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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ :: Le Parc :: La Forêt Interdite
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Dans une clairière
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Matt Deliers
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Re: Dans une clairière
Matt Deliers, le  Dim 16 Déc - 15:35


Désolé pour le retard. Vraiment. #sorry

Le fait qu'on lui ait donné l'insigne des « P » signifiait énormément pour le Deliers. S'il avait dû se résumer au fil du temps cela tiendrait à peu de choses. Sans intérêt. Banal. Lambda. Quelconque. La violence de ces adjectifs l'avait fait vaciller plus d'une fois pendant ses premières années.

Et maintenant les regards s'étaient décrochés pour se tourner vers lui. Ils comptaient sur lui. Un badge parfois brillant arboré sur le torse, le poids des responsabilités allant avec sur les épaules. Aucune intention de faillir mais surtout celle de bien faire et de prouver qu'il en avait. Non pas s'exposer, se pavaner, se montrer au grand jour, mais juste simplement faire ce pour quoi des personnes avaient placés leurs espoirs en lui.

A mesure qu'ils avançaient, la langue de l'infirmière se déliait en un ballet poétique. Elle savait y faire incontestablement: calmer les craintes et les peurs, guérir les blessures du cœur. Alors plus elle parlait plus il l'écoutait, au rythme unifié de leur Lumos doré et sous l'improvisation magique de cette balade nocturne. Forêt dense de moins en moins accueillante, si tant est qu'elle l'eût été une autre nuit.

Évocation à peine formulée d'un Lancétincelle dans les propos d'Elhiya que le Periculum associé sortit instinctivement de Léotia. Replaçant ensuite le Lumos sur son arme de chêne rouge, des étincelles vertes finissèrent de traverser branches et cime pour aller annexer le ciel étoilé. Si quelqu'un était perdu, il les trouverait, ayant certainement aperçu les signaux de détresse du Deliers.

Vous avez raison. Si quelqu'un est perdu autant lui manifester notre position.
Le problème résidait néanmoins dans l'énoncé. Si ce n'était pas une personne perdue mais plutôt une aux intentions douteusement néfastes ? Pire encore, si quelqu'un venait de voir les étincelles depuis le château et se ramenait en pleine forêt ? Pour le coup il y aurait vraiment quelqu'un susceptible de se perdre.

Comment ça, vous n'avez toujours pas réussi à vous pardonner ? De quoi vous parlez ? Vous êtes sans nul doute la personne la plus altruiste que j'ai jamais rencontré, j'ai peine à croire que vous ayez des choses sur la conscience.
Dans une main sa baguette, de l'autre il toucha le bras de l'infirmière. Le contact la fit s'arrêter et se tourner vers lui, il s'empressa de lui adresser un sourire compatissant.

Mieux vaut s'arrêter. Si on s'avance davantage on risque de rater quelqu'un qui viendrait sur la position des fusées.
Elhiya Ellis
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Re: Dans une clairière
Elhiya Ellis, le  Mar 1 Jan - 21:43



Petite étoile filante  


Pv Matt
Avec son LA

Les paillettes éclatant dans le ciel délivraient la position de deux vagabonds dans les bois. Duo improbable marqué de l'insomnie de certains doutes, ou de l'observation de scintillements stellaires brillants que dans la solitude de l'être. La discrétion de votre balade n'étant plus qu'à la bonne volonté des âmes endormies... depuis le château, nul doute que le chatoiement des pigments carmins ou émeraudes auraient  vite fait d'alerter curieux ou enseignant en excès de zèle. Tu avais cependant rien fait pour éviter ce sortilège. A gamin angoissé, solutions adaptées. Ou presque.

Car c'était plus les mots que la magie qui semblaient capturer son attention. Au mystère complet de savoir si ces derniers l'apaisaient, c'était d'un pari sur la curiosité humaine que tu misais. Il était souvent plus simple d'esquiver ses propres craintes en écoutant celles d'autrui. Une façon d'esquiver en quelque sorte, d'oublier ce qui pouvait dessiner des arabesques d'ombres dans l'esprit qu profit d'une attention détournée. Et ça semblait fonctionner. En petit poucet semant des graines à suivre, tu avais intrigué  le blondinet, le faisant échapper une seconde à ce qu'il pensait trouver dans ces bois... Un moyen comme un autre..

