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[Habitation] 7bis Old Queen Street
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Artemis Wildsmith
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Artemis Wildsmith, le  Ven 13 Déc - 10:46

Theya


Évidemment il tique légèrement, la langue percutant le palais devant l’évocation de l’affreux souvenir : l’agression de Lore dont il était absolument parfaitement responsable. Mais si les images demeuraient nettes dans l’esprit du Malicieux, cette histoire appartenait au passé du passé, bien trop de choses s’étaient écoulées depuis. Ainsi, même si son coeur avait bondi, soudainement irrité, il ne répond pas à la provocation de la jeune fille - comme quoi, il sait se faire mature. Cela ne s’arrange pas, quelques seconde solution tard, il hausse les épaules, imbus de lui-même, oui vraiment, il y avait largement pire comme insulte. Ça lui passe complètement à travers les boucles qui remuent à peine de de la pique insignifiante. En réalité, il sourit presque de la tentative d’intimidation de la Poufsouffle qui s’était pointée là, au-dessus de lui qui s’était contenté de sourire insolemment - tête à claques toujours. Quand bien même elle avait entièrement raison, si Loredana avait été présentement dans cette pièce, jamais Arty ne se serait permis pareille attitude. Malgré tout, cela l’amusait absolument.

Jusqu’aux mots qu’il ne pouvait absolument pas supporter, qui le font se redresser subitement, enflammé. Theya avait sous entendu - pire, proclamé - qu’il ne méritait pas Loredana. La bouche du Wildsmith se tord de contrariété, lui rappelant à lui même son intime intime manque de confiance. Tout à fait conscient qu’il était peut-être dangereux pour elle, excepté qu’il ne voulait ne supportait pas de penser à ça, cette idée farfelue et dérangeante qu’un autre serait beaucoup mieux que lui, parce que lui n’était composé que de violence de friponnerie et d’insouciance. Tout à fait conscient aussi qu’il ne savait pas exactement le comment du pourquoi Sparks était amoureuse de lui. Pourtant, n’était-ce pas parce qu’il tenait précieusement à elle qu’il était celui qui lui fallait ? Des idées qui lui turlupinent lui démangent les méninges et le front pendant que la chose continuait de déblatérer. Il se demandait, brièvement, si Theya s’était déjà permise d’essayer de convaincre Lore de ça, du fait qu’il ne la méritait pas. Il grimace, n’ignore pas la chaleur qui lui prend soudainement la poitrine.

Il ne peut demeurer sur le canapé, pas après un tel affront, et avec la facilité et la vitesse que son don lui procurait il se rue brusquement vers le fauteuil de la Blairelle. Il l’intimide à son tour, l’encerclant de ses bras posés sur le cuir. Arty n’avait pas la carrure effrayante, non, pas du tout. Cependant, une certaine inquiétude pouvait se répandre au creux du ventre à la vue des phalanges blanchies du Loup qui se resserraient sur l’accoudoir du fauteuil, ou bien, si on tendait correctement l’oreille, on pouvait entendre dans le fond de ses pupilles dilatées l’explosivité intermittente du Fripon, rugissant à l’unisson avec la Bête. Éléments sous-jacents qui mettaient des étincelles dans l’ambiance légèrement tendue. Ose encore me dire que j’la mérite pas, qu’il gronde finalement, le regard rivé à celui de la Poudlarienne. Que le fait de l’aimer - éperdument - d’être là pour elle de la protéger de risquer ma vie - littéralement trois fois maintenant si on additionne la complicité du meurtre de la tante qui pouvait le mettre en cellule, l’agression des moldus et cette vilaine chute de falaise - n’est pas assez bien, je t’en prie, vas-y. Mais à toi, j’ai rien à prouver. À elle par contre, c’était une toute autre histoire.

Pour cette raison d’ailleurs qu’il soupire et se recule brusquement, saisissant au passage le verre et la bouteille de Theya, t’es trop jeune pour ça. Des pas frustrés qui le mènent derrière le bar, mais t’as raison j’peux rien te faire de toute façon. Ses mains s’agitent comme pour symboliser le ridicule de la promesse qu’il a pourtant faite, depuis que j’ai tué son stupide ami là, bidule Cray, j’peux pas toucher à ceux qui l’entourent. Tu t’rends compte ? La conversation avait brutalement vrillé vers quelque chose de beaucoup beaucoup plus dangereux en réalité. La pression que j’ressens du coup ? C’est ce qu’on appelle le contrôle Arty. Lui je peux le frapper, elle non, lui non plus, ah elle oui, c’est compliqué en fait. Oh, on le plaindrait presque le pauvre petit. Accoudé au bar, il songe aux restrictions ainsi imposées, qu’il méritait pourtant. Tu disais quoi il y a quelques jours ? Oui, bizarrement, l’Ennuyante n’avait pas terminé cette phrase là, et en cela c’était peut-être la plus importante.
Theya Alomora
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Theya Alomora, le  Ven 13 Déc - 16:28

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Saison 29 - Été



Princesse de l’oubli, princesse inouïe. Jeune fille en quête d’amour et de chaleur, jeune amour en pleine explosion. La main dans le vide qui pend, comme une feuille au bord de sa branche. Tu regarde dans le vide ce qui semble être les couleurs de l’automne flotter dans l’air, il fout quoi ? Embrasse-moi.
Une incompréhension. Toi t’avais besoin de plus, de ce qu’il pouvait parfois te donner mais qu’il fallait que tu ailles chercher. Parfois ça lui venait comme ça, comme un signe du divin. Une chose innée sortie des profondeurs de la Terre. Des profondeurs de son corps. Son corps sublime et divin, corps que tu voulais connaître un peu plus chaque fois que tu le vois.

A tes mots, il rit, il scande, profane ta demande. Pour lui c’est un jeu, pour toi, ça allait le devenir. Mais il te surprend, t’attrapes et déposer ses lèvres sans en demander la permission. Si c’était un autre, tu lui aurais bien coller une gifle, mais c’était lui. De base tu aurais aimé te faire désirer, un peu plus, comme quand tu étais allé le voir en Inde, mais il avait été trop rapide.
Tes mains se glissent automatiquement sur son cou, une envie de le posséder, immédiatement. - Mais calme, calme petit oiseau, tout vient à point à qui sait attendre.
Le phénix s’embrase, et laisse couler la lave dans ton corps. Ça brûle de l’intérieur. Tu le regardes satisfaite, un peu trop même, mais pas assez quand même. Merci un dernier baiser que tu lui voles aux coins des lèvres avant de rentrer pimpante dans la demeure. Tu enlèves ta veste pour laisser paraître ta robe noire et ton tatouage récemment fait. C’est bon Georgie tu peux sortir des cheveux, et vous deux soyez calme, on est pas chez nous. Tu attrapes Nastia et Robin avec la poignée de Gallion pour que ça les occupe un temps, peut-être. Georgie lui se balade sur ton épaule alors que tu t’installes sur un fauteuil douillet. Tu observes autour de toi, c’est beau. Tu clignes des yeux quand le serveur blond te propose un verre.

Tu te lèves et laisse les niffleurs sur le fauteuil avec leur brillantissime jouet pour aller rejoindre l’être aimé.
Tu observes et lui dis calmement en te mettant près de lui Tu as quoi, en réserve ? Quelque chose de fort bien sûr. Je te laisse choisir. Tu cales tes mains sur la table pour te soulever et t’assoir dessus pendant que le barman albinos fait le service. Glissant une main sur son épaule tu souris et lui demande innocemment Alors, ces indiens, ils sont comment depuis mon départ ? T’avais besoin d’en savoir un peu plus sur son séjour. Tout en l’attirant près de toi, pour lui glisser quelques baisers câlins dans son cou. Et lui faire comprendre qu’il t’a manqué. Beaucoup manqué. L’être aimé.



Une amitié exceptionnelle.

ft. Arty
Saison 29 - Automne


LA accordé

Ô animal qui s’éveille, endors toi.
Reste dans ton âme profonde,
Reste dans ce qui reste de toi,
un cœur,
aux monts et merveilles obscures.



Le coeur s’éveille et tambourine contre ta poitrine. Heurtant les côtes, ces côtes si fragiles, face à un être de cette envergure. Tu t’enfonces dans ton siège comme pour disparaître car c’était le mieux à faire. A vouloir provoquer le démon tu avais fini par l’éveiller. Ses bras t’entourent prêt à te croquer. Ils t’encerclent, comme un Incarcerem. Il envahit ton espace mais tu n’oses bouger. Tes yeux le fixent, tu vois son âme animale s’éveiller - presque. Tu prendrais tes jambes à ton cou. Ton coeur palpite et ta respiration est saccadée - on pourrait presque croire à une crise de panique. Tes mains recroquevillées sur ton corps seraient prêtes à te lacérer de la douleur qu’il t’inflige en étant aussi proche de toi. Tu n’autorises personne à être si proche, personne sauf Lïnwe, Loredana et ta mère. Et même, cette dernière cela pouvait être parfois difficile.

