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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Londres ~¤~ :: Rues de Londres :: Hôpital Ste-Mangouste
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Dans le hall d'accueil
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Re: Dans le hall d'accueil
Invité, le  Lun 19 Nov - 11:24

Par ici la musique (même si tu sais déjà, tricheur :mm: )

Il répond au travers de la question de la brune. Comme s’il s’efforçait volontairement d’éluder son interrogation rhétorique. Comme s’il avait compris qu’au final, elle voulait juste le faire souffrir. Appuyer là où les mots peuvent faire mal, là où ils peuvent blesser davantage qu’une plaie, qu’une blessure physique. Et il lance à Elly une phrase pleine de sous-entendu, elle déraille un peu quand elle l’entend, mais elle n’en montre rien. Il jouait à un jeu dangereux, elle ne le savait que trop bien. Mais elle ignorait si elle devait s’y lancer à corps perdu, ou si, au contraire, elle devait maintenir cette distance qu’elle arborait depuis sa rencontre avec le stagiaire. Elle ne voulait plus se perdre dans les tréfonds de relations sentimentales qui l’attiraient irrémédiablement vers le fond. D’autant qu’elle ignorait tout des motivations du jeune homme, pour elle, il n’y avait que deux explications plausibles : soit le sang vélane qui coulait dans ses veines le rendait totalement amorphe de penser correctement, soit il avait un but autre, souhaitant sans doute se servir de la brune ? Ce n’était qu’un élève, après tout. Aussi l’ancienne auror pencha davantage sur la première solution. L’esprit du stagiaire devait être embué, il n’y avait pas d’autre explication.

Et que dire, d’elle, de ce qu’elle ressentait. Pouvait-elle aussi trouver une justification toute aussi logique pour son comportement lorsqu’elle était en sa présence ? Elle secoua sa tête de gauche à droite, comme répondant à sa propre pensée. Il était impossible qu’elle éprouve la moindre attirance pour le jeune homme. Ses prunelles le détaillent, passent sur les yeux azur, sur son nez, sur sa bouche étirée par un sourire. La brune recule, un pas, petit, minuscule. Comme si elle refusait de voir l’évidente naissance de sentiments. Elle ne l’admettrait pas, jamais. Elle ne le connaissait pas après tout, il s’agissait simplement d’un stagiaire avec lequel elle avait échangé pléthore de sortilège. Stagiaire qui réveillait en elle une fougue endormie, oubliée. La legilimens ne le savait que trop bien.

Elle ne prend pas la peine de répondre à sa blague, un simple roulement d’yeux vers le plafond du hall, tout au plus. Mais elle perçoit le changement de trait sur le visage d’Ethan, cet air plus grave qu’elle se surprend à apprécier, à observer. Sa voix se fait murmure et elle ferme une demi-seconde ses paupières, comme pour se reconcentrer sur la conversation plutôt que sur la forme de celle-ci. Elle perdait pied et n’aimait pas ça. Ce n’était plus une adolescente, et lui n’était qu’un gamin. Ca résonnait dans sa tête, encore et encore. Comme une litanie infernale dont elle ne pouvait pas se défaire, dont elle ne voulait pas se défaire. Parce que faire entrer le jeune homme dans sa vie serait faire preuve de faiblesse, elle le savait.

Mais plus elle tente de reprendre le contrôle d’elle-même, plus il s’approche d’elle, et la distance entre les deux silhouettes dans le hall de Ste Mangouste, reduit, devient peau de chagrin. Les yeux de la brune parcourent le visage du Serdaigle, elle cherche les failles, mais n’y trouve que les siennes, son incapacité à remettre à sa place le gamin. Ou peut-être y arrive-t-elle mais dans ce cas-là, pourquoi revient-il  à la charge ? Elle se perd dans ses réflexions alors que la question percute ses tympans. Non, elle n’allait pas bien. Pas du tout. Elle devait se recentrer sur elle, faire barrage, bloquer ce qu’elle pouvait ressentir, là, maintenant, alors qu’il s’approchait d’elle et qu’il saisissait son bras. Electrisant la peau de l’ancienne auror par un simple contact.

Il avait dû comprendre qu’une fois encore il avait été trop loin, qu’il avait dépassé les limites qu’ils auraient dû établir entre eux, dès le début. Peut-être était-ce d’ailleurs le moyen de les poser, les fameuses limites. De dire ce qu’il convenait de faire, en pareille situation. La brune était partagée, entre désir naissant au cœur de ses entrailles, et révulsion profonde des sentiments qui pouvaient naître. Elle ne voulait plus souffrir, jamais. Ni des départs, ni des disparitions. Ses ébènes se figent, le fixent. La main du brun s’imprime sur la peau de l’ancienne auror, elle ressent la pression de ses doigts sur ses anciennes blessures, cicatrisée par magie. Douleur fantôme ou sens exaltés ?

