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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Londres ~¤~ :: Rues de Londres
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Devant le Palais de Buckingham
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Daemon Stebbins
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Re: Devant le Palais de Buckingham
Daemon Stebbins, le  Sam 14 Juil - 18:39





Double illusoire

Lizzie Bennet - Daemon Stebbins
L.A à la demoiselle

“Contre qui luttons-nous jamais sinon contre notre double ? Contre cet autre en nous qui cherche à nous faire entendre que le monde n'a pas de sens ?”


• ♫♫♫ Choix de Dey










Lorsque mon double me répond positivement à ma remarque en disant que j'étais devin, j'étais plutôt sidéré d'avoir taper dans le mille. Pendant ce temps le temps défilait. J'aurais aimé qu'il s'accélère plus mais c'était le contraire. Il s'écoulait aussi lentement que le débit d'une rivière en plein été lorsqu'elle était quasiment asséchée.

* Mais pourquoi j'ai choisi ce maudit sort. Je vais galérer avec ce voleur d’apparence vue son état. *

Puis il ou elle me sortait qu'à travers mon regard le monde il est beau. Je suis encore plus abasourdi. Même moi je sais que le monde n'était pas toujours beau. Qu'il pouvait être dur, impitoyable. Par moment, il semblait sans espoir même. Pourtant parfois, il y avait un petit quelque chose qui redonnait de l'espérance et qui redonnait foi en ce dernier.

- Ton monde doit être vraiment terrible pour que tu le trouve beau à travers le regard d'un type comme moi. Parce que tu as choisi la mauvaise personne. Je ne suis pas franchement quelqu'un de bien. Plusieurs filles pourraient te le dire. Je prends ce qui m'intéresse sans me soucier de ce qu'elles peuvent ressentir. Certes je ne les prends pas en traitre, elles savaient à quoi s'en tenir. Cependant le lendemain, je leur enlève l'espoir de pouvoir me garder car je disparais toujours au petit matin. Ce n'est qu'un lit vide et froid à ma place quand elle me cherche...

Oui j'étais conscient de mes actes. Toutefois sous l'emprise de l'alcool, j'étais un autre plus sombre, fait uniquement d'envie à assouvir et de désirs désillusionnés. Rien de plus qu'un être torturé par un cœur brisé et qui s'était forgé une carapace que plus personne ne pourrait franchir. Enfin c'était ce que je songeais à ce moment là de mon existence.

Puis soudain je me voyais posé ma tête de mon imposteur sur ma propre épaule. Cela a provoquait des sensations étranges et dérangeantes. J'étais mal à l'aise et pourtant ce signe me donnait un indice sur le sexe de mon double. Il ne pouvait s'agir que d'une femme. Ce n'est pas le genre de geste que ferait un garçon avec un garçon. Enfin généralement dans quatre vingt cinq pour cent. Parce qu'il pouvait toujours s'agir d'un homo. Néanmoins mon instinct me faisait sentir que la première option était la meilleure. Je m'y étais donc accroché.

Et il y avait eu cette question philosophique inattendue.

- N'importe qui sur la terre ? Non je ne changerai pas. Je resterai moi même si j'avais le choix. Parce que de toute façon, ce genre d'hypothèse ne mènent à rien. C'est nos expériences, les gens qu'on croisent et les chemins de vie que l'on emprunte qui font de nous ce que nous sommes. Puis si on y réfléchie bien, nous ne sommes jamais fini car nous évoluons sans cesse au fur et à mesure du temps. Les regrets et les remords, je fais avec même si c'est pas toujours évident. L'alcool aide bien parfois ou bien le sexe. Pendant quelques heures, je ne ressens plus rien que le plaisir de l'instant. Tu me diras, c'est peut-être une autre forme de fuite semblable à la tienne. Mais à la fin de la journée, je sais toujours le sale type que je suis quand bien même certaines personnes me disent le contraire. On doit jouer notre existence avec la main qu'on a. Après on peut toujours tenter de changer notre donne même si Merlin ou plutôt Morgane s'en mêlent.

Voilà tout ce que je pouvais lui répondre...




by Daemon

Lizzie Cojocaru
Lizzie Cojocaru
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Re: Devant le Palais de Buckingham
Lizzie Cojocaru, le  Dim 5 Aoû - 22:33

Il me dit que j’ai mal choisi mon corps. Je crois qu’il a tort, et que quand parle son coeur, il n’a pas le courage de me lâcher, d’abuser de mon état pour soutirer des informations dangereuses. Son seul crime est d’être un coureur de jupons ne restant pas longtemps au pieu — ma foi, je l’ai fait aussi. Je ne peux pas le juger. Evan aurait sans doute plus de mal à pardonner ce type d’injure, mais pour moi, ce n’est en rien une infidélité. Il ne s’agit que d’assouvir des pulsions réciproques, et de reprendre sa voie.

