Sirius avait déjà prit conscience que sa question avait jeté un petit froid sur les deux personnes face à lui. En effet, ils étaient en train de manger et il avait prit la peine de les déranger. Il regretta presque son acte, mais de toute façon, il ne pouvait plus faire marche arrière. Même s'il y était allé seul, il aurait sûrement eût des ennuis par la suite. Donc avoir de l'aide de quelqu'un n'était pas forcément une mauvais chose, bien au contraire. Il garda sa baguette dans la main au cas où quelque chose pourrait éventuellement se produire et le fameux livre qui l'avait mené jusqu'ici dans l'autre main.
C'est alors qu'un des deux jeunes hommes répondit :

- Euh... Bonjour Sirius, je suis Andy Potter et je suis en septième année dans la maison Gryffondor moi aussi. Assis toi et dit nous en quoi est-ce que l'on peut t'aider.

Alors comme ça, il y avait au moins un Gryffy de présent et en septième année. Cela pourrait être fortement utile dans la forêt, car Sirius ne connaissait pas vraiment les sortilèges appropriés pour ce type de visite. Toutefois, le fait que le dénommé Andy lui propose de s'assoir l'étonna un peu, d'autant plus qu'il y avait une autre personne. Justement, cette dernière répondit aussi :

- Bonjour Sirius, moi c'est Allan Parker. Je suis en sixième année à Serpentard. Tu as besoin de nous pour quoi ?

Ainsi, il était de Serpentard... Sirius eût un mouvement de recul, mais il avait décidé de ne pas se défiler pour cette fois. La voix douce de ce Allan le mit un peu en confiance, car il avait l'extrême habitude d'être embêté par les autres Verts et Argents.
Allan lui avait proposé de s'assoir et il s'exécuta finalement dans le but de pouvoir s'expliquer avant toutes autres choses. Il rangea également sa baguette dans un endroit prêt à s'en servir au cas où, encore une fois. Il contempla les deux personnes en face de lui et se sentait vraiment ridicule à côté de ces derniers. Oui, il n'était qu'en première année lui.
Il parla alors :

- Tout d'abord, je m'excuse d'interrompre votre déjeuner, commença-t-il, mais je souhaite aller dans la forêt interdite.

Effectivement, sa demande pouvait être un peu déplacée, mais il était prêt à les supplier si nécessaire. Le fait qu'il y ait un Serpentard ne le gênait plus vraiment désormais. Après tout, il avait aussi son ami Wilum Kyle dans cette maison et tous deux s'entendaient très bien. Il enchaina :

- Je suis tombé sur un livre très intéressant qui dit qu'il y a un objet aux propriétés magiques assez extraordinaires dans la forêt. Et comme je redoute énormément d'y aller tout seul, je me suis dit que vous pourriez m'aider à trouver cet objet là-bas...

Il avait presque l'impression d'être pathétique, il s'en rendait bien compte. Toutefois, il espérait grandement que les deux jeunes hommes accepteraient volontiers sa demande.

Naturellement, je me rapprochais de Allan pour poser ma main sur son genou alors que le rouge et or faisait un mouvement de recule quand mon petit ami lui avait apprit qu'il était à serpentard. Je regardais "l'intrus" assez méchamment alors qu'il s'installait sur la nappe que moi et le vert et argent partageons ensemble il y a de cela encore quelques secondes.

Je savais que je n'avais rien à craindre du dénommer Sirius, mais une partie de moi ne pouvait pas s'empêcher de protéger le serpentard et ainsi de "marquer" mon territoire.

- Tout d'abord, je m'excuse d'interrompre votre déjeuner, commença-t-il, mais je souhaite aller dans la forêt interdite.

Au moins, personne ne pouvait lui reprocher de tourner autour du pot. Il était clair net et précis dans ce qu'il disait. Mais malgré tout, ses paroles me rassurèrent. Me détendant, j'enlevais ma main du genou d'Allan pour mettre des œufs au plat et du bacon dans mon assiette et manger cette délicieuse nourriture alors que le Triton nous expliquer la raison de sa soudaine envie d'aller s'aventurer dans les bois.