Il te menace, te met au défi de répéter tes paroles. Répéter ce que tu pensais réellement mais tu es juste paralysée comme si tu avais croisé le regard d’un Basilic. Il te gronde comme si tu étais une enfant, tu l’entendrais presque rugir au fond de sa gorge tant il semble en colère par tes propos. Il parle de risquer sa vie, de l’aimer, de la protéger, comme les promesses que l’on peut faire sous la Sainte-Croix lors de l’union de deux âmes aimantes.
Mais tu n’entends rien de tout ça.
Tu ne vois que ses yeux qui te percent.
Et l’animal qui serait prêt à te dévorer dans le fauteuil de cuir.

Tu souffles inconsciemment lorsqu’il s’écarte enfin de toi, comme si on t’avait coupé l’oxygène dans tes poumons pendant quelques minutes et tu reprends ton souffle alors qu’il s’éloigne ta bouteille à la main. Ta chère et tendre bouteille qui est trop vieille pour toi selon lui. Mais de même, ses paroles ne font parti que du brouhaha environnant. T’es comme figée dans le temps, une impasse interstellaire.
Pourtant il te dit qu’il n'a pas le droit de te toucher, mais c’est pareil, c’est comme du vent qui effleure tes oreilles jusqu’à ce que tu entendes ce nom. Cray.

Et le temps s’arrête, bloquée entre deux cordes de la gravité. Tu te raidis, c’est comme si chacun de tes os se soudait contre ton buste et que tu ne respirais plus. Cray. Professeur Cray. Et les informations font petit à petit leur cheminement dans ton cerveau.

Professeur Cray, celui qui en avait pas mal bavé à son arrivée pour être professeur de défense contre les forces du mal.
Et lui est scandalisé de ne pouvoir toucher à ceux qui l’entourent, parce qu’il a justement touché à ce Cray. Ton cerveau lent ne percute pas tout de suite. Son ami ?
Et t’ouvres les yeux sur le monde comme un bébé aveugle qui voit pour la première fois. Attends quoi ? Répète.

T’en croyais pas tes oreilles, au début t’avais peur de lui parce qu’il t’avait montré sa force lycanthrope. Ensuite complètement perdue parce que non seulement il t’annonce qu’il l’aime, mais en plus qu’il est prêt à risquer sa vie. Puis tu retournes à ton état de nénétte liquéfiée sur son fauteuil quand il prononce ces mots : j’ai tué.

Et là c’est l'enchaînement des mots qui te percutent. Les souvenirs qui te reviennent. La confession de Loredana dans son appartement, quand elle t’a dit avoir perdu son ami disparu depuis des mois. Qu’elle ne voulait pas en savoir plus. Qu’elle ne voulait pas s’y rendre. Ton incompréhension face à la rupture, face à son discours sur Arty qui ne la méritait soit disant pas. Et lui qui t’annonce qu’il n’a plus le droit de toucher à ses amis, parce qu’il a justement tué l’un d’entre eux.

Et la pression qu’il ressent.
Cette soit-disant pression.
Cette soif de sang tu veux dire.


Tu te mets sur tes deux pieds et le regarde, tes yeux sont à la fois horrifiés par la bête qu’il peut être. Le crime, tuer ce n’est pas quelque chose qui te fait peur. C’est plus le fait que ça soit lui. Et qu’elle ait été dans cet état… C’est à cause de toi ? C’est toi qui l’a tué ? C’est pour ça que j’ai vu Loredana dans cet état, qu’elle ne voulait pas me dire pourquoi elle t’avait quitté elle… Elle te protégeait ? Malgré ce que tu as fait ?! Tu frottes ta tête avec ta main. T’es prise d’une migraine et ton teint est aussi blanc qu’un nuage solitaire dans le ciel bleu. Et tu veux me dire maintenant que t’es prêt à la protéger ? Alors que tu as tué son ami ? Comment tu peux la protéger bon sang ! T’en avais presque les larmes aux yeux parce que, lui tu le connaissais pas, tu t’en fichais. C’était pas le problème. Le problème c’est qu’Arty avait tué un ami de Loredana. Et qu’Arty était avec Loredana. Et que Loredana prenait donc le risque de se faire tuer par lui. Et que toi t’étais impuissante face à tout ça. Parce qu’elle te l’avait caché et que c’était maintenant le meurtrier qui te le balançait à la face.

Tes pieds s’avancent comme attirée par la bouteille. Aimantée même. Je me fous d’être soit disant trop jeune là. Et tu passes derrière le bar pour te saisir d’une toute autre bouteille, du scotch cette fois. Que tu verses dans un verre et bois cul sec.
Fallait dire la vérité, toi même t’étais un peu maso de rester dans la même pièce que lui. Mais quelque chose te retenait irrémédiablement. Tu savais qu’elle le connaissait Arty ? Est ce que tu l’as tué en sachant qu’elle le connaissait ? T’as presque envie de t’arracher les cheveux. Tu plantes tes coudes sur le bar et enfouis tes mains dans tes cheveux teints. Pourquoi lui. Pourquoi était-elle revenu avec lui. Même en le sachant. Pourquoi. Et tes lèvres se mouvaient dans un son presque inaudible. Elle t’aime vraiment alors… Mais c’est pas possible…
Tes yeux s’extirpent et arrêtent de fixer le bois pour le regarder lui. Pourquoi rester avec toi alors que tu l’as tué… Je ne comprend pas. Je ne comprendrais pas. T’es en état de choc. Et t’as juste les larmes qui coulent sur tes joues et tes bras se croisent. Les ongles se plantent dans ta chaire.

Et le bras, rafle le bar, percute le verre qui gise en mille éclats sur le sol. Le verre brisé, sonne. Pourquoi ?! Pourquoi alors que tu l’as tué ?! Explique moi. S’il te plaît. Et t’inspire. Tu veux savoir ce que je lui disais ? Je te défendais, je lui disais que tu devais probablement l’aimer. Parce qu’elle me disait qu’elle ne te méritait pas. Qu’ELLE ne TE méritait pas. Tu secoues ta tête les bras ballant. J’ai besoin de savoir qu’elle est en sécurité avec toi. Tu ne comprends pas. Et tu me dis que tu as tué son meilleur ami. Tu te ressers un verre de scotch et bois une légère gorgée cette fois. T’es complétement désemparée, tremblante comme une feuille, à cause de l'angoisse. Et lui tu sais pas quoi en penser. Mise à part qu’il la mérite encore moins que ce que tu pensais.


Dernière édition par Theya Alomora le Ven 13 Déc - 17:18, édité 1 fois
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Lïnwe Felagünd, le  Ven 13 Déc - 16:41

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— Autorisation du propriétaire / ft. Theya Alomora / Été saison XXIX / Musique

Les lèvres retroussées comme le Nil sur tes pommettes désertes au sable blanc, elle s’empare à nouveau de toi - croque dans la pomme d’Adam. À vous deux, vous avez mangé tout le panier de fruits luxurieux, comme deux créatures à l’insatiable faim. Il y a, d’ailleurs, quelque chose de diabolique dans votre quête amoureuse.

Tu la regardes un instant parler à ses animaux comme si c’était ses propres fils, et puis tu te retournes en face du buffet. C’est que tu ne connais pas tant les provisions des Wildsmith. Tu cherches hasardeusement, de tes doigts lisses, ça-et-là, quelques bouteilles entamées. De l’autre côté du monde, une question t’est posée. Mais t’aimais pas trop construire ce genre de discours. Il y avait comme un délire égoïste en toi quand il s’agissait de parler de ton expérience.
Peur que le monde découvre qui tu es.
Peur que le monde ne puisse avancer.

Tu finis par choisir une bouteille de gin. Quelques glaçons tintinnabulent au fond des verres - une douce mélopée : celle d’un ruisseau enivrant. Elle te couvre de baisers. Ils sont bien plus civilisés que les anglais. Tu aimes le gin ? Et ce refrain : une main tendue.

