Numéro 71

Bienvenue à toi, lecteur assidu ou simple voyeur du dimanche. Le Chicaneur, c'est un peu comme le McDo moldu, on aime tout le monde alors... venez comme vous êtes !
Sur le forum les RPs vont et viennent, les liens changent et évoluent. Ainsi va la vie et ainsi fait le Chicaneur car je vous reviens déjà avec l'annonce d'une nouvelle recrue. J'ai nommé, Miss Chocolatine, Kohane Werner. En cas de fautes dans votre journal, la rédaction vous invite à lui lancer des petits pains.
Continuez donc votre lecture et vous tomberez peut-être sur les aventures d'un ours en peluche parlant, d'une sirène qui voulait partir là-bas ou du sorcier qui créa les plus grosse baguette magique du monde. Ou pas. La seule chose que nous pouvons vous certifier, c'est qu'il y a de l'argent à gagner !
Je vous souhaite donc une très bonne lecture et je vous laisse avec la douce mélodie de notre chanson du jour.

Il y a quelques numéros, au Chicaneur, on chantait le fait de faire des poutous à nos braves amis les Aurors. Aujourd’hui, on a plus envie de leur demander des comptes (la faute à la concurrence, les inextricables lois du marché, l’emprise tentaculaire du méchant capitalisme, etc.).
Mais ! Comment donc ? Le Chicaneur, faire un article politique et d’actualité ? Me voici, moi, trahi ! Je ne venais que pour l’horoscope, moi ! Eh bien mon cher lecteur générique sans libre-arbitre, merci de tourner la page, moi, je continue !

En parlant d’horoscopes, avez-vous remarqué le nouveau journal de propagande du marché ? Après L’Etincelle, L’Aurore ! On attend Le Crépuscule du dernier groupuscule en date, histoire que nos chers concitoyens puissent correctement redécorer leurs toilettes (afin de pouvoir rentabiliser toutes ces injonctions à mener une vie politique).
Nos chers compatriotes sont-ils seulement intéressés par tout ceci ? Le peuple peut-il seulement penser par et pour lui-même, ce qui est bon pour lui ? Fort heureusement, pour nous les lambdas, loin de l’élite magique, il semblerait ! En effet, il y a peu, un petit groupe composé aux 3/5e de notre rédaction, s’est rendu à la fontaine du hall du Ministère de la Magie (et oui, nous sommes des êtres charitables), afin de revendiquer l’intégrité de notre belle feuille de chou, qui ne souhaitait en aucune façon être associée de près ou de loin à une autre feuille de chou. Encore plus si cette dernière est issue de notre bon gouvernement !

Vous le savez, ici, au Chicaneur, nous sommes indécents : pour personne et contre tout le monde ! Nous nous sommes donc sentis violentés dans notre intégrité professionnelle en voyant l’image faisant la promotion de nos lunettes (celles qu’on peut découper sur la couverture), être utilisée dans un horoscope qui n’a même pas la correction de parler de la taille des baguettes ! (On ne le répétera jamais assez, mais ce n’est pas la taille qui compte, c’est son usage).

Comme à chaque fois que la conscience populaire se réunit, de nouvelles revendications émergent. Avant que ne vienne la répression policière de façon instantanée (et après on ose dire qu’ils ne font pas grand-chose ! Nos journalistes peuvent désormais confirmer le contraire : ils savent très bien occuper l’espace autour d’une fontaine). Pour tout vous avouer, on ne sait pas bien d’où ils sont sortis tous ces policiers ! Sans compter l’apparition d’une autre Auror, qui cautionna un jet d’acide sur élèves lors de l’attaque ayant eu lieu à Poudlard il y a déjà fort longtemps, ainsi que le professeur de Métamorphose, enseignant toujours sur les lieux de l’attaque. Et que ce soit réel ou une métaphore attendue : ça commençait à sentir vraiment mauvais pour notre liberté d’expres​sion(et nos sinus). Ce qui est très étrange, pourtant, on le concède, quand on se retrouve pris en otage par des Aurors et la police magique !
C’est bien pour cela que nous avons courageusement battus en retraite, afin de pouvoir faire couler l’encre grossière de nos plumes débridées. Vous l’avait-on dit ? Nous sommes indécents, et allons le prouver :

