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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Londres ~¤~ :: Rues de Londres
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Quand la musique sonne
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Re: Quand la musique sonne
Invité, le  Ven 11 Mai - 19:22

Ulule ramené de quoi se sustenter un au minimum, ses toasts sont vraiment délicieux en revanche et visiblement Lorelaï semble appréciée également vu qu'elle demande qui les à préparer. Je me tourne alors vers elle en finissant ma bouchée.

-Si je ne m'abuse c'est Ulule qui a tout préparé.
-C'est bien ça fils.

Puis Lorelaï se tourne vers mon père pour qu'elle donnera l'adresse de la boutique pour qu'il puisse venir récupéré les Iris et visiblement je sais de qui je tiens mon petit sourire narquois. Mon père tout souriant et fier d'offrir des Iris à sa femme qui porte le même nom vieux jeu ma parole... S'ensuivi la fameuse question de ma marraine et ça semblait mettre un peu Lorelaï mal à l'aise je connais enfin le nom de sa mère. Et la réaction de ma marraine fût immédiate elle faillit s'étrangler.

-Aileen est ta mère ?! Le monde est vraiment petit...
-Aëlys.

Dit-elle fermement.

-Je ne sais pas si c'est le meilleur pour te dire sa jeune fille... Mais il s'avère qu'Aileen est la cousine d'Iris et Aëlys ici présentes...

Ha ! Du coup ça fait de Lorelaï ma cousine ?! Notre baiser à la tour d'astronomie semble avoir un tout autre sens du coup maintenant...
Je me demande sincèrement comment elle va réagir, c'est vraiment un drôle de asard (pas du tout) qu'elle apprenne ça ce soir la connaissant elle va être toute chamboulée....
Lorelaï Peony
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Re: Quand la musique sonne
Lorelaï Peony, le  Mer 4 Juil - 0:19

La soirée se passait bien.
Tout allait bien.

Le père de Jace voulait acheter des fleurs au père de Lorelaï.
Lorelaï était contente.

Puis ils avaient abordé sa mère.
Et là aussi ça allait.
Lorelaï n'avait pas de souci à parler de sa mère.
Elle la connaissait mal.
C'est tout.

Tout.
Apparemment pas.

La soirée se passait bien.
Lorelaï était toute jolie.
Elle en apprenait plus sur le monde sorcier.
Comme elle s'était promis de faire au début de l'année scolaire.

Elle allait assister à un nouvel an sorcier.
Elle était contente.

Tout se passait bien.
S'intégrer dans le monde sorcier.
Monde dont elle était si peu familière.

Familière.

Lorelaï toussa.
Elle toussa fort.
C'est-à-dire qu'elle avait avalé le zakouski préparé avec soin par Ulule de travers.
Ca aussi elle l'avait avalé de travers.
Le nom de l'elfe de maison.

Mais c'était pas ça le plus important.
Non non.

Elle se leva, cherchant du regard un verre de jus non pétillant, se tenant la gorge d'une main.
Toussant.
Toussant.

Ses yeux étaient à présent rouges.
L'air manquait à son cerveau.
Elle avait besoin de respirer.

Enfin, un verre.
Elle bu.
Longtemps.

Puis se rassit.
Les yeux écarquillés.
Exorbités.
Les mains sur les genoux.
Pardon.
Vous disiez ?


Elle avait sûrement mal entendu.
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Re: Quand la musique sonne
Personnage, le  Jeu 25 Oct - 19:53

Improvisation Enfantine
avec Rikka M.Bennet et Max Karter

Messieurs, dames, petits et grands, veuillez applaudir bien fort nos deux braves concurrents qui ont brillamment relevé le défi.

Sur sa mini scène improvisée avec quelques planches et des palettes, un homme à l’habit original encourage la foule. Il avait un costume aux milles tissus différents et un chapeau qui ferait pâlir de jalousie les admirateurs du chapelier fou. Un être de contes et de légendes trônait sur cette scène. Il sourit à pleines dents lorsque les applaudissements remplirent l’air. Il avait réussi. Il avait apporté un peu de lumière dans ce ciel gris de Londres. Enfin, les deux jeunes qui s’étaient prêtés au jeu avaient réussi, lui n’avait fait que les réunir et leur imposer des petites contraintes avec l’aide du public. Il cherchait déjà du coin de l’œil de nouvelles personnes.

Encore merci à vous, vous avez été exceptionnels! Vous êtes d’accord les enfants?

Le premier rang s’exclama. Ils s’amusaient bien et ne regrettaient pas d’avoir demandé à leurs parents d’attendre un peu pour regarder le spectacle. L’homme au chapeau commença à faire les cent pas sur scène. D’un air très théâtrale il prit la parole.