Il avait relevé la tête vers elle, croisant son regard céruléen aux noisettes interrogatives. Que faisait-il, pourquoi, pourquoi ne pouvait-il simplement pas s’éloigner d’elle, repartir loin. S’éloigner à tout jamais d’elle. Elle n’aurait pas dû le recruter, elle devrait le virer, ici, maintenant. Pour ne jamais avoir à recroiser ses yeux, à détailler les traits de son visage. Elle a la tête relevée pour lui faire face, pour soutenir son regard, la faute à la carrure du jeune homme, plus grand qu’elle d’au moins une tête. Un soupir se meurt au coin de ses lèvres alors qu’elle observe les siennes, qu’elle perçoit le mordillement. Ses dents qui perforent sa lèvre inférieure, elle l’observe, perd pied, un instant. Elle ferme ses yeux, vacille. N’est retenue que par cette pression sur son bras. Quand elle rouvre ses paupières, il est toujours là, n’a pas bougé, pas d’un centimètre. Et c’est elle qui se mord la lèvre, répondant à son propre geste fait quelques instants plus tôt. Elle doit s’éloigner, à tout prix.

Mais elle doit se rendre à l’évidence : elle n’y arrive pas. Elle n’arrive pas à amorcer la libération de son bras. Elle ignore si ce n’est pas un refus, purement et simplement, de s’échapper de son regard hypnotique. Elle se racle la gorge, cherche ses mots « Turner vous … ». Une pause, elle ferme ses yeux, à nouveau. Sa main libre passe sur sa nuque, ses doigts marquent sa peau, comme cherchant à lui donner du courage. Le courage de s’écarter, là, maintenant. Sa voix se transforme en murmure, doucement. Ses yeux retombent dans les prunelles empreintes de la couleur du ciel face à elle. Elle abat sa dernière carte, espérant qu’il trouve du courage là où elle a baissé les bras. « Turner … vous savez que j’ai du sang vélane dans les veines ? ». Regard désolé, un peu éhonté ? Elle ne sait plus trop, mais il doit savoir que son attirance pour elle, si attirance réelle il y a, n’est que le fruit d’une altération de son état. Rien de plus, n’est-ce pas ?
Ethan Turner
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Re: Dans le hall d'accueil
Ethan Turner, le  Mer 21 Nov - 10:16



Man & Beast


Pv Elly
🎧

Un instant figé sur les fils de la destinée. Que se passait-il? N'allait-elle pas te repousser? Tenter de te faire du mal; te lancer de nouveaux sortilèges, ou simplement te ramener à ce que tu étais pour elle, un simple gamin? N'était-ce pas là ce qu'elle pensait réellement? Alors pourquoi avait-elle tant de mal à s'exprimer? Pourquoi ton nom de famille, lorsque prononcé par ces envoutantes lèvres, paraissait si... doux, si significatif... Et pourquoi son regard revenait inlassablement se plonger dans le tien? Jusqu'ici, elle avait semblé faire tout ce qui était en son pouvoir pour éviter de te donner accès à ces deux portes menant vers son âme, vers ses secrets, et celle qu'elle était sous ce masque de marbre et d'acier, une chaleur au plus creux des froids polaires, un feu qui brûle sans comburant depuis trop longtemps, un feu timide qui semblait prêt à mourir à tout instant, et qui pourtant voulait vivre encore, gronder telle une flamme atteignant les plus hauts sommets, réduisant tout sans son passage, où te projetais-tu sur ce que tu voyais dans les noisettes de la Wildsmith? Il était d'une facilité de se perdre dans leur immensité, que tu découvrais à peine, alors qu'elle ne semblait plus oser rompre ce lien qui vous unissait à l'instant.

Puis, une révélation te fut faite, dans un murmure qui semblait dénué de volonté, tel le déni d'une évidence qui se faisait plus criante que tous les souffrants de cet Hôpital, plus pesante que tous les pierres qui façonnaient son enceinte. Tu écoutas les paroles de la brune d'une oreille inattentive, tes autres sens dans une telle effervescence que ton esprit peinait à analyser toutes les preuves que ton corps lui présentait; preuves d'une attirance indéniable, une attirance qui allait bien au-delà de ce qu'une vélane pouvait faire vivre à un homme. S'il y avait un charme qui avait effet sur toi, il ne se trouvait pas dans le sang de la demoiselle, ni même dans le tien; il se trouvait dans cet espace si mince et pourtant infini qui vous séparait. Le magnétisme, une force qu'on redoutait, une force qui semblait réservée aux métaux de ce monde, mais elle se faisait plus précieuse que l'or, alors que ton corps se révélait aussi lourd que le plomb en sa présence.

