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[Habitation] 7bis Old Queen Street
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Artemis Wildsmith
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Artemis Wildsmith, le  Mer 12 Fév - 7:34

Et c'est reparti 😇
Theya


Argument irrecevable, tout simplement. Il avait brutalement éclaté de rire jusqu’à remuer les petits coussins qui ornaient délicatement le canapé. Parce que la Blairelle pensait que le fait qu’il ait voulu la rendre chauve le rendait moins charmant à ses yeux – balivernes ! Un détail amusant, une simple anecdote à raconter aux autres, rien de bien effarant. J’ai presque vidé Loredana de son sang, elle me trouve très charmant. Oui, alors, malgré le sourire en coin logé sur ses lèvres taquines, cette intervention n’était peut-être clairement pas une excellente idée. Décidément, cette conversation mettait à mal certaines fondations de sa relation avec Loredana. Se rendre compte qu’il y avait certaines choses qui clochaient sérieusement.
Il s’en fichait.
Tout comme il se fichait complètement d’être vu tel un égocentrique qui ne réclamait que des compliments – légitimes qui plus est – de la part des Autres Ennuyants. Qui n’aime pas être complimenté ? Des hypocrites ces gens. Bien sûr, ce n’est là que l’intériorité du Wildsmith, mais la narratrice sait pertinemment que derrière les airs espiègles et la mégalomanie se cache l’ombre d’un manque de confiance, gigantesque, prête à l’avaler complètement au moindre raté.

Il observe la jeune fille se rendre dans la cuisine en levant les bras, signe d’interrogation. Si tu veux vraiment manger, j’peux t’faire à manger ! Il crie de l’autre côté de la pièce, avant de souffler de désespoir en voyant Theya armée d’un brownie. Je répète : il n’est même pas midi. Il refuse catégoriquement le morceau tendu, c’était pour le dessert, le goûter, mais certainement pas pour l’apéro. Tiens, ça c’était un des passe-temps du Fripon, j’aime bien cuisiner, des choses bonnes, saines, il articule précieusement les syllabes afin que la Poufsouffle lâche brutalement son brownie en se rendant compte de son innommable bêtise. Et à part ça ?
Que faisait Arty de son temps libre ? Fouiller ses loisirs et plaisirs le fait remuer sur le canapé, s’asseoir en tailleur pouvait l’aider à réfléchir davantage. C’est vrai que j’aime bien croquer les gens, m’attirer des ennuis, pour éviter l’Ennui avec un E. Mais sa personnalité n’était pas seulement sanguinaire et bagarreuse, il y avait bien autre chose.
Ah ! Il se lève brusquement pour rejoindre le derrière du comptoir et en extraire plusieurs bouteilles. La dangerosité n’effleure même pas les boucles enthousiastes de montrer leur talent. Des années d’entraînement, je jongle très bien. Et c’était absolument vrai. Combien avait-il de bouteilles ? Trois dans les mains une deux sous les bras, cinq.

Habiter ensuite le salon comme s’il s’agissait d’une scène grandiose illuminée afin de commencer sa démonstration. Faire voler une à une les bouteilles n’était pas tâche aisée, notamment parce qu’elles ne pesaient pas le même poids, adapter le lancer et la réception à chacune. La bouille extrêmement concentrée - qu'est-ce que c'était rare ! - et les yeux focalisés sur chaque bouteillle envolée avant qu'elle ne redescende dans un rythme endiablé. Dans ses oreilles, il pouvait entendre les roulements de tambours symboles du suspens. : allait-il en faire tomber une ? Au bout de quelques minutes de d’impressionnantes voltiges :
Absolument pas. Tadaaaaa ! Courbette de salutation et oui oui oui, il entend bien au loin des millions de bravo qui résonnent dans son cerveau fier. J’peux t’apprendre si tu veux ! Enfin, il était sûrement meilleur jongleur que professeur. Il repose les bouteilles soudainement rassurées de ne pas avoir explosé avant de terminer : j’aime bien les feux d’artifice aussi. Il faudrait qu’il plonge les bouclettes dans ce fameux projet de créer ses propres feux d’artifices magiques. Un jour.
Oui en réalité, avec ces activités favorites, il ne faisait aucun doute qu’Arty était un clown acrobate joyeux. Et toi, Theya, qui es-tu ? Reprendre place dans le canapé, attentif. Vite, ça ne durerait pas.
Lïnwe Felagünd
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Lïnwe Felagünd, le  Dim 16 Fév - 23:52

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→ Lien des deux achats (déjà payés).

