[Habitation] 5, The Cedars

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Voici l'habitation (Maison) de Malicia Evans.

Elle peut poster dès à présent.

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5, The Cedars

Ta maison est grande, c’était justement la raison de cet achat. Tu as besoin d’une grande habitation pour pouvoir faire tout ce que tu souhaites. Ici, tu te sens plus libre qu’en ville. Tu n’es pas embêtée par les voisins grâce aux sortilèges que tu as lancé autour de la maison. L’extérieur de la maison est simple et accueillant, comme toute maison de campagne. Le lierre remonte le long des murs, encerclant l’entrée principale. Devant l’entrée, il y a une table de jardin avec quelque chaises autour, le plus souvent, il y a un cendrier posé dessus. Pour Gisèle et toi, vous êtes les seules à fumer dans la maison et étant donné qu’il y a un jardin, tu as demandé à l’adolescente de ne consommer ces cigarettes qu’à l’extérieur de la maison. Sur le côté gauche de la maison, la terrasse, il y a une grande table de jardin où vous pouvez manger en famille. Sinon, plus proche de la maison, il y a des transats où on peut s’installer pour profiter du soleil sans avoir peur du vis-à-vis, puisqu’il n’y a pas de voisins autour de la maison. Un peu plus loin, dans le jardin, à l’abris des regards, il y a une serre où tu fais pousser toutes sortes de plantes, magiques et non magiques.

L’entrée reste très simple. Zen et cosy. A droite, on trouve directement ta chambre fermée par des portes coulissantes, à gauche, se trouve le salon ouvert. Si on continue tout droit, on tombe sur les escaliers qui nous amènent à l’étage où se trouvent les deux autres chambres, une salle de bain et des toilettes. Avant de monter à l’étage, à droite se trouve la cuisine ouverte.

Le salon est, comme le reste de l’habitation, simple. Des étagères remplies de livres et de bricoles sont posées le long des murs. Deux canapés disposés l’un à côté de l’autre autour d’une vielle table en bois donnent un côté convivial à la pièce. Le reste du salon, reste très ouvert, lumineux et donnent l’impression que la pièce est plus grande que ce qu’elle est.

La cuisine reste dans les tons de l’habitation. Le bois, les couleurs claires. Le côté pittoresque, campagne. Mais tu restes quand même équipée, surtout au niveau du vin d’ailleurs. Tu ne passes pas forcément beaucoup de temps aux fourneaux mais tu voulais quand même avoir tout ce qu’il te fallait au cas où, tu te deviendrais une ~~jolie petite mère au foyer~~.

La décoration de ta chambre n’est pas très élaborée. Tout est dans les couleurs claires, les meubles sont en bois. Sur le côté de la pièce, il y a trois petits escaliers qui mènent à une salle de bain et des toilettes privées. Rien que pour toi et ton compagnon.

La chambre de Gisèle. Etant donné que vous n'êtes pas souvent dans cette maison, il n'y a vraiment rien d'exceptionnel.

La chambre du petit, qui reste simple. Elle est remplie de jouets qu'il n'utilise même plus.

Les petits plus

C'est une des seules pièces que tu affectionnes vraiment. Le dressing est rempli des affaires de toute la famille mais faut avouer que ce sont tes affaires qui prennent le plus de place. Dans tes appartements, tu as gardé les affaires que tu utilises quotidiennement et celle qui font plus adulte. Mais tu n'as pas réussi à te séparer de tes anciens vêtements donc tu les as stockés ici en attendant d'en faire quelque chose.

Un autre petit plaisir. Le sauna, il fallait bien se chouchouter un peu, non ? Alors t'avais fais rajouter cette pièce à la maison et tu n'en donnes pas l'accès à tout le monde. C'est ton endroit à toi. Tu n'y passes un temps infini mais tu aimes bien, de temps en temps, t'isoler là-bas et prendre un peu de temps pour prendre soin de toi.

LA permanent et permission de poster : Gisèle Llobères
Protections : Charme du Cridurut, Sortilège Repousse-Moldu, Sortilège de Repousse-Maléfice, Sort d’Impassibilité

