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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Autres Lieux Magiques ~¤~ :: Grande-Bretagne
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[Habitation] The Parker's Domain
Ashton Parker
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[Habitation] The Parker's Domain
Ashton Parker, le  Mar 8 Nov - 19:31

_________________________________


Voici l'habitation (très grand manoir) de Jean Parker.

Il peut poster dès à présent.


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Jean Parker
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Jeu 10 Nov - 8:57

The Parker's Domain

L'habitation
Propriétaire : Jean Parker, très grand manoir, non loin de Londres

C'est dans ce lieu, protégé magiquement, qui tombe peu à peu dans l'oubli que Jean réside, tel une ombre dans son antre. On peut y voir un très grand manoir, avec un terrain dément, une superbe vue donnant l'illusion d'un endroit riche, développé et sain. Lorsque l'on rentre, le miroir se brise et la vérité de dévoile alors. On arrive dans une entrée poussiéreuse, faisant face a un immense escalier montant à l'étage. Au rez de chaussée il y a la cuisine et salle à manger sur le coté droit, puis sur le côté gauche, le salon. Cette pièce aux murs jaunis par l'usure et par la cigarette, reflète parfaitement la vie de Jean. Des gallions trainent un peu partout, et la poussière avait envahi la pièce, avec probablement le jeune homme affalé sur son fauteuil, siège dans lequel il passe la plupart de sont temps chez lui. La vie y semble décalée, avec des cadavres de bouteille un peu partout, des cendriers plus ou moins improvisés tous remplis de mégots donnant à la pièce une odeur correspondant à un mélange de renfermé et de cigarette. Derrière l'escalier se trouve une trappe, menant avec un escalier plus petit et plus sobre à la cave. Divers objets y sont stockés, que ce soit des meubles des objets en tout genre, de l'argent, enfin bref il y avait un peu de tout. Il y a également une cave à vin fixée sur l'un des murs de celle-ci, contenant de quoi boire jusqu'à la fin des temps. A l'étage du manoir, un long couloir va de gauche à droite, avec la chambre de Jean, deux chambres d'amis et deux salles de bains. Il y a également une seconde pièce de séjour, avec une baie vitrée pour observer la vue tout en pouvant savourer un petit verre, confortablement assis. En parcourant le jardin quelque peu négligé, on tombe sur une piscine moyenne, dont l'entretien négligé ne donne pas envie d'aller se baigner dedans. Le seul objet digne de la grandeur normale du bien immobilier, est le bolide de course rangé au garage, à savoir sa Lamborghini. Pour résumer on peut parler d'une forteresse de solitude, un royaume avec un château de cartes, dans lequel un misanthrope se terre pour fuir le soleil et les hommes.
Diverses choses
Protection mises en place :
    - Maléfice anti-transplanage
    - Maléfice repousse-moldu
    - Maléfice anti-sortilège
    - Sort de repousse-maléfice
    - Lieu incartable
    - Charme du Cridurut

Créatures habitant ici : :
    - Elfe de maison
    - Hiboux


Dernière édition par Jean Parker le Lun 27 Mar - 9:43, édité 2 fois
Mangemort 87
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Mangemort 87, le  Ven 23 Déc - 1:27

Autorisation de JJ

drink drank drunk

Y a cette faiblesse croupissante dans un toi que t’ignores
Y a les relations qui partent en cacahuète
Y a le ventre qui croit que c’est sa fête

drunk dronk drenk


Il fait un chaud de glace dans cette combinaison de cuir
Ça fait des feulements des croissements d’espoir
Et les pas papillons patinent le parterre
Impatients d’être - de courir
Dans leur velours de verre
Une soupe d’existence
Un essouflement
Une énivrance

drank drunk drink

La bouteille revient chup chup chap chap
Accompagnée des pastilles en locomotives
T’as perdu le contrôle t’as oublié les mesures

Tu ne sais même plus ce que tu as pris

La Vol
Dreamer
Pays des Merveilles
Paradis
Nuage
C’était peut-être toujours la même
Ou toutes pour une et une pour toutes
Pour planer t’es partie dans une autre galaxie

Elle étudie là bas
Tu te rappelles ?
Oui oui
Je crois
Elle est venue en camion, c’est ça ?
Elle a trouvé ses lapins de Garenne ?
C’était il y a 15 ans, tu sais
Non elle se rappelle plus
Elle continue
Mais d’ailleurs dis moi
Tu fais pas des erreurs de manoeuvre ?
Surtout quand je peins
Parce que je peux faire des 25mx5
Ça me garantit pas que les gens achètent
Les syllabes s’enfilent comme des perles
Ou des wagons de locomotives
Ou des pastilles dans un gosier
Et ça tourne
Et tourne
Et chavire un peu

drunk dronk drenk

Tu es le bateau ivre des plaisirs d’être
Si saoule d’exister que tu t’élèves dans la fumée
La cendre recouvre les moindres de tes paupières
Non ce soir tu ne laveras ta langue au savon
Ce soir tu ingurgites
Ce soir tu emplis
Ton corps plus si frêle de nouveaux nuages

De tes Stratocumulus tu écriras son nom
Promesse à toi
A lui
A tous ceux qui oublient

drink drank drunk

Une toi déchirée va s’échouer
Sur le canapé-rivage d’une baraque trop friquée
Les flasques s’enchainent jusqu’à ce que rien ne subsiste
Et que tu complotes l’entrée jusque dans cette bâtisse
Elle a l’air trop grande pour manquer de sécurités
Elle a l’air trop grande pour manquer d’alcools de qualité

drank drunk drink

Le chat sillonne
Invisible mais sourd
Car dans son monde à lui
Tout n’est que bourdonnement ouaté

Le chat passe la porte du manoir
Explosion aveugle
Discrétion ratée
Et son regard vole sur des courriers à l'entrée
Le nom ne parle
pas ?
Jean Parker
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Dim 25 Déc - 13:14



Insomnie quand tu nous tiens...

Les sombres pensées d'un début de vie chaotique, un passé douloureux à porter, enrichi par les erreurs à la chaine faites par Jean. Le cumul des pensées les plus tristes, sur l'abandon familial et émotionnel le plus total, l'impossibilité de savoir où aller dans ces mondes, happé par le monde moldu, dont la technologie et les techniques de survie font rêver d'un côté et, par son sang-pur, le faisant intégrer le monde sorcier, l’envie de réussir dans ce monde, sans vraiment s’en donner la peine non plus. Le mieux serait sans doute finalement de partir vivre loin, éloigné de tout, avec pour seuls partenaires, le calme, la sérénité et la tranquillité pour le restant de ses jours.

Tout semblait tourner dans la tête du sorcier, un mélange de remords d’impuissance et de colère alimentant l'insomnie. Toutes sortes de divers produits et boissons alcoolisées étaient passées dans la soirée, entre le vin, la vodka et le whisky en fin de soirée, le cerveau du jeune homme n'était plus capable de réfléchir correctement, mais malgré cela, il n’arrivait pas à se détendre suffisamment pour trouver le sommeil. Affalé dans un transat de jardin, il profitait de la spectaculaire vue de l'endroit pour boire avec le moins de remords possible. Rien ni personne ne motivait la joie ou la bonne humeur du jeune homme ces temps-ci.


Quand le ciel étoilé couvre notre demeure
Nous nous taisons durant des heures
Devant son feu intense et doux
Pour nous sentir, plus fervemment, émus de nous.

Les grands astres d'argent tracent là-haut leur route ;
Sous les flammes et les lueurs
La nuit étend ses profondeurs
Et le calme est si grand que l'océan l'écoute !

