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Notting Hill
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Re: Notting Hill
Invité, le  Lun 29 Jan - 12:43

La station de métro était bondée de monde. Les gens se dépêchaient de rentrer avant que la neige devienne trop abondante et ils avaient raison. De plus, une odeur étrange semblait émaner de cet endroit. Dépêchons-nous avant que je ne fasse une intoxication. Une fois dans le wagon du métro, celui-ci se mit en route si brusquement que je faillis tomber à la renverse. Quoi de mieux que de se taper l’affiche dans ce lieu noir de monde ?

La jeune fille indiqua le trajet à suivre jusqu’au Chemin de Traverse, ce qui rassura le petit Jacquie. Au moins maintenant, il n’était plus perdu et savait où aller. Intérieurement il remercia le bon Dieu de cette jolie rencontre. Une sorcière, aimable en plus, cela se faisait de plus en plus rare de nos jours.



« Merci beaucoup pour ton aide, elle m’est très précieuse. J’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir au château ! »
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Re: Notting Hill
Invité, le  Lun 29 Jan - 21:02

Lancaster Gate s’approcha plus vite que prévu. Finalement, le métro s’avérait presque aussi pratique qu’un balai. Encore des remerciements, décidément ce garçon était très poli, en plus d’être vraiment souriant. On aurait dit un petit chiot abandonné, tout perdu et le regard plein d’espoir.

Alors que les portes s’ouvraient, le brun formula un souhait, une attente, une espérance. La japonaise lui dédia un sourire, doux et discret. Elle attendait impatiemment une prochaine rencontre fortuite au détour d’un couloir. Petit signe de la main et la rame était repartie.

Aoi remonta dans les rues glaciales de Londres, la neige tombant à gros flocons sur les routes bétonnées. Mais cette coïncidence bienheureuse la gardait encore au chaud.

Fin du RP
Merci à
Jacquie :kiss:
Gaëlle Panyella
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Re: Notting Hill
Gaëlle Panyella, le  Lun 26 Fév - 20:19

PV Mady
Nuages dans les étoiles

Une coulée de mots s'étirent dans la rivière d'eau de maux. Les enfants aux genoux écorchés courent après eux. Le sourire au bord du coeur je n'ose réfléchir ; je m'en vais à leur poursuite. Ces jambes si longtemps restées dans une staticité à faire frémir les plus hardis se remettent en route : nous nous mettons à la poursuite des bambins qui ne cessent jamais de s'en aller respirer sur les bords des lacs gelés. Suis-je après eux ou avec eux ? La question est bien difficile quand on y pense. Au final nous nous ressemblons alors peut-être que je dois m'épuiser pour les petits lâches lettrés et non pour ceux qui tentent tant bien que mal de les attraper.

Je ne suis qu'enfant
entre les pieds des grands
qui marchent de plus en plus vite
Je ne suis que petite fille
aux coudes blessés
ravagée de larmes séchées

Me résumant à cela, je continue à faire partie de cette troupe qui s'acharne malgré les obstacles grandissants. Entre ces corps qui veulent rattraper tout ce qui leur appartenait. Nous voulons tous la même chose et pourtant ça reste inaccessible. Un lasso tourbillonne dans le ciel pour ramener tous ces voleurs sans coeurs qui ne veulent rendre ce qui nous est dû à nous. Quelques bribes de temps suffisent pour laisser place à cet illusionniste que l'on connaît tous. Petit à petit chaque enfant trouve ce qu'il était venu chercher, les cordes s'envolent dans les airs et la mienne bat avec plus d'intensité que celles des autres pourtant au final ils disparaissent tous en récupérant du frivole ou des babioles ; que ce soit un rêve d'antan ou bien des parents perdus depuis de longues années. Quant à moi je continue à battre le vide sans rien trouver jusqu'à me retrouver à nouveau esseulée.

Ils ont tous fini
par devenir ces pieds
qui les inquiétaient tant
Ils ont tous terminé
par devenir ces grands
dont on avait peur avant

Perdue dans une rue aux allures colorées - surprise - elles ne se sont pas dérobées. Yeux plissés pour vérifier j'inspecte chaque partie de l'endroit, les coins bordés et les toits enchaînés mais non ce n'est pas une mauvaise blague. Un rire sans pareil s'empare du vide de l'idéal si beau que j'en perds les larmes ; elles coulent dans une joie immense - un soulagement intense - nous ne sommes plus si seules que ça et c'est un véritable début de victoire. Tête redressée j'observe chaque bâtiment un par un, allant même jusqu'à sautiller, droit devant jusqu'au pays du soleil levant.

