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Il n'est pas si long Masque que n'atteigne la turlupination [Terminé]
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Re: Il n'est pas si long Masque que n'atteigne la turlupination [Terminé]
Mangemort 52, le  Lun 6 Jan - 14:38

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Erotisme,  Sexe (violence)





C’était à cet instant précis, lorsque le corps se tord se tend, que les lèvres sont obligées de s’entrouvrir pour laisser échapper un cri insoumis, qu’il pouvait sentir avec délectation à quel point Loredana s’était abandonnée à lui, complètement. Tout cela grâce aux doigts polissons qui n’attendaient que ça, provoquer marée jouissante. Il avait souri doucement, momentanément rassasié du plaisir qu’il avait procuré, davantage encore en lisant dans les gestes et l’expression de la jeune femme cette brusquerie qui semblait aussi l’habiter. Un court instant où il se trouve chamboulé par sa virilité étreinte et gâtée par une allure enchanteresse – brève perte de contrôle, qu’il savoure, les dents pinçant l’intérieur de la joue pour ne pas trop souffler de contentement. La lèvre inférieure soudainement saisie laisse cependant passer un gémissement satisfait. Jusqu’à ces mots, ces fameux mots qui s’enroulent autour du tympan, embrasant littéralement la poitrine d’une nouvelle fureur, le lancement d’un deuxième acte. Toutefois, il résiste, ne s’emballe pas de suite, il tempère, lui répondant avec confiance, je sais. Elle avait été à lui dès le moment où elle avait déposé de côté sa rancœur et qu’elle l’avait désiré. Se pressant davantage contre elle, le mur n’allait pas tarder à plier sous les deux corps serrés. Doucement, le Loup reprendrait le dessus, aurait de nouveau entre ses griffes le plaisir de l’Amoureuse et pourrait se divertir avec. La Bête est joueuse, elle aussi. J’aime ta témérité. Comme une déclaration tandis qu’il retire doucement les mèches rouges qui s’étaient agglutinées sur le visage de la jeune femme, chemin tout tracé pour pouvoir l’embrasser avec passion.

Il sent plus bas, les bas-ventres accolés qui battent ensemble d’une fougue impatiente. Pour autant, les mains se limitent à de tendres caresses, toucher et effleurer une clavicule, une épaule et un bras qu’il ne tardera pas à assaillir.
Au cours des frôlements, s’arrêter sur une empreinte qui pique sa curiosité, y accrocher les rétines,
tu t’es mordue. Un constat qui paraît bien simple dans l’intonation songeuse du Loup, et pourtant. La trace des dents sur la peau de l’Amoureuse allèche immédiatement la Bête curieuse. D’une langueur sensuelle il approche alors le bras de ses lèvres, embrasser tout d’abord la morsure, sentir sous ses papilles soudainement excitées les marques laissées. Incertaine, la Bête hésite, ignore si elle sera refoulée, se contente de savourer la légère blessure. Puis sans avertissement aucun, ce sont ses crocs qui pénètrent brusquement l’épiderme, à l’exact même endroit. Un mince filet de sang s’évade alors de la plaie, chatouille les canines assoiffées, et finalement, déclenche un éclatement intérieur qu’il retient à peine une seconde.
Une seconde, le temps de, le bras toujours entre ses dents, percuter le regard de la Gryffondor – la prévenir.

C’est beaucoup plus violemment qu’il tourne de nouveau la Métamorphomage contre le mur, d’un mouvement brusque, précipité, la forcer à se cambrer, les ongles plantés dans ses reins. Facilitant ainsi l’introduction hâtive de la masculinité gorgée d’un désir sans précédent. Évidemment, que ce premier balancement provoque chez le Loup un râle puissant d’assouvissement, déchaînant par la suite une allure à la fois intense et brutale. Mais parce que le goût du sang de la Demoiselle demeurait sur ses lèvres, il était dans l’incapacité de se contenter de cette chorégraphie animale – la dévorer. Se pencher et percer profondément la chair de ses canines voraces, dans la nuque, le cou, l’omoplate, à répétitions, sans se soucier de la douleur provoquée, du sang qui se répandait dans un écoulement contrastant avec la blancheur de la peau. Non, gémir du liquide chaud avalé, procurant prodigieux plaisir. Mêler appétit sanguinaire et charnel – exquis repas. Elle l’avait dit, elle était toute à lui, la frénésie de la possession et le goût du fer rendant la Bête haletante, euphorique. Escorter les nombreuses morsures de mains occupées chacune à leur manière, l’une consacrée aux griffures écorchant le corps de l’Amoureuse, l’autre concentrée sur l’entrejambe qu’elle ne délaisserait pas. Là encore, éclabousser le toit d’une abondance de jouissives sensations.
Loredana Wildsmith
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Loredana Wildsmith, le  Lun 6 Jan - 20:09