Malheureusement, toute bonne chose à une fin. Nous avons passé un bon moment ensemble, cependant personne ne semble motivé à nous offrir une dernière improvisation

Moi! Moi! Moi! Les enfants ne voulaient pas que le rêve se termine. Le personnage sur scène s’en doutait. Une très légère manipulation qu’on lui pardonnera… « C’était pour les enfant »qu’il dira si on l’accuse.

Non désolé, il me faudrait quelqu’un de plus…enfin vous voyez un peu plus comme ça. Mais pas trop non plus. Un peu comme vous ou vous… ou peut-être vous. Mais je sais pas. Qui osera venir sur scène? Qui osera se présenter devant notre jury du premier rang? Allons messieurs et mesdames vous n’allez pas laisser ces enfants et moi-même sans un dernier tour de chapeau? Deux petites contraintes à piocher et carte blanche pour vous pour la durée que vous voulez. On est là pour s’amuser… Venez donc!
Max Karter
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Re: Quand la musique sonne
Max Karter, le  Dim 25 Nov - 17:05

Tu marches. Tu es en quête d'une surprise. Pas pour n'importe qui. Mais pour une raison inconnue, sans qu'il y ait d'événement, tu veux lui faire plaisir. Juste le plaisir d'offrir. Le plaisir d'aller vers les gens et de leur donner un peu de bonheur. L'envie de les voir sourire. Juste un simple sourire qui illumine les visages et qui les fait rayonner dans la nuit et ce monde un peu gris.

Ce n'est pas grand chose un sourire. C'est un petit rien sur le chemin. Une petite touche de douceur qui fait du bien. Quelque chose qu'on offre sans attendre en retour et parfois sans le savoir. Il aide à réchauffer certains cœur et suivant la personne l'impact est différent. Un inconnu dans la rue peut apporter une petite lumière sur le chemin alors que celui sincère d'une personne qui compte lui illumine toute la route jusqu'à la prochaine intersection. Certaines personnes sans le savoir ont un magnifique super pouvoir. Celui de colorer les vies et les coeurs. Certains par la chanson. D'autres par des petites attentions. Certains en offrant juste un câlin, un beau moment de partage. Et d'autres juste par leur présence.

En parlant de câlin tu trouves qu'ils ont un pouvoir formidable. Ce quelque chose de partager. Un mélange d'émotion et une danse des âmes. Tu es peut-être trop poétique. Un peu trop fleur bleu. Tu as toujours été comme cela. Le bon ami qui rêve un peu trop. La tête dans les nuages au sens propre comme figuré. Tu aimes faire voltiger ton cœur sauf quand le balai décroche. Toujours là pour rattraper un ami. Tu souris...

Puis tu entends une foule. Tu te rapproches. Tu écoutes. Discrètement tu te glisses sur scène et tu salues les enfants. Te demandant ce que tu viens de faire. Pourquoi le faire? Comme cela. Pour le plaisir de partager. Peut-être que tu seras ridicule mais ces enfants en garderont un bon souvenir, tu l'espères de tout cœur.
Sariel Fawkes
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Re: Quand la musique sonne
Sariel Fawkes, le  Dim 13 Jan - 12:10

Intro
RP avec Skylar

TW : un mot cru pour l'instant


La nuit, il me semble pousser des ailes.
C'est un drôle d'état, à mi-chemin entre la symbiose parfaite du corps et de l'esprit, et de l'imprudence la plus pure. Comme pour lâcher l'élastique qu'on tend, tend, tend chaque jour histoire de paraître lisse et sans défauts. C'est ennuyeux, c'est barbant, d'être parfaite, au moins en apparence. Les masques, ce n'est plus original du tout. Les masques, c'est la cachette facile. Même si je soutiens la Cause, la vraie, cacher les visages par l'accessoire, c'est surfait. Du moins, quand on a rien à défendre. Et moi, qu'est-ce que j'ai à défendre de plus que ces pourquoi sans réponses ?
Comme ça, d'impression, dans ma nuisette pâle, je suis sans reproches. Céleste et jamais terne, ni vraiment fatiguée. J'ai ce semblant de chance physique. Je n'en connais pas vraiment les ressorts mais je le sens. En moi et sur les autres. On se retourne, à mon passage. Les hommes, apparemment. Je le sais, je l'ai remarqué. Est-ce parce que je le cherche ? Ou quelque chose de cet acabit ? J'en sais rien, j'ai l'impression que mes cheveux blonds cachent mes bleus à l'âme, et la délicatesse de mes gestes mon côté repoussoir. Ce que mes blessures, mes échecs tentent, au moins, de véhiculer. Et que je cache du mieux que je peux. Malgré moi.
Suis-je narcissique ? Est-ce que je me considère comme supérieure aux autres par le simple fait de ma beauté ? Je ne crois pas. J'ai l'impression que cela m'éteint plus qu'autre chose. Et quand bien même je sens le frémissement dans mes doigts ; celui d'extase, et d'horreur d'être reconnue pour ce que mes longs cils laissent présager, j'en sais rien. C'est un débat sans fin, dans mes ongles et sous ma peau.

