le professeur, puis les élèves : tous à côté de leur chaise regardaient droit devant eux. Il y avait là trois Poufsouffles, un Gryffondor trois Serpentards et... Oui, il y avait une Serdaigle, pour son premier cours dans cette école, Elhora ne sera pas toute seule. La jeune fille se dirigea vers le bureau du Professeur et le salua d'un timide :
<< Bonjour, Professeur.. >>
Puis partie se placer dans la rangée du milieu. Rapidement et sans un bruit, elle sortie ses affaires et les organisa quelque peu avant de relever la tête et de regarder -tour à tour- le professeur et le tableau noir derrière lui.

Marlon était tout content a l'idée de faire le premier cour de sa vie a poudlard.Il venait de se réveiller et n'ut pas trop de mal a se levé car il s'était couché tôt la veille exprès pour arriver a l'heure prévu du cours.Il s'habilla,fit son sacs,mit ses chaussures et partit déjeuner dans la grande salle sans réveiller ses collègues Serdaigles qui dormaient encore profondément.Il alla déjeuner et se pressa d'entrer en cour.Il toqua a la porte,l'ouvrit et remarqua des élèves de sa maison.Puis il dit au professeur:

Bonjour monsieur le professeur,je m'excuse pour le petit retard ... où est ce que je me place ?,Au fait je me nomme Marlon,Marlon Silver

Maëlys se réveilla de mauvaise humeur à cause de son stupide réveil qui a sonné plus tôt que prévue ! Elle alla se préparer puis elle fila au cours de métamorphose en courant comme une malade de peur d'être en retard. Arrivée dans cette salle, plusieurs personnes étaient déjà présentes. Des Poufsouffles, des Serpentards, des Gryffondors ainsi que des Serdaigles attendaient que le cours commence en discutant. Elle ne les écoutait pas car elle cherchait une place, assez isolée vers le fond de la classe. Elle aperçu sa place au loin et y posa ses affaires pour que personne ne la lui prenne. Enfin, elle se dirigea vers son professeur pour lui dire :

- Bonjour, je suis Maëlys Stym, élève de la maison des Poufsouffles !

Ce matin là, Edwin ce leva sans difficultés particulières. Les dix minutes de sommeil supplémentaires dont il avait profité avaient fait le tout. Après s'être douché, il s'habilla avec le sombre uniforme règlementaire, le blason de Serpentard, brillant sur sa poitrine. *Aller!* se dit-il *Premier cours de cinquième année, c'est parti* puis il se rendit compte qu'il ne savait même pas quel cours il avait. Il prit son emplois du temps et vit qu'il avait métamorphose. Et d'entre toutes les matières c'était celle qu'il préférait. Il sortit de sa Salle Commune et se rendit dans la Grande Salle pour un petit déjeuné... Toujours très copieux. Une fois le repas terminé, et quelques croches pieds envoyés à de jeunes élèves qui le dévisageait de trop, il se dit qu'il ferait peut-être bien d'aller en cours maintenant. Edwin monta alors, les quelques escaliers qu'il lui restait pour se rendre dans sa salle de classe. Et une fois arrivé là, il lança aux élèves déjà présents dans la classe:

-Salut! Comment ça... Oulà!

Il venait de remarquer, un peu trop tard que l'ambiance n'en était pas à de très amicales salutations. Pour commencer, les élèves étaient toujours debout, malgré l'heure avancée du cours et ils avaient tous l'air

-Bonjour, désolé du retard! lança-t-il au passage au nouveau professeur qu'il ne connaissait pas d'ailleurs.

Il alla déposer ses affaires près d'une fenêtre, et l'ouvrit pour aérer un peu, par ce que la tension qu'il y avait là était un peu trop pesante à son goût!

