Vendredi après-midi

Dernier cours de la journée avant le week-end. Kyara espérait que les élèves étaient en forme ! Elle terminait cette session spéciale avec les Serpentard. Consultant une nouvelle fois la liste des inscrits, elle se fit la réflexion qu'il y avait beaucoup de nouveaux. Les cours de Soins aux Créatures Magiques n'étant pas obligatoires, les élèves venaient quand ils en avaient envie. De ce fait, la Fourchelang se montrait intransigeante par rapport au comportement des élèves. S'ils s'inscrivaient, c'est qu'ils souhaitaient vraiment participer au cours, ils devaient donc être sérieux et attentifs. Elle prenait même la peine de savoir comment ils s'appelaient afin de ne pas faire d'erreur durant le cours. Elle n'aimait pas se retrouver devant un élève sans savoir qui était devant elle.

Installée en tailleur sur un gros rocher à la lisière de la forêt interdite, Kyara profitait des rayons du soleil. Elle allait bientôt en être privée avec l'obscurité de la forêt interdite. Autant s'attarder dessus tant que c'était possible ! Rien de tel après avoir mangé un bon repas. Fermant les yeux, elle dû se faire violence pour les ré-ouvrir. Si elle faisait ça, c'était la porte ouverte à la sieste. Elle n'avait pas spécialement envie que les élèves trouvent leur professeure en train de dormir avant le début du cours. Super pour la fausse image qu'on allait lui coller après ! Se contentant donc de rôtir comme un lézard, la Française poussa un petit soupir. Ça allait bientôt sonner, les élèves n'allaient pas tarder à arriver. Elle espérait que le cours allait aussi bien se passer qu'avec les trois autres maisons. Comme pour les fois précédentes, un parchemin avait été affiché dans la salle commune afin d'informer les inscrits qu'ils devaient se rendre à lisière de la forêt près du lac. Apparemment, le format de cours avait plu. Elle allait donc surement réitérer l'expérience dans le futur. Pas pour le prochain cours, elle souhaitait faire quelque chose de spécial... Même si elle n'avait pas encore exactement une, quelques idées germaient dans son esprit. Posant son regard sur le château, elle laissa vagabonder ses pensées dans l'espoir de trouver The idée.

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Navré du temps de lancement, semaine chargée ! Vous avez jusqu'au 16 Avril pour faire arriver votre personnage !

Dernier cours de l'après-midi avant le week end. Et à en croire le panneau, loin d'une salle de classe. Le rendez-vous avait ete donné à la lisière de la foret interdite éveillant curiosité et pointe d'excitation. A chaque passage dans ces bois, c'etait d'une rencontre étrange -et souvent d'une bosse- que tu ramenais. Cetre fois-ci, en groupe, et avec un enseignant, tous les espoirs de sortor2de cet amas de verdure, avaient decides de t'envahir.

Biscuit en bouche machouillé du temps du trajet, tu t'éloignais à pas lents du chateau, profitant du soleil agreable. Traverser le parc, se diriger vers le lac donnait des airs de congés à ce semblant de balade. Pour peu, t'aurais flâné un coup, posé fessier et sac sur l'herbe pour tacher d'encre tes doigts. Le reflet du ciel sur la surface de l'eau calme t'appelait à un petit détour qui, à bien y réfléchir te mettrait en retard. Pour une fois, tu s'abstenais et continuais ta route vers le point de rassemblement, ou ce qui devait en etre un.

À l'horizon : des arbres. Des formes longilignes et rien d'autre. Aucun signe de meute d'élèves bavard ou chahuteurs. Juste, les contours de la nature. Pendant un instant, le doute s'installa dans ton esprit, te menant à l'hésitation logique : continuer à avancer ou rentrer? Dans le pire des cas, ton sens de l'orientation t'avais trahit et tu n'arrivais pas du jon côté, un cours loupé, une ballade improvisée, au final, le scénario était valable. Tu pourrais gribouiller en expliquant que tu t'etais perdue.

Quelques pas de plus, biscuit terminé, c'était les yeux plissés que tu tentais se distinguer la forme qui gisait sur un gros rocher. Pour une mouette, ca te semvlair vraiment grand et surtout loin des côtes. Ce devait être autre chose. Ho.. l'enseignante! Ce ne fut qu'arrivée à son niveau que tu la reconnaissais. Sourire poli, tu te plais aux classiques politesses

-Bonjour professeure. Pas facile de vous voir du premier coup d'oeil

Un drapeau aurait volontier été le bienvenue, mais tu gardais la remarque pour toi, glissant le regard sur la naissance de la foret interdite. Ca semblait sombre à n'importe quel moment là dedans, étonnant que ça grouillait d'autant de bestioles. Quoi qu'il y'avait des clairières logiquement