Aurors ! Nous avons une des vôtres en otage dans la cave à vin ! Venez donc vite la récupérer, avant qu’on ne tombe à cours de bibine poétique !
Et ainsi débute notre contre-attaque pacifique et citoyenne ! La prochaine étape ? Déposer un copyright sur tous les symboles du monde magique, juste pour pouvoir continuer à manifester les week-ends !

On vous embrasse quand même, parce que vous tendez la joue pour.
Laissez-nous être inacceptables.
xoxo

Nous, sorciers, sommes habitués à avoir un rapport de communication explicite avec nos œuvres d’art : nous pouvons, en effet, converser avec les personnages d’un tableau ou d’une photographie, ou animer une statue. Les moldus, en revanche, n’ont pas ce plaisir-là et se doivent d’interpréter les objets culturels qui leur font face. Une interprétation qui a pour limite leur propre entendement ce qui fait qu’ils ignorent un pan important et constitutif de ces œuvres. J’ai donc décidé de partir à la découverte de ce patrimoine partiellement inconnu. Commençons avec…


American Gothic (1930) de Grant Wood. Cette peinture exposée à l’institut d’art de Chicago est l’un des symboles de l’art moderne américain. Icône de la pop culture et du mouvement « régionaliste », témoignant d’une réalité anxiogène au lendemain de la crise de 1929, ce chef-d’œuvre représenterait le puritanisme rural dans le Midwest (ou bien un éloge de l’esprit pionnier selon certains critiques moldus). Du moins, c’est ce que les moldus pensent… C’est pourquoi je me suis rendue à Chicago pour animer ce tableau et ses personnages.

Rosie Peltz : Bonjour, je suis journaliste pour le Chicaneur, je vous ai réveillé au moyen de la magie pour en apprendre plus s-

L’homme : Vous parlez beaucoup pour une femme. J’me nomme Byron, et la p’tite derrière, c’est ma fille, Nancy.

R. P. : Haha ! On s’amuse ! Et que faites-vous dans la vie, Byron ?

Byron : J’ai une fourche. Et je l’utilise. [NDLR : normalement, une fourche a quatre dents, la sienne en a trois. Il s’agit donc d’un trident.]

R. P. : J’adore ! Et vous, Nancy ?

Nancy : J-

Byron : TAIS-TOI ! Vas-tu te taire, hein ! FERME-LA ! Excusez-la, elle est trop bête ! Tiens, tant que j’y suis, tu ne peux pas te décaler et te mettre plus dans le fond ? On ne voit que toi ! J’ai même pas la place pour ma fourche !

Nancy se recule jusqu’au perron de la maison.

R. P. : Bonne ambiance ! Votre bâtisse, c’est du style néogothique, n’est-ce pas ?

Byron : Oui. D’où le titre du tableau.

R. P. : Je vois, haha !

Byron : Hum…

R. P. : Hé !

Nancy tourne le regard à droite.

Byron : Vous êtes une sorcière, hein ? Aaah, j’en ai brûlé des comme vous ! J’me souviens de la vieille Dolly de Pawnee, c’qu’elle criait sur le brasier ! Vous auriez entendu ça ! Tous les chiens hurlaient avec elle. C’qu’on s’était marrés avec les autres. Tant que j’y pense, ‘y avait des chances pour que Dolly fût ta mère Nancy !

Nancy (s'approchant) : A-

Byron : MAIS TU VAS LA FERMER ?! J’dois te l’dire combien de fois ?! J’vais te…

Nancy hurle à la mort.