Tu le vois à son air, nerf de crispation / qu'elle est pas du tout à l'aise avec ça. Tu comprends rapidement qu'Elhyia est une personne à traumatisme pour elle. C'est bizarre, parce que c'est le total opposé pour toi. C'est une maman poule qui te comble de miel. C'est dommage, parce que c'est une fille bien. Tu disais pas ça parce qu'elle avait couché avec son cousin, d'ailleurs ça ne la regardait que elle. C'est malsain, ok. Mais c'est pas une raison pour la rayer de ta mémoire sélectivement expressive.

Un signe négatif de la tête. Non, y'a un bouquin qui en parle à la Bibliothèque Nationale. Mais c'était le moment pour toi d'acheter tous les livres qui t'intéressaient et de les stocker ici. Le côté pratique d'avoir un manoir, c'est clair. Elle te tient les mains, t'explique quelque chose que tu ne saisis pas tout de suite. Attends. Mouvement de recul. Elle te faisait quoi là, comme plan ? Tu voulais pas de truc à trois, et au fond t'angoissais à l'idée qu'elle t'ait trahi. T'étais à deux doigts de lâcher prise. De tout plaquer. De lui balancer ton verre au visage. C'était la première fois que ta vélanité s'enflammait.

Finalement tout va bien, elle n'a que saccagé la maison de son ex. Avoues, sur le coup / ça te rassure. Ça te rassure. T'aimerais pousser le vice jusqu'au bout en lui proposant de coucher avec elle dans son lit - mais t'avais d'autres préoccupations. En vrai, elle avait un côté tout mignon. Ce que t'admirais le plus chez les autres, c'était sans doute leur franchise. Être honnête. C'était un don assez rare par ici. Et toi, si tu devais être franc tu dirais qu'un petit flirt ou deux en Inde t'avais titillé les esprits quelques temps.

Tu souris d'un sourire conservateur. Enroules vos doigts de jeunes adultes. T'inquiète. C'est adorable d'avoir été si sincère avec moi. C'est que tu serais presque en haut de la liste de mon estime ! que tu balances en riant, mais en étant sérieux à la fois. Le sarcasme te plaisait. T'habillais souvent tes phrases avec.

Si il n'y a plus rien entre vous, il n'y a plus rien entre vous. Tu finissais ton verre avant de l'inviter au deuxième étage : direction ta chambre. C'est ma chambre. Un grand lit pour deux. Tu te diriges vers le placard, sortant d'une mallette quelques fioles au luxe peu commun.

T'énumères faiseur de rêve
rêve conscient
. Le capteur de rêve est suspendu au-dessus du lit
un gros kiwicot est déjà posé sur la table de chevet.
Il n'y avait que votre envie
meurtrière pour accomplir votre
rêve aujourd'hui.
Theya Alomora
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Theya Alomora, le  Mar 24 Mar - 17:55

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Substances illicites








Une amitié exceptionnelle.

ft. Arty
Saison 29 - Automne


LA accordé

La saveur du chocolat sur tes lèvres,
Ce sucré,
Cette fève si précieuse,
Les noix craquantes,
Hmmm

Un plaisir, un soupire de satisfaction, et des cœurs dans les yeux. Tu salives, de bonheur et de plaisir gustatif. Un sourire bêta sur les lèvres, vous savez ce pincement de lèvres étiré par les zygomatiques. Les yeux plissés, tel un personnage de manga. Oh que tu aimes la gourmandise, probablement l'un de tes plus gros péchés au niveau gustatif. Alors, quand il te propose de te faire à manger ce sont de grands yeux illuminés qui s'ouvrent sur son âme, comme si un Arty le petit diablotin c'était transformé en un ange envoyé du ciel. Oh ouiiii !! S'teuplait ! Tu peux m'apprendre à cuisiner un peu ?

