Saison 32 - Automne
RP privé avec Thomas Kingskade
PU*AIN DE PORTE DE M*RDE
Il faisait un salle temps dehors, alors tu as voulu plus tôt dans la journée te mettre dans une salle pour dessiner et peindre tranquillement, sans avoir à subir la présence de tes camarades Serpentard dans les cachots. Parce que franchement, tu les aimes bien mais ils peuvent être bien relou à faire le bordel entre eux. Toi tu avais juste envie d'être seule. Juste seule. Et tu étais contente, tu as pu dessiner comme tu voulais et tu as rempli plusieurs pages de ton carnet à dessin, mais maintenant que tu veux partir, pas moyen d'ouvrir la porte. D'où le étais contente, au passé.
Cette pu*ain de porte est fermée.
Et tu es bloquée.
Tu soupires, essayant de forcer sur la porte une nouvelle fois, sachant très bien que ça ne marchera pas mieux que les 10 dernières fois que tu l'as fais. Tu ne veux pas t'abaisser à appeler à l'aide, ça te ferait plus ch*er que quelqu'un te regarde avec des yeux de merlan frit que de rester coincée dans cette pu*ain de salle. Alors tu prends ton mal en patience, difficilement.
En fait non.
T'arrives pas à prendre ton mal en patience.
D'où le fait que tu approches maintenant de la porte avec tes poings sortis.
Et tu frappes une fois. Deux fois. Trois fois la porte pour voir si tu peux faire un trou à côté de la poignée pour faire quelque chose. Comment ça faut pas dégrader le matériel de l'école ? T'en a rien à battre, ils avaient qu'à vérifier les verrous de leurs portes, bordel. Par contre, la c'est pas vraiment la porte que tu dégrades, mais plutôt toi-même. Parce que vu l'état de tes poings, sur lesquels des bleus commencent déjà à apparaître, et vu l'état de la porte, qui a une légère marque, mais rien qui ne puisse créer une porte de sortie, on pourrait dire :
Sasha 0 - 1 Porte
Tu soupires et t'éloigne un peu, vexée. Franchement, c'est quoi ces salles dont la fonction basique de laisser les gens sortir marche pas ? En plus, tu avais pas pris ta baguette, tu pensais pas en avoir besoin. Tu t'assois dans un coin de la pièce, les yeux fixés sur cette maudite porte et tu souffles une nouvelle fois.
Pu*ain. Une sale journée.