R. P. : Vous venez de lui planter votre fourche. C’est génial. C’est de l’humour « what the fuck », les lecteurs vont adorer [je brise le supposé quatrième mur et, en le disant, je casse un nouveau mur : un cinquième mais, comme il ne peut y avoir cinq murs dans une pièce, disons que je casse une cloison – vous savez, une petite cloison en placo qui n’est pas un mur porteur et qu’on peut casser pour faire une cuisine américaine].

A quoi servent ces zigotos ? Cette « iconisation » par les moldus de l’époque de l’Amérique rurale et de sa gente ne peut se comprendre que dans la division avec l’Amérique urbaine qui, dans l’esprit de beaucoup, vient de faillir suite au krach boursier de 1929. Les années 30 sont le temps du basculement d’une société rurale se concentrant sur l’agriculture vers une société urbaine et industrialisée. Les vêtements rappelant le mythe des pionniers semblent nous conduire à penser que le futur de l’Amérique, à cette époque, doit être rural dans une espèce de rédemption du citadin, vers un redressement de l’Amérique par la terre [NDLR : rappelons le livre « De la bêtise des moldus » par Mangemort 67]. Cependant, certains éléments du tableau nous invitent à nous méfier de cette « image d’Épinal » : l’idéalisation ne doit pas effacer les nuisances d’un puritanisme rural et nocif de certains moldus de l’époque ; il se dégage un aspect acariâtre, sale et triste. Oh ! Il n’y a pas ici de fumée provenant des usines mais cela semble bien maussade…

Et l’art dans tout ça ? Il nous parle !

... d'avoir toujours envie de confondre RICTUSEMPRA et SECTUMSEMPRA.

... de vous vanter toujours d'être un PRO SUR UN BALAI, mais de ne jamais dépasser les 80 km/h.

... de croquer à pleines dents dans les bonbons MARQUE DES TÉNÈBRES, mais de vous cacher à la vue d'une simple cape noire.

... de se dire anti-moldu, mais de quand-même TOUT SAVOIR sur leur monde. (#Incohérence )

... de vous prendre pour LE ROI (LA REINE) DU MONDE lorsque vous réussissez à battre l'un de vos catchs du Heurtoir.

... de grossir vos problèmes pour faire comprendre à votre ami(e) que non, il/elle n'a pas le MONOPOLE DE LA DOULEUR. Tout le monde s'en fout que toute sa famille ait été tuée - non ?

... de monopoliser les vendeurs d'Ollivander plusieurs fois par semaine sans jamais rien acheter juste pour vous remémorer L'ACHAT DE VOTRE PREMIÈRE BAGUETTE.

... de ne pas faire le trajet pour les vacances avec votre famille moldu parce que vous êtes "BIEN HAUT-DESSUS DE TOUT CELA". Le transplanage ce n'est pas fait pour les chiens après tout !

... de ne plus savoir quel est le goût véritable des CHOUX DE BRUXELLES à force de leur donner le goût du chocolat pour être sûr de tenir votre régime.

... de vous vanter d'avoir toujours UNE MAISON BIEN RANGÉE, mais de n'y avoir jamais passé le balai vous-même. La magie c'est pratique tout de même.

Mon premier est influent, mais n’est pas en nombre. Mon deuxième est craint, mais pas toujours. Mon troisième est fidèle aux convictions de ses ancêtres, mais cela varie selon l’individu. Mon dernier est domicilié à Serpentard, mais seulement à 35 %.
Qui suis-je ?

Je suis un membre des 28 familles de sang-pur reconnues par le « Registre des Sang-Pur » bien-sûr. Nous sommes d’ailleurs surprit d’apprendre qu’il y ait aussi peu de familles sur la liste puisqu’en cherchant un peu nous avons trouvé pas moins de 7166 sorciers et sorcières enregistrés comme sang-pur par le ministère. Alors pourquoi un tel écart entre le « Registre des Sang-pur » et les registres du Ministère de la Magie ? Eh bien pour comprendre, il a fallu étudier la chose un peu plus en détail.