C'est pas parce que tu venais d'engloutir un brownie que ton appétit allait diminuer, l'heure de déjeuner avançait et il serait bientôt temps de dévorer un plat délicieux et Pas empoisonné évidemment ! Petite tête auréolée. Il n'allait tout de même pas en profiter pour se débarrasser de toi. Clairement pas, car tu le vois s'emporter, et se transformer en troupe de cirque à lui seul. Hormis ses crocs bien aiguisés, il est vrai qu'il savait quand même faire des choses assez jolies à voir. Un spectacle à lui seul, pourquoi pas tuer des gens sur scène tout en faisant un spectacle de jonglage après pour fêter ça ? - Ta narratrice déraille Les applaudissements de la foule - toi et ta personnalité seulement - en fond sonore, un étirement des lèvres roses contrastées par tes dents blanches et un Bravoooo !

Comme une enfant émerveillée face à un tour de magie - les étoiles plein les yeux - qu'il t'annonce qu'il s'intéresse aussi aux feux d'artifice. Le pouvoir de l'homme d'illuminer le ciel de par des explosions d'étincelles colorées, tu sautes les mains jointes excitée par cette annonce. En fait le Poufsouffle n'était pas aussi mauvais que tu le pensais, c'était un homme de spectacle, il aimait en mettre plein les yeux et savourer l'exclamation de bonheur de ses spectateurs, mais à sa manière il apporte le bonheur et le rire comme durant ce court instant. J'veux bien que tu m'apprennes à jongler ! Tu vas saisir une des bouteilles qu'il vient de poser, Et les feux d'artifice c'est tellement, époustouflant ! Un ciel illuminé de mille-et-une couleurs !  

Par quoi commencer, qui es-tu réellement Theya ? Le savais-tu vraiment du haut de tes dix-sept ans ? Agitant nerveusement la bouteille tu commences à tourner sur toi-même Et bien, j'aime beaucoup lire, surtout sur la médicomagie et les animaux ! Tu fais de grands pas aller-retour autour du canapé J'pense que tu le sais déjà mais je suis stagiaire à la Boutique des animaux magiques, animaux étant ma première passion avec la médicomagie j'aimerais allier les deux... Tu souris en t'entendant évoquant ton possible avenir dans la magizoologie J'aime voyager et découvrir de nouveaux endroits, je suis déjà allée en Inde quand Lïnwe y était ! Et à Paris avec Loredana, j'aimerais voyager davantage quand je quitterais Poudlard. Attention face à la nostalgie de ces instants qui te rattrape - Et j'aime faire la fête ! J'aime l'art en général aussi, toutes ces formes. Pour ça que j'étais tant illuminée face à ton spectacle ! T'agites la bouteille en direction du blaireau Bon allez ! On commence quand ! Et par quoi ? Cuisine ou jonglage ?



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Saison 29 - Été



La pression, le sang comme figé et glacé dans tout ton corps. Attendant les formules de délivrance, comme ligotée face à ton destin. Celui où il te repousse, ou celui où il reste.
Tu avais bien vu son recul - ton cœur en avait loupé un battement. Plus de peur que de mal avec cette histoire. Ton sourire fini par retrouver sa place, là, sur tes lèvres roses. Soulagée par ses paroles - une pommade apaisant ton âme.

Tu hausses un sourcil délicatement épilé lorsqu'il évoque sa liste d'estime, t'aimerais lui glissé un presque en haut hein ? Mais tu te ravises, à quoi bon c'était un éternel électron libre, qui ne respectait que son propre libre arbitre. Même si vous deux, ce n'était pas rien, tu le savais, tu le sentais au plus profond de toi. Battant comme le sentiment de rage, palpitant, exaltant, cette relation était changeante pour toi. Elle était pleine de saveurs nouvelles, jour après jour et tu ne t'en lassais pas - tu ne te lasserais jamais avec lui.

L'ennui avait été mis à la porte depuis que vous étiez ensemble et voilà que même aujourd'hui, avec une soudaine retrouvaille vous vous apprêtiez à faire une chose dont tu étais à peine préparée. Mais qu'importe, - il faut vivre, avant de mourir - philosophie de vie. A quoi bon ne pas profiter avant le point final de ton histoire ?
Les jambes le suivent comme si t'étais ensorcelée par son charme - t'inspirais le bonheur et l'amour - jusqu'à sa chambre. T'as presque envie de lui suggérer une toute autre activité bien plus sportive que dormir et rêver d'aventures curieuses et psychédéliques.

