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Département de la coopération magique internationale
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Département de la coopération magique internationale
Invité, le  Lun 10 Mar - 21:07

Maxime se promena dans les couloirs du Ministère de la magie au 4ème étage. Il se demanda d'ou venait tout ce bruit. Il savait qu'il était proche de la salle d'audience. Il marcha vers la salle ... La porte était fermé ... Et pourtant, du bruit jaillirent de la salle. *Il se demandait qui pouvait bien être à l'intérieur*. Soudain il entendit un bruit venant du couloir ... Il continua le long du couloir et alla se cacher derrière une des statues ... Il vit le visage ferme d'une personne qu'il ne connaissai pas. Elle était blonde mais ne vit rien d'autre. Un tremblement jaillirent du corps de Maxime. La personne rentra dans la salle d'audience. *Que pouvait bien t'elle faire ici ? Qui est-ce ?* se demanda t'il.
Il continua le couloir tout en repensant à cette femme inconnue à ses yeux ... Il descendit au sous sol et sortit par la porte cachée d'ou il venait de rentrer. Il cogitea dans sa tête ...
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Les couloirs près des Aurors
Invité, le  Ven 31 Déc - 14:42

Aujourd’hui, journée fight !!! 17 leurs avait ordonné d’attaquer le ministère, chacun pouvait aller où il voulait et 68 avait choisi d’aller à l’étage de son ancien département, le 2ième étage ! Le département puant des Aurors, il était vrai que ça pué le gentil toutou au ministère, 68 ne pouvait pas croire qu’il était une fois, elle était comme cela, heureusement qu’elle était partie bien vite.

68 rigolait tout en marchant comme un top model dans les couloirs du ministère, non loin d’elle devait se trouver 80 et 71 qui étaient sensés la suivre mais bon, vu qu’elle s’était transplannée avec 55 et non avec les deux autres fous, elle ne pouvait pas savoir s’ils étaient arrivés ou pas. Sans vraiment se gêner, 68 lançait des petits sorts vers des fenêtres pour qu’ils explosent, vers des pots de plantes poser exactement à des bons endroits. Quelle super idée de 17 d’attaquer le ministère la vieille de nël pour bien gâcher la belle soirée que les Aurors et les Ordres du Phénix s’imaginaient. Pas de cadeaux, pas de familles et si ça se trouve, la mort! 68 attendait avec impatience l’arrivée de ceux-ci car même si exploser des petits trucs c’était drôle, un peu de chaires fraiches ne serait pas de refus surtout que cela faisait longtemps qu’elle n’était pas sortie pour un bon petit combat.

Marchant dans le couloir du deuxième étage tout près des Aurors, 68 reconnaissait bien les lieux, on aurait pu croire qu’un sourire s’afficherait sur son visage mais nan, la simple envie de vomir était présente. Baguette en main, elle vit de nombreux petits secrétaires et simples ouvriers courir derrière elle, ceci était le signe, la bataille pouvait commencer, 17 était bien arrivé en bas et avait commencé à semer la bagaille. Visant bien dans la foule, 68 s’écria d’un grand et beau :

- Bombarda !

Et badaboummm le mur de derrière s’écroula sur les idiots de sang-de-bourbes ou les petits insignifiant qui avaient trahit la lignée de sang pure ! 68 était fière de son sang et personne ni quelque chose pouvait le lui prendre ! Les entendant crier, elle continua à marcher façon top model en attendant l’arrivée des pauvres Aurors sans défenses qui gagnent jamais à rien.
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Re: Département de la coopération magique internationale
Invité, le  Ven 31 Déc - 18:27

Mouhaha première attaque, ça va barder ! 80 était en pleine préparation : tenue sombre et mystérieuse okay. Vérification que la tenue laisse anonyme okay. Masque… Il où le masque ? Maaasque ! Ah ici ! Caché sous un lit de Hollow Bastion. Masque, c’est bon. Cape… Devait-il la mettre ou non ? Cette cape avec laquelle il se baladait tout le temps… Ce n’était pas très prudent. Il en avait une autre, de beaucoup moins bonne qualité mais qui au moins, ne craignait rien. L’ajustant sur ses épaules, il se couvrit la tête de sa capuche, pour que personne ne voit qu’il était masqué. Baguette dans la manche, cape par-dessus tous ses vêtements, il était prêt. Plus qu’à transplaner.

Arrivé en plein milieu d’une ruelle sombre, 80 ne tarda pas à marcher en direction du ministère. Non, il n’y était pas entré directement. Non, il n’était venu avec personne, mais, en jetant un œil à sa montre à gousset, il se rassura, se sachant pile à l’heure. Pénétrant bientôt dans le ministère de la magie, il sut qu’il était même presque en retard en entendant des cris s’élever. Un sourire fendit son visage masqué, et il commença à courir. Que faisait-il ? Il ne souhaitait pas paticiper à la même bataille que 17 dans l’Atrium, ce qu’il voulait le plus en ce moment, c’était manger de l’Auror, et pour ce faire, il savait qu’il devait se rendre au deuxième sous-sol.

Ne faisant même pas attention aux sorts qui pouvaient peut-être l’atteindre, il accéléra le pas et emprunta un ascenseur ne contenant qu’une seule et unique personne. Une fois les portes refermées, il retira sa capuche pour laisser apercevoir son masque et un sourire diabolique se dessina sous ce voile. Faisant glisser sa baguette de sa manche pour qu’elle arrive dans sa main, il couvrit la bouche de sa victime de sa main gauche, libre, et la plaqua contre lui, en ne tardant pas à lui administrer un violent coup de genou dans le bas du dos. Un gémissement, un seul, bientôt interrompu par le tracé vif d’une baguette sur son cou. Pas le temps de s’attarder, il était arrivé.

Gâcher un instant de plaisir, voilà ce qu’il venait de faire en achevant si vite cette victime. Mais malheureusement, il n’aurait pas pu la faire agoniser, car il se serait très certainement fait prendre dans cet espace clos. Il était bien mieux en dehors de l’ascenseur, il y avait bien moins de risque de se faire coincer par quelqu’un. Au contraire, là c’était à lui de coincer les autres. Se déplaçant au hasard des couloirs, car il ne savait pas très bien où se situait le quartier des Aurors, la dernière fois qu’il était venu étant pour son permis de transplanage, il eut la chance de voir une silhouette, à l’angle d’un couloir. Il s’arrêta un moment pour la regarder, ne comprenant pas ce qui le gênait.

Elégante, voici comment il serait possible de la décrire. Rien de moins qu’élégante. Elle avait une démarche féline, presque celle des mannequins moldues qui défilaient sur les podiums pour des créations affreuses. Il trouva bientôt ce qui le chagrinait, bien que le spectacle ne soit pas déplaisant à admirer, de beaucoup trop loin cependant. Il connaissait bien cette silhouette pour l’avoir vue plusieurs fois. Mais c’était … ! Il avait dû manquer la cérémonie de marquage… Ou peut-être n’avait-il pas fait attention. Courant pour la rejoindre, il vit bientôt une foule de fonctionnaires défiler entre eux et un sortilège de bombardement fusa. Certaines pierres tombèrent et le manquèrent de peu.