- Je suis tombé sur un livre très intéressant qui dit qu'il y a un objet aux propriétés magiques assez extraordinaires dans la forêt. Et comme je redoute énormément d'y aller tout seul, je me suis dit que vous pourriez m'aider à trouver cet objet là-bas...

Oui, je l'avoue ce petit gryffondor venait d'éveiller ma curiosité. Après tout, ce n'était pas banal un objet magique caché dans la forêt interdite. Et ce serait complètement irresponsable de ma part de laisser un premier année de ma maison se balader seule dans cette forêt aussi flippante et dangereuse le jour que la nuit.

- Je suis désolé Allan, mais il a piqué ma curiosité juste là où il fallait. De plus, il serait totalement irresponsable de ma part de laisser un premier année se promener dans la forêt... Je vais donc devoir annuler notre journée en tête-à-tête. Dis-je avec un regard d'excuse. Après un moment, je me tournais vers le rouge et or. Je veux bien t'accompagner, mais en échange si l'objet existe vraiment je veux pouvoir l'utiliser au moins une fois.

Soupirant, j'enfonçais une fourchette de bacon dans ma bouche afin de le mâcher lentement pour en profiter un maximum et l'avaler. Un soupir de bien être traversa ma bouche en sentant la nourriture remplir mon estomac. Avant de manger une fourchette d'oeuf, je me tournais à nouveau vers Allan pour dire :

- Je suis vraiment désolé bébé, mais ce n'est que partie remise... Promis, je me rattraperais ! Dis-je avant de manger ses délicieux œufs qui ne demandaient qu'à finir sa route dans un de mes organes permettant la digestion.

Quand Allan sentit la main de son griffon sur sa cuisse il sourit et posa la sienne pour caresser la peau de son fiancé. Le Serpentard sourit tristement quand il remarqua le mouvement de recule du plus jeune. Il y avait toujours ces stupides préjugés qui persistaient. Le Parker soupira légèrement et ricana intérieurement devant l'attitude de son petit ami.

- Tout d'abord, je m'excuse d'interrompre votre déjeuner, mais je souhaite aller dans la forêt interdite.

Allan écouta le jeune griffon, au moins il était sincère. Le vert et argent eu un frisson quand la chaleur de la main de son amant quitta son genou. Il tourna son regard vers lui et laissa échappé un rire quand son griffon commença à mangé.

- Je suis tombé sur un livre très intéressant qui dit qu'il y a un objet aux propriétés magiques assez extraordinaires dans la forêt. Et comme je redoute énormément d'y aller tout seul, je me suis dit que vous pourriez m'aider à trouver cet objet là-bas...

Allan écouta attentivement le premier année, l'histoire l'avait intrigué, le jeune garçon avait piqué sa curiosité et visiblement aussi celle d'Andy car quand il lui jeta un regard, son amour semblait concentré sur les paroles du petit Gryffondor. Allan regarda Andy, il avait vraiment envie d'y allait. Il se demandait si cet instrument existait vraiment.

- Je suis désolé Allan, mais il a piqué ma curiosité juste là où il fallait. De plus, il serait totalement irresponsable de ma part de laisser un premier année se promener dans la forêt... Je vais donc devoir annuler notre journée en tête-à-tête. Je veux bien t'accompagner, mais en échange si l'objet existe vraiment je veux pouvoir l'utiliser au moins une fois.

Allan écouta son petit copain et sourit devant sa condition. Il rigola quand il mangea. Il lui embrassa sa joue et caressa légèrement ses cheveux. Il le trouva absolument adorable quand il s'excusa.

- Je suis vraiment désolé bébé, mais ce n'est que partie remise... Promis, je me rattraperais ! 