Tu gardes le silence pour l'observer sortir son attirail, pendant que tu viens effleurer le lit de tes doigts fins, déposant ton fessier sur le matelas en faisant des petits rebonds dessus Confortable... que tu murmures comme un souffle sur tes lèvres. Les fioles qui viennent se présenter à toi, un faiseur de rêve et rêve conscient. Tu te lèves et les saisis dans tes mains comme émerveillée par le contenu des fioles, des potions dont tu avais déjà entendu parler pour ton projet avec Elhiya. T'observes autour cherchant la saveur exotique qui est là, sur la table de chevet. Attendant vos crocs pour vous envoyez vers des cieux inexplorés.

T'attrapes sa main pâle pour t'approcher de lui et dépose un baiser sur ses lèvres impures. On se lance ? - murmure plein de promesses - Tu l'entraînes jusqu'au lit, les fioles toujours dans ta main et t'assois en tailleur face à lui, comme deux enfants à une soirée pyjama. Tu saisis la grosse graine de kiwicot que tu poses au milieu de vous deux. Le laissant faire le dosage lui-même afin que la prise ne soit pas trop grosse pour toi.
Tu lèves une fiole, et lui donne l'autre Moitié chacun, après on échange ! Tu poses la fiole du faiseur de rêve sur tes lèvres pour en déverser la moitié du contenu - tu louches - et attrape l'autre fiole pour en déverser également la moitié. Le kiwicot, du moins la part qu'il t'avait réservé dans ta main fini dans ta cavité buccale.

Étendue tu es,
Sur le matelas confortable,
Une main contre la sienne,
Les yeux papillonnent et se ferment.
Pour t'emporter dans un monde inexistant,
Utopique,
Propre à vous.
De la création pure.

Cela sera votre enfant,
chéri pendant quelques heures.

Pour l'heure,
il n'y a que des étoiles au-dessus de vos esprits illuminés,
en quête de création artistique et spirituelle illimitée.


Lïnwe Felagünd
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Lïnwe Felagünd, le  Sam 28 Mar - 16:06


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Vous êtes assis sur ton matelas comme si il s'agissait d'une nouvelle nuit en pyjamas. Deux âmes perdues - toi l'errant, et l'enfant accouchant tes désirs tordus mais tendancieux sur le lit. Le drap tâché de votre imagination nouvelle par dessus les têtes attentives. Tentative des bougies qui tamisent la scène oratoire. Et plongeant tes yeux dans les siens, tu croques un kiwicot en deux. T'en prends une bonne partie (l'esprit du sacrifice qui te sied si sarcastiquement bien).

T'es un visionnaire / t'as la vision hallucinatoire. Tu racontes des histoires dont tu ne connais même pas la fin-faim insatiable du risque impénétrable de ton subconscient. T'as toujours été fasciné par l'onirisme. C'est un fantasme. Le besoin irrépressible de rencontrer ta chimère. Le manque irrespectueux qui t'anime au petit matin. La sensation de devoir en faire plus. D'aller au bout du chemin non-tracé.

Des fourmillements t'excitent jusque dans les ongles blancs.
T'arbores un sourire qui se mêle à de l'inébranlable
vous êtes inébranlables, c'est vrai /là\ tu prends un flacon
puis l'autre à la suite

tout ça c'est votre volcan à vous
votre monde qui s'ouvre à vous
cet ouvrage à l'intention idiote mais juste.


Toute cette existence se met à tourner. Les tableaux bougent un peu trop vite, se désaturent au rythme de votre tourmente collective. Les peaux deviennent flasques. Vos iris hideuses. Tu décides de t'allonger, tentes vivement de fixer ton triple capteur de rêves² qui diffusent des effluves apaisantes / en vain. C'est le vin de la vie qui t'élève à nouveau. Tu finis par fermer les yeux qui s'étiolent comme une rivière exotique. Attends éperdument que tout ça fasse effet, main dans la main, comme deux amants suicidaires.

[...]