« Mais elle est malade celle là ! »

Obéissant à son instinct, il se couvrit la tête, se couvrant par la même occasion d’un certain ridicule, avant de reprendre contenance. Affichant une grimace mauvaise sous son masque déjà effrayant, il serra sa baguette et se dirigea vers les quelques personnes déjà à terre. Certaines étaient mortes, le sortilège les ayant touchées de plein fouet, mais il ne tarda pas à trouver une victime se faisant passer pour morte. Ainsi vous avez voulu le duper ! Vous en payerez les conséquences ! Une expression sadique passa sur son visage tandis qu’il tira sa nouvelle victime à l’écart. Une main s’agrippa à lui, tentant vainement de l’en empêcher, et pour seule réponse, il l’écrasa.

Raclant le sol de ses ongles, cet homme qui se faisait traîner par les pieds n’avait pour seul espoir de s’en sortir que la venue des Aurors. Ces lâches cachés dans leur bureau n’avaient pas l’air de vouloir sortir leur nez par ici. 80 revint bientôt à l’angle de couloir auquel il s’était arrêté précédemment et il releva l’homme en le tirant par le col de sa chemise, ne manquant pas de l’étouffer au passage, pour ne plaquer violemment contre l’arrête des deux murs. Il entendit un craquement, sûrement provenant du dos et une lueur inquiétante passant dans ses yeux, tandis que sa victime appelait à l’aide. Le faisant taire par un simple sortilège de mutisme, il commença à le faire souffrir.

Trouvant qu’il n’y avait pas assez de sang par ici, il décida simplement de faire rougir le bout de sa baguette comme si elle était chauffée à blanc, et de la poser sur les deux tempes de ce cher travailleur qui n’avait pourtant rien demandé. Trouvant que sa prise est un peu trop difficile à manipuler, il plaqua une main contre son cou, pour l’empêcher partiellement de respirer, et fit pression de tout son corps pour qu’il ne puisse plus bouger. Trouvant cela amusant de tatouer sa victime, il continua en appliquant sa baguette sur l’oreille, le nez, le coin des lèvres et finit par la planter dans ses yeux. Ce n’est qu’une fois qu’il fut aveugle qu’il l’assassinat en l’étranglant.
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Re: Département de la coopération magique internationale
Invité, le  Sam 1 Jan - 17:08

Déjà trois quarts d’heure que l’espèce de quadragénaire obèse appelé Harvey était dans son bureau… Ce type à l’odeur de Doonut et travaillant quelques étages plus bas avait jugé bon de venir exposer à Lily sa théorie sur la meilleure façon d’élever les scroutts à pétard. Le coup de grâce tomba lorsqu’il lui sortit des photos de son chat, lui expliquant en long en large et en travers les problèmes intestinaux de son félin miteux. Lily avait cependant esquissé un sourire appuyé, demandant intérieurement à ce que la délivrance lui soit accordée. Qu’elle soit appelée hors de son bureau ! Qu’il soit pris d’un violent malaise l’obligeant à quitter les lieux ! Qu’il rentre chez lui voir son satané matou ! Qu’attendait-il pour quitter les lieux et aller fêter le Réveillon avec les siens ? Peut-être parce qu’il n’y avait pas de « siens », justement… En même temps, qui aurait été prêt à supporter un chauve myope lorgnant dans tous les décolletés, à l’haleine aussi écoeurante qu’un Kebab et aux auréoles sous les bras dignes du Saint des Saints ? A part une folle, ou une désespérée… Ou une folle désespérée !
Harvey abandonna la vue plongeante sur le chemisier de Lily pour vérifier sa montre avant d’annoncer sur un ton solennel qu’il était l’heure de donner le traitement anti-vomitif de Biscotte. La jeune femme arbora un air faussement navré tendit que son cœur remerciait le ciel de sa grande Miséricorde. Extérieurement, elle esquissa un aurevoir de la main. Intérieurement, elle dansait Saturday Night Fever !
Sitôt seule, elle rassembla ses affaires et rangea son bureau, ravie de quitter les lieux pour rentrer chez elle. Un cri lointain dans un couloir : Harvey avait sans doute trébuché sur ses semelles orthopédiques. Ou bien c’était le désespoir d’une pauvre victime ayant reçu le dernier single de Justin Bieber en cadeau. Mais un énorme fracas vint ébranler les murs dans un concerto de hurlements.
* M*rde… ce mec là à peut-être reçu l’album complet de Bieber…*
Le regard sombre et la mine boudeuse, Lily sortit sa baguette et se lança dans le couloir, préparant mentalement quelques mots doux à l’attention de l’abruti responsable de ce boucan. Ce n’est que lorsqu’elle aperçut les restes de ce qui était autrefois le mur du bureau de leur Chef (bureau qui n’avait que très peu servi, vu le taux d’absentéisme de Miss Jorkins…) qu’elle se rendit compte qu’il ne s’agissait aucunement d’un imbécile heureux hurlant sa peine. Le Ministère était attaqué ! Par précaution et ne sachant pas où se trouvaient ses collègues (ivres morts dans un Pub ou tentant de séduire une malheureuse sous le gui, allez savoir…), elle matérialisa un petit renard argenté qui fila dans l’air avec la mission de prévenir des événements dramatiques qui semblaient se dérouler ici. Elle suivit des yeux le Patronus avant de poser le regard sur une saloperie de cagoulé au bout du couloir. Non seulement il semblait s’être adonné à un de ces plaisirs sadiques dont seuls les pathétiques Mages Noirs sont friands, mais en plus il donnait l’impression d’être sur de lui. La confiance du débutant… L’euphorie du jeune chiot ravi de se faire les crocs sur une vieille godasse. Sauf que les cabots, ça se dresse. Et Lily n’aimait pas les clébards à la confiance démesurée les poussant à venir lever la patte sur son territoire !
Le regard mauvais et un léger sourire sur les lèvres, elle s’avança, baguette au poing, vers le masqué à l’assurance presque risible. Et elle ne se fit pas prier pour user de cynisme.
« Dis donc, Trésor… Tu t’es perdu ?... Laisse moi te montrer la sortie !
Expulso ! »
[Je m'adresse à 80. Département de la coopération magique internationale 303123 ]
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Re: Département de la coopération magique internationale
Invité, le  Dim 2 Jan - 19:40

####Vêtu de sa cape noire et ayant déposé son masque sur visage, 71 se dirigea vers le ministère dans l’anonymat. Une grande attaque y avait était mise en place, l’endroit le plus important du monde magique allait être pris d’assaut par la quasi totalité des cagoulés.

####La première attaque de 71 n’était pas des plus simples, pas comme si il s’agissait simplement de s’en prendre à un petit commerce. Là, il risquait d’y avoir beaucoup de dégâts, c’était même sur. Accompagnée de 68 et de 80, la jeune mangemort allait s’occuper du deuxième sous-sol, juste à coté du quartier des Horreurs.