Un interstice s'était découverte sur la pointe de tes lèvres, précurseur de paroles qui ne venaient pas, pas encore. Les lèvres s'étaient humidifiées sous les soins de ta langue, presque imperceptiblement, alors que tu hésitais, cherchant toi-même les mots qui marqueraient des émotions que tu détestais, mais qui avaient su terrasser avec la plus grande facilité ta volonté de les fuir. La brunette ne t'avait pourtant pas lancé d'incarcerem, pas encore, mais ton désir de la quitter s'amenuisait alors que les secondes s'écoulaient dans le sablier du temps. Il n'y avait maintenant plus qu'elle, toi, sa peau entre tes doigts, et les paroles de tes sens envoutés, qui tardaient à arriver.

-et pourtant... tu n'avais rien de repoussant lors de notre... duel... avais-tu dis, alors que tu approchais doucement ton visage du sien, refermant l'espace toujours trop grand entre vos deux corps. Je crois que... ton sang n'a vraiment... Nouveau rapprochement ...aucune.... Un espace devenant presque imaginaire, théorique... importance. Contact de ses lèvres et des tiennes, enfin.

Tu sens en toi une fleur découvrant l'intérieur de ses pétales, poussant dans un champ de braises ardentes, braises incapables de la brûler, de lui enlever la vie, alors qu'elle se nourrir des cendres pour s'élever toujours plus haut, cherchant le soleil, celui qui brille au bout de tes lèvres, une course qui valu la vie d'un dénommé Icare, une douce leçon que tu n'étais pas prêt à tirer; tu voulais te brûler, et découvrir ce qui se cachait dans les tréfonds des flammes, là où la chaleur était si intense que personne n'y ressortait en vie, tu voulais faire des flammes ta vie quotidienne; ta raison d'avancer et de consumer tout ce qui se trouvait dans votre chemin. Pourtant, le baiser que vous aviez partagé n'était qu'une flammèche parmi un océan de feu qui venait de s'embraser, et qui appelait le marin que tu étais à le découvrir, à le naviguer jusqu'à te perdre entre les tempêtes solaires qui y faisaient irruption lorsque vous étiez aussi près l'un de l'autre.

Un premier grain de sable avait trouvé le récipient inférieur, le temps gardait sa course, simplement ralentie d'une façon surnaturelle, une magie que tu ne reconnaissais plus; le plus puissant des sortilèges n'ayant jamais été lancé de mémoire d'homme. Tu profitais de son odeur enivrante, et de l'humidité de ses lèvres au contact des tiennes, du doux mouvement que vous aviez fait pour animer ce premier contact intime, la fermeture de deux interstices, fines, faibles, que seul l'autre pouvait percevoir, en prêtant toute l'attention du monde à votre sens du toucher, une tâche qui s'exécutait d'elle-même, maintenant que ce baiser avait été entâmé. On aurait dit que vous vous connaissiez depuis un millénaire, que la vie vous avait séparé, à des univers l'un de l'autre, et que finalement, vous vous retrouviez enfin.

Un deuxième grain avait trouvé le fond du sablier, dans un fracas sourd qui résonnait dans tout ton être, ou était-ce le bruit de ton coeur qui battait pour elle? Impossible que ce dernier garde pareil calme... et pourtant, tu entendais ce battement, qui envahissait désormais la pointe de tes lèvres, de plus en plus rapidement. Le bruit d'un vieillard faisant tomber sa canne par inadvertance résonna dans le hall, se frayant un chemin à travers l'épais brouillard qui vous entourait désormais, toi, la brunette, et votre humide baiser. Il y avait plus que vous deux dans cet endroit, vous étiez en public, et pas n'importe où. Les bruits de pas s'activaient autour de vous, et tes yeux s'ouvrirent alors que vos lèvres se quittèrent, au grand regret de tous tes sens. Vous étiez à Ste-Magouste, et nombreux sorciers vous avaient vu, nombreux sorciers qui pouvaient vous connaître, vous reconnaître. Les gens parleraient, les rumeurs commenceraient; la peur commença à s'installer en toi, et ton regard changea. Et si elle n'en voulait pas réellement? Si ce n'était que passager, si elle avait quelqu'un dans sa vie? Si elle désirait garder cela pour elle? Elly t'en voudrait, forcément, et tu la comprendrais. L'idée qu'elle quitte ainsi te pétrifia sur place. Et si par ce rapprochement, tu la faisais fuir là où tu ne pouvais la suivre?