Ce sont ceux qui espèrent plus qui se fourvoient tous seuls. Ils sont trop gourmands, veulent plus du monde et d’autrui que ce qu’il peut donner. Le garçon n’avait rien fait de mal, vraiment.

Il avait cependant une arrogance qui l’aurait fait tomber, aux yeux du loup judéo-chrétien, en plein péché d’orgueil. Il s’aimait, et n’aurait choisi d’être que lui. Damn. J’étais surprise. Il aurait pu dire qu’il ne savait pas, ou prendre le temps de réfléchir, ou faire semblant, je sais pas, mais c’était sorti avec ce naturel désarmant qu’ont seuls les adolescents.

Sa leçon de philosophie insistait sur l’importance des rencontres, que je rejetais d’un battement de cils. Moi, les autres, je les aime pas. Et vous savez, ils ne me touchent pas. Ils ne changent pas qui je suis. Je garde une essence intime, formée au cours de mes vingts premières années, et à laquelle je compte bien être fidèle, même si toute évolution n’est pas impossible. Ce sont des changements marginaux, des accrocs et embellissements d’âme, mais qui ne modifient pas l’essence en elle-même. Enfin, je crois. J’ai besoin d’être fidèle à quelque chose d’enfoui au fond de moi, sous ces visages étrangers.

Il me dit sa fuite à lui, le sale type sous l’influence de Morgane, par l’alcool et le sexe. Je souris. Je connais ça aussi. On se ressemble peut-être plus qu’on le croit, cher double illusoire… Et pourtant, il le dit avec une telle certitude que je songe qu’il noircit sans doute le tableau. Qu’il est incroyablement exigeant avec lui-même, et que c’est ce qui lui donne cette étrange amertume dénuée de remords.

Ma voix s’étire comme une plainte sous l’effet de l’alcool. Je ne m’aperçois pas que mes cheveux s’allongent, que mes formes se font inadaptées à cette tenue.
— Je suis une éternelle insatisfaite. Je ne sais si j’ai une mauvaise main, ou si je ne sais juste pas la jouer… La prochaine fois, j’appellerais le roi de pique. On sait jamais, peut-être aura-t-il un jeu digne de ce nom.


Dans un rapide regain de conscience, je crois m’apercevoir de ce qu’il se passe. Prise de panique, je m’éloigne de lui, recule et trébuche. Un éclat de malice, embué de fatigue, dansait sur mes lèvres.
— La prochaine fois oui, peut-être.

Il eut le temps de reconnaître mon visage. Une seconde, peut-être deux, mais c'était déjà trop. En reconnaissant l'inconfort de ce corps là, je transplanais vers une ruelle adjacente. Assez loin pour ne pas m’exposer plus longtemps, assez près pour limiter les désartibulations. Il fallait que j’évite de prendre des corps d’ici. Peut-être que si j’empruntais des cheveux lors de voyage, je n’aurais plus ce genre de problème…

Cette nuit-là, l’idée d’arrêter le Polynectar ne me vint pas. Il y a des choses qui prennent du temps à accepter ; mais la rencontre avec le surprenant bonhomme me mit sans doute sur la bonne voie.

(fin pour moi)
Daemon Stebbins
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Re: Devant le Palais de Buckingham
Daemon Stebbins, le  Sam 11 Aoû - 20:52





Double illusoire

Lizzie Bennet - Daemon Stebbins
L.A à la demoiselle

“Contre qui luttons-nous jamais sinon contre notre double ? Contre cet autre en nous qui cherche à nous faire entendre que le monde n'a pas de sens ?”


• ♫♫♫ Choix de Dey










Je n'avais pas eu le temps de dire Merlin que la femme, oui c'était bien une jeune femme même qui m'avait volé mon visage, me répondit rapidement avant de se volatiliser. Je n'avais pas compris cette nouvelle fuite. Peut-être que Lizzie Bennet, c'était ainsi que ma cleptomane s'appelait était mal à l'aise d'avoir été pris la main dans le sac comme disent les moldus. Elle avait transplané à la va vite, je ne savais où. En tout cas, peut-être qu'un jour j'aurais le fin mot de cette étrange rencontre si je la revois un jour dans des circonstances plus propices. Pour le moment, je restais sur place à continuer de contempler le vide où mon bras tenait les épaules de la sorcière quelques instants plus tard. Malgré ma logique, je n'ai pu m'empêcher de me dire :

- Un jour, petite cleptomane, je te ferai raconter ton histoire et je comprendrais enfin pourquoi tu as agis ainsi.