Le froid s'étire.
Des escaliers vous encerclent de partout. Descendants. Montants. Le Monde s'ouvre en pâte à modeler. Vous êtes sculpteurs ici, faiseurs de poterie et mannequins en pâture. Tout à est redéfinir. / Il y a ses escaliers (symbole unique de votre emprisonnement psychique) qui s'étalent sous vos pieds et au-dessus de vos crânes chétifs. Bienvenue dans l'antre de votre subconscience. Un écriteau sur le côté indique « Les Docks » : signe d'une escapade dangereuse. Ça te rappelle pas de bons souvenirs. Un truc dont, décidément, il fait toujours partie de toi. Tu préfères prendre l'ascendant. Une odeur grotesque dans l'air. Tu saurais pas définir quoi exactement. Comme un goût de sueur. Celle de Theya.

²:
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Theya Alomora, le  Mer 22 Avr - 0:33

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Décès






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Saison 29 - Été



Lovers Death

Le froid, les sensations envahissent ton corps.

Les yeux indéfiniment fermés,
Ouvert sur le monde de la création.

La création labyrinthique de vos âmes et pensées mêlées.
Combinées.

C'est des escaliers tout autour de vous, que tu regardes, d'un air enchantée.
Une rambarde, en métal que tu touches, comme celle d'un hôpital.
Tout te semble blanc, et aseptisé. Pure. Une toile vierge sur laquelle vous devez déposer vos couleurs de vérités.

T'observe et prends la main de l'être aimé, tremblante. Il est bien là, avec toi. C'est ton ancre, celui qui te ramènera à la réalité. Ton totem.

Allons par là Tu descends la première marche, les jambes quelques peu hésitantes. Est-ce la bonne direction ? - vous vous enfoncez dans le Tartare de vos âmes.

Le Styx pourrait bien couler autour de vous, que rien ne pourrait vous vaincre car tout ceci n'était que la création de vos subconscients perturbés.
Les marches blanches s'arrêtent sur un palier, avec le choix de trois portes.

L'ambiance change, devient sombre.
Une pièce noire où le choix est obligatoire. Une porte de bois, une de métal illuminée d'une lumière au dessus, d'un néon grésillant. Et la dernière, celle de ta maison, à Paddington.
Tu l'entraînes, avec toi.
Tu as ce besoin de savoir ce qui t'attire, pourquoi cette porte est-elle là.

Les pas, l'un après l'autre. Tu le regardes un instant, cet instant où tu as besoin de voir, d'être sûre qu'il te suivrait quoiqu'il arrive, quoiqu'il voit.

La poignée que tu enclenches, un jet de lumière vous encercle. Change l'environnement sombre. Vous êtes dans une chambre d'hôpital.

Il y a un homme etendu sur le lit, il est entouré de machines. Les yeux clos, tu entends le bip insupportable des battements de son cœur. Une autre porte s'ouvre, vous êtes spectateurs de la scène que tu as vécu des années plus tôt. Mais ton souvenir est falsifié.

Ici seulement ta mère rentre dans la chambre, elle n'est pas accompagnée de ton frère et toi.
Elle s'approche de l'homme à qui tu devais ta création.
Dans une pulsion tu te colles contre le corps de Lïnwe, tu as plus que besoin de lui. Tu serres sa main aussi fort que possible.

Tes yeux sont figés, sur les gestes de ta mère qui s'approche de lui. Ta mère qui, caresse ses cheveux.
Les larmes se mettent à envahir tes muqueuses. Je t'aimerais toujours. Que tu l'entends murmurer, après avoir déposer un baiser sur son front.

Ces mots raisonnent comme une vibration dans ton corps.
Comme le choc d'un défibrillateur,
Prêt à te faire succomber.

La douleur se repend,
De ta poitrine jusque dans la pulpe de tes doigts.

Tu deviens pâle - morte de sentiments, morte de peur.

Ta respiration est saccadée, par la colère, la tristesse, la fausse trahison, la crainte d'une mère qui même après ce que son époux avait fait pouvait continuer d'aimer son mari. Qu'elle le choisisse, c'était là tout le problème. Qu'elle le choisisse. Qu'elle ne t'ait pas soutenue, entendue dans les passades les plus difficiles de ta vie.