####Apparemment, elle arriva un peu en retard à destination car il y avait déjà un sacré rafus, des cris fusaient de partout, des employés ou de simples visiteurs courraient dans tout les sens. Etant entré par l’Atrium, seul passage possible pour atteindre les autres étages, elle se retenu de ne pas faire trop de dégâts par ici, laissant ce privilège à 17. Voulant se frayer un passage pour les ascenseurs elle prit sa baguette en main et lança un expulso devant les cabines, ne voulant pas s’attarder à cet étage. Personne ne chercha à contre attaquer, et on la laissa seule dans l’ascenseur.

####Arrivé au deuxième sous-sol, elle vit des éboulements d’un mur recouvrir de nombreuses personnes. 80 étaient en train de s’occuper personnellement d’un employé certainement. Un peu plus loin, elle aperçut 68 qui étaient en train de contempler les dégâts qu’elle venait de faire.

####71 aperçut une Auror sortir d’un bureau, qui avait certainement entendu le remue-ménage qui se passait dans les couloirs. Elle se dirigeait vers 80. Elle pensa bon de le prévenir vu qu’il était occupé à mutiler sa victime.

####- 80 fait gaffe, la compagnie arrive !

####Elle aperçut à ses côtés quelqu’un remuer, blessé mais agitant sa main vers la poche de sa cape, souhaitant certainement atteindre sa baguette. Elle laissa donc le soin à 80 de s’occuper de la nouvelle arrivante et s’approcha de celui qui aurait mieux fait de ne pas bouger. Il avait apparemment reçu un bout de mur sur son bras droit, car celui-ci le retenait immobile et qu’une petite flaque de sang se tenait autour. Il avait voulu jouer les héros, il allait le regretter. 71 amputa à l’aide de sa baguette le seul bras qui étaient en état de marche à ce vaillant courageux qui aurait mieux fait de rester chez lui ce soir. Puis elle se redressa et le laissa se vider de son sang, maintenant qu’il ne représentait plus aucun danger.
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Re: Département de la coopération magique internationale
Septimus Newman, le  Dim 2 Jan - 23:36

Septimus bailla. Une journée de plus touchait à sa fin, bientôt il serait chez lui, zappant les programmes jusqu'à s'endormir. Lors des fêtes de noël, il n'y avait jamais rien d'intéressant. Il pourrait peut-être éplucher les rapports de ses collègues? Ainsi, si une attaque se produisait, il pourrait connaître les préférences de ses adversaires.
L'auror n'eut pas le temps de mettre son idée en application qu'il sentit les murs trembler. C'était mauvais signe ça! Peu de temps après, un patronus renard apparut dans la pièce. Une de ses collègues lui annonçait une attaque contre le ministère. Pendant les réjouissances, quelle banalité. C'est néanmoins souriant qu'il sortit sa baguette de sa poche et s'élança dans le couloir. Une distraction, c'est tout ce qu'il avait demandé et on la lui servait. Noël c'est magique.
Enfin, pas pour tout le monde. Lorsque l'aigle arriva sur les lieux, un mur s'était effondré sur des employés. Les quelques survivants étaient à l'agonie. Dommage pour eux, mais il était déterminé à ne pas laisser cela impunie. Les contournant, il se trouva rapidement auprès de sa collègue, Lily Gordon s'il se souvenait bien. Avec un mince sourire, il hocha la tête en signe de salutation.


-Pas terrible pour un premier contact, non?

C'est à ce moment la que le sorcier les aperçus. Trois mangemorts, un homme et deux femmes d'après leur gabarit. Et Lily avait pris pour cible l'homme... Génial, et la galanterie dans tout ça? Ils étaient peut-être ennemis, mais ce n'était pas son genre de s'en prendre aux femmes. Quoique à deux contre un, il reverrait bien certains principes.
Faisant une révérence, il salua tout ce beau monde.


-Mesdames, monsieur, ravie de votre visite. J'espère que vous passerez un agréable moment auprès de ma collègue et moi-même. Ce sera surement votre dernier instant de liberté.

De nouveau, le jeune homme salua, puis se mit en garde, visant la femme (68) qui avait l'air de prendre la pose. Non mais quelle idée, on était pas à un défilé. Puis, d'un mouvement vif, il se tourna vers la seconde femme (71) et lança un sort, en informulé, qu'il connaissait bien, fustigeaflamma. Aussitôt, un fouet enflammé sortit de sa baguette et vint taquiner son adversaire.
Septimus ne tenait pas particulièrement à la brûler vive, mais s'il pouvait la mettre hors d'état de nuire, les chances seraient plus équilibrer. Gardant du coin de l'oeil la dernière meurtrière, il fit de son mieux pour cacher son appréhension. Si un de ses collègues pouvait arriver maintenant, ça ne le dérangerait pas le moins du monde.
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Re: Département de la coopération magique internationale
Maître de jeu, le  Dim 2 Jan - 23:36

Le membre 'Septimus Newman' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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Re: Département de la coopération magique internationale
Invité, le  Mar 4 Jan - 11:48

[Attaque sur Lily Gordon, en toute logique =) ]

Ben alors, on n’aime pas les tatouages ? Le futur cadavre avait l’air de souffrir, et plus il souffrait, plus 80 souriait sous son masque. A chaque fois que la baguette s’approchait d’une partie de sa peau, il grimaçait, puis ouvrait grand la bouche comme si un son voulait sortir, mais rien, rien ne sortait puisqu’il avait été contraint au silence. Des larmes roulaient ensuite silencieusement sur ses joues. Peut-être pensait-il à sa famille, sa possible femme, qui vu son embonpoint n’avait pas de très bons goûts, ses enfants qui bientôt n’allaient plus avoir de père. Ce que c’était bête… Bête de s’être attaché à une famille qu’il savait ne plus revoir un jour. Pourquoi s’attacher alors que ce sont justement les attaches qui constituent nos points faibles ? Emporté par cette douce réflexion sur les attaches, 80 venait de lui crever les yeux avec un plaisir affreux et sadique. Il se préparait même à s’attaquer à des parties plus intimes de son anatomie, histoire de voir à quel point il pouvait supporter la douleur, mais 71 l’informa d’un petit détail qu’il avait, l’espace d’un instant, oublié. Oups, la compagnie pouvait arriver. Pour ne laisser aucun témoin derrière lui, même s’il n’avait plus d’œil, il fut donc obligé d’en terminer rapidement avec sa victime et n’eut que le temps de se retourner pour entendre quelques mots et se prendre un sortilège en pleine poitrine. Il fut projeté tente centimètres plus loin, sur le cadavre qui commençait à glisser et qui, fort heureusement venait d’amortir sa chute. Finalement, il avait bien fait de le tuer, en tant que mort il venait de faire sa première bonne action.