La tête dans les nuages peut-être mais jamais une ville n'était apparue aussi sublime à mes yeux. Elle semble comme entourée d'une nitescence sans pareil, impossible à dérobée même avec les mains du plus grands des usurpateurs. Je la trouve grande et me sens si petite ; ce qu'elle dégage m'est complètement inconnu. Au-dessus le ciel est bleu, le soleil s'amuse à faire briller les façades qui se superposent les unes aux autres.
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Re: Notting Hill
Madilyn Nebulo, le  Ven 9 Mar - 19:14

Qu'est-ce qu'elle faisait là, tu n'en savais rien mais finalement tu en as été heureuse. Tu vois sa silhouette, aujourd'hui enfantine, et c'est une nouvelle couleur dans le kaléidoscope que tu te fais d'elle, c'est joli. Petits sauts et malice infantile, tu vois ses grands yeux capturés par la beauté du soleil naissant, et c'est comme si on assistait à l'aube du monde, une nouvelle fois. Le ciel n'est que clarté, quand nous ne sommes qu'ombres, profils noirs découpées sur le ciel orangé. Fulgurance de la lumière couleur de l'or, fait miroiter une perle d'eau tombée de son œil, toboggan sur sa joue et son grain de peau reflétant le spectacle. Tu aimerais presque rester dans la pénombre et assister dans le silence à l'éveil de l'étoile, mais tu veux qu'en plongeant dans ses souvenirs, elle te trouve quelque part sur un coin, confondue dans le crépuscule de l'instant, silhouette qu'on devine difficilement, mais pourtant bien une présence perceptible. Mais tu veux faire partie de ça, au moins un peu.
Tu te souviens de l'enfant de la peur, qui avait vaincu l'effroi pour passer de l'autre côté du mur avec toi. Tu te rappelles du tourbillon dans ta tête qui t'avait emporté, du trou dans tes yeux et de l'inquiétude dans les siens. Elle ne te connaissait pas, c'est vrai. Mais elle te cherchait, tapie au fond de tes pupilles, voulait s'assurer que tu étais là.

Timide chaleur sur ta peau, le soleil parvient à toi et en un coup de vent t'es parvenu à ses côtés. Un deuxième et une larme a rejoint la sienne. Tu prends sa main, comme deux enfants vos regards restent rivés à l'horizon coloré, et tes cheveux flottent doucement.

C'est beau...

Et c'est vrai. Tu te sens emplie du monde et de tout ça, tu coules dans le ciel et dans la terre, vulgaire goutte d'eau ou rayon de soleil, modestes et essentiels. Éphémères. Tu respires et tu inspires juste ce moment, pour qu'il soit toujours imprégné en toi, même juste un peu, quelque part. Un coup d’œil fugitif vers elle, elle a le ciel et toutes les couleurs son visage. Tu voudrais en rajouter tellement encore à ton kaléidoscope...

J'ai plus peur maintenant, tu sais. J'ai détruit le mur. Et y a le ciel derrière, c'est joli.

...

J'suis contente que tu sois de l'autre côté avec moi.
Gaëlle Panyella
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Re: Notting Hill
Gaëlle Panyella, le  Mar 20 Mar - 22:30

Les yeux du ciel me regardaient fixement. Vous savez parfois j'y voyais comme des soucoupes volantes. Des petits éclairs vifs dans l'immensité bleu. Mais du vert dans la mer céleste, ça ne passait pas inaperçu. Il y avait bien des sorciers, alors pourquoi pas des reptiliens et d'autres créatures surnaturelles ? Je ne pouvais pas le savoir, j'étais encore trop loin, trop loin dans ma cervelle, dans mon corps, trop préoccupée par ces changements soudains et cette merveilleuse palette de couleur qui s'offrait à moi après presque une année sans voir ne serait-ce que la moindre nuance par moi-même. Mon coeur batifolait, la nostalgie engourdissait mes sens ; en réalité, seuls mes yeux n'ont jamais aussi bien fonctionné qu'à cet instant. J'étais un bambin qui découvrait la beauté du rouge du jaune et du bleu pour la première fois. Et je crois que rien n'est mieux que de découvrir ; ou de rédécouvrir, quelque chose de nouveau voire un manque persistant.

