« redécouverte enneigée »
saison 29 - hiver
ϟ L'hiver était glacial. Le vent soufflait rudement et, à travers la fenêtre de sa chambre, Aurore pouvait admirer les branches des arbres portées violemment par les bourrasques.
On était dimanche et, très honnêtement, elle s'ennuyait un peu. Ses partenaires de chambre étaient toutes sorties on ne sait où ensemble. N'ayant pas vraiment d'amis au château (ni même en dehors) elle se retrouvait souvent seule.Non pas que cela puisse lui déplaire, Aurore était quelqu'un de très solitaire. Mais ainsi, il était difficile d'échapper à l'ennui. Elle aurait pu tenter de s'occuper en révisant, mais c'était déjà comme cela qu'elle avait combattu le vide la veille. Étrangement, le froid l'appelait. Elle mourrait d'envie de sortir sans trop savoir quoi faire. La verte et argent prit quand même le temps de se couvrir, d'enfiler un pull une écharpe un manteau un bonnet pour prendre le temps de réfléchir. Puis une idée lui vint, peu originale mais qui lui donnerait l'occasion de sortir un peu : elle allait écrire une lettre à sa famille.
En quelques minutes elle réunit de quoi écrire, puis sortit affronter le froid. Elle écrirait sans doute assise sur le sol de la volière, cela lui donnerait l'occasion de s'éloigner de cette chambre vide et froide quelques heures de plus. Un pied à peine mis dehors, le froid glacial fouetta son visage et la jeune fille savoura cet instant quelques secondes. Debout, immobile dans le froid elle inspira un grand coup l'air revigorant de l'hiver avant de reprendre rapidement sa route vers la volière. Quelques flocons commencèrent à tomber et rapidement elle monta les quelques marches de la volière. Elle se réfugia alors derrière un grand mur où elle s'assit. Ici, elle était un peu à l'abri du vent et on ne la voyait pas directement en arrivant. Elle serait sans doute tranquille quelques temps. Son parchemin sur les genoux, son petit pot d'encre à la droite à la main, elle se mit à réfléchir. Écrire à ses parents ne présentaient pas grand intérêt, la Serpentard n'avait jamais grand chose à leur dire. Écrire à ses quelques connaissances extérieures au château n'avait rien d'attrayant. Perdue dans ses pensées, elle se mit simplement à les coucher le papier. Généralement, elle aimait lire mais écrire avait quelque chose d'exutoire. Les mots sortaient sans qu'elle y réfléchisse vraiment, quand quelque chose vint troubler sa quiétude.
On était dimanche et, très honnêtement, elle s'ennuyait un peu. Ses partenaires de chambre étaient toutes sorties on ne sait où ensemble. N'ayant pas vraiment d'amis au château (ni même en dehors) elle se retrouvait souvent seule.Non pas que cela puisse lui déplaire, Aurore était quelqu'un de très solitaire. Mais ainsi, il était difficile d'échapper à l'ennui. Elle aurait pu tenter de s'occuper en révisant, mais c'était déjà comme cela qu'elle avait combattu le vide la veille. Étrangement, le froid l'appelait. Elle mourrait d'envie de sortir sans trop savoir quoi faire. La verte et argent prit quand même le temps de se couvrir, d'enfiler un pull une écharpe un manteau un bonnet pour prendre le temps de réfléchir. Puis une idée lui vint, peu originale mais qui lui donnerait l'occasion de sortir un peu : elle allait écrire une lettre à sa famille.
En quelques minutes elle réunit de quoi écrire, puis sortit affronter le froid. Elle écrirait sans doute assise sur le sol de la volière, cela lui donnerait l'occasion de s'éloigner de cette chambre vide et froide quelques heures de plus. Un pied à peine mis dehors, le froid glacial fouetta son visage et la jeune fille savoura cet instant quelques secondes. Debout, immobile dans le froid elle inspira un grand coup l'air revigorant de l'hiver avant de reprendre rapidement sa route vers la volière. Quelques flocons commencèrent à tomber et rapidement elle monta les quelques marches de la volière. Elle se réfugia alors derrière un grand mur où elle s'assit. Ici, elle était un peu à l'abri du vent et on ne la voyait pas directement en arrivant. Elle serait sans doute tranquille quelques temps. Son parchemin sur les genoux, son petit pot d'encre à la droite à la main, elle se mit à réfléchir. Écrire à ses parents ne présentaient pas grand intérêt, la Serpentard n'avait jamais grand chose à leur dire. Écrire à ses quelques connaissances extérieures au château n'avait rien d'attrayant. Perdue dans ses pensées, elle se mit simplement à les coucher le papier. Généralement, elle aimait lire mais écrire avait quelque chose d'exutoire. Les mots sortaient sans qu'elle y réfléchisse vraiment, quand quelque chose vint troubler sa quiétude.
Aurore Deletaire ft. Lïnwe Felagünd
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Dernière édition par Aurore Deletaire le Dim 29 Déc - 16:06, édité 1 fois