80 se retrouva bientôt les fesses à terre, les jambes dans une position très étrange, comme si elles étaient tordues. Le sortilège l’avait frappé de plein fouet, et, s’il n’avait pas pu être projeté très loin parce qu’il était dos à un mur, il avait tout de même le souffle complètement coupé et était un peu sonné. Reprenant petit à petit ses esprits, et plus rapidement qu’il ne le pensait, il se leva douloureusement et regarda la jeune femme qui se trouvait en face de lui. Hum… Mignonne… Dommage qu’elle travaille au sein du ministère, en plus chez les horreurs. Cette attaque marquait la fin de cette petite romance qui n’avait pas commencé mais que 80 s’imaginait déjà dans sa tête. Il avança doucement, prudemment en direction de cette jeune femme tout en se rappelant des paroles qu’elle avait prononcé avant de lui balancer le sortilège. Très amusant… Il pouffa même légèrement de rire et rétorqua à sa réplique, comme si elle venait de la prononcer alors que ce n’était pas le cas, ce qui devait certainement donner l’impression qu’il n’avait pas de répartie :


« Tiens, tiens, on vous apprend l’humour chez les Aurors ? Je croyais qu’on vous apprenait surtout à jouer les héros moi ! T’as qu’à sauver ton petit camarade… Waddawasi ! »

Pendant qu’il parlait, 80 avait tourné sa baguette discrètement vers le cadavre. Il voulait l’utiliser pour sa prochaine attaque mais il devait passer un peu de temps, à cause de sa corpulence, à l’imprégner du charme qu’il souhaitait lui infliger. En lançant le sortilège, il avait ensuite brandit violemment sa baguette vers l’Auror et le cadavre s’était soulevé pour aller la rejoindre à une vitesse ahurissante, presque celle d’une balle de fusil. C’était d’ailleurs tout l’intérêt du sortilège, mais la corpulence de l’homme qu’il avait tué le ralentissait un peu. Malgré tout, il était plutôt fier d’avoir réussi à lancer ce sortilège, même si la vitesse n’était pas aussi forte qu’il l’espérait, car avant d’entrer chez les mangemorts, et dans une situation comme celle-ci, il aurait été absolument incapable de se défendre.

Se rappelant que la demoiselle l’avait tout de même attaqué, ce qu’il ressentait car il avait encore un peu de mal à respirer, une haine monta en lui. Vous savez, cette haine qui ne vous concerne pas directement mais qui se déverse vers la première personne qui vous touche quand elle le fait au mauvais moment. Cette haine qui peut se déverser sur n’importe qui et qui fait faire tout et n’importe quoi à celui qui la ressent. Celle qui perd les âmes et détruit les êtres. Celle qui nous consomme lorsqu’elle est en nous et qui attaque lorsqu’elle décide de sortir. Tout cette haine qu’il ressentait depuis tout petit à l’égard de son frère notamment et qu’il n’avait jamais pu déverser car il n’avait jamais eu de sentiment de puissance sortit à cet instant même. Et puisqu’il n’avait absolument rien contre la charmante jeune femme qui se trouvait devant lui – mis à part le fait qu’elle venait de l’attaquer même si elle avait plutôt raison – ce n’était plus le visage de cette jeune femme qu’il voyait sur ce corps, mais la tête de son frère. A cet instant précis il aurait même bien aimé faire une photo pour ensuite la coller sur une cible et s’entraîner à lancer tous les maléfices qui lui passaient par la tête. Ce frère, ce frère qui l’avait tout simplement privé de cette enfance heureuse dont tout le monde rêve. Maintenant il pouvait prendre sa revanche, car il était là, en face de lui. Cela dit, il devait admettre que son frère avait un superbe décolleté et une paire de seins à en faire rêver plus d’un. Il ne le savait pas si féminin… Dans ses souvenirs, il était aussi plus grand et n’avait pas ces jolies courbures qui rappellent celles d’une femme, celles qui dessinent la taille et les hanches et qui diminuent arrivées aux cuisses. Pendant un instant d’ailleurs, Will eut du mal à reconnaître son frère, mais le visage ne trompait pas, c’était lui, lui et lui seul et il pouvait se venger. Il avait imaginé tellement de façons d’en finir vite qu’il ne souhaitait même plus le tuer. Il voulait simplement lui montrer par la douleur tout ce qu’il avait pu ressentir pendant l’enfance. Ses mains se crispèrent sur sa baguette magique, il pencha la tête à droite, puis à gauche, afin de faire craquer son cou. Ses yeux se plissèrent pour devenir deux fentes et bientôt on pourrait entendre la musique des westerns qui déterminait l’issue d’un duel. Il pouvait presque voir la paille défiler devant lui, emportée par la petite brise, indiquant ainsi que tout le monde s’était caché tant le duel allait être acharné. Un rictus apparut brièvement sous le masque de 80, avant qu’il ne lance le sortilège qu’il avait prévu pour son frère depuis des lustres :


« Serpensortia ! »

La plus grande phobie de son frère avait toujours été les serpents. Depuis tout petit, il restait pétrifié à l’idée qu’un serpent pouvait l’approcher. Aujourd’hui, c’était à lui d’affronter ses peurs alors qu’il les avait toujours faites subir à son frère… Oui, sauf que la personne qui se trouvait réellement en face de lui n’avait peut-être pas peur des serpents, et le fait que celui arrive pour se frotter simplement à elle ne la ferait peut-être pas réagir…
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Re: Département de la coopération magique internationale
Mélina Kuders, le  Mar 4 Jan - 22:37

Fêtes de fin d'année signifiaient casse tête assurée pour Mélina, car il fallait trouver des cadeaux pour toute la famille, choses très périlleuses pour satisfaire les désirs de chacun. Cependant, le plus important n'était pas là, son plus gros problème se trouvait au ministère et plus particulièrement chez les aurors, c'était le chaos. Une épidémie de départ était tombée sur les gardiens du ministère: Dan, Keira et Betty, leur chef était sur le point de faire ses cartons, puisque sa meilleure amie avait décidé de choisir de faire une carrière politique, certainement, car elle trouvait que les choses ne se déroulaient pas comme elle le souhaitait.
Elle comprenait parfaitement ses choix, mais la relève était dur à prendre, surtout pour la cinglée qui avait été choisi pour prendre sa place. Et cette cinglée qui allait lui succéder n'était autre que Mélina. C'était à son tour de crouler sous la paperasse administrative, de passer devant la caméra pour répondre au innombrables questions stupides que pouvaient poster les journalistes. D'ailleurs, elle se posait beaucoup de questions par rapport à la gestion du restaurant, mais bon la question d'aujourd'hui était de finir le boulot assez tôt pour faire les derniers préparatifs, avant son départ pour la France avec Kirla.

Avant de décoller de chez elle, l'auror prit quelques dossiers sur lesquelles elle avait bossé une bonne partie de la nuit et de la journée et qu'elle devait apporter au ministère avant 21h. Sachant aussi que d'autres dossiers l'attendaient, les fins d'années au ministère étaient des plus angoissantes, surtout avec les élections qui approchaient, les politiciens cherchant toujours à faire passer certaines lois plus ou moins louches en fin de mandat qui au passage ne seraient certainement pas renouvelés vu leur minable boulot effectué. Enfin, l'aveuglement de nombre de sorciers pourraient les reconduire dans leurs fonctions, mais seul l'avenir le dirait. Cela exaspérait beaucoup la gérante du sanglier rieur, mais les choses étaient ainsi. Concentrée sur ses pensées, elle n'avait pas remarqué qu'elle se déplaçait machinalement, dans les couloirs du ministère, jusqu'au qu'elle arrive devant l'ascenseur. En effet, une voix familière la remmena rapidement à la réalité et elle s'engouffra à l'intérieur de cette boite ambulante qui devait la conduire au second sous-sol, étage où l'on avait accès au quartier général des aurors. Cependant, une surprise de taille l'attendait et ce n'était quelque chose qui allait lui mettre la larme à l'œil mais qui allait plutôt la mettre en pétard. En sortant de l'ascenseur, elle comprit tout suite que quelque chose d'étrange était en train de se produire, des bouts de verres et des trous dans les murs formait la nouvelle décoration de noël du quartier des aurors. Cela ne prédisait rien de bon, car cela lui laissait envisager que des mangemorts s'étaient introduits au ministère, au nez et à la vue de tous. Elle pressa le pas, baguette à la main, et trouva très rapidement ce qu'elle cherchait, elle vit trois mangemorts ainsi que deux de ses collègues, Septimus et Lily qui avaient l'air de s'amuser comme des petits fous.

