l'Italie, c'était bien un pays qui me passionnait, la langue aussi belle que leurs arts, leurs modes et leurs tissus de qualité. Cela faisait depuis, maintenant, une semaine que je m'y trouvais, et je ne voulais en partir tant les habitants y étaient chaleureux. Le beau temps m'accompagnait et rendait mes journées plus appréciables, les recherches de tissus m'était facilité tant les boutiques destinées à leurs ventes étaient nombreuses. J'en avais même profité pour visiter les musées, les différentes capitales, tout ceci dans le but d'avoir à nouveau des idées.

Quand bien même je venais ici afin de trouver des tissus pour une idée en création, il me fallait en avoir d'autres et ceux, en avance. Alors sous les regards curieux des Italiens et touristes, je me promenais avec mon petit cahier à croquis, mon crayon ne cessant de tâché le blanc de la feuille. Ce pays et ses arts me donnait des idées merveilleuses de robes en satin, fabuleuse pour des corps bien en chair comme je pouvais le voir ici.

Cela me changeait des corps bien trop fin que l'on peut trouver en Corée du Sud, ici, les femmes étaient bien plus gracieuse, ce que je trouvais plaisant à regarder. Tant plaisant, que certaines femmes venaient à ma rencontre pour tenter vainement de m'avoir, ce que j'ignorais. Aujourd'hui n'était pas plus différent, une jeune rousse était au comptoir d'une des boutiques de tissus réputée de Florence. Son regard ambré ne cessait de jongler entre elle et moi, un sourire coquin étirant ses lèvres.

Je ne cessais de détourner mon regard de sa personne, ne voulant pas lui faire croire quoi que ce soit. Et c'est en détournant le regard que je vis un être plus agréable à voir. Un homme, grand, typée, et habillé d'un costard bien taillé pour sa jolie carrure. Mes yeux ne purent s'empêcher de l'analyser de haut en bas sous les yeux étonnés de la jeune femme. Elle captait enfin que de sa personne, je n'en avait que faire. Je fus pris d'un frisson familier quand ses yeux croisèrent les miens, ce sentiment normalement fabuleux mais qui m'était désagréable. Alors avec indifférence je me détournais de sa personne, attendant avec beaucoup plus d'impatience ma commande.

Commande qui ne fut, sous m'a surprise, non délivré par un quelconque employé. C'était l'homme qui venait tout juste d'entrer, et qui semblait être plus haut placés, comme gérant.
Et ce qui m'étonnait le plus était qu'il me connaissait, mon prénom avait suavement roulé sur ses lèvres, et j'aimais la façon dont il l'avait prononcé. Le sien était tout bonnement aussi italien que lui, je reconnaissais là, la beauté que l'Italie pouvait avoir. Un sourire taquin, étira mes lèvres quand je vis son regard briller d'un quelconque intérêt qu'il semblait me porter. Mais j'étais venu pour les tissus, et quand enfin mon regard s'attarda sur eux, je reconnu la si belle qualité qu'ils avaient.

Comme je le pensais, commençais-je sous son regard qui semblait satisfait, c'est bien ce que j'attendais.

Je pris la tissu en main, le caressant avec la pulpe de mes doigts. Il était d'une douceur incomparable, ceux de ce pays était bien les meilleurs aux touchés. Déposant la commande à nouveau sur le comptoir, je sorti ma carte bancaire, il fallait que je paye pour vite partir de cette boutique. Le temps pressait, et m'était compté, les défilés n'attendaient pas.


Je paye de suite, pouvez-vous me l'emballer ? Je suis assez pressé, les affaires vous comprenez, n'est-ce pas ?


En regardant tout autour de moi, le personnel, la décoration minutieuse et la qualité des produits je ne pus m'empêcher de complimenter, ce qui pour moi était rare.

D'ailleurs les vôtres fleurissent bien, la qualité est extraordinaire.

