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Le comptoir
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Anthony Adams
Anthony Adams
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Matière optionnelle : Étude des moldus

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Le comptoir
Anthony Adams, le  Dim 31 Mai - 19:44

Vous venez d'entrer dans la plus célèbre boutique de baguettes magiques d'Angleterre :

OLLIVANDER'S

Bienvenue ! Si vous avez réussit à pousser la porte c'est que vous êtes dans le Chemin de Traverse, la grande rue commerçante, spéciale sorciers. Vous êtes peut-être rentrer par le chaudron baveur ou arriver par poudre de cheminette, mais dans tous les cas, aujourd'hui, vous vous êtes dirigés d'un pas décidé (ou pas) vers la partie Sud du Chemin pour y trouver une grande bâtisse avec une devanture flamboyante annonçant fièrement "Ollivander's - Fabricants de baguettes magiques depuis 382 avant J.-C" et une énorme façade en bois de rose vernis. Pas de doute, vous étiez bien devant Ollivander's ! La grande porte en chêne que vous venez de pousser mesurait près de deux mètres et était encadrée de deux tout aussi grandes vitres vous permettant d'apercevoir l'intérieur de la boutique. Mais n'essayez même pas de les casser. Même avec toute la volonté du monde vous n'y arriverez pas puisqu'elles étaient solidement protégées de toutes effractions grâce à des sortilèges de solidité. Ne pensez pas non plus transplaner directement à l'intérieur, puisque Antho avait placé un Anthemius Vocania, empêchant tout transplanage direct dans un périmètre d'une dizaine de mètres autour de la boutique. Izsa, avait aussi rajouté son grain de sel. Si, par miracle, vous avez réussit à entrer dans la boutique par effraction, vous serez surpris par une alarme magique, sonore et lumineuse qui vous aveuglera en plus de vous exploser les tympans. En plus de cela, elle avait rajouté un Salveo Maleficia empêchant tout sortilège de toucher directement la boutique. Enfin, en cas d'accident, puisque la boutique était tout de même relativement inflammable, Anthony avait utilisé les détecteurs de fumée avec diffuseur d'eau moldus, pour empêcher tout feu de se propager. Les premiers réglages avaient d'ailleurs été un peu délicats, puisqu'il arrivait régulièrement que des jeunes sorciers fassent cramer légèrement le comptoir en testant leur baguette, inondant ainsi la boutique. A présent, les détecteurs sont bien réglés et se déclenchent uniquement pour un feu durant plus de cinq secondes. Vous ne risquez donc plus de prendre une douche en venant acheter une baguette.

En entrant, la première chose que vous verrez c'est un grand tapis en velours d'environ 10 mètres ; de couleur beige (oui, Anthony avait enfin changé ce moche tapis pêche) recouvrant une grande partie de la boutique, de la porte, jusqu'au comptoir. Ainsi, tous les bruits étaient étouffés, les talons ne produisaient pas les "tac tac tac" agaçants et les gamins surexcités courant partout ne détruisaient pas le parquet...

Si vous osez entrer, après avoir poussé cette porte - car oui, vous pouvez rentrer - vous verrez un intérieur chaleureux, un parquet en bois clair et des spots illuminant chaleureusement la boutique. D'ailleurs, en ouvrant la porte, vous avez sans doute entendu le léger tintement d'une clochette en argent annonçant votre arrivée. Sur le comptoir, vous y trouverez une pile de parchemin, que vous pourrez tranquillement remplir sur les chaises disposées un peu partout dans la boutique, aidé d'un mètre-ruban magique qui fera les mesures pour vous. En hiver, vous pourrez même vous réunir autour de la cheminée en attendant qu'un vendeur ou une vendeuse vous prennes en charge. Si vous regardez au fond de la boutique, vous y verrez d'innombrables étagères. C'était là où toutes les baguettes étaient entreposées, dans des petites boites émeraudes. Ici, il y avait forcément une baguette qui vous correspondait. Peut-être, vous attendait-elle depuis 10, 20 ou même 30 ans ! Qui sait ? Si vous êtes vraiment curieux et attentif, vous pourrez voir une porte derrière le comptoir. Cette porte menait directement à "l'arrière boutique". Un endroit de calme uniquement réservé aux vendeurs où ils pouvaient se reposer, faire les comptes où tout simplement boire un café. Oui, les employés d'Ollivander's étaient accroc au café.

En bref, Ollivander's était une boutique où il faisait bon vivre et où le client était accueillit chaleureusement.

Nota Bene : Un vendeur se trouvera toujours derrière le comptoir pour s'occuper de vous !

Plan de la boutique:
-------------------------

Merci de lire ce sujet avant de poster.

Amicalement,

Le Staff d'Ollivander's.


Dernière édition par Anthony Adams le Sam 10 Déc - 11:29, édité 4 fois
Anthony Adams
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Re: Le comptoir
Anthony Adams, le  Sam 31 Mar - 0:30

Ollivander's
Sorciers en attente d'un.e vendeur.euse : Nora Malone ( to Isza )

Réponse n°1
Première baguette

Avec Flora Blackrose, George Smith, Héléna Z. Winchester & Wyatt Langton




Anthony était donc à la boutique. Comme tous les jours vous allez me dire. C'est vrai. Je dirais même plus. C'est pas faux. Mais ça n'avait aucun rapport avec la Bretagne, donc pourquoi on en parlait hein ?

Ah oui. Pas le choix. Parce qu'il y avait quatre nouveaux clients. Et qu'il fallait parler de ces 4 nouveaux clients venant d'entrer dans la boutique. Ne vous méprenez pas. Anthony n'en avait rien à f*utre de vos vies aujourd'hui. Lui, tout ce qu'il voulait, c'était... Dormir. Ouais. Dormir. Le mauvais temps avait cet effet sur lui. Ça le fatiguait. Grisaille, grisaille, neige, grisaille, grisaille. Cela faisait beaucoup trop longtemps que ça durait. Et comme tous les ans à cette période, il était crevé et démotivé de tout. Et il avait pas particulièrement envie d'être là, devant vous. Ce n'était pas contre vous. Ni contre votre personnage. Non. C'était juste Anthony. Et c'était la période. Mais, le propriétaire d'Ollivander's était du genre pro. Du coup, il allait vous accueillir avec le même sourire commercial que d'habitude. Il allait vous accueillir avec la même phrase que d'habitude. Avec le même air enjoué que d'habitude.

- Bonjour et bienvenue chez Ollivander's ! La plus belle boutique du Chemin de Traverse !

Là, il était à deux doigts de vous dire d'aller vous faire f*utre. Comme ça. Juste parce qu'il n'avait pas envie de travailler. Mais bon il n'avait absolument aucune raison de vous dire ça, puisque vous étiez toouuus des clients modèles. Par client modèle bien sûr, il entendait client un peu [Diantre ! Langage !], disant pas bonjour (ou occasionnellement) et vous prenant pour un robot qui se devait de répondre à la moindre de vos attentes. Un client modèle quoi. Le modèle classique. Le modèle éco + même. Avec le minimum d'option et le minimum de savoir-vivre. Bref.

