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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Pré-au-Lard ~¤~ :: Rues de Pré-au-Lard
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Deux bouteilles et une rue sombre.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Mar 3 Sep - 19:46

Adélaïde crut, l'espace d'un instant, voir la fin de son calvaire lorsque qu'après avoir craché avec fureur qu'elle le considérait comme mort, son cousin desserra sa prise autour d'elle.

Mais aussitôt apparut, l'idée fila en sens inverse. Peu après avoir croisé le regard bleu de son aîné, celui-ci la plaqua violemment contre le mur, lui tirant une grimace de douleur. Se retrouvant face à face, il était toujours en position de dominance.

- Je vois... Seulement il arrive que certains de ces fruits pourris resurgissent de l'ombre et que, au final, il ne soient pas si pourris ! Il se pourrait en réalité que les vrais fruits pourris soient ceux qui son rester dans la coupe et qui est virés les autres fruits, déclara Night.

Une phrase bien compliquée, pour dire simplement qu'il pensait que c'était eux les fruits pourris. Alors qu'elle préparait mentalement une réplique acerbe, elle vit son cousin mettre sa capuche. Et ce geste la désarçonna. Pourquoi mettait-il sa capuche ? Elle était tellement prise dans ses pensées, et concentré sur un moyen de s'extirper des bras de son cousin, qu'elle n'avait pas prêté attention aux deux silhouettes qui avançaient dans leur direction.

Mais plus troublant encore, Adélaïde fut stupéfaite, lorsqu'elle vit son cousin approcher son visage d'elle jusqu'à ce que leurs lèvres entrent en contact. Il était en train de l'embrasser. Seule cette phrase tournait en boucle dans l'esprit d'Adélaïde. Elle ne pensait même plus à se dégager de l'homme. Complètement obnubilé par l'étrange baiser.

Enfin, Night s'éloigna d'elle, mais Adélaïde était tellement abasourdie qu'elle mis du temps à réagir. Elle rouvrit lentement les yeux, réalisant sur le coup qu'elle les avait fermés, et scruta son cousin. Ce dernier avait ôté sa capuche, et buvais un étrange liquide rouge.

Le jeune homme replongea son regard dans celui d'Adélaïde, et cela fit office d'électrochoc, retrouvant sa clarté d'esprit, elle sortit sa baguette d'un mouvement vif, poussa son cousin contre le mur pour échanger leur rôle et la posa contre son cou. A son tour d'être maître de la situation.

- Si tu fais un seul mouvement, je me débarrasse de toi. Et je connais quelques sorts que Grand-père m'a appris, qui sont loin d'être agréable et très efficace contre les nuisibles !

Le ton était glacial et furieux, mais elle resta sur ses gardes, il en faudrait certainement beaucoup plus pour faire peur à son cousin. Abandonnant le vouvoiement, Adélaïde savait qu'il était à présent inutile de nier leur lien sanguin, elle continua :

- C'est quoi le truc que tu as bu ? Tu fricotes avec les vampires ?! Et puis c'était quoi ce coup de la capuche et du baiser ?

De sa main libre, elle frotta sa bouche, comme si elle pouvait la nettoyer, dégoûtée qu'un être impur l'ait touché. Et pourtant ce n'était pas la première fois qu'ils s'embrassaient. Lorsqu'ils étaient petits, ils s'amusaient souvent, au fond du verger à se faire des bisous. Mais aujourd'hui tout était différent.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Mer 4 Sep - 15:55

Je ne pouvais être plus heureux, la situation m'appartenais. Depuis le début je contrôlais les moindres fait et geste, ses paroles allait dans le sens que je leur disais d'aller, elle ne se rendait même pas compte de mon talent dans la manipulation. Mes yeux dans les siens, je m’apprêtais à lui porter le coup de grâce quand une lumière éclaira son regard. Avant même que je n'ai le temps de faire quoi que ce sois, elle sortis sa baguette, me plaqua à mon tour contre le mur et, sa baguette au niveau de ma gorge, me fit un grand sourire victorieux. Je ne pouvais m'empêcher de lui jeter un regard de défi, je savais qu'elle n'était pas idiote et qu'elle savait qu'il faudra plus pour me faire réagir mais malgré les apparence, j'étais toujours maitre de l'instant présent.

- Si tu fais un seul mouvement, je me débarrasse de toi. Et je connais quelques sorts que Grand-père m'a appris, qui sont loin d'être agréable et très efficace contre les nuisibles !

Je devais me forcer de ne pas rire, je mordis ma lèvres si fort que je me mis à saigner mais bon dieu comme ses paroles me faisais rire. Comment pouvait elle croire un seul instant que elle pouvait me battre moi. Elle qui a toujours été dans le cocon familial, éloigné des batailles, des duel, éloigné de tout dangers tandis que moi, je me suis battus toute ma chienne de vie. Que pouvait elle bien penser tandis que ma peau était marqué par mes années de galère, et surtout par cette nuit d'épouvante... Non mais oh ! Je me perdais dans mes souvenirs alors que ma folle de cousine voulais me tuer, baguette planté dans mon cou, autant dire que c'était pas trop le moment d'être nostalgique.

- C'est quoi le truc que tu as bu ? Tu fricotes avec les vampires ?! Et puis c'était quoi ce coup de la capuche et du baiser ?

Je mis du temps à comprendre ce qu'elle venait de me sortir, encore un peu perdus dans mes pensées, puis ce fut comme une flash. J'explosai de rire avant de la regarder d'un air toujours aussi arrogant. Je baissais la tête avec force, réussissant à faire baisser sa baguette par la même occasion. Je ne détournais pas mes yeux de son regard émeraude. Si une chose n'avait pas changer au fil du temps, c'était bien ces magnifique yeux. Tandis que du sang continuai de couler de ma lèvres, elle essuya ses lèvres d'un revers de la main.

- Le vieux t'as apprit des sorts ? Passionnant, sauf que je devine que tu ne les a jamais utilisés, c'est comme si tu utilisais une arme à feu alors que tu n'as jamais tirer de ta vie. Moi je me suis battus un nombre incalculable de fois, tu le sais au vu de ma cicatrice !

J'étais partis sur ma lancé, hors de question de m'arrêter. Je me fichais pas mal de ce qu'elle pouvais bien penser, il fallait que je sorte tout d'un coup sinon je ne pourrait plus le sortir après tellement je serais mort de rire.

- Si je fricote avec les vampires ? Alors je connais bien plus notre famille que toi, il s’agit d'un alcool familial très puissant, il me permet de me réchauffer, il me fait sentir vivant car sans lui j'aurais des doutes. Quand au baiser, tu ne t'en plains pas réellement puis que tu as fermé les yeux ce qu'il signifient qu'en un sens ça t'as plu. Et puis n’oublie pas que ces lèvres, tu les a déjà embrasser. Mais surtout c'était pour éviter de devoir supporter des personne chiantes comme le monde. Mais par contre, je te félicite, tes lèvres sont toujours aussi douces et délicieuse.