" Hey je te signal que moi aussi j'ai été intrigué. Je veux venir aussi ! Mais j'aimerais plus d'informations. À qui était cet instrument et puis tu es sûr que tout le monde peut l'utiliser ? Ne faut il pas un certain don et de l'expérience pour pouvoir contrôler le magie de cet objet ? "

Sirius se devait d'être clair dans ce qu'il disait. Pourquoi ? pour ne pas perdre de temps bien sûr. Mais il fallait également que l'une des deux personnes face à lui accepte sa proposition. Il tenait absolument à vérifier que l'objet en question existait réellement. C'est la raison pour laquelle il parla avec une telle avidité. Il avait aussi très peur, mais il savait qu'il serait en sécurité avec quelqu'un de bien plus âgé que lui. Toutefois, il observa bien les deux jeunes hommes pendant que lui-même parlait : Andy avait posé sa main sur le genou de Allan. Il sourit légèrement, mais il ne savait plus trop où se mettre, même si cela ne le gênait pas le moins du monde. C'est alors qu'Andy répondit :

- Je suis désolé Allan, mais il a piqué ma curiosité juste là où il fallait. De plus, il serait totalement irresponsable de ma part de laisser un premier année se promener dans la forêt... Je vais donc devoir annuler notre journée en tête-à-tête. Je veux bien t'accompagner, mais en échange si l'objet existe vraiment je veux pouvoir l'utiliser au moins une fois.

Visiblement le lion semblait réellement intéressé par l'objet en question. Après tout, beaucoup de personne le serait en fait ; d'après son humble avis. Il se sentait un peu embêté dans la mesure ou Andy voulait annuler son déjeuner avec son copain. Mais il avait une idée qu'il allait lui soumettre de toute façon, histoire que rien ne les perturbes davantage.
Il comprenait bien qu'Andy voulait utiliser l'objet au moins une fois. Mais Sirius n'était pas égoïste et il se disait qu'ils pourraient se prêter l'objet éventuellement afin de profiter de toutes les propriétés de ce dernier de manière globale.
Il reprit :

- Je suis vraiment désolé bébé, mais ce n'est que partie remise... Promis, je me rattraperais !

Sirius prit un air un peu pensif lorsqu'il avait dit cela. Il ne voulait pas les avoir déranger et il ouvrit la bouche pour dire quelque chose. Sauf qu'à ce moment là, ce fût Allan qui prit la parole en le devancent :

- Hey je te signal que moi aussi j'ai été intrigué. Je veux venir aussi ! Mais j'aimerais plus d'informations. À qui était cet instrument et puis tu es sûr que tout le monde peut l'utiliser ? Ne faut il pas un certain don et de l'expérience pour pouvoir contrôler le magie de cet objet ?

Sirius se redressa et se mit alors à réfléchir. Il regarda dans son livre ce qu'il y avait d'inscrit. Mais rien n'indiquait qu'il fallait avoir quoi que ce soit de spécial pour utiliser l'objet en question. Toutefois, il savait que l'objet appartenait à Godric Gryffondor, l'un des fondateurs du château. Il fallait bien voir ce que cela donnerait si un Serppy s'en servait après tout.
Sirius dit alors :

- Je suis désolé, mais rien ne l'indique d'après mes sources. Je sais simplement que l'objet appartenait à Godric Gryffondor, ajouta-t-il. Mais je pense qu'il peut servir à tout le monde et je suis prêt à vous le prêter si besoin. Je veux dire quand vous le voudrez, vous me le demanderez.

Il voulut toutefois qu'Allan et Andy terminent leur déjeuner histoire de ne pas les déranger de trop. Après tout, ils pourraient bien partir plus tard s'il le fallait. Il leur proposa alors :

- Comme je n'ai pas cours de la journée, vous pouvez quand même terminé votre déjeuner. Ainsi, nous pourrions partir après non ? dit-il.

Toute cette histoire promettait d'être des plus intéressantes même si à la base je devais juste passer une journée en tête-à-tête avec mon beau serpentard, cela ne me dérangeais pas vraiment de partir à la chasse au trésor avec un nouveau venu tant que le vert et argent y participe lui aussi.

- Et bien au point où nous en sommes tu peux soit manger avec nous, soit revenir dans ici en début d'après-midi. Proposais-je au jeune gryffondor.

Au plus profond de mon âme, une lueur d'espoir brillait pour que le rouge et or décide de revenir plus tard pour que je passe un peu de temps à cajoler mon petit ami. Mais je ne pouvais pas non plus en vouloir au plus jeune si jamais il choisissait de se joindre à nous, après tout c'est lui qui nous a demandé de l'aide.

