C’est une bouche surprise qui accueille celle du sorcier. Comme une envie d’y mettre fin, de ne pas le laisser facilement gagner. J’en suis pourtant incapable, parce que ses baisers avaient pour effet de m'ensorceler totalement. Incapable de m’éloigner, de le repousser. Alors je l’embrasse également, avec la même hargne, ma main valide se baladant dans ses boucles, les attrapant de temps en temps. Le manque de lui était terrible, j’aurais pu l’approcher encore plus de moi si cela avait été possible. Le corps tremble, j’en oublie presque la douleur qui me rongeait le poignet droit. Presque. Parce que je ne peux m’empêcher de grimacer lorsqu’il se recule doucement. Les yeux clos, j’accueille ses paroles avec un hochement de tête. Je le crois. J’ai envie de le croire. Je me dis dans ma tête que s’il ne voulait plus de cette relation, il ne se battrait pas autant pour la conserver. J’étais celle qui doutait, lui semblait sûr de lui. Et cette certitude avait toujours le don de me rassurer, de me donner l’espoir que l’on finirait par parvenir à rendre cette relation solide. J’avais la certitude que ses sentiments étaient bien réels.
Je profite de ce court éloignement pour poser ma tête contre le mur, le visage crispé, il allait falloir faire quelque chose pour ce bras. Je pense à ce qu’il venait de se passer, à cette nouvelle que j'avais apprise et à laquelle je n'avais finalement presque pas réagi : il était devenu un Mangemort. En y repensant, ça me plaisait, le rendait davantage sexy. C’est donc avec un petit sourire timide que j’accueille le Arty masqué à mes côtés. Très sympa, j’ai aussi un petit faible pour les renards. Même si le loup reste tout de même le numéro un. Lentement, je rapproche ma tête de la sienne, soulève très légèrement le masque pour n'entrevoir que la bouche du sorcier qui se cachait derrière. Ce sont des lèvres douces mais affamées qui s’approchent doucement des siennes pour un baiser sensuel, gourmand, profiter d’une toute autre façon, faire connaissance avec le Mangemort. Enchantée, 52. Le baiser s’intensifie tandis que je l’attrape par le col pour l’approcher encore un peu plus. Le corps totalement séduit par ce qu’il était devenu. Tenter d’oublier, de zapper les derniers jours écoulés, ce qui ne serait pas une mince affaire, il fallait l’avouer. Malgré tout, doucement, mes cheveux reprennent de la couleur. Une couleur plus vive, plus joyeuse, un violet agréable à regarder. Bien mieux que ce blanc qui donnait froid dans le dos, il fallait le dire. Un comment je dois t’appeler maintenant ? se glisse entre deux intenses baisers. Avant de me reculer brutalement, soudainement. Il faut aller à Ste Mangouste, j’ai vraiment trop mal. Les os devaient hurlaient à l’intérieur. La douleur s’intensifiait, je ne voulais pas aggraver mon cas. Il m’était impossible de profiter pleinement de cette nouvelle réconciliation, même si j’essayais de mettre cette souffrance de côté, elle revenait plus forte encore. Me soigner devait être la priorité.
Je profite de ce court éloignement pour poser ma tête contre le mur, le visage crispé, il allait falloir faire quelque chose pour ce bras. Je pense à ce qu’il venait de se passer, à cette nouvelle que j'avais apprise et à laquelle je n'avais finalement presque pas réagi : il était devenu un Mangemort. En y repensant, ça me plaisait, le rendait davantage sexy. C’est donc avec un petit sourire timide que j’accueille le Arty masqué à mes côtés. Très sympa, j’ai aussi un petit faible pour les renards. Même si le loup reste tout de même le numéro un. Lentement, je rapproche ma tête de la sienne, soulève très légèrement le masque pour n'entrevoir que la bouche du sorcier qui se cachait derrière. Ce sont des lèvres douces mais affamées qui s’approchent doucement des siennes pour un baiser sensuel, gourmand, profiter d’une toute autre façon, faire connaissance avec le Mangemort. Enchantée, 52. Le baiser s’intensifie tandis que je l’attrape par le col pour l’approcher encore un peu plus. Le corps totalement séduit par ce qu’il était devenu. Tenter d’oublier, de zapper les derniers jours écoulés, ce qui ne serait pas une mince affaire, il fallait l’avouer. Malgré tout, doucement, mes cheveux reprennent de la couleur. Une couleur plus vive, plus joyeuse, un violet agréable à regarder. Bien mieux que ce blanc qui donnait froid dans le dos, il fallait le dire. Un comment je dois t’appeler maintenant ? se glisse entre deux intenses baisers. Avant de me reculer brutalement, soudainement. Il faut aller à Ste Mangouste, j’ai vraiment trop mal. Les os devaient hurlaient à l’intérieur. La douleur s’intensifiait, je ne voulais pas aggraver mon cas. Il m’était impossible de profiter pleinement de cette nouvelle réconciliation, même si j’essayais de mettre cette souffrance de côté, elle revenait plus forte encore. Me soigner devait être la priorité.