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[Concours RPG] Un Noël édifiant - Azaël Peverell
Azaël Peverell
Azaël Peverell
Serpentard
Serpentard
Année à Poudlard : Diplômé(e)

Matière optionnelle : Médicomagie

Spécialité(s) : - Permis de Transplanage
- Animagus : Chien-loup Tchécoslovaque


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[Concours RPG] Un Noël édifiant - Azaël Peverell
Azaël Peverell, le  Jeu 27 Déc - 19:37

Plop les MDJ !

Un grand merci pour ce concours de Noël, je me suis bien amusée à écrire dessus, j'espère que ce sera tout aussi plaisant à lire pour vous !

Avec les LA de Shae (et ses deux gosses) et d'Arty


T’as jamais été un grand fan des fêtes de fin d’année. Probablement parce qu’elles n’ont jamais été synonymes de joie et de bonheur pour toi. Enfin, depuis quelques années, un peu plus quand même. T’as toujours cette rancœur envers Noël et ce que ça représente, mais tu le vis mieux. Probablement parce que t’as fini par trouver ta place auprès de certaines personnes. Disons que tu commences à comprendre certaines valeurs comme le partage de petits moments simples avec des gens que t’apprécies. T’as pas forcément envie de faire la fête, mais au moins, tu n’as plus envie d’éclater la tronche de tous ceux qui ont l’audace de sourire et d’afficher à la face du monde à quel point ils peuvent être heureux.

Mais cette année, ces personnes sont difficiles à croiser. Oh, certes, l’effervescence des fêtes est bien là. Mais plus discrète, plus tamisée. Malgré l’épais manteau de neige dont le sol est recouvert, aucun enfant dans les rues du Chemin de Traverse. Pas un seul pour lancer une bataille de boules de neige ou pour faire un concours du plus joli bonhomme de neige. Non, cette année, les seuls enfants qui traînent sont bien accrochés à la main de leur géniteur ou de leur génitrice. Les visages sont tendus, crispés, inquiets. Personne ne veut être le prochain. Les courses de Noël sont faites à la va vite, le but est de rentrer chez soi le plus rapidement possible. Comme s'ils étaient plus en sécurité chez eux…

Cinq enfants ont disparu. Même toi qui te fout royalement de l’actualité, t’es au courant. Et si tu ne te sens pas plus concerné que cela, tu ne peux t’empêcher de te sentir en colère. Tu n’aimes pas ceux qui s’en prennent aux gosses. Ce ne sont que des faibles, des lâches. T’as du mal à l’accepter. Surtout que personne ne sait ce que deviennent ces gosses une fois enlevés. Aucun corps n’a été trouvé. Aucune demande de rançon n’a été faite. Rien du tout. Ils ont tout simplement disparu, évanouis dans la nature, sans laisser de trace. Et le Ministère n’a pu, qu’une fois de plus, montrer son inutilité et son incompétence face à la crise : ses meilleurs enquêteurs n’ont pas la moindre piste, et à présent une récompense est offerte à tout citoyen pouvant donner des informations à ce sujet.

Parce que oui, la seule et unique caractéristique que ces enfants enlevés ont en commun, c’est qu’ils sont des enfants de sorciers. Sinon, tout diffère : leur âge, leur genre, leurs particularités physiques ou psychologiques, leur milieu social, tout. Du moins, c’est ce que la Gazette dit. Et ce que le Ministère laisse paraître. Tu te méfies toujours de ce qu’ils veulent bien dire, qui sait ce qu’il se passe réellement dans les hautes sphères du monde magique ? Toujours est-il que toi, tu continues ta petite vie comme si de rien n’était. Et tandis que tu arpentes le Chemin de Traverse afin d’y trouver de potentiels cadeaux à offrir, un cri strident attire ton attention.

Tu ne peux passer à côté du désespoir qu’il laisse transparaître. C’est un cri qui déchire l’âme, qui vient du plus profond des tripes. Un cri difficile à oublier, mais surtout impossible à ignorer. Parce que tu reconnais ce sorcier, à genoux dans la neige. Enfin, cette sorcière. Parce que c’est Shae. Même si Shae restera à jamais Leo dans ton esprit. Bref, le débat n’est pas là. Parce que Leo est à genoux dans la neige, et hurle à la mort. Tu cours aussitôt vers lui (elle), inquiet. Ce n’est pas son genre de se faire ainsi remarquer. Enfin, pas à ce point-là. Et si elle sert frénétiquement Enzo contre elle, tu ne peux que remarquer le petit gant dans sa main. Celui de Tim. Qui n’est pas là. Tu écarquilles les yeux, en commençant à comprendre ce qu’il se passe.

- Leo ? Leo ? pu*ain, reprends-toi ! Il s’est passé quoi ?