- Si tu décides de rester avec nous, sache qu'il y a une règle. En aucun cas, je ne veux te voir reluquer mon petit ami. Dis-je avec sincérité et un regard qui promettait mille souffrances si cette règles n'était pas respectée.


HRPG: Je suis vraiment désolé du temps que j'ai mis à répondre et de la qualité du rp, mais je suis en pleine révision pour mon oral de français

Allan écoutait la conversation, cette histoire l'intrigué de plus en plus et en tant que musicien, il était tout excité de cette nouvelle aventure. Il décrocha peu à peu de la conversation en mangeant une pomme bien verte, c'était ses préférés, elles étaient juteuses et acides à souhait. Allan sourit doucement et fut sorti de ses pensées par la voix de son griffon.

- Si tu décides de rester avec nous, sache qu'il y a une règle. En aucun cas, je ne veux te voir reluquer mon petit ami.

Le serpentard s'étouffa à moitié avec un bout de sa pomme. Il toussa plusieurs fois et rigola doucement, ce qu'il pouvait aimé son griffon. Puis un flash lui vint et il sourit tristement en se souvenant de l'incident avec Seth, le vert et argent s'approcha de son fiancé et embrassa tendrement sa joue en lui soufflant un 'je t'aime' à l'oreille. Il posa sa tête sur l'épaule de son amour et sourit.

" Je pense que tu n'as rien à craindre, Sirius est en première année, l'est beaucoup trop jeune. Tu vas le faire fuir si tu continu !" dit le Parker d'une voix amusé.

Il adorait vraiment son griffon, même dans ses moments de jalousie et de possession, cela ne faisait que montrer au blond que son homme l'aimait plus que tout, bon en même temps la bague qu'il avait au doigt le montrait aussi mais bon.

Allan soupira de bien être en sentant la chaleur du corps d'Andy qui l'entourée ainsi que son odeur naturel. Bon il fallait vraiment qu'il se calme, s'il continuait il allait atteindre le point de non retour et le moment était franchement mal choisie ainsi que l'endroit, bien qu'ils l'aient déjà fait dans la forêt interdite.

Le jeune homme blond secoua sa tête pour chasser ses souvenirs qui faisaient chauffer son visage et qui donnait une adorable couleur rosée aux joues claires du Parker.

Sirius attendait patiemment une réponse du jeune Lion et de son copain le Serpent. Il savait qu'il était en train de les déranger un peu, mais il voulait absolument avoir de l'aide. De toute façon, ils pourraient trouver un compromis pour contenter tout le monde. Sirius tenait de nouveau sa baguette dans les doigts pour la faire tournoyer. Il se sentait drôlement en sécurité avec cette dernière bien qu'il ne connaisse que très peu de sortilèges. Il savait aussi qu'il n'aurait pas à s'en servir - du moins pas de suite - car il n'avait pas encore franchit le seuil de la forêt. C'est alors qu'Andy prit la parole :

Et bien au point où nous en sommes tu peux soit manger avec nous, soit revenir dans ici en début d'après-midi.

En voyant la tête d'Andy, Sirius semblait comprendre qu'il devait de lui-même partir pour revenir plus tard. Il le comprenait parfaitement et n'avait absolument aucune objection à faire sur le sujet. Il ouvrit alors la bouche pour dire quelque chose, mais il fût prit de court par Andy qui ajouta :

- Si tu décides de rester avec nous, sache qu'il y a une règle. En aucun cas, je ne veux te voir reluquer mon petit ami.

Cette fois, il le comprenait aussi. Mais Allan lui faisait presque peur maintenant. Avait-il eu une bonne idée de venir par ici finalement ? Avait-il eu raison de venir les déranger ? Il en doutait presque et il se mit alors à fixer le jeune Allan dans les yeux saisi de panique. Il se demandait ce qui allait se passer quand le jeune Serpent prit la parole :

- Je pense que tu n'as rien à craindre, Sirius est en première année, l'est beaucoup trop jeune. Tu vas le faire fuir si tu continu !

