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[Concours RPG] La légende de la Bête - Temperence Black
Temperence Black
Temperence Black
Serpentard
Serpentard
Année à Poudlard : Diplômé(e)

Matière optionnelle : Arithmancie

Spécialité(s) : Aucune spécialité enregistrée actuellement.


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[Concours RPG] La légende de la Bête - Temperence Black
Temperence Black, le  Dim 31 Juil - 19:08

La Bête du Gévaudan
Par T.Black

Depuis son départ de France, Temperence n'avait gardé de contact qu'avec Anaëlle, sa meilleure amie et chaque samedi, elles se retrouvaient pour partager du temps ensemble. Ce samedi 31 juillet, elles avaient décidé de se retrouver en Angleterre. Le programme de la journée était assez simple : le matin, promenade dans la grande forêt de Sherwood  et l'après-midi, elles feraient les boutiques afin de s'acheter de nouveaux vêtements pour partir en vacances en Espagne. Une journée fatigante les attendait.
Le matin du rendez-vous, Temperence s'habilla simplement : un slim noir avec un t-shirt léger bleu nuit, des vans et une veste légère. Anaëlle arriva vers 9h30, vêtue de la même façon que Temperence à la seule différence que son t-shirt était rouge. Ce détail les fit sourire toutes les deux, elles étaient vraiment complémentaires, on aurait pu les prendre pour deux sœurs si elles se ressemblaient plus. Physiquement, Anaëlle était plus mate de peau que Temperence, ses yeux étaient bruns froncé, ses épaules étaient légèrement plus larges que celles de Temperence, elle était également plus grande de quelques centimètres. Elles prirent le temps de boire un café avant d'attraper leur portoloin en direction de la forêt de Sherwood à 9h45.
Arrivées sur place, elles furent subjuguées par la beauté des lieux. D'énormes arbres aux feuilles verdoyantes recouvraient le sol à perte de vu. En se concentrant, elles purent distinguer le chant des oiseaux, le sifflement du vent léger au travers des feuillages, l'écoulement d'un ruisseau... un endroit que la magie n'a pas altéré, un endroit entièrement naturel. Au loin, elles purent également apercevoir les vestiges de ce qui semblait être un ancien château. Temperence compta mentalement jusqu'à 10 et Anaëlle se mit à raconter la légende de la forêt de Sherwood.
  - Dans des temps anciens, cette forêt aurait été habitée mais pas par n'importe qui, par Robin des bois, un voleur qui prenait aux riches pour donner aux pauvres, expliqua-t-elle avec passion tandis que Temperence masquait son sourire. Il s'était épris de la belle Marianne et.....
Temperence l'écouta en souriant. Elle connaissait cette histoire par cœur, la légende préférée de sa meilleure amie que cette dernière ne cessait de raconter. Elles entrèrent dans l'épaisse forêt où la nature semblait avoir repris ses droits depuis la mise à l'abandon du domaine voilà un peu mieux de 500 ans. Un chemin se dressait devant elles, il semblait avoir un jour été dompté. Tout au long, il y avait des pancartes où les écritures illisibles avaient péri sous l'assaut des ondées et des chaleurs. Elles suivirent ce chemin bordé de fleurs sauvages toutes plus belles les unes que les autres. Il déboucha sur une petite prairie avec un arbre en son centre. L'arbre était immense, entre 20 et 25 mètres de circonférence. Son écorce était aussi noir que le charbon et le tronc se démultipliaient en une multitude de branches verdoyantes. Plus aucun mot ne sortit de la bouche d'Anaëlle qui était, à la même image que son amie, totalement fascinée par l'endroit enchanteur. Temperence refit surface la première et fit le tour de l'arbre immense. Elle laissa sa main glisser contre le tronc rugueux. Cet arbre avait une histoire... Une âme... Les séquelles de plus de 2000 ans d'existence... L'écorce était abimée par endroit, sûrement à cause d'animaux sauvages qui s'y frottaient pour s'y gratter l'échine. Ce fut un hurlement qui arracha Temperence de sa contemplation. Elle aurait reconnu cette entre mille.
  - Ana ?! Cria-t-elle en courant vers le lieu où se trouvait sa meilleure amie. Elle la chercha du regard mais ne la trouva nulle part. Elle fit plusieurs fois le tour le tour de l'arbre, elle scruta l'orée de la forêt mais toujours aucune trace d'Anaëlle n'était visible. Elle se laissa tomber au sol et sentit une douce chaleur se propager dans sa paume droite. Elle retire sa main et vit l'objet coupable de ce bien-être. C'était une plume noire, aussi longue que sa main et d'une douceur incroyable. Elle prit conscience que son amie ne reparaîtrait pas de si tôt et décida de partir en avertir le ministère au plus vite. Elle activa le portoloin qui aurait dû les ramener toutes les deux. Elle rentra chez elle en quatrième vitesse et prévint son père qui sirotait tranquillement son café dans le salon. Son père le somma de se calmer afin de tous lui raconter. Cela fait, ils se dirigèrent vers le ministère qui lança un avis de recherche à sorcier en danger. Temperence dut dire tout ce qu'elle savait mais lorsqu'elle sortit la plume de sa poche, l'aurore se figeât.
  - Jeune fille, laissez tomber vos recherches et oubliez cette histoire. Nous vous donnerons le résultat d'ici peu, lança l'aurore d'un ton sans appel avant de la faire sortir du bureau. La porte de ce dernier resta légèrement ouverte et Temperence, dans un acte d'inconscience, se positionna de façon à entendre ce qu'il se disait dans le bureau.