-Je... je suis désolé, je... Puis tu regardas autour de vous, afin de voir si quelqu'un semblait l'avoir reconnu, si quelqu'un semblait s'offusquer de ce qui venait de se produire; alors qu'en réalité, la seule réaction qui t'importait vraiment, était celle de la jeune femme aux yeux noisette, sur qui tu reposas ultimement les fenêtres de ton âme. Tu voulais lui proposer de retourner travailler, au Heurtoir, réparer vos dégâts plus tôt causés, d'aller prendre un café, de simplement quitter les lieux, de fuir vers l'intimité, mais tu étais paralysé par la pensée de ce qui arriverait si elle refuserait; si elle te supprimait soudainement de sa vie, parce que tu étais allé trop loin.
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Re: Dans le hall d'accueil
Invité, le  Mer 21 Nov - 23:08

Un sursis, un simple sursis. Elle a besoin de se recentrer sur elle-même, de couper court à tous les liens sociaux qui sont siens, pour ne voir qu’elle. Elle-même. Le monde autour des deux silhouettes tournent, ne s’arrêtent pas. Alors qu’elle pressent, bien entendu, ce rapprochement. Elle perçoit sa silhouette qui s’approche, et la prédation change de camp. C’est elle qui devient une proie et c’est lui qui se fait prédateur. Elle aimerait partir, là, maintenant. Que son système nerveux enclenche un mécanisme de survie salvateur. Mais aucun mouvement, d’aucune sorte, ne se produisait. Elle restait là, observant le stagiaire comme s’il s’agissait d’une œuvre inconnue à laquelle elle devait offrir une analyse. Chose dont elle était bien incapable.

Elle n’entend aucun des mots, ne perçoit aucuns des sons qui fendent le silence soudainement, le bourdonnement de ses oreilles devient trop important, trop fort. Ça lui crie de s’enfuir, de virer le gamin, de ne jamais recroiser ses prunelles – lui faisaient-elles pensées à celles d’Austin ? Haut-le-cœur, nausée maladroite dont son organisme est saisi. Mais les idées sont là, elles perforent. Elles usent le corps déjà trop abîmés par les sentiments, par les ressentiments. Par ce qui caractérise les relations humaines. Elle le regarde, l’observe. Ses ébènes toisant avec force l’océan de l’âme qui s’ouvre devant elle. Un soupir se meurt au coin des lèvres de l’ancienne auror. Mais force est de constater qu’elle manque de volonté. Qu’étreindre un corps dans le froid de l’hiver manque à sa peau. A sa vie. Ça ne comble pas les problèmes existentiels, les disparitions sournoises qui laissent à la chair un frisson d’abandon.

Est-ce une explosion au creux des entrailles ou seulement la sensation d’être vivante ? Sa peau se révulse de multiples frissons alors que leurs lèvres se trouvent, s’entrouvrent, à l’autre, pour l’autre. Mais la brune ferme les yeux, des images qui repassent en boucle. Des yeux bleus, la haine qui transcende dans le regard de l’Autre. Cet autre. Pas Ethan, non. Mais lui. Elle se raidit sous le contact. Elle bloque, à ses yeux. Une image qui ne veut pas partir, qui ne veut pas s’oublier. Qui est imprimé, là, sur ses rétines. Etait-ce pour cela qu’elle refusait de laisser entrer le gamin dans son cercle ? Parce qu’il lui rappelait, sans le vouloir, Austin ?

Le contact cesse alors que les pensées tumultueuses s’amplifient. L’œil est hagard, perplexe, totalement perdu. Elle recule. D’un pas. Le toise du regard, même s’il est plus grand qu’elle. Un geste inconsidéré qu’elle regrettera peut-être dans les minutes qui suivront, mais qu’importe. La main s’abat sur sa joue. Malédiction au bout des doigts. Le contact était de trop. Beaucoup trop pour elle. Après le duel, après cette hésitation, cette latence, ces sentiments qu’elle ne comprenait pas. Elle voulait reprendre le dessus, resté elle-même. « Vous êtes viré Turner ». La voix est glaciale. Abyssale. Elle entraîne dans un puits sans fond, où seul demeure le noir le plus total, le néant le plus absolu.

Ses yeux se brouillent, les larmes affluent, remontent. Les souvenirs s’enchainent. L’ivresse sur la voie publique, l’auror qui débarque d’on-ne-sait-où. Tout cela était trop confus, trop proche mais en même temps trop loin. Et la présence d’Ethan, ce feu incandescent qu’il semblait représenté rappelait amèrement à la brune que les gens qui passent dans la vie sont destinés à en sortir. Un mouvement de talon, un dernier regard froid. Et là voilà qui s’éloigne, presque en courant, avant de transplaner. Loin du brun qui  lui rappelait trop de souvenirs, qui réveillait en elle trop de douleurs enfouies.

Départ d'Elly
:kiss:
Ethan Turner
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Re: Dans le hall d'accueil
Ethan Turner, le  Dim 30 Déc - 21:18



Man & Beast


Pv Elly
🎧

Tu reçois une claque, bien plus mentale que physique. Tu as commis une erreur; non, tu as commis l'irréparable? La ligne semble mince, floue pour tes yeux azur qui commencent à vouloir se vider de leur océan. Tu dois te reprendre, ne pas t'effondrer ici, en plein hôpital, mais tout autour de toi semble vouloir ta mort, la mort de l'espoir, de ta flamme intérieur. Les gestes de ta patronne, sa voix plus froide que l'hiver infernal, ces paroles à la pointe plus aiguisée qu'un dard empoisonné, mais surtout... surtout ce mouvement des talons, et cette distance naissante, physique, barrière imposé à votre futur, à une réconciliation immédiate, à un règlement de comptes par  un nouveau duel enflammé. C'est une porte qui se ferme, un vent du nord soufflant sur des flammes pourtant autrement si vives, et tu bascules dans l'ombre, dans la douleur et la peur.