— Et si on dansait ?
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Theya Alomora, le  Ven 13 Déc - 17:26

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Saison 29 - Été



Il esquive, rampe, se faufile, comme un serpent. A travers tes questions en quête de révélation, en quête d’une confession. - Cet être mystérieux qui ne révèle rien. Alors que toi tu ne demandes que ça. Tu voudrais qu’il s’ouvre à toi, qu’il se livre. Que tu lises ses pages.
Il est une énigme, que tu aimerais percer. Est-ce un manque de confiance ? Ou une envie réelle de préserver ses secrets ? Pour lui, seul. Qu’il garde son mystère, que ses souvenirs soient à lui - et rien qu’à lui.

Toi aussi, il y avait des choses que tu ne partageais pas, c’était ton jardin secret. Comme le petit bracelet autour de ton poignet, comme les clés accrochées chez toi, celles qui menaient à la villa de l’Ancien. Avec Lïnwe c’était l’instant présent, c’est ce que tu aimais, mais parfois tu voulais plus - tu le voulais lui, en entier.

Près de cinq mois sans s’être vu, en maintenant une relation à distance. Tu étais même allé le voir, pour goûter à l’Inconnu et à l’Étranger, au Nouveau Monde qui l’attendait.
Tes effleurements de lèvres ne le font pas tiquer, tu hausses un sourcil et te demande si ce qu’il ne marche pas avec lui c’est l’ignorance, ou du moins le faire patienter. Un gin, oui, s’il te plaît.

Battement de cil et tu t’éloignes alors qu’il tend une fois de plus, cette main, cette feuille suspendue à un arbre. Une invitation l’accompagne, explicite. Il te dit clairement ce qu’il veut, pour une fois.
Tu étires tes lèvres et attrape sa main douce et pâle - comme un tapis enneigé.


Tu te rappelles ces quelques instants à l’association, le juke-box raisonnant et ses doigts contre ton crâne. Les joues rosées. Tu ne le regardes pas et te laisse simplement porter par les notes invisibles - imaginées.
Tes mains se baladent sur lui, mènent une danse insolite, caressent sans que tu ne contrôle, tes bras autour de son cou, puis tes mains sur ses épaules. Bizarrement tu te sens vulnérable, comme s’il pouvait te percer à jour alors que tu ne parles pas et que vos regards ne se croisent pas.

Quelque chose cloche.

A l’intérieur de toi, ça ne va pas, c’est comme si tu le lui cachais. Peut-être qu’il savait après tout, peut-être qu’il connaissait la nature de tes sentiments. Ou du moins qu’il s’en doutait. Cet instant à vous, était une confession muette à ton âme. Tu ne savais quoi dire, ni quoi faire. Tu avais juste envie d’être contre lui - tu te loves contre son corps. ♪


Lïn… un murmure s’échappe, incontrôlable.

Je t’aime.

Mais rien ne sort.
Ton corps n’est que frissons.
Tu déposes un baiser au coin de ses lèvres,
tu quittes la danse pour rejoindre la table.

Un peu perturbée. La tête baissée, tu saisis le verre préalablement préparé et l’avale d’une traite. Laissant agir le feu. Tu penches ta tête en arrière, les cils humidifiés. pu*ain. Les frissons s’intensifient et tu jettes un coup d’œil vers lui et sa chevelure blonde en faisant claquer le cristal contre la table.
Croque ta lèvre.
Tu ne lui résiste pas.

Cette fois c’est toi qui tend la main, le bras gauche en entier même.
Un appel au secours. - Un bébé en quête de réconfort.
Le besoin d’une étreinte imminente, au calme, sans prétexte de danse. Car sans le vouloir, c’était ce qui te tourmentait dans le jardin tout à l’heure. Et tu n’es pas venu ici par hasard.

Vous êtes,
deux âmes connectées,
qui ne cessent de se joindre.

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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Lïnwe Felagünd, le  Ven 13 Déc - 17:32

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Il n’y a pas un seul instant où ton regard se dissipe. L’heure est oisive, elle, plaquée contre le mur. Plus rien ne vous arrête. Plus rien ne vous attire, car vous avez tout. Tout. Tout pour vous repentir. Tu souris un instant, la mer de tous les souvenirs au gouffre de ton menton. Tes yeux brillants la poursuivent chaque instant. Chaque seconde est différente. Elle semble de plus en plus lumineuse. Puis elle s’assombrit un moment, comme un vieil orage marécageux.

Il ne te semblait pas l’avoir bousculée pourtant. Un murmure un poil colérique s’échappe de sa bouche. Elle est juste devant la table, le dos face à toi. Tu fronces légèrement les sourcils. Qu’est-ce qu’il y a ? Désormais, il y a comme une barrière invisible et menue, toute menue — elle semble si fragile — recroquevillée entre toi et elle. Toi parce que tu ne peux t’empêcher d’être mis en avant.

C’est drôle comme la nature est si bien faite. Dès lors qu’on te tourne le dos, tu te dois d’y intégrer une nouvelle limite. Et le monde tourne. Et la terre est ronde. Ronde comme un camion et bleue comme une orange. Tu doutes. Tu doutes un instant de ce qu’elle pourrait ressentir, et t’oses pas imaginer quelque chose qui pourrait te contredire.

Tu te décides à approcher, de quelques pas légers - t’aurais pu te prendre pour ton danseur préféré (l’autre prince). Il y avait quelque chose de très mélancolique dans l’air. Une odeur bizarre. Mêlée au parfum d’épices. De la cannelle, très probablement. Tu l’enserres de tes grands bras, de ses épaules à son buste. Tu vois tes doigts dépasser de chaque côté. Elle est tienne. Comme une poupée. Comme une statue. Ils devraient vous sculpter comme vous avez su sculpter votre amour. Vous êtes des bâtisseurs d’art nouveau. Possession manipulée.
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Theya Alomora, le  Ven 13 Déc - 17:39

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Saison 29 - Été


Les secondes s’écoulent aussi vite que ton cœur qui palpite. Ton âme est emportée dans un élan de confusion, d’incompréhension. Il est là, et toi aussi. Il est lui et tu es toi. Deux âmes qui se complètent, qui forment un tout. Deux âmes qui ne se sont encore jamais avoué l’amour qui les unit. Tu pouvais entendre seulement ton cœur battre dans tes tempes. Quand avais-tu vécu ce moment de vérité pour la dernière fois ? - Il y a bien longtemps.

Le carillon de sa voix résonne d’inquiétude, son interrogation reste sans réponse car tu es tout simplement incapable de le lui dire. Tu veux les bras qu’il te donne, tu veux sa chaleur contre ton corps. Tu le veux lui.
Ton monde tourne, les marées montent en une seconde, mais tu les retiens tu te dois de maîtriser - toujours maîtriser.

L’Amour t’enlace et forme un cocon autour de ton corps. Là, est la sérénité. La paix. Tu penches ta tête en avant et caresses doucement ses bras protecteurs. Tu les écartes, doucement, juste pour te tourner face à lui. Tu ne te détaches pas de son étreinte, car elle est ta nouvelle obsession.
Tes doigts papillonnent jusqu’à une mèche de cheveux que tu entortille autour de ton index. Tes lèvres tremblent légèrement mais finissent par prendre leur dose pour assouvir la dépendance. Effleurement de fleur et d’âme émerveillée. Tu m’as manqué. Murmuré contre ses lèvres.

L’organe de vie tambourine contre ta cage thoracique, prête à tout détruire sur son passage. Si c’était une mélodie, les percussions seraient prises de frénésie.
Tu décales doucement ta main contre son cou, la tête baissée. Lïnwe je… Tu paniques. Je sais qu’on a passé un long moment séparé physiquement, mais je voulais te dire que, et bien. Et bien bien bien. Tu es prise d’un rictus. Autant mettre du suspens dans ce moment solennel. Et bien, je t’aime. Ton regard se relève, en attente de sa réaction, bonne ou mauvaise peu importe. Tu le lui avais dis. Tu profites de cette étreinte, espérant qu’elle ne sera pas la dernière.
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Artemis Wildsmith, le  Ven 13 Déc - 17:45

Theya


Est-ce qu’il devait lui faire un câlin ? Quelque chose, un geste, n’importe quoi pour la soutenir, là maintenant tout de suite ? Il n’était pas fait pour réconforter rassurer les gens, encore moins ceux qu’il trouvait incroyablement irritants. Mais les boucles du Wildsmith s’agitaient, presque autant affolées que Theya au bord de la crise de nerfs. Lui, ne comprend pas. Absolument pas. Qu’est-ce qu’il avait bien pu dire pour déclencher fontaine immortelle de questions et de remarques jaillissant de la bouche de la Poufsouffle. Aucune idée, mais qu’est-ce qu’il regrettait. Il essaie, comme on observerait une expérience bien trop curieuse, de retenir chaque mot qu’elle prononçait, il plissait les yeux, fronçait les sourcils mais il y en avait beaucoup, beaucoup beaucoup beaucoup. Une soudaine envie de la bâillonner pour embrasser le silence. Il n’avait même pas le temps d’imprimer une question que dix autres venaient marquer les rides de son front. Sans compter la casse de la vaisselle malheureuse, pauvre verre qui n’avait rien demandé à personne. L’éclat sur le sol avait d’ailleurs réveillé Balthazar qui n’avait pas tardé à accourir pour proposer son aide. Immédiatement, le Loup lui fait de grands signes silencieux, ses mains ses yeux pour lui dire de se retirer, vite, fuir, fly you fool, avant de se faire assommer par les remontrances de la jeune fille.