Une interrogation s'élevait, suivie d'une seconde accompagnée d'une supposition dessinant un sourire attendrit à tes lèvres. Le rôle d'infirmière ou de médicomage avait tendance à coller l'étiquette de l'altruisme à quiconque endossait l'habit. Pourtant, tu avais toujours trouvé que c'était une échappatoire profondément égoïste.. rien de mieux pour occulter tes propres blessures que de te pencher sur l'existence de diverses possibilités de couleurs inconnues. Rien à voir avec la bonté du coeur.. juste... un profond besoin de s'oublier.. touchantes hypothèses néanmoins.

A la réponse toute trouvée, tu t'arretais surtout au contact de quelques doigts sur ton bras, observant le garçon avec douceur maternelle, attentive à sa requête. L'oubli n'aura été que de courte durée, mais tu concèdais à l'attente de la mort d'une étoile, l'éveil d'une créature lovée dans cette forêt et relevais le nez vers le ciel d'ébene.

-T'as raison.. pour le fait d'attendre. Ce sera plus simple. Par contre, je doute qu'attendre toute la nuit soit bien judicieux, nous allons finir par écoper d'un mauvais rhume et je ne pense pas que tu puisses tourner au grog alcoolisé en plein cours

Un pouffement brodé de perles de légèreté se deposait aux tympans du vent curieux. Les azurs retournaient vers l'élève, offrant un pétillement espiègle pour contourer un peu de vérité dans l'illusion qu' il s'était apparement forgée.

-Rare sont ceux qui n'ont rien sur la conscience quand même. Ou alors ils sont juste aveugles.. Et rare sont les vraies marques d'altruisme existantes à mon avis. Et c'est bien valable pour moi navrée... Rester là dans le noir ne prouve rien, si ce n'est que j'avais à fuir quelques pensées redondantes.. Et toi? Tu tutoyais les étoiles par pur professionnalisme préfectoral? Vraiment? Derrière l'image il n'y a rien de plus? Je ne te croirai pas trop... mais je veux bien me plier aux faux-semblants que nous devons entretenir. Toi avec ton badge, moi dans mon infirmerie. Après tout.. ca occupe la soirée..

Pas de reproche, pas de méfiance, pas d'agression dans la voix, au contraire, un ton doux teinté de lueurs d'amusement. Tout le monde s'efforçait toujours de répondre à l'apparence que les autres avaient d'eux. Un jeu qui occupait pas mal, qui permettait de gagner en tranquillité ou juste en divertissement, mais la jeune infirmière savait pertinemment que comme pour elle, les costumes enfilés ne faisaient pas tout. Un môme, préfet ou non, ne poussait pas le "professionnalisme" à errer la nuit à la recherche de possibles réfractaires au règlement. Un nouveau sourire déposé à ses prunelles dans l'attente du choix de ses mots, les pensées volaient vers un ancien préfet des rouges plus apte à enfreindre le règlement qu'à l'imposer.
Matt Deliers
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Re: Dans une clairière
Matt Deliers, le  Mar 12 Mar - 19:41

D'un toucher furtif du bras de l'infirmière le Deliers sentit un profond frisson de bien-être lui parcourir l'échine. Quelques doigts frileux sur une douce peau envoûtante. Une sensation inaboutie. Un manque. Un vide crucial qui le rendait incomplet. Attraper un rhume ou boire un breuvage alcoolisé était définitivement le cadet de ses soucis. Cependant le fait que quelqu'un s'inquiète pour lui le fit sourire. Ses lèvres esquissées qu'il s'empressa de dissimuler à nouveau. Comme si sourire était formellement interdit. Ou pire encore.

Ses prunelles combattirent une nouvelle fois celles d'Elhiya avant de se dérober au loin pour mieux se perdre elles-aussi en forêt. De ce contact visuel trop appuyé le Deliers venait de détourner les yeux mais renforça son attention pour écouter néanmoins les vérités émanant de la jeune femme. Un Monde cruel et froid. Basé sur l'A.N.E, et où quelques seules exceptions arrivaient à se détacher difficilement de ce modèle d'Aveuglement Nombriliste Égocentrique. Parler de conscience, le Deliers avait déjà tant de fois sollicité la sienne qu'il ne savait plus s'il devait un jour la rappeler.

