Là, se laisser bercer par les nuages mélodiques de cette harmonie supérieure. In- divisible. Une pommade qu'on passe à notre âme. À notre esprit, là - derrière les neurones assermentés. Des capsules de couleurs qui laissent pantois sous le lampadaire éteint ; pas besoin de l'allumer pour y voir des étoiles tout autour. Le parfum d'un souvenir car chaque complainte sculpte un avenir, panse un passé et raffermit le présent douteux. Chaque note accomplit un trajet vers la mémoire ou tout simplement, l'organisation d'idées imaginées. À chaque chanson son humeur. Son émotion. Cette même passion.
Le cœur
mis à nu.
Ce garçon (ou cette fille ?) semble enrubanné.e d'un don inné. Un peu comme lui, car il faut toujours se rattacher à soi — l'ignoble vérité d'un narcissique. Le sang-mêlé s'approche doucement, à l'appel mimique du musicien errant. S'approcher du banc, lentement, les enjambées d'une tendre sarabande. C'était... - parfois, le silence se suffit à lui-même. Les mots ont cette limite que la musique n'a pas.
Le cœur
mis à nu.
Ce garçon (ou cette fille ?) semble enrubanné.e d'un don inné. Un peu comme lui, car il faut toujours se rattacher à soi — l'ignoble vérité d'un narcissique. Le sang-mêlé s'approche doucement, à l'appel mimique du musicien errant. S'approcher du banc, lentement, les enjambées d'une tendre sarabande. C'était... - parfois, le silence se suffit à lui-même. Les mots ont cette limite que la musique n'a pas.