Mais qu'importe que se taise même la mer,
Si dans l'espace immense et clair
Plein d'invisible violence
Nos cœurs battent si fort qu'ils font tout le silence !


Quitte à être incapable de dormir et d’accepter l’insomnie, autant essayer de faire quelque chose d’utile. Cependant en pleine nuit comme cela, les choses étaient plus faciles à imaginer qu’à réaliser. Après même en peine journée, les idées ne courraient pas les rues non plus. Certaines idées parcouraient de temps en temps son esprit, comme par exemple celle de changer de pays, d’aller voir un peu ailleurs, de se retrouver devant la beauté de paysages extraordinaires, ou de faire une rencontrer. Enfin avoir l’impression d’avoir d’une personne, l’impression de ne plus être seul dans ce monde, que quelqu’un vous accompagne et veille sur vous.

Tout d’un coup, une explosion retentie et fit se lever en sursaut le sang-pur qui se demandait ce qui venait de se produire. Beaucoup de questions tournaient dans sa tête, est-ce qu’il était attaqué chez lui ? Dans tous les cas il fallait agir vite. Si c’était quelqu’un qui l’attaquait, cette personne bénéficiait de l’effet de surprise donc cela était tout sauf bon pour Jean. Celui-ci fonça dans son manoir, histoire de récupérer sa baguette ainsi qu’une arme moldue au cas où, histoire de ne pas être trop pris au dépourvu. Comment avait-on pu le retrouver chez lui ? Chaque fois que le sorcier avait à faire à des gens qu’il jugeait de dangereux, il prenait quelques gorgées de ploynectar histoire de ne pas être reconnu et de ne pas risquer sa vie. La baguette cachée dans la poche, et un pistolet dans la main droite, le jeune décida de passer discrètement par le jardin pour comprendre ce qu’il venait de se passer. Il fut stupéfait de voir que son portail était littéralement détruit. Le sorcier entre dans une colère noire, c’était une attaque directe sur son territoire.

Une silhouette se distinguait aux alentours de l’entrée, il faisait un peu trop sombre pour y voir plus clair. Jean n’avait qu’une envie, l’abattre lâchement de loin, et de détruire avec rage le cadavre de cet être. Personne ne pouvait se permettre de s’inviter sur sa propriété de la sorte et encore moins faire l’affront de se permettre de l’attaquer sur son territoire. Il l’avait dans la ligne de mire, mais ce n’était pas son genre de tuer quelqu’un de loin comme ça. Il finit par tirer un coup de feu en l’air qui déchira le silence qui s’était installé.

Alors c’est toi qui oses m’attaquer sur mon territoire ? Tu vas payer cet affront ! Hurla Jean.

Il visait à présent la personne en continuant à se rapprocher. Cependant le sorcier fut frappé de stupeur quand il crut comprendre à qui il avait à faire, mais essaya de ne rien laisser paraître.



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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Dim 15 Jan - 23:49

Je coupe le rp avec ce post unique, reprendra à la suite de ce post.


Suite de Ce rp

J’regarde le ciel, j’attends l’orage

J’attends la nuit, j’attends mon cash


Fuit. Vite et loin. Comme si le monde partait en fumée derrière lui. Comme si la mort elle-même était à ses trousses. Ils avaient réussi l’impensable, réalisé l’irréalisable. Rich. Riche. Riche. Ce mot résonnait dans sa tête. Le cambriolage avait réussi le plus simplement possible, aucune alarme n’avait retentie, aucune de ces hideuses créatures n’avait compris quoi que ce soit. Cambrioler le compte d’une personne importante était quelque chose de fou, d’insensé. C’était le meilleur moyen de prendre un allé simple pour Azkaban, et de devenir complètement fou là-bas. Le sorcier ne réalisait pas encore ce qu’il venait de se passer, trop occuper à fuir.

Une fois que le partage des sommes fut fait, le jeune homme transplana chez lui en vitesse, pour aller cacher cette fortune soudaine. C’était beau. Très beau. Il avait enfin une quantité d’argent proportionnelle à sa baraque. La vie était devenue difficile. Les mecs arnaqués pour le prendre leur fric devenaient de plus en plus nerveux, comme s’ils s’attendaient presque à ce que le jeune homme leur tombe dessus, tel le malheur sur le monde. La quantité de billets possédée par Jean avait commencée à baisser, il avait fallu organiser ce coup du siècle. Le tout pour le tout, la possibilité de devenir très riche comme de tout prendre. Tout s’était passé comme prévu, il n’y avait eu aucun accroc.

Arrivant devant son domaine, avec ce portail refait il n’y a pas longtemps, le jeune homme jubila. C’était bientôt le moment du sacre. En remontant la longue allée, le jeune homme repensait au plan. En y repensant de la sorte, celui-ci paraissait instable, et cela semblait être un miracle que cela ait fonctionné, bien que les quatre malfrats y eussent passé du temps à minutieusement réfléchir à toutes les possibilités, aussi bien dans le meilleur des cas que dans le pire, tout avait été prévu jusqu’à la dernière action. C’était le sacre d’un escroc, insoupçonnable, in traçable, invisible. Une ombre, un spectre était entré dans la banque et était ressorti les poches pleines.

Ouvrant la grande porte avec fracas, Jean hurla à travers la maison pour que l’elfe l’entende « On est riches petit, on est riiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiche ! » La créature apparut peu de temps après, s’inquiétant en ayant entendu son maître hurler de la sorte, chose qui ne lui ressemblait pas. « Que se passe t’il maître ? » Le sang-pur refera la double porte, et se rendit en vitesse dans son salon, avant d’étaler toutes les pièces sur le sol. « Regarde ! Regarde tous ces gallions ! La vie va devenir magnifique crois moi ! Nous ne manquerons plus de rien, c’est le sacre de mon génie ! Le coup du siècle ! » Sa voie en était déformée par la joie, on pouvait presque distinguer des larmes de joie perlant sur son visage.

Le tas de pièce était devant lui, éparpillée sur le tapis. Après avoir mis non loin de lui un magnum de champagne et des cigares pour faire sa petite fête personnelle, Jean se laissa lourdement tomber dans son fauteuil. Sa y est. C’est le moment qu’il désirait depuis qu’il était jeune. Devenir indépendant et puissant. La puissance restait encore à prouver mais avec une somme d’argent pareille derrière soit, tout serait plus facile. Tel un roi sur son trône, le sorcier fit sauter le bouchon de champagne, et s’en servit une lampée dans un long verre à pied. Certes il fallait une gorgée pour le finir, mais c’était plus distingué et plus glorifiant. Riche. Riche. Riche. Ce mot résonnait dans son esprit et jamais plus ne le quitterait à présent. L’elfe de maison était resté un peu en retrait, il semblait sceptique, ne sachant pas trop quoi dire ni comment aborder son propriétaire. « Maître ? » « Parle » La maigrichonne créature hésitait, sembla chercher ses mots avant e demander « mais d’où provient une telle somme ? Qu’avez-vous fait ? » Etait-il assez fidèle pour ne jamais le répéter ? C’était ça la question. « Tout d’abord jure moi de ne jamais me trahir, de ne jamais révéler quoi que ce soit à mon sujet, ce qui se passe dans cet endroit reste dans cet endroit, peu importe ce que je fais tu n’en parleras jamais, vu ? » « Bien entendu maître, jamais créature ne vous trahira. » « Bon alors écoute attentivement. Cet argent provient de la banque ou j’ai effectué un gros retrait. » Son elfe était loin d’être stupide, il comprendrait sûrement ce qu’il c’était passé quelques instants au par avant. « Je vois. » Jean avait toujours été gentil avec son elfe, jamais il n’avait levé la main dessus. Le coté encore naïf de jean espérait qu'une simple phrase empêche toute trahison, une peu d'espoir dans ce monde