Un tel assaut aurait dû énerver le Loup, lui faire craquer les doigts d’agacement, mais non, il est tout hébété devant la réaction exagérée de la Blairelle. D’accord, il avait tué un gars, mais ce n’était pas une raison pour produire un tel cinéma. Jusqu’au moment où stop. Stop stop stop, ses mains s’agitent pour symboliser l’arrêt en même temps qu’Odette II se glissent entre ses doigts éberlués #Silencio ! Là. Voilà. Il soupire de soulagement, ferme les yeux quelques instants pour profiter de grandes inspirations silencieuses.
Se calmer, tenter de prendre les choses calmement avant qu’il ne lui arrache la langue. Parce que c’est bien beau les promesses, Loredana qui lui somme de ne pas toucher à ses proches, sur le principe, il était tout à fait d’accord. Mais jamais, au grand jamais, elle n’avait précisé que Theya pouvait être aussi enquiquinante, rendant le contrôle extrêmement compliqué. Il laisse la Poudlarienne s’agiter muettement pour aller retrouver le confort du canapé sur lequel il s’allonge, à la manière d’un patient en pleine séance de thérapie.

Bon. C’était un excellent début. Oui je l’ai tué, mais ça va, on va pas en faire tout un ramdam, ce sont des choses qui arrivent. Dédramatiser la situation. Les mains calées derrière la tête, il poursuit le plus calmement possible, et c’est justement pour cette raison que j’suis le plus à même de la protéger, ça m’fait pas peur. Son inconscience, évidemment. Toi, t’as peur de quoi ? Que je la mange ? Ça n’arrivera pas. Oui, enfin ça, c’était encore à voir. D’ailleurs, elle m’a dit, je cite, sa voix se fait fémininement plus aiguë, Arty, je n’ai pas besoin d’être protégée de toi. C’est une grande fille, elle fait ce qu’elle veut. Il fixe le plafond, se remémore ces fois où il avait tenté de l’éloigner parce qu’il était dangereux pour elle, mais Loredana était têtue, et il avait cédé. Il gonfle les joues, il sait à quel point les paroles de Theya font sens, il comprendrait même son inquiétude, elle qui tenait tant à la Gryffondor. Et si elle reste c’est parce que oui, elle est vraiment amoureuse de moi, tout simplement, c’est pas comme si j’avais fait exprès non plus. Façon de parler, il était super relou, tout le temps, il a été relou une fois de trop, c’est tout, j’ai pas su me contrôler, et miam, il claque la mâchoire pour mettre en scène la terrible morsure de la tête. Lore et moi on était pas ensemble à ce moment-là, c’était il y a longtemps, je savais qu’ils se connaissaient, il était là quand je l’ai agressée, c’était lui que je visais, pas elle ! Enfin, tu penses bien que si on avait été ensemble, j’l’aurais pas tué – ça reste à prouver – torturé à la limite, parce qu’il avait terriblement besoin d’une bonne leçon. Chapitre 1 – Ne jamais irriter Arty Wildsmith et son égo.  

Il se redresse finalement pour entamer mille et un cent pas dans le salon si bien décoré. Par contre, je sais pas, je sais pas pourquoi elle t’a dit ça, ne pas me mériter blahblah. Il s’arrête, les yeux cherchent une explication, sûrement pour te faire taire. Haussement d’épaules, ce ne serait pas si surprenant. Avant d’aller prendre place sur un des tabourets du bar, l’air subitement contrarié, parce que t’as raison, évidemment. J’suis pas le gars parfait, et peut-être, sûrement, éventuellement, elle aurait pu trouver mieux – certitude en réalité – mais on a essayé Yaya, tu le sais, être séparés, et c’est pas possible. La gorge se serre, confessions d’un loup-garou amoureux, on en viendrait même à lui faire des papouilles dans les cheveux tellement son air affligé fait chavirer. C’est parce que j’suis trop charmant ! La tête se relève d’un coup, affichant une bouille étonnamment soudainement joyeuse. Imbus de lui-même qu’elle disait, oui, tout à fait.

Oups, pardon, Odette II se remet en mouvement pour rendre la parole à la Poufsouffle, lui avait terminé sa tirade.
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Lïnwe Felagünd, le  Ven 13 Déc - 17:53

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C’était pas dans ton habitude de faire dans l’empathie. Cela te semblait bien pathétique. Une mascarade qu’on pourrait éviter, à défaut de manipuler des masques. Et toi ? Toi tu t’en accommodais bien de te couvrir de masques vénitiens. Carnaval idyllique des êtres psychiquement douloureux, appuyés par les erreurs immondes de la vie. Aussi, t’avais toujours ce petit recul - comme une mauvaise pensée, toujours noire, et toujours à portée. Ce rejet qui te pousse à enlacer l’être cher. Elle n’était pas ton âme sœur, t’avais perdu la tienne ya déjà un moment — et quelle descente aux enfers ! —, mais il s’agissait d’une estime toute aussi haute.

Et là, sans que tu t’y attendes vraiment, elle ouvre son cœur un instant. Comme si toutes les culpabilités du monde ruisselaient devant toi, ses épaules aussi légères que les ailes d’un ange. Le plus ironique dans tout ça, c’est que tu pouvais comprendre pourquoi elle se mettait dans cet état-là. Tu ne pouvais ni lui reprocher ni l’en féliciter.
L’absurde poésie des sentiments.

L’étreinte est passionnelle, presque charnelle. Une retrouvaille aboutie. Tes mains la caressent. Tu sais ce qu'elle voulait. Tu lui déposes un baiser dans ses cheveux parfumés avant de te détacher doucement de son corps pour rejoindre la table. J’ai rêvé de toi hier. Tu bois une gorgée de gin. Tu avais les cheveux roses. Sourire parieur.

T’as comme des flashs depuis tout à l’heure. Des éclaires plein la tête.
Des cheveux aussi blancs que les tiens. Un visage reconnaissable d’entre mille.
Une psychologie falsifiée et un corps qui aurait grandi un peu trop vite.
T’avais fini par la laisser toute seule, elle aussi
que t’en avais peur de la retrouver. Et en parlant de rêve, car tu n’utilises aucun de tes mots par hasard, j’aimerais qu’on en fasse un. Ensemble.
— deuxième gorgée : tu finis ton verre.
Un autre verre ?

Tu fais tournoyer quelques de ces graines dont tu as récupéré la fabrication dans ta main droite. Une lèvre croquée par tes dents blanches. L’appât du surréalisme entre en jeu.


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Theya Alomora, le  Ven 13 Déc - 18:12

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Une amitié exceptionnelle.

ft. Arty
Saison 29 - Automne


LA accordé

Le liquide brun qui va et vient. Telle une mer agitée percutant les rochers. C’est là que ça percute le verre. Sans se briser, sans éclabousser. Juste des tournis au creux de ta main. Sans créer de typhon.
Pas comme ton cerveau qui était en train de devenir fou.
T’étais presque en train de partir dans une crise incontrôlable de panique, la peur sans doute, tous ces sentiments qui se mêlent. La colère, la tristesse, le choc. Fallait évidemment que tu tombes sur Wildsmith, seul à seul, et te mettre à pleurer devant lui alors que personne n’était présent pour essayer de te calmer, ni de le calmer.