Le bip éternel raisonne, alors que tes larmes coulent sur tes joues.
Envahie d'une tristesse infinie, une colère exacerbée par le kiwicot. Tu te blottis contre l'ange alors que la chambre s'efface dans un nuage de fumée, laissant place à nouveau aux escaliers montants et descendants.

Les larmes coulent sur son épaule,
Tu le sers contre ton corps, emprisonnant son torse dans tes bras menus,
Tu mords de douleur, intérieure,
son t-shirt.

Ne me laisses jamais.

C'est une promesse que tu souhaites que l'on t'accorde. Afin de sceller et d'empêcher l'abandon.
Mais l'abandon est inévitable.
Le jour où ton cœur s'arrêtera,
Tu abandonneras les âmes qui te seront chères.
Et ils t'abandonneront,
En restant sur Terre.


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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Lïnwe Felagünd, le  Lun 11 Mai - 22:44

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Erotisme,  Violence (physique)





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Les scènes se déforestent au rythme de vos subconsciences qui s'effritent. Des escaliers se reforment, ça-et-là vers un nouvel acte. Un théâtre improvisé, hâtif et rocambolesque, qui ne manque ni de suspens ni de rebondissements scénaristiques. Peut-être simplement d'acclamations. Le public de votre conscience est timide.

Vous êtes rapidement plongés dans un décor qui pue l'anesthésie et les produits chimiques des cliniques. Le rythme cardiaque ponctue la musique. Un homme est plongé dans le comma et ça te fait forcément penser à ta petite sœur Elhëna. Sur le côté, tu vois un autre lit que Theya - obnubilée par ce souvenir probablement traumatisant - ne semble pas apercevoir. Un corps blanc est bordé sous ses draps. Une fleur fanée sur la table de nuit, qui indique ta dernière visite.

Tu secoues nerveusement la tête.

Quelques gouttes de sueur froide viennent couler le long de ta nuque. Horrible sensation. T'as l'impression qu'on te plonge dans une baignoire congelée de cauchemars. Tu sens l'angoisse envahir le corps et l'esprit corrompu de ta petite amie. / Vous retrouvez finalement les escaliers. Tout se passe à la fois très vite, à la manière des visions épisodiques qui pop comme des bulles de dessin animée. Et très lentement, parce que vous avez le temps de souffrir, bizarrement. Pourquoi ne verrait-on que vos confessions ? — Tu l'embrasses dans le cou, mais ce n'est pas un de tes baisers sensuels qui fondent sous la peau. C'est un baume, un réconfort qui sonne comme une promesse muette pendant que vous continuez d'avancer dans votre périlleuse idylle. J'te poserai pas de questions si tu préfères pas y répondre... oublie pas qu'on pénètre dans notre inconscient... ça peut être tout et n'importe quoi ! De simples souvenirs aux délires pulsionnels. T'as l'impression de parler au ralenti, c'était assez flippant mais tu sens ni ta langue ni tes lèvres ni tes dents ni ta mâchoire.

Sur la route, vous apercevez des cerveaux coulant comme du fromage, difformes et volant comme des libellules. Des pendules humides qui courent en torsades. T'y es peut-être pour quelque chose. Ton esprit est rempli d'absurdités surréalistes comme celles-ci, entre horreurs de mort et pulsions de vie pornographiques. / S'érigent droit devant, au rythme de votre marche, des piliers gigantesques : vestiges de votre propre oubli royal.

Sur votre droite un rideau rouge sang dégouline des colonnes. T'y passes ta tête et pénètres dans une salle totalement noire. Un cri te fend la tête en deux (le tien, je crois ?) et des flashs viennent perturber ta vision. Tu vois ce petit blondinet devant que t'avais humilié dans les toilettes y'a deux ans. Le pantalon baissé et le cul dans la pisse. C'était un de ses traumas que tu ne contrôles absolument pas. Tu ne sais plus faire de distinction bien-mal car ta mégalomanie est trop haut placée. Elle trône d'ailleurs fièrement sur le balcon : un énorme sourire goguenard vous fait face. Deux et trois flashs encore viennent te désarçonner. Tu lâches la main de la Poufsouffle. C'est quoi ce bordel ? Silence et clair-obscur. Des gémissements, sexuels, vous conduisent jusqu'au lit nuptial. Ça sent les épices, la cannelle et le sperme. Quatre jambes écartées frémissent sous vos nez, scotchés par la violence de votre somnolence.