Bonsoir, je ne savais qu'on avait des invités, regardant droit dans les yeux cette bande de joyeux lurons qui se cachaient derrière leur masque, vous venez porter réclamation parce que vous n'avez pas reçu votre boite de chocolats? juste pour info, ce n'est pas le service des plaintes, vous vous êtes trompés d'étage.

Ces quelques paroles lui permit de bien observer ce qui se passait et elle vit mangemort 80 s'éclater avec un cadavre, pour mettre en avant sa toute puissante à pouvoir montrer qu'il pouvait tuer n'importe qui et à n'importe quel moment, quelle lâcheté de se servir des plus faibles que soi pour sans servir sur ses adversaires. Une chose était certaine, ils allaient lui est ses petits camarades, le payer très cher. D'ailleurs, Lily qui devait partager les mêmes sentiment, avait l'air d'avoir les choses bien en main avec 80, Septimus était aussi en bonne posture face à 71, cependant, elle vit 68 s'amuser à tout casser, mais de manière solitaire. C'est pour cela, qu'elle décida d'aller lui ternir compagnie et d'un coup sec, elle agita sa baguette et lança electrocorpus en informulé, un trait de lumière jailli de sa baguette se dirigeant droit sur son adversaire. Ne voulant pas attendre les effets, elle en rajouta une couche et d'un geste très précis jeta Mentum Confusem histoire de faire une petite salade de fruits pour modifier l'équilibre qui s'était établi, mais afin d'assurer ses arrières, elle lança Ragnarok, sortilège toujours très utile lorsqu'on veut mettre des distances avec certaines connaissances.

L'issue du combat était incertaine, mais pour le moment, ils s'en sortaient pas trop mal.

[Sortilège contre 68]
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Invité, le  Jeu 6 Jan - 14:58

PAF ! C’est le bruit sourd que fit la grosse tête vide du cagoulé lorsqu’il s’écrasa sur le mur derrière lui. Dommage pour Lily, cela ne suffit pas à l’assommer ou à lui briser quelques côtes puisque le courageux chiot à la répartie mordante se releva, tous crocs dehors.
« Tiens, tiens, on vous apprend l’humour chez les Aurors ? Je croyais qu’on vous apprenait surtout à jouer les héros moi ! T’as qu’à sauver ton petit camarade… Waddawasi ! »
Ca n’est pas un bloc de pierre qu’il envoya, ni même un meuble. Non, il préféra balancer un cadavre à la tête de la jeune femme. Cadavre qui lui arriva dessus avant même qu’elle n’ait le temps de formuler un sort ! Elle tenta une esquive mais fut bien trop lente puisqu’elle se transforma en mannequin pour crash-test… Et elle aurait préféré jouer les passagers pour la mise à l’épreuve des airbags sur un monospace plutôt que de se recevoir les 120 kgs du malheureux. Il la percuta à l’épaule, la faisant trébucher au sol.
* ABS : à revoir. *
Elle ne se fit pourtant pas prier pour se remettre debout quasi-instantanément mais ne put camoufler une grimace de douleur. Elle porta sa main à l’épaule, constatant qu’elle devait être déboîtée.
* Solidité carrosserie : 2/10…*
Elle adressa un regard de tueuse à gage au traître planqué derrière son masque. Si elle ne pouvait pas voir son visage, elle pouvait cela dit parfaitement ressentir la haine qui était en train de monter insidieusement chez son adversaire, une rage électrique, presque palpable. Qu’il l’insulte ! Qu’il bondisse sur elle ! Qu’il lui envoie un Endoloris entre les deux yeux ! Il se contenta de l’observer, sans doute fier de lui. Lily, elle, se préparait silencieusement à contrer une attaque qui allait sans doute être à la hauteur de la rage brûlante semblant prendre possession du jeune homme. Pas grand-chose n’était visible mais son regard, pupilles dilatées par la colère à travers les deux petites fentes, en disait long sur son état. Les deux cowboys s’observaient, attendant de savoir lequel allait avoir assez de cran pour tirer le premier.
* tutitutituuuuu poua poua pouaaaaaa…* (music theme Le bon, la brute et le truand… Si, si…)
Ca aurait pu s’appeler Il était une fois au Ministère, ou bien Pour une poignée de noises… Ca aurait pu être une bonne production, si le casting n’avait pas été aussi mauvais (on parle là de l’idiot masqué, pas de la super héroïne trop cool…). Ma foi, peut-être que le genre Western ne lui allait pas, tout simplement. Il avait sans doute plus sa place dans un blockbuster à gros budget, gentil VS méchant. Un vilain masqué voulant répandre le chaos sur le monde ? Pourquoi pas le Joker face à ce bon vieux Batman ! Le rôle du barjot à l’instabilité psychologique évidente lui allait à merveilles. Et elle, elle était prête à revêtir la cape et le costume de chauve-souris. Pis en plus, le cuir, ça lui faisait de jolies fesses…
PLOUF ! (bruit du retour à la réalité)
Baguette au poing, Lily se prépara à tirer la première. Finalement, c’est le Joker qui se décida avant elle.
« Serpensortia ! »
La Batwoman eut un léger mouvement de recul, plus surprise qu’effrayée. Elle s’attendait à recevoir un sortilège lui infligeant douleurs et souffrances, elle était prête à esquiver une mise à mort… Et elle reçut quoi ? Un vulgaire serpent ! Minable ! Elle esquissa un sourire ironique et murmura sur un ton suintant le mépris :
« Alors c’est ça qu’on vous apprend chez les Mangemorts ?... Balancer de la viande froide sur les Aurors et faire apparaître des bestioles ?... (elle rit) Ils vous recrutent comment, chez les Cagoulés ? (elle le toise des pieds à la tête) Sur votre physique ? Je ne savais pas que votre Maître avait changé de bord… »
D’un petit coup de pied, elle repoussa le serpent sur le côté pour l’enlever de son chemin et avança doucement vers son adversaire, avec un air faussement aguicheur. D’un geste vif, elle pointa sa baguette sur le mur juste derrière l’ennemi.
« Bombarda »
Elle plissa les yeux, tant la détonation fut violente. Et sans cesser d’avancer, elle s’exclama plus fort.
« Aller, assez joué ! Qu’on en finisse, je commence à me sentir lasse !
Ango Nubes ! »
D’un geste, elle dirigea le nuage de fumée étouffante sur 80.
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Invité, le  Sam 8 Jan - 17:11