J'ai l'impression qu'en quittant ces draps chauds, encore investis par la torpeur du corps mâle qui m'accompagne chaque nuit, je fais quelque chose de mal. Mon regard qui retrace le contour musculeux de l'épaule d'Azphel, éclairée par le croissant de lune qui nargue la fenêtre, évoque bien ce déchirement qui m'assaille. Entre l'envie de rester auprès de lui et celui de devenir une Autre, au moins pour cette nuit. Non, pas une autre, qu'est-ce que je raconte ? Rien ne m'effraie autant que de pouvoir devenir autre que moi.
Juste de boire un verre, voilà, en-dehors de la Colline. Là-bas, en bas, au cœur de la ville où tout s'enfuit pour mieux se rejoindre. Artères, veinules en expansion jusqu'au point rutilant du mirage anatomique : Moi. Me laisser connaître ou méconnaître, peut-être. Devenir cette pouffe incivilisée aux yeux des uns, cet ange noctambule aux yeux des autres.

Je quitte aussi vite que possible mes vêtements de nuit, envahie par la crainte de me faire prendre. Là, pas de fringues trop criardes. Du noir, du voile, du talon de douze. De quoi faire prendre peur, peut-être reculer en voyant ce qui pend à mon doigt, gros comme une preuve de mon attachement : je suis sous emprise, jamais ne serai totalement vôtre.
Je me crible d'entourloupes, lorsque mes longs cils battent l'air d'avoir eu leur dose de mascara. Je crois que je suis prête ; intérieurement, je n'en suis pas très sûre. De corps, comme jamais.

Très bien, je ne tiens plus. Ma dernière caresse est au dos d'un Azphel endormi, que j'imagine loin de ce que ce monde laisse présager. Eris, qui s'empare de mes jambes comme grattoir, ou gage d'amitié, je n'en sais rien, me salue d'un miaulement rauque, une fois portée en bas par mes pas félins. Je m'excuse déjà, chérie, alors qu'un craquement transperce l'harmonie silencieuse du salon, baigné du règne lumineux de Lune.

Mes premiers pas déboussolés me guident dans le spectre hallucinant de lumières de bars et de clubs dissimulés. Je n'entends pas vraiment les sons ; ou plutôt que si, ils m'assaillent, narguent mes sens comme rendus stupides par l'ivresse qui n'est pas (encore) là. Dois-je me laisser prendre par ces regards qui passent sur moi ? Ils coulent sur mon corps comme rendu nuisible de véracité, des jambes peut-être trop fines, un buste instable et prêt à en découdre. Découdre de quoi, pourquoi, je n'ose utiliser la Legilimancie ici car je devinerai tout : devinerai que ce brun au teint de cuir imagine sa queue en moi ; que son voisin retrace le contour de mes lèvres pour mieux les imaginer autour de la sienne.
Je m'émeus, ne conclus pas. Il y a foule et je m'attache à ne pas les toucher. Les voir, mais ne pas frôler leur existence ; demeurer ce qu'il y a d'inaccessible et d'éphémère. À leurs yeux, du moins, mais pas ceux du barman avec qui il faudra demeurer.
- Une vodka-cerise, que je lâche, simplement, en trouvant refuge sur le seul tabouret libre.
Dépendre en partie de lui cette nuit.


Dernière édition par Aya Lennox le Jeu 24 Jan - 20:41, édité 1 fois
Skylar Lockwood
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Re: Quand la musique sonne
Skylar Lockwood, le  Mar 22 Jan - 9:42

PV Aya Lennox

La nuit est belle. La lune, divine puissance céleste, accompagne les espoirs futiles et la décadence d’une ancienne lionne. Assortie au manteau céleste, elle déambule dans les rues dans une robe noire aussi classique qu’outrageuse. Ses cheveux blonds, à la limite du blanc, scintille sous les rayons lunaires et donnent à sa silhouette ce petit quelque chose d’unique, de désirable. Elle en joue et profite de l’effet qu’elle peut susciter auprès de ceux qui croisent son chemin. Où la mène-t-il ? Au bout du monde ? Plutôt au bout de l’oubli, au détour d’un bar où seul le plaisir compte. Adieu démons du passé !