Tu regardes la Wildsmith s'éloigner, incapable de l'arrêter, incapable de simplement respirer. Tu veux mourir, là sur le sol du Hall d'entrée, car la mort semble en cet instant plus salvatrice, douce dans son oublie des vivants, et de ceux qui ne veulent pas de toi dans leur vie, mais surtout d'Elly... cette tempête qui t'aura consumé plus rapidement qu'un battement de coeur, plus intensément que la vie qui coule dans tes veines.

Tu sens alors tes muscles s'affaisser les uns après les autres; tes paupières se ferment, empêchant ainsi un visible déluge, puis tes bras tombent mollement le long de ton corps, alors que tes jambes peinent à te maintenir debout. Tous les détraqueurs du monde n'auraient pas réussi à rivaliser avec ce précédent instant, des baisers qui s'équivalent au niveau de leur coût. L'un se saisit de l'âme, alors que l'autre la poignarde froidement, vengeance d'un être n'ayant pas demandé à être aimé.

Tu entends le bruit des passants, les blessés gémissant comme les visiteurs au coeur attendrissant. Tu ne te sens pas à ta place, et bientôt c'est un sentiment d'inconfort grandissant qui trouve sa place en toi. Rapidement, tu te sens devenir malade; tel un marin pris du mal de la vie. Tes yeux s'ouvrent, à la recherche d'un sanctuaire; les salles de bains. Tu sens tes entrailles prêtes à se vider de par tes lèvres, alors que tes jambes s'animent enfin, lourdement, douloureusement. Tes pas sont lourd, nombreux, et bientôt : rapides. Tu cours pour aller vers un lieu, alors que dans ton for intérieur, tu cours pour t'éloigner de quelque chose, de la douleur, du désespoir. D'un instant de rejet d'une émotion naissante, plus vive que la surface des étoiles, tu te meurs intérieurement. Tu ne comprends pas bien ce qui t'arrive, alors que la porte s'ouvre sous ton poids, et que tu arrives à peine à destination à temps.

Ton séjour se fait plus long que nécessaire en ce lieu qui n'a finalement rien d'un sanctuaire de paix. Tu te sens mourir, le corps et l'esprit pour une fois tous deux liés dans une fin qui semble s'approcher. Tous les instants ayant mené à celui-ci semblent désormais vains, inutiles, insignifiants. À quoi bon étudier désormais, à quoi bon travailler, avancer, si c'est pour aller là où elle n'est pas? Tu ne saisit pas bien ce qui t'arrive, n'étant guère en état pour une introspection digne de ce nom. Tu te contentes de tenter de contenir ce que tu ressens, échouant prodigieusement à la tâche. Le temps finit par tourner; tu ignores combien de grains de sable ont trouvé le réceptacle inférieur lorsqu'une première personne entre pour te demander si tu as besoin d'aide; un homme visiblement inquiet de ta condition. Tu dois faire piètre figure à voir, mais tu t'en fiches; peu de choses ont une importance en cet instant, mais tu comprends que tu dois partir d'ici. Ce n'est pas ainsi que tu trouveras la paix, par ici que tu arriveras à faire taire ces émotions, que tu trouveras un pensement à tes plaies. Douce ironie considérant l'édifice dans lequel tu te trouves.

Tu te relèves donc après avoir rassuré l'intrus qu'il pouvait quitter, que tout allait "bien", puis tu t'essuies, n'osant pas te regarder dans la glace avant de sortir de ce lieu maudit. Maudit par cette décision qui fut tienne, par ce manque de tact, par cette gifle, par ces mots froids, et ce regard tranchant les muscles de ton coeur. Les rues de Londres sont bondées, et à peine as-tu mis le nez dehors que tu sens les larmes refaire surface, tu dois t'en aller, là où tu auras un refuge, là où nul ne viendra te poser de questions, tu veux t'enfuir et oublier, mais partout où tes yeux se posent, la vie semble prospérer, alors que tu n'es que désolation et tristesse. Tu n'appartiens pas à ce décor, à cette vie.

- Départ d'Ethan, fin du RP, merci Elly -
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Re: Dans le hall d'accueil
Invité, le  Jeu 7 Mar - 19:42

Rp libre/unique

Et chaque pas l'un après l'autre, j'avance, toujours en plein milieu de Londres. J'en reviens toujours pas que les moldus s'imaginent toujours que ce vieux magasin miteux est toujours en travaux ... ça fait quoi maintenant ? Deux siècles ? Sont-ils aussi idiots qu'ils en ont l'air ? J'en sais absolument rien et je me fiche complètement de leur avis en tout cas. Je me présence au mannequin à travers la vitrine puis traverse celle-ci, non sans éprouvé une légère gêne. Si on pouvait transplaner directement dans l'hôpital ce serait beaucoup simple ... Et beaucoup plus rapide ! Je devrais peut-être proposer ça à Miss Peltz.