Aussi, quand sa main avait rejointe la mienne je n'avais d'abord pas prononcé le moindre mot, non ; je n'avais pour ainsi dire même pas cherché à savoir à qui appartenait ces doigts. Je continuais de regarder les pâtés de maisons roses, bleus, beiges et violets. Ces façades étaient magnifiques et rien que par leur devantures vendaient du rêve à des kilomètres. Le soleil titillait mes cheveux, mes lèvres sèches attendaient avec impatience la brise ou un peu d'eau. Et pourtant c'est la bouche entrouverte que je regardais sans pouvoir m'en détacher. Le spectacle était merveilleux.

Et puis, tu as parlé, et là j'ai su qui se cachais derrière cette paume. Pourtant ta voix avait changé, tu n'avais plus ce bruit guttural angoissant que je te connaissais, mais plutôt un son au goût sucré ; une saveur qui me rappelait la fin de notre entrevue, après la peur, le chat, la souris, les inversions, puis ce mur que nous avions passé toutes les deux pour le meilleur et pour le pire. Tu n'étais plus la fille qui s'ennuie, tu étais quelqu'un qui au final me ressemblait. Toutes les deux femmes par naissance, toutes les deux ombres par acquis. Et tu me disais que c'était beau, transmission de nos pensées respectives qui se rejoignent en une. Il n'y avait pas à dire, Notting Hill enchantait avec brio son univers. J'étais dans un cocon doux alors que je venais tout juste de jouer à touche-touche avec les mots-maux. Mes propres pieds ne m'effrayaient plus. Il y avait ce renouveau dans l'air, un renouveau qui ma foi était extraordinaire.

Tu m'avais dis que le mur était détruit. Et qu'il y avait le ciel derrière. Alors c'était donc toi l'enchanteresse qui avait donné cette magnificence au monde sans la garder pour toi ? Il existe depuis toujours Mary. Pas grave. Si Stella disait ça, ça voulait dire qu'elle n'avait pas fracassé les briques que pour elle mais pour deux, soit un travail plus grand, plus conséquent, encore plus admirable ; avoir la force de se battre pour une était déjà compliqué à obtenir, pour deux, la tâche me semblait quasiment impossible, aux limites de l'inimaginable.

Si tu as fracassé le mur, il n'y a plus de côté non ? Juste un tout ? J'avais envie de cette uniformité, qu'on devienne tous une seule cellule, un corps ensemble mais aux organites multiples et différents. Différence dans l'assemblage, respect de tous et de tout le monde. Idéaliste à mes heures perdues, quand le monde me permettait de penser à autre que moi. Loin du sang. Tes cheveux sont flammes au soleil. Je n'avais pas réalisé jadis à quel point ils étaient beaux. Physique était une futilité mais au final, maintenant que j'avais le loisir de m'occuper de choses frivoles, je n'allais pas m'en passer.
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Re: Notting Hill
Madilyn Nebulo, le  Sam 14 Avr - 20:21

Tes yeux flottent, virevoltent et s'élancent, voyageurs vers les sublimes cieux qui s'exhibent, grandioses, ce soir. Tu captures les couleurs, les formes, images et nuances, et déjà ton imagination part en vrille, donnant naissance à milles épiques scénarios peuplés d'horizons rosés, de soleils dorés et de nuées nuageuses oniriques. Une enfant sous le ciel. Deux enfants sous le ciel. Tes petits doigts au creux des siens et inversement, c'est pur, c'est simple, c'est beau. Ses jolis cheveux à la lumière moins artificielle que ta tignasse, plus modestes, mais y a une jolie lueur à travers cette ébène noire. Reflets irisés du songe pourtant authentique qui couvre de sa coupelle le monde et le temps au-dessus de vous deux. Tu te sens comme tout en haut, mais t'es toute petite aussi. Y a plein de paradoxes en ce moment précis, mais tu t'en fous, t'as plus trop envie de réfléchir à tout ça. C'est juste vous deux face à l'immensité crépusculaire.

Immobilité, pas de réaction. Elle laisse sa main dans la tienne, yeux accrochés au ciel, lèvres entrouvertes, incapable de se détacher de la contemplation et se fichant du voisin et du reste. Tu trouves ça beau. Iris dilatés, reflets dans les pupilles, chastes coloris qui fuient et courent dans ses yeux. Kaléidoscopes multiples et arcs-en-ciels aux mille teintes nouvelles et inconnues.

