Ecouter le chant des oiseaux

[ Rp très Bof , j'ai vraiment fait sa a l'instinct ]

Après avoir lancé sa requête à Louna , Alexandre leva les yeux au ciel comme à son habitude qui était des plus étranges , il observa Thomas un court instant plus précisément sa tête qui était ornée d'une couronne faite en fleurs qui lui donnait un air totalement ridicule , un truc typique de fille quoi. Le vent souffla, sa chevelure cramoisie lui balaya le visage , il resta sans rien dire comme s'il était coupé du monde , les bouches des ses amis à coté étaient en mouvement mais il n'y fit pas attention , il était comme dans un état de méditation mais il ne le faisait pas exprès , il entendait les feuilles frotter le sol , le vent et son sifflement si déplaisant mais tout de même là , il fit le point sur sa journée et se dit dans sa tête " le surveillant me cherche toujours.. Et Thomas je le dérange peut être ? Après tout en pleine conquête... Et cette balle qui m'a frappé à la tête ! Rahh j'en ais marre ! " puis Alexandre revint a la réalité , il ne remarqua pas que Merit avait versé une larme , il se leva et annonça au petit groupe avec un clin d''oeil :

- Je vous laisse , j'ai un mal de ventre soudain Argh ! A plus tard !

Il s'en alla avec un petit sourire qui s'adressa tout particulièrement à Thomas , comme ça il serait plus à l'aise sans doute , il prit le chemin par lequel il était venu si précipitement. Il eût un déclic et se retourna brusquement en attrapant une balle qui lui était destinés du moins destinés à sa tête , il la jeta au sol violemment et regarda les alentours avec espoir de retrouver une bonne fois pour toute ce mauvais lanceur cependant il ne trouva rien , un vrai mystère..

Il retourna au dortoir des garçons de Gryffondor ou personne n'était encore rentré de cette journée splendide , il posa sa veste sur son lit ainsi que sacoche , il prit ensuite sa baguette et s'en alla rapidement. Il demande à une fille plutot sympatique de la maison Serdaigle où se situaient les toilettes des filles , la fille s'interroga mais il lui répondit que c'était pour une amie , il mentait bien entendu. Il trouva enfin les fameuses toilettes qui comme la rumeur le voulait étaient complétement vides. Il était venu dans un but bien précis , la légendaire chambre des secrets qui demeurait introuvable ! En effet Alexandre Hawkins était un drôle de passioné.

Il sortit de sa poche un étrange papier vert ou était inscrit une formule jaune , une fille de serpentard [ Je ne citerai pas le nom de la rôlliste ! ] lui avait donné en échange d'un cadeau , Alex lit à voix haute la formule :

- Revelio Ignis Serpis Muris ♫ !

Un petit son qui faisait penser a l'ouverture d'un loquet se fit entendre , des lettres de couleur verdâtre apparurent sur le mur a coté des robinets elles étaient minuscules , on pouvait lire " Ne regardez pas les yeux.. " mais Alex n'y fit pas vraiment attention , il se posa un moment pour observer la salle silencieuse , il sourit puis se leva de plus belle, il serra le poing et s'exclama :

Bien ! Commençons les recherches ! Mais avant je vais retourner voir le groupe.

Thomas était quelque peu perdu dans les profondeurs de son livre, ce qui lui procurait un certain bien-être. Une belle journée ainsi que le chant des oiseaux contribuaient à ce sentiment de bien-être et peut-être n'aurait-il rien échangé au monde contre ça. Les voix des nouveaux venus aux alentours ne le dérangeaient guère et il appréciait même cela. Ils semblaient déjà bien s'entendre même si tous ne se connaissaient pas déjà et certainement que leur relation s'améliorerait au fil du temps, leur relation. Il lisait toujours son livre, genou relevé et main appuyée sur sa canne qu'il affectionnait tant. D'ailleurs il se remémora un instant son acquisition, un de ses plus beaux souvenirs.... Bref, si il continuait comme ça il deviendrait sûrement bizarre et il n'avait pas envie de gâcher ce moment. Il ne faisait pas vraiment attention aux autres ni à ce qu'ils disaient, jusqu'à l'instant où il sentit une légère pression sur sa tête ainsi qu'un chuchotement. Il fut surpris et releva la tête pour découvrir le visage d'Azmaria penché vers lui. Il marqua un temps d'absence tout en la regardant :

- ....

Il ferma d'un coup sec son livre et leva sa main libre afin de la poser sur son crâne. Il toucha du bout des doigts l'objet précédemment posé et l'identifia rapidement : C'était apparemment une couronne de fleurs que la Poufsouffle avait dû confectionner pendant que Thomas lisait. Il lui adressa un franc sourire tout en plissant légèrement les yeux en signe de gratitude, il appréciait le geste même si il ne savait peut-être pas le montrer... Tout de même, il préférait ne pas répondre à la question d'Azmaria, son sourire répondrait sûrement à sa place car lui, il ne savait pas quoi répondre. Azmaria à présent derrière son amie, il ne savait que faire.

Et c'est à cet instant que Louna Blake se rapprocha de lui, d'abord surprit bien qu'il n'en montra rien, il comprit brusquement qu'elle voulait sans doute parler un peu avec lui.

- Enchanté, je m'appelle Louna. Sa te vas plutôt bien la couronne de fleurs sur la tête.

C'était bien ce qu'il pensait, et plus. Elle semblait vouloir faire connaissance avec lui et il en fût ravi, elle semblait être quelqu'un d'assez calme et il appréciait cela.

- Enchanté Louna, moi c'est Thomas. Mais tu peux m'appeler Tom.