J'étais encore resté une seconde à contempler le vide et puis j'avais fini par reprendre le cours de ma vie. Mélange d'abus d'alcool, de fête et de dépravations avec les filles qui le voulaient bien. J'ignorais quand cette spirale se terminerait. Mais j’espérais que quelque chose viendrait briser ce cercle vicieux dans lequel je m'enfermais sans vraiment chercher une porte de salut...

- Merlin, si vous avez un jour cinq minutes, penchez-vous sur mon cas.

J'avais repris le chemin des bas-fonds de Londres afin de m'étourdir comme chaque soir depuis ma rupture magistrale avec Elhina...


(Fin du rp ----> Merci Liz)


Elhiya Ellis
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Re: Devant le Palais de Buckingham
Elhiya Ellis, le  Lun 24 Sep - 15:42


Écailles sans poivre


Pv Elliot

Les nuits se suivaient et se ressemblaient un peu trop à ton gout. Le bâillement au cils, l’envie de changer d’air aux lèvres, t’avais laissé derrière toi tes petites boules de poils au bon soin de Jasper et déambulais dans les rues bâtonnet de nicotine sur le bout de la langue. Pas de lune ce soir, l’humeur bougonnait naturellement de cette absence quand les volutes de tabac dessinaient des ronds dans le ciel d’ébène. En seuls compagnons toléré par tes maugréassions personnelles : tes deux salamandres. Whisper et Mumble semblaient avoir du mal à trouver leurs marques dans ton appartement, sans parler que Shadow avait tendance à leur sauter dessus à la moindre occasion. Les deux petites avaient bien besoin de souffler un coup, et toi de laisser tes pensées filer vers l’ancien propriétaire d’une des deux pour te ressourcer.

Cela faisait un moment que tu n’avais plus eu de nouvelle de « Lui ». Sans connaitre son nom, son visage, son sourire ou son rire, t’avais, sans trop savoir comment, fini par te prendre d’affection pour l’auteur des lettres anonyme. Il y’avait dans sa détresse, dans ses mots couchés à l’encre parfum, ce petit quelque chose qui t’avais atteinte. Alors, forcément, loin du château, loin de tout ce qui avait pu faire tes repères, tu te demandais comment il allait et s’il avait cessé de se couper avec les feuilles de parchemins. Les deux écailleux le comprenait peut-être, pelotonnés chacun au creux de ton cou, ils restaient au chaud, sans chercher à se balader, en petits totems d’espoir vivant. Quelque part, tu en avais conscience, tu avais refusé de les laisser à tes parents pour pouvoir te nourrir des souvenirs doucereux qu’ils trainaient sous leurs écailles. Triste sentimentalisme qui pourtant te permettait bien souvent de rester debout sans dévier de la route que t’avais choisi.

D’ailleurs, il en dirait quoi ce « Lui », si tu en venais à lui confier ce qu’il en était ? c’était plus lui que toi qui c’était confié lors de ces échanges épistolaires, tu aurais aimé pouvoir renverser la balance et te soulager un peu de tout ce que tu trainais sans avoir à te soucier de ce que l’autre en pensait, vu que les mots partagés restaient dénués de jugement. Ça te manquait, il te manquait lui aussi, et tu ne pouvais rien y faire. Agacant constat qu’une longue bouffée de nicotine embrassait à plein poumons. Ce genre d’état d’esprit régulier commençait à t’irriter, tu avais l’impression de ne pas avancer, d’être ralentie par le poids des manquant jour après jour, et pourtant, tu ne voyais pas comment t’en débarrasser autrement qu’en laissant le temps faire. Pour l’heure, il n’était pas ton ami d’ailleurs, t’aurais juste voulu pouvoir tourner la page des disparitions et t’adapter en un claquement de doigt. Comme tes deux compagnes d’écharpe.

Un soupir perdu aux astres invisibles, tu t’asseyais sur un rebord de muret, les pieds dans le vide, à les balancer comme une gamine, le nez vers la toile stellaire vide. Les idées filaient, comme Whisper, ou Mumble – tu n’avais pas vu- qui sautait soudainement quand que tu ne puisses la rattraper
Vanille Fleury
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Re: Devant le Palais de Buckingham
Vanille Fleury, le  Mer 23 Jan - 21:35



pv. Shae

Je pourrais décrire mon état d'âme, parler de ce qui ne va pas, la noirceur de mes pensées, le revers des sourires que j'offre. Ouais. Je pourrais vanter mes déboires, compter les fois où j'ai manqué à mon devoir, avouer mes fautes puis me faire l'avocat du diable. J'ai pas le temps d'être faible, parce que le temps c'est de l'argent, c'est d'être grand, c'est d'être maman. Je me perds un peu entre le boulot et le boulot on pourrait croire que j'ai pas assez de temps pour changer des couches et je sais pas comment elles font ces autres qui tout proprettes assurent sans rides, sans cernes. Je suis pas parfaite, mon âme à la dérive, je bois la tasse de la maternité et c'est pas du lait sucré.

