Chris, pendant qu'il leur enseignait les bases de la magie asiatique ou du moins pendant qu'il leur en donnait la définition, tout ce qu'il disait s'écrivait sur le tableau noir. L'écriture magique était belle et fluide, sans faute. Framboise s'avoua qu'elle écrivit aussi bien. C'est vrai que son écriture possédait les mêmes qualités que l'écriture magique de Chris. Elle prenait soigneusement note sur mon parchemin à l'aide de ma belle plume, qui venait du chemin de traverse. Pendant quelques secondes, elle s'autorisa a écrire sur un petit morceau de parchemin un petit mot adressé à Thomas.

Spoiler:

Elle se remit à prendre des notes. Plus Chris parlait, plus cela l'intéressait. C'est vrai que le sort que leur professeur allait leur proposer de lancer était des plus sympathique et du goût de Frambi.

" Hanabi ! "

Quand il prononçait ces dernières paroles, un léger sifflement parti de sa baguette et une lueur fila droit dans le ciel, laissant derrière elle une fine trainée de fumée. Au bout de quelques seconde, le sifflement se tu, et laissa place a une explosion. Et ce fut une explosion de couleurs. Un bouquet d’étincelles rouge, jaune, bleue et violette venait de faire son apparition dans le ciel de Poudlard. [HJ : J'ai repris ton texte qui décrit bien ton action, dis le moi si cela te dérange]

Cela émerveilla Framboise qui regardait, les yeux grands ouverts, les belles couleurs se reflétant sur ses yeux. Cependant, Chris interrompit Framboise dans sa rêverie.

« Alors voici la partie pratique. Pour lancer un Hanabi (feu d’artifice en Japonais), il vous suffit d’imaginer un bouquet de couleurs, plus le bouquet imaginé sera coloré et gros pour votre sortilège sera réussit. Ensuite vous pointez le ciel, et vous dite la formule avec conviction ! »

En même temps, des instructions s'affichèrent au tableau, au fur et à mesure qu'il les énonçait :

1. Imaginer un bouquet de Couleur.
   
2. Pointer le ciel.
   
3. Lancer un Hanabi avec conviction
   

Pour Framboise, cela ne devait pas être une chose difficile, elle qui adore les couleurs. Et, comme elle le pensait, ce fut assez simple pour elle de réaliser ce sort. Le premier fut le bon.

" Hannabi ! "

Elle pointait le ciel tout en imaginant sa garde robe colorée parisienne et anglaise ; son père étant un moldu qui travaillait dans la mode. [Cf. Présentation] Elle voyait pleins de couleurs, puis tout de suite après elle pensait à un champs couvert de fleurs de toutes les couleurs, non loin de chez ses grands-parents. Elle adorait s'y rendre quand elle était petite. Sa troisième image en tête fut un magasin de bricolage où sa mère et elle s'y était rendue quelques mois avant son entrée à Poudlard pour repeindre la chambre de sa sœur Halley. [Cf. Présentation] Dans un endroit du magasin, à l'endroit où il y avait tous les pots de peinture, elle s'était amusée à les ouvrir et à les mettre côte à côte pour regarder toutes les couleurs les unes après les autres. Cela faisait un joli arc-en-ciel. La quatrième et dernière image fut celle de pots de peintures que son oncle avait chez lui et dont il ne se servait plus. Il les stockait dans sa cave depuis un long moment. Malgré tout la peinture était encore assez liquide. Le mur blanc du garage de son oncle fut vite recouvert, ce jour là, de peinture bleue ciel, destinée à la salle de bain, de vieux rose, pour la chambre de sa cousine, de jaune, recouvrant à la base la cuisine, de rouge mais aussi de vert. Elle s'était amusée avec sa baguette à balancer des jets de peinture sur ce beau mur blanc. On aurait pu considérer cela comme de l'art en fait. Depuis, son oncle ne l'a pas repeint de blanc, il l'a laissé tel quel, trouvant que cela enjolivait ce garage si triste.
A ce moment là, un arc-en-ciel de couleurs vives, jaillit de sa baguette et un magnifique feu d'artifice éclata dans le ciel étoilé. A ce moment, elle regarda M. Bennet, satisfaite, avec un grand sourire. Elle était fière d'elle. Elle en profita pour regarder, encore une fois, Thomas. Ses yeux pétillaient d'une part, de plaisir, d'autre part, grâce aux couleurs qui se reflétaient dans ses yeux

Roxie était tellement curieuse qu'à la réponse de son professeur, elle décida qu'après le cours, elle irait faire un tour à la bibliothèque pour en connaître un peu plus sur les autres sortes de magie. Car le prof n'avait pas tort, elle n'était pas en cours d'histoire de la magie et c'était d'ailleurs bien dommage qu'il n'y en ait pas un. Le professeur passa à autre chose et prit la parole pour annoncer la partie pratique.