À l'aide de la manumagie, le propriétaire d'Ollivander's récupéra tous les parchemins sans même bouger du comptoir et sans même sortir sa baguette. Aaaah que c'était pratique la magie. Après avoir récupéré les quatre parchemins de nouveaux, Anthony se dirigea dans les rayonnages en signalant aux clients qu'il allait revenir dans quelques instants avec une suuuublime baguette les ayant choisi. M'enfin le petit topo classique quoi. On ne changeait pas une équipe qui gagne. Puis débiter les mêmes paroles avaient cet avantage de pouvoir se mettre en mode automatique. Pratique quand on en avait marre. Après avoir déambulé au milieu des rayonnages Anthony avait à présent 4 baguettes qu'il faisait léviter devant lui grâce à ses deux mains. L'équilibre était plutôt stable. Plus ça allait, plus il maitrisait cette aptitude. Cependant, il n'arrivait toujours pas à informuler... Cette fameuse dernière étape qui ferait de lui un vrai manumage. M'enfin, ne déblatérons pas là-dessus. La vie d'Antho était de toute façon aussi intéressante que la vôtre. C'est dire à quel point tout le monde s'en f*utait.


- Voilà pour vous ! ah oui, il était arrivé au comptoir en fait. De gauche à droite, nous avons la baguette de Flora, George, Héléna et enfin Wyatt. Quelle que soit la prononciation d'ailleurs. Il avait parfaitement bien prononcé Wyatt. Évidemment.

Dans les boites, il n'avait glissé pas la description de chacune des baguettes. Il l'avait fait exprès pour qu'ils ne puissent pas lire les composants avant de tester. Certains se disaient que certains composants n'étaient pas digne d'eux... Et passaient à côté de la baguette parfaite.

- Testez votre baguette simplement avec le geste, sans essayer de formule. Et si elle vous plait, cela vous coutera 10 Mornilles.

Z'avez vu cela se voyait pas qu'il avait envie de vous mettre dehors à grand coup de Bombarda... En même temps, les Bombardas risquaient d'abimer sa boutique. Fallait pas déconner.

Passe ici ta souris.
↓  ↓  ↓
Pour : Flora Blackrose
Bois : If
Composant : Plume de Chouette
Élasticité : Peu souple
Taille : 21,51cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]



Pour : George Smith
Bois : Houx
Composant : Peau de Strangulot
Élasticité : Relativement souple
Taille : 23,88cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]



Pour : Héléna Z. Winchester
Bois : Frêne
Composant : Plume de Chouette effraie
Élasticité : Légèrement rigide
Taille : 22,66cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]



Pour : Wyatt Langton
Bois : Bouleau
Composant : Poil de Boursouflet
Élasticité : Agréablement élastique
Taille : 24,16cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]





Jake Clavond
Jake Clavond
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Année à Poudlard : Cinquième année

Matière optionnelle : Médicomagie

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Le comptoir à conserver
Jake Clavond, le  Sam 31 Mar - 2:20

Je m'étais levé tôt ce matin là, j'étais le premier debout. Je me suis glissé hors de mon lit et je suis parti prendre ma douche. Une fois sorti je me suis coiffé, habillé et brossé les dents. Puis j'ai préparé le petit déjeuner pour moi et Roman, deux oeufs sur le plats, du pain grillé et du bacon.  Bien sûr j'ai rempli le bol de croquettes de Balto. Lorsque Roman se leva nous mangeons et nous nous sommes préparés à partir. J'avais promis à mon frère de lui montrer le monde des sorciers un jour et ce jour là était arrivé. J'avais prévu d'aller acheter ma baguette, j'avais cassé la mienne en venant en Angleterre il fallait donc que j'en achète une nouvelle.

J'ai mis mon blouson, et nous sommes sortis tous les trois. Roman, Balto et moi marchions pleins de joie vers le bar nommé " Le Chaudron Baveur". Nous sommes entrés, le bar était sombre mais nous ne sommes pas rentrés, nous sommes allés dans la cour de derrière et nous avons suivi le protocole pour nous rendre sur le Chemin de Traverse.  

Je pensais que j'allais surprendre mon frère lorsqu'il découvrirait le monde magique et que j'aurais pu rire de lui mais  je n'ai pas pu car nous étions tous les deux subjugués par ce qui se passait devant nous. Je n'y croyais pas, une telle agitation et se dire que ce n'était que des sorciers. Il y avait devant nous une longue rue pavée bondée de monde. La rue montait légèrement et tournait sur la droite. Il y avait de tous les types de personnes, des hommes, des femmes, des grandes, des petits, des minces, des gros, des musclés, des bruns, des blonds, des couleurs originales, des toutes les couleurs de peau. C'était un groupe très hétéroclite.

Roman n'en croyait pas ses yeux, il avait les yeux qui pétillent, un vrai enfant. On s'est regardé, on s'est souri et on a su qu'on allait passer une bonne journée. Même Balto sentait que l'endroit était plaisant, sa queue balançait de gauche à droite.

Nous avons commencé à nous balader sur la rue. Nous sommes passés tout d'abord devant un magasin de Quidditch. Roman était subjugué par le fait que les balais tenaient seuls,  qu'il y avait deux balles enfermées dans une cage qui se fonçaient dans tous les sens. Je lui ai expliqué que ces balles étaient des cognards, je lui ai donc expliqué un peu plus le Quidditch et nous avons fait un tour dans la boutique. Une fois sortis, mon frère, qui d'habitude est assez distant du monde des sorciers voulait tout découvrir.

Ensuite, nous sommes passés devant une animalerie, enfin, nous sommes allés dans une animalerie. Nous avons pu voir des chatons mignons, des boursouflets, des furets, des chiots et des créatures plus magiques et mignonnes les unes que les autres. Roman était fou des bestioles et les clients étaient fasciné par Balto, ils pensaient tous que c'était un loup. Les enfants au départ effrayés venaient tout doucement et lorsqu'il voyaient que mon cher compagnon était aussi doux qu'un agneau, il jouaient un peu avec. Nous avons bien passé une heure dans cette boutique.

Puis nous nous sommes mis d'accord pour manger car nous avions faim. Nous sommes restés une heure tranquillement à déjeuner et discuter. Il m'a posé des questions, j'ai répondu à ce que je pouvais. Le restaurant a été très sympathique d'accepter Balto dans le restaurant avec nous.

Dans l'après midi nous avons décidé de nous rendre vers la boutique de baguettes mais comme je le sentais, nous nous sommes arrêtés dans une boutique de farces et attrapes et de friandises. Je lui ai acheté quelques friandises de sorciers telles que les dragées surprises de Bertie Crochue, des chocogrenouilles, des patacitrouilles, des baguettes magique à la réglisse et des fizwizbiz.

Nous nous sommes ensuite arrêtés dans un magasin de matériel de potion, nous ne sommes pas restés longtemps car cela ne nous intéressait pas énormément, donc nous sommes partis vers la boutique célèbre pour ses baguettes.

Nous avons poussé la porte, il était assez clair que le lieu n'était pas récent. Nous sentions que c'était un lieu ancien mais cela ne nous empêcha pas de nous sentir bien. Nous nous sommes approchés du comptoir quand Roman à vu une feuille qui annonçait de remplir ce petit formulaire avant de s'adresser à l'employé à l'accueil.

J'ai pris un formulaire, je l'ai rempli :

Formulaire pour Baguettes:


Puis je me suis approché du comptoir, j'ai regardé la personne de l'autre côté de ce comptoir et je lui tends mon formulaire.