La douleur se lisait sur son visage, et ne pouvait que contribuer à la jubilation du cagoulé. Elle s’était reçu le cadavre en pleine épaule et s’était étalée à terre dans un bruit sourd. Il aurait pourtant cru que son corps sonnerait creux, car il pensait que tout ce qui se disait brave et gentil n’était constitué que d’un raisonnement vide, tout comme leur corps. Malheureusement sa théorie ne fut pas approuvée, et il pouvait déjà dire adieu au Prix Nobel qu’il se voyait pourtant déjà recevoir pour ce raisonnement. Peut-être aurait-il le privilège de tenir au creux de ses mains celui de la bêtise. Quoi qu’il en soit, son frère – car c’était bien son visage qu’il voyait dressé sur ce corps féminin – allait bientôt souffrir, comme il l’avait imaginé dans ses rêves les plus fous. Oui, on parlait bien de rêves, dans lesquels il se voyait assouvir sa vengeance. Si 80 était devenu mangemort, c’était principalement à cause de son frère, qui ne pouvait s’en prendre qu’à lui aujourd’hui. « Les temps sont durs et le prix reste à venir » (Aqme, Le rouge et le noir). Le prix de tout ce qu’il avait enduré, voilà qu’il allait le payer maintenant ! Et c’est tout naturellement que Will prit la peine de lancer un sortilège pour faire sortir sa plus grande phobie, un serpent ! Il n’allait pas l’attaquer, oh non, car ce serait lui ôter le plaisir de le blesser. Il s’agissait simplement de se frotter à lui pour le pétrifier de peur. C’était plus efficace qu’un Petrificus Totalus : ça empêcher de parler, de crier, de bouger, et en plus on était certain qu’on ne manquait pas sa cible. Cependant la réaction de son prétendu frère ne fut pas celle qu’il attendait. Comme se faisait-il qu’il arrive à toucher ce serpent ? A le repousser d’un coup de pied ? Avait-il travaillé sur sa phobie ? Alors que l’image du visage masculin qui s’était forgée dans son esprit et qui s’était additionnée à son adversaire commençait tout juste à s’estomper, la voix féminine qui émana de cet adversaire à l’identité partagée le ramena d’un seul coup à la réalité. Il put admirer le visage de la jolie brune une seconde fois, et il devait avouer qu’il n’était vraiment pas désagréable à regarder, et que ce corps allait beaucoup mieux avec ce visage plutôt qu’avec celui de son frère. Pendant un instant, 80 fut même perdu… Comment se faisait-il qu’il ait pu confondre une magnifique créature qui pourrait un jour goûter au plaisir charnel d’une nuit en sa compagnie avec un être aussi écœurant que son frère ? Etrange… Mais là n’était pas le plus humiliant. En effet, la répartie de cette jeune fille l’était quelque peu également. Il mit d’ailleurs un certain temps à comprendre ce qu’elle voulait dire par « changer de bord ». Mais quelle infamie ! Elle venait de les accuser, le maître et lui, d’avoir quelques rapports intimes ! Mais voyons ! Pensez-vous réellement qu’un si « grand » dragueur que 80, dragueur de créatures de sexe opposé, puisse se faire recruter par quelques gâteries ? Avant de comprendre l’insulte qu’elle venait de proclamer, il avait pensé qu’elle disait qu’il était beau. Oh bien sûr, il n’y a rien de mal à dire la vérité, mais cela lui semblait étrange puisqu’elle ne pouvait deviner aucun trait de son visage sous son masque, et que les habits sombres qu’il portait n’étaient pas ceux qui laissaient deviner le plus de formes. Alors, il décida de répondre sur ce point du physique, en laissant de côté la partie traitant de l’homosexualité :

« T’essaie de nous rejoindre ? Parce que question physique, t’as de bons atouts à offrir ! »

Il accompagna cette phrase d’un sourire pervers et d’un clin d’œil déplacé, qui montraient d’ailleurs qu’il avait oublié qu’elle était incapable de les voir sous son masque. Il mit même sa main gauche sur le bas de son ventre et fit quelques mouvements d’avant en arrière avec son bassin, histoire de la provoquer un peu. En faisant cela, il levait également toute accusation d’homosexualité, car il était pour lui, inconcevable de renoncer aux atouts féminins. Il semblait que cette rage dont il avait fait preuve s’était rapidement estompée. Pourtant, 80 était une cocotte minute sans soupape de sécurité, et à moins que la fumée ne soit sortie de ses oreilles, il n’avait pas décoléré. Cette rage n’avait donc pas disparue, mais elle s’était un peu transformée, un peu comme l’horrible chenille qui devient un merveilleux papillon. Ayant découvert qu’il ne s’agissait pas de son frère, il n’avait aucune raison de la haïr, il prenait donc ce combat comme un petit échauffement, une sorte d’entraînement. C’est comme s’il se croyait à l’entraînement de transplanage : si on est désartibulé, on vous raccommode immédiatement. Oui mais il avait oublié qu’ici, s’il perdait un bras, il risquait de ne pas finir à Sainte Mangouste… Il avait donc décidé de jouer avec elle, de s’amuser en quelque sorte, sans faire de gros sorts qui pourraient vraiment la blesser… Lui faire mal un peu oui, mais sans que cela nécessite d’être arrêté, parce qu’au fond, les aurors, il n’avait rien contre eux… Ils disaient faire le bien, et lui, ben… Il ne disait pas qu’il faisait le bien et que les Aurors représentaient le mal. Il avait des convictions toutes autres, et c’est bien pour cela qu’il ne s’attendait pas au sortilège qu’elle allait lui lancer. Elle arborait un air aguicheur et pendant un instant, il crut que cette proposition vulgaire qu’il avait effectuée précédemment lui avait donné l’envie de le connaître un peu plus… Balivernes ! Alors que son attention fut détournée sur les jolies courbes de son corps, et qu’elle devait d’ailleurs le prendre pour un grand pervers profiteur, alors que finalement il ne faisait qu’analyser le potentiel de son adversaire [XD], elle lui lança un bombarda. En entendant le sortilège, il n’eut qu’un réflexe, un réflexe de désespoir qui lui permis de se jeter à terre, en glissant d’un ou deux mètres sur le carrelage dans un grand et vaillant cri d’effroi…

« Aaaaaaaaaaah… Waaaaaaaaïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïe !!!! »

