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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Autres Lieux Magiques ~¤~ :: A l'étranger
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Quelque part en Suisse
Antiochus Omega
Antiochus Omega
Gryffondor
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Année à Poudlard : Aucune année renseignée

Matière optionnelle : Pas encore disponible

Spécialité(s) : Permis de Transplanage
Legilimens



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Quelque part en Suisse
Antiochus Omega, le  Dim 29 Avr - 13:07

HRPG : Post unique. Pour consulter le chapitre III (Création des objets), cliquez ici RP avec Lizzie Bennet.

Attention: Ce RP est susceptible de contenir des passages pouvant heurter la sensibilité des plus jeunes. Scène de torture psychologique et physique (sobre), grossièretés.


Chapitre IV : Le dîner (partie I)


Dans une chambre d’hôtel, un homme se tenait face à l’unique fenêtre de la pièce qui était grande ouverte. Contemplant à travers elle au loin, au pied de la vallée urbaine, il apercevait un vaste lac qui dormait paisiblement sous les rayons d’une lune qui scintillaient et ondulaient à la surface de l’eau. Le ciel était vierge et le silence quasi absolu. Seul un écho lointain, le murmure de la nature, pouvait se faire entendre par une oreille attentive. Un petit vent frais vint éloigner l’un de l’autre davantage les carreaux de la fenêtre. L’homme qui se tenait debout et immobile, les lumières de sa chambre éteintes, prit au même instant une grande inspiration, avant de fermer les yeux et d’expirer lentement. Lorsque ses paupières se relevèrent, un regard intense animé d’une étrange flamme se dévoila. Ses yeux vitreux avaient deux iris brunes qui reluisaient dans l’obscurité. Une volute de fumée blanche remontait sur le flanc gauche de sa chemise entrouverte et jusqu’au cadre supérieur de la fenêtre. Il porta son mégot à sa bouche, une Calborough rouge, avala une bouffée de néant et la recracha dans l’air frais extérieur. Entre deux taffes, il demeura immobile, pensif mais confident, se tenant droit comme un i. Un petit sourire venait tirer le bord de ses lèvres. Il savait ce qui allait se passer et cet instant de relaxation avant l’entrée en scène lui permettait de se mettre en appétit. Dans un court instant en effet, un grand repas festif allait se tenir et il en serait l’hôte, s’apprêtant à accueillir ses petits amis moldus à l’aune d’une aventure qu’ils ne seraient pas prêts d’oublier. Arrivant au filtre de sa blonde, il le pinça entre son pouce et son index avant de l’éjecter au loin. Son bout encore incandescent bondit alors dans le vide, traçant un grand arc de cercle, avant de s’écraser une vingtaine de mètres plus bas sur un sol bitumeux et de s’éteindre progressivement. L’homme jeta enfin un dernier regard au lac puis à la lune le surplombant, puis il referma la fenêtre.

Dans la pièce qui se tenait en face de lui, plongée dans l’obscurité, quatre masses sombres étaient suspendues au-dessus du sol. L’homme tira de son jean ce qui dans l’ombre ressemblait à une tige et la relevant devant lui à la hauteur de sa poitrine il murmura :