Qu'est-ce que je fou là ? J'suis pas en train de gâcher ma vie ?
J'avais pas un avenir ou d'autre envie ? Je me crève dans la routine qui me lacère, quand les lambeaux de peau tombent de mon enveloppe décharnée. J'ai faim, nourriture de rien, je courre partout et on me dit de perdre du poid. J'ai peur, quand j'passe devant le miroir, je sais plus trop qui de dois croire - la société ou mon regard.

Allez, viens, on casse les codes. Sautons par dessus le mur, le paysage est plus beau de l'autre côté, on vole vers un autre de main mais m*rde, il reste qui pour me tenir la main ? J'ai pas envie de me réveiller, je tiens debout grâce à son sourire, mon cœur bat trop vite et mon corps n'arrive pas à suivre. Je suis pas assez forte et je le sais, je suis pas assez forte mais qu'importe à la société. Faut sourire, faut être belle, faut faire croire. Le monde pailleté se perd dans ses propres illusions. Je voulais tellement être différente mais je suis devenue un parfait mouton. Regard l'enfant aux beaux yeux, celle au visage d'ange et aux longs cheveux. C'est elle qui fait culpabilisé les gamines en surpoids, la dame à la vie parfaite, l'idiote qui utilise son corps pour gagner sa vie. Quelle honte, vraiment.

Je crois qu'ils ont pas compris.

Je suis plongée dans mes malheurs, c'est mauvais, je crois que je voulais pas. Avoir le cafard c'est pas simple, la spirale nous entraîne et on finit par plonger loin. Je peux pas faire ça, aujourd'hui, j'ai plus le choix. Je ne suis plus seule, je dois faire vivre ma fille, je veux pas qu'on me l'enlève, je n'y survivrais pas. Alors, j'avance, même si c'est compliqué, même si ça fait à ch*er de mal. Parce que je n'ai plus le choix, le monde en a assez de mes caprices, il veut plus d'une ado, il veut une grande, quelqu'un qui boude, qui fait tourner le système. Je peux plus me rebeller, je fais partie du courant, poussée sans cesse plus vite à aller de l'avant. Le moteur gronde, j'ai du mal à m'y faire, j'y du mal à y vivre à alimenter la fournaise.

Mais c'est ici qu'est ma place, on me le rappelle chaque joue. C'est là que je marche, entourée des morts-vivants privés d'amour. J'avance ou je crève, encore et encore, mais c'est pas vraiment nous qui bougeons, figurations, derrière on déplace le décor.

Je crois que c'est pour ça que quand je te vois, j'ai pas envie. Non, je veux pas. Comme si j'avais peur que tu me salisses parce que comme d'autre tu es iréel.le et ça on n'aime pas, non, monsieur tous le monde ne conçoit pas. J'ai presque envie de baisser la tête pour accélérer le pas. Ne rien avoir à faire avec toi. Je voudrais être en colère, te reprocher le manque de nouvelles mais je ne t'ai pas cherché.e alors je me tais. Il y a cette tension dans l'air, celle qui dit que je te connais, celle qui demande si je dois le montrer. C'est pas poli de ne pas saluer.

Je croise ton regard de ma propre volonté. Je veux voir qui tu es devenu.e et tu es tellement instable que j'avoue ne pas savoir qui je vais trouver devant moi cette fois. Mais en moi jaillit un feu. Brasier que personne ne pourra jamais éteindre. Et c'est étrange mais ça me rappelle l'amour, toi, tu me rappelles Amy, tu me rappelles ce qui s'appelle une famille. J'ai envie de rire parce que c'est tellement étrange, c'est tellement pas comme ça. Mais je me mords la lèvre pour pas pleurer. Je crois que j'ai besoin d'un câlin, ouais, un vrai. Une étreinte dans laquelle je sens tes mains, tes griffes m'enserrer.

Shae ? Presque autant pour confirmer que pour interpeller. C'est moi, Ellana. Ce au cas où elle ne me reconnaîtrait pas. Tous le monde ne cessait de dire que j'avais changé. Je suis désolée, je voulais... Enfin j'étais pas mal occupée et puis je, hum, tu vois, t'as pas donné de nouvelle. On commence par les excuses et puis quand on se rend compte qu'on en a pas de valable on envoi directement les reproches. C'est la tactique utilisée, celle qui permet de garder contenance. Mais ce sont de fausses excuses et de fausses reproche parce que plus que jamais, je suis prête à réessayer. Les histoires familiales, c'est pas notre fort, hein ?

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