"Bonjour, j'aimerais acheté une baguette."
Aspen Woods
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Re: Le comptoir
Aspen Woods, le  Sam 31 Mar - 18:44

Quand j'étais petite, je redemandais toujours la même histoire à mon père. J'adorais qu'il me parle de la première fois où il mettait les pieds dans la boutique de baguettes la plus célèbre de Grande-Bretagne. Je riais quand il me racontait, maintes et maintes fois, combien le stress l'avait conduit à essayer quatre baguettes différentes avant de trouver celle qui l'accompagnerait à Poudlard. Le soir même, je m'amusais à imaginer pendant des heures à quoi ressemblerait la mienne. Dans mon carnet, je gribouillais des prototypes de la baguette idéale. Petite, grande, tordue ou bien droite, j'envisageais plusieurs possibilités.

Le jour où j'allais obtenir la mienne était enfin arrivé. Je n'avais pas dormi de la nuit et mes yeux s'ouvrirent avant même que surgisse l'aube. Discrètement, je prenais une douche, nouais mes cheveux en tresse avant de déposer un joli fard doré sur mes paupières. Je tenais à être présentable pour ce moment tant attendu. Rapidement, je descendis dans la cuisine pour avaler quelques cuillères de pudding et un verre de jus de tomate. Mon père s'activait déjà dehors à arracher les plantes mortes du jardin. Il me vit, et ni une, ni deux, nous partions pour le Chemin de Traverse.

Quand nous arrivâmes, je ne savais plus où poser les yeux. Entre les balais brillant en vitrine, les sucreries colorées présentées sur des chariots et les effluves aux mille saveurs émanant des boutiques, j'étais emplie d'excitation.

- "Alors, ravie ?", me demandait mon père.
- "Et comment !", répondis-je. "C'est juste...merveilleux !"

Nous avançâmes dans l'une des rues pavées et bordées de boutiques s'étendant à perte de vue. J'observais les gens autour de moi : leurs accoutrements étaient toujours plus originaux et colorés. Je souriais à la vue d'une petite chouette brune avant de sursauter face à un énorme hibou dont le temps avait abîmé les plumes.

-"Nous y sommes, jeune fille !", s'exclamait mon père.

Je levais les yeux sur un grand écriteau : "Ollivander's". Je rentrais dans la boutique, malgré la poussière et le manque de lumière qui la remplissaient.

- "Il y a quelqu'un ?", questionnais-je.

Soudain, je sentis un objet glisser le long de ma colonne vertébrale. Je devinais qu'il s'agissait d'un mètre magique. Sur le comptoir, un formulaire me demandait d'indiquer certaines informations :

Prénom & Nom : Aspen Woods
Caractère : Curieuse, créative, timide, romantique, aventurière
Longueur de vos bras : 49 cm
Taille : 170 cm

Une fois le formulaire rempli, j'attendis patiemment que quelqu'un réponde à ma demande.
Eileen I. Hilswood
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Serpentard
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Re: Le comptoir
Eileen I. Hilswood, le  Dim 1 Avr - 22:19



Désolée à tous pour le retard, j'ai et j'avais pas mal de projets à rendre ces derniers temps
Navrée également pour la qualité des RP, j'ai un peu la tête dans le guidon


Réponse à Lizzie



En réalité, Lizzie n'avait pas vraiment d'idée derrière la tête, quand elle lui avait fait sa demande. Izsa avait tellement l'habitude d'avoir des clients aux envies précises qu'elle en oubliait les incertitudes, les imprévus ou bien même le hasard. Il fallait dire que le formulaire était quand même vachement précis, pour quelqu'un ni n'avait pas si fixé que ça.

Mais du coup, si elle avait carte blanche niveau suggestions, son inventivité pouvait faire son office. Elle plissa les sourcils, comme si les muscles de son front étaient reliés à ses neurones. Alors, comment intégrer la baguette à une canne sans perdre le style de la première ?

- Un compartiment secret ? elle proposa, sortant la phrase directement de ses réflexions sans avoir pris le temps de contextualiser. Parfois, elle oubliait que les gens ne pouvait pas lire dans son esprit pour suivre ses raisonnements. Aux Halles, ils pourraient sans doute préparer une canne avec un compartiment spécial au bout. Moi je la modifie un peu, histoire de bien faire passer la magie dedans. Comme ça, il peut soit utiliser la canne, soit sortir la baguette et l'utiliser normalement si c'est trop encombrant.

Dans la tête d'Izsa, elle imaginait un petit mécanisme moldu avec un ressort. Il y avait peut-être moyen de faire un truc moins rudimentaire, avec un peu de magie dans la valeur ajoutée.




Réponse à Asclépius





Izsa n'avait jamais autant eu l'impression d'être conseillère matrimoniale. Le parallèle entre les relations amoureuses et la relation d'âmes sœurs entre le sorcier et sa baguette, ça elle l'avait déjà fait. Plus d'une fois, et pas en étant très originale, en plus. Cependant, cette fois-ci, cette impression venait vraiment de la question du client. "Vous pensez que ça pourrait marcher entre nous ?"

Allez, je vous déclare mariés, passez vous la bague au doigt et embrassez-vous, manqua-t-elle de dire. Il n'y avait pas meilleur juge de cette question que la personne tenant la baguette entre ses mains. Si lui, il disait que ça lui convenait, et si la réciproque semblait vrai, il n'y avait pas à chercher plus loin. En plus, il avait fait apparaître un patronus corporel (Patronus particulièrement original, au passage). Ça n'était pas infaillible à 100%, mais ça restait de la magie de haut niveau. Il fallait une certaine communion entre le sorcier et sa baguette pour parvenir à le lancer.

Izsa lui offrit donc un sourire convaincu, bien qu'elle aurait préférer le secouer comme un prunier jusqu'à ce qu'il se rende compte que ce n'était pas à elle de répondre à une telle question.

- Ça à l'air parfait, de mon point de vue. Et puis, comme elle ne perdait pas le Nord, elle ajouta : ça vous fera vingt et un Gallions et quatre Mornilles.

C'était pas donné, ah ça non. Elle l'avait prévenu avant, donc bon elle ne s'attendait pas non plus à ce que cela pose problème.

Pour : Asclépius Underlinden
Bois : Tilleul argenté (10 Gallions)
Composant : Corne de Runespoor (10 Gallions)
Élasticité : Très élastique (8 Mornilles)
Taille : 23.25 cm (13 Mornilles)
Sculptée en forme de Runespoor
Prix : 21 Gallions et 4 Mornilles
[Compte Vérifié]





Réponse à Ariana
Désolée de ne pas pouvoir proposer une version finale de la baguette, je n'ai pas trop eu le temps de dessiner ce mois-ci


En voyant la jeune femme arriver, le vendeuse sourit discrètement. Elle avait hâte de découvrir ce que l'alchimiste avait préparé : il n'y avait rien qui illuminait plus sa journée que de fabriquer quelque chose d'innovant, d'inédit. A vrai dire, cette histoire la mettait de tellement bonne humeur qu'elle parvenait à oublier le passé un peu plus sombre qu'elles avaient en commun.

- Bonjour, la salua-t-elle, puis elle lui montra la baguette dans sa version -presque- final.

Sur le bout du manche pendait un fil d'or, un peu plus long que sur le dessin. Elle expliqua :

- Il n'y a plus qu'à enrouler l'extrémité du fil autour de votre pendentif, puis les souder ensemble. Avec ça, ils devraient être parfaitement lié.

Izsa comptait sur les quelques propriétés de l'or qu'elle connaissait pour que l'objet transmette sa magie à la baguette à laquelle il serait lié. Ça n'était pas une science exacte, mais ça n'était pas le hasard total, non plus.