Je savais qu'elle était sur le point de craquer, je l'y forçais. Entre mon air supérieur et mes phrases qui devait lui faire l'effet d'une boule de bowling, explosant son cerveau à chaque mot sortant de ma bouche. Elle n'avait pas d'autre choix que d'emprunter le chemin que je lui traçais car au final, elle avait été éduquer ainsi.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Ven 6 Sep - 14:27

Night lui répondit dans un grand éclat de rire. Ce qui fit grimper encore plus haut la fureur d'Adélaïde. Il osait se moquer d'elle. Raffermissant la prise de sa baguette, jusqu'à ce que la jointure de ses doigts devienne blanche, elle lui lança un regard assassin.

- Le vieux t'as apprit des sorts ? Passionnant, sauf que je devine que tu ne les a jamais utilisés, c'est comme si tu utilisais une arme à feu alors que tu n'as jamais tirer de ta vie. Moi je me suis battus un nombre incalculable de fois, tu le sais au vu de ma cicatrice !

Adélaïde allait lui répondre méchamment, fronçant les sourcils d'incompréhension en entendant l'expression 'arme à feu' qu'elle ne connaissait pas. Mais le jeune homme se fit plus rapide qu'elle et continua, de façon moqueuse :

- Si je fricote avec les vampires ? Alors je connais bien plus notre famille que toi, il s'agit d'un alcool familial très puissant, il me permet de me réchauffer, il me fait sentir vivant car sans lui j'aurais des doutes. Quand au baiser, tu ne t'en plains pas réellement puis que tu as fermé les yeux ce qu'il signifient qu'en un sens ça t'as plu. Et puis n'oublie pas que ces lèvres, tu les a déjà embrasser. Mais surtout c'était pour éviter de devoir supporter des personne chiantes comme le monde. Mais par contre, je te félicite, tes lèvres sont toujours aussi douces et délicieuse.

Une rage sans nom bouillonnait en Adélaïde. Elle se sentait prête à exploser, sa baguette commençait à crépiter à son extrémité, elle se retenait de lancer un sort à son cousin, car si elle voulait être honnête, déclencher les hostilités seraient très risquées, il était fortement probable qu'il en sache bien plus qu'elle, comme il l'avait dit.

Mais ne voulant pas se laisser faire pour autant, elle répliqua, la main qui tenait sa baguette tremblante de colère, levée en direction de son cousin :

« Ha oui ? Et qu'est-ce que tu en sais que je ne les ai jamais utilisé ? Il existe beaucoup de vermine dans ton genre, à Poudlard ... J'ai eu de quoi m'entraîner ! »

Bien sûr cela n'était pas vrai, mais ça, son cousin ne le savait pas - et n'avais pas besoin de le savoir. Si elle ne lui faisait pas croire qu'elle savait lancer des sortilèges interdits, alors il la prendrait pour une fille faible sur qui, il avait tout contrôle.

« Et jamais, tu entends, JAMAIS, je n'apprécierais le moindre contact avec toi. Que tu m'ais embrassé me répugne et me donne envie de vomir ! Et pour ce qui est de ton alcool, tu devrais arrêter de le prendre. Tu es déjà mort de toute façon. » cria Adélaïde.

Peut lui importait d'attirer l'attention, son cousin la mettait hors d'elle. Elle ne pouvait se contenir, et pourtant elle aurait dû, une des premières règles qu'on lui avait enseigné était la maîtrise de sois en toute circonstance, mais là c'était trop; bien trop pour elle.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Lun 9 Sep - 14:36

Je tentais de me contenir mais c'était difficile, chacune de ses paroles me donnais envie de rire à nouveau. Et plus je riais, plus elle s'énervait, je sentais sa main se crisper, devenir rigide, je crois qu'elle voulait affirmer sa supériorité à mon égard mais c'était peine perdu. je sentais sa rage au fond d'elle qui montait en flèche, nul doute que si elle avait put elle m'aurait déjà réduit en cendre.

- Ha oui ? Et qu'est-ce que tu en sais que je ne les ai jamais utilisé ? Il existe beaucoup de vermine dans ton genre, à Poudlard ... J'ai eu de quoi m'entraîner !

Mon rire se tus en entendant ses dernières paroles. Je ne la croyais pas une seule seconde quand elle parlait de s'être entrainé mais par contre, le fait est qu'elle serait à Poudlard expliquerait sa présence à Pré-au-Lard. Mais cela était étonnant car, connaissant notre famille, elle aurais plutôt été envoyé à Durmstrang. Je ne comprenais pas pourquoi elle était à Poudlard et je n'eu pas le temps de lui poser la question qu'elle enchaina.

- Et jamais, tu entends, JAMAIS, je n'apprécierais le moindre contact avec toi. Que tu m'ais embrassé me répugne et me donne envie de vomir ! Et pour ce qui est de ton alcool, tu devrais arrêter de le prendre. Tu es déjà mort de toute façon.

Je me mordis la lèvre inférieur et repris mon sourire provocateur, elle était semblable à loup que l'on aurait prit au piège, elle montrait les crocs mais ne représentait aucun danger. Cependant plus le temps passait et plus sa petite comédie commençait à m'agacer, je ne savais pas si elle pensait ou en tout cas voulais que je sois réellement mort, mais je lui prouverais que j'étais belle et bien vivant.

- Regarde toi, tu es faible, tu es comme un renard tu as des crocs mais tu ne t'en sers que pour manger les restes des autres prédateurs, pour dévorer les poubelles. Tu n'est rien, qu'un grain de poussière. Tu parle beaucoup mais tu ne sais même pas ce qu'est l'adrénaline que l'on ressent lorsque l'on fait face à quelqu'un, tu ne sais pas quel effet ça fait de se battre pour sa vie, de voir sa fin approcher à grands pas...

Moi par contre je savais, je connaissais tout ça. Et je savais qu'elle serait déchirer, d'un côté sa rage serait amplifier par mes premier mots et en même temps, mes derniers mots la secouerait un peu, ça la réveillerait, ou du moins je l'espérais.

- Si tu le dit, je ne peut que te croire, cependant tu ne feras pas disparaitre les quelques années vécus ensemble où nous nous considérions comme des membres d'une même famille, promit à un grand avenir. Mais peu importe, tu sera marier à un idiot, forcer de passer ta vie à ses côté comme femme au foyer à t'occuper des gosses et rien d'autre car il faut préserver la pureté du sang. Et tu sais quoi ? je vais rentré dans ton jeu, ce n'est pas mon problème, tu vivras malheureuse, si ça se trouve il te frappera, il te fera souffrir, et ce ne sera plus mon problème. Par contre je ne mourrais pas, je ne mourrais jamais, pas avant d'avoir atteint mes objectifs.