Sirius se sentit également presque rabaissé par ces paroles-là. Certes il était en première année, mais il n'était pas idiot non plus après tout. Bon, il savait très bien que le jeune Serpentard avait raison, mais tout de même. Par ailleurs, il se sentait étrangement rassuré par ses paroles. C'était bien une des rares fois qu'il se sentait ainsi face à un Vert et Argent. Il dit alors :

- Non, je reviendrais plus tard, je vous ait déjà dérangé, dit-il, mais en ce qui te concerne Allan, ce n'est absolument pas contre toi, ajouta-t-il.

Il se sentait maintenant obligé de rajouté son vécu face aux autres Serpentards :

- Tu sais Andy, je n'ai rien contre ton petit ami, loin de là, mais j'ai tellement l'habitude de me faire taper dessus ou insulter par des Serpentards que j'en ait peur. Toutefois, mon ami Wilum fait partie intégrante de cette maison, donc je sais très bien qu'ils ne sont pas tous agressifs. Désolé pour ce mouvement de recul à ton égard Allan, dit-il.

Sirius attendit alors que l'un d'eux réponde afin qu'il puisse aller manger un morceau avant de se lancer dans la forêt.

HRPG:

- Première année ou non on est jamais trop prudent. Murmurais-je dans ma barbe.

Soupirant, je me tournais vers Sirius qui réussi à faire apparaitre un petit sourire sur mon visage en disant qu'il ne mangerait pas avec nous et qu'il n'avait rien contre mon petit ami.

- Je te rassure tout de suite petit lionceau, Allan est le plus gentil et le plus gentil des serpents qui peu exister dans ce monde. Dis-je avec sérieux, mais un petit rictus moqueur vient orner mon visage quand je posais mon regard sur mon vert et argent.

Je pris mon verre avec notre les mains avant de boire assez de gorgés pour le finir d'un seul coup. Je reposais mon verre et me coucher sur la couverture de sorte à ce que ma tête repose sur les genoux de mon homme. Un soupir franchit mes lèvres alors qu'un sourire de bien être naissait sur mes lèvres.

Le jeune serpentard sourit doucement au première année, il pouvait le comprendre, les préjugés ont la vie dur.

- Je peux compprendre ne t'inquiète pas.

Allan sourit de nouveau et prit de quoi manger un peu, il ricana quand il entendit la phrase grommeler de son petit copain.

- Je te rassure tout de suite petit lionceau, Allan est le plus gentil et le plus gentil des serpents qui peut exister dans ce monde.

Ledit Allan jeta un regard noir sur son homme qui avait posé sa tête sur ses cuisses.

- J'ai comme l'impression que tu te moque de moi amour. Tu veux vraiment me voir en colère ? Ho mieux encore, quand je suis sadique ? Je suis sûr que tu peux aimer ça.

Le français sourit sadiquement à son griffon en croquant séchement dans sa pomme verte.
Il ferma les yeux et rigola intérieurement en caressant les cheveux de Andy. Il avala sa nourriture et ce concentra sur le jeune Sirius.

- Ne fais pas attention à cet idiot, mais il à raison, tu n'as pas à t'inquiété. Je ne suis à Serpentard que à cause d'un... incident, dirons nous, mais sinon je serais plutôt aller à Serdaigle. Aufait, on se retrouve ici dans combien de temps ? Et si tu veux tu peux prendre quelque chose à manger, Andy prévois toujours trop.

Le serpy sourit au jeune rouge et or, sa main toujours dans les cheveux de son griffon.

Pas de réponse depuis 1 mois et 1 jours.
Suite du Rp
Summer Stone - Malena Kane



Le temps d’une seconde, tout ou presque s’est arrêté. Une seconde pendant laquelle, les yeux fermés, les lèvres tremblantes, le coeur marteau, M. se demande si yel va craquer - ouvrir les yeux et se jeter à corps perdu sur la jeune femme ? - ou si yel va réussir à se contrôler ? M. assiste, à la fois spectateur spectatrice et victime, au combat furieux entre la raison et sa folie, la stabilité et ses turbulences pulsions envies sauvages de fusion charnelle et du plaisir de tuer.