- Lumos …

Un orbe lumineux blanc apparut à cet instant au bout de sa baguette et vint baigner la chambre d’une lumière blanche pure et tamisée. Les quatre masses sombres se précisèrent alors et se révélèrent être en réalité quatre jeunes individus, flottant dans les airs, endormis. Leurs cheveux et leurs vêtements ondulaient délicatement comme s’ils étaient plongés dans l’eau, malgré le fait qu’ils se trouvèrent dans l’air. L’expression de leurs visages était paisible et l’on eut dit quatre chérubins plongés dans un sommeil de plomb. Parmi eux, il y avait une jeune femme et trois jeunes hommes, de la même génération et appartenant au même monde moldu des plus nantis des nantis. Le regard de l’homme dont le visage était soudainement éclairé se posa un long moment sur chacun d’entre eux. Il se sentait tel un prédateur animal contemplant ses proies trainées au fond de sa tanière. À l’affut, sauvage, plantant ses griffes dans la terre par de petits mouvements de coussinets, faisant monter son plaisir en imaginant ces mêmes griffes finalement se planter dans la chair. Ce qui n’était jusqu’alors qu’un petit sourire en coin de lèvres, se déploya en un grand sourire narquois, diabolique, détestable. En imaginant mille et une façons de s’amuser avec ses petits rats de laboratoire, l’homme en vint à atteindre une transe de félicité et de joie macabre. Il ricana et d’un geste du poignet envoya l’orbe attenant à sa baguette flotter dans les airs quelques mètres plus loin, en face d’un grand miroir mural au cadre d’argent. Il pointa ensuite cette même en direction du lit et en effectuant un geste de rétractation vers son corps, fit une malle en cuir glisser d’en dessous du sommier et s’arrêter devant ses pieds. Il l’ouvrit et, en dehors d’elle, une lumière alliant des nuances de jaune et d’orange projeta ses rayons au plafond. La malle semblait donner en son fond accès à une pièce bien plus vaste et une échelle était attelée à l’un de ses bords intérieurs. Tel un chef d’orchestre, l’homme fit descendre un par un les corps endormis qui glissèrent à la verticale dans la malle. Une fois la marchandise déplacée, il entama sa propre descente dans la malle en empruntant l’échelle et referma le capot à sa suite. Il ne prit pas la peine de sceller la porte à clef, car la chambre étant réservée pour sept jours et payée à l’avance, personne ne s’inquièterait de ne pas le voir. Il prit tout de même la précaution de sceller les verrous de la malle d’un coup de baguette magique afin de s’assurer qu’aucun employé curieux de l’hôtel ne puisse l’ouvrir. Posant ses deux pieds au sol, il se tourna sur une large pièce carrée entièrement décorée et meublée. Proche d’une des quatre murs de la vaste pièce, sur son côté gauche, trônait une grande table taillée dans du bois massif de sureau et recouverte d’une longue nappe de soie pourpre sur laquelle était répartie toute l’argenterie nécessaire au plus somptueux des repas. Il y avait plusieurs coupes en argent, remplies à ras bord de raisin, de pommes, d’oranges, de bananes, de kiwis et de plein d’autres fruits exotiques ; une dizaine de jarres en verre remplies de vin et de diverses liqueurs ; de larges plateaux et de grands bols vides en argent ; cinq assiettes en argent aux pourtours ornés de feuilles de vigne pressées dans le métal et couvertes de serviettes blanches en coton, accompagnées de couverts en argent.

Les murs de la pièce, quant à eux, étaient parsemés de toiles de maitres sorciers et moldus. Certains cadres étaient le foyer d’une scène en mouvement, comme celle où une jolie bergère, adossée à un arbre, tournait les pages de son roman tout en jetant à intervalles réguliers un regard bienveillant sur ses blancs moutons. D’autres, issus d’artistes moldus, accueillaient des scènes immobiles mais qui n’en avaient pas moins de charme et d’originalité. Au milieu du mur de la salle opposé à celui de la table en bois, était placée une cheminée large d’un mètre et demi et haute de deux. Elle formait un tracé rectangulaire au sommet en arc de cercle dont la ligne délimitant l’angle creusé dans le mur était recouverte d’un cadre en marbre au décor fleuri épousant ses courbes. Quatre buches adossées les unes aux autres en pyramide accueillaient des flammes qui s’élevaient en pointe jusqu’à la quasi hauteur de la cheminée. Derrière elles, une porte en bois était encastrée dans la brique. À droite et à gauche de la cheminée, il y avait deux autres espaces de la même dimension creusés dans le mur. Dans l’espace à gauche de la cheminée, trois statues masculines d’argile étaient entreposées les unes devant les autres en s’enfonçant dans le mur. Les mêmes statues, féminines elles, se trouvaient dans l’espace à droite.