J’ai le cœur qui bats devant les pièces

Pour une fois sa créature pourrait bien s’amuser un peu au lieu de pourchasser incessamment la poussière de cet endroit usé par les âges. « Allez va ! Ce soir c’est la fête, Va te préparer à manger, et va boire ce que tu veux. » Le visage de ce petit être sembla s’illuminer lorsqu’il ouvrit la bouche. « Merci maître, vous êtes très bon. »  C’était bien normal.
Qu’est-ce que le jeune homme allait bien faire de ses journées à présent ? Bah il verrait plus tard pour ce problème. Pour l’instant c’était soir de fête. La montagne de pièce transformait une triste soirée à boire tout seul. Les bulles de ce champagne datant de quelques années qui coulaient dans sa gorge avant d’arriver dans son ventre, on avait l’impression qu’elles dansaient partout dans son corps au fur et à mesure qu’elles parcouraient son corps à travers ses veines. La détente arrivait progressivement au fur et à mesure que le nombre de bulles venaient petit à petit s’ajouter aux autres.

Être à présent un homme censé, tout à l’heure un fou, et bientôt une brute.  Cela résumait à peu près tout en fait.

Tout en commençant un cigare, il se mit à marmonner, seul comme à sa grande habitude. Les choses devaient changer, allaient changer. « Que faire à présent ? » Il fit silence. Avait-il l’espoir que quelqu’un lui réponde ? Sûrement au fond. Seulement personne n’avait de réponse à cette question. Pour l’instant il n’avait pas envie de passer ses jours à travailler comme un forçat. La somme présente sur le sol de cette pièce servait à faire comprendre que cela n’aurait jamais lieu. S’il devait bosser un jour, ce serait dans un endroit sympa, assez cool avec pas grand monde pour lui dire quoi faire. Mais avoir une petite fortune a présent c’était bien beau, mais encore fallait-il ne pas éveiller les soupçons. Peut-être faudrait-il partir quelques temps ? Mais à quoi bon, personne ne les avait cramés. Beaucoup d’achat semblaient néanmoins nécessaires mais il fera cela petit à petit, rien que voir cette somme suffit, pas besoin d’avoir une tonne d’objets et d’accessoires en tout genre pour montrer sa richesse. Qu’y a-t-il de plus important à ce monde finalement que de pouvoir vivre sans avoir à se préoccuper de ses besoins vitaux. L’amour ? Encore faudrait-il y croire en fait.

Il est temps de compter cette somme d’ailleurs. Combien y a-t-il ? Jean le découvrit au bout de quelques heures à compter, tasser cet argent, tirant quelques barres sur ces cigares qui s’enchainaient, permettant d’évacuer toute colère et haine accumulée. Bien que les remords d’un tel acte se feraient sans doute ressentir dans un futur proche, le sang-pur en était à se demander que faire. Au moins un de ses problèmes étaient réglés. Plus besoin de vendre de cam, plus de remords à avoir à des moments de solitude. On dit que le passé d’un homme le rattrape toujours, mais Jean comptait bien à tout prix éviter que ses démons ne le rattrapent. Essayer de rentrer dans la légalité, peut-être dans le droit chemin. Penser ça après un cambriolage est quelque chose de très étrange mais c’était vrai. Il fallait que ce coup soit le dernier. Il fallait transformer les nécessités en plaisir. Boire au rythme ou il le faisait était dangereux. Ne parlons même pas des moments sous l’emprise de la drogue. Une vie de la sorte est pitoyable sur les bords, mais pour oublier un passé tumultueux, c’était nécessaire. Maintenant il fallait essayer de sortir de ce monde, de cet enfer. Est-ce que cette masse d’argent allait aider à cela ? Seul le temps le dirait finalement. Seul l’avenir dirait si ces actes aussi stupides et impardonnables soient-ils étaient nécessaires ou pas. LE fait d’avoir du tuer pour prendre le fric de crapules, ou par accident, par erreurs, cet ensemble de mauvais choix permanents, est-ce que l’argent allait servir de pansement à toutes ces plaies qui hantaient son quotidien ?

J’sais pas c’qu’il passe dans ma tête,

Parfois j’voudrais sauver la terre

Parfois j’voudrais la voir brûler.

J’aime pas rêves, les cauchemars entassés

Le cœur qui brule, les sentiments glacés


La bouteille était bientôt vide à présent. Les sensations de l’échappatoire commençaient à arriver peu à peu. Fini le verre, portant le goulot directement à sa bouche pour terminer cette bouteille, il se leva pour aller chercher quelque chose d’un peu plus fort, et en profita pour préparer cette pipe, ce petit tube de verre qui rendait la vie si belle.

Parfois peur de demain, peur de t’ôter la vie

Parce que j’ai grandi, et ma haine aussi


Le temps défila, il faisait nuit noire à présent. Tout semblait plus beau autour de lui. Les sensations faisaient oublier toutes les cicatrices de son esprit. Les cicatrices corporelles s’effaceraient toutes seules avec le temps. Marchant seul dans son manoir, Jean errait dans ces pièces vides, ces épais couloirs dont les murs étaient jaunis par les rouages du temps, les épais rideaux étaient tirés comme à leur habitude, habitude d’un homme qui déteste le soleil, nécessaire à la vie. Pourquoi était-il comme ça ? C’est une bonne question, et si le jeune homme le savait, peut-être que les choses iraient mieux au final. Une flamme, une inspiration, ça va encore mieux. Petit à petit les sensations se transforment. Retournant dans la pièce contenant son trésor, se rasseyant dans son fauteuil, il continua à tirer sans relâche sur sa pipe. Bien que l’esprit était embrouillé et les sentiments devenaient flous peu à peu, seules quelques idées surgissaient de temps en temps. Des mots revenaient également de temps en temps. Tout à coup il y en eut un qui ressurgit. Orphelinat. Orphelinat. C’était la source de la détresse. Cet endroit minable ou il avait été placé alors qu’il était encore en pleurs, et où il était resté de sept ans au moment où la lettre qui le sortit de cet enfer, seul et unique courrier lui étant destiné en cinq longues années arriva. Le fait d’aller à Poudlard lui sauva sûrement la vie, qu’aurait il fait sans cette lettre ? Aucune idée. Ayant passé le début de son enfance dans une famille de sorciers, il savait comment cela se passerait, donc tout était axé vers l’attente de cette délivrance. Une fois les baguages et la fugue faite, le premier passage ironique à gringotts pour prendre un prendre un peu d’argent au nom de ses défunts parents, puis ce fut la vie à Poudlard. L’ennui prit alors une autre forme, plus enjolivé, plus séduisant, mais hélas toujours le même. Les heures passées à apprendre des trucs moldus inutiles furent remplacées par des heures à apprendre des trucs sorciers. Au moins certaines personnes étaient sympas à Poudlard, quelques connaissances intéressantes avaient été faites là-bas. Cependant la suite de sa vie qui le mena avant ce jour JJ, passés à boire et à se droguer eut raison de sa mémoire quant aux personnes rencontrées. Il fallait maintenant commencer la quête du bonheur. Celui-ci existait-il vraiment ? Jean avait de sombres doutes là-dessus. Comme si ce n’était qu’une chose inventée de toute pièces par quelques penseurs voulant réconforter leurs semblables en leur promettant une vie plus belle un jour. Comme si ce bonheur utopique était la récompense à une vie consacrée à apporter quelque chose à ce monde, comme si le bonheur était en réalité le relâchement créé par le doux baiser de la mort. Et dire que cette pensée motive certains êtres… Ne vivre uniquement pour l’instant où l’on va rendre l’âme c’est déprimant. Comme si rien n’avait de sens en ce bas-monde. S’il y en avait un, il fallait alors le chercher, ce qui est finalement plus dur que de trouver le bonheur lui-même.