Déséquilibre. Le corps de M. tangue au-dessus d’un précipice. Ligne de feu. Limite à ne pas franchir, à ne pas dépasser. Le corps de M., n’est plus vraiment son corps, juste un bout de chaire animale qui ne pense qu’à se rassasier. Le corps de M. se craquèle et cette chose autrefois corps, est sur le point d’être définitivement chose. M. croit presque entendre ses os craquer, cette chose se développer et pousser contre sa peau - dernière preuve futile que yel, Malena Kane, est encore un être humain, du moins, en apparence.

Une voix et des sons séraphins. Tout près de M.. Le souffle de la jeune femme, teinté de douceur musique, vient caresser l’âme en feu de M.. Une sensation de fraicheur apaisante navigue dans son corps entier. Pendant quelques instants, plus rien n’existe. Ne reste que cette voix et sa mélodie. Ne reste que les oreilles -s’il les oreilles suffisent- pour écouter. M. n’ose pas bouger - si jamais yel peut ne serait-ce que murmurer un mouvement quelconque - de peur de casser, de la force brute qui l’habite en lui cette nuit, ce moment cristallin.

Alors M. ne bouge pas. L’onde sensuelle des arbres se joint à la voix de la jeune femme pour former une danse délicate, voire religieuse. Et yel a l’impression d’être redevenu/e un petit enfant auprès de sa mère quand elle lui chantait son âme de maman pour l’endormir le soir. Le chant devient une berceuse et plonge lo jeune Serdaigle dans une litanie intime de souvenirs anciens. Les souvenirs concernent surtout sa mère, mais aussi d’autres visages agréables. A ses souvenirs, les larmes montent aux yeux, sans pour autant dévaler sur les joues.

M. se sent bien. Comme jamais yel n’en avait eu conscience dans sa vie. Mais, au plus profond de lui remonte une peur ancestrale. Les images du passées s’enchainent et apparaissent devant lui des yeux. Des yeux qui ressemblent à des yeux d’homme - ceux de son père probablement. M. se trompe. Yel le sait. Petit à petit, d’énormes globes oculaires dans chacun d’eux grondent deux trous noirs ténébreux. Angoisse. M. reconnait ses yeux. Yel les a vu toute sa vie : les yeux du hiboux, l’emblème de la famille Kane. Son épouvantard. Cette peur au vente logée au creux de son ventre, rappelle avec elle, ses désirs et pulsions originels que la voix de la jeune femme avait réussi à éteindre en petites braises.

Le calme ne tient plus qu’à un fil et le combat de M. repart par un round. La jeune femme a arrêté de chanter, mais son souffle tel un fil d’Ariane, les relit de elle à yel, de yel à elle. Cette dernière est à quelques centimètres de M.. Yel ressent une terrible envie d’ouvrir les yeux et de l’embrasser. Ou juste de l’embrasser. Mais cet élan presque amoureux fou serait suivi d’un désir de mort irrésistible. M. se contient à rester immobile, seule sa posture change. Elle n’est plus animale mais de l’ordre de la soumission. Légèrement dirigée vers le sol.

Qui es-tu ?

Qui es-tu ? Comment répondre à cette question ? Alors qu'yel ne sait pas qui yel est. Yel ne sait plus. Une frustration terrible s'empare de ses muscles. Et quand M. répond, c’est un son flou qui sort de sa bouche. Comme un râlement. Un grognement. M. continue, essaye de sortir de sa gorge quelques mots. Et après une, deux secondes de bataille linguistique avec son double animal, quelque chose comme « Mal » fend l’air. C'est tout ce que Mal arrivera, pour le moment, à dire à son sujet.

- Qui es-tu toi ? D’où viens-tu ? demande M., les yeux toujours fermés. Sa voix tremblotante, transpire la colère et.... autre chose.

La politesse ne faisant pas partie de son caractère, tutoyer la jeune femme n’enlève pas le sentiment qu’yel a d’être… en présence d’une déesse, d’un être hors du commun. Le sentiment que yel, Malena, est complètement colère contre elle, mais aussi complètement soumis à sa gravité cruelle.