En l'espace de quelque secondes, j'étais devenue l'homme le plus sérieux au monde, mon regard sévère était encré dans ses yeux, je me fichais pas mal de ce qu'elle pouvait penser, je venais de lui lâcher le  plus gros de ce que j'avais sur le cœur. J'attrapais fermement sa baguette, j'aurais pus la briser, la détruire, je serrais mon poing et utilisais ma force pour la baisser. Je reprenais peu à peu mon souffle, continuant de la fixer dans le blanc des yeux.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Mar 10 Sep - 21:14

- Regarde toi, tu es faible, tu es comme un renard tu as des crocs mais tu ne t'en sers que pour manger les restes des autres prédateurs, pour dévorer les poubelles. Tu n'es rien, qu'un grain de poussière. Tu parle beaucoup mais tu ne sais même pas ce qu'est l'adrénaline que l'on ressent lorsque l'on fait face à quelqu'un, tu ne sais pas quel effet ça fait de se battre pour sa vie, de voir sa fin approcher à grands pas…

Adélaïde resta désemparée devant la réplique de son cousin. Il y a une seconde elle lui hurlait au visage qu'elle le préférerait savoir mort, mais maintenant, alors que ce dernier avouait avoir faillit perdre la vie, elle ne pouvait empêcher son cœur de se serrer. Reprenant rapidement ses esprits pour ne pas que son cousin se doute de quoi que ce soit, elle garda son masque rempli de haine.


- Si tu le dit, je ne peut que te croire, cependant tu ne feras pas disparaître les quelques années vécus ensemble où nous nous considérions comme des membres d'une même famille, promit à un grand avenir. Mais peu importe, tu sera marier à un idiot, forcer de passer ta vie à ses côté comme femme au foyer à t'occuper des gosses et rien d'autre car il faut préserver la pureté du sang. Et tu sais quoi ? je vais rentré dans ton jeu, ce n'est pas mon problème, tu vivras malheureuse, si ça se trouve il te frappera, il te fera souffrir, et ce ne sera plus mon problème. Par contre je ne mourrais pas, je ne mourrais jamais, pas avant d'avoir atteint mes objectifs.

- Non ce n'est pas vrai ! protesta faiblement Adélaïde.

Bien trop faiblement, elle aurait dû répondre avec hargne et se défendre avec plus de rigueur. Mais son cousin dans le fond, n'avait-il pas raison ? Oui elle se marierait avec un homme de bonne naissance. Oui, on ne lui demandera jamais son avis. Oui, elle devra donner à son époux un héritier, dans l'unique but de préserver la pureté du sang et de faire prospérer la lignée. Mais Adélaïde savait tout cela, elle en était consciente et acceptait tout. C'était le prix à payer pour faire partie d'une noble famille. Ce n'était même pas - d'après son grand-père - un sacrifice, mais plutôt un honneur.

- Et puis pourquoi est-ce que mon époux me maltraiterait ?! Hein ?! Non, tu te trompes ... Je serai heureuse ... En plus, on ne maltraite que les femmes désobéissantes. Je ne suis pas comme ça. Je conviendrai à merveille ... Je serai parfaite.

La blondinette s'emmêlait dans ses explications. Elle voulait paraître de tout cœur sûr d'elle et de sa position, mais l'effet escompter était loin d'être acquis. Un flot de pensée tournoyait dans son esprit, noyant le peu de bon sens dont elle aurait dû faire preuve. Elle aurait certainement dû se taire, pour ne pas trahir son désarroi.

Son cœur battait vite. Bien trop vite. Elle était en colère contre son cousin, et encore le mot était trop faible. Et pourtant elle était perdue. On ne lui avait jamais balancé ainsi les quatre vérités quant à son futur imminent. Bien qu'elle le savait, l'entendre à haute voix, et par Night était très déstabilisant. Tandis que son cousin attrapait sa baguette pour la faire redescendre, Adélaïde le dévisageait. Elle fixait cette horrible cicatrice. Et se noyant dans les yeux bleus de son aîné, elle perdit le dernier contact qui la retenait à la réalité.

Le faire taire. Définitivement. Voilà ce que lui soufflait une petite voix dans sa tête. Avant qu'il n'ait le temps de surenchérir sur sa futur condition d'épouse, et de l'enfoncer encore plus bas que terre. Et pour cela Adélaïde n'eut qu'une seule idée qui lui vint à l'esprit. Elle avançant vers son cousin, comblant le peu d'espace qui les séparaient. Et posa brutalement ses lèvres sur celles de Night. Ce n'était pas un baisé doux et sensuel, vraiment loin de là. La jeune fille mettait dans cette étreinte toute la rage et la colère qui pulsait dans ses veines.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Jeu 12 Sep - 14:03

La pauvre cherchait à se débattre, ne se rendant même pas compte qu'elle était prisonnière, que mon piège c'était déjà refermer sur elle depuis plusieurs minutes. Et plus elle se débattait, plus ses forces l'abandonnait, je savais que j'avais gagner cette bataille. Sans même m'en rendre compte, je ne quittais plus l'air supérieur et arrogant que j'avais vue tant de fois parmi les grandes familles de bourge au sang pur, y comprit la notre.

- Non ce n'est pas vrai !

C'était à peine si j'avais entendus ses paroles, elles étaient semblable à un simple souffle d'air. Je me sentais victorieux, même si ce n'était pas le moment de me relâcher car une fois qu'elle serait définitivement briser, je devrais la remodeler et je savais d'avance que ce ne serait pas une mince affaire. Mais je n'étais pas vraiment inquiet, elle était bien plus faible et plus fragile que ce que j'espérais.

- Et puis pourquoi est-ce que mon époux me maltraiterait ?! Hein ?! Non, tu te trompes ... Je serai heureuse ... En plus, on ne maltraite que les femmes désobéissantes. Je ne suis pas comme ça. Je conviendrai à merveille ... Je serai parfaite.

Entre ses hésitations et sa voix qui se faisait beaucoup moins puissante, j'étais maintenant sur qu'elle était réellement à ma merci, plus rien ne pouvait m'empêcher de changer la fifille toute fière d'être dans une famille de bourge en fille intelligente qui réaliserait la stupidité de sa dite famille. Je me sentais serein, même si ce que je faisais n'était peut être pas étique ou ressemblait à de la manipulation,oui c'était de la manipulation mais c'était pour son bien, qu'elle ne reste pas dans son monde au sang pur, qu'elle ouvre les yeux.