  -Il faut taire cette histoire, on peut dire à la gamine que sa copine a été retrouvée morte, dit le premier aurore.
  -Où alors on assume chef. Cette créature est de retour après un très long sommeil, si nous demandons de l'aide nous réussirons sûrement à la capturer, proposa l'employé.
  -Non. Cela fait trois mois qu'elle est revenue et il y a eu 14 disparitions. On tait cette histoire et la copine de la gamine est considérée comme morte. Il ne faut pas que le monde soit au courant que la créature du Gévaudan est de retour, conclut le chef de la patrouille en congédiant son inférieur hiérarchique.
Temperence n'en revenait pas, ils allaient passer cette histoire sous silence car ils avaient peur d'avouer qu'ils ne savaient pas à quoi ils avaient à faire. Pitoyable était le seul mot capable de décrire cette patrouille d'aurore que Temperence trouva. Elle allait devoir sauver sa meilleure amie, sa sœur de cœur elle-même sans l'aide des hommes en charge de l'affaire. Cela était inconscient et risqué mais elle décida de prendre le risque et improviserait le moment venu. Du bruit retentit dans le bureau et Temperence eut tout juste le temps de sauter sur le fauteuil avant que les deux hommes ne sortent, la mine faussement déconfites et attristées. Ce fut le chef qui se lança en premier.
  -Miss Black, nous avons eu des nouvelles de la patrouille que nous avons envoyé. La jeune fille qui a disparu a été retrouvée morte non loin du lieu où vous étiez. Elle aurait été attaquée par un loup, expliqua l'homme tandis que Temperence faisait semblant d'y croire en affichant une mine choquée où quelques larmes coulaient le long de ses joues. Nous n'avons rien pu faire.
  -Je... Je veux voir son corps, hoqueta la jeune femme
  -Non ! eu.... je veux dire vous ne pouvez pas le voir car le corps a été laissé dans un état pitoyable. Nous avons donc pris les mesures nécessaires afin que le corps soit rapatrié en France, près de ses parents, dans les plus brefs délais, intervint maladroitement le second homme.
  -Très bien, répondit simplement Temperence avant de tomber en larme dans les bras de son père, revenant de la cafétéria un café dans chaque main, qui s'aperçut rapidement de la supercherie de sa fille.
  -Rentrons à la maison, dit-il simplement en posant les cafés sur la table avant de partir du ministère. Arrivés au manoir, il lui demanda la raison de ce cinéma car si les aurores avaient été dupés, lui, non. Elle lui expliqua alors l'histoire et ils décidèrent de trouver le fin mots de l'histoire ensemble.
En premier temps, ils étudièrent la plume en se servant des registres animaliers des créatures des deux mondes, mais cette plume noire d'encre ne ressemblait à aucune autre. Ne trouvant rien de concret, ils abandonnèrent leurs recherches animalières pour s'intéresser à la bête du Gévaudan.
  -Au commencement de juin de l’année 1764, une femme de Langogne, en Gévaudan, gardant son troupeau de bœufs, aux environs du bourg, fut attaquée par une bête féroce. Ce sera la première victime recensée. Quelques semaines plus tard, elle recommence ses carnages qui vont en s'amplifiant, tant dans le nombre que dans l'horreur. Tout le Gévaudan en tremblait. Le capitaine Duhamel, aide-major des dragons de Langogne, s’était volontairement mis à la tête d’une troupe de hardis paysans afin de donner la chasse à l’animal mystérieux. Il avait même cerné et tué un grand loup qui lui avait valu dix-huit livres de prime mais les gens de la campagne ne se rassuraient point ; ce vulgaire loup n’était pas la Bête, ainsi qu’on s’efforçait à le leur faire croire, et, de ce fait, on apprit presque aussitôt que celle-ci se moquait des chasseurs et poursuivait ses ravages, lut Temperence de vive voix. Ils ne disent rien de plus. J'ai fouillé sur tous les livres que j'ai trouvés mais il n'y a rien.
Temperence laissa tomber au sol le vieux livre français qu'elle s'était procurée en France. Cela faisait une semaine qu'ils cherchaient des réponses et leurs résultats restaient bien maigres. Ils savaient que la créature était un oiseau noir, l'oiseau devait être suffisamment grand pour emmener un humain avec lui, il ne s'en prenait qu'aux humains et laissait les animaux en paix. La créature semblait être la même depuis plus de 1000 ans car elle agissait toujours de la même façon et le seul animal qui leur était venu à l'esprit était le basilic. Or, cette théorie était tombée à l'eau car le basilic était un serpent et ne possédait donc pas de plume. Ils ne possédaient qu'une photo sorcière qui montrait une masse noire et imposante se volatiliser. Ils étaient retournés près du Major Oak mais aucun signe de la créature.
Ce ne fut que le soir que Temperence eu une illumination en observant la photo. Il n'existait qu'une créature capable de se volatiliser ainsi dans les airs : un phénix. Elle alla exposer sa théorie à son tuteur qui ne put qu'approuver en observant la grande ressemblance entre la plume noire et les plumes d'un phénix. Après maintes recherches dans la bibliothèque de Paris, ils purent constater qu'un phénix noir d'encre était né aux alentours des années 1750. Il était le fruit d'une mutation mélanique rare. Il serait né dans une forêt d'Angleterre. Ils approfondirent leurs recherches jusqu'à trouver un ancien carnet de bord. La couverture était abimée, c'était un vieux cuire marron et les pages étaient jaunies par le temps. Malgré le piteux état de l'objet, les écritures restaient parfaitement lisibles.