Theya Alomora
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Re: [Habitation] 7bis Old Queen Street
Theya Alomora, le  Mer 17 Juin - 15:42

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Saison 29 - Été



Madness

C'est un mutisme symbolique et des paroles prévenantes qui viennent te guider dans les méandres chaotiques de l'esprit de ton amour. Des objets, tous aussi surprenants et rocambolesques les uns que les autres, il était certain son subconscient était ampli de folie et totalement désorganisé. Des choses fantastiques et inexistantes dans la vie réelle, un environnement que jamais tu n'aurais pu voir ni imaginé en étant totalement consciente. C'était bien l'intérêt du rêve, pouvoir s'évader dans un monde parallèle auquel vous serez confronté peut-être aux souvenirs douloureux et désirs inavoués.

Une expérience redoutable qui pouvait vous coûter autant à l'un comme à l'autre, des secrets pouvaient être révélés mais c'était aussi avec toute la confiance que tu lui accordais que tu avais accepté une telle expérience. Droguée, perdant pied face aux images délirantes ta tête tourne légèrement comme si des petites abeilles rôdaient autour de ta tête, faisant flotter quelques mèches de cheveux comme si tu étais sous l'eau. Ou était-ce toi qui flottait ? Comme dans un nuage, visitant les sillons du cerveau humain.

Tu le suis inconsciemment dans cette pièce noire où une scène se présente, un petit le cul à l'air, baissage de pantalon à la mode des bizutages d'université. Tu restes de marbre, trop perturbé par ton esprit kiwicoté qui commence à te faire pâlir doucement. Comme une sensation de rejet, des palpitations lentes mais rapides à la fois, tes cils qui se bousculent les uns contre les autres alors que sa main te lâche pour qu'il s'avance, vers ce qu'il ressemblait à un lit.

Un lit.

Ta main te passe sur le front pour en tirer les cheveux en arrière et tenter en vain d'ouvrir grands les yeux face à la scène que tu vois, sous ton regard impuissant. T'es prise d'un haut-le-cœur, bloqué par ta main devant la bouche. Tout s'enchaine, un cris de jouissance, une odeur épicée familière, les jambes qui tremblent satisfaites du plaisir charnel. Des images qui se font floues, alors que t'aimerais juste arracher les cheveux de cette gonzesse mais ton état ne te le permet pas. Tu te tournes vers lui, t'arrives même pas à parler sans quoi un vomi probablement psychédélique allait vous entourer comme dans une marre multicolore. Tu dois te réveiller, là tout de suite.

Le rêve est trop puissant,
ou est-ce les effets du kiwicot ?


Le mélange de la drogue et de l'infidélité va te tuer.

Tu te mets à courir, fuir, cherchant la chute qui te permettra de te réveiller en le bousculant d'un coup d'épaule.
La vision n'est plus là t'es devenue presque aveugle, tu es guidée simplement par tes mains qui touchent ce qui semble être une rampe. Si c'est un rêve, tu ne peux pas mourir. Cela te réveillera.

T'étais persuadée par cette idée. Les mains engourdies et maladroites te font passer de l'autre côté de la rambarde, aveuglement, alors que tu lâches prise en basculant dans l'infinité des escaliers. Le vide t'attends, fouettant tes cheveux pendant deux secondes.


Ton corps sursaute, tu te redresses pour t'asseoir sur le lit, les yeux humides, le souffle saccadé.
Était-ce vraiment un rêve ? Et le souvenir de cette sensation nauséeuse au creux de ton ventre reprend. Elle ne t'avait laissé que quelques secondes de répit pendant la chute, tu vivais probablement ton premier bad-trip.

Tu cours et fais tomber des objets posés sur les meubles pour te retenir de tomber dans le chemin qui te mènera enfin aux toilettes. Enfin.

Ton âme se vide, pendant un long moment. Parcourue de sueurs froides, l'eau perle sur ton corps alors que tu es enfin soulagée du poids qui pesait sur ton estomac. Tu t’assois sur le côté des toilettes les genoux repliés sur ton buste et la tête entre les jambes. T'as les yeux fermés et t'essaies de te soulager et de sentir la fraîcheur du carrelage, avant de t'occuper de cette scène à laquelle tu as du faire face.