Il répondit cela d'un ton calme tout en prenant soin de mieux détailler la jeune fille à l'ombrelle. Il pensa qu'elle devait craindre le soleil, pas à la manière d'un vampire mais tout de même. Il avait envie également de faire connaissance avec cette Louna quand soudain, le chant des oiseaux changea d'allure, quelque chose devait les perturber. Il regarda autour de lui calmement et reporta son regard vers Azmaria et son amie. Azmaria semblait lui avoir tressé les cheveux et y avait ajouté quelques fleurs, mais un détail le perturba. Il vit une goutte perler le long de la joue de Merit Sullivan, l'amie commune entre Azmaria et Alexandre. Il ne comprit pas pourquoi elle pleurait soudainement et sans doute que ce serait long à expliquer, et qu'elle n'en avait pas du tout l'envie. Il adressa un sourire à Louna pour lui dire d'attendre quelques instants.

- Oh...

Thomas s'empara de sa baguette et incanta un minuscule orchideus afin de créer un bouquet de fleurs colorées à l'attention de Merit. Il lui tendit et lui adressa cette phrase :

- Reste forte.

Il regarda Azmaria un instant, peut-être que elle, elle savait pourquoi Merit pleurait et ce serait mieux que ce soit elle qui s'en occupe, il n'était pas habitué à ça et ne savait pas s'y prendre, comme son ami Alexandre qui essayait visiblement de fuir en lançant une phrase d'excuse assez peu crédible. Il y répondit par un haussement d'épaule et observa son ami s'éloigner avant de reporter son attention sur Louna.

- Et bien merci pour le... compliment ?

Le jaune et noir releva la tête vers elle avec une expression de surprise qui fit rire la jeune fille. Il porta la main à la couronne de fleur et lui fit un sourire en guise de remerciement… Sourire que la jeune fille lui rendit avec plaisir avant d’aller tresser les cheveux de Merit. Louna s’approcha à son tour de Thomas afin d’engager la conversation avec lui… Azmaria ne put s’empêcher de leur lancer quelques petits regards alors qu’elle tresser les cheveux de son amie. Celle-ci se laissa faire docilement, et une fois que la jaune et noir eu terminer, Alexandre prétexta un mal de ventre pour s’enfuir. La jeune fille lui fit un sourire sachant qu’il reviendrait sans doute dans peu de temps.

Azmaria vit s’approcher Thomas avec un bouquet de fleur qu’il offrit a Merit en lui disant de rester forte. En effet des larmes roulées le long des joues de la rouge et or, et la jeune fille en connaissaient la raison… Thomas lui lança un regard auquel elle répondit avec un sourire avant de se lever pour se mettre devant sa meilleure amie. Elle la serra doucement contre elle en la couvant du regard avant de caresser son dos afin de la calmer. Elle savait qu’elle n’aurait peut-être pas dut faire ça, mais tout le monde se sentait plus ou moins seul sans leur famille et Azmaria savait ce que ressentait son amie…

- Je suis désolé, alors arrête de pleurer s’il te plait…

Elle l’éloigna un peu d’elle et plongea ses yeux vairons dans les siens en lui faisant un faible sourire… Elle retira délicatement l’une des fleurs du bouquet et huma son odeur avant de la tendre à Merit et de lui dire avec un sourire…

- Le temps n’est pas à la déprime ! Tu es plus jolie quand tu souris.

Azmaria se coucha dans l’herbe et ferma les yeux quelques secondes… Non, ce n’était pas un temps pour s’apitoyer sur son sort…

Le temps sembla s'arrêter autour de moi. Je retournais dans mon enfance, où, quand des moments comme ceux là, je me réfugiais dans les bras de mes parents pour obtenir du réconfort. Mais ils n'étaient pas là et je continuais de me faire du mal en pensant à eux. Quelle idiote je faisais ; il fallait à tout prit ne pas penser à mes parents quand j'étais loin d'eux, dans cette école de sorcier, mais je ne pouvais pas m'en empêcher.
Je détournais mon attention, pour cesser de penser à eux, en m'intéressant à la conversation qu'entretenait la Serdaigle et le Gryffondor. La réplique de ce dernier me laissa perplexe :

-Heu.. Oui pourquoi pas mais comment tu connais mon nom ? Je te remercie, mais mon regard est si bizarre que ça ?

Continuant de pleurer, j'enregistrais à peine la réponse de Louna, qui se tourna vers Tom, quand Alex se plaignit d'un mal de ventre.
La Serdaigle entama la conversation avec le Poufsouffle :

- Enchanté, je m'appelle Louna. Ca te va plutôt bien la couronne de fleurs sur la tête.

- Enchanté Louna, moi c'est Thomas. Mais tu peux m'appeler Tom.

Les présentations étaient faites, mais Tom ne dit rien par rapport à la dernière phrase de la bleu et argent. Il venait de stopper son regard sur mon visage, et plus précisément sur les larmes qui coulaient à flots sur mes joues roses. Le jaune et noir sourit à Louna puis cita une formule en s'emparant de sa baguette. Tendant un bouquet de fleur très colorés vers moi, il dit simplement deux mots, mais qui ressemblèrent à une phrase entière de soutient :

-Reste forte.

Il se tourna de nouveau vers Louna pour la remercier du compliment. Un corps me cacha le reste de la scène et je sentis les mains de Azmaria dans mon dos, tentant de me réconforter à son tour.

-Je suis désolée, alors arrête de pleurer s'il te plait.

Elle s'éloigna de moi et piocha une jolie fleur dans le bouquet pour me la donner. En souriant elle essaya encore une fois de me consoler:

-Le temps n'est pas à la déprime! Tu es plus jolie quand tu souris.

Entendant sa phrase, j'émis un petit rire que je ne parvins pas à cacher. En séchant tant bien que mal les larmes qui laissaient de grandes trainées sur mon visage, je regardai ma meilleure amie s'allonger dans l'herbe afin de fermer les yeux. Visiblement, elle aussi avait sûrement besoin de réconfort, mais ne laissait rien paraitre.