Rien à l’horizon à part l’ancien Poufsouffle qui s’excite, les bras agité et réclame un arrêt immédiat. T’ouvre la bouche pour dire encore quelque chose et rien. Trop tard, il t’a mit en sourdine cet enfoirer. Tu le regardes avec des gros yeux, les bras écartés et les poignets qui font tourner tes mains dans un signe de “MAIS TU FOUS QUOI ?!”
Tu tournes sur toi même les yeux roulant dans tes orbites de mécontentement. Il a fallu qu’il te prive de la parole, en même temps une fois que tu commençais tu ne t’arrêtais pas. Mais comme au théâtre, c’était désormais son tour de parole, à lui de faire sa tirade et son explication alors que tu prenais un air contrarié. Les sourcils froncés - boudeurs - de son comportement insupportable.
Au contraire de toi lui était d’un calme olympien. Il prend ses aises - est chez lui après tout - à ton grand agacement. Les bras croisés tu te contentes de rester derrière le bar, obligée de l’écouter sans ne pouvoir prononcer ne serait-ce qu’un murmure.

T’attend impatiemment qu’il te débloque la bouche alors qu’il parle et parle et… Devinez quoi ? Parle encore. Un pipelet lui aussi, il mériterait d’ailleurs également un silencio si t’avais pas peur qu’il t’arrache la tête comme il le mime si bien à ton plus grand déplaisir. Selon lui il ne lui ferait jamais de mal à elle. Déjà tu étais rassurée car il avait tué l’ancien professeur avant qu’il ne soit avec Loredana et qu’il ne lui voulait donc pas de mal. Il voulait, donner une leçon à ce professeur. Un peu extrême comme leçon mais tu hausses les épaules et baisse les yeux. Te rappelant sa transformation incontrôlée dans le dirigeable. Tu frissonnes et ses paroles bien que directes te calment étrangement. En fait, il te montre juste qu’il ne lui veut pas de mal, du moins il te le dit. En fait, Aidan c’était pas ton problème - c’était l’ami de Loredana, elle en souffrait mais toi, le meurtre c’était pas quelque chose qui hérissait tes poils.
Si Arty a voulu le tuer et qu’il l’a fait soit, c’est juste que tu aurais vraiment préféré que ça ne soit pas lui. Et tu préférerais aussi, qu’Arty ne soit pas, Arty. Enfin vous voyez quoi, un loup-garou, insupportable, à l’ego surdimensionné, imbu de lui-même, et incontrôlable. Mais ça malheureusement tu pouvais pas choisir les petits-amis de Loredana, tu pouvais, juste le tolérer. Mais t’aurais aimé ressentir pour le Jaune un peu plus que de la tolérance, disons que tu aurais voulu que votre relation ne soit pas aussi, haineuse, qu’elle ne l’est. Si tout les deux c’est fait pour durer tu ne voulais pas de ça, et qui plus est, c’est le cousin de Lïnwe. Donc, t’avais pas trop le choix non plus que de doublement le tolérer le p’tit loup.

Terminaison de sa tirade sur le canapé concernant Aidan il attaque maintenant une petite marche sportive dans le salon, exprimant son incompréhension face aux propos que tu avais divulgué plus tôt. T’aurais peut-être dû te taire… Il aimait justement cette idée, celle qu’elle t’aurait dis ça pour te faire taire. C’est vrai que tu pouvais être tenace quand tu t’y mettais, preuve en est, Arty t’avait Silencio.
Il s’approche et tu fais glisser tes bras croiser sur le bar pour le tenir du bout des doigts alors qu’il s’assoit sur une chaise face à toi et est… Réconfortant ? C’est étrange. La ligne de poil au dessus de ton oeil droit se lève et tu te figes lorsqu’il prononce ton surnom. Serrant le bois contre ta paume. Abuse pas Wildsmith. Et si si, il continue plus que son ego fait irruption en se justifiant car sois disant il est trop charmant. Oui oui, bien-sûr.

Bon il était pas MOCHE non plus, il pouvait plaire. Mais charmant, non. Enfin, il est trop… Trop sûr de lui. Ca t’agace.
Et le voilà qu’il s’excuse et agite sa baguette pour enfin délier ta langue. T’étires ta mâchoire comme si t’étais restée immobile une dizaine d’année et baisse les yeux. Tu sais plus vraiment quoi dire en fait.
Après un instant de silence, autant lui faire croire qu’il n’a pas été foutu de te délier la langue, tu articules doucement. C’est pas le meurtre en lui même qui me dérange Arty, c’est juste, j’aurais préféré qu’elle ne souffre pas comme je l’ai vu l’autre jour. Tu peux même tuer le voisin d’à côté si tu veux je m’en fiche, à partir du moment où il l’a mérité. Et j’parle pas d’une blessure à ton ego. Tes mains se remettent sur le comptoir un peu moins craintive et reprend ton verre pour boire dedans. C’est juste, j’ai peur pour elle Arty comprend-le. T’es loup-garou tu viens encore de me faire une démonstration avec ta testostérone animale et ton claquement de dent en parlant d’Aidan. J’étais là dans le Dirigeable, j’ai vu, je sais que ça peut être incontrôlé, et je ne veux pas qu’elle soit là si jamais ça part mal, enfin si jamais elle risque d’être ta cible dans un moment ou tu perds le contrôle.

Tu te met à dessiner sur le bois du bout de tes doigts, tu réfléchis mais t’es arrivée dans l’impasse où la vérité était sous tes yeux. Il l’aimait vraiment et elle aussi, qu’est ce que tu pouvais faire de plus ? Je sais bien que ça marche pas d’être séparé vous deux, j’l’ai vu, pour que je lui dise que tu devais tenir à elle crois-moi ça m’a arraché la langue mais je vois bien que c’est la vérité. Mais n’abuse pas, moi c’est Theya. Tu prends un autre verre et lui fais un signe de tête en interrogation, s’il veut boire aussi et tu sers malgré tout dans le deuxième verre. Au pire ça en fera plus pour toi. J’dirais pas que t’es charmant. Tu bois une gorgée. J’veux juste que toi et moi ça soit un peu plus qu’une tolérance de la présence de l’autre. Parce que si ça doit durer comme je t’ai dis, je sais que Loredana préférerait qu’on s’entende un minimum. Ce qui n’a clairement pas été le cas… Preuve en est du verre que j’ai éclaté. Balthazar ton elfe c’est ça ? Pardon Balthazar, pour… tu fais un geste circulaire avec ta main dans l’air, le bazar.

Tu continues de siroter ton verre et lui demande brutalement, Tu m’as dis que tu étais prêt à tout faire pour la protéger, t’es prêt à aller jusqu’où pour elle ? Tu contourne le bar avec ton verre pour aller te poser sur un fauteuil avec ton verre et tu reviens sur la passion principale d’un membre Poufsouffle ; Et la bouffe pas, j’te garantie que j’te fais rôtir dans la cheminée si tu fais ça. Et ne me lance plus jamais de sort. Loin d’une menace en l’air, tu ferais un feu de joie dans le jardin pour le faire brûler s’il fait ça.


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Saison 29 - Été



Ta langue s’était déliée, les mots articulés encore vibrant sur tes cordes vocales. Résonance de la corde d’un instrument désaccordé. Celui qui peut hérisser les poils d’un musicien expérimenté. Tes yeux timides ne le quittent pas et attendent une réaction, même mauvaise. Et c’est tout son contraire.
Il t’enlace pour unir vos âmes, une symbolique idyllique. Tu es surprise, et à la fois aimée, amoureuse, de cette passion qui vous est propre. Tu te laisses porter comme une feuille flottant sur un courant d’eau. Ses mains te parcourent à ta plus grande satisfaction et tes frissons, ta chaire de poule remonte de tes pieds à ta tête. Tu souris bêtement dans ses bras, inspirant son odeur addictive.
Ce n’est pas un “je t’aime” que tu attendais c’était simplement ces gestes, cette passion réciproque. Les mots tu en avais eu bien assez avec Jace - comme sa lettre de promesses éternelles. Maintenant il te fallait bien plus que des mots, il te fallait du partage, de l’amour démontré celui que toi - et les autres - peut observer flotter et s’épanouir dans votre monde.

Un léger baiser déposer sur tes cheveux avant qu’il ne te délaisse pour rejoindre son amie la table en bois, où il en profite pour te raconter que son imagination avait fait des merveilles à ton sujet la nuit dernière. Tu rigoles doucement avant de lui répondre Qui sait, peut-être que ma prochaine couleur sera rose ! Ça pourrait bien m’aller ! Tu lui lances un clin d’œil, ça serait drôle de remettre ça mais tu savais pas vraiment si le rose t’irait bien, peut-être revenir à ta couleur naturelle - le brun - un jour peut-être même si pour le moment tu t’habituais plutôt bien au blond/blanc, comme quoi ta stabilité émotionnelle se reflétait même sur tes cheveux.