Lïnwe Felagünd
Lïnwe Felagünd
Gryffondor
Gryffondor
Année à Poudlard : Diplômé(e)

Matière optionnelle : Arithmancie

Spécialité(s) : - Demi-Vélane
- Permis de transplanage


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Lïnwe Felagünd, le  Sam 27 Juin - 22:45

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Insultes/Vulgarité,  Substances illicites





WE BUILT OUR OWN WORLD
— Autorisation du propriétaire / ft. Theya Alomora / LA partagés / Été saison XXIX / Musique

Tu ne mettras pas longtemps avant de chuter vers ce réalisme hasardeux. Ce monde qui pue l'angoisse et la virilité réaliste. Une longue chute, parce que t'as suivi le chemin de Theya par-dessus la rambarde. C'était assez horrible, d'ailleurs. Tu la vois encore partir en courant, la main sur la bouche et les yeux plein de larmes. T'aimes pas trop la voir aussi mal. Vous avez p't'être été un peu trop loin aujourd'hui, c'est ce que tu craignais mais... c'était plus fort que toi. Tu lui avais demandé. Et elle avait accepté, parce que rien ne pouvait vous arrêter ensemble. Sauf peut-être cette vision pornographique terrible.

Tu rouvres les yeux. Tu repères le plafond puis les murs de ta chambre, ça tourne encore un peu autour de toi. Ta perception est corrompue et accrue par l'effet du kiwicot. Tu prends quelques secondes à te remémorer ce qui s'est vraiment passé. Tous les épisodes fantasques et absurdes auxquels vous avez participé. Puis la fuite de ta petite amie. La chute des objets alentours. Tu vois des cadres photos parterre et un livre ouvert, qui gît sur le parquet. Et puis plus loin, la lumière des toilettes allumées.

Prestement, tu la rejoins. Tu sais qu'elle est là. Agenouillée parterre entre la cuvette et le mur et pleurant toutes les chaudes larmes de son corps refroidit par l'infidélité. Mais c'est pas vraiment ce qu'elle croit. Elle croit avoir vu quelque chose. Mais ce n'était rien qu'une vision. Et t'as seulement flirté avec ces nanas. Ou alors, t'as suffisamment modifié la véracité de tes souvenirs pour l'avoir oublié. Tu t'assois à côté d'elle. T'es vraiment pas bien. T'es mal. T'as pas envie de la perdre et pourtant tu ressens déjà le fossé qui vous sépare.

C'est... pas ce que tu crois avoir vu
Je te le promets
il est parfois plus facile de mentir que de dire la vérité
pour ne pas faire souffrir les autres.

Un vilain dilemme entre le sens moral et la bienveillance.

Tu crois que c'est le moment ?
C'est quoi ton excuse, Lïnwe, pour avoir niqué une fille en Inde alors que je t'attendais ici ?!


Ce sont des visions amplifiées et absurdes...
Entre ce qu'on s'est ingurgité de potions et de kiwicot
c'était pas étonnant de la voir ainsi dans tous ses états.

Elle te repousse. Et pour la première fois, t'as l'impression que tu la dégoûtes.
T'en es profondément humilié, au fond de toi.

Elle ressemblait à un pavé qu'on aurait foulé, écrasé des siècles durant.
Lassée. Lessivée par toutes ces émotions qui la submergent
et la réalité qui la dépasse. Elle se sent mal ici et tu l'as déjà compris depuis bien longtemps
c'est p't'être pour ça que tu t'es mis à prendre du kiwicot y'a de ça des années
alors que tout semblait s'effriter autour de toi, comme un vieux tableau qu'on aurait laissé moisir au fond d'une cave.

Je m'excuse si je t'ai fait du mal...
T'aurais jamais dû lui proposer cette expérience
c'était pas une bonne idée de la pure folie
comme tu l'aimes tant, et pourtant... pourtant ça fait des ravages
à chaque fois.

Dis-moi ce que je peux faire pour que tu me pardonnes.
Tu lui laisses pas le choix, parce que sinon, t'as cette affreuse sensation qu'elle partira.

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