Il prit ma carte du bout des doigts, doigts incroyablement beau, les veines apparentes me faisant durement déglutir. C'était l'une de mes préférences chez lui, mais il est plus là et l'homme face à moi n'est autre que Mr Emerenziana. Je reprends subitement contenance quand enfin sa voix s'élève à nouveau, celle-ci étant tout bonnement suave à souhait, à croire qu'il le fait exprès. Sa question me surprend, puis étant sur le point de répondre à la négative, il ne m'en laisse pas le temps, me prouvant avec empressement le potentiel que l'Angleterre détient.

Il est vrai que c'est un pays qui est réputé comme un énorme demandeur de tissu, et a à son arc plusieurs marques luxueuses très demandées dans le marché Européen. Sous ma non réponse, il se mit à argumenter ses propos, me soutirant un sourire, c'est qu'il est beau parleur, il m'en ferait presque rougir. Il est vrai que je commençais à me faire un nom dans ce domaine, tout était encore frais pour moi, alors l'entendre de la bouche d'un aussi bel homme me flattait. Sa proposition tenait la route, mais il m'en fallait plus, je n'étais pas un homme irréfléchi il me fallait preuve et informations en plus.

Vous ne perdez pas de temps à ce que je vois, dis-je en plantant mes yeux dans les siens, soutenant son regard. Merci du compliment, en ce qui concerne les clients-


Je pris soudain conscience des mots mentionnés dans sa phrase. L'avait-il fait exprès ? Avait-il soigneusement choisit ses mots pour me mettre la puce à l'oreille ? À mon hésitation, il se mit à sourire, serait-ce une personne comme moi ?

Manier la baguette n'est-ce pas ? répétais- je en me penchant vers sa personne. Ceux qui font des choses merveilleuses, magiques vous voulez dire ?

Son regard fut teinté d'une émotion particulière que je ne pu traduire, mais il semblait satisfait de ma réponse.
J'espérais ne pas me tromper, mais je le sentais, que ses dires avaient doubles sens.

Finalement, repris-je en me redressant, Je pense avoir un peu de temps à vous accorder, vous et moi autour d'un repas cela vous conviendrez ?

Sous son regard, je resserais ma cravate d'un bleu azur, faite en France, un sourire taquin scotché aux lèvres. Mes yeux n'avaient cessés d'affronter les siens, ce jeu de regards m'intéressait. Un aura se dégageait de sa personne, un aura plaisant qui faisait baisser ma garde, pour la première fois depuis des années, je me laissais porter.

La fin d'après-midi était vite passée, nous étions maintenant en face à face devant nos plats respectifs, et après avoir goûté une première bouchée j'affirmais. Le Dolce Italia méritait bien son statut, la nourriture locale italienne était si bonne, un vrai régal pour les papilles. La grande salle dans laquelle on se trouve étant peu pleine pour l'instant, et nous, se trouvant à l'écart, je me lance :

Alors j'ai cru comprendre que vous êtes sorcier ?

Son regard s'illumine et je souris, une envie monte soudainement en moi. Alors tout en prenant mon verre de vin, je le regarde longuement dans les yeux. Puis une fois ma gorgée prise je lèche doucement mes lèvres en souriant, fier.
Je m'étonne moi-même d'autant chercher quelqu'un, ressentait-il ça lui aussi quand il me draguait et que je succombais doucement dans ses perversités ? Ce n'était plus important maintenant, je devais moi aussi tenter des choses, experimenter et pourquoi pas avec lui ?

Vous savez donc manier votre baguette comme personne ? Je me trompe ?

Il déglutit, ça lui fait de l'effet, il n'en perd pas son sourire, il apprécie. L'adrénaline monte en moi tellement vite quand ses yeux me regardent comme ça. J'apprécie les frissons qui envahissent mon corps quand sa voix s'élève, et penche ma tête sur le côté, dévoilant ma mâchoire saillante et bien dessinée. Sans lâcher son regard, je ferme légèrement les yeux, ma main passant doucement dans ma nuque, je soupir légèrement puis rouvre mes yeux sous son regard brillant.