… Poursuivit par un merveilleux hurlement de douleur. En se jetant à terre, se couvrant au passage la tête de ses bras, il avait réussi à se brûler les genoux à cause de la glissade. Il avait également reçu de nombreuses petites pierres et de la poussière blanche de marbre l’avait recouvert des pieds à la tête. C’était bien la première fois que l’on voyait un mangemort si vite blanchi ! Mais ce n’était pas ces petites pierres qui lui avaient fait un massage vigoureux du dos et des fesses qui l’avaient fait hurler de la sorte. Non, c’était le gros bloc de pierre qui, en tant que dépressif suicidaire, avait sauté du mur et avait décidé d’atterrir sur la partie qui risquait le moins de lui sauver la vie, les orteils de 80. Son gros orteil, ainsi que le deuxième et le troisième du pied droit furent ainsi écrasé sous le poids du bloc de pierre dépressif, suicidaire, et en plus obèse. Dès qu’il sentit cette douleur sur le pied, il se releva avec une vitesse folle, sans avoir besoin de repousser le bloc de pierre qui avait décidé de faire une roulade du le côté pour profiter du sol froid et dur du carrelage et non irrégulier se sa semelle de chaussure, et il sautilla pendant quelques temps à cloche-pied, sur son pied gauche, tout en prenant à eux mains sous pied droit et en essayant de le masser en vain. Il ne savait pas si c’était cassé, mais ce qui était sûr, c’est qu’une larme, puis deux, pointèrent le bout de leur nez et décidèrent, comme le bloc de pierre, de faire un grand saut dans le vide. 80, qui n’avait jamais très bien supporté la douleur, tenta de la contenir et reposa le talon par terre. Il leva la tête et découvrir devant lui un grand nuage de fumée. Ah ! Mais on fait comment pour contrer de la fumée ? Euh… De l’eau ? Non… On ne peut pas non plus brûler de la fumée… Ni air ni terre. Mais euh… On fait comment ? Aller vite ! Réfléchis, réfléchis ! Elle doit être toxique cette fumée alors il suffit de… De pouvoir respirer, sans qu’elle ne s’infiltre. C’est ça ! 80 se remémora ce qu’il avait lu sur l’histoire de la magie et en particulier sur les tournois des trois sorciers. Le plus mémorable avait été celui auquel avait participé Harry Potter. Il s’avère qu’un de ses adversaires, mort à la suite du tournoi, a utilisé le sortilège Têtenbulle pour pouvoir respirer sous l’eau… 80 dirigea donc rapidement sa baguette vers lui et prononça la formule à toute vitesse, créant ainsi une petite bulle d’air imperméable autour de sa tête, juste avant que la fumée ne vienne jusqu’à lui. Sa respiration s’était accélérée et il se félicita d’avoir trouvé ce sortilège. Le nouveau problème était qu’il ne voyait rien dans cette fumée qui le couvrait de la tête au pied. Fort heureusement, il se rassura, en usant d’une logique étrangement exacte… S’il ne voyait pas où il était, elle ne le voyait pas non plus. Il avança donc au cœur de cette fumée et ressortit bientôt, beaucoup plus près qu’il ne l’aurait imaginé d’elle. Un sourire carnassier passa sur son visage et il lui lança, fier de lui :

« J’ai pas peur de la fumée ma belle… Mais si tu veux vraiment que personne nous voit pendant qu’on se prend un petit instant de plaisir fallait le dire, je t’aurais fait venir avec moi là-dedans. »

Il sourit de plus belle et poursuivit.

« Tu sais, si t’as envie de faire un truc avec moi, je préfère que tu sois attachée… Incarcerem ! »

Il envoya ainsi une corde, en visant sa main avec sa baguette. Le but était d’attacher sa première main avec sa seconde, et accessoirement de lui faire perdre sa baguette… Ce serait amusant de se retrouver face à une femme aussi séduisante et pourtant dépourvue de défense… Sans attendre de voir si son sortilège l’atteignait, il poursuivit :

« Lashlabask ! »

Un jet d’étincelles brûlantes, rouges, sortirent de sa baguette et se dirigèrent vers son buste… Encore une fois, il ne souhaitait pas la blesser, juste lui faire un peu mal, et jouer avec elle… Simplement s’amuser…

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Mangemort 23, le  Dim 9 Jan - 3:45

*Crak*

Transplanage réussi ! Trop fort le 23, qu'est-ce que vous croyez tous ? Il est gamin, râleur, mais qu'est-ce qu'il est bon ! Bref. Il avait appris que ses confrères et consoeurs s'amusaient tranquillement dans le Ministère, sans qu'il soit au courant ! Et cela le vexait terriblement. Il avait terminé il y avait quelques temps l'entraînement des nouvelles recrues, et quelle ne fut pas sa surprise quand il apprit que ses bleus avaient déjà été envoyé au combat ! Accoutré de sa fidèle cape de Mangemort, et son masque à l'expression si ironique, il traversa avec promptitude les différentes étapes que sont: prendre l'entrée des visiteurs à la cabine, et rentrer prendre l'ascenseur. Imaginez la scène. Un Mangemort qui prend l'ascenseur ! Heureusement que celui-ci était vide, vu qu'avec le bordel foutu par ses copains et copines, la majorité du Ministère était parti en live total. Lui avait dû attendre, avant de venir, que sa compagne s'endorme.. Bah oui, sinon ça fait flague de partir de le soir de Noël comme ça, à la pêche à la caféine des Horreurs.

"Bienvenue au Ministère de la Magie. Rez de chaussée"

- Non c'est mort j'veux pas ! dit-il en appuyant sur le bouton comme un dératé.

"Premier Sous-Sol, Bureau du Ministre"

- Non plus, je le connais lui, c'est une marmotte, il dort à poings fermés là !

"Deuxième Sous-Sol, Bureau des Aurors, Département de la Ju..."

*Ting*

- Merci Madame ! J'adore votre voix, super sexy !

C'est pas drôle quand même un ascenseur ? Bien. Il sortit de l'ascenseur, toujours en remerciant la madame si gentille qui avait une voix si suave et si douce, puis regarda autour de lui. Rien. Mais il entendait des boum-boum car dans une soirée disco-hard-forever-tek. Magnifique ! Y'a de l'action par là bas, donc qui dit action dit copains, qui dit copains dit Horreurs et Piafs, et qui dit ça, dit sang ! Qui dit sang, dit mort, qui dit mort dit... problème ! Te dit monde,dit famine dit tiers-monde ! Ou pas ! 23 se dirigea en courant vers les bruits, puis arriva dans une scène d'hécatombe. La chef des Horreur aux prises avec la nouvelle là, 68.. Qui avait été une Moche elle aussi. Y'avait Lily la Terreur contre le Timide, et et.. Sa bleue contre l'autre, Septimus !

Avec son arrivée, ils étaient en surnombre. Trop cool. Sortant sa baguette à tête de basilic, il vit plein de cadavre partout. Certains avaient des membres arrachés, des pierres dans la tête.. Plein de cadavre tués par les copains. Bref, ils étaient laids comme des poux. 23 regarda les combats, et observa que le combat de 80 et la Terreur manquait de charme. C'était sans grâce ! Et vas-y que je t'envoie un serpent, vas-y que je t'envoie un cadavre. Un serpent ? Oh ouiiiii ! Rien que pour foutre le bordel dans les combats un contre un, 23, qui était encore à ce moment pas vu, commença à siffler dans la langue de son ancêtre, Salazar Serpentard.


- Glisse, glisse p'tit serpent.. Va sournoisement planter tes crochets dans la chair tendre de l'Auror...

Pour les autres, c'était un concert de sifflement, mais pour le serpent, c'était un ordre. Il se mit à glisser vers la Lily.. Puis 23 s'occupa de regarder les cadavres. Il s'avança dans la lumière, puis lança d'une voix mortuaire:

- Mortui resurgunt, et oboediunt pugnandum me !