Eros rabattait ses cheveux en arrière, l’air perdu. Elle avait l’impression d’oublier quelque chose. Son regard se jeta automatiquement sur ses mains, une avec son sac et l’autre avec sa baguette qu’elle avait la flemme de ranger. Qu’est-ce qu’elle avait pu oublier ? Mentalement, l’adolescente commença à faire une liste des objets que contenait son sac, une barre de chocolat empruntée dans le dos de Phaedra ? Check. Son coussin porte-bonheur ? Check. Son livre de divination ? Check. L’impression ne partait pas et pendant son ascension des escaliers des dortoirs, elle se demandait si finalement, il ne serait pas mieux si elle restait dans son lit. Après tout, la brunette n’avait rien à faire. Mais pourtant le sentiment ne partait pas, et ne fit que s’accentuer quand elle plongea dans les couloirs de l’école. Soudainement, une Serpentarde plus âgée la dépassa, comment elle s’appelait déjà ? Megan, elle avait entendu son nom dans les couloirs et dans la salle commune, dans tous les cas, cette jeune fille marchait vers le parc.

Mais oui, le parc. Son cours de Soins ! Énervée d’avoir oublié -quelque chose qu’elle ne fît jamais en règle générale-, Eros se dirigea à son tour à la suite de l’autre Serpentarde qui avait pris beaucoup d’avance entre temps. C’était donc d’un pas pressé et d’une allure légèrement gauche mais sûre de ce qu’elle faisait. Même avec son teint blafard et ses cernes encore plus prononcés, l’adolescente était déterminée à faire ce cours. C’était donc à l’ombre des arbres de la foret interdite, que reposait la professeur, sur une roche imposante, en train de dorer au soleil.


Pas très à l’aise naturellement, le fait que sa tante Achille l’aurait engueulée pour son retard la rendit légèrement honteuse, et pour s’enlever ce sentiment plutôt négatif, la jeune fille balança son sac sur l’herbe fraiche pour s’y étendre sans gêne, après tout elle avait la place, c’était bien pour ça qu’ils étaient dans un parc, non ?

Fañch Guivarch rp numéro 100  :

C'était la fin de semaine à poudlard, des élèves déjà en weekend-end flânaient dans le château. Fañch quant à lui courait en direction de la forêt interdite.

"Le négatif" : Non mais quelle idée à la c*n de faire un cours à pétaouchnok.

"Le positif" : C'est en extérieur c'est bien pour prendre l'air.

"Le juge" : Arrêtez de vous chamailler le fait est que nous sommes en retard donc il faut se magner.

Finalement le géant celte arriva au lieu de rendez-vous, complètement essoufflé. A bout de forces le serpentard ne remarqua même pas qu'il n'était pas le dernier arrivé.

Fañch : Désolé ... du ... retard, vraiment ... navré.

La phrase était sincère mais entrecoupée de pauses pour permettre au retardataire de reprendre son souffle, sa course effrénée  pour arrivée sans trop de retard l'avait poussé pas loin de ses limites.

Une fois que le sorcier fou eut repris sa respiration il salua ses camarades de classe d'un geste de la main, il ne voulait pas dérangé plus que cela en interpellant les autres élèves un part un si le cours avait déjà été lancé.

Un nouveau sourire à ton enseignante, et l’hésitation de t’assoir par terre également t’empoignait. Rester debout à faire le pied de grue comme une élève sage, ou caresser les brins d’herbes du bout des doigts. Léger conflit moral heureusement chassé par l’arrivée de la demoiselle au museau de chat. Salutation enjouée de mise. Tu t’étais demandé si elle portait de temps à autres les petites barrettes d’oreilles duveteuses que tu lui avais laissées.  Comme cette nuit-là, tu restais persuadée que ça lui allait à ravir, magnifiant la douceur cachée de ses traits. Tu aimais les voir se divulguer timidement pour s’illuminer subitement comme si plus rien n’existait au tour. Rares étaient les occasions de revoir la demoiselle au prénom stellaire, aussi, tu ne pouvais t’empêcher de t’enthousiasmer à sa remarque météorologique.

-Coucou Megan, oh oui,  c’est agréable après ces jours pluvieux ! J’espère qu’on pourra en profiter un peu !

Une conversation banane,  contrite par le règlement scolaire qui intimait le non bavardage en cours. Mais dans leur simplicité, les quelques mots échangés trahissait ton plaisir  à revoir cet arc-en-ciel de nuit, cette petite étoile filante qui brillait bien plus que celles dans le ciel. T’aurais voulu lui demander comment ça aller, si elle pouvait se parer de milles couleurs aujourd’hui pour faire de l’ombre à la lumière du soleil, mais l’arrivée d’une collègue de maison aux accents d’indolence te dissuadais. Sans raison précise, juste car s’affaler sur la pelouse t’avait fait hausser un sourcil réprobateur.