Il t’évoque ses envies soudaines, celle de partager un rêve. Tu avais déjà entendu parler de ça, avec Elhiya. Il fut un temps où la Serpentard t’avait fait part de ses notes concernant un rêve partagé avec un étudiant. T’avais bien envie de tenter un truc comme celui là depuis longtemps. Vous aviez fait plusieurs recherches d’ailleurs à la bibliothèque de Londres, et t’espérais un jour pouvoir mettre en pratique toutes ces lectures. Ton sourcil se lève à cette idée et lui souris avec intérêt. J’aimerai beaucoup, tu sais que j’avais déjà fais des recherches sur le sujet des rêves avec l’infirmière de Poudlard il y a quelques temps de cela. Tu t’approches doucement de la table - et de lui, attraction de l’aimant. Un autre verre volontiers, l’autre je l’ai avalé un peu trop vite, je crois. Regard et sourire complice pendant que tu attends que ton barman personnel te serve Tu voudrais que le rêve soit basé sur une chose en particulier, une idée à faire germer dans nos esprits impurs ? Ton regard se fait - coquin et pleins de sous entendu. Les plaisanteries devaient cesser car tu voulais surtout savoir comment il voulait s’y prendre pour partager votre rêve Tu sais comment on pourrait s’y plonger ensemble, enfin tu as ta propre idée, une potion, ou peut-être autre chose qui pourrait nous emporter vers un monde bien plus majestueux et coloré que celui-ci ?
Un monde kaléidoscopique, et psychédélique qui s’offrirait à vous ~
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Lïnwe Felagünd, le  Ven 13 Déc - 18:27

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Tu plonges la bouteille comme s’il s’agissait d’un sous-marin militaire en exercice. Droite. Gauche. La marche impériale te fait remplir vos deux verres chargés de glaçons tièdes. T’avais rangé non-discrètement ton kiwicot dans la poche avant de répondre à la Poufsouffle. Aussi, elle avait l’air envoûtée par ta proposition, ce qui te fit sourire un instant. Tes sourcils éclaircit ton visage lorsqu'elle te dit qu’elle avait fait des recherches. Vous étiez décidément faits l’un pour l’autre, du moins plus qu’en apparence et ça te rassurait. Tu ne voulais pas la perdre de sitôt malgré tes penchants narcissico-libertaires.

— Surprenant. Tu as fait tes recherches à Poudlard ou à la Bibliothèque Nationale ? Car même si la bibliothèque de l’école était bien pratique, elle ne regorgeait pas de toutes les préciosités que Londres préserve ici ; et ça, tu l’avais compris bien assez vite. Elhiya ? Elle n’était pas n’importe qui pour toi. Elle avait été une cliente avant tout, ironique pour une future infirmière à l’époque. Et puis, elle t’avait sauvé la vie et vous étiez devenus amis au fil des saisons cycliques. Et maintenant, elle aidait ta sœur sur le plan psychologique, à ta demande. Alors, qu’elle s’intéresse au rêve et au monde de l’inconscient était une toute autre évidence pour toi.

Il existe quelques alternatives, mais je n’ai jamais réussi à trouver une solution évidente au Yessod. Tu en as déjà entendu parler ? Le mystère aux portes de tes lèvres enviées. T’avais déjà étudié la question sous tous ses angles, aussi biscornus soient-ils.


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Theya Alomora, le  Ven 13 Déc - 18:34

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Le gin glisse et parcourt tes papilles - liqueur douce et amère flottant sur tes lèvres. L’idée que votre rêve soit influencée par l’alcool te fait sourire un instant - cela le rendrait encore plus fou. Il semble charmé par l’annonce de tes recherches au sujet des rêves, tu prend un air fier. Comme un personnage de dessin animé, vous savez c’est super-héros fier qui se pavanent en gonflant la poitrine, prête à défiler en saluant la foule. Ce n’était pas aussi impressionnant que ça, calme-toi.
Surprenant hein - petit clin d’œil - Non j’ai fais les recherches à la Bibliothèque Nationale à Londres. On avait trouvé pas mal de livres qui en parlait c’était très intéressant. Mais on a jamais pu pratiquer le rêve partagé ensemble. C’était Elhiya oui, tu la connais ? Tes lèvres se figent quand tu prononces son prénom, son prénom signe de - mauvais - souvenir, cousine du Serpent et des secrets que tu avais peur de révéler à Lïnwe. Comment réagirait-il ?

T’es crispée à cette idée, tu serres ton verre un peu trop fort avant de tenter de décontracter tes muscles. Slurp, une nouvelle injection d’acidité provenant de la glace - roulement des yeux dans tes orbites - alors qu’il t’évoque un truc dont tu n’as jamais entendu parlé, ça efface tes pensées le temps de quelques instants. C’est quoi ça ? Un Yessod ? T’es intéressée, toujours en quête de connaissances à acquérir çà et là. Tu hausses le sourcil de curiosité, Enseigne-moi ton savoir Felagünd. Tout sourire les lèvres étirées accompagné d’un regard séduisant tu bois encore une légère gorgée du breuvage sacré. Comme si la séduction servait à quelque chose pour ce genre de situation - pas besoin de ça avec lui, tu le savais bien. Tu te tournes lentement et parcourt la pièce du regard Par contre tu as de quoi faire la potion ? A moins que ce heu Yessod le remplace ?

Grâce à tes recherches tu savais que le rêve partagé pouvait se faire grâce à une potion, dont tu n’avais pas la recette mais tu comptais bien sur Lïnwe pour ça. Peut-être qu’il avait déjà tout prévu ?
Néanmoins tu continuais d’être préoccupée par les projections qui pouvaient faire irruptions dans les rêves, c’était incontrôlable. Lïnwe était au courant de tout, tu n’avais pas de soucis à te faire au sujet de ton père, mais Jace et cette maison… Euh Lïnwe t’as entendu parler des projections dans les rêves ? C’est assez incontrôlable, après comme je n’ai jamais fais l’expérience je ne l’ai jamais vu de mes propres yeux. Mais c’est défini comme des irruptions de personnes, d’événements traumatisants, des choses qui peuvent t'inquiéter ou te perturber à l’instant T et s’incruster dans le rêve.

C’est comme si tu étais en train de faire une introduction à des potentielles révélations. Et s’il pétait un câble et te quittait ? T’es parcourue de frissons rien qu’en imaginant qu’il puisse déjà te quitter pour ça. Alors que t’avais rien demandé, c’était l’autre con qui avait décrété que tu aurais les clés de sa maison. Et t’y avais foutu un peu le bazar avec Loredana, et t’avais un peu beaucoup bu à cette occasion. Enfin t’es au courant de tout, c’est sans importance. Et du passé maintenant que tu es là. Mais j’préfére te prévenir au cas où. Tu fais le tour de la table et dépose un baiser sur sa joue. Alors, on commence quand ? T’avais hâte, malgré tes émotions contradictoires.

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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Lïnwe Felagünd, le  Ven 13 Déc - 18:39

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Tu ne la lâches pas des yeux, analysant chacune de ses réactions, de ses rides encore jeunes qui contrastent sa peau lisse comme la soie - inconscientes ou volontaires. Tu ne la lâches pas des yeux comme si il s’agissait d’une nouvelle âme à croquer. Tel un vampire, tu ne peux t’empêcher d’aimer le goût du sang, de la passion rouge et du parfum ambitieux de résurrection. Résurrection des habitudes affamées. La femme.

Une croix dans la pensée méditative
un chapelet indien autour de ton cou scintille à la
lumière du soleil
vitraux
céramiques évangélisées
des carreaux
une mosaïque esthétique dans la
tête
spirituelle
appuie ta mémoire déjà sculptée
sur-mesure.

— Oui…. elle était quoi, déjà, pour toi ? Elle t’avait bien sauvé la vie, et peu de gens pouvaient se vanter d’avoir fait ça ne serait-ce qu’une fois dans leur misérable vie. Et depuis ce jour-là, t’avais toujours été plus agréable avec elle. Une ouverture, faille intemporelle s’était fissurée en vous. À dire vrai, tu ne te rappelles même plus vraiment ce qui s’était passé ce soir-là. Une dose de trop. C’est une très bonne amie. On a fait quelques expériences ensemble.

Tu ne voulais ni balancer Elhiya pour sa dépendance au kiwicot probablement révolue à l’heure actuelle, ni rendre jalouse ta petite amie. Mais t’avais toujours cette impulsion de piquer les gens, et de te rendre irrémédiablement insaisissable, comme irréel en société. Ça te dérange qu’on parle d’elle ?