Je suis content d'être face à vous, le repas est délicieux. Les mets Italien sont bons, j'aimerais tout goûter d'ailleurs...


Mon ventre se tord à ma phrase, volontairement érotique à souhait. Je sais que tout ceci lui plaît, la bulle dans laquelle on est, il l'apprécie. Il ne s'agit pas encore de luxure, mais la convoitise y est. Et j'apprécie me faire désirer, alors jouons Mr Emerenziana, jouons à ce jeu.

L'ambiance est tout ce qu'il y a de plus plaisant, je me sens pour une fois à l'aise avec quelqu'un, du moins, autre que lui.
Tellement qu'une partie de mon esprit essai de me raisonner, en vain, je fais taire cette petite voix qu'est ma conscience. Comment pourrais-je être libre si je m'emprisonnais moi-même ? Je l'écoute, j'écoute attentivement sa voix grave et quelque peu éraillée, m'expliquer un morceau de sa jeunesse, et ses questions banales auxquelles je réponds par automatisme.

Pour ma part, Serpentard était ma maison. Je vous laisse deviner pourquoi.


Je lui soutire un petit sourire satisfait à ma réponse et à ce moment, je me demande ce qu'il peut penser, mais ma question se suspend et mes doigts se crispent autour de mon verre. Verre, que lui prend en mains pour en goûter le liquide carmin s'y trouvant. Il soupire, ferme les yeux doucement puis y trempe ses lèvres, lèvres qui m'ont l'air douce et moelleuse à souhait maintenant que j'y accordais toute mon attention. L'instant d'après, il réouvrait les yeux, les plantant dans les miens, puis ses dents se mirent à attraper sa pauvre lèvre inférieure qui devint plus rosées encore sous la pression qu'il y mettait. Il me cherchait, s'amusait, et le pire c'est que cela fonctionnait. Puis enfin sa voix s'élevait pour répondre à ma seconde question, je sentais qu'il avait su lire entre les lignes, mais il répondit subtilement, ce qui me plu directement.


Est-ce une chance de me rencontrer ? répétais-je pour moi-même, Il est vrai que j'ai pu expérimenté tout un tas de choses, mais ne pensez pas que je sois un charmeur. je me mis à rire à ma précision, comment pouvait-il ne pas le penser avec mes agissements ? Je n'ai eu qu'une personne dans ma vie pour tout vous dire.


Pourquoi je commençais à lui parler de ça ? De lui ? Je n'en savais strictement rien, mais mes lèvres bougeait seule, ma voix s'élevait et je parlais sans vraiment réfléchir.  Je n'avais pas honte de le lui dire, aucune gêne, et ça me faisait parler, trop même. Alors je me repris, sous son regard maintenant curieux et interrogateur. Voyant que je n'allais sûrement plus ouvrir la bouche, et qu'un certain blocage m'avait prit, il leva l'une de ses mains pour commander nos plats, choix qu'il m'avait conseillé sans que je n'en ai le choix, me rassurant qu'il allait me plaire pour sûr.

Je vous fait confiance sur ce coup-là Mr Emerenziana. dis-je simplement.

Je ne doutais pas de ces goûts en ce qui concerne les mets de son pays. Il n'était pas un amateur, et son audace me plu, à nouveau. Audace qui fut augmentée quand je sentis ses jambes se coller aux miennes, j'en fus premièrement surpris, mais bien vite, un sourire étirait mes lèvres. Pour l'instant, aucun point noir ne venait tâcher sa personne, je me demandais même s'il n'était pas trop parfait.
Puis en attendant le plat, il continua sur sa lancée, me posant une question à laquelle je ne m'attendais pas. Pas que cela me gène, mais souvent, peu de personne s'y intéressait.

C'est drôle que vous me posiez cette question, car pour être honnête, je ne me l'étais jamais posée. Quelle est ma passion...? répétais-je tout en y réfléchissant. Eh bien, je dirais l'art, l'esthétique, l'abstrait, tout ce qui éveille mon intérêt me plaît.