La voix du jeune homme au cheveux rouge la fit se retourner. Son excuse n'était pas vraiment... Plausible. Mais après tout, peu être avait-il un truc important à faire. Sa nature curieuse était attisée mais elle n'en montra rien. Qu'est ce qui pouvait bien être si secret pour sortir ce genre d'excuse ? Aucune idée, mais sa lui tenait apparemment à coeur. Après avoir lancé sa phrase, Thomas lui avait répondu rapidement mais son attention avait été attiré immédiatement après par... Les oiseaux ? Non, ce n'était pas ça. Tournant la tête dans la direction ou le jeune homme regardait, la Serdy vit qu'il s'agissait en fait de Merit ? Oui, c'est ça. Tandis qu'Azmaria lui tressait les cheveux, la jeune fille avait laissé échapper quelques larmes, pour une raison qu'elle ne pouvait que soupçonner sans vraiment comprendre. Pour Louna, il n'y pouvait y avoir que deux raisons à ça, ou peu être plus mais ces deux seules lui venaient à l'esprit. Soit il retournait d'une question de coeur ou un autre raison s'apparentant à celle-ci, soit c'était des souvenirs. Si la deuxième raison venait à se confirmer, la brune ne pouvait que comprendre, elle même souffrant encore de son passé par moments. Plongée dans ses profondes réflexions, elle regardait sans voir l'action qui se déroulait devant elle, ses yeux fixant un point vide qu'elle seule pouvait atteindre. Elle se demandait bien ce qu'elle pouvait faire, les paroles n'étant pas vraiment son fort. La Serdy ne voulait pas faire plus de mal que de bien, aussi s'approcha-t-elle doucement à son tour de la Gryffondor, tout en gardant le silence.

Elle prit sa main dans la sienne, ne savant que faire de plus. Les paroles n'était pas toujours utiles, aussi la brune laissa donc ce soin aux deux Poufsouffles. Pendant que Tom faisait apparaître des fleurs, Az... S'excusait ? Pourquoi faisait-elle ça ? Peu être finalement était-ce autre chose que de mauvais souvenirs.... Finalement la Gryffondor sourit, puis rit même à la remarque de la blonde. Puis Tom attira de nouveau son attention:

- Et bien merci pour le... compliment ?

Un compliment ? Lequel... Ha ! Plongée dans ses pensées tout à l'heure, elle n'avait même pas remarquée qu'il n'avait fait aucune remarque sur la fin de sa phrase. Elle sourit un peu, sa question l'amusait. Plongeant ses yeux dans ceux du jeune homme elle lui répondit innocemment :

-De rien. On pourrais appeler ça un compliment, sa te donne un petit coté... Je sais pas champêtre !

Elle avait accompagnée sa phrase d'un petit rire, ne pouvant s'en empêcher. La vision qui lui vint en disant cette phrase était épique. Peu être était-ce du à la façon dont était sculptée sa canne mais, avec la couronne de fleurs sur la tête, sa lui faisait vraiment penser à ça.

[Merci a Merit pour la correc ' ! ]

Alexandre sortit donc des toilettes des filles avec discrétion et méfiance , il retourna dans le parc en essayant de ne pas se faire remarquer par le surveillant qui voulait sa peau. Sur le chemin du retour qui a pour destination" le groupe de Thomas " Alexandre sortit un gâteau au chocolat de sa sacoche , il retira l'emballage qu'il jeta ensuite derrière lui puis s'arrêta en se disant qu'il se trouvait quand même dans un parc.Il fit demi-tour et récupéra le papier pour le mettre dans les profondeurs d'une poubelle , il reprit sa route et pensa un instant que son retour allait de nouveau perturber Thomas mais en même temps il ne pouvait se priver de présence féminine tout le temps surtout avec Thomas. Il pensa à la blonde avant tout et fit une petit description dans sa tête , " Mmmh blonde et surtout blonde " il ne voyait que ça d'Azmaria Slown ensuite vint le tour de Louna Blake avec qui il voulait devenir ami pour une raison qu'il ignore lui même , une intuition ? Alexandre ne croit pas à ce genre de choses et pense qu'il a agit sans réfléchir , mais que dire de Louna Blake ? " Serdaigle " ce dit-il. Pour finir Merit Sullivan , la fille qui était dans sa maison et qui semblait perturbée par certaines choses , de sa chevelure cramoisie Alexandre balaya une mèche qui l'énervait au plus haut point puis replongea dans ses étranges pensées , " Merit Sullivan .. Sympa ! " ainsi se conclut ce petit briefing des rencontres du parc , pour tout dire il ne connaissait aucune de ces filles et pensa avant tout que les filles étaient plutôt branchées intello de service comme Thomas.. Il aperçu le groupe au loin mais seulement de petites silhouettes étaient visibles , preuve que son chemin n'était pas fini.

Alexandre regardait le ciel mains dans les poches en mangeant son chocolat qui tenait tout seul dans sa bouche , il vit le soleil à son zénith briller dans les yeux et pensa à Slow , une fille fragile comme disent les garçons au dortoir mais lui pensait qu'Azmaria était faible de l'extérieur et non de l'intérieur. Alexandre se prit pour un philosophe pendant un moment et comprit que son Q.I était inférieur à la moyenne donc s'arrêta avec ce genre de phrase. Il arqua un sourcil en voyant quelques Serdaigles du même âge que sa personne fumant un cigare dans un coin du parc bien a l'ombre. Il arriva enfin au lieu de retrouvaille.

