ft. Elizabeth « Lizzie » Bennet
« J’ai rien vu depuis, arrête ! »
Assez. N’en demande pas plus, ne prends pas davantage. Elle a donné tout ce qu’elle n’avait pas. Assez maintenant. Tu entends ses os se craqueler et tu vois sa chair se mouvoir. Elle souffre et ses yeux aveugles se perdent dans la douleur. Et toi subitement tu vois Clair. Tu es parti trop loin, as frappé bien trop fort. Elizabeth ton Dieu est ta Subsitance. Cette vérité est inscrite dans ton nom, elle en devient ta nature. Une force et une préservation qui ne dépend plus de toi, et pourtant ce soir Jacob te fait croire qu’il t’a abandonné. Pourtant ce soir, il agit envers et contre Lui. Ce soir, tu te fais sainte et martyr. Et comme eux tu es prête à mourir.
Regarde Jacob. Regarde, je t’en conjure. Cette femme s’est faite Serpent et se tord au sol. Et toi tu l’observes, tu es un peuple malade et mourant qui observe un serpent de bronze dans le désert. Tu tombes à genoux, tu baisses les yeux sur ce qu’elle est venue et de détresse, tu lui caresses les cheveux. Ouvre les yeux et regarde bordel. Ton coeur se déchire, le sien s’accélère: il n’y a plus rien pour ralentir le processus. Tu veux fuir, je le sens et je le sais. Mais moi, je te veux là. Je veux que tu vois ce que tu as fait. Je veux que tu vois ce que je t’ai fait faire. Que tu voies la vérité en face. Elizabeth est maintenue sur le dos, et sa cage thoracique s’enfle et s’ouvre ; elle se contorsionne pour lui faire pousser des ailes osseux sur le ventre. Des ailes qui lui permettraient de s’en aller, de s’élever vers une autre réalité. Nous le savons tous les deux : la chose qui resterait dans ce corps n’aurait rien de ce qu’elle a été.
Reste. Juste une seconde de plus. Imprègne toi de cela, et souviens-toi de ce que tu viens de lui arracher : le choix d’une première transformation. Sa bouche se tend, son sourire de douleur s’élargit et ses yeux vitreux se comblent de veines mêlés à du venin. Reste une seconde de plus, que la beauté de la chose ne passe pas à la trappe. Ses bras se disloquent et s’allongent, et le râle qu’elle pousse souffle le pourquoi. Son corps se couvre progressivement de poils et ses vêtements se déchirent. Et tandis qu’elle se perd sous ce corps que tu découvres, je t’autorise enfin à fuir. Fuis. Cours, loin. Tu fouettes ta baguette dans l’air et informules un #Bombarda. La détonation fait rugir les murs; tu entends au loin le loup vrombir. Glisse, cache toi. Tes sueurs sont plus froides que le métal contre lequel ton corps s’appuie.
Ecoute. Le silence. Il est là autour de toi. Fermons les yeux. Rien. Tu entends la fumée de béton. Tu entends ton coeur, tu entends ton corps et tes poumons. Tu entends ta peur. Tu entends
rien.
Pourtant elle est là. Tu le sens. Tu sens la m*rde. Celle dans laquelle je t’ai mise et honnêtement je n’ai aucune idée de comment t’en sortir. J’ai une idée de beau, de bien ; je n’ai aucune idée de vrai. Je suis partagé entre te faire du bien et te faire une petite frayeur. Alors concentrons nous pour te sortir de là. Tu entends quelque chose frapper le sol avec force et fureur et tu sais que ça s’approche. Cours.
Tu n’as d’autre défense. Vis ta fuite. D’un autre #Bombarda tu frappes le sol et tombe un étage en dessous. Et tu cours...
… Encore. On fait au mieux. Et le mieux que je t’ai trouvé c’est de t’y abandonner. Alors. Je souris. A l’idée de te faire peur. Prends ta baguette, place la sous ton menton. Qu’est-ce que tu ressens ? Je t’ai fait une promesse et je ne compte pas la tenir. Il est temps d’en finir, à armes égales. Je te promets, c’est un mal pour un bien. Je te promets encore, tout ira bien. #Versipellis Sempra. Et j’ai l’air d’avoir de la compassion pour toi. Pourtant je ne fais que te mentir. Je t’ai promis de ne pas te garder longtemps là-dedans. Je t’ai promis du bon et du bien. Je t’ai promis de te libérer de la Dame. Mais mes intentions ne sont pas aussi pures, tu m’amuses et je m’en excuse. Dans ton rien créatif et dans ce chaos façonneur tu n’as qu’une chose à me dire :
Arrête. Et je ne peux pas.