Ce matin-là, Kyle ne s'était pas levé en avance mais avait profité de quelques heures de sommeil supplémentaire. Néanmoins, il attendait avec impatience le premier cours de la journée, celui de métamorphose. Pourquoi? Car le souhait de Kyle après avoir étudié à Poudlard serait de devenir Auror, une tache compliquée et qui demande de très bonnes connaissances en plusieurs matières; celle de Métamorphose en fait partie.
Après avoir passé une dizaine de minutes dans la salle de bains des garçons de Serdaigle, le français descendit, traversa le tableau et alla prendre son petit déjeuner, comme tout les matins. Après être arrivé dans la Grande Salle, l'adolescent se posa sur le banc de la table des Serdaigle et regarda autour de lui: il y avait beaucoup plus de monde que la veille. Sans attendre, Kyle commença à manger et prit un peu de tout, des toast jusqu'au lards en passant par les oeufs brouillés. Le Serdaigle se remplit le ventre pendant une vingtaine de minutes et s'en alla de la Grande Salle tranquillement.
Désormais, Kyle devait se rendre au cours de Métamorphose. Il lui restait une petite dizaine de minutes avant son début, il avait le temps de passer à la salle commune pour prendre les affaires du cour. Après avoir gravi les nombreux escaliers -qui n'en firent qu'à leur tête comme d'habitude- le français passa le tableau et alla dans son dortoir. Il prit dans sa valise le livre de métamorphose et attrapa sa baguette qu'il n'avait pas prit. Il se dirigea ensuite vers la sortie de la salle commune et rejoignit la salle de cours. Il mit seulement quelques minutes à se repérer et put trouver la salle en question grâce à un élève de même année que lui qui venait d'y entrer. Le français se dirigea vers la porte entr'ouverte, la poussa et regarda la classe: tous les élèves, ainsi que le prof, s'étaient tournés vers lui et semblaient très calmes. Tous étaient debout et personne ne parlait. Le Serdaigle tourna son regard vers le visage du prof et put facilement deviner que celui-ci avait l'air sévère et pas du tout sympa. Enfin, c'était sa première déduction et il ne préféra pas se faire d'idées sans avoir vécu un seul de ses cours.

-Bonjour, désolé de mon retard professeur.

Kyle se hâta de lui présenter ses excuses et trouva un bureau libre. Il s'y déplaça, posa ses affaires et attendit, comme les autres, un mot du professeur qui pourrait sonner le début du cours..

Cassandra se leva aussez tôt se matin là : Elle devait se rendre à son première cours de[/size] l’année. En réalité ce cours serait une grande première pour elle : elle n’avait jamais assisté à un cours à Poudlard ! Elle avait un peu mal à la tète, conséquences du stress qui commençait à monter petit à petit. Elle savait que la métamorphose était une matière importante mais difficile, et avait peur que malgré sa volonté à apprendre, elle n’y arrive pas. Effectivement elle ne connaissait pas le niveau des autres élève, et ne voulait pas être ridicule ! Mais elle savait également qu’elle n’avait pas le choix …

]Elle savait où se trouvait la salle de métamorphose et ne mis donc pas trop de temps pour y accéder. Pourtant la porte de la salle était déjà ouverte, et des éléves entraient déjà. Pire quand elle arriva dans la salle , Cassandra remarqua qu’elle était en retard !plusieurs élèves de différentes maisons étaient déjà là debout et ils ne semblaient pas à l’aise !L’ambiance était tendu. Cassandra rougit légèrement mais tenta de ne pas montrer sa honte d’être arrivé en retard.[/size]

« -Bonjour ! Excusez- moi de mon retard » Dit-elle simplement au professeur

« Salut ! » Dit-elle, plus bas, aux autres élèves en leur adressant un petit sourire. Elle reconnu alors Kyle , qu’elle avait rencontré dans la train la veille : elle lui lança donc un sourire plus large et trouva une place pas très loin de lui. Elle s’installa à cette table, sortit son livre et attendit impatiemment le début du cours.rs.

Tout le monde se tut. Les élèves présents se dirigèrent à leur place et s'installèrent debout, face au tableau, dans le silence du vieux château. Lentement, les quelques retardataires arrivèrent ; une serpentard au crâne luisant et à l'attitude désinvolte suivi de près par jeune homme que Wolfgang connaissait pour d'obscures raisons, ils se ressemblaient en de nombreux points, tant par l'attitude que par la manière de s'exprimer. Une élève de poufsouffle suivie de près d'une de Serdaigle entra dans la grande salle de cours, saluant poliment leur bourreau. Un troisième aigle se dirigea vers un bureau, s'excusa, se présenta ; quelques autres élèves lui emboitèrent le pas.

Furtivement, Wolfgang déposa son regard sur Lily... Pouvait-il vraiment lui en vouloir ? Il n'était pas non plus un symbole d'honnêteté mais plutôt d'égoïsme, de dureté et d'arrogance. C'est une pousfouffle, probablement une sang-de-bourbes. Comment avait-elle pu lui cacher une vérité si difficile à entendre pour un sorcier de sang pur ? Elle avait forcément une once, une partie d'elle même qui ne pouvait être angélique... Elle qui est si parfaite, si douce. La critiquer vous pare d'une robe monstrueuse. Elle est fausse, d'une apparence naïve, mais d'une futilité sans limites, d'un sadisme barbare. Elle l'avait ensorcelé, avait avalé son âme, s'était servi de lui...