Quand bien même, je suis ici pour affaire ministérielle et l'hôpital a été prévenu de ma présence ici. Deux trois mots échangés avec la personne à l'accueil et voilà que cette dernière m'indique un pan de mur ayant été libéré pour l'occasion où j'y affiche non sans fierté l'affiche du Ministère. Ouvrez l'oeil, passez le mot. Soyez un héros. J'espère que cette campagne renforcera l'esprit de la population, qu'ils aient plus confiance en notre institution. Après tout, ce que le ministère fait est dans leur intérêt.



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Amy Shields
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Re: Dans le hall d'accueil
Amy Shields, le  Dim 10 Mar - 21:34

Réponse à Alexeï

De l'aide. Juste trouver de l'aide. Une personne, une chose, une créature, n'importe qui/quoi fera l'affaire. Un corps qui marche en titubant. D'apparence, ce corps n'a rien. Pas de soucis de santé, pas de blessures apparentes sur la peau claire de la jeune femme, aucune goutte de sang susceptible de mettre un doute sur la santé physique de la jeune brune. Mais pourtant à l'intérieur. Un si grand chagrin, un si grand tourment un si grand.. malheureux tout. Pas besoin de blessure physique pour être en danger. Pas besoin de douleur physique pour avoir mal. L'esprit fait ça si bien tout seul. Aucun problème pour se torturer lui-même. Mais alors comment faire pour le réparer, le panser, le remettre en ordre ? Aucune idée. Comme si l'esprit humain était une entité à part du corps. Qui n'accepte pas cette loi corporelle et encore moins les lois du monde tout court. Pourquoi était-ce si difficile d'aller bien ? Pourquoi était-ce devenu si banal d'aller mal ?

Une Amy en perdition. Une âme vagabonde qui ne fait que subir le temps qui passe. Une âme loin de tout, mais une âme qui souffre quand même. Solitude tant redoutée. Solitude tant présente. Se débarrasser d'elle c'est admettre ses blessures à quelqu'un. Et admettre ses blessures c'est montrer ses faiblesse, faire tomber les masques. Masques pourtant imprimés sur le visage. Le masque presque devenu le vrai visage. Un visage faux donc. Mais à partir de là, comment distinguer le vrai visage du faux. Tout un chemin pour y arriver. Si long.. Si dur.. Pas le courage.

Alors elle marche. Encore et encore. A la recherche de quelqu'un. Le peu de conscience qui lui reste l'amène ici, à Sainte-Mangouste. Ils ont un service psychiatrique non ? Honnêtement elle n'en savait rien mais au pire, elle s'en fichait. Il y avait bien quelqu'un là dedans qui pourrait l'aider, n'importe qui. La jeune femme passa donc les portes de l'hopital, pénétrant dans un monde tout à fait différent de celui de dehors. Remets le masque Amy. Tu cherches de l'aide mais mieux vaut ne pas les effrayer sinon ils te fileront des sales trucs pour te calmer. Le corps de la jeune femme se redressa lourdement pour se tenir droit. Elle remit ses longs cheveux bruns devant ses épaules avant d'arborer une mine plutôt neutre sans pour autant être négative. Elle passa donc dans le hall à la recherche de n'importe quel médecin susceptible de l'aider. Une médicomage qui recherche un médicomage, c'était assez ironique. Mais soit. A la recherche d'un blouse blanche, les yeux bleus de la jeune femme se posèrent sur une grande affiche collée au mur. Son corps se stoppa net. Ses talons se tournèrent pour avancer vers l'affiche pour y regarder de plus près. Sans s'en qu'elle ne s'en rende compte, ses pensées franchirent ses lèvres sous la forme d'un chuchotement.

- Ministère.. Corruption..
Fañch Guivarch
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Re: Dans le hall d'accueil
Fañch Guivarch, le  Jeu 14 Mar - 13:59



Réponse Amy/Alexeï

Fañch Guivarch rp numéro 410 tw :

Fañch Attendait assis à l'accueil de l’hôpital, il était obligé de s'y présenter régulièrement pour un suivi psychologique. Heureusement pour lui le médicomage qui s'occupait de lui était un incompétent et surtout un tire au flanc. Il ne cherchait même pas à aller plus loin que ce que le géant lui présentait. S'en était presque triste cette absence d'adversité mais bon c'était ainsi et pour lui c'était clairement plus facile.  

Le géant attendait donc que l'heure de son rendez-vous commence. Il regardait l'affiche de propagande du ministère posé sur le mur à quelques mètres à gauche. Soudain une femme arriva dans le hall avant de s’arrêter net, c'était étrange elle semblait attirée par l'affiche et s'en rapprocha pour l'observé de plus prêt avant de murmurer quelques mots inaudibles.