Elle saisit ensuite le pendentif pour le scruter avec curiosité. Sa propre méconnaissance du latin et des symboles magiques la frappa. Elle connaissait bien le "Omnia" qui signifiait tout, et reconnu vaguement le symbole d'une planète, à partir de ses souvenirs d'astronomie. Mis à part cela, elle n'avait diablement aucune idée de ce que cette création pouvait bien signifier. Du coup, pour la première fois depuis... oh là, aucune idée... elle posa une question à un client qui n'avait aucun rapport avec le fait de lui trouver une baguette. Juste pour savoir.

- Que représente ces symboles ? Ils ont quoi, comme propriétés alchimiques ?

Pour : Ariana Hastings
Bois : Rosier (10 Mornilles)
Composant : Feuille d'Or (10 Mornilles)
Élasticité : Légèrement élastique (8 Mornilles)
Taille : 28.50 cm (13 Mornilles)
Manche : Incrusté d'or, Bombé, < 5cm (2 Gallions)
Prix : 4 Gallions et 7 Mornilles
[Compte Vérifié]



Réponse à Elly



Comme elle s'en doutait un peu, la baguette pour son compagnon était destinée à être offerte en cadeau, et donc en surprise. C'était pas étonnant en soi, par contre c'était pas très pratique pour l'occasion.

- Oh oui, vous pourrez la modifier par la suite, ou bien l'échanger. Par contre il y aura sans doute des frais supplémentaires... Désolée pour ça.


Il fallait vraiment espérer que la baguette de cèdre serait la bonne. Izsa ne pensait pas qu'elle pourrait convenir à tant de sorciers que cela, alors soit elle serait vendue à cet Evan Lival, soit elle continuerait à prendre la poussière pour un temps indéfini.

L'Animagus, de son côté, était partie pour essayer les deux baguettes qu'elle lui avait soumise. L'artisane avait bon espoir, malheureusement celui-ci s'ébrécha légèrement quand le première instrument fut essayé, puis reposé, sans que rien de convaincant n'ai eu lieu. Il restait encore un essai, certes, mais... si elle avait fait fasse route ?

« Combinaison … parfaite »

Elle avait la baguette de sorbier entre les mains, qui émettait la lumière d'un Lumos perçant. Le sourire de la jeune femme fut communicatif, et la même expression ravie éclaira le visage d'Izsa.

- Parfait, alors !

Petite pause pour savourer l'instant. Reprise :

- Laissez-moi jusque la fin de la semaine, et son apparence sera en accord avec sa force intérieure. Son plumage en raccord avec son ramage, quoi, pour faire de l'analogisme moldu. Je devrais pouvoir faire en sorte que les deux baguettes soient jumelles d'apparences, vu qu'elles le sont déjà de cœur.

En disant cela, Izsa réalisa qu'il n'y avait en réalité aucune chance pour que la baguette ne corresponde pas au compagnon de la jeune femme... Du moins si ils partageaient bien une relation proche et sincère, telle que la cliente le laissait deviner. C'était le genre de lien qui ne pouvait être forcé, mais qui ne pouvait pas non plus être brisé.



Réponse à Noreb



Izsa était perdu dans les méandres de son propre cerveau. Cela lui arrivait régulièrement, si bien que parfois son corps bougeait sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi, ce qu'elle faisait là, ou bien m*rde qu'est-ce que j'ai fait de la tasse de café que j'avais dans les mains ?
Répondre aux requêtes des premières années, c'était typiquement le genre de chose qu'elle faisait avec un quart de cerveau allumé. Elle aurait pu lire un traité de métamorphose et écouter un disque en même temps, tout en cherchant sa tasse de café.

Intrigante

Le système reboota, l'algorithme reboucla. Nora Malone, gamine de onze ans, qui se définissait elle-même comme "Dissipée, intrigante, amicale". Izsa leva la tête pour dévisager la petite rousse, un sourcil levé, plus sceptique qu'intrigué.

Qui donc s’autoproclamait intrigante ? Dans la vraie vie ? C'était comme quand ils disaient "mystérieux" ou "intelligent". Ils devraient laisser ça à des gens aptes à en juger, à savoir juste pas eux-même. L'objectivité, ça, c'était une vraie qualité. La preuve, notre Hilswood était l'objectivité même, d'ailleurs elle avait l'objectivité de reconnaître son propre orgueil. CQFD.

- D'accord, Nora, dit-elle d'une voix qu'elle voulait neutre mais qui avait des teintes de jugement assassin. Je vais te trouver une baguette à ta mesure.

Ou alors, c'était peut-être le deuxième sens à ses mots qui était assassin.

Bizarrement, les pas de la vendeuse la menèrent à l'étagère contenant des baguettes de séquoia. Bizarrement, parce que c'était un bois pas spécialement précieux ou aux capacités exceptionnelles, cependant il était rare qu'il trouve propriétaire. Et bizarrement bis, parce que c'était le bois que notre protagoniste se désignait à elle-même pour plus tard. A croire que le quart de son cerveau qui réfléchissait à la question avait trouvé un lien entre elle et cette gamine rousse.

- Voilà pour toi, dit-elle en revenant quelques instants plus tard. Focifère et Séquoia... par curiosité, elle regarda la provenance exacte du bois. King Arthur, Séquoia géant de Californie, quoi que cela change. Légèrement souple, vingt -cinq centimètres et demi, acheva-t-elle enfin.

Elle présenta la baguette de bois rouge face à la cliente, l'invitant à la prendre. Le plus étonnant, dans l'histoire, c'était qu'elle n'en avait pas totalement rien à cirer, de cette gamine. Serait-elle véritablement intrigante, ou bien on partait plutôt sur de l'effet Pygmalion des familles ? Izsa préférait la seconde option, parce qu'elle préférait accepter ses propres biais cognitifs plutôt qu'admettre qu'un enfant ayant moitié moins d'années qu'elle puisse avoir raison.
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Re: Le comptoir
Invité, le  Mar 3 Avr - 16:24

Cassandra n’avait jamais mis les pieds sur le Chemin de Traverse, la fillette avait passé son enfance dans le jardin de sa nourrice voir son salon les jours pluvieux. Malgré son statut de sang-pur, ce fut un nouveau monde qui s’ouvrit à la brune lors de l’ouverture du mur de briques du Chaudron Baveur. Les prunelles écarquillés, l’enfant observa sa nourrice l’accompagnant pour l’occasion. Les premiers achats scolaires avant d’entrée à Poudlard étaient une étape importante dans sa vie de sorcière. Depuis la réception de sa lettre, Cassandra attendait le moment de sa venue en ces lieux. Surtout pour visiter sa boutique préférée même si elle n’avait jamais mis le nez dedans encore : la boutique d’animaux magiques.

La foule avait envahi les allées, chaque personne portait son lot de fournitures pour leur progéniture. Il était difficile de circuler et de ne pas se perdre, surtout quand une pile électrique vous faisait courir partout. Beth eu bien du mal à canaliser l’excitation de la fille en robe jaune qui se fichait bien de la liste donnée par le château. Elle préférait se ruer sur chaque devanture en quête de trouver son Graal. Bousculant les gens sur son passage sans prendre le temps de s’excuser, personne ne réprimanda ce Soleil en robe jaune se faufilant entres eux. Sa pauvre accompagnatrice peinait à suivre le rythme effréné imposé, ce n’était plus de son âge. Cassandra s’arrêta enfin, laissant un moment de répit à Beth pour la rattraper.

