Hrpg: Sujet ouvert avec l'autorisation de Sara
Rp avec Kirla

Le train de la petite sœur de Mélina devait arriver à 9 heures, en gare de Londres. La jeune phénix avait du se lever tôt pour se rendre, dans la capitale anglaise. Même si elle était très heureuse de revoir Kirla, le réveil fut très difficile, car avec Betty, elles avaient fermées tard, le sanglier rieur. D'ailleurs, elle décida de se faire couler un café assez fort avant de partir. Une fois le café prêt, elle prit sa tasse de café chaud et s'installa sur le canapé. Elle prit la lettre qu'elle avait reçu de sa petite sœur et la relut à nouveau. Kirla lui annonça qu'elle désirait revenir en Europe car sa famille lui manquait et qu'elle voulait s'installer, en Angleterre, au près de sa grande sœur qui lui manquait.

Depuis quelques années, Kirla vivait à New York chez une de leur tante qui s'occupa d'elle comme une mère. Elle lui avait appris toute ce qu'il y avait à savoir sur la magie. Mélina avait aussi suivi les études de la petite New-Yorkaise et elle lui avait envoyé de quoi suivre les cours de Poudlard.

Dans la lettre de Kirla, cette dernière lui écrivait qu'elle ferait un détour par la France pour voir les parents et leurs deux frères, pour un séjour d'une dizaine de jours puis qu'elle prendrait le train jusqu'à Londres où Mélina devait aller la chercher. La jeune phénix avait prévu de la faire dormir chez elle et elle avait préparé l'ancienne chambre d'Alliison qui avait décidée de tout plaquer pour s'installer, en Inde pour retrouver ses racines.

Quand elle eut terminé de prendre son café, elle fut un peu plus réveillée et fila prendre un douche pour avoir les idées claires puis fouilla dans son armoire, pour trouver un jeans et un pull qu'elle enfila en vitesse, car elle ne voulait surtout pas arriver en retard. Elle mit ses bottes, son manteau et son écharpe, s'engouffra dans le froid de l'hiver et transplana jusqu'aux abords de la gare de Londres.

Mélina n'était jamais venue dans cette gare que était immense et surtout remplis de moldus. Elle essaya de se faufiler pour trouver un panneau qui pourrait lui indiquer le quai où allait arriver le train de Kirla. Une fois qu'elle trouva ce qu'elle cherchait, elle se mit en quête de la voie B. Au bout de quelques cul de sac et quelques bousculades de personnes trop pressés, elle aperçut un panneau marqué voie B avec une flèche qui lui indiquait les escaliers à descendre pour se rendre sur cette voie. Une fois arrivée à destination, elle s'assit sur un banc, en espérant que le train n'aillait pas trop tarder car elle risquait de mourir gelée.

Une dizaine de minutes plus tard, le train de Kirla fut annoncé en gare et elle se leva avec énergie, enfin avec ce qu'il en restait, vu le froid qu'il faisait sur le quai. Les personnes, présents dans le train, commencèrent à descendre et elle chercha du regard sa jeune sœur qui avait du beaucoup changer depuis la dernière fois qu'elle l'avait et elle espère ne pas passer à coté d'elle s'en la connaitre. Mais lorsqu'elle la vit, elle la reconnut immédiatement et se précipita dans sa direction....

Quand Mélina posa sa main sur l'épaule de sa sœur, celle-ci se retourna et elle lui sauta, dans les bras. Kirla lui fit remarquer qu'elle avait beaucoup changer, la jeune phénix lui sourit et lui répondit:

Je n'ai pas autant changer que toi, petite sœur, tu es devenue une vrai jeune femme à présent. Et j'espère que tu vas rester ici, maintenant car je ne supporterait que tu retournes vivre à l'autre bout de la terre.
Dis ton ses chez papa et maman, c'est bien passé, ils t'ont laissé laisser un peu respiré durant ton séjour et tu avait les frangins? Ils vont bien?