Cette lumière va partir, et mes rêves en pâtir

Cette lumière va partir, l’obscurité m’attire.


Il y avait un grand miroir dans le salon. Jean se contemplait dedans. Il s’était mis à maigrir depuis quelques temps. Il avait le temps blafard, la mine triste, des cernes noires donnant l’impression d’un homme fatigué, usé alors qu’il a la vingtaine. Triste vie. Il se regarda dans ce miroir et parla. Étant entamé par la présence d’alcool et de drogue dure dans son sang, les mots venaient. La langue était déliée, et bien que ses pensées était incompréhensibles, l’autre comprendrait.
« Qu’est…-ce que… T’es qui ? Qu’est-ce que tu fais ? Que fais… On est où ?

Je n’en sais rien.

Pourquoi ?

Je n’en sais rien.

T’e… T’es pas bavard ein.

Je n’en sais rien. »


Mal au crâne. A quoi bon s’acharner à trouver un sens-là ou il n’y en a pas ?

« Maître ? »

Cette voix. Celle de l’elfe, qui veillait sur son propriétaire comme à sa grande habitude, sortit le sorcier de cet étrange dialogue. « Attends la j… je… je parle. » « Vous parlez seul, il n’y a personne d’autre que nous ici. » « T t’es sur ? Reg… Regarde la » Dit-il en pointant le miroir d’une main tremblante. « C’est votre reflet maître. » « Ref… Reflet ? Oh lala… Fatigu…» « Il est temps d’aller dormir non ? » « Non je reste avec lui… » Dit-il en pointant le tas de pièces cette fois. Il ne voulait pas partir. Il avait l’impression d’avoir cinq ans et qu’on lui dise ce qu’il avait à faire alors que cela n’arriverait plus jamais. Personne ne le mettrait à genoux, personne ne le ferait se plier, il restait debout, face aux temps et aux âges. Seule la mort le mettrait à terre. C’est ironique de penser ça à moitié conscient, affalé dans un fauteuil mais c’était hélas le cas. Va ! Laisse moi hésitant, l’elfe acquiesça et s'en alla dans une courbette. Bonne nuit maître. Il était comme sa conscience, quelque chose qui veut son bien mais qui veut toujours en faire trop. Lui encore ça fallait, mais la conscience c'était une toute autre histoire. Il fallait passer par l'alcool et l'autre démon pour en venir à bout. Mais elle revient toujours plus vite et plus fort.

Je suis à quatre-vingt onze mille lieues sous la m*erde

Le monde, je le vois de travers, je le monte en l’air, en l’air jusqu’à que ce foutu bonheur se montre.

Il s'agit de n'plus jouer au c*n, dans l'regard paraît qu'on y voit une âme

On dit qu’on font du gouffre, jette un homme il ressort avec une arme.

Des milliers par mois, et là c’est les remords

Sous alcool, sous drogue, j’ai tout fait consciemment

Le poids de mes erreurs, découpé constamment

Un regard, un mytho, un sourire

Et le cœur qui ne veut plus se nourrir.

Des minutes, des années sur la montre

Naïveté ou trahison le tout pour un mot


L’argent.

Mangemort 87
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Mangemort 87, le  Mar 31 Jan - 9:07

It’s only later that you realized this was only the beginning. It is in the swimming faster, swimming stronger, until your arms hurt. Until your muscles get strained so often you pretend to fail to notice. Until you both play and forget how and when to breathe — until breathing back means smelling the gasoline of their lies.

Tournent tournent les avirons
Quand la neige tombe à flot
Tournent et coulent les pulsions
Quand tu me dis effusion
T’entends le pas de l’écureuil
Contre les épines du temps
Il s’empêtre dans les aiguilles du pin
Dans la peur du matin
Il a des écailles nénufar
Et des ombres plus rondes que toi
En t’approchant un peu
Tu entends même
Le battement de son coeur affolé
Bobom
Bobom
Bo-
Il s’est interrompu
Couvert ou tranché
Par un son plus puissant
Déchirement aigü
Quelqu’un a tiré
Mais pas un sort normal non
Une arme de l’autre monde
Du monde à tuer
A déconstruire pour mieux voler
Pour mieux venger

ta baguette projette quelques détonations
sans étincelles
juste des cracs
pour trancher les nuages au couteau

Fear spreads its nails against your flesh. Sure, it would use a knife, but then, then it would be too quick. And you are not even sure you could handle it. You are probably too weak for self-harm. You do it one word at a time. One scratch at a time. Until blood finds its way out.


Fureur est ton regard quand tu pivotes
Contre l’imbécile qui hurle
Comme un loup blessé
Un bon vieux slogan de western
« Alors c’est toi qui oses m’attaquer sur mon territoire ? Tu vas payer cet affront ! »

Pesez les syllabes
Colorez les du camel adapté
L’homme manquait de chapeau
Mais pour le job il était parfait
Il ferait même une bonne herbe à chat
Sur laquelle te défouler un coup
T’aiguiser les griffes et la rage
_Alors c’est toi l’idiot qui méconnait l’Ordre Noir ?

_Pourquoi former déjà un voeu-désespoir ?

Tu parles bizarre
Tu parles lui
Fallait s’adapter à sa fréquence de cowboy
T’as pas la pilule 
Pour parler la langue de son époque
T’as juste les tiennes -et le cocktail
est rejoint d’une petite nouvelle
qui s’intègre sans trop de difficultés-
Et ta haine
Foudroyante

wizard beware
the kitten is a hurricane

The noise it makes back then reminds you of leaves crumpling under its feet. You are leaving your trace on your body, making sure your creasing is the one that dominates the picture. Not his.


S’il y avait une musique de fond
Elle aurait sans doute pour toi
Des consonances psychédéliques
Alors que lui
Lui aurait un truc de thriller psychologique
C’est le souci avec la vie
On a oublié d’y attacher une bande son
Pour que les personnages sachent
Demain à quoi s’attendre
Quand se repentir
Quand se prendre
Quand se pendre
A la place ils sont là à devoir vivre
Minute après minute
Leur misérable existence
Sans indice permettant d’appréhender
D’anticiper
D’encaisser
Tu siffles un air

_ta fréquence_
pour qu’il sache dans quelles ondes
tu vibrais
pour résoudre cette scène que le directeur
avait oublié d’accorder
T'as le timbre imprécis
Les oreilles qui bourdonnent —
_T'es pas drôôôle comme gars.
Jean Parker
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Mar 31 Jan - 11:31


Le plus souvent quand on ne comprends pas, on a peur direct.
Ce genre de peur, de chamboulement cardiaque
qui fait que l'on pète son sale cable, et que l'on explose.
Tout change autours de lui.

Ce genre de moments ou tu te sens seul même entouré de plein de monde...