« Alors voici la partie pratique. Pour lancer
un Hanabi (feu d’artifice en Japonais), il vous suffit d’imaginer un
bouquet de couleurs, plus le bouquet imaginé sera coloré et gros pour
votre sortilège sera réussit. Ensuite vous pointez le ciel, et vous dite
la formule avec conviction ! »

Les indications à suivre apparaissaient en même temps au tableau.

1. Imaginer un bouquet
   de Couleur.
   
2. Pointer le ciel.
   
3. Lancer un Hanabi avec conviction
   

Le prof prit à nouveau la parole tout en observant Rebekka qui faisait encore des siennes.

« Je vous déconseille de viser vos camarades ! Je ne vous
emmènerais pas à l’infirmerie, et bien sûr éviter de tomber de la tour !
Ceci dit si vous avez besoin d’aide n’hésitez pas à en demander ! Allez
trouvez vous une place sur le pour tour des créneaux, et commencez
l’exercice. »

Roxie se trouva un petit coin où le ciel était bien dégagé, elle sortit sa baguette et au moment de jeter le sort se retourna vers le tableau pour relire les instructions. Donc pour la première phase, elle devait imaginer un bouquet de couleurs, cela n'était pas difficile car dans son pays quand l'automne arrivait, elle adorait aller dans les bois se promener et il y avait toujours beaucoup de couleurs. Du jaune, du rouge, orange et un beau ciel bleu. Elle commença alors à s'imaginer tout ça et passa à la deuxième phase. Elle prit sa baguette et pointa le ciel en continuant de penser aux couleurs. Puis elle attaqua la troisième phase.

- Hanabi !

Rien d'extraordinaire ne se passa, quelques étincelles jaillirent mais si peu. Elle retendit sa baguette et décida alors d'imaginer encore plus de couleurs et se rappela le magnifique arc-en-ciel qu'elle et sa sœur lorsqu'elles étaient petites avaient vu lors d'une promenade dans les champs. La mélancolie l'envahit tout à coup. Elle prononça la formule.

- Hanabi !

Cette fois, les étincelles étaient plus intenses mais n'atteignaient pas encore le ciel, cette fois, Roxie, pleine de conviction et le bel arc-en-ciel toujours en tête, pointa sa baguette vers le ciel, absolument sûre d'elle et cria.

- Hanabi !

Et là, un magnifique feu d'artifice se produit, d'ailleurs lorsqu'il retomba il avait pris la forme d'un arc-en-ciel. Elle était si contente, il avait peut-être fallu trois essais mais au moins, elle avait persévéré et y était arrivée. Elle attendit alors que les autres élèves finissent et que le professeur donne son avis.

Thomas n'y conaissait rien an matière de magie asiatique. Il s'enfonca un peut plus dans sa chaise et se cala au mieux. Il commencait à faire froid. Il se faisait tard et la température en haut de la tour d'astronomie venait de chuter. Une petite brise glacial traversait les rangs et le Gryffondor eu un frisson qui lui traversa tout le dos. Il fit craquer ses doigts et regarda son professeur, désepéré par l'inactivité de ses élèves. Thomas lui sourit gentiment et avec compassion. Puis Mr Bennet décida de prendre la parole pour, d'une part répondre à la question d'une jeune fille de Gryffondor, mais également pour pouvoir expliquer à ses élèves, les différentes magie qui éxiste sur la surface du globe.

Thomas pointa sa baguette vers le ciel. Il était sombre, noir, profond. Les rayons de lune brillaient sur les ardoises des autres tours du chateau. C'était magnifique. Quelques étoiles sinctillaient dans le ciel. Mais la couleur du ciel ne laissait rien de bon en matière de prévision météorologique. Thomas esperait que le cours finnirait avant qu'il ne se mette à pleuvoir. Thomas ferma les yeux et inspira profondément des images s'imicères dans son esprit. Des couleurs, des couleurs et encore des couleurs. Thomas ne voyait que cela. Il sentait que cela bouillonnait dans sa poitrinne. Il pensait à ce qu'il allait faire, ce qu'il avait envie de dire, de lui dire. Il sourit et rouvrit les yeux. D'une voix clair il s'exclama