Mélina avait tellement de choses à lui dire qu'elle ne savait pas, par où commencer, elle était si heureuse de la revoir. Il s'était passé beaucoup trop choses, durant cette séparation et même si elles s'était données des nouvelles pendant cette période, elles étaient restées brèves et se limitaient au suivie de la scolarité et aux gros événements de la vie mais sans plus, car Mélina n'avait jamais véritable digéré son départ à New York même si elle comprenait parfaitement cette volonté de partir loin de parents qui pouvaient très envahissants.

Alors qu'elle traversa la gare pour en sortir, la New-yorkaise lui demanda où elles allaient maintenant et Mélina lui répondit avec un regard malicieux:

Pourquoi tu te plait pas ici? Je plaisante bien sur, je pense qu'on va d'abord s'arrêter à l'auberge des deux mondes, tu verras c'est un endroit agréable.

Même si elle trouvait qu'il était moins bien que le sanglier rieur mais elle ne voulait y aller tout suite car Kirla n'était pas au courant qu'elle s'occupait d'un restaurant et elle voulait lui en faire la surprise. Alors d'un pas décidé, elles sortirent de la gare pour se rendre à l'auberge, car le vent s'était mis à souffler dehors et il faisait très froid.

John Felicie avait passé une journée plus qu'agréable. Une journée qui fut baignée par la douce et chaude lumière du soleil, qui avait traversé un ciel azur, lumineux. Car aujourd’hui n'était pas une journée comme les autres. Elle précédait la soirée des élections ministérielles, heureuses élections ministérielles. Maintenant que Actarius Bright, membre secret de l’Ordre du Phénix, venait d'être mis à la tête du gouvernement, les heures sombres des Aurors étaient maintenant bel et bien révolues. Une nouvelle ère de justice et de bonheur pouvait débuter. Les gardiens de la paix au sein du monde magique retombait maintenant dans la légalité. En cette occasion, l’ancien Auror avait pris l’initiative de partir dans la ville de Londres afin de faire des emplettes, se faire plaisirs en vêtements, en meubles, en objets en tout genres. Il revenait alors de sa journée shopping sous le soleil, avec cinq sacs remplis de vêtements d’un fameux couturier italien, et de trois autres sacs remplis d’objets de décoration et autres.

Quittant lentement le centre de la capitale anglaise, John s’engagea dans une petite rue au charme des temps anciens. Il passa quelques vieux bâtiments à l’architecture ornée de prestigieuses sculptures. Ce fut alors que soudainement, un musique enchanteresse lui parvint aux oreilles. Il jeta un coup d’oeil devant lui, et aperçut un homme assis sur la sol. A coté de lui était posé une radio rouge, qui chantonnait une mélodie que le sorcier reconnut sans détour. «Emmenez moi au bout de la terre, emmenez moi au pays des merveilles. Il me semble que la misère serait moins pénible au soleil !» Charles Aznavour était le chanteur français que l’anglophone préférait. Et cette chanson tout particulièrement, mettait son esprit et son coeur en fête. Il sentit une vague de joie l’envahir soudainement et il ne put se retenir de fredonner gaiement l’air de la chanson. En passant devant le mendiant, il déposa un billet dans la casquette renversée posée aux pieds de son propriétaire.

- Merci pour cette magnifique chanson ! fit-il avant de continuer son chemin, un sourire paisible sur le coin des lèvres.

Quelle magnifique journée, la vie était belle, la vie était rose. Tout semblait beau aux yeux de l’homme. Il se plut à croire que l’espace de quelques heures, le monde ne pourrait jamais retomber de nouveau dans l’ombre. Et oui, cela faisait parti de lui. Aujourd’hui il avait le coeur à croire à un monde parfait. Il était maintenant plutôt tard, et il devait rentrer. Il marcha donc en direction de la gare de Londres, sans se presser car son train n’arriverait pas en gare avant deux bonnes heures. En chemin, il s'arrêta quelques minutes afin d’acheter un sandwich chaud fait maison dans un petit restaurant qui faisait le coin d’une rue. Ayant les bras et les mains beaucoup trop chargés, il préféra manger son casse-croute une fois en gare. De toute façon, celle-ci n'était maintenant plus très loin.