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Il le savait. C’était le plus important finalement. Pas besoin de se parler pour savoir ce que l’autre pensait. De simples gestes, des regards et il était facile de deviner. Sans compter que moi, j’avais les couleurs qui s’emballaient à chaque émotion un peu trop ressentie. La colère et le désir la plupart du temps, mêlés parfois à la peur et la tristesse. Il avait appris à faire la différence, savait quand il fallait jouer, quand il fallait me réconforter ou quand il valait mieux rester éloigné – ce dernier point était encore à travailler cependant. À mon tour, je murmure un je sais. Je n’avais jamais caché mon côté téméraire. Il aimait ça et je l’avais toujours su, même si parfois, il voulait me faire croire que mon imprudence le fatiguait. Au fond, je savais que c’était ce qui l’avait séduit dans un premier temps : Quelle folle accepterait un rancard avec son agresseur ? Il n’y avait que moi, probablement. Un acte suicidaire, mais je ne regrettais absolument rien. Il était trop tard pour cela de toute façon. Mes yeux se posent sur la blessure que je m’étais faite sans vraiment m’en rendre compte. Une morsure qui avait fait suite à l’effet qu’il me faisait, à ce qu’il m’offrait. Je ne sentais aucune douleur et le voir s’en saisir avec ses crocs ne fait qu’accroître l’excitation qui me tordait le ventre. Mes paupières se ferment fort très fort, car je devais tout de même avouer que cet acte n’était pas sans douleur. Je serre les dents avant de lâcher un rire que je ne pouvais retenir. La surprise, le plaisir de le voir ainsi laisser la Bête s’exprimer.

Mais ce soir, il préférait mon dos, de nouveau, je me retrouve poitrine de nouveau contre le mur qui pouvait de nouveau profiter de la vue. Il en voyait de belles ce soir. La brutalité de ses mouvements me fait me cogner la tête à deux ou trois reprises, déclenchant un Aïe sorti spontanément, mais pas alarmant, il pouvait poursuivre. Mon corps se fait déchirer par des griffes et des crocs assoiffés. Ma respiration s’accélère, la tête me tourne, se tord en arrière, se pose sur l’épaule du Lycanthrope, les gémissements se font de plus en plus fort. D’une main, je fais en sorte d’avoir ses lèvres pour les embrasser, les dévorer. Montrer par des gestes, des signes que j’étais absolument conquise de ce qu’il m’offrait ce soir. La parole n’avait plus sa place. J’étais bien trop occupée à profiter, à découvrir une toute nouvelle façon de nous aimer sans passer par la tendresse et les caresses. Notre relation était chaotique, pourquoi ne pas laisser cette sauvagerie prendre le dessus lors de l’acte sexuel ?

Il devait sentir. Il devait sentir la satisfaction que tout cela me procurait. Une nouvelle crispation des jambes, un nouveau cri que j’étouffe sur la bouche de l’Amoureux, le Renard, la Bête, je ne savais plus à qui j’avais à faire. Les picotements dans le bas-ventre continuent encore et encore, provocant chez moi une euphorie qui me fait attraper ses boucles avec férocité. Je tente de le repousser, de l’éloigner pour changer de position. Le besoin de sentir les choses autrement. Je suis essoufflée et pas apte à sortir une phrase entière. Alors, tandis que j’essaie encore de le faire reculer je murmure des change, change et des je veux te voir, je veux te regarder. Cette volonté de ne plus être dos à lui, qu’il partage avec moi cette passion qui nous unissait. Je ne voulais pas être cachée de cela.
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Re: Il n'est pas si long Masque que n'atteigne la turlupination [Terminé]
Mangemort 52, le  Mer 8 Jan - 18:11