Il est vrai. Pour aucun d'eux, la raison principale de cette balade nocturne n'avait été exprimée envers l'Autre. Il reporta son regard sur les iris qui le défiaient encore. Il aurait aimé se perdre dans l'océan qu'elles semblaient renfermer. Lui parler d'un gamin de treize ans qui perd son frère, pour qui le Monde s'écroule et qui envisage de sauter d'un toit pour s'exploser sur le béton trente mètres plus bas ? De cet Ange qui le sauve cette nuit-là et auquel il ne fait que repenser ? De ces si nombreuses nuits blanches qu'il n'en arrive plus à les compter, et au point d'attendre la suivante avec une impatience démesurée ? De cette rencontre avec un Masque aux pensées séduisantes et à l'intelligence avoisinant la somme de celles de tout le Ministère réuni ?

Je tutoie les étoiles parce qu'elles ne changent pas. Qu'elles sont éternelles et donc qu'elles seront toujours là pour moi. Je les considère comme des repères. Bien plus que le terme ne le laisse entendre. Là où lui n'en avait plus forcément.
J'ai connu quelqu'un, il y a quelques années... Il parlait calmement mais doucement, comme si cette conversation n'appartenait qu'à eux. Il s'arrêta pour juger si son discours intéressait Elhiya. Quelqu'un d'altruiste. Vraiment. Quelqu'un qui m'a sauvé la Vie... Rikka. « En valais-je vraiment la peine ? » La question muette revenait chaque soir pour l'accompagner dans ces douces heures perdues au-delà du Temps.

Pas de faux-semblants. Je ne dors plus la nuit, je n'arrive plus. Je fais des insomnies... Je ne sais vraiment plus s'il y a eu un éclair de lumière. Sûrement mon subconscient qui s'est imaginé un faisceau lumineux comme étant un chemin à suivre, un intérêt illusoire passager. J'ai l'impression de... de devenir fou, de m'inventer des choses qui n'existent pas. Je suis perdu et donc je me perds dans mes pensées. Elles s'entrechoquent toutes. Impossible de les faire taire ou de leur faire suivre un cheminement logique.

Un hululement lointain vint clore ces aveux. L'arme se pointa instinctivement dans la direction de laquelle avait émergée la source sonore. Il reporta son attention vers l'infirmière. Qu'allait-elle penser de lui ? Lui offrirait-elle une bénédiction, une lettre de recommandation pour une place à Ste-Mangouste ou peut-être encore une plaquette de somnifères ?
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Re: Dans une clairière
Elhiya Ellis, le  Lun 15 Avr - 19:02


Petite étoile filante  


Pv Matt
Avec son LA


Mirettes fuyantes. Mirettes baladeuses, perdues dans l’immensité de la forêt, ne permettant aucune lecture possible, aucune traçabilité d’un soupçon d’amusement ou réconfort. Une façon de faire déjà vue, déjà connue, trop épousée à l’adolescence nourrissant l’admiration de la danse stellaire. Comme si ce spectacle justifiait toute évasion possible pour ne pas donner l’impression d’avoir été atteint ou à peine effleuré. Schéma touchant à observer en plein milieu de la nuit, poussant l’esquisse d’intérêt à déposer les contours de l’attention au coin des lèvres. C’était un de ces sourires abandonnés à l’intimité des astres de nuits, trop doux pour être dévoilé à ce que l’humanité portait à ses sentiers parfois escarpés. Aussi l’attente se déposait en manteau de confort, accueillant les raisons de l’ode portée aux étoiles millénaires.

L’immuabilité. Cette constante capable de rassurer et réconforter. La seule certitude que ce spectacle nocturne ne changerait jamais gonflait le cœur et l’esprit, plantant un point de repère qui promettait de ne jamais s’effondrer. Ô vision combien compréhensible, elle l’avait embrassé depuis le début de l’adolescence, sous des promesses de gosses qui regardaient la même petite luciole d’univers. L’impression qu’ainsi, l’autre qui se perdait en l’observation de la même lueur, au même moment était là, à jamais. Mensonge éhonté aux parfums d’insouciance brisée par la morne réalité d’une société apte à la destruction comme le choix de ses mots. Il y’a quelques années… Il n’était qu’un enfant et ce qu’il faisait glisser sur la langue comportait déjà les aromes amers de la perte. Etouffement de cœur succinct en lui confiant les Lapis attentives.