Devant les filles et le garçon grincheux qu'il nomma Thomas , Alexandre aperçu une larme qui reflétait la lumière du soleil sur la joue de Merit , il n'avait aucune phrase à sortir sur le coup ! Rien ! Alexandre essaya d'adresser un peu de réconfort à Merit mais il n'y arriva toujours pas, mais pourquoi ? Un sentiment de déjà vu lui traversa l'esprit un bref moment et la réalité vint le sortir de son état presque lunatique et il se contenta de prendre la main de Merit et de la mettre debout, puis joignit les mains de Sullivan sur les siennes pour laisser paraître une position de danse , il fit tourner Merit sur elle même pour ensuite l'arrêter délicatement et avec une certaine élégance ensuite il lui tendit une pomme d'un rouge incroyable tout en souriant , il regarda Merit avec ses yeux rouges sang et dit tout bas :

-Tu as des amis et tu peux en parler Merit Sullivan.

(rp avec Rose Goyle)

La jeune sorcière était adossée à un arbre. Elle écoutait le chant des oiseaux, sa flûte de pan à la main. Elle fermait les yeux et se laissait bercer par leur chant mélodieux. Elle ouvrit les yeux, regarda le ciel et se mit à jouer un air avec sa flûte de pan. Cet air, sa mère le lui jouait souvent lorsqu'elle était petite, grâce à son oreille "parfaite" elle réussit à le recomposer. Bizarrement, l'air que les oiseaux chantaient changea et semblait suivre le sien.

D'un coup, les oiseaux cessèrent de chanter. Luna entendit un pas, se retourna la baguette tendue. Elle sourit lorsqu'elle vit que la personne qui lui avait fait un telle fraiyeur n'était autre que son amie, Rose Goyle.

Tu m'a fais peur, dit Luna en souriant et en se baissant pour ramasser sa flûte qu'elle avait fait tomber. Toi aussi tu as besoin de prendre l'air?

Luna souffla sur sa flûte pour enlever les saletés qui s'y étaient mise, puis la rangea dans sa sacoche en même temps que sa baguette.

Baguette:
Bois: Acajou
Composant: Poil de Chimère
Taille: 19.9 cm

Le sujet étant à l'abandon depuis plus d'un mois, je me suis permis de poster, si soucis, contacter moi par MP

C'était le matin, il était environ dix heure au son de l'horloge. Il décida quand même à se lever. Il n'avait peut-être pas cours de la journée, mais il n'allait pas rester au lit, toute la journée, comme une loque. Ce n'était vraiment pas son style. Il posa les pieds au sol, et DJ se frotta les yeux, pour s'habituer à la lumière qui rentrait par la fenêtre de son dortoir. Après quelques secondes à se frotter ce qui lui servait à voir, il se leva enfin. Il se dirigea alors vers la salle de bain. Et se regarda dans le miroir. A la vue de sa tête, DJ ne put se dire autre chose que :"Faut vraiment que tu prennes une douche mon gars, t'es vraiment beau gosse, mais là, tu pues !" Il s'exécuta.

Il prit alors un gant de toilette qui était rangé dans l'étagère et prit aussi une serviette. La baignoire était vide. Il prit alors le savon, et en mit une poignée au fond du bassin, et sortit sa baguette magique. Il s'écria #Aguamenti un jet d'eau avec une pression assez forte, pour que l'eau soit mousseuse et que la baignoire soit remplit en cinq minutes. Il enleva alors son pyjama et se plongea, dans le bassin, remplit d'eau chaude et qui sentait la noix de coco. Il se savonna à l'aide du gant de toilette, et après avoir finit son bain, il sortit, prendre sa serviette, et se sécher.

Etant sec, il déposa le gant de toilette et sa serviette, qui était usagés, dans l'armoire, puis ferma la porte. Comme par magie, l'eau deux ustensiles avaient disparus ainsi que l'eau qu'il y avait dans la baignoire. Il retourna alors dans le dortoir, nu comme un verre, heureusement il était seul. Il mit alors un caleçon, ainsi qu'un jogging, et pour finir un tee-shirt, noir, moulant, son tatouage à l'épaule gauche dépassait. Il sortit alors du dortoir et descendit les escaliers de la salle commune, et se rendit dans les cuisines de Poudlard, pour ensuite monter les escaliers qui conduisent au hall. Il sortit alors au dehors, sans manger, et prit une grande respiration.

Après quelques minutes à contempler ce ciel si beau, si bleu, il entendit son ventre crier famine, il rebroussa chemin et se dirigea vers la Grande Salle, pour manger un petit bout. Il prit, du pain, du beurre et de la confiture et tartina tous ça. Il englouti trois ou quatre tartine avant de repartir à l'extérieur. Il décida d'aller se balader vers la forêt interdite. Même si comment on l'a nommait faisait peur, en plein jour, il ne risquait pas grand chose. Il marchait dans l'herbe encore humide de la rosée du matin et pénétra dans la forêt. Il zigzagait entre les immenses arbres, quand il entendit comme un bruit d'explosion...

Edit Solange : Bonjour Darnel. Tu viens de poster dans un sujet qui est occupé, le dernier post datant du 14 juin. Je vais donc déplacer ton rp et t'informerai de l'endroit où je l'ai mis par MP. Fais plus attention la prochaine fois. Amicalement,

Aujourd'hui, comme toujours, j'avais une envie folle de sortir. Mais cette fois, je voulais faire une petite sortie pour aller me balader seule dans la forêt interdite, histoire de m'amuser un peu. Tous le monde avait cours de la matinée, et je n'avais donc personnne avec qui partir du château. C'était plutôt ennuyeux du coup... mais j'allais peut être trouvé quelq'un sur le chemin. C'est vrai qu'hier, je n'avais pas fait grand chose en même temps. J'avais été cloué au lit à cause du méchante gastro, qui ne m'avait pas permis de suivre les cours de la journée. Encore ce matin, j'avais eu de légères nausées, mais n'y avait pas prêté attention. Je n'avais eu qu'une envie, c'était d'aller en cours. J'avais déjà eu le malheur de rater des cours importants, et il n'était pas question que je les rate de nouveau.