Jour 1 :
Aujourd'hui nous avons attrapé un mystérieux phénix aussi noir que le charbon. Il brûle comme un phénix normal mais les flammes d'ordinaires rouge oscillent entre le bleu nuit et le noir profond.
Jour 5 :
Nous avons attaqué et blessé le phénix afin qu'il se soigne avec ses larmes. Nous avons profondément entaillé son aile droite en plus de la pate gauche. Il nous a résisté mais grâce à notre persévérance il a rendu les armes et s'est soigné. Ses larmes ressemblent à des diamants et son sang est bleu nuit. Ce phénix nous intrigue au plus haut point.
Jour 15 :
Cela fait une semaine que nous ne lui donnons plus de nourriture. Il faiblit doucement et ne chante plus.
Jour 20 :
Il s'est produite une chose extraordinaire, alors que nous le sortions de sa cage afin de procéder à de nouvelles expériences, il est allé soigner Arnold, mon fils atteint d'un mal inconnu. Il l'a soigné mais il a ensuite essayé de se sauver, nous l'avons donc accroché avec des liens magiques sur un perchoir dans une cage.


Temperence en avait les larmes aux yeux. Plus elle avançait dans le carnet plus ce que cet homme du nom d'Osvald Baskerville avait fait subir au phénix était horrible. Les derniers chapitres étaient les plus sanglants mais ce qui attisa sa curiosité, ce fut la dernière page. Une écriture tremblante recouvrait cette dernière qui était également tâchée de sang.

Le phénix noir est rentré deux jours après s'être sauvé, il était couvert de sang et s'en ai pris à mon père et ses amis. Il les a totalement massacré, j'ai vu du sang giclé sur les vitres de la maison alors que je me reposais dehors. Je pense que mon père et ses amis sont allés trop loin dans leur expériences affreuses. Je prie pour que les hommes arrettent de faire des choses horribles et laissent la nature suivre son cours comme elle l'a toujours fait. Je sais que d'ici quelques heures cet oiseau me tuera aussi. La douleur l'a rendu fou. Il faut maintenant le tuer dans les plus bref délais même si je ne cautionne pas cet acte mais personne d'autre ne doit tomber sous le joug de la colère destructrice du phénix noir.