Chassant rapidement ce démon de ses pensés, il regarda les élèves et se prépara à prendre le parole. Le temps était maintenant à la métamorphose.

- Vous remercierez les élèves qui ne sont pas encore arrivés pour les points qu'ils feront perdre à vos maisons. Je m'appelle Wolfgang von Schönfeld, dit-il, comme vous l'aurez compris, je suis votre nouveau professeur de métamorphose... Il n'y aura, vous l'aurez également compris, du moins, j'espère, pas de bavardages ou d'interventions stupides dans ce cours. Si vous aviez l'habitude de faire copain copine avec vos professeurs, oubliez immédiatement cette absurdité.

Déposant ses yeux dans ceux de chacun de ses élèves, il reprit.

- Quelqu'un pourrait-il me rappeler, pour deux points, quels sont les différents types de métamorphose ?

La question ne devrait pas poser trop de problèmes, les anciens professeurs étant probablement de bon pédagogues. Derrière la seule fenêtre aux volets ouverts, le temps commençait à se couvrir et la pluie s'apprêtait à déferler sur le monde magique, tel un nuage de poussière qui s'échappe d'un volcan en éruption, lavant le sol des pêchés des Hommes, nettoyant la crasse accumulée de ceux qui éructent et crachent une couche métaphorique d'ordures.

- Asseyez-vous, s'exclama-t-il sèchement.

Marchant d'un pas lent et lourd, Wolfgang se posa derrière son bureau, enleva un de ses gants et caressa la paume de sa main, comme dans un mauvais film d'espionnage ou la main est remplacée par un chat rouquin aux griffes aiguisées. Il se saisit alors de sa baguette, et d'un coup vif, ouvrit les quelques volets encore fermés. Un filet de lumière entra dans la salle tel un avada kedavra qui pénètre dans la poitrine d'une victime d'un mage noir. Les yeux du professeur prirent quelques secondes pour s'habituer, tant la salle s'était habillé d'un rideau lumineux...

D'autres élèves avaient rempli la salle après son arrivée. Visiblement, ils ne semblaient pas complètement stupides, car l'atmosphère pesante ne leur avait pas échappé. Le professeur, comme tout bon serpentard, obtenait ce qu'il voulait, d'une manière ou d'une autre : calme et silence. Ordre et soumission. Avec un regard circulaire sur la classe, Atrion ne put s'empêcher de sourire en coin. Dans les yeux de certains, l'indignation brûlait. L'un d'eux, un poufsouffle, comme il fallait s'en douter, pensait faire acte de révolte en chuchotant des âneries à ses camarades.

Enfin un cours convenable ! Un cours comme il avait toujours eu l'habitude d'en avoir dans son Pays de Galles natal.

- Quelqu'un pourrait-il me rappeler, pour deux points, quels sont les différents types de métamorphose ?

À cet instant précis, bizarrement, la salle se fit plus sombre qu'elle ne l'était déjà. Avec un coup d'œil interrogateur au ciel, Atrion vit que celui-ci se couvrait, et qu'un nuage venait de passer devant le soleil. La pluie était imminente. L'air commençait à sentir l'humidité, et à s'alourdir.

- Asseyez-vous !

Le grand blond s'assit posément, et sortit ses affaires. Autour, la classe faisait de même. D'un coup de fouet, un seul, le bétail avait su trouvé la bonne voie : celle de l'exécution en silence. L'aristocrate n'entendait plus le bourdonnement du début du cours, qu'il avait perçu depuis le couloirs. Visiblement, peu avaient le courage de prendre la parole, ne serait-ce même que pour répondre à la question.

Puis Monsieur Von Schönfeld ouvrit brusquement les volets, et une vague éclatante de lumière inonda la salle. Ses yeux clairs étant très sensibles, Atrion resta un moment presque aveugle. Quand il retrouva la vue, il s'aperçut qu'aucune main ne s'était levé pour répondre. La peur de paraître stupide sans doute. Avec un reniflement dédaigneux devant une classe si timorée, il leva la main. Le préfet Serpentard devait en effet profiter de la théorie pour faire gagner des points à la maison. Et pour rattraper tous les points qu'il ferait sans doute perdre dans la partie pratique. Le professeur lui donna la parole.