La nuit tombait rapidement en ce jour d’hiver. La couleur du ciel changeait. Mes affaires rangées, j’avais mis mon sac sur mon épaule et je me dirigeais vers l’école, profitant de quelques rayons du soleil pour retrouver mon chemin. Il fallait vraiment que j’améliore mon sens de l’orientation.

J’avançais doucement, quand soudain un bruit se fit entendre. Je me figeais. En face de moi je vis une ombre. Un nouveau bruit. Mon cœur s’emballa. Ma respiration s’accéléra. Mes jambes se mirent à bouger toutes seules dans une nouvelle direction. Je reculais doucement. Les pas se rapprochèrent.

Un choc. Je ne pouvais plus reculer, un arbre me bloquant. L’ombre s’avançait. Pourquoi avais-je décidé d’aller me balader dans cette forêt ? Je ne savais plus. Pour le moment toute mon attention était portée sur la forme qui s’approchait, la nuit m’empêchant d’avoir plus de détails.

D’un geste rapide, je sortis ma baguette. Je la tendis face à moi. « Lumos » murmurais-je. Tandis que le bout s’illuminait je me préparais à lancer un nouveau sort. Je ne savais pas du tout quoi ou qui se trouvait face à moi. La prochaine fois j’y réfléchirais à deux fois avant d’aller me balader seule dans la forêt.

On était en hiver. Le ciel changeait car la nuit tombait. Je resserrais un peu mon manteau, j'avais un peu froid. Je marchais dans la forêt, je m'apprêtais à rentrer à l'école. J'avais décidé d'aller me promener un peu plus tôt dans la journée, et il était grand temps d'aller me réchauffer. J'avançais en fredonnant, quelques branches craquant parfois sous mes pas.

Et je vis une silhouette, non loin de moi. Alors je m'approchais d'elle. Cette personne partit dans une autre direction, et je la suivis : je ne savais pas qui c'était, il se pouvait même que cette personne ne soit pas sympathique. Mais de toutes façons, j'avais envie de rencontrer ce personnage.

Je me rendis compte que la silhouette ne bougeait plus, un arbre bloquant son chemin. Je continuai d'avancer vers elle. Rapidement, elle sortit sa baguette et lança un Lumos quand je n'étais plus qu'à quelques pas d'elle. Je fus aveuglée pendant une ou deux secondes par la lumière si vive dans cette forêt sombre. Je baissai la tête et me frottai les yeux. Quand je la relevais, je vis en face de moi une personne aux cheveux noirs et aux yeux verts avec un teint pâle. C'était une fille plutôt jolie, avec un corps plutôt musclé et pas énormément de formes féminines. Elle semblait un peu nerveuse, ce qui est compréhensible quand une personne s'approche vers toi. Je lui dis en écarquillant un peu les yeux :

-Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire de mal.

Super approche, c'est sûr qu'elle aura moins peur, disait une voix dans mon esprit. Je surgissais de nulle part, je venais sûrement de la surprendre. Alors je lui souris en replaçant quelques mèches de mes cheveux qui s'étaient échappées de ma queue de cheval et dis doucement :

-Je m'appelle Piper, et toi ? Désolée si je t'ai fait peur. Je ne voulais pas t'effrayer.

Une fois le sort lancé, je pouvais enfin voir la silhouette face à moi. Il s'agissait d'une jeune femme blonde abordant les couleurs de Poufsouffle. Elle fut d'abord aveuglée par ma lumière puis elle s'avança vers moi avant que je ne puisse faire quoi que ce soit. Je ne savais pas si je devais avoir peur ou au contraire lui faire confiance. Le stress commençait à monter. Ma prise sur ma baguette se serra. Soudain elle brisa le silence.

-Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire de mal.

J'ouvris de grands yeux malgré moi. Moi inquiète? Pas du tout ce n'est qu'une illusion pensais je. Ne sachant quoi faire, je ne bougeais plus. Ma baguette toujours devant moi. Je la regardais dans ses yeux verrons. Cherchant à deceller dans ces derniers les intentions de la jeune blonde. Tout à coup, un sourire. Un sourire sincère qui se voulait rassurant de la part de l'inconnue.