Enfin sortie de mon cours, je me dirigeai vers ma salle commune pour accéder aux dortoirs. J'avais vraiment envie d'enlever cette robe de sorcier qui me tenait si chaud. Ce n'était pas vraiment la canicule dehors, mais il faisait lourd. J'empruntaidonc les escaliers pour me rendre dans la chambre.

Une fois arrivée, je fis les quelques pas qui me séparaient de mon lit, pour enfin accéder à mon armoire. J'y rangeais ma robe de sorcière en l'accrochant sur un cintre, et échangeai mon tee-shirt à manche longue par un manche courte. Je fis le tour de mon lit, pour attraper ma besace et mon MP3 avant de sortir pour faire le chemin inverse, trainant dans les couloirs pour dévisager les tableaux, pour finir dehors. Je mis mes écouteurs dans mes oreilles, pour être bercée par la musique envoutante, et me dirigeai vers la forêt interdite. Je n'avais plus besoin de regarder où j'allais... je commençai à connaître le chemin menant à la forêt comme ma poche.

J'arrivais enfin, sans encombre, et sans avoir rencontré personne. Mon MP3 dans la main, je fis quelques pas entre les arbres, le sourire aux lèvres. J'étais plutôt confiante, mais quand une explosion retentie, je sursautai vivement, et lâchai mon appareil, qui tomba dans la terre. Me baissant pour le ramasser, je remarquai une silhouette non loin de là. Je plissai les yeux pour mieux la distinguer, et remarquai que c'était un garçon de Poufsouffle. Je décidai de ne pas l'interpeller, et me relevai en époussetant mon MP3 et mes écouteurs qui étaient tombés de mes oreilles, attirés par le poids de l'appareil.

Il était dix heures, et il faisait déjà un grand soleil dehors, en se réveillant, il se dit qu'il allait en profiter un maximum. Il se leva, se lava, s'habilla et après avoir pris son sac en bandoulière dans lequel il y avait tous ce qu'il lui fallait pour un séjour dans la forêt interdite, il décida quand même de faire un inventaire rapide. Il y avait des fioles, sa baguette, des gants en peau de dragon, des parchemins, des plumes, des pots d'encre de couleurs, bref tous ce qu'il fallait.

Il descendit alors les escaliers de la salle commune et sortit du salon, pour se retrouver dans le sous-sol. Après ça, il se mit à monter les escaliers et il se retrouva dans la Grande Salle. Il y prit un petit déjeuner rapide et décida, enfin, de sortir à l'extérieur du château. Il prit une grande bouffée d'air frais et dans ses narines se ressentait la rosée du matin. En pleine journée, c'était le meilleur moment pour pouvoir aller passer du temps dans la forêt interdite, car les plus cruelles et les plus dangereuses des créatures se cachaient. Il décida alors d'aller y faire un tour.

Il traversa alors le Parc de Poudlard, longea le Lac Noir, passa devant la cabane du Garde-Chasse de Poudlard, et pénétra dans cette immensité d'arbres géants. Une fois complètement entré, il décida de commencer à explorer cette forêt et ce qu'il pouvait s'y trouver. Il ne se doutait pas de la rencontre qu'il allait faire. Il slalomais entre les arbres, quand il entendit une explosion derrière lui. Ayant eu la peur de sa vie, il se mit à courir, dans tous les sens, n'importe où, où la vie allait le mener, au bout d'un moment, il s'arrêta net, puis dégaina sa baguette magique qui se trouvait dans son sac.

Et, doucement, revint au point qu'il venait de quitter, pour voir ce qui pouvait bien avoir produit ce bruit. Au loin, il vit une silhouette bougée. Ne sachant ce que c'était, ou qui c'était, il brandit sa baguette et en dessinant à l'aide de sa baguette un cercle, suivit d'un trait horizontal, pour finir, par un vertical, plus court que le précédent, il s'écria "Petrificus Totalus" ! Ne sachant si son maléfice avait réussis, ou échoué, il se cacha derrière un de ces gros arbres qui se trouvait là et attendait, de voir comment ça c'était passé.

Après avoir lancer ce sort qu'il avait appris une semaine avant, il n'avait pas la moindre idée de si il avait réussis son coup. C'est pour cela qu'il décida d'aller voir d'un peu plus près. Il sortit de derrière son arbre et alla à la rencontre de cette chose qui avait bougé il y a quelques secondes plus tôt. Et voilà qu'il tomba nez à nez avec une personne, et après y avoir réfléchis il se dit, qu'il l'a connaissait. Mais oui, c'était Merit, la gryffondor, avec qui il avait déjà fait des bêtises ! Il lui adressa quand même quelques mots, sans même savoir si son sort avait eu les effets escomptés.

- Désolé Merit, je croyais que c'était une grosse bestiole ! Ca va ? dit-il d'un temps embarrassé.

Avec effroi , je regardai Darnel pointer sa baguette dans ma direction. Si il lançait un sort, j'étais mal. Ce n'est pas que j'avais peur, mais je n'avais pas envie de me prendre de plein fouet un sortilège alors que j'étais seulement venue là pour me balader. Mais apparemment , il ne semblait pas décidé à ranger sa baguette.