Elle écoute, elle pense, c'est bien parce que t'as plus du tout ce trou béant au fond des prunelles, alors elle voit pas le vide en te regardant. Puis elle al'air...admirative. Du monde. Du ciel. De toi ?


Si tu as fracassé le mur, il n'y a plus de côté non ? Juste un tout ?

Tu continues de scruter l'infini, sans barrières ni mur, d'une hétérogénéité étrangement homogène, avec tous ces orangés, ces roses, ces dorés, ces jaunes, ces rouges. Une brume dégradée avec des taches de différentes couleurs qui forment comme une mini-aurore boréale, une beauté. Non, pas de lignes et de limites. L'infini, c'est peut-être ça, la solution, la clef. De tout, de toi, d'elle, du mur, du monde.
En fait y aura toujours des bribes du mur fantôme dans ton esprit, dans ta mémoire. Il est là, un peu, mais c'est qu'une illusion parce que maintenant vous êtes affranchies du mur et du reste. Maintenant vous êtes libres. Alors non, y a plus de côtés. Mais encore un peu, à peine. Et puisqu'il en reste encore un peu, c'est que vous êtes du bon.

Non y en a plus, plus de côtés. Mais dans mon esprit, y aura toujours une marque du mur dictateur. Et on est du bon côté.

Ciel hypnotique, toutes les deux prises au piège de magnificence, accrochées dans la toile. Si belle...

Loin du sang. Tes cheveux sont flammes au soleil.

Ses yeux se sont décrochés, à présent plongés dans ta toison enflammée. Ton regard quitte avec regret les cieux élégants et rencontre tes boules rousses. Le reflet du ciel, pâle copie de la réalité magnifique s'imprime timidement sur les mèches ondulées. Tu laisses le silence répondre au compliment fleuri. Et puis tu réagis.

Merci.

Debout face au vent léger, à peine une brise tiède qui emplit le zénith de son confort mielleux. Maintenant que tes mirettes ont quitté le cosmos, elles se perdent sur les traits droits et le profil grec de la brune. Elle est belle. Elle est comme une allégorie nocturne, une déesse ou nymphe un peu sauvage des ténèbres chaudes. Une obscurité rassurante, propices aux rêves et jolis songes. Elle est la lune et ses étoiles. Belle inconnue briseuse de mur, joueuse d'ennui.

Je m'appelle Madilyn, au fait.
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Re: Notting Hill
Gaëlle Panyella, le  Jeu 10 Mai - 18:38

Juste respirer pour commencer, une inspiration et puis voir, voir le monde d'une autre façon puis apprendre à percevoir ce qui ne va plus vraiment ; dans l'ombre du soir les couleurs ne cessent de chatoyer : ballet au gré des reflets de la lune qui choisit de faire briller une façade puis une autre. Miroir de reflets, peu de rejets. Sans compter le contact de la main chaleureuse qu'on ne veut quitter. Comme dans un cocon, sous la couverture de son lit. Comme si nous étions cachée dans notre propre monde. Peu de personnes pour l'instant, sans doutes sont-ils tous endormis. Le visage contre l'oreiller, presque tous agglutinés dans les bras de Morphée. J'hésite, je crois, j'hésite pour un tas de chose, mais là c'est différent, là en fait je crois que je veux... Rien du tout. Juste ce qu'il y a pour le moment me suffit. Et c'est un peu étrange de ne pas vouloir aller au-delà.

Une perturbation dans des habitudes parfois trop ancrées

Plus de côtés, mais encore une peu quand même. La marque résiste à la force, à la douleur et aux souffrances infligées qu'on a dû surmonter pour le dépasser. Comme la trace du passé qui ne veut s'en aller. La poussière ne l'a pas encore rongé et reste donc cette longue droite trop lisse, trop propre qu'on ose à peine traverser.

J'ai un peu peur de la suite. Autant cet endroit peut-être magnifique, autant les façades se ressemblent toutes. La seule différence résidant dans ces couleurs merveilleuses. Ensemble, toutes collées, à la fois semblables et hétérogènes.

Étrangement envoûtant.

Moue perplexe, puis l'arrivée d'un nom. Comme ça.

