Saison 30 -- Printemps
Suite de ce Rp.
L.A accordé à Béné.
Lieu: Salle des Trophées.
Suite de ce Rp.
L.A accordé à Béné.
Lieu: Salle des Trophées.
La salle des trophées de la prestigieuse école de sorcellerie de Poudlard. Lieu mythique où était entreposées toutes les récompenses des maisons. La salle était immense et lumineuse, la clarté blanche de la lune se reflétant sur les vitrines présentes. Médailles et coupes se partageaient le lieu, plus brillantes et lustrées que des lingots d'or. Gabin n'était que rarement venu ici. A quoi bon ? N'était-il pas déjà une récompense à lui même ? Un astre brillant pour les autres élèves ? Ce phare guidant les pauvres petits sorciers impuissants et souffreteux qui composaient Poudlard ? Bien sur que si. Sa scolarité allait toucher à sa fin, le brun le savait. Jamais il n'aurait un trophée portant son nom dans l'une des vitrines. La direction appréciait que trop peu les idéalistes comme lui. Non. Elle préférait récompenser les gentils chiens qui les suivaient sans déborder des lignes. Ce n'était pas son genre. De toute manière, recevoir une récompense ou de la gratitude de la part d'une direction aussi incompétente le ferait sans aucun doute vomir. Il valait tellement mieux.
Mais revenons donc aux raisons de sa présence dans ce lieu. Bras dessus, bras dessous, Gabin amenait avec lui l'un des rares élèves qui méritaient son intention. L'un de ses rares camarades qui semblait provenir d'un univers semblable au sien. Adams. Adams était tout comme lui, une perfection. A la différence que le jeune garçon le criait haut et fort alors que Gabin était plus subtil dans sa démarche. Depuis leur première rencontre, lors d'un cours de sortilège, le bleu et bronze avait su que ensemble, ils allaient révolutionner cette prison qu'était Poudard. Et même le monde. Cela ne faisait aucun doute. Des êtres exceptionnels.
Ainsi, c'est pour cela que Gabin l'avait invité à cette soirée à la salle sur demande. Amusante soirée. Distrayante même. Et le final promettait d'être encore plus spectaculaire. Ce final qui allait se dérouler loin des autres, très loin des convives. Adams et lui. Seuls. Juste eux deux. Il était temps. L'adolescent avait un penchant prononcé pour la gente féminine, mais ce bellâtre était des plus attirant, des plus resplendissant. Et Gabin le voulait. Il le désirait. L'alcool dans son sang ne faisait que amplifier son arrogance et son sentiment supérieur. Lorsqu'il voulait, il obtenait. C'était une partie de sa personnalité sombre, mais qu'il laissait dicter ses actes et ses actions. C'était lui qui établissait le jeu. Lui qui fixait les règles. Son jeu. Son univers. Et en cette soirée, le brun était persuadé que Adams allait tout bonnement être un joueur aussi parfait et complet que lui.
D'une main imposante et ferme, le Serdaigle repoussa son camarade de jeu contre l'une des vitrines présentes dans la pièce. Vitrine qui s'ébranla, déstabilisée par le choc. Mais qu'en avait-il à faire ? A eux deux, ils pouvaient saccager cette pièce, tant que le brun obtenait ce qu'il désirait, il s'en fichait. Sans hésitation mais brusquement, son corps rejoignit celui de Adams, se mêlant au sien tandis que ses lèvres trouvèrent le chemin jusqu'à celle de son junior. Nouveau baiser. Rien d'enfantin. Rien de doux. C'était bestial et sauvage. Un sulfureux mélange qui était exaltant et excitant. Sa langue était autonome et expérimentée, trouvant sa comparse pour lui retransmettre un message court et efficace. L'une de ses mains trouva son emplacement au creux du dos de Adams pour plaquer son torse contre le sien, tandis que la seconde remonta le long de sa cuisse, ne laissant nul doute sur sa destination finale. L'adolescence n'avait plus sa place ici et maintenant.