Quand il se mit à faire des mouvements avec cette dernière, je dégainais aussitôt la mienne de ma main libre afin de me défendre au mieux. Sauf que je n'eu pas le temps de lancer un sortilège à mon tour avant que celui que m'avait lancé Darnel ne m'atteigne. Je sentis le Petrificus Totalus me percuter violement, et lâchai de nouveau mon MP3 qui retomba par terre avec les écouteurs dans un bruit sourd. Mon corps perdit rapidement son équilibre, et je tombai contre un tronc d'arbre qui se trouvait derrière moi. Mais un tronc d'arbre, c'est pas mou comme un matelas. Alors quand tu tombe dessus, ça fait quand même très mal. Je gémis quand ma colonne vertébrale se mit à me faire souffrir à cause du choc.

Heureusement, je constatais avec soulagement que je commençai à bouger. Puis je me relevai lentement, les membres légèrement engourdis, au moment ou Darnel s'approchait de moi.

- Désolé Merit, je croyais que c'était une grosse bestiole ! Ca va ?

Une grosse bestiole. Est ce que sérieusement j'avais l'air d'être une grosse bestiole? Bah nan ! J'étais une sorcière par une créature des forêts qui rodait pour trouver son repas ou faire peur aux gens. Et en plus j'étais même pas grosse.
C'est donc contrarié d'avoir été victime d'un sort que je répondis, en serrant les dents :

-Ca va comme une personne qui vient de se prendre un Petrificus Totalus. Encore heureux que l'effet n'ait pas duré. Sinon, il y aurait eu des conséquences Darnel.

Je n'avais vraiment pas apprécié ce qui c'était passé. J'aurai très bien pu le dissuader de lancer le Petrificus Totalus en parlant, mais je n'avais pas réagi... Sentant des fourmis dans mon pied, je secouais ma jambe pour en arrêter cette sensation, et senti quelque chose de dur sous ma semelle. En regardant, je remarquai que je n'avais toujours pas ramassé mon MP3. Je me baissai donc pour le prendre dans la main et me relevai en m'appuyant contre un rocher. Le poufsouffle n'avait pas bougé d'un pouce. Alors je lui demandai :

-Qu'est ce que tu fais là ? Tu n'es pas en train de gambader dans le château aujourd'hui?

PV : Andrew Collins

Comme souvent les jours où elle n'avait pas cours, Charlotte ne se lava pas trop tard, histoire de profiter un peu du calme de la bibliothèque pour faire ses devoirs pour la semaine. Elle en avait relativement peu cette fois, mais elle avait donné rendez vous à ses frères et sœurs pour les aider un peu dans les leurs. Elle s'habilla, descendit prendre son petit-déjeuner et monta à la bibliothèque.
Il lui fallut à peine une petite demi heure pour terminer son travail, puis elle passa le reste de la matinée à donner des conseils à ses jeunes frères et sœurs. Elle aimait bien ces moments de complicité. Une fois leur devoirs achevés, ils se séparèrent, chacun ayant son propre programme pour la journée. Après le repas, Charlotte, qui n'avait plus rien a faire, se rendit dans le parc, histoire de prendre l'air.
Le temps était beau et l'air était doux. Parfait pour se balader dans l'immensité du parc. D'autres étudiants faisaient la même chose. Quoi de plus normal que de profiter de son week-end. Mais voir tout ces couples ou ces groupes d'amis la rendait un peu mélancolique. Elle n'avait presque pas d'amis. Il y avait bien quelqu'un, en dehors de sa famille, avec qui elle s'entendait très bien, mais ils ne se connaissaient pas depuis longtemps et elle n'allait pas lui demander de passer tout son temps avec elle. La solitude lui pesait un peu parfois.
Elle aperçu alors au loin étudiant qui marchait seul, et dont le visage lui disait quelque chose. C'était un étudiant de Poufsouffle. Andrew Collins. Elle le connaissait un peu. Ils s'étaient retrouvé à faire équipe dans un cours quelque temps auparavant, et le courant était plutôt bien passé entre eux. Ils avait pas mal discuté, tout en travaillant. Elle s'approcha de lui pour aller lui parler.

- Salut Andrew. Ça va ? Toi aussi tu profite du beau temps ?

Assez banal comme début de conversation, mais bon. Elle n'avait pas envie de passer toute l'après midi seule, aussi elle espérait qu'ils pourraient de nouveau passer un moment à discuter. Après tout, si elle voulait avoir des amis, il fallait bien commencer par quelque chose non ?

Cela faisait très étrange au jeune garçon de revenir à Poudlard, comme après chaque été en fait. Seulement voilà, durant tout l'été il n'avait reçu aucune lettres de sa petite amie, lui-même n'en avait pas envoyé et à vrai dire, Andrew avait passé l'été à rechercher ses parents à travers tout le pays vu que ceux-ci était apparemment toujours en vie. Cependant ses recherches furent sans succès. Il n'avait donc pas vraiment passé des vacances à se reposer, au contraire, il emprunta le rôle d'un vagabond sans maison en dormant là où il le pouvait, lorsqu'il le pouvait s'il le pouvait. Vous l'aurez compris, l'été du jeune Poufsouffle n'a pas été une partie de plaisir.
Désormais il était ici au château, dormant paisiblement dans lit à baldaquin, cela fut tellement agréable de retrouver un lit confortable pour dormir. Les quelques rayons du soleil qui frappèrent les vitres du dortoir réveillèrent instantanément le jeune Pouffy. Sur le coup, il ne savait plus où est-ce qu'il se situait dans la mesure où il était rentré à Poudlard seulement la veille ce qui avait brusqué ses habitudes de vagabond. Il fallait bien avouer que d'avoir passé 2 mois à fouiller tout le pays, avec l'aide de la technologie moldu, sans trouvé de trace de sa famille, le dégoûtait. Enfin bon, il était de retour à l'école de sorcellerie pour son plus grand plaisir.