Madilyn
c'est joli
doux
fou et poétique
le même prénom que Monroe
Elle a ce truc de prestige
qui m'a toujours dépassé
ça te va bien
comme un gant
taillé sur mesure pour des doigts pâles et fins
Pour une main d'adulte perturbée
qui a toujours cette fragilité
de l'enfant qui est resté

Dans ce genre de manège à deux lorsqu'un prénom est donné il faut aussi offrir le sien alors je le dis simplement moi c'est Mary je ne sais pas quoi dire de plus pour l'instant alors sans quitter sa paume j'exerce une petite pression afin de nous remettre en mouvement dans la rue toute colorée.

Ce qu'il nous faut ce sont des pastels.
Pour dessiner la vie
sur le sol
la vie
sur les murs
pour crier nos maux
anciens ou nouveau
rendre grand ce qui à tendance à être vu comme petit

Ce qu'il nous faut c'est de la couleur
Pour aller avec le décor
Si
beau
- simplement, beau

Tu as de quoi peindre notre vision ?
Mais pas avec du sang non
J'en peux plus de ces coupures sur les bras juste pour voir la couleur que les Dieux ont donné à notre existence
Le bleu, des canards
et la mort dans sa grande manteline
On ne la peint surtout pas
Le noir sur le goudron
ça ne sert à rien
t'toute façon
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Re: Notting Hill
Madilyn Nebulo, le  Mer 6 Juin - 17:40

Les yeux perdus dans la foules de pierres et roches colorées. Miroitements et divagations peinturlurées, les couleurs se confondent et se mêlent pour se déguiser en joyeuse farandole qui danse devant tes iris extasiés. Le soleil joue avec les façades des maisons, il joue à cache-cache, au chat et à la souris et au loup glacé. Il frétille et scintille, ondoie de ses ardents rayons à travers les ruelles. Met en lumière un rose pastel, pour faire scintiller fugitivement un bleu ciel. Rebondit sur une lucarne, et se miroite sur un pavé. De temps en temps il darde ses bienfaits sur ta figure réchauffée, et c'est bon... C'est vrai, la marque est restée, même si vous avez brisé les murs. C'est vrai, elle est restée là... Mais que peut bien te faire cette marque floue à présent ?

Un village sublime, champêtre et pastel. Un village aux couleurs par milliers, aux couleurs inventées. Elle écoute le nom.

Elle l'aime, elle le goûte, le déguste et le décompose, le compare et l'apprécie - un volatile ça te va bien en témoigne. Elle y songe encore en poésie, ça se lit dans ses yeux. Est-ce qu'elle pense que ça te va ? Est-ce qu'elle trouve que c'est trop, pas assez ? Doucement, en toute simplicité, elle prend ton nom, pour l'échanger contre le sien, moi c'est Mary. Mary. Tu aimes bien. C'est simple et doux, quelque chose avec un timide charme délicat. Mary. C'est comme du sucre en bouche, de la beauté minime à l'état brut. La fille au nom onctueux. La même que celle qui t'a terrifiée un jour, te brisant à ton propre jeu de l'ennui. La même que celle que tu as provoquée à ce jeu de la peur. Celle qui t'a sauvée, brisant ton mur et le trou dans ton regard. Celle qui maintenant, vous noie dans les couleurs en te prenant par la main, et t'emmenant. Je te suis. Ce qu'il nous faut ce sont des pastels. Et ses yeux, ces yeux, qui dessinent à travers ses pupilles. Et le pire dans tout ça, c'est que ce qu'il te faut. Ce sont absolument. Des pastels. Tu te retournes vers elle, le visage secoué par le vent et tes cheveux dans la brise. Tes yeux légèrement plissés par l'air qui court, tu dis avec du sourire dans la voix et sur la peau : Oui... Des pastels...

Inanimatus Apparitus pastels !

Les bâtons de couleurs apparaissent immédiatement. Tu t'empares doucement d'un jaune doux et t’assois sur le goudron. Tu commences un soleil, dessinant avec un air rêveur. Tu te retournes vers celle à qui tu donnes maintenant un nom. Mary... Et d'une main enfantine remplie de couleurs, tu lui tends les pastels, tu veux jouer avec moi ?
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Re: Notting Hill
Gaëlle Panyella, le  Dim 1 Juil - 7:31