Regarde Jacob. Regarde, je t’en conjure. Cette femme s’est faite Serpent et se tord au sol. Et toi tu l’observes, tu es un peuple malade et mourant qui observe un serpent de bronze dans le désert. Tu tombes à genoux, tu baisses les yeux sur ce qu’elle est venue et de détresse, tu lui caresses les cheveux. Ouvre les yeux et regarde bordel. Ton coeur se déchire, le sien s’accélère: il n’y a plus rien pour ralentir le processus. Tu veux fuir, je le sens et je le sais. Mais moi, je te veux là. Je veux que tu vois ce que tu as fait. Je veux que tu vois ce que je t’ai fait faire. Que tu voies la vérité en face. Elizabeth est maintenue sur le dos, et sa cage thoracique s’enfle et s’ouvre ; elle se contorsionne pour lui faire pousser des ailes osseux sur le ventre. Des ailes qui lui permettraient de s’en aller, de s’élever vers une autre réalité. Nous le savons tous les deux : la chose qui resterait dans ce corps n’aurait rien de ce qu’elle a été.
Reste. Juste une seconde de plus. Imprègne toi de cela, et souviens-toi de ce que tu viens de lui arracher : le choix d’une première transformation. Sa bouche se tend, son sourire de douleur s’élargit et ses yeux vitreux se comblent de veines mêlés à du venin. Reste une seconde de plus, que la beauté de la chose ne passe pas à la trappe. Ses bras se disloquent et s’allongent, et le râle qu’elle pousse souffle le pourquoi. Son corps se couvre progressivement de poils et ses vêtements se déchirent. Et tandis qu’elle se perd sous ce corps que tu découvres, je t’autorise enfin à fuir. Fuis. Cours, loin. Tu fouettes ta baguette dans l’air et informules un #Bombarda. La détonation fait rugir les murs; tu entends au loin le loup vrombir. Glisse, cache toi. Tes sueurs sont plus froides que le métal contre lequel ton corps s’appuie.
Ecoute. Le silence. Il est là autour de toi. Fermons les yeux. Rien. Tu entends la fumée de béton. Tu entends ton coeur, tu entends ton corps et tes poumons. Tu entends ta peur. Tu entends
rien.
Pourtant elle est là. Tu le sens. Tu sens la m*rde. Celle dans laquelle je t’ai mise et honnêtement je n’ai aucune idée de comment t’en sortir. J’ai une idée de beau, de bien ; je n’ai aucune idée de vrai. Je suis partagé entre te faire du bien et te faire une petite frayeur. Alors concentrons nous pour te sortir de là. Tu entends quelque chose frapper le sol avec force et fureur et tu sais que ça s’approche. Cours.
Tu n’as d’autre défense. Vis ta fuite. D’un autre #Bombarda tu frappes le sol et tombe un étage en dessous. Et tu cours...
… Encore. On fait au mieux. Et le mieux que je t’ai trouvé c’est de t’y abandonner. Alors. Je souris. A l’idée de te faire peur. Prends ta baguette, place la sous ton menton. Qu’est-ce que tu ressens ? Je t’ai fait une promesse et je ne compte pas la tenir. Il est temps d’en finir, à armes égales. Je te promets, c’est un mal pour un bien. Je te promets encore, tout ira bien. #Versipellis Sempra. Et j’ai l’air d’avoir de la compassion pour toi. Pourtant je ne fais que te mentir. Je t’ai promis de ne pas te garder longtemps là-dedans. Je t’ai promis du bon et du bien. Je t’ai promis de te libérer de la Dame. Mais mes intentions ne sont pas aussi pures, tu m’amuses et je m’en excuse. Dans ton rien créatif et dans ce chaos façonneur tu n’as qu’une chose à me dire :
Arrête. Et je ne peux pas.