J'allais le faire, un geste, un mot et elle était brisé pour de bon. J'entrouvris la bouche, m’apprêtant à l'achever quand elle se colla à moi et plaqua ses lèvres contre les miennes avec une hargne que je ne pouvais expliquer. Cependant il me fallut un petit moment pour réaliser que celle qui, dix minutes plus tôt, m'engueulait parce que je lui avais fait un rapide baiser était elle même entrain de m'en faire un. Je ne reviendrais sur le côté comique de la chose qui m'aurais fait hurler de rire si j'avais pus. Je me contentai d'en profiter pour réfléchir à la situation qui était des plus plaisante pour moi. La pauvre était tellement perdu qu'elle ne se rendait surement même pas compte de ce qu'elle faisait.

Je posai alors ma main sur sa joue que je caressai tendrement puis, avec douceur pour qu'elle ne le remarque pas, je passai mon pouce sur son autre joue. La chaleur de sa peau me faisait du bien et en même temps je sentais comme des picotements dans mon estomac qui me faisait regretter ce que je m’apprêtais à faire. D'un coup je resserrai ma prise et la fit reculer peu à peu. Mon regard sévère et ma poigne de fer devaient en dire long sur mon état d'esprit, ou du moins faisaient croire que j'étais en colère même si la vérité était autre.

- Tu ferais mieux de garder ça pour ton futur époux chérie. Tu me demande pourquoi il te maltraiterait ? Mais tout simplement car tu n'auras pas un mari doux, tendre et plein de gentillesse envers toi. Non, tu tomberas sur quelqu'un de fort, de beau mais comme on ne peut tout avoir il ne brillera pas d’intelligence. Oh mais pardon, excuse moi tout vas bien puisque tu seras heureuse... Vraiment ? Si cette vie te vas, c'est que tu a changé. Car la fille que j'ai connu il y a longtemps était différente et jamais elle n'aurait accepter cette vie, jamais elle ne se serait laissé faire, elle n’aura pas laissé sa vie guidé par les autres !

J'étais crus dans mes paroles mais je voulais la forcer à ce réveiller, chose qui était loin d'être aisé. Cependant j'avais confiance en moi et je savais qu'elle se souviendrait sa jeunesse, notre jeunesse. Quand je pense qu'en grandissant on a échanger nos places, elle qui était la plus active face à moi, le plus posé. Je me suis lâché, elle c'est reprise, bref on a changés.

- Mais tu reste ma cousine, je ne voudrais pas que tu te battes sans être préparé. Puisque tu veux tant que ça savoir ce qu'est un combat, je vais te l'apprendre. Et tout commence... par la douleur

Tandis que ma main était descendu sur sa gorge et que je la serrais pour qu'elle ne tente rien de stupide, je serrai mon poing de toutes mes forces. Je levai lentement mon poing et mis un grand coup en direction de son abdomen. Le coup parti vite et j'ai eu du mal à m'arrêter. Je la sentis se crisper tandis que mon poing s'arrêta à deux centimètres de son ventre. Je lui fis de nouveau un sourire moqueur et reculai lentement mon poing. De plus je lâchai sa gorge, collé au mur, et l'attrapais par les hanches, toujours aussi amusé.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Jeu 12 Sep - 20:27

Adélaïde évacuait toute sa rage et sa colère dans l'étreinte. Jamais elle n'avait embrassé ainsi. Et à vrai dire, jamais elle n'avait fait le premier pas, comme elle venait de le faire avec son cousin. Mais elle devait le faire taire. Lui et ses pensées de traître à son sang. Trop embrumée dans le baisé, elle ne sentie pas les gestes tendres de Night, la caresse sur sa peau. Tout ce dont elle avait conscience, c'était de leurs lèvres qui mouvaient avec force l'une contre l'autre. Essayant chacune d'avoir le dessus.

Adélaïde aurait pu rester longtemps ainsi, même respirer ne lui semblait pas important ; mais ce n'était pas l'avis de son cousin, qui la repoussa avec force. Rouvrant les yeux doucement, ses émeraudes vinrent rencontrer le regard bleu de son aîné. Glacial et rempli de colère. Pétrifié, Adélaïde ne dit rien, et ne fit aucun mouvement. Réalisant seulement le geste qu'elle venait d'avoir.

Elle n'écouta le blond que d'une oreille distraite. Elle ne s'expliquait pas son comportement, et se sentait terriblement honteuse.

- Tu ferais mieux de garder ça pour ton futur époux chérie. Tu me demande pourquoi il te maltraiterait ? Mais tout simplement car tu n'auras pas un mari doux, tendre et plein de gentillesse envers toi. Non, tu tomberas sur quelqu'un de fort, de beau mais comme on ne peut tout avoir il ne brillera pas d'intelligence. Oh mais pardon, excuse moi tout vas bien puisque tu seras heureuse... Vraiment ? Si cette vie te vas, c'est que tu a changé. Car la fille que j'ai connu il y a longtemps était différente et jamais elle n'aurait accepter cette vie, jamais elle ne se serait laissé faire, elle n'aura pas laissé sa vie guidé par les autres !

Il lui parlait de son enfance, et de sa personnalité à ce moment-là. Oui, quand elle était plus jeune, Adélaïde ne se laissait pas faire. Et n'aimait pas trop qu'on lui donne des ordres. Une petite princesse, qui dirigeait son petit monde, voilà comment on pouvait résumer son enfance. Mais c'était il y a tellement de temps. Tant de choses avait changé.

- Mais tu reste ma cousine, je ne voudrais pas que tu te battes sans être préparé. Puisque tu veux tant que ça savoir ce qu'est un combat, je vais te l'apprendre. Et tout commence... par la douleur

La douleur. Adélaïde écarquilla les yeux de terreur. Il voulait lui enseigner la douleur ?! Non. Terrifiée et incapable de faire le moindre mouvement pour se défendre, elle vit son cousin approcher sa main de son cou pour le serrer comme pour l'étrangler. Non, Adelaïde ne pouvait croire qu'il oserait lui faire mal. Tremblante, et au bord de la panique, elle retient sa respiration. Et bien qu'elle ne dit rien, ses yeux vert suppliait son cousin de ne rien faire. Mais son cousin leva son poing et le lança en direction de son ventre. Appréhendant l'impact, Adélaïde se contracta. Mais rien de vient. Il s'était arrêté à temps, à quelques centimètre de son abdomen.

Les larmes au bord des yeux, et le cœur au bord des lèvres, Adélaïde tremblait de tous ses membres, qu'il était impossible pour son cousin de ne pas le remarquer. Et il devait certainement s'en réjouir d'avoir tant d'emprise.

« Fou. Tu es complètement fou » murmura Adélaïde d'une voix éteinte.