« Tu pourrais m’attendre Cassandra, je ne suis plus toute jeune. », tenta-t-elle de réprimander la demoiselle.
« Oui pardon. Regarde je l’ai trouvé, la boutique d’animaux magiques ! Viens on entre, me faut un facteur pour t’écrire ! »
Beth soupira, la petite semblait déjà avoir oublié son engagement.
« On ira lorsque tu auras tout récupérer pour l’école, c’était le deal souviens-toi. Si tu n’es pas sage, je te ramène à la maison et je m’occupe moi-même des achats. Et adieu le volatil ! », la gronda-t-elle.

Résignée à obéir pour espérer découvrir l’intérieur de cette échoppe, ce fut la tête baissée que Cassandra saisit la main de son ainée. Les deux femmes marchèrent calmement désormais, elles prirent la direction de chez Ollivander’s, le célèbre magasin de baguette. L’acquisition de ce morceau de bois était une étape primordiale dans la vie d’un sorcier, Cassandra s’apprêtait à recevoir sa meilleure amie pour les sept ans à venir.

Mécontente de l’ambiance veillotte de l’établissement, la fillette fit la queue en attendant son tour. Le brouhaha la dérangea, non par les bruits émis mais par la source. Les humains ne valaient pas les animaux, ils piaillaient souvent pour rien. Désirant sortir d’ici au plus vite, elle remplit son formulaire et laissa faire le ruban magique prendre des mesures sans broncher. Après une éternité à ses yeux, ce fut enfin à elle d’être servie. Heureuse de se trouver devant sa.son sauveur.euse, elle lui offrit son plus beau sourire pour la remercier d’avance de la libérer de cette prison.

« Bonjour, je viens acheter ma première baguette. Tenez, je crois que vous allez avoir besoin de dis ça. » affirma-t-elle en déposant son écrit sur le comptoir.

Formulaire:
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Re: Le comptoir
Invité, le  Mar 3 Avr - 19:57

@Izsa


Isabelle Hollywood en face lui fit un grand sourire plein d’étoiles et de lumière (du moins, c’est ainsi qu’il le percevait), inspirant les figues et l’écorce au petit matin. Ça voulait dire que c’était positif, alors ? Que cette baguette et lui… Il pouvait y avoir quelque chose ? Déjà, il pouvait y avoir un patronus, sort qu’il parvenait enfin à maîtriser, ce qui était plutôt positif. Parce qu’il aime bien les abeilles. C’est mignon.

En la tenant en main, il se prêtait à sourire. C’était vraiment original. Le primus inter pares de sa conception commencerait presque à poindre, voire éclater. Depuis sa première coupe de duels, c’était là, bien au chaud.
L’orgueil.

« - Merci ! » Il avait l’air joyeux, et satisfait. Ça changeait d’il y a quelques semaines alors qu’il venait de s’amputer. Maintenant, avec Ingen et ce Runespoor en bois à ses côtés… Il pourrait très certainement réaliser des miracles.
Ou, au moins, de la magie.

Il vida sa bourse sur le comptoir, et ne prit pas vraiment la peine de recompter : faut dire, y avait bien bien plus de noises et de mornilles que de gallions (la faute aux pourboires des clients, ces radins). Mais au moins, il y avait le compte.

Faisant de jolies tours avec les pièces, il poussa ensuite le tout vers l’artisane. Et quand tout fut encaissé, il partit en suivant les bâillements du soleil, la clochette derrière lui, quittant la boutique sur une odeur de politesse et de renouveau.
L’aventure pouvait commencer.


______________
HRPG

Départ de Pius ; merci à toi ! amour
Somme déposée : 21G, 5M & 3N
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Re: Le comptoir
Invité, le  Mar 3 Avr - 20:22

Pour une fois, j'étais de bonne humeur, ce matin. Me réveiller tôt ne m'a jamais vraiment fais plaisir, mais là ! c'était pour la bonne cause !
Depuis le début des vacances d'été, j'avais casser ma baguette magique. Une jolie baguette que j'avais depuis ma première année à Poudlard. J'avais toujours pris grand soin de ma petite protéger, mais un jour, ma sœur Jumelle s'est assise dessus.. Et elle s'est brisée. Depuis, j'attendais l'occasion d'aller m'en racheter une. De toute façon, je n'avais pas le droit de faire de magie en dehors de Poudlard, mais la rentrée était pour bientôt et il m'en fallait absolument une.

Je me suis donc levé ce matin, toute contente. Je suis sortis et je me dirige vers mon train habituel que je prends pour aller au Chaudron Baveur. De là, j'ai accéder au Chemin de traverse, et je m'y suis aventuré avec plaisir.

Devant la boutique Ollivander's, j'eu un petit pincement au cœur. Cela faisait des années que je ne m'y étais pas rendu ! Je m'approche du comptoir et je souris tout en déposant le petit parchemin froisser que je tenais entre mes mains.

- Bonjour ! Je suis ici pour m'acheter une nouvelle baguette, j'ai avec moi le formulaire, que j'ai soigneusement remplis...

Prénom & Nom : Farell Griffin
Caractère : Sang-Chaud, réfléchis, sournoise
Longueur de vos bras : 45cm
Taille : 1m66
Amir Rose
Amir Rose
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Spécialité(s) : Aucune spécialité enregistrée actuellement.


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Re: Le comptoir
Amir Rose, le  Mar 3 Avr - 23:24

WHEN I WAS WAY YOUNGER
Amir et un vendeur, encore à déterminer.



C'était pas maintenant. J'veux dire c'était pas actuellement. J'veux dire c'est un flashback t'as compris bourre pas le crâne. L'été venait dangereusement à sa fin, et qui disait fin des vacances disait entrée à Poudlard, en première année. Et bien sur l'acquisition de sa première baguette.

Les vacances avaient filées. Le futur Serdaigle passa ses trois mois de liberté chez ses grands parents paternels. Anglais. De pure souche. Mais adorables surtout. Ce que le garçon aimait le plus là-bas, c'était le calme. En effet le domaine était littéralement isolé : pas de connexion, pas de bruits autres que le feuillage frappé par la brise matinale, si douce de Juillet. Lui qui était souvent dans un rush, avait vraiment apprécié ce moment de repos. L'aiglon avait utilisé ce temps libre pour étudier, comme par hasard. Qui dit Poudlard dit préparation mentale. Quoi stress ? Absolument pas, excitation et intérêt plutôt. Le futur première année se servait de sa soif de connaissance pour tenter d'accélérer l'échéance.

Aujourd'hui, le boy se rendait sur le Chemin de Traverse. Haut comme trois pommes et pourtant toujours élégant, charmeur. Il avait opté pour un look détendu, assez simple. Un t-shirt blanc, uni accompagné d'un pantalon de costume noir assez bien coupé. Pas de shorts, même sous 30 degrés. Il détestait les shorts le gamin. Une paire de basket mordue fit l'affaire et il compléta la tenue journalière avec sa chevalière et son collier, ses plus fidèles compagnons.