Après avoir bien émerger et comprendre qu'il était à Poudlard, le jeune adolescent se leva, prit une bonne douche, s'habilla de manière estivale puis descendit à la Grande Salle afin de prendre un bon petit déjeuner. En buvant son café accompagné d'un croissant, il réfléchit au programme de sa journée et décida de reprendre quelques repaires en se réhabituant aux différents lieux que comportait cette école. Il souhaita également de se rendre au terrain de quidditch afin de se familiariser avec puisque le beau brun avait obtenu le poste de poursuiveur dans l'équipe de Poufsouffle.

Vacant aux différentes occupations qu'il s'était fixé comme objectif, se rendant d'un endroit à un autre, il reprit ses marque petit à petit. Andrew devait maintenant se rendre au terrain de quidditch. Quittant ainsi les serres de botanique, il traversa le Parc mais avant d'arriver au terrain, ses pensées furent interrompu par une voix qui lui paraissait familière. Relevant la tête en la penchant en direction de la voix en question, il vit un visage qu'il connaissait, celui de Charlotte quelque chose, il ne se rappelait plus du nom de famille mais peu lui importait, ce n'était pas très grave. Juste avant les vacances de l'été, ils avaient fait équipe durant le cours de potion et le feeling s'était plutôt bien passé. Discrètement ils avaient un peu bavardés tout en travaillant. La dénommée Charlotte, donc, se dirigea vers lui avec un grand sourire et prit la parole :

- Salut Andrew. Ça va ? Toi aussi tu profite du beau temps ?

Le beau brun lui rendit son sourire, content de revoir une amie, enfin ici c'était surtout une connaissance, lui qui avait vécu comme un solitaire pendant ses deux derniers mois. D'après ses souvenirs, la jeune femme n'avait pas tellement d'amie et lui était toujours prêt à s'en faire de nouveau, donc pourquoi ne pas passer le reste de la journée ensemble ? Après tout ils feraient connaissance.
En cette belle après-midi d'été le soleil était au rendez-vous et pour une fois, aucun nuages ne couvrirent le ciel, la température était plutôt agréable, l'après-midi s'annonça donc parfaite. Se raclant la gorge, il répondit à la jeune Serdaigle :

-"Hey salut Charlotte ! Je suis très heureux de te revoir depuis le temps."

Dit-il avec un grand sourire.

"Je suis rentré hier de vacances, ouais ça va, dégoûté que les cours reprennent mais bon c'est comme ça. Et toi ?"

Demanda t-il avec intention avant de reprendre.

"Ouais pi je reprend surtout mes repères, ne pas avoir mis les pieds ici pendant 2 mois ça fait toujours bizarre lorsqu'on reviens, même si je devrais avoir l'habitué après presque sept ans passé ici. Alors t'es vacances, raconte !"

Conclut-il sa phrase de manière enthousiaste.

Il se souvenait d'elle, c'était déjà un bon point. Leur rencontre ne remontait pas a très loin, mais en quelques mois, on oublie vite.
- Oui, c'est vrai que ça fait un moment ! Dit-elle en souriant.
Et puis, entre tout ce qui a pu se passer pendant les vacances et l'excitation de la rentrée... Charlotte était bien contente de retourner en cours. Non pas que ça lui avait fondamentalement manqué, mais elle était toujours avide de savoir. Et le retour à Poudlard signifiait aussi pour elle un retour au calme. C'est vrai qu'il faut toujours reprendre ses repères après une telle coupure.
- C'est vrai que ça fait un peu bizarre, mais ça revient plutôt vite en ce qui me concerne. J'ai déjà repris toutes mes petites habitudes.
Comme aller à la bibliothèque le matin de bonheur, par exemple.
- Mais je suis plutôt contente de reprendre les cours, si tu savais comme ça me change de l'agitation permanente à la maison. Au moins ici, j'ai un peu la paix.
C'était ça d'avoir plein de frères et sœurs. Surtout les petits. Elle avait beau les aimer de tout son cœur, un peu de calme ne faisait jamais de mal à personne.

Il lui demanda comment s'étaient passé ses vacances. Elle avait passé les deux mois d'été chez elle, principalement à s'occuper de ses frères et sœurs, puisque ses parents travaillaient la plupart du temps, et à prendre un peu d'avance dans son travail scolaire.En gros, ses vacances s'étaient déroulées de la même manière que tout les ans, rien de très passionnant, mais plein de bons moments, histoire de se ressourcer en famille.
- Eh bien, j'ai rien fait de passionnant, j'étais à la maison avec mes frères et sœurs, on a passé l'été à jouer au Quidditch, s'occuper du jardin, se baigner dans la rivière … Comme tout les ans quoi. Et on est aussi partis une semaine au Texas, voir mes grands parents.
Comme tout les ans aussi, depuis qu'ils avaient déménagés. Charlotte avait passé sa petite enfance au Texas, et une partie de son cœur était restée là bas. La semaine chez les grands parents était passée bien trop vite, mais elle avait été des plus agréables.
- Et toi, comment se sont déroulé les tiennes ? Demanda-t-elle sur le même ton enthousiaste.

Charlotte paraissait soulagée que le jeune élève l'ai reconnu. Andrew avait la chance d'avoir une bonne mémoire, bien qu'il fut de temps en temps tête ailleurs, mais bon c'était ce qui faisait son charme. Le Pouffy porta une oreille attentive à tout ce que lui raconter la jolie Serdaigle, au fur et à mesure qu'elle parlait, cela lui rappelait Nina et qu'il devrait songer à aller la voir avant qu'elle ne lui fasse une crise. L'été de la jeune femme semblait-être assez sympa, même si c'est ce qu'elle faisait tous les ans. Pour lui aussi, les repères revenaient vite, mais le fait d'avoir passé une été différent de celui des autres l'année l'avait fait prendre conscience de la réalité, la vie n'était pas un amusement constant et il fallait s'y contenter.
Une fois qu'elle fut finit de raconter son bref été, elle lui demanda comment c'était passé le siens. Non pas qu'il ne voulait pas lui raconter, mais il ne se sentait pas assez proche pour tout lui dévoiler. C'est vrai qu'elle s'était confiée mais leurs histoires n'étaient pas comparable.