Elle venait d'avoir la peur de sa vie. Et lui, il souriait comme un dément, semblant s'amuser de la situation. Adélaïde regrettait d'être venue dans cette ruelle. Regrettait d'avoir voulu faire la maligne tout à l'heure, elle aurait du s'enfuir alors qu'il en était encore temps. Mais elle ne se faisait pas d'illusion, quand bien même c'était son cousin qui était dos au mur, ses mains sur ses hanches prouvaient sa supériorité. Et puis même si elle aurait voulu s’enfuir, elle n'était pas sûre d'arriver à courir, tant ses jambes semblaient s'être transformée en coton, et puis Night aurai sans doute vite fait de la rattraper.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Ven 13 Sep - 17:02

Je la sentis tremblante, paniqué, j'avais dépassé les bornes. Jusqu'à maintenant la situation me faisait rire, seulement il ne suffis de voir la terreur dans ses yeux qui étaient sur le point de pleurer pour comprendre que je n'étais pas moi même. Depuis le début je me trompais, elle devint ma victime, victime de la haine que j'éprouvais pour notre famille. Je vis ses lèvres bouger, je sentis un souffle, ses paroles était si basse que j'avais eu du mal à les comprendre.

- Fou. Tu es complètement fou

J’eus un déclic, ces mots me firent réaliser à quel point j'avais tort et surtout ils me firent réaliser qu'à force de détester notre famille, je devenais comme eux. J'étais devenus un monstre et je me devais de changer, de rectifier le tir. Je passai mes bras autour de ses épaules et la serrai contre moi de toutes mes forces, sa tête contre ma poitrine, il était impossible qu'elle n'entende pas mon cœur qui battait à toute vitesse. En temps normal notre ce qu'il c'était passé m'aurait fait rire étant donné qu'il y a deux minutes je m’apprêtais à la frapper et maintenant je la serrais contre moi, cependant je ne riais pas, j'en étais incapable. Tout ce que je pouvais faire c'était lui  frotter le dos d'une main et lui caresser les cheveux avec l'autre.

Je ne savais pas ce qu'il pouvait bien lui passer dans la tête mais je refusais de bouger, je me sentais bien pour la première fois depuis longtemps. Au final elle était la seule qui m'avait manqué, la seule à qui je pensais jour et nuit, la seule qui me faisait regretter la fuite précipiter, un soir d'hiver.

C'est alors que je me remémorai le soir de notre fuite, mon père qui vint me réveiller en pleine nuit, m'ordonnant de m'occuper de ma sœur et de préparer nos affaires. Je me souvins que je l'avais réveillé dans son lit, je l'avais limite trainé de force pour qu'elle se dépêche elle qui ne comprenait pas ce qu'il se passait, la pauvre. Notre mère arriva et nous fit traverser de multiple couloirs, mais elle m'attendis. Elle m'attendit quand j'avais pénétré dans la chambre d'Adélaïde, je voulais la réveiller mais je ne pouvais pas, je m'étais contenté de lui faire un bisou sur le front etje partis au pas de course.

Puis avec mon père nous avons charger les bagages et avons fuis aussi vite que nous le pouvions, partis pour une nouvelle vie, loin de ma cousine, loin de tous. Je sentis des larmes couler le long de mes joue et baissai les yeux pour me retrouver le nez dans la magnifique chevelure de ma cousine.

- Oui, je suis fou... Tu sais, je ne sais pas comment aurais été la vie si.. si j'étais rester mais je ne regrette rien. Non je ne regrette rien car toute cette histoire m'aura fait grandir, je suis fière de ce que je suis devenus et pourtant, tu avais toujours eu une place dans mon cœur. Après tout, tu étais peut être l'une des leur mais tu restais ma cousine, celle avec qui j'avais partagé des moments... magiques

Je resserrai mon étreinte et déposai un doux baiser sur son front avant de plonger mon regard dans ses yeux fait d'émeraudes. Je la serrai de nouveau pendant quelque secondes et la relâchai peu à peu, attendant de voir une quelconque réaction de sa part, mais j'avais peu d'espoir, elle aurait put m'enlacer comme me frapper.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Ven 13 Sep - 20:06

Adélaïde sursauta lorsque son cousin passa son bras sur ses épaules, toujours crispées, elle attendait que vienne un coup, une insulte, ou quoi que ce soit d'autre. Mais rien ne vient. Elle avait sa tête posée sur la poitrine musclée de Night et sentait son doux parfum. Elle pouvait même entendre battre son coeur, à un rythme assez élevé.

Il la tenait ainsi, tout simplement. Elle se détendit légèrement, en sentant une main venir lui frotter le dos et lui caresser doucement les cheveux. Adélaïde ne comprenait plus rien. Un coup il voulait la frapper, un coup il était tendre. Un coup elle lui hurlait dessus, celui d'après elle était terrifiée à deux doigts de pleurer. Le yo-yo de ses sentiments ne semblait plus vouloir s'arrêter, et sa tête avait dans l'idée de tester la résistance de ses nerfs.

Préférant ne pas faire le moindre mouvement, pour ne pas contrarier le garçon, Adélaïde le laissa la serrer dans ses bras, n'osant pas lui rendre son étreinte. Gardant ses bras le long de son corps. Ils restèrent un long moment enlacer, sans qu'aucune parole ne s'échange. Adélaïde se demandait à quoi pouvait bien penser le garçon, pour sa part, elle essayait d'ordonner et reprendre le contrôle de ses sentiments, chose qui semblait se tenir hors de sa portée.

Enfin, Night prit la parole après avoir respiré l'odeur de ses cheveux.

- Oui, je suis fou... Tu sais, je ne sais pas comment aurais été la vie si.. si j'étais rester mais je ne regrette rien. Non je ne regrette rien car toute cette histoire m'aura fait grandir, je suis fière de ce que je suis devenus et pourtant, tu avais toujours eu une place dans mon cœur. Après tout, tu étais peut être l'une des leur mais tu restais ma cousine, celle avec qui j'avais partagé des moments... magiques

Oui, c'est vrai. Ils avaient dans leur passé commun des moments magnifiques. Adélaïde aurait pu les chérir si elle n'avait pas tant haï son cousin pour son départ. Et en plus il parlait au passé : 'avait toujours eu une place dans mon cœur'. Une place qu'elle avait perdue apparemment. Et pourtant, Elle n'avait rien fait. Ce n'était pas elle qui était partie. Ce n'était pas elle qui l'avait lâchement abandonné. Légèrement amère et encore plus dégoûtée, elle ne put empêcher son cœur se serrer douloureusement. Et puis il était content d'être parti. De l'avoir laissé seule. Il ne regrettait rien. Adélaïde aurait préféré qu'il en soit autrement. Qu'au moins il regrette leurs moments passé ensemble ... Tous les moments merveilleux qu'ils auraient pu continuer à construire à deux.

L'étreinte se resserra pendant quelques secondes, le temps qu'un baisé se pose sur le front de la jeune fille. Après avoir plongé son regard dans les yeux de son cousin, elle enfouit son visage dans la chemise de Night, inspira avec force son odeur. Et lui murmura d'une voix d'où transperçait sa tristesse.