Elle semble de plus en plus mal à l’aise, t’explique qu’il pourrait y avoir quelques complications et ça, t’y avais forcément pensé. C’est d’ailleurs pour cette raison en particulier que tu voulais le faire avec elle. Elle n’était pas devenue n’importe qui. Ma foi, tu laisses passer. D'accord. T’étais compréhensif, et un peu trop indifférent. L’heure a sonné et tu te dois de lui fournir quelques explications. Cela fait des années que je fais des recherches sur le sujet. Le Yessod, ça ne te dit vraiment rien ? C’est une légende. Une relique, dit-on, qui permettrait à quiconque l’utilise de pénétrer dans le rêve d’autrui, avec ou sans son accord. Il était utilisé par l’Assassin de la Kabbale.

Tu laisses un temps pour qu’elle ingurgite tout ça, sans te presser, tu bois une nouvelle goulée avant de poursuivre. On pourrait utiliser quelques potions… comme le Faiseur de Rêves, le Rêve Conscient et un petit effet supplémentaire : le kiwicot. Ce n’est pas une expérience sans risques, évidemment. Tu comprends bien ?

Là, t’étais devenu plus sérieux. Y’avait pas de quoi faire les cons et tu n’étais absolument pas certain des conséquences du mélange que vous alliez faire. Il y avait un temps pour tout dans ce genre d’expérimentation et aujourd'hui : vous étiez les cobayes.

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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Theya Alomora, le  Ven 13 Déc - 18:50

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Saison 29 - Été



Il acquiesce non sans avoir besoin de te justifier davantage. C'est qu'il était intelligent le Felagünd. Mais ça continuait de te torturer de l'intérieur. Les organes et les bactéries qui s'entrechoquent et forment une maladie, un symptôme dans ton cas. Un mal de ventre.

Bien avant cela il t'avait interrogé sur la cousine pour savoir si ça te dérangerait de parler d'elle. Crispation de plus dans ton estomac, prête à rendre le gin qu'il t'avait servi. Oui. A vrai dire oui. C'était enfin c'est la cousine de Jace. Et elle ne m'a jamais vraiment tolérer, jusqu'à ce qu'on se sépare. J'avais du mal avec sa relation avec elle, c'était sa cousine et ils avaient couché ensemble… Tu trembles de dégoût à cette image imposée dans ta petite tête. On aura plus vraiment de contact elle est moi. C'est pas plus mal.

L'heure est venu pour lui de te divulguer son savoir secret. Ce qu'il avait probablement pu approfondir en Inde. C'est intéressant tout ce que tu me dis, je ne connaissais pas du tout… fallait bien qu'on se complète après tout. Tu esquisses un grand sourire et dépose ta main sur la sienne. Tu as des bouquins ici sur le sujet ? Sur la légende j'aimerais bien approfondir un peu plus. Mais oui pour le moment des potions suffiraient… tu marques un temps de pause sur les paroles qui suivent et ton kiwicot je commence à bien l'aimer avec toi. Un délicat sourire s'esquisse sur tes lèvres jusqu'à ce que les risques fassent leur apparition dans ton esprit.

Tu prend alors sa deuxième main, c'est le moment ou jamais après tout. Je suis prête à prendre le risque avec toi. Mais je veux d'abord que tu saches une chose. Quand tu étais en Inde… tu laisse quelques secondes s'installer. Jace m'a envoyé une lettre, de là où il est, pleine de promesses. De blablabalabla etc. J'étais en rage, énervée qu'il se permette de me prendre puis de me rejeter comme une chaussette et de revenir comme une fleur dans un courrier pour m'offrir la clé de sa maison familiale.

Tu souffles un coup, guettant une réaction de sa part. Mais tu poursuis malgré que tes mains. J'avais peur de te le dire car je ne savais pas du tout comment tu réagirais. J'y suis allé avec Loredana. On a… cassé pas mal de chose, il n'y avait personne et j'aurai aimé le voir pour lui dire ses quatre vérités. Lui dire que je l'avais oublié et que j'étais avec quelqu'un d'autre. A la place on a vidé son stock d'alcool, pris des bains, manger, et transformer les escaliers en toboggan.

Tu souris avec nostalgie pour ce moment de folie passé avec elle, là où l'idée du tatouage et de la ferme s'étaient officialisées. Je suis désolée de pas t'avoir prévenu avant. J'ai préféré attendre de te voir, mais je ne savais pas ce qu'on allait faire. J'ai préféré que tu saches tout avant, plutôt que je garde le secret et te retrouve avec des projections de la maison de Jace, de moi lisant la lettre. Et maintenant je flippe de ta réaction.
Tu triture tes doigts inlassablement, tu te les rongeais presque tant tu étais angoissée. C'était une partie de lui que tu n'avais encore jamais visité. Et tu espérais que cette lettre n'allait pas tout faire capoter.
Artemis Wildsmith
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Artemis Wildsmith, le  Sam 14 Déc - 21:09

Theya


Il ne peut empêcher les blah blah blah de rouler ses yeux dans les orbites. Les paroles de Theya faisant écho à tout ce qu’il pensait déjà, ce qu’il s’était répété répété répété cent cinquante sept fois chaque nuit, mais cette conversation devenait longue pour l’hyperactivité grattouillante du Loup, et surtout surtout, il n’avait aucune solution à apporter pour rassurer la Poufsouffle. Il décline le verre qu’elle lui propose d’un geste de la main – il n’est même pas midi. Va falloir que tu fasses avec ma p’tite. Il ne sait pas quoi lui dire d’autre, l’inquiétude de la Blairelle exergue la sienne en réalité, lui faisant tapoter le bois du comptoir à son tour, elle mettait des mots sur les dangers qu’il ne considérait que trop bien. Loredana sait pertinemment ce qu’elle risque, et elle restait. Il hausse les épaules, comme si cette histoire ne le regardait pas tant que ça, finalement, moi j’me contrôle pas, si elle est là quand j’me transforme, j’la mange, j’y peux rien ! Ça n’était pas tout à fait sorti comme il le souhaitait. Il s’arrête, ferme les yeux, non, attends, parce qu’il la voyait déjà s’égosiller en roulant des bras, c’que j’veux dire, la langue s’entortille, hésitante, incertaine d’être capable de prononcer de rassurantes paroles, c’est qu’elle est têtue, elle veut être là, et j’en ai marre de m’prendre la tête avec elle à ce propos. Terrible aveu de sa défaite, il avait cédé, concédé à cette déplaisante idée selon laquelle il acceptait, entièrement, qu’elle soit à ses côtes durant ces maudits moments. Loredana aimait prendre des risques, tête de mule bourrée à l’adrénaline, et lorsqu’il était question de sa Lycanthropie, Arty n‘avait pas la force de lutter – Loup-garou qui ne demandait qu’à être papouillé. Comme quoi, ils formaient un couple formidable.  

Le menton gigote pour tenter d’alléger les lourdes pensées. Un regard nonchalant vers la cuisine, Balthy est habitué au bazar, n’est pas l’elfe d’Azarty pour rien, réfléchis un peu Yaya, il y a azar dans son nom, comme bazar. La malice avait doucement refait son nid sur sa bouille de diablotin, la provocation comme parfait moyen de changer de conversation. Et arrête de m’donner des ordres, question de sécurité, j’ai tellement l’esprit tarabiscoté, son doigt s’emmêle dans ses boucles pour signifier la connaissance de sa propre folie, que j’vais faire exactement l’inverse de c’que tu m’dis. Faut pas m’chercher. Réconfortant. Il sourit, adorable ce garçon de la prévenir ainsi. Douce excuse pour qu’elle apprenne à le connaître comme il le fallait.
Retour sur le canapé où il rebondit amusément en soufflant, sinoooon pour répondre à ta question, qu’il prend réellement au sérieux quand bien même la réponse était affichée dans sa poitrine depuis longtemps déjà, pour elle j’irai n’importe où, jusqu’au bout, et si cette romantique réplique ferait une excellente chanson pour le duo Goldman/Dion, les rétines suspendues au plafond révèlent que Loredana avait officiellement pénétré le cercle des proches du Fripon. Aux côtés d’Aza, pour elle, il risquerait tout, sans même cligner des paupières. Incroyable cette façon qu’il avait de jongler entre les extravagances et le sérieux, brillant funambule.