A quoi bon vivre, quand on souffre de la sorte ?
Quand on ne comprends rien
Quand rien n'a de sens au final
Cette créature la.
Arrivée comme le début des problèmes,
comme celle qui va briser les chaines
d'une soirée déjà enfermée
dans les geôles de l'ennui le plus puissant.
C'était à la foi bien et mal ce qu'il se passe
la présence était dangereuse certes
mais il n'était pas seul.
On pourrait peut être s'amuser qui sait ?

_Alors c’est toi l’idiot qui méconnait l’Ordre Noir ?


Pardon ?
Qu'avait il demandé la ?
Rien. Comme d'habitude.
Il n'avait pas choisi de devenir alcoolique.
Il n'avait pas choisi de se mettre à fumer.
Il n'avait pas choisi de céder à tous les démons possibles et imaginables,
échangeant son âme, contre un moment de plaisir effacé

J'y met toute mon âme, mon âme, mon âme

J'en sais rien. Réflexe.

Il va pas se forcer
Avec quelqu'un qui brise une intimité
dans le but de parler

_Pourquoi former déjà un voeu-désespoir ?

Pourquoi pas ?
Comme si il y avait encore un sens dans cette vie...

Et donc ? Comme si cet misérable existence pouvait elle changer tiens. Comme si tout allait aller mieux.

Elle est en joue.
Ces moldus
Si ignorants
Si fragiles
Si faibles
Sont le reflet de peurs
Celle de l'inconscience, insouciance, destruction...
Avec leurs armes
Le doigt glisse sur la gâchette.
le contact avec le métal froids
froid comme les émotions,
ce rêve absolu de ne plus rien ressentir
Pourtant le courage ne suit pas.
Le sang n'est pas assez chaud pour faire cela, pas de cette manière en tout cas.
On lâche cette chose, cet engin de mort.


Ils ont l'air bien la tiens. Comme deux êtres au milieu de la nuit, l'un ne décelant aucune émotion, l'identité cachée derrière un masque, dont les idées pourraient changer les choses, et l'autre... Un être perdu cherchant un but, un sens, mais ne voulant pas parler. Il veut rester seul, et en paix. Mais pour être en paix... Il faut l'être avec soi même non ? Car là... La plus grand des batailles, le plus grand des conflit, le plus violent des combats se déroule dans son esprit, la lutte du bien, de la bonté contre une force encore caché dans l'ombre, un mélange, d'ennui, de remords, de colère, de haine et cela s'annonce mal.
Ce genre d'instant ou ce n'est plus la peine de lutter, ou l'on est bon à une seule chose, à savoir aller dormir. S'enfermer chez Morphée, prendre en otage lui et les siens, et ne plus quitter ce monde. IL y pense de temps en temps... Cette idée lui traverse l'esprit, il visualise une baignoire et un cadavre exsangue. Comme à l'époque romaine en soit. Dans de l'eau chaude on ne souffre pas. On au juste très chaud, puis froid finalement. Hé peut être que l'un nouveau monde s'ouvrira, qui sait ? Après tout...

C'est drôle quand on y pense.


_T'es pas drôôôle comme gars.

Ah. Ahah. AHAHAHAHAHAHAHAHAHA. Ce genre de rire forcé.

Pour le coup ça c'était drôle en fait.

Non. Juste seul. Ici bas. Et après tout... Tu viens de détruire mon portail. Si l'envie de me parler traverse l'esprit, il existe les lettres. Ou d'escalader limite, de trouver un truc.

Marre de parler la. Comme si elle allait comprendre tiens.
Personne ne comprends jamais rien, personne ne le peut.
C'est trop troublé.
Dans cet abime profond de solitude opaque, ou l'on finit par se perdre soi même.
Le mal au ventre s'approche peu à peu.
Mais ce n'est pas le moment de s'arrêter.
Il suffit de couper. De couper avec autre chose. Avec d'autres démons.
Il allait falloir payer.
Payer pour ces dégats,
pour ce matériel,
pour ces erreurs,
pour ces crimes,
pour ces peines,

mais

bon

on le fera demain.


La c'est l'heure de partir,
de s'envoler
plus loin, toujours plus loin.
plus haut, toujours plus haut.

Il lui prononça ces deux mots
montrant cette fragilité émotionnelle
ce revirement moral
après tout
il avait un invité.

Allez viens.

Pourquoi ?
Quesque cela va apporter ?

J'en sais rien.

Je sais juste que cela ne peut pas être pire
Et lorsqu'on sombre
autant ne pas le faire seul.

Donc viens.
Viens contempler cette détresse,
viens observer cette vie
d'illusion belle et aisée
mais dont la réalité est plus triste
que n'importe quelle...

J'en sais rien.



En marchant, il s'allume l'instant de bonheur volé
Une flamme, une flamme, une flamme j'allume tout.
Moi j'suis dans la m*rde j'sais pas pour vous.


Un jour, promis un jour.
Promis petit Zippo
Je te le promet
Tel Néron, je t'offrirai ce monde à bruler
Sur un son de Lyre mélodieux.
Avec comme arrière fond la détresse humaine.
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Mangemort 87, le  Lun 13 Mar - 6:04

l’homme a le désespoir
qui lui mange la langue
il est tout rongé de noirceur
de solitude jusqu’en le coeur
dis moi misérable
t’es déjà mort dedans
ou il reste quelque chose à faire
avec cet amas de chair
tu sais moi j’crois
que tant qu’y de la vie y à faire
et ce soir j’suis si défoncée
que j’sais pas très bien
ce que je serais capable de faire
parker parker donc
nom qui résonne rappelle toi

dis toi aussi t’as ces musiques dans la tête qui te bouffent les oreilles comme des mouches qui bourdonneraient trop près et quand tu souffles bien sur la bougie du temps quand tu romps la tyrannie des horloges est-ce que tu vois paraitre la statue maya qui sommeille dans ton jardin ? t’aurais pas caché un pot de miel dedans ? parce qu’on sait jamais tu sais ton jardin provoque chez moi comme un déjà vu sans que je sache pourquoi

non y a pas de moi
87 reprends toi
le moi est parti avec l’enfermement
suis la Libération sunilienne
maintenant pense pour toi
monstre de chair aux dents qui pensent
monstre éclair aux moeurs rances

il a un rire forcé un rire à épines on dirait qu’il a mangé des ronces pour provoquer un son aussi inhumain parker quand a-t-il perdu le souvenir d’être humain
tu sais parker faut que tu te souviennes que tu gardes en tête que la fin du monde était en l’an deux milles maintenant c’est bon y a rien à craindre quand on est mort alors viens viens chanter jusqu’aux étoiles
refaire le monde à coup de flammes

entend-t-il l’appel ?
t’y crois
t’espères
_naïve
non non il te servait le petit cliché
du capitaliste frustré
à moi à moi mon portail
on me l’a volé

je suis perdu, je suis assassiné, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon portaaail c'en est fait, je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterrrré
reprends toi parker tu vaux mieux que ça ne sais-tu pas déjà que ton portail n’a jamais existé
que le monde est fumée

cette fois il entend l’appel
et tu sais pas s’il a un bol de miel
ou à pot à bébé dans un liquide verdâtre
mais il a du feu
il a du feu et il te dit vient
et toi t’es censée faire peur en mode
wahou je suis une force des ténèbres
mais que dalle tu le suis
sourire aux lèvres
car tu veux voir où il te mène
tu veux sombrer avec lui
toute façon t’es tellement partie
que le fantôme ne fera qu’une bouchée
de lui

tu sais sur la route de la déchéance
des ruines
j’crois que toi et moi on commence
par la fin
mais promis on créera nos courants

promis on défoncera tout
offrant au monde un coussin de chaos

tu l’as suivi chez lui d’un coup de baguette ranimant quelques fois des flammes et étincelles en parcourant tes doigts jusqu’à ce qu’ils se noircissent et chatouillant la suie avec ta langue râpeuse tu mangeais le feu t’étais peut-être pas un dragon mais tu te nourissais d’eux tu revivais d’eux

raconte moi un truc
que t’as jamais fait
ce soir on s’assure
que si on crève c’est
zéro regret


87 demain faut qu'on parle de ce que ça veut dire être mangemort t'es pas censée être la nouvelle psy(chopathe) du premier perdu que tu trouves tu sais de toute façon que t'es tellement perdue que tu guideras jamais personne
pourtant ce soir
vous filez
tous les courants
de la route des ruines

on being lost boys
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Dim 19 Mar - 22:56

La devant lui

Faisant face à la vie, au monde, à toutes les craintes, à l’obscurantisme omniprésent.
Des idées voilées derrière un masque, cachant sentiment et émotions aux mondes.