Elle sanglote. Elle a du mal à reprendre sa respiration. L’angoisse la dévore de l’intérieur, et la seule chose qui lui permet de tenir à cet instant, c’est la présence d’Enzo. Tu peux le deviner aisément. Leo te lance un regard vide, désespéré. Tu t’accroupis un instant près de lui.

- On va le retrouver, ok ? J’vais t’aider. Toi, tu t’occupes d’Enzo. Tu ne le lâches pas une seule seconde. J’vais retrouver Tim, d’accord ?

T’essaies de prendre la situation en main. Parce que tu ne peux pas la laisser comme ça. Parce que, cette fois, tu ne peux pas dire que tu n’es pas concerné. Tim, tu le connais bien. Enzo aussi. Tu les as gardés tellement de fois… Ces gosses, tu les aimes, même si tu ne l’avoueras jamais. Et rien qu’à l’idée que Tim se soit fait enlever, t’as l’estomac qui se retourne. Tu refuses qu’il lui arrive quoi que ce soit. Tu te concentres pour lancer un Patronus au Ministère. Histoire de les tenir au courant qu’une sixième disparition est à prendre en compte, même si tu ne penses pas une seule seconde qu’ils pourront faire davantage pour Tim que pour les autres gosses disparus.

Non, tu ne leur fais pas confiance. Alors tu vas faire leur boulot. Ou essayer du moins. Tu vas tout donner. Pour Tim. Pour Leo et Enzo. Tu leur dois bien ça, pas vrai ? Tu te redresses, observant les lieux. Des badauds se sont amassés autour de vous, l’air effrayé. Tout le monde a peur. N’importe quel enfant peut être le prochain. N’importe quelle mère de famille ici présente pourrait être la prochaine à sangloter dans la neige. Et tandis que les gens se pressent pour obtenir la moindre petite miette d’information, tu remarques des empreintes qui partent de là où vous êtes, et qui traversent la foule. Sauf que ces empreintes s’effacent petit à petit. Tu ne peux pas laisser ta seule piste actuelle disparaître sans rien faire.

Tu te relèves aussitôt, et tu te frayes un passage parmi les curieux, laissant Shae sur place sans un regard en arrière. Tu n’as pas le temps de t’occuper de ses états d’âme, tu dois agir. Tu viendras lui demander davantage de détails sur ce qu’il s’est passé plus tard. Tu suis les empreintes laissées dans la neige au pas de course. Des empreintes animales, ressemblant fort à des sabots.. Et d’un coup, elles s’arrêtent. Comme ça, au milieu de nulle part, comme évaporées. Evidemment, la première idée qui te vient, c’est que le Père Noël est à l’origine de tout cela, et qu’il s’est envolé avec ses rennes dans un traîneau invisible en s’envolant. Sauf que t’es à peu près certain que même lui n’est pas assez tordu pour faire un truc pareil.

Tu réfléchis un instant. Si les empreintes avaient été humaines, t’aurais songé à un transplanage. Mais là, tu te demandes. Parce que vu la taille des sabots, la bestiole doit être impressionnante, difficile de transplaner avec. Tu remarques pourtant une marque de botte juste à côté des sabots. Une seule et unique avant que les empreintes ne soient plus profondes, comme si le poids porté par la bête était soudainement bien plus élevé. Tu fronces les sourcils. Les empreintes disparaissent alors, laissant penser qu’un sort à retardement a été lancé pour les couvrir. Mais pas moyen d’en rester là. Tu commences à te dire que toute cette histoire est bien plus proche de la fin qu’il n’y paraît. S’il n’y a eu aucun transplanage, il te suffit de suivre l’odeur de Tim. Et ça, c’est vraiment un boulot pour toi. Quel meilleur flair que celui d’un chien-loup ? Tout ce qu’il te faut c’est…

- Leo ! File moi le gant de Tim. Allez, grouille !

Tu t’es tourné vers lui. Elle. Bref. Tu récupères le petit vêtement et tu t’éloignes du petit groupe qui s’est formé sans un mot supplémentaire. Tu profites que l’attention des gens soit ailleurs pour te transformer directement en chien-loup. Tu renifles le gant, encore et encore. Il est imprégné de l’odeur de Tim, tu ne devrais pas avoir de mal à le retrouver. Tu retournes à l’endroit où les empreintes ont été laissées, et tu te rends compte que l’odeur du gosse est mêlée à d’autres. Celle d’un genre de cheval notamment. Et d’un type. Pas bien compliqué de savoir que ce sont ceux qui ont laissé les traces de pas qui sont les propriétaires de ces odeurs. Tu parcours plusieurs rues, en suivant la piste olfactive, mais tu dois bien te rendre à l’évidence : elle devient de plus en plus ténue et tu la perds. Cependant, si tu ne parviens pas au bout, tu te rends compte que l’odeur du type ne t’est pas inconnue. Mais t’es incapable de la remettre en contexte.