D’après l’anonyme qui a en premier dressé la liste des « 28 sacrés » (nous savons qu’il s’agissait en réalité de Teignous Nott, mais le terme « anonyme » faisait mille fois plus classe !), on reconnaîtrait un sang-pur via de nombreux indicateurs que voici :
- l’apparition de capacités magiques avant l’âge de trois ans ;
- un don précoce (avant l'âge de sept ans) pour le vol sur balai ;
- une profonde crainte envers les cochons et tous ceux et celles qui élèvent ces animaux (le cochon étant perçu comme un animal non magique qu'il est très difficile d’ensorceler) ;
- une surprenante résistance aux maladies infantiles ;
- une grande beauté physique
- et une hostilité envers les Moldus décelable chez les nourrissons qui montrent des signes de peur et de dégoût en leur présence.

Sauf que voila, malgré toutes nos recherches nous n’avons trouvé aucun sorcier qui ait montré une quelque conque frayeur pour les cochons ou leurs éleveurs. Aucun, à notre connaissance, n’a manifesté un don pour la magie avant l’âge de trois ans. Quant aux maladies infantiles, nous n’avons tout simplement trouvé aucune information sur le sujet, comme si ça n’existait pas chez les sorciers. De plus, un membre de la dernière famille dont le nom a été rajouté à la liste disait lui-même de lui qu’il « manqu[ait] de puissance ». Seulement voila, n’ayant pas réussit à remettre ce bout de phrase dans son contexte, nous espérons juste pour le sorcier en question qu’il parlait bien de magie et pas d’autre chose (si, si, vous voyez de quoi on parle), car après tout, la magie ça se travaille, le reste… eh bien… ça dépend.

Nous avons donc continué à tester ces indicateurs un par un sur quelques cobayes et devinez quoi… rien ne laissait entendre qu’ils étaient fondés. Il n’y a que la thèse pour le vol sur balai qui pourrait être fondée puisque 17 joueurs de Quidditch (sur 36) sont répertoriés comme sang-pur. Un hasard ? Je ne crois pas…

Ainsi, comme le Département des mystères au 18e siècles, le Chicaneur n’à rien trouver qui puisse prouver le fondement des indicateurs imaginés par « l’anonyme », sauf, peut-être, le fait que les sangs-pur sont doués sur un balai. En plus du fait qu’ils sont aussi pourvus  d’une grande beauté physique et morale, comme environ… 99.99 % de la population (oui rien que ça).

Et maintenant découvrez en exclusivité dans votre journal préféré, les propos de quelques grands de ce monde, qu'ils soient sur le registre ou non :

À quel âge avez-vous constaté l’apparition de capacités magiques ?
Anthony Adams : Dès la sortie du ventre de ma mère ! Hum... Non, à 7 ans comme tout le monde.
Daemon Stebbins : Mes pouvoirs sont apparus lorsque j'avais 6 ans, la veille du départ de ma sœur pour Poudlard.
Ambroisie Palel : On va dire que mes souvenirs de l'enfance sont assez approximatifs mais il paraît que j'ai réussi à renverser le café de mon grand-père sur son pantalon à l'âge de 7 ans... Heureusement il n'avait plus besoin de faire d'autres enfants...

Et comment vous débrouillez-vous sur un balai ? Depuis quand en faites-vous ?
Anthony Adams : Vraiment très très mal. La preuve, je fais parti de l'équipe de Quidditch des Poufsouffles, faut vraiment être nul pour ça. Donc j'en fais depuis environ 25 ans. J'en ai 23.
Daemon Stebbins : J'adore voler et je suis plutôt bon. J'en fais depuis que mon père m'a offert un mini-balais pour mes 5 ans. Même si je volais ave lui sur le sien avant cet âge.
Ambroisie Palel : Alors je ne suis déjà pas douée avec un balai alors dessus... J'en fais depuis que mes frères ont décidé de me tuer quand nous étions enfants parce que j'étais la chouchoute des parents ! Bon allez plus sérieusement on va dire que je me débrouille moyennement pour ne pas vexer mon ancien professeur de vol !