N'ayant rien de mieux à faire en attendant son rendez-vous Le celte décida d'engager la conversation sur un ton mi sérieux et mi moqueur.


Vous voulez devenir un héro c'est ça ?
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Re: Dans le hall d'accueil
Invité, le  Jeu 14 Mar - 15:27

(Le RP n'est plus libre)

Et d'un coup de baguette magique, j'enchante l'affiche fraîchement posée à Sainte-Mangouste. Même si les lieux sont sous surveillance, je ne souhaite pas que cette dernière soit arrachée, déformée ou utilisée à d'autres fins. Par conséquent, si quelqu'un essaye de détruire l'affiche par n'importe quel moyens, j'en serais avisé dans la seconde et pourrait m'occuper du petit chenapan en question. De plus, et grâce à un sort conditionnel, le sorcier qui tente quoi que ce soit sur l'affiche sera la cible d'un stupefix, histoire de donner un petit délai supplémentaire à l'auror qui viendra s'en occuper.  Le sort lancé, et ayant prévenu le personnel de l'hôpital, j'en profite pour m'éloigner quelque peu et me servir un café à la machine automatique non loin de là.

Quelques pièces insérée dans la machine et un cappucino coulait petit à petit dans le gobelet que je m'empressais de saisir. Le contact chaud de ce dernier, à la limite de la brûlure pour les mains, me permettait de me sentir réellement en vie. D'ailleurs, ça semble raviver les quelques blessures sur les avants-bras ... Va falloir que je retourne voir un médicomage à l'occasion.

Quand même bien je m'étais octroyé un peu de temps pour moi, deux individus semblaient être intrigués par mon affiche. Les laissant quelques instants seuls, je m'approchais ensuite d'eux et la conversation était lancée.

-  Bonjour vous deux. Intrigués par notre affiche ? Si vous avez des questions je peux y répondre, je suis l'auror Dragoslav.

Bien évidemment, le sigle du ministère était visible sur ta poitrine, pour valider tes propos.
Fañch Guivarch
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Re: Dans le hall d'accueil
Fañch Guivarch, le  Jeu 14 Mar - 15:45



Fañch Guivarch rp numéro 411 tw :

Le géant se retourna, quand une voix l'interpella, elle venait d'un homme qui se présentait comme un auror, le sceau du ministére était une preuves plutôt crédible à ces propos.

Le visage de l'aurore était connut du géant qui l'avait déjà croisé à plusieurs reprises dans les recoins du chateau de poudlard. La relation entre ces deux protagonistes était tendu, doux euphémisme pour dire qu'ils ne pouvaient pas se piffer.


Je veux le cogner.


Du calme.


JE veux le cogner.


C'est pas gentil.


JE VEUX LE COGNER.


STOP, si tu fais ça on retourne à Azkaban, soit blessant si tu veux mais n'en viens pas aux mains.


Salut, je savais pas que tu avais rejoint les chiens du ministère.


Petit mouvement de tête pour indiquer l'affiche à son interlocuteur.


Vous manquez de moyen au ministère ? c'est vous qui collez vos affiches maintenant ?
Amy Shields
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Re: Dans le hall d'accueil
Amy Shields, le  Ven 15 Mar - 20:07

Depuis combien de temps était-elle plantée là à observer l'affiche ? Il n'y avait pas grand chose à lire pourtant. C'était plutôt sobre, plutôt court et assez explicite. Enfin, explicite pour qui ne s'était jamais frotté au ministère. Comme si tous ses membres étaient des héros. Selon lui, peut-être, mais le peuple sorcier ne pensait pas du tout la même chose. Et Amy encore moins. Pour avoir eu affaire à des agents par le passé, elle n'était pas fort convaincue de l'utilité de ces derniers. Avis personnel. La brunette avait l'air maline de penser ça alors que sa petite sœur faisait partie du lot. Certains diront traîtrise, elle se contenterait de dire, vérité.

Tandis que ses pensées se bousculaient et par conséquent, chassaient leurs sœurs noires, un jeune homme vient l'interrompre. C'était pas prévu. Elle n'avait pas signé pour ça. Se sociabiliser ne faisait clairement pas partie de ses plans de la journée. Il aurait fallut qu'elle se prépare mentalement. Qu'elle se prépare à sourire, à parler gentiment, etc. Sauf que ce n'était pas le cas. Elle n'était pas prête. Mais en même temps, la jeune femme n'allait tout de même pas nier le jeune homme qui s'adressait à elle. D'autant plus que sa question la fit tiquer. Lentement, elle tourna son visage pâle vers son interlocuteur et sourit d'un sourire mi amusé, mi moqueur avant de répondre sur le ton le plus sarcastique qu'il soit.

- Tout dépend de la définition que vous donnez à Héro. Dans tous les cas, je n'ai pas besoin du ministère pour en devenir ou en être une, désolée de vous décevoir.