Et là, boum. Waaaaaaaaaaaa, explosion de sensations. Magnifique. Il était bouche-bée. Jamais il n'avait mis les pieds ici mais il en était déjà amoureux. Les devantures, les glaces, le magasins de ou scintillaient les plus beaux bouquins, passage oblige et bien sur, Ollivander's. Enseigne mythique n'ayant pas changée de nom, depuis toujours. Et c'était magnifique. Réputé pour être l'un des meilleurs fournisseurs de baguette du monde sorcier, le marocain s'engouffra dans la boutique.

le Rose sentait une chaleur dans ses jambes, il n'arrivait plus à patienter, il trépignait d'impatiente. Il se surpris lui-même, d'être aussi impatient avec le comportement d'un gosse de six ans, lui qui pourtant était mature au point de se balader tranquillement dans Londres et sa Wizard's Side. Il remarqua d'abord le tapis au sol. Amoureux du bon gout il ne put se retenir d'un « Bon goût » quelque peu sonore mais ni prétentieux ni hautain, plutôt respectueux et admiratif de l'apparence générale et de l'ambiance régnante.

L'adolescent se servit d'un de ses formulaires, qu'il s'empressa de remplir avant de se diriger vers le comptoir. Par chance la queue venait de se vider et aucune attente de prévue.

« Bonjour,  je viens pour l'achat de ma première baguette » accompagné d'un sourire bienveillant. Pas les sourire psychopathes de gosses de 10 ans non là il était même pas forcé, sa bonne humeur s'échappait juste comme elle le pouvait. Il tendit le petit morceau de parchemin de ses deux doigts en observant tout ce qui se passait derrière le comptoir.

Spoiler:

Aysha Brayd
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Re: Le comptoir
Aysha Brayd, le  Mer 4 Avr - 14:46

Ollivander's
Sorciers en attente d'un.e vendeur.euse : /

Réponse n°1
Première baguette

Avec Archibald Janaster, Aspen Woods, Cassandra Syls, Farell Griffin et Amir Rose




Aysha était dans un autre monde. Dans ce monde là, il pleuvait averse, mais l'eau était chaude. Elle dégoulinait sur son visage dans ses cheveux, sur ses vêtements, et la bleue marchait, courait, s'allongeait au sol en buvant la pluie salvatrice. Dans ce monde il n'y avait personne, et tout le monde à la fois, et l'air n'était ni chaud ni froid. Et la sorcière fermait les yeux en savourant son bonheur.

Seulement, ce monde était un autre monde, bien éloigné de la réalité grinçante qui frappait à la porte à chaque instant, comme pour extraire Aysha de sa rêverie sublime et lui rappeler que la vraie vie était là, sous ses yeux ouverts cette fois. Et qu'elle ne pourrait les refermer avant un bon moment. Et toute la journée se déroulait ainsi, la bleue chaque fois ramenée les pieds sur terre d'un geste brusque, sans sas de décompression. Et le choc était rude.

Très rude.

La cloche d'Ollivanders venait de sonner, gong fatal. Dans un sursaut Aysha avait ouvert les yeux, s'était extirpée de son imaginaire en pestant. Non, non, et non. La figure d'un destin infernal était celle d'un jeune garçon accompagné de ce qui devait être sa famille. Il n'avait pas le visage du démon et pourtant... Pourtant il avait obligé la bleue à quitter son monde ruisselant d'eau brûlante pour entrer comme une flèche dans celui-ci, gris et terne, froid. Un regard au dehors l'informa d'un ciel, même pas bleu, sans pluie aucune. Il n'y avait simplement rien, un entre-deux déprimant et assassin. Et le démon n'était pas venu sans ses sbires. Deux, trois, quatre, cinq ! La cloche avait sonné encore. Et cinq jeunes sorciers au regard impatient qui se tenaient devant le comptoir comme des animaux auxquels il aurait fallu donner à manger. Mais doucement, les baguettes n'étaient pas de la nourriture, les baguettes étaient des êtres véritables, des anges que l'on mettait dans la main du diable et alors...

Alors une pile de formulaire. Qui retenait Aysha par la manche en l'empêchant de s'égarer. C'est qu'elles avaient de la force, ces petites vipères. Pas d'échappatoire, pas de porte de sortie, alors la préfète capitula. Elle prit les formulaires, et reprit ses esprits au passage, fourrant le tout entre ses bras, un peu d'âme dans le crâne, et les salutations. Parce qu'elle n'était pas méchante. Simplement égarée.

- Bonjour, bienvenue à Ollivanders, le monde des rêves et des possibles et...

Et ne pas s'égarer.

- Je vais partir en quête de la baguette parfaite, mais il vous faudra patienter un peu.

Et un sourire. Un instant de suspension, silence éphémère et Aysha tourna les talons. Partir s'enfoncer dans le dédale d'étagères remplies de baguettes au coeur battant, et vaillant. Fermer les yeux le temps d'un pas, boire cette pluie libératrice et repartir. Un besoin de carburant d'imaginaire, d'essence de fantastique. Bientôt les boîtes s'entassèrent entre les bras de la jeune femme, une, deux, trois. Les baguettes semblaient fusionner et faire corps avec l'image qu'elle avait eu des jeunes clients. L'enjeu était grand, mais le jeu en valait la chandelle. Le bois de cyprès serait parfait pour l'un, et cette baguette agréablement flexible collerait parfaitement au caractère de l'autre. Elles auraient des sorciers de premiers choix pour leur faire honneur, elles qui attendaient dans ces boîtes depuis deux jours à peine, ou deux centaines d'années, peut-être plus encore; qui savait... ?

Quelques pas et un retour presque triomphant dans la boutique, les clients étaient toujours là, évidemment. Et ils n'allaient pas être déçus. Cette pluie, qu'elle avait bu à grosse gorgées, avec décuplé ses capacités comme la potion d'Obélix, ou peut-être pas d'ailleurs, ce n'était que son imaginaire et son imaginaire la faisait avancer. Ou reculer, parfois. Mais pas cette fois. Alors la bleue déposa les boîtes devant chacune des pairs d'yeux curieux. Comme une mère aurait distribué le repas à ses oisillons affamés. Et une parole, rassurante et maternelle puisque c'était l'occasion.

- Voilà vos baguettes... Essayez-les, et vous verrez si elles vous conviennent, enfin si vous leur convenez. Au dos du couvercle vous retrouverez les composants, c'est important et si symbolique... Enfin vous verrez.

Elle avait oublié quelque chose, un tas de chose même, et en premier lieu d'énoncer le prix. Mais ce n'était pas le plus important, tout jeune sorcier pourrait trouver 10 mornilles dans sa poche alors, il n'y avait aucun problème. Un vague souvenir de mise en garde remonta à la surface comme une loutre dans son bassin. Ne pas casser quoi que cela, c'était ça, faire attention en essayant les baguettes ? Aysha savait que ceux-là y feraient, attention. Avec un peu de chance.

Passe ici ta souris.
↓  ↓  ↓
Pour :  Archibald Janaster
Bois : Mûrier
Composant : Poil de Lion
Élasticité : Plutôt rigide
Taille : 21,51cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]



Pour : Aspen Woods
Bois : Cyprès
Composant : Cheveux de Farfadet
Élasticité : Assez souple
Taille : 23,88cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]



Pour :  Cassandra Syls
Bois : Mandarinier
Composant : Plume de Jobarbille
Élasticité : Légèrement flexible
Taille : 22,66cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]



Pour : Farell Griffin
Bois : Pin
Composant : Écaille de Moke
Élasticité : Agréablement souple
Taille : 24,16cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]


Pour : Amir Rose
Bois : Aube
Composant : Crin d'Hippogriffe
Élasticité : Légèrement cassante
Taille : 24,16cm
Prix : 10 Mornilles
[Compte Vérifié]





Amir Rose
Amir Rose
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Re: Le comptoir
Amir Rose, le  Mer 4 Avr - 18:25

Quelques instants plus tard, la vendeuse réapparut avec quelques baguettes, pour Amir et les autres mioches en quête de leur première baguette magique. Il attendit que la jeune femme pose la boite sur le comptoir pour s'en saisir, émerveillé. Il ouvra d'abord le couvercle fait de bois, avant de tomber devant celle qui serait désormais sienne, baignant dans un drap et ne demandant qu'à être réveillée du supplice de ce sommeil éternel. Et bien sur son sauveur était là.