Tu finis par repartir vers l’endroit même de l’enlèvement. Bien évidemment, il ne reste plus rien. Plus de traces, plus de gens, plus de Shae. A croire qu’il ne s’est rien passé ici, si l’on parvient à ne pas voir ce trou dans la neige, où Shae est restée à genoux en voyant l’absence de Tim. T’essaies de récupérer quelque chose, n’importe quoi, mais c’est fini. Tu n’as aucun moyen de retrouver Tim, surtout maintenant que tu as perdu son odeur. La seule chose qui pourrait t’aider à retrouver les gosses c’est de parvenir à savoir où tu as déjà senti les fragrances émises par le kidnappeur. Résigné, tu prends le chemin de l’Allée des Embrumes afin de rejoindre Shae et Enzo. Elle pourra peut être te donner davantage d’explications, et le moindre détail pourrait te faire retrouver à qui appartient cette odeur familière.

Car oui, t’en es persuadé, tu l’as beaucoup sentie cette odeur. Pas juste une ou deux fois dans ta vie, non. De façon répétée. Tellement répétée qu’elle en est devenue… Normale. Presque imperceptible. Tu montes les escaliers menant à la Crèche Fleurie des Mômes Dus-Per. Shae est bien là. Enzo également, en train de jouer dans le tas de peluches. Tu ne perds pas de temps en compassion inutile, tu vas directement au but de ta venue : avoir un compte-rendu détaillé de ce que Shae a pu voir. Ou ce qu’elle n’a pas vu. Bref, tout et n’importe quoi. Simplement un début de nouvelle piste, un détail qui prendrait de l’importance avec l’avancée des recherches. Mais rien. Rien du tout. Elle a lâché la main de Tim le temps de refaire les lacets d’Enzo. Elle l’a quitté des yeux à peine quelques secondes. Et lorsqu’elle s’est redressée, il avait disparu. Evaporé.

Incapable de trouver là le moindre indice, tu finis par repartir affronter le froid mordant du dehors. Mains dans les poches, capuche rabattue sur le crâne, tu prends la route de la Cabane machinalement. Rentrer chez toi, réfléchir à tout cela calmement. Essayer de te calmer. Parce que tu es bien trop impatient pour réussir à quoi que ce soit dans cet état. La colère qui gronde en toi est intarissable, et tu as bien du mal à la contrôler pour en faire quelque chose de positif. Mais cette fois-ci, tu n’as pas le choix. Il ne s’agit pas que de toi, mais bien de Tim, et d’autres gosses qui se sont faits enlever, et qui sont probablement plus terrifiés que jamais - s’ils sont encore en vie.

Et une fois rentré chez toi, la bouffée d'air chaud qui te prend au visage te fait réaliser une chose. Cette odeur que tu connais si bien, voilà à qui elle appartient. Tu as du mal à y prêter attention tellement elle fait partie de ton quotidien, mais c'est belle et bien celle d'Arty. Tu fais le tour de la Cabane sans le trouver. Et tu décides de l'attendre sur le canapé. Il rentre une heure après, l'air tout fringant, aussi enthousiaste qu'à son habitude, et il se retrouve à débiter tout un tas de choses qu'il est probablement le seul à comprendre, ou même à écouter puisque clairement t'as arrêté de le suivre il y a bien longtemps. Mais aujourd’hui, tu n’as même pas envie de faire semblant de hocher la tête. Non, tu te contentes de le fixer, comme s’il n’était rien de plus qu’un inconnu en face de toi. Un étranger.

Parce que le Arty que tu connais n’enlèverait pas des enfants. Tu ne peux pas concevoir une telle chose. Il doit y avoir un truc que t’as raté, ou alors tu t’es planté sur toute la ligne. Mais tu dois en avoir le coeur net, tu ne peux pas laisser passer ça. Tu te sens responsable des actes de ton pote, tu l’as toujours défendu, protégé, couvé. Mais s’il a fait ça, il est allé trop loin, et tu vas devoir le remettre à sa place. Il semble remarquer que tu n’es pas comme d’habitude puisqu’il s’arrête soudainement, la tête penchée sur le côté, et il t’observe à son tour avant de te demander si ça va. Tu pousses un soupir. T’as pas la moindre idée de ce par quoi tu es sensé commencer, mais t’as pas l’intention de tourner autour du pot pendant trois mille ans. Tu lui fais signe de s’asseoir en face de toi, ce qu’il fait aussitôt.

- T’as entendu parler des disparitions d’enfants je suppose.