- Hem. Il me semble qu'on peut distinguer deux formes de métamorphose : la métamorphose des êtres vivants, et la métamorphose de cibles non-vivantes. Petite pause, le temps de chercher les mots exacts. Dans cette dernière, on peut encore distinguer la métamorphose des objets, et l'interaction avec les éléments. L'une permettra par exemple de prendre le contrôle d'une armure, tandis que l'autre permettra de changer la terre en eau. Pour ce qui est de la métamorphose sur être-vivants, j'imagine qu'on peut également distinguer la métamorphose humaine de la métamorphose animale.

Il fronça les sourcils, se répétant mentalement ce qu'il venait de dire. Il n'avait plus rien à ajouter, et l'indiqua d'un hochement de tête discret au professeur.

- Debout et à vos places ! 5 points sont enlevés à chacun. Mon cours n'est pas un lieu de rencontre, vous assouvirez vos ardeurs sexuels à la sortie. Maintenant, chacun choisit une place qu'il gardera toute l'année, et attend, debout, que tout le monde soit arrivé.

Les mots du nouveau professeur avaient claqué dans la salle, entrainant un silence de mort sur le petit groupe de bavards. Chacun regagna sa place le plus rapidement possible, tandis que Lily se levait, comme l'avait ordonné Mr. Von Schönfeld. Le regard droit, le visage inexpressif, la jeune fille attendait que le ~~tyran~~ professeur lève sa sentence.
Plusieurs élèves entrèrent par la suite dans la salle silencieuse. Un des nouveaux venus passa à quelque centimètres d'elle, pour s'installer à la table devant la Serdaigle. Atrion Aweness lui adressa un rapide sourire, auquel la jeune fille répondit par un clin d'œil suffisamment discret pour ne pas se faire remarquer par Von Schönfeld. Celui-ci ne mit d'ailleurs pas longtemps à reprendre la parole. Il commença tout d'abord par un discours censé faire frissonner tous les élèves, auquel Lily répondit par un haussement de sourcil. A quoi jouait-il ? Se croyait-il plus fort, plus puissant, simplement parce qu'il était passé de l'autre côté du bureau ? (Sous le bureau aurait été mal interprété...) Enfin, après sa rapide mise en garde, Von Schönfeld posa la première question du cours.

- Quelqu'un pourrait-il me rappeler, pour deux points, quels sont les différents types de métamorphose ?

Puis, après un bref silence, il ordonna aux élèves d'un ton sec de s'asseoir. Atrion, qui semblait absolument ravi de ce nouveau professeur, prit la parole. Sa réponse était, comme à son habitude, complète et intelligente. Cependant, Lily avait une tout autre idée. Après s'être faite interrogée par Von Schönfeld, la jeune fille se leva - ce semblait être la règle, ici - et commença.

"Professeur, je pense que les deux grands types de Métamorphose reposent sur la transformation de l'objet en lui-même. On peut classer d'un part, la Métamorphose transformant un objet en un autre, similaire. Par exemple, un canari en souris. Les deux sont de petits animaux d'à peut près même taille.
L'autre grand type de métamorphose serait donc la transformation d'un objet en un autre, complètement différent. Un livre en souris, par exemple."

Après avoir reprit son souffle, Lily se rassit. Si sa réponse était fausse, et celle d'Atrion juste, celui-ci s'en verrait gonflé d'orgueil jusqu'à sa fin de 7ème année...

Les élèves prirent position derrière leur bureau, comme si cette planche de bois agissait en rempart contre les attaques d'un méchant dragon rougeoyant et crachant des flammes de plusieurs dizaines de mètres. Aucun des élèves ne prit la parole immédiatement, ils semblaient attendre qu'un courageux serpentard prenne à cœur de faire gagner quelques misérables points à la maison. A quoi pouvaient-il tous penser ? Pensaient-ils ? N'étaient-ils pas le fruit d'une imagination sordide, glauque ? "Je pense, donc je suis". Certes. Mais eux, pensent-ils ? Donc, existent-ils ? Et si ils n'étaient que la pomme d'un arbre fruitier imaginaire ? Si ils, comme leurs créateurs, n'étaient en fait qu'un rêve ? Si le temps que je passe à taper sur mon clavier n'était en fait qu'un simple cauchemar ? Si ma vie était un rêve, vous serriez mes jouets. Si ma vie est un rêve, vous êtes des pantins sans âmes, sans consciences... Bref.