Délicatement, le Serdaigle l'attrapa, précautionneusement. Comme si elle pouvait craquer à tout instant, comme si elle était faite de carton, et non pas de magie. Le garçon la secoua légèrement tandis qu'une lumière inoffensive jaillit du bout, c'était la bonne. Parfaite symbiose, ils étaient faits pour être ensemble. Il saisit ensuite le couvercle pour lire ces quelques informations précieuses. Hypogriffe, cassante,vingt-quatre centimètres et quelques. Bon le garçon comprenait pas vraiment quelle était la différence entre telle ou telle composition mais ça lui plaisait bien.

Après l'avoir rangée dans son boitier, avec soin, le garçon qui avait alors onze ans posa sur le comptoir dix mornilles tout pile. C'était dix mornilles hein ? Parce que des fois il était si tête en l'air que... Enfin bref, appréciant une dernière fois l'atmosphère, le tapis et remerciant la vendeuse de baguettes, Rose se dirigea vers la sortie, lentement. Dring, bruit de cloche, à la prochaine Olli.

Amir part, merci pour ta rapidité
Arnaud Meula
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Re: Le comptoir
Arnaud Meula, le  Jeu 5 Avr - 21:53

PV With Aysha

C'était devenu une habitude pour moi de me balader au chemin de traverse. Souvent sans idée précises, parfois pour me balader et boire un verre avec un ami et aussi souvent pour faire des achats! C'était la raison de ma présence aujourd'hui, je n'étais pas venu acheter un énième animal à la BAM, mais plutôt acheter une nouvelle baguette. Une baguette qui allait enfin me plaire et correspondre à ce que je suis vraiment, à savoir un sorcier favorisant la méta et la Défense contre les forces du mal.

Je me dépêchai donc de rentrer et de constater encore une fois, le succès qu'avait cette boutique, mais ce n'était pas la première fois que je venais ici, je savais déjà à quel comptoir il fallait aller pour avoir la meilleure vendeuse de la boutique. Notre chère préfète Aysha Brayd.

Bonjour, je viens commander une baguette sur-mesure, car je ne me sens pas à l'aise avec ma première baguette. Disais-je alors en souriant pour montrer mon enthousiasme.

Je remplis donc le formulaire de nouvelles baguettes pour sorcier:

Citation :

Votre nom : Arnaud Meula
Votre ancienne baguette : If; Moustache de Fléreur; Relativement cassante; 19,84cm

Nouvelle baguette

Bois : Acajou
Composant : Crin de Licorne
Élasticité : Flexible
Taille : (en cm) 24.14cm

Je reposais alors la plume et glissa le formulaire vers la vendeuse dans l'espoir de savoir si ils avaient les matériaux disponibles.
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Re: Le comptoir
Invité, le  Jeu 5 Avr - 22:26

LA d'Aysha

Cassandra avait fait de gros efforts pour tenir en place, elle avait tenu le temps de donner son formulaire à la vendeuse. Dès que la brune lui tourna le dos, la fillette s’échappa de devant le comptoir pour se ruer en vitrine. Elle avait la bougeotte et n’était pas faite pour rester immobile, ce n’était pas pour rien qu’elle passait ses journées dehors. Ses mains sur le verre, l’enfant admirait le ciel. Elle avait hâte de retourner dans son élément naturel, elle détestait les endroits confinés.

Son sourire disparut à l’entente de son nom résonnant dans toute la boutique, Beth n’était pas du tout de son avis vis-à-vis de son comportement exemplaire. Les yeux rivés au sol, elle rejoignit sa nourrice qui lui pointait du doigt son étui à baguette. Rêveuse, Cassandra n’avait pas pensé à revenir d’elle-même et avait encore moins entendu son patronyme dans le brouhaha des lieux. Pourquoi les gens criaient-ils ? Il suffisait de se déplacer même si sur ce coup-là, la petite se savait en tort, elle aurait dû patienter cinq minutes le retour de l’adolescente.

Des mots d’excuses adressées aux deux femmes avant de lire la liste des composants sur la boîte de sa soi-disant nouvelle amie. A la lecture du cœur, Cassandra ne put se retenir d’y aller de son petit commentaire.

« Plume de Jobarbille ! J’adore cet oiseau ! C’est un signe ! J’en ai vu dans la boutique d’animaux magiques, j’pourrai en avoir un steuplait steuplait Beth. J’ai été sage non ? »

Son accompagnatrice lui répondit par un soupir, elle aimait cet enfant comme sa propre fille mais par moment, elle l’épuisait. Son entrée à l’école devait assagir cette pile électrique bien qu’elle ne pouvait lui en vouloir pour sa joie de vivre vue son passé.

« Je t’ai déjà dit qu’on fera le point à la fin de la récupération de tes fournitures. Essaye donc ta baguette. Et dépêche-toi un peu, la vendeuse n’a pas que toi à s’occuper. »

Le temps, chose dérisoire pour Cassandra, une préoccupation d’adulte. Enfin, elle s’exécuta sans broncher. Sortant délicatement le morceau de bois, elle en appréciait la couleur. Elle n’avait jamais compris l’intérêt pour les sorciers d’un tel objet, il n’était en rien requis pour grimper dans les arbres ou encore jouer dans la terre. Elle admit son utilité pour réparer une fracture voire enlever la fameuse terre de ses vêtements.

La tenant fermement entre ses doigts, elle formula un Lumos. L’extrémité crépita timidement, manque de conviction évident. Elle s’y reprit à trois fois avant de voir une lumière se former. Lumière qui gicla dans ses yeux, à onze ans il en fallait peu pour s’émerveiller. Cassandra enchaina des Nox et des Lumos, elle jouait tout simplement. Ceci n’avait beau pas être l’endroit idéal pour cela, elle s’en fichait. Elle déambula devant des inconnus et leur montrait fièrement son tour de passe-passe. Rien de sensationnel en soi, juste assez pour satisfaire une gamine. Beth n’osa pas interrompre Cassandra, après tout, elle ne faisait rien de mal. Elle se contenta de sortir un gallion d’une bourse en cuire qu’elle donna à la vendeuse.

« Gardez la monnaie, pour votre patience et votre travail, ça ne doit pas être facile tous les jours… » lança-t-elle en ne quittant pas sa protégée de ses mirettes. « Merci pour elle, je ne crois pas qu’elle viendra vous le dire. », termina-t-elle en s'apprêtant à partir récupérer la jeune sorcière.

Beth se trompa, Cassandra revint à ses côtés. Elle agitait sa baguette dans tous les sens, elle était éteinte et le resta malgré les formulations de la jeune fille. Amusée, la dame mature l’observa avec un sourire en coin.