Au pied de l’âtre, une table basse en bois était recouverte d’un plateau de verre. Sur le flanc du meuble faisant face aux invités, une porte coulissante en verre renfermait différents alcools ainsi que des contenants de différentes tailles. Les pieds étaient posés sur un joli tapis perse et cinq petits fauteuils étaient installés en cercle autour de la table. Au coin de la pièce sur le flanc droit de la cheminée lorsqu’on lui faisait face, était érigée une magnifique fontaine qui représentait une sirène de granit, dont la queue et le dos formaient une courbe élancée vers le haut en S inversé. La sirène portait sur son épaule gauche, une jarre de la même pierre en dehors de la quelle jaillissait une eau limpide retombant dans un bassin circulaire recouvert d’ornements marins tels que des étoiles de mer, des algues et des poissons. Dans la masse d’eau flottaient des gourdes rondes en verre renfermant des liquides étranges. À droite de la fontaine, un grand miroir était suspendu au mur, il était entouré de peintures et une porte en bois se trouvait tout proche de lui sur sa droite. Enfin, sur le côté du mur à gauche de la cheminée, un piano à queue au plateau noir reluisant invitait les mains initiées à venir faire vibrer ses touches.

L’homme contempla un petit instant ce décor somptueux avant de revenir à ses quatre invités du soir qui flottaient encore au sommet de la pièce. Il fit d’abord redescendre des airs la jeune femme qu’il posa délicatement sur une des chaises en cuir rouge de la table à diner. Il l’avait vêtue d’une robe rouge joliment découpée qui lui donnait un air distingué et chic. Il plaça ensuite les autres jeunes hommes, habillés quant à eux de costumes de soirée gris, sur les trois autres chaises qui leur étaient destinées. L’effet du sortilège les maintenait droits sur leur axe, afin qu’ils ne tombent pas à la renverse. Le sorcier alla alors s’installer confortablement sur le siège qui dominait l’extrémité du banquet et, d’un coup de baguette habile, dissipa les effets des sortilèges d’endormissement et de lévitation.

Natasha fut la première à émerger de son sommeil. Elle écarta ses bras lentement, confuse, tirant une de ses mèches de cheveux sur le côté. Surprise et groggy, elle tourna son regard vers Victor et lui demanda :

- Où sommes-nous ?

- Eh bien ma chère, nous voilà arrivés dans mon humble demeure !

- Comment se fait-il que je ne me souvienne pas d’y être arrivée ?

- Eh bien Natasha, c’est que nous avons pas mal bu à la terrasse de ce bar londonien. Mais ne vous inquiétez pas, mon chef a préparé un somptueux diner et une fois que vous serez un peu plus réveillée, nous pourrons trinquer !

La jeune moldue promena alors son regard autour d’elle et un sourire vint illuminer son visage. D’une voix élancée et sensuelle, elle s’exclama :

- Monsieur Beausoleil ! Votre salon est magnifique ! Mais … attendez … Pourquoi est-ce que certaines de vos peintures bougent ?

- Nous y reviendrons plus tard ma chère…

À cet instant, les trois jeunes hommes émergèrent également de leur sommeil et effectuèrent les mêmes gestes de confusion, en regardant tout autour d’eux.

- Mais où sommes-nous ? demanda la voix mal assurée de Marc, qui lorsqu’il parlait anglais avait un petit accent français.

- On est arrivés chez Charles, Marc. Il a fait préparer par son chef un repas afin de nous accueillir chez lui.

- Mmmmm … comment ça se fait qu’on s’est endormis ? lança alors Nassir qui avait retrouvé ses esprits.

- Nassir, tu te rends compte ce qu’on a bu au bar ? Pas étonnant qu’on se soit endormis dans le taxi.

- Nous avons pris un taxi ? interrogea Luc qui ne s’en souvenait pas.