- Je n'ai jamais compris pourquoi tu étais parti. Pourquoi tu m'avais abandonné .

Elle se détacha rapidement de son cousin, qui avait relâché son étreinte, et fit un pas en arrière. Elle regrettait déjà ses derniers mots. Elle n'avait pas voulu se sentir démunie et tant attrister par la trahison de Night. Elle secoua doucement sa tête pour remettre ses idées en place. Et pour ne pas céder à sa peine, elle composa sur son visage un masque vide d'expression, qu'elle avait au cours de ces dernières années appris à maîtriser à la perfection.

- Je devrais mieux y aller. On n'a rien à faire ensemble. On est bien trop différent. Et puis s'Il apprend que je t'ai parlé...

Le Il faisait référence à son grand-père bien évidemment. Il avait des idées bien arrêtées, surtout en ce qui concerne les traîtres à son sang, et pouvait se montrer violent lorsqu'on ne rentrait pas le moule qu'il avait façonné à notre intention. Et s'il apprenait leur entrevue, Adélaïde en ferait les frais comme jamais il ne l'avait encore engueulé. Elle resserra sa cape de velours autour d'elle, en sentant un frison la parcourir. De penser à une potentielle réprimande faisait toujours son effet sur Adélaïde. Mais ce frisson passerait certainement pour un simple refroidissement aux yeux de son cousin, après tout il commençait à faire froid dans cette ruelle, et la nuit était tombée. Elle allait arriver en retard à l'école, et se ferai sermonné. Mais qu'importe. Elle était tout de même contente de l'avoir revue. Et bien qu'elle venait d'annoncer son départ, au fond d'elle, elle n'était pas pressée de quitter le garçon, sachant bien qu'elle ne le reverrait certainement pas par la suite.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Mer 18 Sep - 14:24

Malgré mon étreinte, elle restait frigide, pas plus ému que ça par ce qui pour moi semblait être la preuve que je tenais encore à elle. J'aurais voulu que l'on reste comme ça encore des années, que l'on rattrape le temps perdu, après tout peut être que tout aurais été différent si j'étais rester, si j'avais eu le courage de tenir tête à mon père. Elle se serra contre moi, le visage enfoui dans ma chemise sous ma cape et prix une grand inspiration. Je sentais qu'elle n'était pas bien, qu'elle était triste, désemparé.

- Je n'ai jamais compris pourquoi tu étais parti. Pourquoi tu m'avais abandonné

Sa voix était tremblante, fébrile, tout comme elle. Mon cœur se serra en entendant ses mots, moi qui avais toujours penser que je ne lui manquai pas; qu'elle avait tourner la page. Je me sentais bête, mes force me perdais, j'aurais voulu lui parler plus mais elle ne semblait pas du même avis. Elle fit un pas en arrière et affichait un visage autre de ce que j'espérais ou en tout cas de ce à quoi je m'attendais. Son visage était neutre, sans aucune expression, rien ne trahissait ses pensées. Ce n'était pas mon cas, même avec toute l'énergie du monde je ne pouvais lui cacher mes sentiments, mes remords. J’osais à peine lui adresser la parole, lui adresser ne serait ce qu'un regard tellement je me sentais mal, coupable.

- Je devrais mieux y aller. On n'a rien à faire ensemble. On est bien trop différent. Et puis s'Il apprend que je t'ai parlé...

Moi qui étais sur un petit nuage depuis le début, mon retour à la réalité fut brutal. Je levai mes yeux au ciel pour découvrir que le soleil couchant avait déjà laisser sa place à une lune éclatante. Il était clair que si je me faisais chopper à rentrer à cette heure ci, je serais bon pour une bonne grosse punition, mais peu m'importais pour le moment. Elle avait dit "Il", elle faisant surement référence au vieux fou. Je comprenais où elle voulais en venir, si jamais par je ne sais quel moyen il apprenais notre rencontre, elle se ferait taper sur les doigts... À moins qu'elle est été envoyer ici pour me surveiller justement ! Cela expliquerait sa présence à Poudlard ! Ouais nan c'est pas crédible en faite, ce ne serait que m'accorder trop d'importance et si il l'avait vraiment voulu, il n'aurait pas envoyer ma cousine. Mais je ne voulais pas la laisser partir, je ne voulais pas en rester là. Quoique je pourrais toujours la revoir plus tard. Je la laissai partir et retournai à Poudlard. Je rentrai discrètement et montai directement dans mon dortoir sans passer par la case repas.


[Fin du RP]
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Pandora Forester, le  Mar 29 Oct - 18:38

PV Jessica Soyer




Près-au-Lard. Wow. Je n'avais pas mis les pieds ici depuis combien de temps ? Deux, trois ans ? Rien n'avait changé. Des élèves, par centaines, qui arpentaient les rues bondées, avec dans leurs mains des sacs remplis de bonbon achetés à Honey Dukes, de la Bierreaubeurre et des jouets venant de la boutique de farces et attrapes Waddiwasi (mon magasin préféré de l'époque, si mes souvenirs étaient bons). L'automne avait donné aux feuilles des arbres des teintes rouges, vermeilles et oranges, donnant un air plus que magique à cette petite bourgade. Le soleil qui commençait à décliner dans le ciel faisait briller les pavés sur le sol et luisait contre les vitrines. Une légère brise caressait les personnes présentes et faisait voler les cheveux détachés de filles. Le château, situé en hauteur, dominait de toute sa splendeur le bourg, et les pierres de ses murs étaient éclairées par les doux rayons de l'astre. Des nuages, roses, se reflétaient sur les fenêtres de la Grande Salle.

Je fermai les yeux. J'étais chez moi. J'étais à la maison. Poudlard. Là où j'avais vécu tant d'années, où j'avais vécu mille aventures et où j'avais passé les plus belles années de toute ma vie entière. Mon cœur se serrait quand je fixai l'école de sorcellerie. Me dire que je ne pouvais plus revenir en arrière, que je ne pourrai plus remettre les pieds là-bas et savoir que d'autres occupaient mon dortoir, les salles de cours et mangeaient de somptueux dîners, le soir, me rendait malade. J'inspirai un grand coup et m'humectai les lèvres. Je paraissais surement bien belle, droite et raide comme une planche, les mains dans les poches de ma chemise à carreaux, le regard ému, un sourire nostalgique et mesquin aux lèvres, comme si je retrouvais un vieil ami, perdu et oublié. Les gens me contournaient et ne me jetait même pas un regard. Moi non plus d'ailleurs. Les bruits extérieurs ne me parvenaient même pas aux oreilles ; j'étais dans ma bulle, dans mon monde.