« Beth ! Beth ! », hurla-t-elle en lui tirant sur le bras, « Ma baguette est cassée, regarde ! Lumos ! Lumoooooooos ! » mais rien ne se forma.
« Tu es simplement épuisée Cassandra. Ton corps n’est pas habitué à la magie et tu n’es pas encore en harmonie avec ta baguette. » lui répliqua-t-elle calmement en lui ébouriffant les cheveux.
« D’accord, je vais la ranger alors. », ce qu’elle fit en la glissant dans une poche. « On y va ? On a encore plein de trucs à acheter ! »
« T’es sûre de ne rien avoir oublié ? », demanda l’adulte en désignant du menton la vendeuse.
« Oh… Merci Madame ! Merci, merci, merci ! »

La sincérité se lisait sur son visage. Cassandra n’était pas du genre impolie, elle était juste dans un monde qu’on oublie souvent trop vite, celui de l’insouciance. A présent, le binôme quitta l’échoppe en direction de la BAM. Impossible de contenir plus longtemps l’énergie de Cassandra qui ne parlait que du volatil aux plumes bleues depuis leur sortie d’Ollivander’s.

Départ de Cassandra, merci Aysha ♥
Tu as gagné 7 mornilles de pourboires, je te laisse gérer les comptes.
Aysha Brayd
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Re: Le comptoir
Aysha Brayd, le  Ven 6 Avr - 16:32

Ollivander's
Sorciers en attente d'un.e vendeur.euse : /

Réponse n°1
Nouvelle Baguette

Avec Arnaud Meula




Ce jour là, la boutique était plutôt calme. Les vagues de jeunes sorciers en quête d'une première baguette étaient toujours concentrées sur une courte période, entre la fin de l'année et le début de la suivante. Le reste du temps, les clients se faisaient moins nombreux, assez pour vivre la boutique et épargner les vendeurs du chahut permanent des plus jeunes. Dans ces moments là, Aysha comme les autres pouvaient vaquer à leurs occupations dans une atmosphère calme et apaisée. Dans l'atelier non loin du comptoir, derrière une porte en bois, on pouvait entendre Izsa ou Anthony s'affairer devant l'établi, préparant l'une des baguettes commandées ou une nouvelle baguette pour le stock. La bleue n'était que stagiaire et n'avait pas encore l'expérience pour fabriquer une baguette de ses mains, mais elle se montrait déjà passionnée par un tel travail. Elle aimait, lorsqu'elle était seule, aller se balader dans l'atelier, soufflant sur les copeaux de bois qui recouvraient l'établi, observant les réserves de matériaux, bois en tout genre, coeurs de toutes sortes. Elle espérait avoir un jour les mains assez expertes pour fabriquer des baguettes elle aussi. C'était un travail d’orfèvrerie qui demandait travail et assiduité. Parfait pour une Serdaigle.

Mais ce jour là l'atelier était occupé et Aysha avait trouvé refuge là où elle se sentait le mieux dans la mythique boutique. Elle marchait dans les rayonnages au fond de l'endroit, ces étagères où étaient alignées de boîtes de baguettes à n'en plus finir. Certaines étaient là depuis des années, d'autres depuis quelques semaines à peine. Et toutes attendaient le sorcier parfait, qui n'était peut-être pas encore né, et qu'elles pourraient choisir le jour où ils viendraient dans cette boutique pour la première fois. Ces rayons étaient magiques, pleins de vie et d'histoire, et Aysha ne s'en lassait pas.

Soudain, la cloche tinta de son son grave caractéristique, et le parquet craqua de l'autre côté de la boutique. Aysha s'extirpa de sa rêverie et revint en direction du comptoir, suivie par l'odeur de vieux bois. Elle reconnut rapidement le client qui venait d'entrer : c'était un élève de sa maison. Non pas qu'elle le connaissait personnellement, mais de nom et de visage évidemment. Elle avait déjà eu l'occasion de partager quelques cours avec lui, et le croisait très souvent dans la salle commune des Serdaigle. Elle le salua d'un sourire et le laissa remplir le formulaire qu'il avait déjà pris en main. Une fois chose faite, il tendit le parchemin à la préfète en s'expliquant sur les raisons de sa venue. Aysha hocha la tête. Ainsi, il n'était pas à l'aise avec sa première baguette ? C'étaient des choses qui pouvaient arriver. Les gens changeaient, et ils n'étaient plus toujours pareil à 17 ans qu'à 11 par exemple. Une baguette pouvait ne plus être très adaptée, au bout de plusieurs années. Elle jeta un oeil au formulaire et se redressa.

- Acajou, crin de licorne. Voilà qui me semble bien, ce sont deux matériaux qui s'accordent bien. Je pense que ça ne posera aucun problème, l'important est que la baguette soit cohérente, et c'est le cas. Je pense que le crin de licorne fera d'elle une baguette assez obéissante, si tu n'es pas trop à l'aise avec ta précédente, c'est parfait !

Aysha fit un rapide calcul avant de reprendre.

- En tout cas, si tu décides de partir là dessus, tu en auras pour 2 Gallions et 11 Mornilles. Quand au délai, nous nous efforçons d'être assez rapide, mais par souci de ne pas bâcler le travail, on part sur quatre petits jours. C'est bon pour toi ? Tu pourras venir la rechercher ici, mais nous pouvons aussi faire de la livraison, si besoin...

La bleue fit un sourire à Arnaud en attendant sa réponse. Il savait ce qu'il voulait, la vente n'allait pas être très longue. Ses choix de baguettes avaient été cohérents, d'ailleurs les vendeurs mettaient rarement un véto sur les baguettes demandées par leurs clients, sauf incohérence foncière et par là dangereuse. Ce n'était pas le cas, loin de là, aussi Aysha allait-elle se faire un plaisir de transmettre cette demandes aux petites mains de l'atelier. Anthony allait leur faire quelque chose de sublime.


Passe ici ta souris.
↓  ↓  ↓

Pour : Arnaud Meula
Bois : Acajou
Composant : Crin de Licorne
Élasticité : Flexible
Taille : 24.14
Prix : 2 Gallions et 11 Mornilles
[Compte Vérifié]





Arnaud Meula
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Re: Le comptoir
Arnaud Meula, le  Ven 6 Avr - 17:07

La vendeuse inspecta le formulaire pour vérifier qu'il n'y avait aucune incohérence et releva vite la tête.

C'était parfait! Ma nouvelle baguette allait parfaitement m'obéir et elle serait parfaitement adaptée à mes projets futurs, je pourrai enfin lancer un sort la conscience tranquille. Elle me parla également du prix, de la durée de la fabrication et du service de livraison, 4petits jours de fabrication pour seulement 2 Gallions et 11 Mornilles. On peut dire qu'ils étaient vraiment les experts de la vente et fabrication de baguettes en Europe.

Je déposais alors 3 gallions sur le comptoir et dis:

Je suis intéressé par votre service de livraison, voici l'adresse de livraison. je tendis alors une carte de visite avec l'adresse de la maison de mes parents.

Je vous laisse 3gallions, vous pouvez garder la monnaie, c'est pour votre professionnalisme. un sourire franc apparaissait sur mon visage, ce n'était certainement pas une grande fortune, mais au-delà de l'argent, le geste devrait faire plaisir à la vendeuse et possiblement la rendre fière pendant quelques minutes.

Je rangeais donc mon porte-monnaie dans ma poche et je me préparais à aller faire un petit tour à la BAM.
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