Le serpentard que Wolfgang avait remarqué quelques minutes plus tôt pour l'avoir déjà rencontré à de multiples occasions leva la main. Les origines nobles qui émanaient de lui ne pouvaient être démentis. D'un geste de tête bref, le professeur stipula à son élève qu'il pouvait se lever et prendre la parole.

- Hem. Il me semble qu'on peut distinguer deux formes de métamorphose : la métamorphose des êtres vivants, et la métamorphose de cibles non-vivantes. Dans cette dernière, on peut encore distinguer la métamorphose des objets, et l'interaction avec les éléments. L'une permettra par exemple de prendre le contrôle d'une armure, tandis que l'autre permettra de changer la terre en eau. Pour ce qui est de la métamorphose sur être-vivants, j'imagine qu'on peut également distinguer la métamorphose humaine de la métamorphose animale.

Il avait raison. La réponse claire qu'il avait formulée rapporterait deux points à sa prestigieuse maison. Il s'assit et fronça les sourcils, au même moment ou une élève de serdaigle dont le nom avait échappé à Wolfgang se leva et prit à son tour la parole, comme si elle souhaitait affirmer une domination et surtout comme si elle souhaitait gagner les deux points...

- Professeur, je pense que les deux grands types de Métamorphose reposent sur la transformation de l'objet en lui-même. On peut classer d'un part, la Métamorphose transformant un objet en un autre, similaire. Par exemple, un canari en souris. Les deux sont de petits animaux d'à peut près même taille.
L'autre grand type de métamorphose serait donc la transformation d'un objet en un autre, complètement différent. Un livre en souris, par exemple.

Quelle réponse étrange et plutôt mal formulée. Même si l'idée était bonne et le sens compris, elle n'apparaissait pas comme dotée d'un vocabulaire scientifique. Avant même qu'un troisième élève hargneux n'ait pu rajouter quoi que ce soit pour espérer remporter des points, le professeur se leva et marcha jusqu'à l'autre bout de l'estrade où il semblait dominer la salle de classe comme un château fort tchèque domine une vallée fluviale. D'un ton plutôt calme et qui paraissait étrangement sympathique, il dit.

- Monsieur Aweness a plus ou moins très bien résumé les différents types de métamorphose, bien qu'on ne les classe pas en deux catégories. Deux points seront ajoutés à Serpentard. Mademoiselle... (cherche le nom), vous semblez avoir compris et connaitre les catégories de métamorphose, mais ce que vous avez dit manque atrocement de notions scientifiques.

Marchant jusqu'à l'autre bout de l'estrade et posant sa main droite sur son bureau, il reprit.

- Nous pouvons donc distinguer quatre sortes de métamorphose dans cette discipline très complexe. La métamorphose humaine, dans laquelle on peut notamment classer les métamorphomages, la métamorphose animale, dans laquelle nous pouvons ranger les animagis, la métamorphose des objets, la plus simple que vous avez normalement déjà abordée avec vos anciens professeurs et la métamorphose des éléments, qui, pour moi et pour de nombreux professeurs, est la discipline la plus complexe de la métamorphose. Bien...

Wolfgang profita de la proximité de son bureau pour retourner s'assoir derrière celui-ci. Ce premier cours ne serrait qu'une sorte de questions/réponses qui ferait gagner quelques points à chacune des maisons. Le bureau était rangé, rien ne dépassait, rien n'était posé à la verticale. Les élèves eux mêmes ne bougeaient pas, attendant d'être dégustés...

- Pour deux points, qui peux me parler des métamorphomages ? Comment un métamorphomage se transforme-t-il ? Comment sont-ils après transformation ? Quelles sont les difficultés de cette métamorphose ? Qu'est-ce qu'ils peuvent modifier dans leur apparence...?

Assis près de Lily Gordon, Thomas avait suivi le début du cours avec beaucoup d'intérêt. Il connaissait bien sur la réponse à la première question du professeur, mais, comme toujours, il préférait se raviser plutôt que de prendre la parole. C'était plus fort que lui, les infos, il préférait tout le temps les garder pour lui, les laisser confidentielles. Ainsi, il serait mieux préparé à la collecte et au secret de l'information. Après tout, c'était à l'école qu'on se forgeait son avenir. La salle de Classe était, pour Thomas, un endroit où il devait collecter le plus d'informations et en divulguer le moins possible, tant pis si cette vision des choses pouvait le faire passer pour un égoïste, il n'avait que faire des avis extérieurs.

C'est ainsi qu'il nota sur son parchemin la réponse de son ami Atrion, munie des corrections apportées par le professeur.