- Non, c’est mon chauffeur qui est venu nous chercher afin de nous ramener à la maison. Nous sommes dans Londres-Ouest, répondit Victor. Je vous invite à prendre un des fruits présents dans les coupes, ils vous redonneront de l’énergie et vous mettront en appétit pour le repas que je m’apprête à vous servir.

Natasha se saisit à cette invitation d'une pomme qu’elle croqua à pleine dents. Les trois hôtes mâles quant à eux ne semblèrent pas convaincus des arguments avancés par Victor, et ils demeurèrent immobiles un petit instant. Natascha, qui s’en rendit compte, avala sa bouchée de pomme et dit :

- Vous n’allez quand même pas faire insulte à Charles qui s’est dévoué à nous préparer tout ça. Mangez enfin !

À cette invitation, Nassir, Luc et Marc se décidèrent enfin à se saisir respectivement d’une banane, d’une orange et d’une grappe de raisins. Quelques secondes après que tous eurent goutté aux fruits de Victor, la fatigue se gomma de leurs visages et ils semblèrent tous entièrement ravivés.

- Monsieur Beausoleil ! Où commandez-vous vos fruits ? Je n’ai jamais rien gouté qui me redonne autant d’énergie !demanda Natascha.

- Je les fais venir d’une ferme biologique située au nord du Brésil. Ils sont particulièrement chargés en vitamines. Vous savez Natasha, je ne consomme que le meilleur, prétendit Victor qui avait en réalité ensorcelé les fruits afin qu’ils multiplient leurs vertus revigorantes.

- Il faudra que vous me donniez les coordonnées. Et si nous trinquions un verre de vin à cette fantastique soirée ?

- J’allais justement vous y inviter ! répondit Victor qui se saisit d’une jarre remplie de vin avant de remplir le verre de chacun de ses invités. Levant ensuite le sien en l’air, il fit : Trinquons !

Et la table trinqua. Après s’être amplement rafraîchi par une grande gorgée de jus de vigne, Victor claqua des mains et les plateaux et bols en argent qui étaient jusqu'à présent vides se remplirent d’une délicieuse nourriture. Il y avait deux grosses dindes fourrées aux noix, un couscous aux légumes, des tomates farcies, de la salade niçoise, des frites, des miches de pain, différentes sauces, des petits fours au fromage et au basilic, une purée de petits pois.

- Voici notre entrée-repas ! s’exclama Victor en présentant d’un revers de main les différents mets encore fumants.

À ce même instant, les invités bondirent de leurs chaises et tous crièrent de surprise et d’effroi :

- Comment faites-vous cela ? s’écrièrent presque simultanément les différents convives.

Cette fois-ci, Victor pouvait voir sur le visage des jeunes hommes les traits d’une fascination naissante qui avaient remplacé ceux d’une méfiance affirmée. Il sourit et se leva.

- Eh bien, voyez-vous, chers amis, il se trouve que j’appartiens à un genre d’être humain similaire au vôtre mais toutefois distinct du vôtre.

- C’est à dire ? interrogea Natasha

- Je suis un sorcier.

- Un sorcier ?

- Je n’ai jamais entendu une si grosse connerie ! s’exclama Luc

- Silence ! cria Victor dont le visage convivial s’était soudainement assombri.

À cette parole, il avait brandi sa baguette en direction de Luc et informula Limacius Eructo !

Un jet de lumière transparent serpenta au-dessus de la table et alla toucher le moldu qui se mit alors soudainement à cracher des limaces sur le pantalon de son joli costume. Ses deux amis masculins, qui étaient assis à sa droite et sa gauche, se penchèrent sur lui, inquiets. Natascha quant à elle implora Victor d’arrêter, la voix tremblante.

- Bien … Finite Incantatem !

Une dernière limace sortit de la bouche de Luc avant que celui-ci ne cesse d’être sous l’effet du sortilège.

- Un sorcier ne tolère pas l’impertinence, l’ingratitude et la grossièreté à sa table jeune Luc ! Mais nous n’allons pas laisser ce petit incident gâcher l’humeur de notre table. Continuate Multiplicare Anatrista Allegro !