byMalicia

RP avec Mal'
Saison 31 - Début de l'été

Lilou Fantozzi était de retour en Angleterre.
Cette fois, pour de bon.
Après des années excessivement compliquées à gérer les affaires de ses défunts parents en Toscane, elle avait fini par revenir. Tout quitter, tout abandonner, pour partir. Elle était restée fidèle à son caractère franc et entier, malgré les tragédies des années passées.
Sa mère était partie la première, avant d'être rejointe par son père, qui l'avait suivie peu de temps après. Lui qui n'avait jamais réalisé combien il l'aimait, ne le sut que lorsque son cœur commença peu à peu à cesser de se battre pour lui donner des couleurs, obligeant Lilou à s'éclipser pour les saluer, une dernière fois. Après leurs funérailles, elle avait repris l'affaire familiale : une entreprise juteuse de citrons. Quelle ne fut pas son amertume lors qu'elle découvrit, bien rapidement, d'où provenait vraiment l'argent, et à quoi servait réellement les vergers. L'argent avait brûlé les doigts de son paternel jusqu'à lui faire commettre l'irréparable : brûler aussi ses ailes.
Ne désirant pas persister à traiter de l'argent sale, elle s'était simplement écartée en revendant l'intégralité de ce dont elle avait hérité : l'entreprise, les vergers, et la villa familiale. Elle avait décidé de partir. Pour de bon. Abandonner ses racines pour aller se planter ailleurs, se réinventer dans de nouvelles aventures.
Fini le soleil, fini la chaleur. Place à la pluie, place à la brume. Place aux nuages, place aux orages.
Enfin, pas pour longtemps, puisqu'elle venait chercher sa complice pour l'emporter avec elle dans une nouvelle épopée.
Egale à elle-même, elle se tenait devant le perron de sa porte. Elle était arrivée devant la porte de Malicia. Malicia Evans. Un nom qu'elle connaissait depuis tant d'années qu'elle avait peine à croire qu'elle eût pu de nouveau le prononcer encore, ou simplement, se retrouver là, au pas de sa porte. Elle avait l'impression qu'un siècle s'était écoulé depuis leur dernière rencontre, depuis leurs dernières vacances.
Lilou soupira.
La pluie résonnait telle les vibrations d'une batterie contre son parapluie, sur lequel elle avait dessiné son animal totem : un papillon noir, bleu et gris.
La brune sculpturale, perchée sur des hauts talons, portait un trench gris, décoré de broderies qu'elle avait elle-même cousues. Des perles, de la dentelles, des fils d'argent, et quelques brillants qui luisaient tels des diamants. Malgré le temps pluvieux, elle portait des lunettes de soleils noires et épaisses.
Elle frappa trois coups à la porte.

"Buongiorno. Tutti va bene ?" Lui demanda-t-elle.
Puis d'un ton empressé, elle ajouta en abaissant ses lunettes : "Fais tes valises, bella. Nous partons en Espagne".

RP avec Lilou
Saison 31 - Début de l'été
J'ai le LA de Gisèle pour sa mention dans le RP

Marre de Londres, marre de la grande ville qui t'étouffe de plus en plus. Alors tu avais laissé un mot à Dam' et tu avais pris les enfants avec toi. Oui, tu dis les enfants. Gisèle n'est peut-être pas ta fille mais elle n'est pas adulte et pour l'instant tu restes sa tutrice. Et puis, elle te garde le petit, quand tu as besoin, c'est quand même bien. Alors vous aviez préparé vos valises et vous avez tout chargé dans la voiture. On part à la moldu, pour changer. Vu d'un point de vue extérieur, on aurait pu croire que c'est la mère qui fuit avec ses gosses loin de son mari. Mais c'est pas le cas, enfin.. pas vraiment. Le trajet en voiture ne t'a semblé très long, vous aviez passé le chemin à mettre la musique à fond et à chanter par dessus, c'était une manière d'occuper les gosses mais au final tu as finis par t'amuser aussi. Tout était communicatif. Combien de temps que vous êtes dans la maison ? Aucune idée, peut-être un week-end voire plus. Tu ne comptais plus vraiment.

Il pleut aujourd'hui. Gisèle et Enzo n'était pas hyper heureux, ils ne pouvaient pas sortir comme ils le voulaient et tu pouvais le comprendre. Toi aussi, tu aurais bien profité du soleil, de la chaleur bien installée sur le transat. Tu aurais sorti un jeu d'eau pour le gosse et tu te serais prélassée au soleil pendant quelques temps. Mais non, rien. Tu finissais bloquée dans le salon, à lire un livre avec le petit pendant que Gisèle s'occupe on-ne-sait-où. Et toc, toc, toc. Tu tournes la tête vers l'entrée en fronçant les sourcils. Qui ça pouvait être ? Peu de monde connaissait cette habitation. Et si c'était Damian, il serait rentré sans frapper. Je portais Enzo pour le faire descendre de mes genoux. Il allait continuer à lire le bouquin tout seul, comme un grand. J'ouvre la porte et surprise. Tu t'attendais à voir beaucoup de personnes mais pas elle. Non, Lilou tu ne l'avais pas revu depuis un bail. En y réfléchissant bien, c'était en road trip aux Etats Unis que vous vous êtes vu la dernière fois. Tu restes quelques secondes à observer l'italienne avant d'afficher un grand sourire.