-Je m'appelle Piper, et toi ? Désolée si je t'ai fait peur. Je ne voulais pas t'effrayer.

Je repris doucement mon souffle et mon calme. Il était peu fréquent que je me retrouve dans un état pareil et je me sentais encore assez mal à l'aise. Je baissais doucement ma baguette, en restant tout de même sur mes gardes au cas où sait-on jamais. Je lui souris et lui tendis une main.

-Je me nomme Max. Enchantée. Il est vrai que vous m'avez beaucoup surprise. Mais que fait donc une jeune fille comme vous dans la forêt? demandais je d'une voix calme et posée.

La jeune fille me sourit et me tendit une main. Je la saisis en souriant.

-Je me nomme Max. Enchantée. Il est vrai que vous m'avez beaucoup surprise. Mais que fait donc une jeune fille comme vous dans la forêt? demandai-t-elle d'une voix calme et posée.

- Hé bien, j'étais partie me balader un peu plus tôt dans la journée. Je trouvais que c'était une journée parfaite pour aller se promener. Et là je rentrais au château pour aller me réchauffer, et toi ? Tu es perdue ?

Je lui souriais, puis je me rendis compte qu'elle m'avait vouvoyée. Personnellement, je n'aimais pas que quelqu'un me vouvoie, sauf si c'était un adulte. Hors, la dénommée Max ne semblait pas du tout être une adulte. Il me semblait même l'avoir déjà aperçue quelque part à Poudlard. J'essauais de me rappeler où, puis je haussais les épaules : c'était possible après tout que je l'ai vue, et ça ne servait pas à grand chose de savoir où je l'avait vue.

Enfin bref, je devais arrêter de réfléchir pour des choses que je trouvais un peu futiles dans ces moments-là. Je repensais alors à cette histoire de vouvoiement. Mon regard se reposa sur Max, et je lui dis avec un sourire :

-Et s'il te plaît, ne me vouvoie pas. Je pense qu'on a environ le même âge ou pas très loin alors tu peux me tutoyer. Je n'aime pas trop qu'on me vouvoie, je ne sais pas pourquoi... Je crois que ce n'est pas adapté à moi et ma personnalité.

- Hé bien, j'étais partie me balader un peu plus tôt dans la journée. Je trouvais que c'était une journée parfaite pour aller se promener. Et là je rentrais au château pour aller me réchauffer, et toi ? Tu es perdue ?

Je regardais la jeune femme en face de moi et réfléchis un peu à ma réponse avant de prendre la parole. Cependant au moment où j'allais ouvrir la bouche elle me dit:

-Et s'il te plaît, ne me vouvoie pas. Je pense qu'on a environ le même âge ou pas très loin alors tu peux me tutoyer. Je n'aime pas trop qu'on me vouvoie, je ne sais pas pourquoi... Je crois que ce n'est pas adapté à moi et ma personnalité.

Je souris, puis rougis légèrement. C'est vrai qu'en temps normal on ne vouvoie pas les personnes de notre âge mais j'avais du mal à utiliser le tutoiement lors d'une nouvelle rencontre. Je passais une main dans mes cheveux puis le répondis en haussant les épaule un peu gênée:

-Excuse moi, je vouvoie tout le monde par habitude. J'étais venue m'isoler un peu et j'allais justement rentrer.

Je jetais un coup d’œil autour de moi pour tenter de retrouver mon chemin. Des arbres et des ombres. La nuit qui tombait. Je ne voyais déjà presque plus le soleil. Je cherchais quelque chose qui pourrait m'aider à m'orienter mais dans cette forêt tout se ressemblait. Je m'étais même fait un mémo mais avec ce qui s'était passé je n'étais même pas capable de retrouver un point de repère. Je soupirais discrètement. Je n'aimais pas l'avouer mais je m'étais à nouveau perdue.

-Est ce que cela te dérangerait si nous rentrions ensemble jusqu'à l'école? demandais je en souriant à mon interlocutrice