Néanmoins, il fallait bien que je sorte de ma torpeur. Je clignai plusieurs fois des yeux, avec regret et avec un dernier regard à ce lieu, dont je me souviendrais toujours, je me retournai et me mis à marcher. J'évitai soigneusement les anciens élèves que je connaissais, ayant été Préfète, ils allaient surement me reconnaître. À cette pensée, j'eus envie de rire. Je me souviens comment je martyrisais les premières années qui faisaient une bêtise et comment je réprimandais tous les Serpentard qui se trouvaient sur mon chemin. Je l'avoue, à cette époque, j'en avais bien profité, du fait que j'avais un certain grade et une certaine autorité. Peut-être un peu trop... Ne voulant pas parler et ne pas m'engager dans une conversation qui n'allait pas en finir, je baissai la tête, prenant le soin de mettre mes cheveux sur le côté, pour cacher la majorité de mon visage. Après le bar des Trois balais, je bifurquai à droite, dans une ruelle.

Je levais les yeux. Je me souvenais de cette rue. D'habitude, elle était complètement vide, sombre et sale. Et je fus surprise en me rendant compte qu'elle ne l'était pas. Pour une fois, le soleil perçait et venait inonder de lumière tout le côté gauche. Il n'y avait quasiment pas de détritus et on pouvait apercevoir parfaitement le lac Noir, vers le fond. Satisfaite, je nouai mes cheveux en un chignon désordonné, d'où des mèches s'échappaient et je ne me dirigeai plus loin que du croisement par lequel je venaient de déboucher. Je regardai ma montre tout en accélérant le pas. Il fallait que j'arrive à l'heure pour ne pas être en retard. J'avais prévu une sortie avec des amies, et si j'étais encore en retard, j'allais encore me le faire reprocher. Mes converses délavées, défoncées et les lacets noués n'importent comment foulait le sol avec rapidité. Je ne regardai toujours pas devant moi, les yeux rivés sur les aiguilles. Je relevai mes iris au dernier moment, me préparant à transplaner, quand BOUM ! La collision.

Un liquide chaud se déversa sur ma chemise, et je poussai un petit cri d'indignation. J'examinai les dégâts, avant même de hurler sur celui ou celle qui venait de commettre cette erreur irréparable. C'était du café. Super, le plus dur à faire partir, même avec l'aide de la magie. Je serrai les dents et criai sur l'idiote blonde en face de moi :

-Non mais oh ! Tu pouvais pas regarder où tu marches, imbécile !?


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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Sam 2 Nov - 15:52

Jessica gambadait joyeusement dans les rues de Près-au-Lard, ses deux longues couettes se balançant au rythme de ses pas, en tenant un termos avec du café à l'intérieur. La jeune fille était rentrée dans toutes les boutiques de la bourgade et son sac à dos plein à craqué en était la preuve. Elle s'arrêta un instant, sortit des patacitrouilles et un gnome au poivre acheté à Honeyducks avant de reprendre sa marche, sautant sur les trottoirs, attrapant une fleurs, marchant sur les bancs et reprenait une friandise de son sac. Soyer était effectivement de très bonne humeur par cette journée d'automne, d'accord elle avait un peu froid mais elle s'en fichait un peu et sa petite promenade la réchauffait. La jeune fille essayait de ne pas pensée à la montagne de devoirs qui l'attendait au château et elle s'éloigna un peu plus de Poudlard. Elle se glissait dans les rues, saluait les quelques personnes qu'elle croisait. Puis elle se mit à courir, elle avait besoin de bouger. Elle se rendit compte trop tard qu'elle ne savait plus ou elle était. Légèrement inquiète, la rouge et or se disait que retrouver son chemin dans un village comme celui-ci était un jeu d'enfant. Avec une petite mine satisfaite la gryffonne se promit de demander comment regagner l'école à un passant. Elle allait bifurquée dans une rue quand BOUM quelque chose lui rentra dessus et le choc dû lui donner une belle bosse sur le front. La chose -plutôt la personne- se retrouva taché de café. Aie, elle avait oublié de fermé le termos. D'ailleurs qu'est ce qu'elle foutait avec cette boisson?! Elle se massa la tête et s'apprêta à demander à la femme si elle elle bien quand celle-ci poussa un cris d'indignation qui fit sursauté la blonde.

-Non mais oh ! Tu pouvais pas regarder où tu marches, imbécile !?, hurla la rouquine.

La Gryffondor devint rouge de colère. Nan mais oh ! C'était elle qu'il lui avait rentrer dedans, d'abord! Pour qui elle se prenait aussi, pour la traiter d'imbécile?! Elle s'apprêtait à lui crier dessus quand une lueur malicieuse s'alluma dans son regard. Avec un demi-sourire, Jess se plaça devant la rousse et déclara d'une voix calme -qui la surprit elle même- :

- Je te ferais dire que c'est toi qui me suis rentrée dedans. Et puis estime toi heureuse que je ne te fasses pas repayé mon café! Je me déplacerai pas tant que tu m'auras pas présenté des excuses.

La franco-britannique planta ses pieds sur le sol.
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Pandora Forester, le  Dim 1 Déc - 16:40




Le café était brûlant, et c'était compliqué de garder son calme. Je pinçai les lèvres suite à la remarque insolente de la blonde en face de moi. J'eus une sérieuse envie de la claquer très fort, avec son visage angélique et ses cheveux parfaitement bien coiffés. Elle était à Poudlard, c'était sans équivoque, cela se voyait. Elle devait avoir quinze ou seize ans mais paraissait plus jeune, surement à cause de ses manières enfantines (se promener en sautillant sans regarder ou elle allait par exemple) et de son sourire scotché sur la face. Je ne pouvais pas saquer ce genre de fille : heureuse et bien dans leur peau. En fait, dans le fond, je les enviais un peu, cela allait de soi, moi qui étais dans une période sombre de ma vie, et qui préférait la solitude à n'importe quoi d'autre. Elles étaient tout ce que je n'étais pas, tout ce que je voulais un peu être, cela était surement pour ça que j'avais du mal à les encadrer. Pourtant, ce n'était pas volontaire, je le jure.

Je retirai ma chemise pour laisser dévoiler un débardeur blanc, avec un mouvement agacé devant les yeux de l'autre. C'était tout collant et ça avait une odeur immonde (je détestai tout ce qui avait un lien avec la caféine, mais à part certains sodas). Je fis une grimace puis mis autour de ma taille mon beau chemisier que j'avais payé la peau du c*l. Une raison de plus d'être énervée. Je toisai ensuite la gamine :

-Tsss... Tu crois vraiment que je vais te racheter ton café ? Mais oui, bien sur. Allez, maintenant, pousse toi, allez !