Sa passion à lui, lui était atypique, je n'avais jamais entendu quelqu'un parler d'animaux avec autant de douceur. Le fait de vouloir être entouré de ses somptueux êtres m'était pas étranger.

En parlant d'animaux, petit j'allais souvent avec mes mères au Japon afin d'y voir les biches en libertés, vous savez, à Naara.
Quel type d'animaux avez-vous chez vous ? Pourrais-je un jour y venir ?  

L'ambiance s'était à nouveau changée. Elle semblait plus chaleureuse encore, comme si le simple fait que nous apprenions à nous connaître rendait tout plus jovial. Je n'en avait pas l'habitude, les rendez-vous de ce genre, donc professionnel ne se passait jamais comme cela. Et pourtant, celui-ci prenait un autre tournant, tout devenait plus amical, comme si j'avais, face à moi, un vieil ami de longue dates.

Monsieur Emerenziana avait une emprise sur moi qui m'était étrangère mais pourtant pas menaçante. J'étais à l'aise, même trop, tellement que j'en laissais glisser quelques informations sur mon passé. Ce qui m'étonnait de moi-même, je baissais actuellement mes gardes, et je n'en était pas inquiet. Nos entrées finit depuis maintenant quelques minutes, nos plats arrivèrent enfin, une odeur délicieuse enivrant mes narines. Fier de ce plat, il le présenta comme l'aurait fait sûrement le chef qui nous l'avait préparé.

En sentant l'odeur qu'il échappait je risquais pas de douter. Impatient, je pris ma fourchette et commençait enfin cette assiette. Ma tête dû être mémorable en vu de son sourire, il avait l'air tout autant heureux que moi de me voir apprécier son conseil.

C'est délicieux.

Je n'avais pu m'empêcher de complimenter ce plat qui était divin, la nourriture italienne était bien ce qu'elle prétendait être, tout bonnement extraordinaire. Bien vite, le noiraud face à moi continua sur sa lancée, occupant la moitié de ma dégustation. Alors comme ça il n'a jamais visité le Japon ? Ce pays fort en culture, en histoire et en art ?
Je trouvais cela dommage, mais ce serait l'opportunité d'un jour l'y emmener.

C'est fort dommage que vous n'ayez jamais eu l'occasion d'y aller. Le Japon est tout proche de la Corée du Sud, du moins, plus proche que le votre. Il m'était alors plus facile d'y aller, un jour vous y viendrez je l'espère. Mon pays aussi, est beau à visiter. lui dis-je en lui offrant un clin d'oeil.

Il répondit par la suite à ma seconde question, moi m'occupant d'imaginer l'allure que pouvait avoir sa maison.
Le cadre devait être magnifique, la plaine, la falaise, la mer, un panorama à couper le souffle sûrement. Je pris plaisir à imaginer les animaux y roder, sauvage ou domestique peu m'importait. Je me mis à sourire quand il répondit l'affirmative, alors il se ferait un plaisir à m'y convier ? Une bonne opportunité d'en apprendre plus et de le revoir, ça me plaît.

Vous êtes quelqu'un de très intéressant. dis-je en écoutant ses dires. J'adore les loups, c'est mon animal disons. J'ai toujours trouvé cet animal somptueux. Un point en commun que nous avons n'est-ce-pas ?

Un sourire étirait déjà ses belles lippes et je m'y attardait un moment. Elles étaient d'une épaisseur idéale, c'était certain qu'elles étaient plaisante à embrasser.
Soudain je me crispais, mais à quoi pensais-je ? Je me mit à forcer un sourire quand je remarquais le regard interrogateur qu'il le lançait.

Et bien... commencais-je pour changer de sujets, Quel repas, délicieux...


Et à ce moment-là, je me sentis ridicule, mais n'en fit rien, car son regard n'était en aucun cas moqueur.