T’attends pas vraiment de réponse, tout le monde en a entendu parler, faudrait vivre dans une grotte pour passer à côté. Mais rien que ça, lorsque tu mets le sujet sur le tapis et qu’il hoche la tête doucement pour acquiescer, tu ne peux que voir qu’il semble mal à l’aise. Il se tortille à moitié sur le divan et ses mains semblent plus moites que de coutume. T’as à peine entamé la discussion qu’il semble déjà prêt à craquer. Tu parles d’un bandit en carton. Face à toi il est totalement incapable de mentir. Et heureusement, parce que t’as pas franchement envie d’argumenter contre lui pendant trois heures.

- J’pense que c’est toi qui a kidnappé les gosses. J’me trompe ?

Le blaireautin a bien perdu de sa superbe en quelques secondes à peine. Pas besoin d’être Legilimens pour deviner qu’il est en train de foutre tous les rouages de son cerveau en route afin de pouvoir s’expliquer sans que tu n’en viennes à lui arracher la tête. Enfin, pas littéralement, la décapitation de meilleur pote c’est pas trop ton délire, n’empêche qu’il risque quand même de prendre cher parce que t’es sérieusement en colère. Et ça, il le voit dans ton regard quand il commence à expliquer comment il en est arrivé là. Il ne cherche pas à faire le malin, il n’est pas suicidaire. Il raconte simplement ce qu’il s’est passé et c’est tout aussi inimaginable que désespérément normal lorsqu’on prend l’habitude de côtoyer un tel phénomène.

- Non mais, tu vois Aza, j’ai pas vraiment fait exprès. Enfin si, mais c’était pas prévu. En fait, je m’ennuyais, vraiment beaucoup, tu sais que je m’ennuie souvent, mais là, c’était encore pire que d’habitude. Et puis j’étais tranquillement sur le Chemin de Traverse avec Meryl - pour te trouver un cadeau, d’ailleurs, je suis sûr qu’il te plaira vraiment beaucoup, mais je te le donne pas maintenant, inh, demain, sous le sapin.

Tu commences déjà à décrocher. A croire qu’il le fait exprès de toujours noyer son interlocuteur dans un flot de paroles continu insupportable pour pouvoir balancer toutes les âneries qui lui passent par la tête. Tu lui fais signe de continuer en accélérant un peu les choses, histoire de passer à ce qui t’intéresse vraiment. Et au milieu de bien trop de déviations de sujet, tu finis par avoir l’entièreté de l’histoire expliquée. Le petit s’ennuyait, et il s’est rendu compte que les gamins étaient de plus en plus sages. Et tel un petit Grinch, il s’est mis en tête de les métamorphoser en parfaits petits lui pour Noël. Parce que des mini-Arty, tout le monde sait que ça met l’ambiance, c’est explosif et pailleté, et c’est ce qu’il faut pour s’amuser.

Tu restes un peu con devant cette explication. Le pire étant sans doute que tu le crois. Qu’il a vraiment kidnappé des gamins devant leurs parents uniquement pour leur apprendre à se transformer en parfaits petits monstres insupportables que tous les gens normaux ont envie de tuer. Tu parles d’une bonne idée. Et si tu imagines sans peine Arty sous une cape d’invisibilité qui efface ses pas à l’aide d’un sortilège, t’as quand même un truc qui te dérange.

- Et les empreintes de sabots qu’il y avait ?

- Oh, ça, c’est parce que j’ai trouvé Jean-Robert, un Sombral vraiment adorable, il vivait pas loin de chez nous. Et il semblait tout malheureux tout triste, alors je l’ai pris avec moi. Mais comme je savais pas trop si les autres pouvaient le voir ou pas, je l’ai recouvert de capes d’invisibilité. Et tu sais quoi ? Maintenant qu’il est invisible pour tout le monde, il a l’air vachement plus content. Il y a des étoiles dans ses yeux ! Enfin je crois.

T’aurais jamais dû poser la question. Sérieusement, tu pensais vraiment que tout ça pouvait avoir un sens réel ? Une fois de plus, Arty s’est contenté de montrer à quel point il était totalement déconnecté de la réalité. Mais tu te vois mal l’engueuler pour le coup, il s’est bien occupé des gamins, ils ont même rarement été plus contents qu’avec lui, à pouvoir faire des conneries toute la journée. Mais toutes les bonnes choses ont une fin.

- Va falloir rendre les gosses à leurs vieux. Et faut les oublietter avant. Ce serait con que tu te retrouves à Azkaban pour kidnapping d’enfants. Recommence pas. On enlève pas des gosses, ni par ennui, ni par envie, ni par… Enfin on enlève pas des gosses quoi. Crétin.

Et une claque à l’arrière du crâne pour Arty. Il t’a pas appelé Azaza, mais clairement ça mérite au moins ça. Mais un petit sourire se dessine sur tes lèvres. Parce que vous allez pouvoir toucher la récompense en ramenant les gosses, suffit de détruire tous les indices menant à Arty. Et en plus, tu vas être un héros. Noël, c'est pas si mal.
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