[Désolée de ce petit RP...]
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Jeu 19 Déc - 8:45

La blonde regarda un instant la rouquine, un sourire moqueur peint sur le visage. Mais ce qui était le plus drôle pour la rouge et or c'était la tête qu'affichait la jeune femme en face d'elle. Cette dernière semblait prête à la baffer. Beurk. Dégeu, ce café, aussi. Son sourire s'élargit lorsqu'elle vu cette dernière enlevé son chemisier pour le mettre autour de sa taille. Elle se sentit un instant coupable, elle avait du le payer cher, ce chemisier... Mais ce n'était pas de sa faute ! C'était elle qui lui était tombée dessus d'abord !

- Tsss... Tu crois vraiment que je vais te racheter ton café ? Mais oui, bien sur. Allez, maintenant, pousse toi, allez !

Jessica croisa ses bras contre sa poitrine. Et prit son petit air de la fille pourrie-gâtée et se croyant supérieure aux autres. Pas qu'elle l'était réellement, non, bien sûr que non. Mais avec le cas de la rousse ça l'amusait de la mettre hors-d'elle. Et puis qu'est ce qu'il pouvait lui arriver ?  Ni elle ni l'autre ne connaissait leurs noms respectifs et elles ne se reverraient sans doute jamais.

- Et bien non. Moi, on m'a appris à tenir parole. J'attend toujours vos excuses, dit-elle. J'ai tout mon temps vous savez, continua t-elle.

E
t comme pour souligner cette dernière phrase elle laissa tomber son sac près d'elle et entreprit de se ronger les ongles.

[T'inquiète le mien est pas mieux. On se rattrapera la prochaine fois. Wink
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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Kyara Blanchet, le  Mar 21 Jan - 11:22

[Plus d'un mois sans réponse je me permet de commencer un nouveau rp - Pv Charli]


Bras dessus, bras dessous, Kyara et Charli marchaient en zigzag depuis quelques minutes déjà. Avant de sortir au château, ils avaient fait une pause aux toilettes. D'une, parce que la brune avait un besoin pressant et de deux, car elle avait planqué de l'alcool dans une de ses cachettes, derrière un des miroirs. Il fallu dix minutes à la serpentard pour faire ce qu'elle avait à faire, parce qu'en étant soûle tout était différent. En sortant des toilettes, une bouteille de rhum à la main, elle avait trouvé Charli en pleine conversation avec une des armures du château, tentant de la draguer. Alala, il était complètement pété !

Après cet épisode, le duo avait quitté le château afin de se rendre à Pré Au Lard. Vu que c'était encore l'après midi, ils n'enfreignaient aucunes règles ou peut etre d'être bourrés, mais ça c'était une autre histoire. Ils étaient en quête du touriste. Dans les rues, ils avaient demandés à des passants, mais les réponses n'étaient pas concluantes. Exaspérée tout en buvant du rhum avant d'en passer à Charli, Kyara l'entraina alors dans une rue sombre. Ambiance ambiance. Avançant, elle se mit alors à parler au serpentard.

- Tu crois qu'il est ici ? Oooh, regarde là bas, de la lumièreee ! Qu'elle est belle ! Il doit être là ! On y va ? Hein ? hein ?

Tout en suppliant l'ancien prefet, Kyara lui secoué le bras tout en sautillant. Elle ne lui épargnait rien en somme, mais ce n'était pas bien grave.

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Re: Deux bouteilles et une rue sombre.
Invité, le  Jeu 23 Jan - 16:11

Kyara et Charli avaient bien amoché la bouteille et vu l'état dans lequel ils étaient, ça se voyait bien. Ils n'allaient plus vraiment très droit mais ce n'était absolument pas de leur faute puisque le chemin qu'ils empruntaient avait décidé de bouger pour leur faire une petite blague. Un vrai vicieux ! Avant de partir à la recherche du fleuriste, les deux serpents avait du s’arrêter aux toilettes afin d'évacuer tout ce qu'ils avaient bu. Charli expédia la chose en quelques secondes et du alors attendre Kya qui prenait tout son temps. Ahlala, les femmes.. Du coup, en l'attendant, il vit l'armure qui était posé dans le couloir sauf qu'elle le regardait avec un air mauvais, trop mauvais à son goût. Sans aucuns scrupules, il arriva droit en face de lui et commença à lui dire ses quatre vérités. Finalement, les choses se passaient plutôt bien entre eux puisqu'ils avaient réussi à trouver un compromis et l'ancien préfet pu faire son Charli.

Une fois sortit des toilettes, les deux zigottos se remirent en route vers Pré-Au-Lard, une nouvelle bouteille en main. Charli n'était apparemment pas le seul à savoir quelques petites cachettes dans le château, enfin heureusement d'ailleurs. Les années auraient été tristes sinon. Les deux sorciers avaient demandé partout sur leur passage où se trouvait le fleuriste et personne n'avait su leur répondre. Peut-être était-ce surtout parce qu'ils ne les pensaient pas très nets vu leur état. Pourtant, pour eux, tout roulait pour le mieux et ils se sentaient même très bien.

- Tu crois qu'il est ici ? Oooh, regarde là bas, de la lumièreee ! Qu'elle est belle ! Il doit être là ! On y va ? Hein ? hein ?

Kyara était en train d'arracher le bras de Charli à force de sautiller après lui mais le rhum qu'il buvait en ce moment lui permettait de ne plus sentir la douleur et s'en rendit même pas compte. Mais c'était vrai que la lumière était tentante, c'était un peu comme si on voulait aller dans la lumière pour pouvoir répondre à la grande question sur la vie, l'univers et le reste. Bon, pour la vie, c'était assez simple, il y avait le kiwi. Mais sinon, c'était bien évidemment 42.

- 42 ! Ouaaais ! J'suis sûr qu'le fleuriste il est la bas, c'est 42 qui l'a dit !

Avant de se mettre en route, Charli choppa son amie et la fit grimper sur son dos ! Il avait envie de faire une course. Même si ils n'étaient que deux, donc qu'un seul cheval et son cavalier, il y avait tout de même quelqu'un à défier, son ombre. C'était le moment de découvrir si le serpentard était tel Lucky Luke ! Trois, deux, un, gooooooo.

- Tayoooooooooo !

C'était super difficile pour le garçon parce que la route n'allait pas droite du tout et c'est même super fort parce qu'à l'arrivée, Kyara était toujours en scelle. La force était avec eux, c'était obligé sinon cela aurait fait longtemps qu'ils se seraient retrouvés les quatre fers en l'air. Sinon, pour la course, Charli était content parce que son adversaire avait déclaré forfait. D'un coup, pouf, l'ombre avait disparut comme par magie ! Et pourtant, il avait rien fait pour la faire disparaître. Le serpentard déposa Kyara sur le sol avec un peu de mal et quelques secondes plus tard, il aperçut quelqu'un. Han. Et si c'était lui le fleuriste ?

- Bonjouuuuuuuuuur ! Est-que c'est vous l'fleuriste dîtes ?
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