Une fois passer par la guicheterie, il se rendit directement dans son terminal. Les lampes semblaient toute être grillées, et le lieu était plongé dans une obscurité presque totale. Il marcha alors lentement jusqu’au premier banc. Avant d’atteindre le banc, il s'arrêta net. Il venait de flairer une présence. Il possédait une sorte de sixième sens pour détecter les présences cachée. Il déposa alors ses sacs sur le sol et s’approcha de quelques pas de la personne qui se trouvait assise et qui ne disait mot. Ce ne fut que à environ de deux mètres de l’inconnu que John eut l’agreable surprise de reconnaitre l’individu qui se trouvait en face de lui. Remarquant que l’endroit etait desert, et que ils ne se trouvaient que en tete à tete, John tira lentement de sa poche sa baguette et murmura alors:

- Lumos ...

La baguette d’argent éclaira alors le banc ainsi que la femme qui était assise dessus d’une lumière puissante et pale.

- Bien le bonsoir Wena. Quel heureux hasard.

Il s’agissait de Wena Horner, une femme que John connaissait de loin sans n’avoir jamais vraiment eu l’occasion d’engager de conversation avec elle. Elle faisait elle aussi partie des Aurors. Il s'étonna vraiment de la trouver ici, en même temps que lui. Au moins, le temps passerait moins vite à attendre que le train n’arrive en gare.

- Et bien, que fais-tu ici à une heure aussi tardive ? Pour ma part j’ai passé la journée en ville, histoire de faire quelques achats. fit-il en désigna du doigt les sacs qui reposaient derrière lui. La situation est enfin tombé en notre faveur. Pour fêter les élections j’ai décidé de me faire plaisir !

Le sorcier sourit à la jeune femme tandis qu’il alluma de sa baguette un orbe luminescent et chaud qui était en réalité une boule de feu qui alla alors léviter en face des deux individus, éclairants bien mieux que le lumos et réchauffant l’endroit, refroidie par la fraicheur de la nuit. John tira par la suite le sandwich encore chaud d’un des sacs. Il le coupa proprement en deux, et proposa une deuxième moitié à son collègue.

Wena ne sembla pas reconnaitre du premier coup d’oeil le sorcier, et lorsqu’elle plaça son nom sur son visage elle sembla particulièrement rassurée. John avait par ailleurs remarquer la jeune femme détendre la pression qu’elle exerçait avec sa main sur sa baguette apparemment faite en bois de bambou. L’homme avait l’oeil pour remarquer les petits détails, ainsi que les gestes cachés et cela faisait surement sa principale qualité d’Auror ainsi que son courage hardi au combat. La jeune femme dont la chevelure rousse brillait de mille feu sous la lumière de l’orbe de feu accepta alors son sandwich sans se faire prier. Elle tira d’ailleurs un sourire de son collègue qui n’avait pas l’habitude qu’une femme accepte quelconque présent de sa part. Apres quelques echanges de phrases, John apprit que Wena n’avait pas voulu rentrer au QG des Aurors directement après son boulot et elle avait préféré partir faire un petit tour en ville et John la comprenait totalement. Elle incita alors l’homme a prendre place sur le banc, ce qu’il fit sur le champs. Le moment qu’ils passaient tout les deux était très agréable et plaisait beaucoup au sorcier qui appréciait ce genre de moments où rien ne pressait, où il pouvait se reposer et penser en attendant que le temps passe. Cela rendait léger l’instant présent. L’espace de quelques secondes, alors que son regard vint à se perdre dans les flammes dansantes de la source de lumière enchantée, il repensa poétiquement aux paroles de la chanson qu’il avait écouté quelques instants plus tôt. Charles Aznavour avait une voix à mettre en joie, le coeur en fête. Lorsque l’occasion se présentait, il aimait se retrouver seul chez lui et écouter de la musique à fond et chanter tout en dansant sans que personne ne puisse le voir ou le juger. Il fut alors tiré de sa rêverie par son collègue qui lança:

- Et heu... que... que fais-tu dans la vie à part le boulot d'Auror ? Enfin, je sais bien que celui-ci est assez prenant, mais tu pourrais avoir un autre emploi ? Enfin, moi par exemple je suis Professeur à Poudlard et...