Parfois ils parlent parfois ils crient parfois ils sourient et parfois ils continuent leurs cris incessants en accusant ; le doigt pointé vers une fausse victime qui n'a connu qu'un seul crime : le fait d'exister. Elle n'a ni choisi de boire ni de respirer ni ses pieds lourds qui n'arrivent pas à être discrets. Elle ne sait pas se munir de la douceur d'un félin pour se mouvoir dans l'espace et pourtant les besoins n'en sont pas moins importants que ceux d'une créature discrète. Pourtant elle prend peut-être un millième de plus de place dans l'infini de l'univers ; créature du matin qui ne sait pas s'en aller autrement que par la porte ; ne sait pas boire autrement qu'en se servant et malgré tout ce sera le coq débordant, qui crie le matin pour dire qu'il vit en montrant que c'est le premier à être sorti doux de la brume qui sera accusé, châtier, des yeux-éclairs le regarderont alors qu'il se fera conduire vers l'abattoir. N'est-ce pas là une cruelle histoire ?

Ce que les gens oublient c'est que le coq a une vision merveilleuse
ils ne se disent pas un seul instant que c'est chouette à partager
cette douceur matinière brisée par le chant d'autres oiseaux
et ses couleurs orangée-rosée qui feraient rêver le plus jeune des bambins

Pour une fois - et c'est rare - je me sens comme un coq chanceux. Prise entre toutes ses maisons colorées qui a trouvé quelqu'un avec qui les partager. Les habitants de Notting Hill seraient peut-être troublés par notre présence (de la même manière que les criards accusateurs) mais eux ne voudront en aucun cas nous dévorer. J'ai l'espoir sublime qu'on pourrait même tous colorier ensemble dans ce demi-univers sans avoir de craintes à se faire. J'aime pas sentir le souffle froid du couteau s'approchant de mon visage. Magique ou non il n'en reste pas moins glaçant.

Madilyn elle fait apparaître des pastels
de toutes les couleurs, on pourrait en faire un arc en ciel
Je les frôles avec mes doigts
Un peu de couleurs s'y mettent
La magie fait parfois de jolies chose
en voici la preuve
et puis elle s'empart
d'une jaune comme si au final
c'était un véritable - trésor
Puis un cercle pour l'univers
remplis
des traits pour des fils

En fait dessiner
c'est un peu comme une énorme toile d'araignée
Il y a d'abord des fils
qu'on empile, emmêle ; à la pelle
pour en suite déformer la première réalité
et la faire devenir nôtre
c'est...
fascinant

bien-sûr que oui je veux bien jouer avec toi
une demande comme ça
de toi
ça ne se refuse pas

Nous avions déjà joué à une partie d'échec-cache-cache fascinamusante. Ici c'est plus enfantins, différent, c'est mieux et je suis heureuse de la façon dont la roue a tourné. J'pose un pied, deux, trois, rapprochée et puis je viens placer une vague sous son soleil. La mer. Et en suite un trait parallèle. Le ciel. Ils sont les parents de quelqu'un j'affirme comme si c'était une vérité absolue. Et puis dans un demi sourire je continue. Des petite gouttes après avoir affiché des nuages, de sempiternelles gouttelettes de plusieurs personnes en fait. Peut-on dire du non vivant qu'il est ? Pourquoi pas. Au final ça ne tient qu'à moi, à elle, à nous. Comme un secret pas si secret que personne ne cherchera à découvrir tant il a des allures d'évidence.

Entre les maisons et les crayons gras de sol
Je souris
Eh Mady, et si on dessinait la vie ?
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Re: Notting Hill
Fañch Guivarch, le  Jeu 23 Aoû - 12:00

1 mois sans réponse
Rp qui date d'avant l'arrestation de Fañch
rp avec Azé
Fañch Guivarch rp numéro 281 tw :

Journée détente à Londres, c’était un des derniers week-end avant les vacances d’été et Fañch en avait profité pour s'éclipser dans la capitale anglaise grâce à son elf de maison qui l’avait fait transplaner jusque dans un petit parc non loin du quartier de notting hill. Il regardait le soleil tranquillement se coucher tandis que le parc se vidait

“Le positif” : regarde il y a plein de petit animaux, des oiseux, des cannards et même des écureuils.

“Le négatif” : Ce sont que des bêtes à la con bonne qu'à transmettre des saloperies.

“Envie” : Chuteeeeuuh, moi je veux voir le soleil se coucher.

“Humour” : D’ailleurs on voit souvent le soleil se coucher mais jamais son lit c’est quand même bizarre.