Comme si l’un en face de l’autre,
Jean faisait face à une ombre, un être effacé de la réalité.
Comme si le monde allait changer cette nuit.


De quoi ? Même les paroles sont décalées de la réalité.
Comme si on ne pouvait pas parler de manière normale…

Elle semble rester calme, comme si de rien était, comme si tout était normal et qu’ils étaient de bons amis.
Le sorcier ne savait pas vraiment quoi dire, comme si il ne s’était rien passé, que le rendez-vous était presque convenu. Le seul point positif était que l’inexorable ennui de cette nuit avait volé en éclats, au même titre que son portail.

Mais bon il s’occuperait de ça demain, s’énerver fasse à une ombre, cela n’a aucun intérêt, hormis celui de s’attirer quelques problèmes et de ne rien y gagner.

Sa proposition était aussi étrange que décalée.
Le seul truc que le sorcier fut capable de répondre fut
« Comme tu veux »

Un truc qu’il n’a jamais fait ?
Etre heureux ? Faire un truc qui lui plait dans la vie ? Trouver un sens ? Avoir des réponses ?
Il faut rester simple pour l’instant.
Il se contenta de répondre
« Rentrons, on ne va pas rester là. »

Jean se rapprocha de la silhouette et prit sa main.
Il l’emmena directement dans son salon, c’était plus simple que de marcher après tout.
Lachant sa main, le sorcier alla s’affaler dans son fauteil usé par le temps passé dedant, et se servit un verre de scotch machinalement.

Mets-toi à l’aise je t’en prie » dit-il en montrant le canapé non loin. « Y’a le scotch sur la table basse, sert toi si t’en veut. »
Prenant le temps de savourer son verre et de fumer sa cigarette, le jeune homme finit ces deux démons avant de briser une nouvelle fois le silence presque glacial de la pièce aux murs jaunis par la fumée.
« Un truc que j’ai jamais fait donc ?
De croire en un truc lucide, censé peut être. Quoi que… Ouais non c’est jamais arrivé. Le bonheur, l’allégresse et toutes les autres conneries de ce genre je ne les connait pas, je n’en ai jamais ressenti une once. »

L’impression de parler seul, mais bon.
« Et toi ? Un rêve, une envie ce soir ? »

Après tout, comme elle l'avait dit,
tout était censé se réaliser ce soir.

Bon ce n'est pas exactement ce que la silhouette avait dit mais bon...
Avec de l'alcool et du thc dans le sang on est plus vraiment à sa près.
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Mangemort 87, le  Ven 31 Mar - 4:55

Il savait pas ce qu’il voulait. Pas encore. Tu ignorais ce qui le bloquait mais il était à la case accomodante. La case je veux ce que tu veux. Je suis ce que tu veux. Non, pire ; la case où je me convaincs que je veux ça, que je suis ça. Il fallait qu’il réalise tout ce qu’il pouvait être. Tu ne savais si ce serait pour ce soir ou le long terme, mais tu voulais lui donner la possibilité de tester une autre option. Tu avais connu des ombres comme lui, et elles étaient rarement heureuses. Tu allais découvrir, pas à pas, ce qu’il voulait. Ce qu’il aimait.

T’étais défoncée, était-ce ce qui te donnait ses réflexes désarticulés ? Tu voulais lui ouvrir les yeux avec du miel et lui faire découvrir tout ce qu’il pouvait sentir ressentir voir. Tu voulais l’aider à se reconnecter avec son corps. Qu’il entende l’écureuil mangeant à trente mètres de lui et le papillon qui se prend les ailes dans la toile. Qu’il se connecte avec le réel, avec les détails, pour qu’il sache déterminer quels détails le guidaient, le servaient, qu’est-ce qui l’inspirait et le faisait vibrer.

Enfin, pour l’heure, dans ton silence tripant, c’était son bras qui vibrait. Et le tien. Oh vos bras se touchaient. Merlin ça tournait comprimait comme faire un stage dans une machine à laver. Abus mec. Abus. Ta tourne tête un peu quand tu te redresses, mais à par ça madame la marquise, tout va très bien tout va très bien.

T’arrives pas très bien à t’acclimater avec le salon. Pour être franc, ça fait un peu des rectangles aux couleurs vives, et aux bords arrondis. 30px 0px 50px 10px. C’est pas beau, pas régulier, mais c’est super chaleureux. Sans trop savoir pourquoi tu te sens bien. Tu lui piques une taffe, lui craches la fumée au nez, ris, et réfléchis à ce qu’il dit. Enfin, réfléchis, t’essaies quoi.

 J’sais pas si on peut faire les deux en même temps, penser trop longtemps ça rend rarement heureux. Enfin sur le long terme si. Faut s’accrocher à l’idée, l’idée vacille moins que les gens, elle est plus ancrée. Mais parfois, parfois l’envie retrouver la terre, d’amarrer, tout ça, est forte. Faut savoir en quoi tu t’engages.

Après... pour la joie facile, y a bien les sorts, l’alcool et les pilules, mais je doute que t’aies besoin de moi pour ça.

Ça fait beaucoup trop de mots d’un coup, vous en faites pas, tu les ponctues de vagues de nicotines pour penser droit.
— Tu vas rire. Ce soir j’ai envie d’être utile.

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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Mar 18 Avr - 21:49


La soif est présente. Malgré plusieurs verres bus d'affilée.
Une soif de connaissance, de vengeance, face à cette vie..

Les levres sont pâteuses, avec des gerçures, symboles d'une lutte vaine, esclave de nos sens et de nos besoins et envies, au point que l'envie de les assouvir nous rend fou.

C'est avec ces levres teintées de bordeau que le sorcier la regarde elle,
une ombre présente le temps d'un instant pour déstabiliser, un semblant d'adversaire voulant semer le doute et la zizanie au fond d'un espeit déjà divisié. Elle semble croire à des valeurs, à une philosophie bien définie, donnant sans doute un sens à tout.

Non
Cela ne peut pas être si simple, si limpide.
Qu'à t'elle de plus ? De mieux ? De différent ?
Tout sans doute, mais il faut essayer de comprendre.

Ca J'sais pas si on peut faire les deux en même temps, penser trop longtemps ça rend rarement heureux. Enfin sur le long terme si. Faut s’accrocher à l’idée, l’idée vacille moins que les gens, elle est plus ancrée. Mais parfois, parfois l’envie retrouver la terre, d’amarrer, tout ça, est forte. Faut savoir en quoi tu t’engages. Après... pour la joie facile, y a bien les sorts, l’alcool et les pilules, mais je doute que t’aies besoin de moi pour ça. .