Néanmoins, après mûre réflexion, se remémorant des quelques discussions entamées en cours, il compris que Charlotte était une personne de confiance. Avant de lui dévoiler une partie de sa vie, dont seule Nina était au courant, il arrangea son t-shirt, un peu "déformé" suite à une légère braise qui venait de s'installer. Il tenta de trouver comment raconter cela le plus brièvement possible, ce dernier avait suffisamment souffert en racontant toute cette histoire à sa petite-amie et en souffrit d'avantage en les recherchant cet été. Les deux compères étaient debout, près d'une arbre, au bout milieu du Parc. C'est alors qu'il décida de s'asseoir et fit signe à Charlotte de faire de même. Ce geste, si minime soit-il, montrait en réalité que ce qu'il avait à dire était assez long. Ce message était plutôt subtile mais bien réfléchit. Voyant au loin le terrain de Quidditch, son esprit s'y rendit, jouant alors parmi d'autres joueurs et imaginant la victoire des Pouffy au prochain match, tant dis que son corps resta ici, avec le Serdy.

-"J'ai pas très envie que sa se sache, seule ma petite-amie est au courant donc tu dis rien."

Dit-il d'un clin d’œil et d'une voix calme.

"En gros très jeune, un groupe de sorcier est venu chez moi, avec mes 2 frères ont à fuit la maison familial sous ordre de mes parents. Puis un eu plus tard, on se sépare pour être sur de ne pas être attaqué. Et je n'ai jamais revu mes frères ni mes parents. J'ai crus qu'ils étaient morts mais avant les vacances j'ai reçu une lettre des ravisseurs de mes parents, sans doute ceux qui se sont introduit chez nous quand j'étais petit, et donc cet été j'ai décidé de partir à leur recherche mais je n'ai trouvé aucune trace d'eux."

Conclut-il sa triste histoire d'une voix rauque.

Secrètement, il espérait pouvoir se confier un peu plus souvent à Charlotte. Certes, Nina serait toujours présente à ses cotés, mais il est toujours bon d'avoir une présence, autre que sa compagne, à qui raconter des choses. La Serdaigle semblait être attentive à ses propos. Seulement, il ne souhaitait pas s'imposer et il ne souhaitait pas non plus que l'on compatisse pour lui et que l'on passe des heures sur son triste passé. Il devait à tout prix changer de sujet, sinon Andrew passerait pour quelqu'un qui se plaint à chaque personne qu'il rencontre, comme s'il cherchait à devenir intéressant.

-"Tu a songé à faire partie de l'équipe de Quidditch de ta maison ?"

Demanda t-il simplement lorsque ses yeux se tournèrent une nouvelle fois en direction du terrain.

RP avec Anthony Adams.

[HRPG : Avec l'autorisation d'Anthony pour son libre-arbitre]

Le soleil était encore haut dans le ciel. C'était un après-midi plutôt sec et plutôt chaud. C'était d'ailleurs étrange pour un après-midi du début d'automne. Le parc était calme. Et c'est là que se produit une scène plutôt drôle. Il y avait un garçon traînant une fille par la main. La fille n'avait pas l'air très rassurée, et le garçon plutôt déterminé vers là où il allait. Et c'est ainsi qu'ils arrivèrent dans ce coin un peu excentré, où les gens allaient rarement. Tout était calme et serein. Et puis, on entendait le chant des oiseaux.

Anthony lâcha la main de Liv. Celle-ci en profita pour regarder. Elle n'était jamais venue ici. En même temps, elle sortait rarement de la Bibliothèque, en témoignait son teint très blanc. Alors pour venir ici. Elle s'autorisa un tour sur elle -même pour contempler l'endroit. L'herbe était très verte, et avait l'air vraiment douce. Peut-être prendrait-elle le temps de s'y allonger, un jour. Elle se tourna vers le Poufsouffle et s'adressa à lui :

-Pourquoi tu m'as emme....Argh !

Elle s'était sentie tomber à terre, tirée par le bras. Et elle était tombée à terre. Elle regarda vers Anthony, qu'elle découvrit tranquillement installé sur l'herbe. Il lui adressa un grand sourire. Elle lui lança un regard interrogateur.

-Tu te serais probablement jamais installée. Expliqua-t-il.

Et il s'allongea, profitant du soleil automnal. La jeune Poufsouffle hésitait à faire de même. Pourtant, ça avait l'air très très confortable. Mais quelle impression donnerait-elle ? Celle d'une fille qui préférait dormir dans l'herbe plutôt que travailler. Elle en était sure. Mais en même temps, si elle fuyait maintenant, Anthony penserait qu'elle était pauvre fille incapable de s'amuser. Ou ne serait-ce que de profiter de la vie. Le choix était compliqué. Et l'herbe avait l'air si confortable...

Allez tant pis. Liv céda à la tentation et s'allongea doucement. En effet, c'était plutôt sympa. Elle n'était certes pas très à l'aise, mais elle se surprit à apprécier le moment. Elle était là, au milieu du parc, allongée à côté d'un garçon qu'elle connaissait depuis à peine une heure. Elle aurait dû être à la bibliothèque, à s'arracher sur sa Métamorphose. Elle laissa échapper un petit rire à cette idée. Quelle idée d'aller s'enfermer là bas, alors qu'on était si bien ici...On entendait même les oiseaux.

Elle se retourna vers Anthony et s'adressa à lui, doucement, comme pour ne pas déranger les oiseaux qui piaillaient autour :

-Honnêtement, pourquoi cet endroit ?