Le celte avait les yeux vide et regardait en direction de l’astre du jour dans un silence extérieur qui contrastait avec le brouhaha qui avait lieux dans sa tête.


Dernière édition par Fañch Guivarch le Mar 28 Aoû - 2:07, édité 1 fois
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Re: Notting Hill
Azénor Philaester, le  Jeu 23 Aoû - 12:55

pv ft. Fanch Guivarch



Se balader sans réelle envie. Simplement revêtir ses vêtements qui cache la personnalité. Elle a les yeux rivés sur le Ciel et son Soleil qui se couche tranquillement. Pas grand monde dans les environs, autant dire pas grand monde pour la dévisager elle et son accoutrement trop sombre pour être honnête. Whatever, c'est bien ce qu'elle pense. Qu'ils zieutent, qu'ils regardent, de toute façon les moldus s'en foutent, ils ont accepté la différence, la tête baissée ils avancent, toujours pressés, toujours quelque chose à faire. Mais oublieraient-ils parfois de respirer.


Elle marche tranquillement, les mains derrière le dos de sa veste à capuche noire. Quelques mèches de cheveux blanc-gris qui se faufilent à travers son couvre-chef. Un sourcil se fronce, elle reconnaît Guivarch, sans pour autant savoir ce qu'il fait ici. Le sorcier rêvasse sur un banc, complètement au hasard. Et elle, elle est spontanée, elle aurait pu être sa vraie elle, mais c'est un fait. Elle est l'oiseau qui crache son feu ce soir. Et elle est sur le point de rencontrer un jeune qu'elle connaît trop bien. Qui lui fait en voir de toutes les couleurs, mais qu'importe. Qu'as-tu dans la tête Fanch ce soir.
Bonsoir Fanch, belle soirée, n'est-ce-pas?


La surprise.


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Re: Notting Hill
Fañch Guivarch, le  Jeu 23 Aoû - 13:59

Fañch Guivarch rp numéro 282 tw :

L’étoile du jour continuait sa descente vers l’horizon faisant mourir les rayons lumineux qui frappaient la terre, laissant les ombres envahir le parc de son voile sombre.

Soudain une voix se fit entendre, une voix inconnue qui pourtant l’appelait par son prénom. Il se tourna pour essayer de discerner le visage de son interlocuteur pour malheureusement tombé face à un masque. Mais pas un masque de l’ordre noir non, quelque chose de plus extravagant.

“Le négatif” : Butons ce type il a l’air louche.

“Le positif” : Mais ça va pas la tête ? On tue pas des gens comme ça parce qu’il nous adresse la parole.

“Le juge” : Il faut rester méfiant.

Fañch : Vous êtes qui vous ?

Les mots étaient teintés d’une pointe d’agressivité tandis que la main du breton se dirigeait discrètement vers sa baguette histoire de ne pas se faire avoir par surprise.
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Re: Notting Hill
Azénor Philaester, le  Ven 24 Aoû - 3:21

pv ft. Fanch Guivarch



Le jeune homme se retourne vers presque automatiquement en entend ma voix; classique. Léger sourire en perspective sur mes lèvres. Je sens des milliers de pensées qui lui traversent l'esprit. Disons que ce n'est pas la première chez Fanch. Je me suis toujours demandée ce qu'il pouvait bien se passer là dedans. Il est unique ce gosse. Dans tous les sens du terme qui plus est. Je tique d'un oeil, c'est là que ça me frappe comme une évidence. Je pourrais aller voir par moi-même, aller chercher aller comprendre, ce qu'il pense, ce qu'il vit, ce qu'il voit, ce qu'il comprend, ce qu'il ne comprend pas, tout, absolument tout. Vous êtes qui vous ? Un sourire. Je pensais qu'on avait finit par être reconnaissable. Puis mes yeux zieutent sa main qui se dirige doucement vers sa poche. Oh, je ne te veux aucun mal. Entendez par là que je n'ai aucune intention de le blesser physiquement. Je sors ma baguette, sans la pointée sur lui. Je la garde sur mes genoux. Signe de trêve! Et d'ailleurs, j'aurais pu être moldue, fais attention à ce genre de chose. Et là c'est sans doute le moment où il va me crier qu'il en a rien à cirer de tout ce qui touche au secret magique. Soit. Ils sont de toute façon de plus en plus dans son cas. Mais pourquoi tirer de conclusions trop hâtives de toute façon.
Au final, il ne suffit que d'aller voir, plutôt que de supposer...
Dans un élan totalement inattendu, qui ne me ressemble d'ailleurs pas vraiment, je lance un #legilimens tout en le visant de ma baguette.