Ils avaient enfin la vérité. La bête du Gévaudan était un phénix qui détestait les humains et qui n'aspirait qu'à une chose : se venger. Maintenant, il fallait le retrouver. Ce n'allait pas être une chose facile car cet oiseau volait de pays en pays, de continents en continents. Le premier lieu où ils décidèrent, ce fut à Sherwood. Cette forêt était déserte depuis fort longtemps et plus personne n'osait y mettre car ce lieu serait hanté. S'il avait fermé voilà 500 ans ce n'était pas pour rien. Une légende courrait que plusieurs accidents et plusieurs personnes auraient disparu dans ces bois sans laisser de trace. Subitement, le nombre de touriste s'est vu augmenter, la nouvelle que la forêt était hantée a attiré énormément de monde mais un jour de vacances scolaires, alors que le site était plein a crqué, "l'esprit" hantant les lieux serait devenu fou. Les vitres du château éclataient toutes une à une, et les autorités arrivèrent trop tard. Un grand nombre de personne avait été massacré et celles encore en vie devinrent folles. Le lieu avait donc été abandonné et les autorités avait fait passé cela pour un attentat.
C'est ainsi que Temperence fit le lien entre les évènements avec son père. Le phénix était né en Angleterre, dans le bois de Sherwood dans les années 1750, il a ensuite été capturé par les Baskerville, une famille de scientifique, qui l'ont maltraité afin de savoir pourquoi il ne ressemblait pas aux autres. Leurs laboratoire se trouvait dans le Gévaudan, lieu du premier meurtre qui eu lieu en même temps que la disparition de la créature. Quelques jours après le meurtre de la femme de Langogne, le groupe des Barskerville a été retrouvé totalement massacré mais le tueur n'avait laissé aucune trace car après son acte, le phénix avait tout simplement transplanné chez lui, dans la forêt de Sherwood. Après, il y a eu la mondialisation de la légende de Robin des bois, un voleur vivant dans le bois de Sherwood. Les Hommes ont donc commencé à affluer en ce lieu et certains en ont fait un endroit touristique. Pour sécuriser ce lieu, ils ont fait fuir les animaux sans hésiter à les tuer et cette violence humaine a réveillé la haine du phénix qui protégeait ce lieu, son habitat. Le phénix s'est donc rebellé et quand il y eu le pic de tourisme, il a laissé toute sa colère exploser et il a défendu son lieu de vie en faisant souffrir ceux qui lui avaient jadis fait du tort. Mais pourquoi avait-il attaqué Anaëlle qui n'avait rien fait ? Et c'est en retournant dans la forêt de Sherwood qu'ils avaient décidé de faire toute la lumière sur cette histoire.
Ils se rendirent une nouvelle fois sur les lieux de l'enlèvement vers la même heure que la dernière fois en espérant y voir la créature fantastique. Temperence fixait l'arbre en se remémorant cette fatidique journée quand son père fit une découverte. Deux petits phénix. Noir. Les deux bébés venaient tout juste d'apparaître dans la petite prairie et cela répondait à toutes leurs interrogation. Si le phénix attaquait ce n'était pas par plaisir mais pour protéger sa progéniture de la race humaine, pour que ses petits ne souffrent pas comme elle avait souffert. Toute la lumière se faisait sur cette enquête. Alors que Temperence prit dans ses bras un des bébés venant de tomber en apprenant à voler et à transplanner, la mère fit son apparition. Le premier geste de Lysandre, le père de Temperence, fut de lancer un protego sur fille avant que la bête n'eut le temps de fondre sur elle. Le phénix grattait avec sa patte le dôme invisible et Temperence traversa lentement le dôme en tendant le bébé à sa mère qui se calma doucement. Elle semblait comprendre que les intentions de la jeune fille n'étaient en rien mauvaises. Alors que la femelle prenait son bébé, un bruit attira l'intention. Il venait de la forêt et lorsque la cause du bruissement apparut, Temperence lui sauta dessus. Anaëlle était là, en vie et elle portait le second bébé qui avait disparu sans que personne ne s'en rende compte. Anaëlle raconte alors son histoire, elle avait vécu deux semaines avec les phénix. Elle s'occupait des petits quand la mère partait chasser ou protéger son territoire.
  - Mais, pourquoi elle ne t'a rien fait ? questionna Temperence.
  - Pour la simple et bonne raison que j'ai sauvé un de ses petits. Quand elle m'a fait transplanner dans la grotte, j'étais perdue et mon premier reflexe fut de sortir. Devant, il y a un cours d'eau assez rapide et en apprenant à voler, il y a un petit qui est tombé à l'eau alors j'ai sauté pour le sauver. Les phénix n'aiment pas l'eau et en plus il ne sait pas encore bien transplanner. La mère m'a donc laissé la vie sauve et sincèrement, c'est une expérience géniale à vivre, raconta la jeune disparue fraichement retrouvée.
Le mystère de la bête du Gévaudan enfin résolu, les trois humains partirent en jurant au phénix de ne pas révéler le secret de la bête du Gévaudan. Le trio laissa tout de même une trace sur le lieu, un puissant sortilège repoussant les moldus. Ce fut ainsi que l'étrange réapparition d'Anaëlle surpris le ministère qui du se contenter des explications de la jeune fille anciennement déclarée morte. Elle se serait donc perdu en forêt alors qu'elle cherchait des fraises pour le dessert du déjeuner.



( Bonjour, voici ma participation au concours. Bonne soirée et bonne correction ! )
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