- Pour deux points, qui peux me parler des métamorphomages ? Comment un métamorphomage se transforme-t-il ? Comment sont-ils après transformation ? Quelles sont les difficultés de cette métamorphose ? Qu'est-ce qu'ils peuvent modifier dans leur apparence...?

Le professeur était en train de mitrailler les élèves de questions. Le jeune métisse avait justement lu le matin-même un paragraphe sur les métamorphomages. D'un coup de baguette, il traça en lettres vertes au ras de son bureau "Thomas Efferxon", leva la main, puis, contre tous ses propres principes, il proposa au professeur une réponse, pour faire honneur à sa maison :

- Un métamorphomage est un sorcier qui peut métamorphoser spontanément son apparence physique, toutes les parties du visage. Il n'a pas besoin, comme la plupart des sorciers, de sortilèges ou de potions pour se transformer. Il suffit juste de penser à la transformation en crispant son visage pour que la métamorphose. La principale difficulté de cette transformation est qu'on ne devient pas métamorphomage, on le nait. Cette capacité est héréditaire, et on décèle de nombreux cas catastrophiques de sorciers qui ont voulu le devenir par magie. Certains se sont retrouvés en urgences à l'Hopital Ste Mangouste pour maladies et blessures magiques pour un bras qui dépassait du nez. Par contre, certaines émotions peuvent affecter leurs transformations : un débordement d'énergie peut provoquer des transformations involontaires et fantaisistes ; alors qu'un profond chagrin empêche toute modification corporelle.

Thomas ne pensait pas qu'il allait aller au bout de son explication. Mais, quand il fallait faire un effort, il fallait aller jusqu'au bout. Il baissa son bras et attendit la réponse du professeur.

Lily écouta Atrion répondre avec un air condescendant d’aristocrate coincé. A ce moment précis, elle lui aurait bien arraché ce petit sourire satisfait de son visage… La jolie Lily Clark compléta la réponse du Serpentard par une intervention discrète mais efficace. D’un mouvement fluide et mesuré, Mister Vanité se leva et arpenta l’estrade de long en large, félicitant Aweness-le-vantard sur un ton presque mielleux. C’était à vomir… Il s’adressa ensuite à la Serdaigle, lui signifiant que son intervention manquait de « notions scientifiques »… Hop, petit demi-tour théâtral sur l’estrade, comme un acteur à qui on aurait demandé de prendre possession de tout l’espace sur la scène. Un très mauvais acteur… Un cliché de mafioso des années 30… Un cure-dent entre les lèvres et une mitraillette coincée dans le pantalon et la panoplie aurait été complète ! Il aurait été même drôle de lui demander de faire son cours avec un accent italien exagéré… Mais à moins d’être suicidaire, il ne fallait pas ouvrir la bouche, sous aucun prétexte ! L’acteur de pacotille compléta les réponses données, comme un personnage de série B récite son pathétique texte. Il se rassit à son bureau et contempla rapidement la classe, comme un affamé devant un buffet de desserts, puis reprit son petit numéro d’acteur :

Pour deux points, qui peux me parler des métamorphomages ? Comment un métamorphomage se transforme-t-il ? Comment sont-ils après transformation ? Quelles sont les difficultés de cette métamorphose ? Qu'est-ce qu'ils peuvent modifier dans leur apparence...?

Son ami Thomas ne tarda pas à répondre. Une réponse des plus complètes… Il était temps de se ressaisir et de faire gagner quelques points aux Poufsouffles. Lily allait entrer en scène… Elle se façonna un visage impassible, comme si un « Action ! » avait retentit, l’obligeant à entrer dans un rôle. Elle leva la main et attendit que le professeur daigne poser ses ~~superbes~~ yeux sur elle. Elle se mit debout et leva un sourcil d’un air faussement détaché et prononça son nom comme pour l’aider à dissiper un trou de mémoire quand à son identité…

« Lily Marie Gordon… Monsieur. Je souhaiterais simplement rajouter que les émotions intenses, en plus de perturber la transformation ou de l’inhiber, agissent principalement sur l’aspect visuel de la chevelure… »

Son jeu de scène terminé, elle se rassit dans le silence, s’imaginant un « Coupez ! » résonner dans la salle.

[HRP : Thomas m'a coupé l'herbe sous le pied, à quelques minutes près... Premier cours : La Métamorphose... De A à Z - Page 2 286947

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Mon intervention ne sert donc strictement à rien... Premier cours : La Métamorphose... De A à Z - Page 2 415301

Mes excuses...]