Elle avait raison au fond. Cela rendait rarement heureux de penser encore et encore au passé et au futur au point d'en oublier le présent. Quelle était la solution alors ? Vivre au jours le jour ? C'était plus facile à dire qu'à faire, car c'etait lenmeilleur moyen de se détruire à l'aide des fameux subterfuges dont elle parle. C'est vrai qu'il n'avait pas besoin d'elle pour ça. Ni de personne d'ailleurs, foutre sa vie en l'air c'était l'une des rares choses dans lesquelles le sorcier excellait.

Tu vas rire. Ce soir j’ai envie d’être utile.

Être utile ? Mais à quoi ?
À sombrer encore plus dans le doute et la crainte ?
Soudain une idee.

Tu veut m'être utile ? Éclaire moi alors. Sur ta vie, sur comment tu tiens le coup chaque jour, comment tu acceptes cette vie au point d'accepter de la vivre chaque jour encore et encore ?

Se servant un autre verre de ce nectar maudit pour divaguer, pour se laisser porter par les flots de penser de l'autre être présent ce soir.
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Mangemort 87, le  Ven 28 Avr - 2:37

I. quelle idée de demander à un mangemort de l’éclairer. 


a - non mais votre symbolique c’est plutôt les ombres, parce que vous êtes trop dark, des chevaliers de la mort, tout ça, pas les sauveurs de ce monde, faut pas croire tout ce que le chicaneur dit.


b- enfin, vous alliez sauver le monde, mais ça, c’était le projeeeeeet, le rêve, le printemps, tout ça, en interne, pas votre carte de visite dans les médias où on préférait vous accuser de crimes que vous aviez même pas commis. 


c- alors que vous, quand vous essayiez de faire porter le chapeau à l’ordre du phénix, quitte à caler un phénix de feu dans l’herbe, rien. jamais ils avaient pensé à la souffrance de l’herbe hein, à part Harper, mais les autres rien, et on en faisait pas tout un plat pour autant. les gens parfois. zéro objectivité.

II. y avait trop de question d’un coup, comment j’étais censée répondre dans l’ordre et tout hein ? j’avais commencé un plan, motivée, on se tape la tête contre un mur, pas je, tu, tu, c’était tu qui dirigeait n-v-otre corps. bah oui, n-v, parce que comment t’es censée prendre compte d’un corps quand y a un je qui veut pas de tu (donc pas de nous) et un tu qui veut pas de je (donc pas de vous, parce que je ne peut-être un vous, sinon vous serait nous, mais tu ne voulais pas, on tournait en rond, je perdais le fil, et le plan)

— bang bang
un pistolet à eau te réveille, d’une giclée claire. son eau avait goût de mots et tu tentas de garder l fil, mais faut dire que le mec activait presque tes gâchettes. accepter de vivre ? c’était probablement un des trucs que t’avais le plus de mal à faire.
— j’accepte pas de vivre. j’me bats pour.
hésitation. combien dévoileras-tu sur toi ce soir ? abrutie.

— j’ai essayé de me convaincre que je faisais ça pour moi, pour le plaisir des sens, pour les petits détails du quotidien. les couleurs les sons les odeurs ce qui me rappelait que j’étais moi.


surtout quand t’es sortie de azkaban en fait, ça ça marchait, parce que le contraste est irréaliste, que t’as réappris l’intensité des petites choses qui ont l’air de cloportes dans les yeux des autres. t’avais viré plus sombre à cette époque, d’autant que tu avais limite pris goût à la torture.

— c’est un mensonge. ce qui compte c’est de creuser ta fibre morale. faut trouver une bataille dans laquelle tu sers. peut-être que c’est un projet irréaliste, genre explorer la voie lactée en moto volante. peut-être que c’est une personne, qui mérite que tu te battes pour elle, fasse tout, même ce qui est moins clean. peut-être que c’est une cause, pour une idée, par conviction, ou un gens qui a su te persuader.
— accepter de vivre n’est pas assez. ce monde est trop pourri pour que la passivité permette de survivre. il te faut quelque chose qui mérite de supporter toutes les douleurs et doutes qu’elle enverra sur ton chemin. il te faut un rêve.

— et rappelle toi. on rêve jamais trop grand.


vous avez une renaissance à écrire à la cire.
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Jeu 6 Juil - 14:26


Simple quête de connaissance..
Sans doute vaine comme d'habitude mais bon il faut croire qu'un peu d'espoir ne peut pas faire de mal..

Jean avait sans doute posé beaucoup trop de questions à la fois, de quoi donner intense réflexion à la personne en face de lui. C'était le but au fond. De voir ce que ces gens qui avaient revêtu un masque ressentaient.. Cela avait du bon de comprendre qu'il y avait une personne vivante et consciente derrière un masque.

— j’accepte pas de vivre. j’me bats pour.

— j’ai essayé de me convaincre que je faisais ça pour moi, pour le plaisir des sens, pour les petits détails du quotidien. les couleurs les sons les odeurs ce qui me rappelait que j’étais moi.


Ne pas accepter de vivre ? Comment pouvait on ne pas accepter de vivre ? C'était le seul intérêt de notre vie, savoir pourquoi nous somme ici-bas. Peut être que c'est lui qui allait lui apprendre des choses finalement.

Tu te bat pour vivre ? Tu penses que tu ne mérites pas de vivre initialement et que tu dois mériter la vie ? Si c'est ce que j'ai compris je pense que c'est faux. Se battre n'est pas forcément le meilleur moyen pour s'exprimer et prouver notre valeur je trouve.

Une simple pensée philosophique exprimée entre deux délires psychédéliques semblait avoir été étonnamment clair et logique, le sorcier espérait que cela ferait réfléchir le mangemort.

— c’est un mensonge. ce qui compte c’est de creuser ta fibre morale. faut trouver une bataille dans laquelle tu sers. peut-être que c’est un projet irréaliste, genre explorer la voie lactée en moto volante. peut-être que c’est une personne, qui mérite que tu te battes pour elle, fasse tout, même ce qui est moins clean. peut-être que c’est une cause, pour une idée, par conviction, ou un gens qui a su te persuader.
— accepter de vivre n’est pas assez. ce monde est trop pourri pour que la passivité permette de survivre. il te faut quelque chose qui mérite de supporter toutes les douleurs et doutes qu’elle enverra sur ton chemin. il te faut un rêve.

— et rappelle toi. on rêve jamais trop grand.


Le médicomage avait eu du mal à suivre le cheminement de pensée de cette personne, mais les bribes qu'il avait réussi à comprendre étaient dignes de réflexion. Elle avait raison d'un côté. Il fallait trouver un but dans une vie, et elle elle l'avait trouvé ce but. Elle avait de la chance d'une certaine façon. C'était sans doute la chose la plus difficile à faire dans ce monde.

Ouais je comprends. Je dois avouer que je ne suis pas certain d'avoir encore trouvé de but dans ce monde, j'ai bien quelques idées et quelques projets, mais je ne sais pas si c'est cela qui est prévu pour moi.