Etonnamment, Miss Blanchet ne relevait pas l’attitude de cette étudiante et se présentait sommairement. Pas de soin, pas de rempotage, juste une étude des créatures disponible à portée de main. Un thème accueilli d’un nouveau sourire de satisfaction. Plus jeune t’avais passé quelques heures à chercher des bestioles avec ta meilleure amie. Parfois sans succès pour ce qui était des licornes, mais l’activité restait toujours dans tes préférées, même avec le temps. T’avais taché d’encre des dizaines de page à dessiner les bestioles que tu croisaient, t’appliquant à leur rendre leur superbe même sur papier. Brièvement, t’en venait à espérer que votre enseignante te laisserait gribouiller les créatures que vous étudieriez aujourd’hui. Ton bloc de dessin et tes pastels étaient toujours avec toi.

L’arrivée de Fanch, le souffle court t’extirpait de ta réflexion. Les prunelles amusées glissées vers lui, tu lui avais fait un coucou discret de la main pour le saluer. Il était en retard, mais incroyablement entier, sans bosse, ni coupure visible. A force, ca devenait instinctif, tu vérifiais si le grand gaillard n’avait pas trébuché quelque part avant d’arriver en cours. T’avais toujours ta boite de pansement au cas où, juste pour l’éventualité où la poisse colle à la peau du Serpentard. Mais hors mis la respiration saccadée, il allait bien. Par réflexe, t’avais sortie ta bouteille d’eau et la lui tendait pour qu’il récupère un peu.

Etre épuisé pour l’exercice que Kyara venait d’expliquer n’était franchement pas judicieux. T’avais écouté distraitement, souriant au mot « botruc », te rappelant que t’avais cherché à en approcher un dans la foret mais que la tentative s’était soldée par une chute de ta part. Là pas besoin d’être percher dans une branche, et un sac de « friandise » grouillante vous était offerte. Récupérant le petit sachet de bestiole dont étaient friands les botrucs, t’étais partie voir au niveau de arbres si tu pouvais repérer les petits gourmands.

Quelques secondes de calme,  pour qu’ils ne s’affolent pas et ne paniquent pas, et t’extirpais du bout des doigts un cloporte que tu tenais fermement mais délicatement. Aplatir l’offrande que tu amenais pour attirer la sympathie d’un gradient des arbres n’était très certainement pas conseillé pour passer pour une personne de confiance. Avec minutie, sur la pointe des pieds, tu apportais l’insecte vers la branche où il te semblait voir un timide animal à petite feuilles

jet de dés:

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'Dé 4 faces' :

Fañch Guivarch rp numéro 103 :

Heureusement pour Fañch le cours venait à peine de commencer et la professeure l'accueillit gentiment. Parmi les élèves présents il y avait Elhiya une serpentard très gentille qui l'avait déjà sauvé une fois de la mort. Voyant que le géant était à bout de souffle celle-ci tendit une bouteille d’eau au celte qui s’en saisit volontier.

“Le positif” : C’est vraiment très charitable de sa part.

“Le négatif” : Tu parles si ça se trouve elle a pissé dedans.

“Humour” : Pi C haha πc vous comprenez?

“Le juge” : A défaut d’être drôle ça prouve que tu as écouté en arithmancie.

Fañch : merci beaucoup.

Le jeune homme porta la bouteille et bu td’une traite une grande quantité d’eau. Une fois le sorcier hydrater et la bouteille rendu à sa propriétaire le vert et argent écouta attentivement le cours.

L’exercice paraissait simple nourrir un botruc avec sa friandise préférée, friandise fournie par Miss Blanchet qui plus est, le seul bémol était que l’utilisation de la magie était interdite pour cet exercice.

Elhiya fut la première à se lancer elle attrapa un cloporte et s’approcha d’un arbre, calmement elle réussit à s’approcher mais malheureusement l'appât lui glissa des doigts.

“Le négatif”: Pff elle est pas douée.

Le sorcier fou décida à son tour de tenter sa chance et attrapa une petite poigné de cloportes, ce n’était pas agréable à tenir en mains mais ce n’était pas non plus la fin du monde. Fañch choisit d’utiliser la même méthode que sa camarade de classe et s'approcha sur la pointe des pieds d’un arbre.