Ce sortilège, d'une puissance divine et d'un charme mortel, avait pour effet, tout simplement, de créer des Inféri. Vous savez, ces morts contrôlés par un Mage Noir ? Seul bémol, il faut leur donner une mission précise. Ce que notre beau mangemort fit sans hésitation. Il leur donna comme mission de blesser, voir de tuer l'auror qui se battait contre la 71.. Septimus quoi ! 23 mourrait d'envie d'aller lui faire tâter de sa baguette, d'ailleurs, c'est ce qu'il fit sans hésitation. Les Inféri ayant eu leur ordre, ils se dirigèrent d'une démarche branlante, et comme des zombies, vers la cible qui leur avait été désignée. Des marionnettes sans sang, qui sont extrêmement difficiles à tuer...

23 s'en alla vers sa cible, et limite, voulu dégager la bleusaille. Genre un chien de meute qui dit à un autre "Touche pas ma proie, j'le veux lui". Bref, tout cela était bien beau, et malgré qu'il eut été blessé la dernière fois, cette fois-ci, il espérait ne pas l'être.. Deux combats, deux fois blessé.. Naaaaaaaaaan !
Maître de jeu
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Re: Département de la coopération magique internationale
Maître de jeu, le  Dim 9 Jan - 3:45

Le membre 'Mangemort 23' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Combats Sections Act' :
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Septimus Newman
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Re: Département de la coopération magique internationale
Septimus Newman, le  Dim 9 Jan - 13:38

Les choses se passait vite. Très vite. Trop vite peut-être. Septimus ne savait plus où donner de la tête. Les murs explosaient de partout, la fumée montait et les sorts aux couleurs de l'arc-en-ciel frôlaient leur cible. Oh, et des corps volaient. Une des choses les plus étranges qu'il lui ait été donné de voir. Un mort qui devait facilement peser 120 kilos s'était envoler vers sa collègue. En parlant de collègue...
Sa formatrice avait décidé de se joindre à eux. Charmante attention, vraiment. Quoique l'aigle n'était pas sur que la cannibale soit du même avis. Surtout pour sa chevelure. Quoiqu'avec cette capuche et ce masque, la jeune femme – ou vieille, aller savoir – était peut-être chauve. Intéressant. Ou pas.
Se reconcentrant sur le combat, le jeune homme remarqua que son ancienne adversaire était bousculée, presque jeté à terre, par un nouveau venu. Un homme cette fois. Bon, la galanterie ne devait pas être son fort.


-Yo mon gars. Je te remercie de l'avoir dégagé, j'aime pas me battre contre les femmes...

Le sorcier ne finit pas sa phrase. Il était presque sur d'avoir entendu des sifflements. Un fourchelang? Ou était-ce tout simplement le serpent qui s'énervait. Secouant la tête, il finit par classer cette événement dans son imaginaire. Rêver en plein combat, non mais franchement.
Avec un sourire, l'auror salua son nouvel adversaire... Qui n'avait pas perdu de temps! Le mangemort lui envoyait des cadavres, génial. Soit il se faisait bouffer, soit il détruisait les corps, ce qui lui assurerait la haine des familles... En même temps, il se battait pour les vivants, pas pour les morts. Commençant à reculer, il réfléchissait toujours à ce qu'il devait faire. Peut-être qu'en neutralisant le mage noir, le sortilège serait annulé? Pourquoi pas.
Septimus passa en revue des sortilèges qui pourrait briser la concentration de l'homme. Quelque chose de suffisamment déstabilisant mais qui le laisserait en état de répondre à ses questions. Car bien sur il allait le capturer. Et il avait trouver le sort parfait. Visant son adversaire de sa baguette, il lança, en informulé, Metalo Scencio. Aussitôt un filet de métal sortit de sa baguette et se dirigea à tout allure vers l'homme. Ainsi neutralisé et blessé, il ne causerait plus d'ennuis.
Toujours reculant, le jeune homme finit par trébucher sur un bloc de pierre. Sa baguette lui échappa des mains... Au plus mauvais moment, bien entendu. Les cadavres se jetèrent sur lui, le mordant ou le griffant selon ce qui leur restait comme membres. Il ne sut pas à quel moment il perdit conscience. Sa dernière vision, celle de macchabées l'attaquant au point de vouloir le tuer.
David Page
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Re: Département de la coopération magique internationale
David Page, le  Lun 10 Jan - 15:33

A Poudlard, David Page était en train de ranger la salle de classe dans laquelle il venait de donner son dernier cours, qui portait sur les Pitiponks. En effet, il était depuis peu de temps devenu professeur de Soins aux Créature Magiques, mais il y a moins d'une semaine, il y avait eu mieux, un réponse positive de la part des Aurors qui acceptaient son retour parmi eux ! Très heureux de cette seconde vie qui allait pouvoir commençait, le jeune homme entreprit de monter dans son appartement afin d'aller chercher quelques affaires pour se rendre à Pré-Au-Lard, où il devait revoir une vieille connaissance. Perdu dans ses pensées, il ne se rendit pas compte qu'un renard argenté venait de se porter à ses côtés, mais quand le patronus parla, il eut un grand mouvement de recul.

- Attaque au ministère.

La bouche de David s'ouvrit en grand mais aucun son n'en sortit, une attaque au ministère alors qu'il venait juste d'être nommé Auror, c'était le pompon. Rapidement, il se concentra pour savoir qu'est-ce qu'il devait faire, il décida très vite qu'il utiliserait le réseau de cheminées poour se rendre là-bas. Il accéléra donc le pas pour arriver au plus vite dans son appartement. Une fois là-haut, il enfila vite sa cape de sorcier puis se plaça dans la cheminée. Ni une ni deux, il fut aspiré par les flammes.

Quelques secondes plus tard, il était dans le QG des Aurors, qui était désert, ce qui ne laissait présager rien de bon.. David se mit alors à courir et dès qu'il eut franchi la porte du QG, il vit à quelques mètres le combat en cours, trois mangemorts se trouvaient debout face à deux Aurors, il s'agissait de Melina et d'une autre fille qu'il ne connaissait pas, qui parraissaient faire bonne figure. Mais une vision d'horreur frappa le jeune homme, à côté se trouvaient une grande quantité d'Inferi qui semblaient tous occupés à 'torturer' un homme. Il ne pouvait pas les laisser faire.

- Expulso !

Avec rage, il lança une dizaine de sortilèges, les Inferi volaient de tout côtés et le corps de la victime fut enfin dégagé. David se précipita, l'homme portait un badge d'Auror. Il ne savait pas qui c'était mais une chose était sûre, il était mal en point et il fallait l'évacuer d'urgence. Pendant que le combat faisait rage juste à côté, David se concentra. Un elfe se matérialisa alors près de l'Auror, il s'agissait de Toumaï, cette petite créature avait déjà évacué beaucoup d'Aurors tombés au combat lorsque son maître était encore chef de ces sorciers d'élite..

- Toumaï, emmène-nous à Ste-Mangouste.

Sans un mot, l'elfe prit la main de David tandis que celui-ci attrapait celle du corps inanimé. Il espérait que l'homme pourrait s'en sortir, même s'il ne le connaissait pas, savoir un collègue blessé était toujours un coup dur.

C'est alors que la scène du ministère s'effaça, pour laisser apparaître le hall de Ste-Mangouste..
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