Le sorcier esquissa un sourire, il pencha alors l’avant de son corps un peu plus près du globe de feu et répondit:

- Faut dire que cela fait un petit moment que je suis chez les Aurors, boulot qui me prend beaucoup de temps comme tu dois toi même le savoir. Ce boulot, je le place presque au centre de ma vie. J’ai ça dans le sang, je combat depuis mon plus jeune âge pour avoir été un membre de l’Ordre du Phénix par la passé. En dehors de cela, je passe beaucoup de temps à voyager en dehors de l’Angleterre. Je vais souvent en Egypte où mon Phénix a l’occasion de se ressourcer dans son pays d’origine et où je peux moi même faire les souks des villages à la recherche d’objets rares et anciens. Sinon, je passe également beaucoup de temps en République Tchèque, où j’ai laissé beaucoup de choses ... Longue histoire ... Et lorsque je ne fais rien, je reste dans mon grand manoir, surplombant le village de Godric’s Hollow. Je me plais à écouter de la musique et à me balader dans mes grands jardins en fleurs. Et puis pour répondre à ta seconde question, je n’ai qu’un seul job et cela me suffit. De toute manière, je ne travaille pas chez les Aurors pour l’argent, l'argent ne m'intéresse pas et ne m'a jamais intéressé. Je fais ce que je fais par convictions uniquement.

Il marqua une pause, et en profita pour croquer à pleines dents dans son morceau de sandwich. Il regarda alors la sorcière et la questionna:

Tu es professeur de métamorphose n’est-ce pas ? C’est ce que Celeste m’a dit. J’ai également un savoir relativement correct de cet art mais bon jusqu'à aller l’enseigner ! rit. Non, moi j’excelle dans deux matières: Les potions et les sortilèges de feu. Actuellement mon père était un biologiste, il collectionnait tout une collection de plantes magiques et médicinales. Lorsqu’il décéda, j’ai hérité de tout une malle remplie d'ingrédients pour potions. J’ai beaucoup appris avec lui durant ma jeunesse si bien que j’ai atteint un très bon niveau dans la confection de potion en tout genre. Il marqua une pause, se rendant compte qu’il monopolisait la conversation. Mais j’ai déjà bien assez parler de moi, que peux-tu me dire de toi ? As-tu une résidence secondaire en dehors du Qg ? Parce que on ne va pas rester longtemps la-bas maintenant que le ministère nous reouvre ses portes !

Il croqua une seconde fois dans son sandwich, et scruta les alentours du regard, silencieux attendant que Wena lui réponde.

Le train était encore très loin, et n’arriverait probablement pas en gare avant au minimum une bonne heure, voir peut-être plus. Mais ce fut alors que la nuit fraiche mais sèche se transforma au fil de quelques minutes, en une nuit pluvieuse et orageuse. John durant sa marche n’avait cependant pas remarquer de nuages noirs, au loin dans le ciel mais peut-être avait été-il inattentif. Toujours est-il qu’une pluie des plus déchaînée venait de s’abattre sur la ville de Londres. Son battement sur les rails des trains ainsi que sur le toit du préau de la gare produisait un bruit sourd. Parfois, quelques nerfs de lumière électrique traversaient les nuages, tels de grand amas de muscles gris formés d’eau en suspension, et venaient éclairer les coins sombres et éloignés de la gare. La taule qui se trouvait au dessus des têtes des deux sorciers les protégeait du déluge. La conversation ne s’interrompit pas par conséquent. Wena prit alors la parole pour répondre aux dernières paroles de l’Auror.