Reprenant un énième verre, le sorcier laissa son regard gamberger en direction de la créature.
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Mangemort 87, le  Ven 14 Juil - 15:20

descends moi maintenant
tue moi maintenant
je t’aiderai je te le promets
on fera passer ça pour un accident
on pourrait dire par exemple
que j’ai soulevé tant d’enclumes
que j’en ai eu un arrêt cardiaque
je pourrais prendre le train
le 14 juillet en France
direction Paris on sait jamais
un petit attentat et c’est réglé
je savais pas vous savez j’avais pas imaginé
et bim, un petit trou dans le passé
vite rebouché par la prochaine
ou alors je pourrais tomber d’un escalier
tu n’aurais qu’à me pousser avec des gants
pis bien m’écraser la tête à terre si je survis
tu peux me prêter une voiture que t’aimes pas trop
et j’irais me jeter d’un ravin
s’il y a une voiture on dira que c’est parce que
je ne maîtrise pas les arts et coutumes moldus
s’il te plait il faut que tu m’aides
à faire passer ma mort pour un accident
maintenant

N O N


lizzie ta gu*ule
c’est Sunil à l’appareil
c’est 87 aux commandes
tu t’en tiras pas comme ça sal*pe
je te ferais vivre à en crever
mais vivre vivre pendant des années
t’as des combats à accomplir mes idées à défendre
et tu ne tomberas que lorsque ta tâche sera finie
lorsqu’on ne pourra plus rien tirer de toi
je vais t’essorer à en mourir
avant de te délivrer de mon emprise
alors il ne t’aidera pas non
il ne t’aidera pas car il ne saura jamais
combien tu n’as pas envie de te battre pour vivre
tout simplement car tu ne le sauras pas
tu ne sais que ce que je t’ordonne
et je t’ordonne de vivre vermine
de vivre jusqu’à ce que le secret soit dévoilé
je t’ordonne d’oublier ses mots
car tu ne les mérites pas
comme tu n’as jamais mérité vivre
c’est pour ça qu’il est de ton devoir d’en faire quelque chose
de devenir quelque chose
un outil une arme qu’importe !
ce qui servira à ton maître
c’est tout ce qui importe
et tout ce que tu seras
à en crever

— alors t’es à la bonne adresse Parker
— enfin j’y suis parait que c’est moi la squatteuse
— (rire) (ça sonne faux) (tant pis, t’es bourrée de toute façon, poursuivre)
— crois-tu que les idées de l’ordre puissent devenir des raisons de vivre ?
— de ce que j’ai pu voir de toi, j’ai l’impression que ces idées sont aussi les tiennes
— mais quelle importance leur donnes-tu dans ta vie ?


il suffira d’ouvrir la porte
la porte de son être
tu veux qu’il soit des vôtres
alors ce soir c’est décidé
tu vas le prendre dans tes filets
87 est un pécheur autant qu’un pêcheur
Jean Parker
Jean Parker
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Re: [Habitation] The Parker's Domain
Jean Parker, le  Jeu 21 Sep - 12:06

Post Unique. Drôle d'existence.

Le poids du corps sur les jambes devient difficile à supporter. Vite, un fauteuil. Enfin chez lui, dans son dernier refuge de solitude. Sobre, chose rare à cette heure-ci. Il fallait que cela reste comme ça. Jean en avait marre de tous les soirs noyer son quotidien dans cette bouteille. Les journées se ressemblaient trop, et l'argent n'arrangeait rien. On pense que la vie est plus simple avec un pécule imposant.
Cela ne change rien. Ah zut elle est la elle aussi..

Une bouteille de whisky neuve, que l'elfe de maison avait posé plus tôt dans la journée sur la table basse du salon, comme tous les soirs. Le sorcier ne voulait pas y toucher. Il semblait en avoir marre de mener ce quotidien chaotique. Le fait de se retrouver Seul ce soir n'arrangeait rien à cela. Parfois on a besoin d'un contact humain. Mais quand la ou les personnes qu'on a besoin de voir ne sont pas disposées à vous voir, hé bien tout de suis c'est plus difficile de tenir. Malgré tout cela il ne voulait pas craquer.


Il ne voulait plus avoir les espoirs noyés dans un océan de larmes et de peines, le Seul but étant à présent d'essayer de recoller à la réalité, d'arrêter de se voir dans le reflet d'un verre plein. L'alcoolisme était devenu un fardeau abominable, des chaînes dont il était incapable de se défaire. Il le fallait cependant. Cette vie était dangereuse, et vouée à un échec certain. Cela peut apporter beaucoup de plaisir quand on aime bien prendre la route, au milieu de la nuit pour tracer comme un fou dans les rues de Londres. Une mauvaise habitude prise depuis quelques mois, en pleine nuit le calme de la ville avait quelque chose s'apaisant. Trêve de sorciers, trêve de moldus, juste des hommes ayant bâti et évoluer pour dominer un monde qu'ils s'efforcent de comprendre. Apporter sa pierre à l'édifice aurait pu être gratifiant mais bon. Dans un certain sens c'est ce que le jeune homme avait fait en créant le heurtoir avec son ami nordique. Mais bon ce n'était qu'une mascarade ayant pour but de cacher une folle somme d'argent qui au final ne servait pas à grand chose. Ne pas avoir à regarder les dépenses ne rend pas la vie plus belle en fait. On a juste d'autres problèmes. Des problemes à son échelle, à savoir quelle bouteille prendre pour s'envoler ce soir, l'argent n'es qu'une illusion rendant les démunis dépressifs servant aux fortunés à s'échapper de leur quotidien.

Elle est toujours devant toi cette bouteille. Elle
N'a pas bougée. Elle peut t'amener dans un monde meilleur alors prends la, commence par un petit verre, puis un autre..

Non.

Il faut arrêter ter tout cela. Mais dans quel but ? De trouver qqn avec qui finir sa vie ? Foutaises. On perd le temps à chercher quelqu'un pour qui on a l'impression de compter, mais où les instant de doute anéantissent les moments de bonheurs. Je croyons plus en l'amour. La fin d'un etre fleur bleue. Remettons la muraille de fer autours de nos trippes. Plus rien n'a d'importance. À quoi bon une vie pareille ? Ou on manque de rien sans savoir ce que l'on veut ?

Il attrape la bouteille. L'appel du whisky à été trop fort une fois encore. C'est pas bien grave au fond. Il arrêtera demain. Demain depuis trois mois environ. Écrasant une clope de plus dans un cendrier déjà plein, le sorcier commença à entamer la bouteille, le but étant d'être le mieux possible rapidement. Beaucoup de gens apprécient le goût de l'alcool et aiment partager ca, pratiquant un alcoolisme mondain. L'étape de l'alcoolisme mondain était passée depuis longtemps, il était alcoolique et il le savait. C'était dur à vivre, mais bon.

Les vapeurs avaient fait effet, transformant l'anxiété en colère, il était temps de bouger, de se calmer, de vivre. Un bref instant plus tard, le sorcier était confortablement installé dans sa voiture, et la c'est parti. Le moteur gronde, les vitesses sont passées une à une et à partir de la sixième, rien de va plus. Un projectile propulsé à une vitesse vertigineuse dans la campagne, en direction de Londres. Les quelques kilomètres de distance sont parcourus en un temps record.

Cigarette dans la main gauche, vitres ouvertes et chauffage à fond.

Les vibrations provoquées par l'air s'engouffrant dans le véhicule, par la musique faisant rompre les basses provoquait une sensation d'assurance et de puissance. C'était d'un danger extrême de conduire de la sorte. La mort semblait presque présente à chaque virage, provoquant des dérapages incessants. Les moldus avaient inventé la voiture, et c'était une chose fabuleuse. Le trépas pourrait arriver rapidement, mais dans un etat comme celui de Jean, les risques font croire à une mort glorieuse, qui a plus de valeur qu'une vie sans entrain.
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