La prochaine question va vous paraître un peut étrange peut-être, mais avez-vous peur des cochons ?... Ou des personnes qui les élèvent ?
Anthony Adams : Meh. C'est mignon les cochons. Regardez :
Bon par contre ceux qui les élèvent ont peu pas niés qu'ils sont un peu flippant...
Daemon Stebbins : Non absolument pas. Surtout au vu de ce que ma sœur a eu comme bestioles immondes. Les éleveurs de cochons sont des personnes comme les autres.  
Ambroisie Palel : Il paraît que l'élevage de cochon et la consommation de leur viande fait vivre plus vieux, en tout cas quand on voit les chinoises ça fonctionne. Je vais sûrement me lancer dans un élevage du coup...

Vous ou quelqu’un dans votre famille a-t-il été touché par une quelque conque maladie infantile ?
Anthony Adams : Je crois pas. A moins que la c*nnerie de mon paternel soit une maladie.
Daemon Stebbins : Aya Stebbins a eu la dragoncelle quand elle avait quatre ans.
Ambroisie Palel : Si la débilité est une maladie infantile qui frappe à la naissance je pense que un de mes frères aînés est atteint !

Aujourd’hui vous êtes plutôt séduisant(e), mais étiez-vous un beau bébé ?
Anthony Adams : EVIDEMMENT. La preuve en image :
. Ma mère trouvait que j'étais le plus beau bébé du monde.
Daemon Stebbins : D'après mes parents oui. Mais si vous demandez à ma sœur non. Moi je dirais que j'étais un bébé normal avec un magnifique sourire par contre.
Ambroisie Palel : Merci du compliment ! Alors quand j'étais petite on m'appelait le cadavre, rapport à mon teint pâle ! Et à vrai dire ça n'a pas beaucoup changé ! Mais bon, une femme reste une femme, ça plaît toujours à au moins quelqu'un !

Dernière question et sans doute la plus délicate aussi (quoi que non en fait) : Quand vous étiez nourrisson, et je parle uniquement ce cette époque, avez-vous manifesté des signes de peur ou de dégoût face à des muldus ?
Anthony Adams : Jamais ! Sauf une fois au chalet... Enfin ça dépend. C'est quoi un muldus ?
Daemon Stebbins : Je n'ai jamais eu aucune peur face à un autre être humain.
Ambroisie Palel : Essayer d'étrangler la fille des voisins qui avait le même âge que moi quand nous étions invités chez eux ça compte ?

Et toi Invité ? Qu’en penses-tu ? Es-tu un sang-pur ?

***

Le Chicaneur remercie chaleureusement (pas trop non plus) les sang-purs pour leur participation. Même les retardataires !

Il y a tant de mystères qui entourent le Chicaneur, tant de questions qui n'ont jamais trouvé de réponses... Rassurez-vous, nous le savons et surtout, nous aimons en jouer ! Ce ne sont d'ailleurs pas les rumeurs sur nos locaux qui manquent, alors la plante-en-pot sur le bureau de la rédactrice-en-chef a eu une idée : donner l'occasion aux lecteurs de décrire son journal de rêve. Néanmoins, comme une plante ne peut pas avoir d'idée, j'ai décidé que je m'attribuerais seule le mérite de cette idée. Mouahahahaaa !

Le thème sera donc : Imagine mon Chica (parce qu'on est une bande de narcissiques et qu'on a besoin d'amour).
A vous désormais de décrire les locaux de la rédaction et ses rédacteurs. Pour cela rien de plus simple, envoyez moi votre participation par MP.
Attention toute fois, votre texte devra contenir entre 600 et 2000 caractères.
Vous augmenterez vos chances de gagner si vous placez les mots suivants :
- Cucurbitacée
- Prolégomènes
- Avalanche
- Paramécie
- Crinière
- Subaquatique

Première place : 6 gallions
Deuxième place : 3 gallions
Troisième place : 1 gallion

Bonne chance à tous !
On vous aime !