Et un nom résonnait au milieu des bois, un de ceux apprécié, et envolé lui aussi. Le soupir suivait. Les souvenirs se chevauchaient, jamais le jugement n’avait collé d’étiquette à la griffondor toujours prévenante et attentionnée. Seule question soudainement soulevée : qu’était-elle devenue ? Elles qui avaient des gribouillis à confectionner ensemble, des biscuits à sacrifier à la lueur de leurs lectures... L’habitude du manque avait effacé la blondinette de l’esprit, avant que les craintes, les doutes, les peurs ne prennent le dessus inutilement. Pourtant le prénom de Rikka subsistait d’une douce aura prévenante dans la tête, composant un regard compatissant pour l’enfant au sauveur parti, aux certitudes en perdition.

Il y’avait toujours cette période de flottement quand une main était tendue. Un doute déviant entre l’envie de la saisir et celle de se laisser chuter encore plus.  Mais personne, non personne, jamais ne prévenait du Vide quand la main n’était plus. Quand on ne sentait plus sa présence, cette impression de savoir pourquoi on devait rester debout et ne plus se permettre de tomber. Et dans ces moments, le sommeil se cachait, les songes se déguisaient en montre, les pensées s’enveloppaient d’un voile enivrant de suppositions sans jamais pouvoir toucher la vérité. Et dans ces instants, le temps semblait ne plus vouloir avancer, bloqué dans un sablier couché, où plus rien ne pouvait passer où avancer…. Dans ces nuits, Vide et abandon d’espoir chevauchaient l’esprit… Dans ces nuits la baguette se levait pour rien…

Au murmure de l’hululement, le bois avait bondi, menaçant mais protecteur, agressif mais défenseur, instinct primaire de survie toujours actif dans un coin de l’esprit. Un soupir douloureux s’échappait, les opales caressaient doucement l’enfant qui semblait se penser esseulé, et la main abaissait avec douceur l’arme magique.

– La perdition est parfois le premier pas vers la rémission, aussi étrange que cela puisse être. L’absence de sommeil te fera voir ou croire des ombres plus brillantes, des lumières plus ternes, jusqu’à ce que tu trouves comment faire taire le chaos des pensées.

La voix berçait tendrement, que trop réceptive aux maux anciennement siens, toujours un peu conservés à l’occasion donnée dans un oubli de prévention. Aux lapis capturant les opales enfantines, Elhiya soupira plus fortement, étau dans le cœur hurlant qu’elle avait été égoïste à croire être la seule à devoir faire face à ce genre de Vide intérieur. Elle avait usé de tant de mauvais palliatifs que lui offrir une solution miracle était impossible.

– Parfois, tu sais, les pensées se taisent, si on les dirige vers autre choses…. Vers des leurres, des mensonges qu’on te dira d’oublier. Mais dès lors qu’ils soulagent, je ne te dirais pas ne de plus courir après un éclair invisible, ou un soupçon de silence qui se bouscule en toi… ce ne serait pas très honnête de ma part… essaye juste... de ne pas te tomber… de trop… mais…

Sans un rebondissement, une condition, à quoi servait les mises en garde ? Pendant son adolescence, il n’y avait eu ni conseil, ni parole en suspens. Juste l’impression d’avancer, à tâtons, seule dans le noir de ses désirs d’Oubli… Même parfois encore aujourd’hui… alors ce n’était que des lueurs de l’instinct qu’une étreinte cajolait l’enfant, les deux bras dans le dos le serrant avec douceur, composant la finalité de ce « mais »

– Ne t’en fais pas, ce n’est pas grave si tu ne sais plus où regarder… C’est normal de ne pouvoir prétendre continuellement… ne t’inquiète pas...

Le battement raté à un écho de passé, guidait le geste. La forçant à ne pas materner plus longtemps, rendant sa liberté de mouvement et de jugement à l’enfant. Rappel de ses refus de cajoleries baignées de compassion lors des séances de perdition à 17ans. Le sourire restait, faible mais doux, les prunelles couvaient une seconde de plus avant de se perdre dans l’immensité stellaire.

–Il remplissait un vide en toi cet éclair ? L’impression de donner une utilité à son insomnie ? Ou une raison de fuir les pensées ?

Prouver qu’il ne devenait pas fou. Que ses choix avaient une raison valable dont il ne fallait pas douter, qu’importait que tout le monde ne pouvait pas valider. Car, quelque part, peut-être était-ce ce qu'elle avait attendu à son age. Qu'on entende ses complaintes muettes, comme un seul l'avait fait au point de réussir à faire taire tous le tumultes des pensées de sa seule présence... il lui manquait éperdument mais l’absence se couvrait du bâillon des études et de l'emploi à assumer
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