Arrivé au dessert le noiraud s'était montré impatient, ses jambes ne cessaient de caresser les miennes sensuellement. Et une fois la sucrerie finie il avait payé avec empressement, sa main se mettant peu de temps après face à moi, que je pris avec tout autant d'empressement. Arrivé dans sa voiture, mes mains devinrent moites, mon ventre se tordit et je soufflais tout mon stress.

Le repas était un moyen de flirter mais là, je savais qu'on allait chez lui, et je savais que les choses sérieuses allaient sûrement commencer. Allais-je me laisser avoir ? Était-il comme lui ? Allait-il me faire autant de mal ? Je n'en savais rien, mais j'étais là, dans cette voiture luxueuse, à regarder par la fenêtre.
Comme il l'avait dit plus tôt dans la soirée, une forêt entourait bien sa demeure, et à nouveau il me le fit remarquer, me prévenant qu'il y aurait, par chance, des cerfs et autres qui passeraient.

Essayait-il de me décrisper ? Je n'en savais rien mais ça m'avait fait doucement sourire. Je pense néanmoins qu'aucun animal ne pourrait s'aventurer sur la route, la lumière des fards les font fuir. Je ne m'en plaint pas, ce serait dangereux qu'ils déboulent en pleins milieu, tout autant pour eux que pour nous.

Je restais silencieux, les mains liées, mes doigts jouaient nerveusement entre eux. J'essayais au mieux de calmer les battements de mon coeur. Il devait me trouver ridicule, je l'avais aguiché tout le long du repas, je m'étais montré réceptif à ses actions. Et me voilà maintenant, en train de lâchement avoir peur d'un rien.
J'étais adulte, je devais oublier tout ça, l'oublier lui et la trace qu'il a laissé dans ma vie, trace soudée sur mon corps qu'il a de nombreuses fois sali  de ses mains perverties.

Soudée à mon coeur qu'il a fait battre de nombreuses fois d'amour, de peur, d'excitation, ces trois mots qui étaient différents mais qui pourtant pour moi désignait un même sentiment. J'avais peur de cet amour, de cette excitation.
Et quand il m'a quitté, ce coeur qui battait d'un trop plein d'amour s'était arrêté et gelé, comme ma vie et mon temps.

Comme si le monde lui-même avait arrêté de tourner, sans lui, sans moi.
Et là, je le sentais doucement reprendre de la cadence, il peinait encore à pleinement bouger mais avec ce noiraud à mes côtés je le sentais avancer.
Je sentais mon monde se réveillert timidement, ce qui me suffisait malgré mon stress, de rester auprès de lui, dans cette voiture.

Mon esprit était encore brouillé par ce mélange d'appréhension et d'excitation. Mais au final, je fis taire les deux, je fis taire mes pensées, et m'affoncait un peu plus dans le cuir de son siège confortable. Mes doigts desservant ma cravate, je fermais les yeux en soupirant, ma seconde main passant dans ma chevelure décoloré en brun.

Je fis taire tous mes doutes l'histoire d'un soir, histoire de quelques heures, de quelques minutes, quelques secondes.
Une fois arrivé devant sa demeure, j'en fus étonné, quand il fut en dehors de la voiture pour m'ouvrir la portière je laissais souffler mon étonnement d'un - ouah - enfantin.
Il ne mit pas longtemps avant d'être à mes côtés, je repris un peu de contenance, et le suivit non sans appréhension. Le hall d'entrée était si beau que mes yeux étaient plus occupés à regarder la déco que son propriétaire.

J'avais, moi aussi, de jolis appartement et villa à mes dépends, mais sa décoration était magnifique, salle par salle, je ne pouvais m'empêcher de contempler le goût particulier qu'il avait. Notre marche s'arrêta dans le salon où il m'y proposa quelques choses à boire. Il me fallait tomber ces barrières pour pleinement profiter de cette soirée, c'est avec cet objectif que je lui demandais un verre.

Du rhum, si tu en possède s'il te plaît.

Que les choses commencent.