Avant que la tête ne se retourne vers la jeune fille, l’éclabousser de nouveau avec son pimpant égocentrisme. Tu sais, si tu avoues que j’suis charmant, c’pas tromper Lïnwe, il s’en fiche. Les indociles zygomatiques s’amusent en même temps qu’ils réfléchissent. Il y avait dans le couple que son cousin formait avec Theya, quelque chose d’absolument très curieux, c’est que si Arty considérait la Poudlarienne comme enquiquinante, le Fouloulou n’était pas beaucoup plus aimable.
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Theya Alomora, le  Sam 21 Déc - 16:14

Une amitié exceptionnelle.

ft. Arty
Saison 29 - Automne


LA accordé

L'esprit se balade et ton corps est dans l'univers des Witchy Blinders. Frémissante, agaçante, tu n'es qu'une jeune fille en quête de sensations nouvelles. Celles qui te font vibrer, sentir chaque connexion nerveuse de ton corps. T'aimerais créer des déchirures pour sentir chaque centimètre carré de tes membres. T'aimerais, - ferme la.

Les explications avaient fusé. Irritantes et rassurantes. Hérissement de poil incontrôlé, une pulsion primaire venant du lycanthrope. Celle de manger, croquer à pleine dent la gorge dégoulinante de Loredana. Tu visualises une scène que tu espères ne jamais voir, c'est un cauchemar qui ne pourrait être réalité. Les frissons te parcourent et tu t'apprêtes à recommencer une scène digne des plus grands spectacles de Broadway.
Il se rattrape,
avant que tu aies puisses t'exprimer.

Ses réactions et ses répliques te surprennent, comme si tu voyais enfin le Arty que Loredana voyait. Avec sa maladresse mais aussi sa malice, et sa manière de réconforter. Il est même prévenant même si tu ne tiendrais pas compte de son interdiction de donner des ordres, surtout en ce qui concerne ton surnom. Tu verras ça avec Loredana pour le surnom, mais c'est exclusif. Il te rejoint dans le coin salon pour se prélasser sur le canapé et répondre à la fameuse question, jusqu'où irait-il pour elle ?

Jusqu'au bout, et n'importe où.

Tu réfléchi un instant à ses paroles, c'était peut-être la réponse que tu espérais mais tant que tu n'en auras pas la preuve ça serait compliqué pour toi de le croire. Cet instant réconfortant n'a pas enlevé totalement toutes tes inquiétudes car tu ne connais Arty que par Loredana. Même Lïnwe t'en parlait peu, c'était peut-être aussi pour ça que tu avais tant d'inquiétude. Car Arty reste un inconnu à tes yeux, et que vous n'avez jamais pris le temps d'apprendre à vous connaitre.

Tu fais tourner le contenu de ton verre dans ta main, le regard lunaire et figé dans le temps. C'est comme s'il te réveillait en prononçant le prénom de l'amour et tu pouffe-souffles (avoue il est bien mon jeu de mot) de rire, peut-être la seule fois où le Jaune t'a fait rire. Il était en quête de compliment, de prendre une pompe et gonfler ses chevilles comme un ballon à l'hélium.
Le nez froncé et le sourire aux lèvres Nope désolée Arty, tu n'es pas charmant pour moi sans doute le fait que tu sois avec Loredana et notre euh. Comment nommer ça, un passif ? Non c'est trop poussé, enfin quand même. Et ton envie fulgurante d'avoir voulu me rendre chauve m'en empêche. Peut-être aussi trop obnubilée par ton cousin.

Tes zygomatiques s'étirent en pensant à Lïnwe, les joues rosissent, syndrome de l'amour.
Tu sens cette pression, vous savez celle du blanc dans une conversation. Celle qui vous fait perdre vos moyens et parfois vous fait dire n'importe quoi, ou être trop sincère. T'as toujours besoin qu'on te complimente comme ça, en plus c'est pas comme si tu ne te trouvais pas beau et que tu manquais de confiance en toi tu lâches un petit clin d’œil au blaireau avant de poursuivre En fait Arty, j'pense qu'il faut peut-être juste qu'on apprenne à se connaître. T'es avec Loredana, qui est quasiment ma sœur si ce n'est que nous ne partageons pas le même sang, et je suis avec ton cousin. J'en sais rien, c'est quoi tes passes-temps dans la vie à part croquer les gens ? Tu te lèves en faisant un signe d'excuse au jeune loup pour te rendre dans la cuisine et prendre un truc à manger, un brownie. C'est bien ça. Un brownie.
Tu reviens dans la pièce le contour de la bouche plein de miettes chocolatées - coupable de gourmandise - et tend un morceau au garçon Tiens Artyty, tu dois aimer les brownies non ? Faire la paix avec de la nourriture, et un surnom c'est la meilleure chose au monde.
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Artemis Wildsmith, le  Mer 12 Fév - 7:34

Et c'est reparti 😇
Theya


Argument irrecevable, tout simplement. Il avait brutalement éclaté de rire jusqu’à remuer les petits coussins qui ornaient délicatement le canapé. Parce que la Blairelle pensait que le fait qu’il ait voulu la rendre chauve le rendait moins charmant à ses yeux – balivernes ! Un détail amusant, une simple anecdote à raconter aux autres, rien de bien effarant. J’ai presque vidé Loredana de son sang, elle me trouve très charmant. Oui, alors, malgré le sourire en coin logé sur ses lèvres taquines, cette intervention n’était peut-être clairement pas une excellente idée. Décidément, cette conversation mettait à mal certaines fondations de sa relation avec Loredana. Se rendre compte qu’il y avait certaines choses qui clochaient sérieusement.
Il s’en fichait.
Tout comme il se fichait complètement d’être vu tel un égocentrique qui ne réclamait que des compliments – légitimes qui plus est – de la part des Autres Ennuyants. Qui n’aime pas être complimenté ? Des hypocrites ces gens. Bien sûr, ce n’est là que l’intériorité du Wildsmith, mais la narratrice sait pertinemment que derrière les airs espiègles et la mégalomanie se cache l’ombre d’un manque de confiance, gigantesque, prête à l’avaler complètement au moindre raté.

Il observe la jeune fille se rendre dans la cuisine en levant les bras, signe d’interrogation. Si tu veux vraiment manger, j’peux t’faire à manger ! Il crie de l’autre côté de la pièce, avant de souffler de désespoir en voyant Theya armée d’un brownie. Je répète : il n’est même pas midi. Il refuse catégoriquement le morceau tendu, c’était pour le dessert, le goûter, mais certainement pas pour l’apéro. Tiens, ça c’était un des passe-temps du Fripon, j’aime bien cuisiner, des choses bonnes, saines, il articule précieusement les syllabes afin que la Poufsouffle lâche brutalement son brownie en se rendant compte de son innommable bêtise. Et à part ça ?
Que faisait Arty de son temps libre ? Fouiller ses loisirs et plaisirs le fait remuer sur le canapé, s’asseoir en tailleur pouvait l’aider à réfléchir davantage. C’est vrai que j’aime bien croquer les gens, m’attirer des ennuis, pour éviter l’Ennui avec un E. Mais sa personnalité n’était pas seulement sanguinaire et bagarreuse, il y avait bien autre chose.
Ah ! Il se lève brusquement pour rejoindre le derrière du comptoir et en extraire plusieurs bouteilles. La dangerosité n’effleure même pas les boucles enthousiastes de montrer leur talent. Des années d’entraînement, je jongle très bien. Et c’était absolument vrai. Combien avait-il de bouteilles ? Trois dans les mains une deux sous les bras, cinq.

Habiter ensuite le salon comme s’il s’agissait d’une scène grandiose illuminée afin de commencer sa démonstration. Faire voler une à une les bouteilles n’était pas tâche aisée, notamment parce qu’elles ne pesaient pas le même poids, adapter le lancer et la réception à chacune. La bouille extrêmement concentrée - qu'est-ce que c'était rare ! - et les yeux focalisés sur chaque bouteillle envolée avant qu'elle ne redescende dans un rythme endiablé. Dans ses oreilles, il pouvait entendre les roulements de tambours symboles du suspens. : allait-il en faire tomber une ? Au bout de quelques minutes de d’impressionnantes voltiges :
Absolument pas. Tadaaaaa ! Courbette de salutation et oui oui oui, il entend bien au loin des millions de bravo qui résonnent dans son cerveau fier. J’peux t’apprendre si tu veux ! Enfin, il était sûrement meilleur jongleur que professeur. Il repose les bouteilles soudainement rassurées de ne pas avoir explosé avant de terminer : j’aime bien les feux d’artifice aussi. Il faudrait qu’il plonge les bouclettes dans ce fameux projet de créer ses propres feux d’artifices magiques. Un jour.
Oui en réalité, avec ces activités favorites, il ne faisait aucun doute qu’Arty était un clown acrobate joyeux. Et toi, Theya, qui es-tu ? Reprendre place dans le canapé, attentif. Vite, ça ne durerait pas.
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