Ses talons claquent sur le bitume à un rythme régulier, ne s’arrêtant qu’une fois le lieu du péché atteint. Telle la maîtresse des lieux, elle en pousse la porte et s’invite. La musique lui assène un premier coup et elle le savoure. Les basses, le bruit, le style… Elle se laisse aller à cette atmosphère, ses prunelles noisette s’attardant sur certains visages qu’elle croit reconnaître. Arrivée au vestiaire, elle se défait de son manteau et apparait telle la créature nocturne qu’elle est réellement.

La sorcière se faufile ensuite vers le bar, impatiente de se saisir de son premier verre. Elle joue des coudes, des hanches, pour parvenir à se glisser entre deux tabourets. Là, elle interpelle le barman et lui commande un TGV, l’une de ses boissons favorites. Sa commande passée, elle se fait aussitôt éjectée par un homme dont elle ne retiendra même pas la tête et se retrouve assise sur une surface curieuse. Elle se lève aussitôt et se retourne pour se trouver face à une femme au charme inéluctable. Ses bonnes manières étant toujours présentent en ce début de soirée, elle s’approche légèrement d’elle afin de se faire entendre.


« Excusez-moi. Je n’avais pas prévu de finir sur vos genoux. J’espère que je ne vous ai pas fait mal avec ma maladresse. »
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Re: Quand la musique sonne
Sariel Fawkes, le  Lun 28 Jan - 11:16

Ils ne s'exécutent pas tous comme je le souhaite ; les corps autour de moi comme en écart imparfait entre mes désirs et mes pensées. J'aurais presque envie de pleurer de tout ce désordre, si ma vodka-cerise n'arrivait pas juste à temps. Le monde, écoute, le monde est en constant mouvement. J'ai l'impression de chuchoter à la face de l'humanité, et peut-être de la Lune au final, elle qui me susurre tous les mois de quelle façon je dois en finir avec ma vie, ma forme humaine, mes envies. Tout contrôler ; ce besoin, et je crois que contrôle tout du bout de mes dix doigts, petits pantins ravis de cette soumission, puisque cette nuit, rien n'est vraiment important.
Mais finalement tout s'étiole. Comme en pensées funestes aux conclusions logiques, mon sourire jusqu'aux oreilles parce que la couleur rouge de mon verre me rappelle que la vie est là, au-dehors et qu'elle n'attend pas. Ils s'éclipsent, petits bonhommes finalement insoumis, mais je les aurai forcément. La vie n'a de sens que si on lui en donne un.

Pas le temps de penser, mais quelque part trop d'ennui. Mes lèvres s'écroulent sous les gorgées répétitives, s'enlacent au breuvage dont je ne me lasse pas. L'alcool me brûle la muqueuse, alors que la cerise s'y répand comme un baume au cœur, une impression miséricordieuse de seconde chance. Après le sel, le miel ; après l'orage, l'ondée sous ma peau. Je ne sais pas si j'ai froid, j'oublie s'il fait trop chaud.
Il m'observe, au-dessus du comptoir, alors qu'il essuie un énième verre et mes lèvres s'étirent sur mes dents aiguisées, parfaitement alignées. Il n'a de sens que dans ce qu'il fait ; je crois ne jamais pouvoir l'imaginer autrement que derrière ce comptoir, en train de faire cette même chose et de se pencher vers ces grognasses mal arrangées mais probablement potables pour la grande majorité. Quelque part, je les hais. Je les déteste d'être belles, de passer tout leur temps à l'être et de ne même pas y songer. Passer au-dessus de ces stupidités du corps sur l'esprit. Le savoir, peut-être, mais s'en foutre, parce qu'il suffit d'un regard pour les rassurer.

Je crois m'étouffer sous une gorgée. Quelque chose, ou plutôt quelqu'un, vient de faire son apparition dans mon champ de vision. Ou sur mes genoux, pour être plus précise. J'ignorais que j'avais la silhouette d'un tabouret de bar, mais ça me changera un peu.
- Vous venez tout juste de gâcher ma soirée, et je réplique, sarcastique, mon verre à moitié vide porté à mes lèvres. Par chance, Sainte-Mangouste n'est pas très loin, que j'ajoute, avant de me reprendre et d'observer la jeune fille, les yeux ronds d'espérer une absence de réaction. J'oublierais presque je me trouve en terrain Moldu.
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