Buongiorno. Tutti va bene ? Quelle surprise. Non vraiment, Lilou agissait toujours un peu comme ça. Elle t'invite chez elle puis t'annonce que vous partez et tu te laisses embarquer. Tu as tendance à faire des entrées remarquées, elle aussi. Et c'est ça qui te plait. Non c'è male Lilou. Tu ne sais pas parler italien, tu connais quelques bases et vraiment, vraiment que quelques bases. Mais tu fais l'effort de lui répondre dans sa langue, le ton léger. Fais tes valises, bella. Nous partons en Espagne. Pardon ? Attends, t'as bien entendu là ? Tu lâches un petit rire nerveux. Tu ne pouvais pas partir comme ça, il y a Enzo et Gisèle, tu pouvais pas disparaître comme ça parce qu'on vient t'embarquer on-ne-sait-où. T'as plus vingt ans. Attends Lilou, viens, entre. Ne reste pas dehors. Enzo, tu viens ici mon ange ? Et voilà le garçon du haut de ses six ans qui vient saluer la brune avant de courir à l'étage sûrement pour se réfugier dans sa chambre ou auprès de l'adolescente. Et bien, voilà, c'était mon fils. Beaucoup d'années sont passées depuis que les deux jeunes femmes se sont connus et donc il y a beaucoup de nouveautés aussi. Tu réfléchissais à tout allure, est-ce que tu allais te laisser embarquer dans une nouvelle aventure. Franchement, t'es tentée. Tu demandes à ton amie de t'attendre quelques minutes et tu files à l'étage trouver la jeune gryffondor. Après plusieurs minutes de négociation, vous avez conclu un marché. Tu partais pour trois jours, Gisèle pourra utiliser la maison pour organiser une soirée quand elle le voudra. T'as un peu l'impression de t'être fait enfler mais bon.. tu voulais profiter avec Lilou. Tous les moyens sont bons.

Tu redescends, toute souriante. Allez, je te suis.. mais seulement trois jours. Je file faire ma valise d'abord.

Malicia n'allait pas si mal. Lilou fut ravie de l'entendre lui répondre dans sa langue natale. Un magnifique sourire se dessina sur son visage.
Lilou perçut rapidement que rien n'était comme avant. Malicia avait changé. MOLTO et TROPPO changé. Pourtant, elle semblait être la même. Malicia était déstabilisée, non par la venue soudaine et fracassante de l'Italienne qui venait de débarquer sur le pas de sa porte, mais par la tournure que venait de prendre la situation.

"Attends Lilou, viens, entre. Ne reste pas dehors. Enzo, tu viens ici mon ange ?"

Un petit garçon de six ans pointa alors le bout de son nez. Beaucoup trop rapidement pour que Lilou eût véritablement le temps de faire sa connaissance. Il repartit aussitôt arrivé. Lilou devina rapidement qui il était aux cernes qu’abhorrait Malicia. Elle n'était plus seulement son amie, elle était devenue maman.

Et bien, voilà, c'était mon fils.
"Il est adorable." S'exclama alors Lilou.

Lilou entra, mais se sentit incroyablement gênée d'être venue la déranger alors qu'elle passait du temps avec son fils. Puis, lorsqu'elle vit Malicia tout faire pour organiser son voyage et partir elle, elle comprit. Elle comprit que Malicia était épuisée, et qu'elle avait besoin d'une parenthèse joviale, d'aventures revigorantes, d’insouciance, et surtout, de se délester de ses responsabilités, souffler, s'épuiser à danser, en quelques mots : s'amuser, s'éclater, laisser filer le temps qui d'habitude fait perdre le fil des événements.
Malicia partit alors en haut des escaliers et s'adressa à une jeune femme. Elle lui demanda si elle pouvait garder son fils quelques temps. Puis, elle descendit, rayonnante.

"Allez, je te suis.. mais seulement trois jours. Je file faire ma valise d'abord."
"Je ne bouge pas, je t'attends."

Saison 32 - Automne
PV Alhena Peverell

Cet après-midi aurait pu ressembler à toutes les autres. Profitez du temps libre loin des enfants dans ma maison de vacance. Mais non il a fallu que je prenne une après midi pour recevoir Alhena. Non pas que je ne suis pas contente de la voir, loin de là mais j'ai bien l'impression que ça ne sera pas une petite journée sympa. Après peut-être que je me trompe c'est possible hein. J'ai passé la matinée à me relaxer et depuis je l'attendais. J'avais installé ce qu'il fallait sur la table basse du salon, un peu de boisson, du thé, du café et des petits trucs à grignoter. Même si la conversation ne présage rien de bien réjouissant, fallait bien ramener un peu de réconfort.

Depuis que j'essayais de limiter sur les drogues, je m'étais un peu acharnée sur la nourriture. Je grignote sans arrêt, j'ai l'impression d'avoir tout le temps faim. C'est vrai que d'habitude, je me rabats sous d'autres formes d'addiction mais là c'est la première fois que je me jette sur la nourriture de cette façon. M'enfin. On surmonte ces problèmes d'accoutumance comme on peut. Après plusieurs minutes à manger ce qu'il y a sur la table, je me décide à aller sur la terrasse. On s'allume une clope et on attend.

La brune ne devraient pas tarder.