Gabin rompit le contact aussi brutalement que lorsqu'il avait eu lieu et recula de quelques pas. C'était son jeu. Sa manière. Ses règles. Et se faire désirer en faisait partie. C'était donnant donnant. Il venait de donner un aperçu très réel de la suite. Maintenant c'était à Adams de lui prouver que lui aussi, il voulait consumer ce brasier ardent qui venait de se créer entre eux. Les prunelles enflammées du brun se posèrent sur le bleu et bronze, le dévorant tout en le détaillant. Un sourire arrogant, narquois, au visage, il laissa quelques mots s'échapper de sa gorge enrouée: " Tu les veux toujours ? ". Gabin jeta au sol sa chemise ainsi que son tee-shirt. " Mes excuses ?". Sourire arrogant s'agrandissent encore et encore sur son visage tandis que ses prunelles se noircirent. "Oh Adams... Tu vas bientôt m'implorer de te donner mon pardon encore et encore". Ses prunelles continuèrent de dévorer l'adossent qui lui faisait face, attendant que ce dernier ose venir se bruler les doigts.
Mais revenons donc aux raisons de sa présence dans ce lieu. Bras dessus, bras dessous, Gabin amenait avec lui l'un des rares élèves qui méritaient son intention. L'un de ses rares camarades qui semblait provenir d'un univers semblable au sien. Adams. Adams était tout comme lui, une perfection. A la différence que le jeune garçon le criait haut et fort alors que Gabin était plus subtil dans sa démarche. Depuis leur première rencontre, lors d'un cours de sortilège, le bleu et bronze avait su que ensemble, ils allaient révolutionner cette prison qu'était Poudard. Et même le monde. Cela ne faisait aucun doute. Des êtres exceptionnels.
Ainsi, c'est pour cela que Gabin l'avait invité à cette soirée à la salle sur demande. Amusante soirée. Distrayante même. Et le final promettait d'être encore plus spectaculaire. Ce final qui allait se dérouler loin des autres, très loin des convives. Adams et lui. Seuls. Juste eux deux. Il était temps. L'adolescent avait un penchant prononcé pour la gente féminine, mais ce bellâtre était des plus attirant, des plus resplendissant. Et Gabin le voulait. Il le désirait. L'alcool dans son sang ne faisait que amplifier son arrogance et son sentiment supérieur. Lorsqu'il voulait, il obtenait. C'était une partie de sa personnalité sombre, mais qu'il laissait dicter ses actes et ses actions. C'était lui qui établissait le jeu. Lui qui fixait les règles. Son jeu. Son univers. Et en cette soirée, le brun était persuadé que Adams allait tout bonnement être un joueur aussi parfait et complet que lui.
D'une main imposante et ferme, le Serdaigle repoussa son camarade de jeu contre l'une des vitrines présentes dans la pièce. Vitrine qui s'ébranla, déstabilisée par le choc. Mais qu'en avait-il à faire ? A eux deux, ils pouvaient saccager cette pièce, tant que le brun obtenait ce qu'il désirait, il s'en fichait. Sans hésitation mais brusquement, son corps rejoignit celui de Adams, se mêlant au sien tandis que ses lèvres trouvèrent le chemin jusqu'à celle de son junior. Nouveau baiser. Rien d'enfantin. Rien de doux. C'était bestial et sauvage. Un sulfureux mélange qui était exaltant et excitant. Sa langue était autonome et expérimentée, trouvant sa comparse pour lui retransmettre un message court et efficace. L'une de ses mains trouva son emplacement au creux du dos de Adams pour plaquer son torse contre le sien, tandis que la seconde remonta le long de sa cuisse, ne laissant nul doute sur sa destination finale. L'adolescence n'avait plus sa place ici et maintenant.
Gabin rompit le contact aussi brutalement que lorsqu'il avait eu lieu et recula de quelques pas. C'était son jeu. Sa manière. Ses règles. Et se faire désirer en faisait partie. C'était donnant donnant. Il venait de donner un aperçu très réel de la suite. Maintenant c'était à Adams de lui prouver que lui aussi, il voulait consumer ce brasier ardent qui venait de se créer entre eux. Les prunelles enflammées du brun se posèrent sur le bleu et bronze, le dévorant tout en le détaillant. Un sourire arrogant, narquois, au visage, il laissa quelques mots s'échapper de sa gorge enrouée: " Tu les veux toujours ? ". Gabin jeta au sol sa chemise ainsi que son tee-shirt. " Mes excuses ?". Sourire arrogant s'agrandissent encore et encore sur son visage tandis que ses prunelles se noircirent. "Oh Adams... Tu vas bientôt m'implorer de te donner mon pardon encore et encore". Ses prunelles continuèrent de dévorer l'adossent qui lui faisait face, attendant que ce dernier ose venir se bruler les doigts.