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Cette façon qu’elle avait de capituler au plaisir d’un acte d’une brusquerie accentuée le rend davantage frénétique, ne surtout pas s’arrêter, se laisser aller à l’ivresse des oscillations abruptes et éclatantes. Rendre les baisers avec une ardeur nouvelle, croquer les lèvres de l’Amoureuse en retour. L’endurance avait presque défailli lorsqu’au cours des embrassades il avait senti éclore le cri de la jouissance. Mais la Lycanthropie avait au moins cette qualité de le faire tenir – persévérer.  Lorsque les boucles, cette zone érogène d’une sensibilité incroyable, sont saisies, ravies, elles obéissent immédiatement à l’appel. Arrêter les balancements, la soudaine demande, empressée, le fait rire. Des éclats de joie lui permettant de reprendre une respiration secouée et doucement, retourner la Demoiselle. Je t’ai manqué tant que ça ? Un chuchotement taquin qu’il glisse au cours d’une caresse sur la joue blanche, une douceur d’une courte durée avant de saisir énergiquement les jambes de la Demoiselle. La surélever, la porter afin de poursuivre la bouillonnante chorégraphie.  

De là, l’allégresse ne pouvait que s’intensifier, les yeux tantôt accrochés à leurs comparses, tantôt rivés à une bouche dont il ne se lasse pas de grignoter – passionnément. Entre les incisives sanglantes, toujours s’emparer des lèvres, les presser. Accentuer la fougue des baisers à mesure que le bas-ventre ne puisse retenir son ultime enthousiasme. Dans ce dernier vigoureux élan, enfoncer encore encore les griffes dans les cuisses d’empreintes qui resteront indélébiles.
Et alors que le plaisir se décharge à l’intérieur de l’Amoureuse, les soubresauts orgasmiques lui font vivement saisir la gorge de la jeune femme quelques secondes à peine – serrer la Proie ; en même temps, déchaîner l’ampleur de la jouissance avec une vigoureuse morsure à la lisière du cou. Les crocs célèbrent cette dernière bouchée avec un gémissement assourdissant.
Une fois les savoureux frissons passés, les griffes lâchent rapidement la Gryffondor, sans qu’il ne se détache tout à fait cependant. Embrasser lécher et savourer les dernières gouttes de sang qui s’écoulent le long de la clavicule, essayer de soulager la douleur qui devait se propager dans l’épiderme de la Métamorphomage. Malgré lui, il grimace légèrement, toujours lové dans la chaleur de celle qu’il aimait, lui causer de la souffrance n’était pas ce qu’il souhaitait. Il vernit délicatement la peau d’autres délicats baisers en murmurant un inquiet
ça va ? Là, ne jamais quitter ce corps qu’il aimait tant, rester ainsi enlacés, les boucles rassasiées câlinant le bas du visage de l’Amoureuse, et comme une habitude après l’amour, réclamer douceur et tendresse papouillesque.
Vite, parce que bientôt, ils auraient froid.
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Re: Il n'est pas si long Masque que n'atteigne la turlupination [Terminé]
Loredana Wildsmith, le  Mer 8 Jan - 20:39

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Mon rire suit le sien. Il faut dire qu’il était compliqué de faire des phrases complètes lorsque ma tête était occupée à autre chose. Ouh oui tu m’as manqué. D’une certitude que je ne pouvais contenir. Il fallait qu’il le sache, se rende compte. Même si au fond de lui, ça devait être une évidence. Je me servais de cette rancœur pour profiter de ce soir, comme si c’était le dernier. Tout devait être parfait, je voulais un contact visuel avec lui. Nul besoin de communiquer davantage que par le regard. La chorégraphie reprend de plus belle, je ne le lâche pas des yeux, me laisse totalement aller. Plus aucune retenue. Mes gémissements rejoignent les siens avant l’explosion. Je m’accroche à lui, plante mes ongles dans son dos, lui non-plus ne sortiraient pas indemne de cet acte d’amour sauvage. Ma gorge encerclée par sa main, ma respiration se coupe durant quelques secondes ou le le blanc de ma peau commence à laisser sa place à un rouge, mon sourire s'agrandit. Les sensations feraient presque monter des larmes tant les ressentis étaient forts, intenses. Mes pieds retrouvent la terre-ferme, ma respiration retrouve petit à petit – difficilement – un rythme normal. Quelques instants silencieux avant qu’il me demande comment j’allais. Je sens comme un air inquiet sur son visage, je ne voulais pas que ce soit une question pleine de regrets. Il m’avait prévenue, j’avais accepté. J’avais accueilli cette perte de contrôle, la Bête qui prenait le dessus, à bras ouverts. Je voulais savoir ce que cela faisait, créer un renouveau, connaître de nouvelles sensations. Je n’avais pas été déçue.