Le sortilège affecta Luc, Marc et Nassir. Victor lança un second sortilège afin d’affecter également Natascha. Alors, la peur présente sur les visages des moldus s’effaça au profit d’une expression de joie et de bien-être profonds.

- Mmmmm … je me sens tellement bien soudainement ... Allez, trinquons à nouveau ! J’ai soif ! s’exclama Luc, qui venait de cracher par terre en souriant bêtement afin de s’enlever le goût de la bave de limace. Il remplit alors son verre de vin et le leva en l’air.

Ses amis, sous l’effet du même sortilège d’allégresse, firent de même et la table trinqua joyeusement à nouveau.

- Bien, nous pouvons manger maintenant … s’exclama Victor en animant de sa baguette les couteaux, cuillères et fourchettes dédiés au service qui se mirent à trancher la viande et remplir les assiettes de nos invités des différentes victuailles présentes.

Les quatre moldus se jetèrent directement sur la nourriture, commençant au début à remplir leurs bouches à l’aide de leurs couverts, puis, quelques secondes après, à grands coups de poignées plongées directement dans la semoule et la chair. Plus aucun d’entre eux ne pouvait s’arrêter, ils mangeaient comme des cochons jusqu’à ne plus pouvoir respirer. Natasha renversait en se gavant la moitié de ce qu’elle emmagasinait dans sa bouche sur sa robe de soirée qui était dégoulinante de sauce. Victor sourit à cette contemplation, lui qui n’avait pas touché à son assiette, et qui savait que les jeunes amis ne s’arrêteraient pas de manger tant que de la nourriture serait encore présente dans les contenants en argent. Alors que le couscous était entamé à moitié, le bol qui le contenait se remplit à nouveau jusqu’à presque déborder. Il en alla de même pour la viande, qui dès qu’une cuisse lui était ôtée, voyait une nouvelle se reformer progressivement. Les amis continuaient de se gaver et après que quelques minutes eurent passé, leurs sourires conditionnés par le sortilège d’allégresse se transformèrent peu à peu en grimaces, leurs estomacs n’étant pas aptes à accueillir telle quantité. Natacha fut la première à vomir dans son assiette, ne pouvant plus supporter l’intensité de ce gavage. Mais l’enchantement projeté sur les aliments cuisinés était de telle nature qu’il ne fut possible pour aucun des convives de cesser de manger, quand bien même, à intervalles réguliers, quelques vomissements furent arrivés. C’est ainsi que la jeune femme continua à se servir en dinde, en semoule, en frites, afin de continuer à s’alimenter. Les trois autres garçons, également, rendirent sur le sol, avant de se resservir. Les premiers supplices vinrent alors implorer Victor de faire cesser cette situation. Natasha, tremblante, vomissait de plus en plus. Des larmes coulaient le long de ses joues tandis qu’elle marmonnait :

- Pitié …

La plaisanterie avait assez duré, Victor leva sa baguette en l’air et traçant de son extrémité un petit cercle d’un geste de poignet, mit fin à l’illusion qu’il avait conditionnée à l’avance. Les nausées, le vomis et les crampes à l’estomac s’évaporèrent tel que s’ils n’eurent jamais existé. Natasha se mit à pleurer, devant les plateaux qui étaient à présent vides, tandis que Marc venait de se lever afin de mettre fin à cette tyrannie.

- Ça suffit ! Arrêtez ce cirque, nous voulons rentrer ! cria-t-il avant de se précipiter vers une des portes de la pièce, espérant qu’elle mène vers une sortie.

Faisant vibrer la poignée, il se rendit compte que la porte était scellée. Il fut interrompu dans son impétuosité par la propagation d’un froid glacial qui le pénétra dans le dos avant de se répandre dans tout son corps. Il se figea soudainement, incapable de bouger, comme pétrifié.

- Voilà ce qui arrive à ceux qui me désobéissent ! lança d’un air narquois Victor qui avait encore sa baguette pointée sur Marc.


À suivre ...
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