Fañch Guivarch
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Re: Notting Hill
Fañch Guivarch, le  Ven 24 Aoû - 7:15

Fañch Guivarch rp numéro 283 tw :

La reponse de cet inconnu a la question de Fañch fut un simple sourire suivit d'une phrase que le geant intepreta comme de la déception de ne pas être reconnue tel une star.

Puis l'etranger signifia au celte qu'il avait remarquer la tentative de ce dernier d'atteindre sa baguette. Le masqué pretentendait ne pas lui vouloir de mal

"Le négatif" : Mon cul oui, on va te buter et on sera sur que tu nous feras pas de mal.

"Le positif" : Roh faut avoir confiance un peu.

"Le juge" : Faut rester sur nos gardes.

En signe de bonne foie la personne sortit la baguette et la posa sur ses genoux, elle sermona au passage le breton sur son manque de précaution sur le secret magique. Il allait répliquer en lui démontrant que sa remarque était débile mais il n'en eu pas le temps. L'inconnu attrapa sa baguette et lanca un sort de legilimens.

Le fou avait réagit mais pas suffisamment vite, sa baguette était sortie mais le mouvement était suspendu, comme arrêter dans l'espace et le temps pendant que son esprit était exploré.
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Re: Notting Hill
Azénor Philaester, le  Dim 26 Aoû - 20:46



Pourquoi ai-je ressenti le besoin, l'envie irrépressible d'aller farfouiller dans son esprit? Mmmh, je ne sais pas vraiment, mais entre flash, visages connus ou non et images d'une vie; on peut dire que je m'amuse bien. Je cherche, je continue mon chemin dans ses souvenirs, pour essayer de trouver quelque chose de croustillant. Je tique alors que je reconnais Elhiya et Lizzie. Je m'arrête là. Dans une sorte de brume et sous un filet de vision presque sépia, nous voilà tous les deux, en train de revivre la scène. Je sens bien entendu qu'il se débat pour tenter de me faire sortir de là, mais voilà des années et des années que je maîtrise l'art de la légilimancie. Et puis sincèrement, c'est beaucoup trop tentant.
C'est alors que je vois Fanch accompagné de Elhiya. Et puis il y a Miss Bennet. Je fronce les sourcils, qu'est-ce-qu'elle peut bien faire là. Mes yeux s'arrondissent quand je comprends le délire. Ils parlent d'un Ordre à suivre, une sorte de promesse. Un serment inviolable... Je pousse un léger cri de stupeur, à peine perceptible, qui trahit néanmoins ma surprise. Un serment inviolable? Mais pour quoi faire, que voulaient-ils bien prouver. La promesse est vague, je ne comprends pas trop la valeur ni la portée du dicton. Je souffle du nez, le souvenir s'évapore petit à petit et je sens qu'il résiste encore, toujours.


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Re: Notting Hill
Fañch Guivarch, le  Dim 26 Aoû - 23:07

Fañch Guivarch rp numéro 284 tw :

Fañch s'interrogait, tout était allé vite, trop vite. Qui était cet inconnu qui le connaissait, pourquoi ce type était là, pourquoi porte-il un masque et enfin pourquoi avait-il décidé de pénétrer son esprit.

"Le négatif" : Quelle p*te.

"Le positif" : Elle a peut-être des raisons valables.

"Le juge" : Ca reste dangereux cette histoire.

La legilimens se baladait dans l'ame du géant avant de s'arrêter  sur une reminiscence de la salle sur demande, un souvenir sensible qu'il ne connaissait que trop bien. Le celte hurla de toute sa psychée pour faire fuir la visiteuse non désirée.

Puis le souvenir s'évanoui avant de laisser place a une autre mémoire. Le fou était presque sûr qu'il avait réussi a cacher le plus important.

Un nouveau décor apparut, une salle de classe transformée en patinoire par un Élius imprévisible. Le cours d'enchantement revenait à la vu des multiples Fañch qui une nouvelle fois jubilais, pleurait, riait, s'excusait devant l'enchainement d'événements, l'attaque DE Cara, l'attaque SUR Cara, l'arrivée brutale de la dirrectrice-adjointe et enfin l'humiliation du breton par cette membre de la direction.
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