Nouveau sourire amusé avant de tourner les talons pour repartir. Trop tard, un deuxième individu venait de s'incruster dans sa bulle. Mais pourquoi les gens étaient-ils si pénibles ? Les paroles de ce dernier ne manquèrent tout de même pas de stopper Amy dans son mouvement de recul. Le premier dût être tout aussi interpellé puisqu'il répondit directement avec un ton agressif. Pourquoi tant de haine ? Le dégoût pouvait être exprimé autrement voyons. La brunette refit un demi tour pour prendre connaissance du visage du nouveau venu. Sa gorge se serra. Elle ne s'attendait pas à voir un visage connu. Certes pas si proche d'elle que ça, mais tout de même assez que pour qu'elle le reconnaisse. C'était incroyable comme le quidditch pouvait rapprocher les gens. Sans montrer aucune émotion, la jeune femme se contenta de répondre d'une voix monotone.

- Intriguée certainement. Mais pas pour les raisons que tu.. Vous ? Croyez. J'avoue avoir un léger, très léger, doute sur le fait que tous les membres du ministère soient des héros. Je parle d'expérience. Sans vouloir viser quiconque évidemment.

La sorcière visait clairement des gens. Mais mieux valait se taire. Elle se trouvait tout de même en présence d'un homme pouvant l'arrêter si elle le cherchait trop. Tu marches sur des œufs Amy, commence en douceur si tu ne veux pas finir par patauger dans une omelette. (No comment pour cette expression que je viens d'inventer..)
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Re: Dans le hall d'accueil
Invité, le  Ven 5 Avr - 17:56

désolé du délai

Et des deux qui se retournèrent sur mes paroles, j'étais un peu surpris de voir deux visages que je connaissais. Si l'un d'entre eux n'avait été croisé qu'au détour de quelques matchs de Quidditch, le second en revanche avait laissé une désagréable marque dans mon esprit : le fameux gosse qui avait cramé le stade de Quidditch ... Il devait sans doute se rendre à Ste Mangouste pour se faire interner vu ses divers problèmes mentaux. D'ailleurs, ses paroles m'interpellent et je lève très rapidement les yeux au ciel; qu'est-ce qu'il est con ! Insulter le ministère, quasiment les diffamer, devant un de leurs représentants, faut pas être très malin.

- Tu devrais faire attention à tes paroles Guivarch, un retour à Azkaban est possible si tu insistes, ton premier séjour ne t'as pas servi de leçon ? C'est justement pour éviter que des gens plus fragiles se retrouvent devant des gens comme toi que les Aurors s'occupent de déposer ces affiches.

Je regarde ensuite Amy qui elle semble déjà beaucoup plus ouverte à la discussion, sa voix est beaucoup plus calme également.

- Bonjour Amy, si tu n'y vois pas d'inconvénient on peut continuer à se tutoyer ? Tous les membres du ministère ne sont pas des héros, clairement. Sinon tous les gens comme Guivarch seraient derrière les barreaux crois-moi ... Mais on s'efforce du mieux que l'on peut d'améliorer les conditions de vie de tous les citoyens britannique, d'erradiquer toute menace éventuelle et surtout, d'être disponible à qui en aurait besoin.

J'insistais notamment sur ce dernier point, il est très facile pour un civil de se faire berner, de voir son esprit embrumé, j'ai moi-même été malléable par le passé.

- Tu as travaillé pour le ministère ? Ou bien tu as eu une mauvaise expérience avec l'un de mes collègues peut-être ? Rassures-toi, je ne vais jeter la pierre à personne, mais si je peux rattraper quelque chose qui a mal été fait, je ferais jouer mes relations si ça peut t'aider.

Et mes paroles étaient sincères, peut-être que c'était même perceptible dans ma voix.
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Re: Dans le hall d'accueil
Fañch Guivarch, le  Lun 15 Avr - 21:43



Fañch Guivarch rp numéro 421 tw :

Les mots de l'aurore n'étaient pas tendre et ils cumulaient menace et manque de respect. Elle est belle l'élite du ministère dis-donc, coupable sans preuve un jour, rebut de la société pour toujours. Avec ces raisonnement de la part de la police il était facile de comprendre pourquoi certains avaient décidé de lutter contre le joug du ministre et de sa clic.


Je vais le marave à coup de pelle et lui arracher chaque m....


Du calme, du calme c'est pas gentil et de toute façon ça n’avancerait à rien.


Oui et de toute façon il y a trop de témoins.


Voyant le psy qui arrivait pour son rendez-vous le celte décida de couper court à l'entretient. Et s'en alla rejoindre le praticien sans se priver de lancer une dernière pique à l'autre viking qui essayait d'amadouer la femme un peu pale.


C'est bien beau de dire que tu jettes la pierre à personne alors que tu viens de me menacer, je dis ça je dis rien.
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