1-3-4 : Ca fonctionne, le serpentard arriver à s’approcher de l’arbre et un des botruc sur le tronc de l’arbre se retourne et a l’aire intéressé par le contenue de la main du breton. (Etape 1 : un botruc remarque Fañch)

2 : décidément la course avant le cours n’était pas une bonne idée, à cause de la fatigue musculaire l'empêchait d’être discret et doux dans ses déplacements, les pas bruyants du celte font reculer les botrucs (échec)

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'Dé 4 faces' :

Ne pas râler, ne pas fulminer, ne pas s’énerver contre cet idiot de cloporte qui avait fui terrorisant le petit groupe de botrucs par la même occasion. Fulminer à haute voix aurait certes eu pour effet de te soulager les nerfs, mais aurait effrayé de plus belle  les gardiens des arbres. Mauvaise façon de faire.

Pinçant l’arrête de ton nez en inspirant profondément, tu tachais de te calmer, de ne pas en vouloir à l’insecte qui légitimement avait fui pour sa vie, et replongeais ta main dans le sac pour en prendre un autre. Celui-là, tu le regardais droit dans les yeux –ou antennes plutôt- lui intimant de ne pas gesticuler sans quoi tu allais devoir resserrer ta prise. Le fixant, tu te rappelais soudain qu’en fait cette bestiole était un crustacé et non un insecte et que comme beaucoup il utilisait sa carapace pour se protéger.

Glissant la créature au creux de ta main, tu tapotais délicatement dessus pour qu’il se roule en boule et se tienne tranquille. Sous cette « forme » moins de risque de le voir se tortiller pour fuir. T'aurais du y penser avant.. maintenant que le petit groupe de botruc avait disparu t'avais plus qu' a regarder comment Fanch se débrouille désormais. Mais pour le coup, tu gardais le petit cloporte en main, le faisant redevenir boule des qu'il se remettait en confiance

Fañch Guivarch rp numéro 104 :

Le botruc avait remarqué les offrandes que tenait Fañch mais tout n’était pas encore gagné, il fallait approcher sa main du petit animal pour que celui-ci puisse se régaler des friandises.

“Le négatif” : Put*in on nourrit vraiment des bouts de bois là?

“Le positif” : Oui et ils sont vraiment très mignons

“Le juge” : Le plus important c’est de réussir l’exercice donc ce n’est surtout pas le moment de vous chamailler, ça risquerait de provoquer un faux mouvement.

Le géant celte avait amorcé le léger mouvement de bras dans le but de nourrir le botruc, le déplacement était lent et précis, exécuter un mouvement aussi précis demandait une concentration absolue et un contrôle total de ses muscles.

Des gouttes de sueur commençaient à apparaître sur le front du breton, cette transpiration était en partie dû à l’effort physique précédemment effectué mais elle venait surtout de l’état de tension dans lequel se trouvait le sorcier fou, sa tentative pouvait échouer en une seconde et les efforts qu’il avait fourni jusqu'à présent auraient été réduits à néant.

Après avoir vu un immense Serpentard, essoufflé et qui semblait être à deux doigts de mourir d’un infarctus, Eros se complimenta de s’être finalement assise, ça lui avait évité de finir comme lui. Mais quand elle détecta le coup d’oeil réprobateur d’une fille plus âgée, le compliment interne disparu aussi vite qu’il était apparu et elle se releva d’une poussée vive sur ses jambes et essaya de reprendre un peu d’allure pendant les explications du professeur, malgré son allure un peu débraillée. C’était la mode chez les prof’ de les laisser se débrouiller seul ? Pas assurée pour un sou, l’adolescente laissa deux de ses partenaires expérimenter le nourrissage de Botruc, au début elle pensait sérieusement qu’ils s'approchaient tous les deux d’un tas de branche, mais quand la blonde fit tomber par mégarde un insecte et que le tas de branche se mit à courir par tout, Eros se retrouva presque congelée sur place et osa porter un petit coup d’oeil légèrement choqué sur sa professeure, c’était censé faire ça ?

Un peu hésitante, car c’était la première fois qu’elle allait prendre une poignée de cloporte tout de même, et avec son petit sachet dans la main, la jeune fille s’aventura à la lisière des arbres, comme l’avaient fait ses camarades avant elle. Elle essayait de virevolter de feuille tendre en racine en essayant toujours d’éviter les feuilles sèches et craquantes sous son poids. Enfin près d’une branche légèrement au-dessus d’elle, un mouvement attira son attention.  





1-2-3- La branche était un peu haute et Eros du grimper légèrement le tronc, par deux fois elle faillit tomber et se ramasser sur les feuilles craquantes, mais au dernier moment elle se rattrapa et piocha un cloporte pour le montrer à la branche qui remue ( Etape 1 : Botruc intéressé )

4 -  Eros, sans beaucoup de connaissances dans la matière et l’animal qu’est le Botruc, n’arrive pas à détecter son visage et en voulant tout de même bien faire et montrer qu’elle voulait réussir par ses propres moyens, tendit un peu trop violemment le cloporte dans le vide, faisant peur à la branche mouvante. ( Echec )

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'Dé 4 faces' :