" Je... "

Allan ne savait pas s'il pourrait le faire. Tout lui dire, lui dire qu'il avait était violé, que son ex Moldu avait autorisé ses amies à le faire. Il ne savait pas s'il allait réussir a raconter qu'on lui avait prendre de la drogue et de l’alcool jusqu'à être entre la vie et la mort. Rien que de pensé à tout cela il avait envie de parti loin, de se jeté un sort d'oubliette afin de ne jamais se rappeler. Il avait peur... Affreusement peur.

" Je ne sais pas Andy... Je ne croix pas que je vais réussir. Je sais que tu voudrait savoir mais c'est dur.. et.. ça fait mal d'y pensé... Pardonne moi Andy, je suis vraiment désolé..."

La voix du serpentard était coupé par des sanglots qu'i n'arrivait pas à contenir. Il enfouis son visage dans le cou de son amour et continua de pleurer. Il n'avait jamais rien dit à personne, il l'avait toujours caché au plus profond de lui, cette histoire qui l'avait tant marquer. Et il n'avait pas envie que son griffon le regarde avec dégoût quand il aura terminé.

-Je ne te jugerai pas Allan. Tu es l'amour de ma vie, je ne te laisserai pas partir quoi qu'il arrive, quoique tu me dises... Je comprends que cela soit trop tôt, mais il faut que tu me le dises un jour ou l'autre. Je veux te voir vivre pleinement et je sais que temps que tu ne l'auras pas dit à quelqu'un ce ne sera jamais le cas.

Caressant toujours la peau de ton ventre, je remontai doucement jusqu'à tes pectoraux pour finir par enlever ton haut en le faisant passer par-dessus la tête. Je me reculai un peu pour enlever le mien aussi et je te serais une nouvelle fois contre moi espèrent que le contacte de nos peaux te calme.

-Je t'aime Allan. Chuchotai-je dans le creux de ton oreille.

J'embrassai doucement tes cheveux en descendant petit à petit vers ta mâchoire pour finir par tes lèvres que j'embrassai tendrement.

Allan posa une main sur ton torse et répondit au baiser mais il le coupa rapidement pour enfouir son visage dans ton cou.

" Des... Des Moldus on "joué" avec moi.. ou plutôt mon.. mon corps.. On ma drogué et fait boire des choses que je ne connaissais même pas.. C'était horrible, je me suis sentit sale.. J'avais envie de ne plus exister et part moment j'en ai encore envie... "

Allan recommença à pleurer, mais ça lui faisait du bien. Ainsi que la chaleur et l'odeur de son amoureux qui lui faisait tellement de bien. Il avait réussi à dire un peu son histoire. Il avait réussi ! Ce n'était pas des larmes de tristesse ou de peur qui coulait dans le cou de son petit copain mais des larmes de jois et de soulagement. Il avait enfin réussi !

Je souriais tristement, d'un côté j'étais content qu'il se soit confié à moi, mais de l'autre j'étais triste pour lui. Je commençai à trembler de colère. Je n'avais qu'une envie, c'était de défoncer ceux qui t'avaient fait ça. Mais pour l'instant je devais rester avec moi et surtout te soutenir.

-Merci de me l'avoir dit mon ange... Ce qu'ils t'ont fait est horrible, si tu veux je peux aller les tuer à coup d'Avada un par un. Dis-je fou de rage contre eux. Je te promets que ça ne t'arrivera plus Allan, tant que je serais avec toi je te protégerai jusqu'à mon dernier souffle. Dis-je tendrement. Je ne te forcerai ni ne ferai ce qu'ils t'ont fait c'est promis mon amour.

Je t'embrassai encore et encore cherchant à te faire oublier le viol dont tu as été la victime.

Allan sourit doucement face aux paroles de son séduisant griffon. Il se recula doucement et caressa ta joue.

" Ne vas pas faire de choses idiote stupide lionceau ! Imagine si on sait que tu as utilisé le sortilège de la mort ! Tu iras à Azkaban ! Le mieux c'est de le faire à la méthode Moldu. "

Le Serpentard rigola et embrassa ton nez puis tes lèvres. Il était heureux, si heireux...

" Je t'aime mon griffon et cela ne changera sûrement jamais. Même si tu ne m'aime plus, je ferais en sorte de t'ensorceler ! "

Allan sourit tendrement, car il savait que si son griffon ne l'aimait plus, il ferait tout pour qu'il soit heureux. Il caressa ta joues et ton torse avec douceur. Il posa sa tête sur ton torse et soupira de bien être.

-Moi ? Ne plus t'aimer ? Il faut que tu arrêtes de dire des choses complètement absurde mon amour.

Je me relevai pour me mettre face à toi et te regarder dans les yeux.