- C'est une belle qualité de ne pas attacher d'importance à l'argent. J'ai l'esprit trop idéaliste, mais je ne peux m'empêcher d'espérer un jour retourner dans mon pays natal, là ou la valeur des Gallions est égale à celle de l'eau, des denrées de la terre... ou même à la vie d'un être vivant. Les gens aujourd'hui ont oublié le vrai sens des priorités. Il s'attachent à leur fortune en oubliant ce qui compte encore plus. Les amis, la famille, l'amour...

A ses paroles, John pensa subitement et sans raisons apparentes à de vastes étendues vertes. Il comprit intimement que Wena avait eu en tête ses images qui provenaient probablement de sa plus tendre enfance. Ce phénomène s’expliquait par le fait que John était un très bon legilimens ainsi qu’une personne dotée d’une forte empathie envers les autres. Par moments, en de rares occasions, lorsque son esprit était relaxé et calme, des images de pensées d’autres personnes venaient vaguement envahir l'intérieur de sa tête. Selon ses humeurs, l’auror se laissait transporter par ces bribes de souvenirs ou bien les faisait simplement disparaitre ...


- Je ne savais pas que tu venais de terres éloignées, et pourtant je sais beaucoup de choses sur mes collègues. Mais alors d’où viens-tu ? De quelle terre aux prairies vertes et aux forets denses es-tu d’origine ?

Décidément, cette jeune femme l'intéressait de plus en plus. Il ne pouvait dire pourquoi, mais sa présence féminine apaisait son esprit et le rendait léger ... Quoi qu’il en soit, il pouvait sans aucune forme de doute mettre hors de cause les sentiments amoureux. Cependant, il sentait naitre en lui une certaine sympathie pour Wena. Oui, une certaine sympathie. La sorcière paraissait être une femme agréable et posée. John se fit l’intime promesse que par le futur, il tenterait de mieux connaitre les gens qui l’entouraient, cela pouvait lui réserver de belles surprises et aussi de belles amitiés ....

John parla encore un petit peu de lui, avant de s’interroger à sa voisine. Il la questionna alors sur le lieu ou cette dernière vivait. Lorsque qu’il posa sa question, l’Auror ressentit son humeur changer brusquement. Un sentiment d'insécurité et de panique venait de l’envahir. Alors qu’il se laissait lentement contrôler par ce flot d'émotion, il ouvrit alors son esprit et tout ce méli-mélo de sentiments frustrés le traversa avant de totalement s’estomper dans son esprit. Il comprit qu’il avait anormalement troublé son interlocutrice par sa question. Apparemment celle-ci ne devait point savoir où aller après la fermeture potentielle du Qg.


- Et bien... A vrai dire, non, je n'ai pas d'autres résidence. Lorsque je suis sortie de Poudlard, j'ai tout de suite emménagée dans le bureau des Aurors. Même si nous n'étions pas encore à Wood Stuff, je passais le plus clair de mon temps là-bas, je dormais même peu. Et puis, juste après la fin de ma formation, nous avons du déménager au QG, et là j'ai pu établir ma résidence. Mais maintenant... je ne sais pas vraiment où aller


John esquissa un sourire avant de rassurer d’une voix paisible la jeune femme qui semblait encore bien faible contre les événements de la vie, ce qui pouvait se comprendre totalement de part son jeune âge.

- Ne t'inquiète pas, avec ton salaire tu trouveras bien un endroit où vivre, un petit chez toi. De toute façon, il est sur que le ministère ne te laissera pas dans la rue. Au pire tu pourras dormir chez un de tes collègues si tu ne trouves vraiment rien !

Il lui tapota alors gentiment l'épaule, espérant ne pas passer pour quelqu’un de trop «brute». Pour ne pas sombrer dans un nouveau silence, il décida de relancer la conversation vers un tout autre sujet.

- Sinon, j’imagine que comme toute bonne sorcière, tu dois surement être une animagus n’est-ce pas ? Pour ma part, je n’ai ni permis de transplanage, et je ne suis pas non plus un animagus. Je suis cependant un excellent Legilimens !