Alors, en guise de réponse, je lui souris. Essoufflée, fatiguée aussi et je l’accueille dans mes bras. Des gestes tendres, amoureux qui contrastent avec la sauvagerie des minutes passées. Ça va parfaitement bien. Il ne voit pas ce nouveau rictus qui se dessine de nouveau sur mon visage, mais il peut le deviner. J’aurais pu rester ainsi pendant de longues minutes encore, avant de me rendre compte que nous étions complètement nus, en plein hiver, sur un toit. Je commence à trembler de froid. Mes habits… Je regarde autour de moi. Certains se trouvent juste ici, d’autres un peu plus loin. Je me détache à contre-cœur de mon Amoureux afin de ramasser, d’enfiler, bref, le moment pénible et inintéressant de l’après. Puis, était venu le moment de l’inspection des dégâts. L’adrénaline et l’excitation disparues, la douleur des nombreuses plaies et coups qu’il avait laissés sur mon corps commençait à se réveiller. Je grimace légèrement en appuyant ma main sur mon cou. Pourtant, la sensation avait été grandiose sur le moment, déclenchant un amas de frissons. Jamais je n’avais ressenti de telles sensations. Il trouvait le moyen de me surprendre à chaque fois. Je regarde ma main, légèrement rouge du sang qui devait encore s’écouler tout doucement, mais je ne m’attarde pas sur des broutilles qui finiraient par disparaître. Non. Je retourne auprès de celui que j’aimais, l’enlacer, l’embrasser avec passion, m’imprégner totalement de lui. Lui faire comprendre ce besoin que j’avais de l’avoir avec moi, qu’il ne parte pas, pas sans me laisser le moindre signe. Tu pars plus, hein ? C’était bien la deuxième ou troisième fois que je le lui demandais. Ce besoin de me sentir rassurer. Qu’il se rende réellement compte à quel point je pouvais l’aimer.
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Re: Il n'est pas si long Masque que n'atteigne la turlupination [Terminé]
Mangemort 52, le  Sam 11 Jan - 16:04

Le Mangemort n’était clairement pas un être infaillible, les faiblesses se dessinaient comme une broderie légère sur l’épiderme. La plus essentielle de celles du Renard résidait là, entre ses bras, il n’y avait qu’Elle pour le faire tant défaillir en même temps que lui apporter une telle amplitude de félicité. Finalement, même la Cause incarnée dans le Masque d’animal s’était retrouvée sur le sol, délaissée pour de torrides instants. Savoir faire la part des choses, mettre les identités pourtant complémentaires dans des cases différentes, et simplement profiter. Après s’être rhabillé, lui assurer qu’il ne partirait pas, plus, avec des bras décidés à ne jamais la lâcher. Le lui dire, les mots s’accordant parfaitement à l’étreinte amoureuse, non, je pars plus. Un solide murmure au cœur de la nuit, une promesse qu’il comptait bien tenir - haha.
Si les baisers comblés qu’ils échangent lui font comprendre que Loredana n’avait pas été rebutée par la fureur des ébats, il réalise aussi à quel point se cachait sous les mèches rouges une personnalité parfaite pour lui. Une harmonie, certes parfois dissonante, mais fusionnelle. Elle était faite pour lui. Qu’il se dissimule ou non derrière le Masque, cet Amour affluait au cœur de sa propre génétique, jamais il ne pourrait s’en détacher.
Il continue de l’embrasser, de s’emparer doucement du visage de la jeune femme entre ses doigts encore palpitants, l’enrouler dans une couverture imaginaire tissée de
je t’aime, comme une toison qu’elle porterait constamment, qu’elle n’enlèverait jamais.

Et parce que la réalité a vite fait de les rattraper, les sons de la nuit leur rappellent qu’il serait bien de rentrer - chez eux, à deux. S’éloigner un bref instant pour saisir le Renard et attraper de nouveau la Métamorphomage afin de transplaner. C’est qu’il est fortement agréable de s’imaginer retrouver une couette conjugale.



Fin du RP ❤
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Re: Il n'est pas si long Masque que n'atteigne la turlupination [Terminé]
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