-Ne pense jamais que je vais te quitter un jour tu m'entends. Je t'aime bien plus que n'importe qui. Je veux faire ma vie avec toi donc ne dit jamais que je vais te quitter parce que c'est faux ! Dis-je sur un ton dur tout en te regardant avec tendresse.

J'allais m'adosser contre un arbre avant de soupirer un bon coup. Je ne comprenais pas pourquoi tu pensais que j'allais te quitter un jour. Il faudrait que je sois mort ou que tu me quittes pour ça.

-Et pour toi.. Reprenais-je sur un ton doux. Je ferai n'importe quoi, même s'il faut que je finisse dans une cellule d'Azkaban pour ça. Mais même si j'étais dans cette foutu prison, je ne regretterai rien et je t'aimerai toujours autant. Dis-je sûr de moi.

À.lan regardait son amour avec les larmes aux yeux. Lui aussi l'aimait à en faire des choses absurde. Il s'approcha de son griffon et posa sa tête contre le torse musclé de son amoureux. Il caressa son torse qui était toujours nu, il traça les lignes des muscles avec le,bous de ses doigts et sourit tendrement.

" Moi aussi je t'aime Andy, je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne d'autre que toi. Mais ne fait pas quelque chose de stupide car si tu es à Azkaban et que tu n'es pas près de moi je ne répondrait plus de rien. "

Il embrassa ton menton puis remonta vers tes lèvres pour les mordillés tendrement, se collant un peu plus contre ton corps qui était si chaux, et puis il se sentait si bien dans tes bras. En sécurité. Il inspira l'odeur de son amour et entoura ton cou de ses bras, il commençait a avoir un peu froid avec son dos au vent qui contrastait avec la chaleur qui touchait son torse.

Alors que l'on s'embrassait, je passais mes bras autour de toi afin de te coller à mon corps. Alors que je séparai doucement nos lèvres pour reprendre mon souffle, je les déposai à nouveau sur les tiennes dans un baiser des plus passionnés. Sentir la peau de ton torse contre la mienne me donnait des frissons.

-Allan. Gémis-je. On devrait rentrer avant que je te fasse l'amour sur place. Pas que la forêt interdite me fait peur, mais je ne veux pas que tu attrapes froid. Dis-je en me frottant doucement contre toi.

Je t'embrassai une nouvelle fois tout en me frottant toujours à toi en te plaquant contre l'arbre sur lequel j'étais précédemment adossé.

-Arrête moi Allan, je suis incapable de le faire moi-même. T'entendre dire toutes ses choses, ça m'a vraiment donné envie de te faire l'amour contre cet arbre. Dis-je d'une voix rauque.

Allan ne pouvait rien dire ni rien faire lui aussi totalement plonger dans le plaisir de sentir son corps contre le tient si chaud qui lui donnait envie. Il caressa ton torse avec sensuallité Et vient mordillé la peau si cause de ton cou, il continua de se mouvoire contre corps en bougeant sensuellement son bassin contre le tient faisait rencontrer leur deux membres.

" Andy ~ " Gémit il contre ton oreille en y mordillant la lobe avec douceur. Il caressa ton dos avec lentuer et vient t'embrasser de nouveau, son corps se réchauffant de plus en plus à force d'avoir envie de plus de contact.

" Andy s'il te plaît.... Je n'en peu plus.. Touche moi, touche moi plus... " Le serpentard gémit plus fort en se collant plus contre ton corps, son corps frissonnait de toute part entre ton corps et le vent qui caressait sa peau.

Après avoir fait nos petites affaires contre cet arbre. J'étais complètement essoufflé et je te serrais le plus fort possible dans mes bras de peur que tu ne partes.

-C'était magique mon ange, tu as été parfait... Dis-je en t'embrassant une nouvelle fois.

Je commençai à trembler de froid. J'avais oublié qu'on était au printemps tient.

-Je ne pensais pas faire ce genre de choses dans la forêt... Mais avec toi, c'était juste magique. Dis-je en souriant.

Alors que je me rhabillais parce que je commençai à crever de froid, je te regardais avant de te dire:

-Habille toi mon ange. Je ne veux pas que tu tombes malade.

*Et je ne voudrais pas te porter jusqu'à l'infirmerie. J'ai assez mal au dos comme ça surtout* Pensais-je en lui souriant.

Allan s'adosse le souffle encore haletant de ce moment qu'il venait de passer, il frissonna à cause du vent frais, presque glacial, sur sa peau mais aussi à cause de ses souvenir de ce moment si intime et magnifique. Il regarda son amoureux remettre ses habit et après quelques seconde il en fit de même, il chercha son sert mais ne le voyait pas à cause de la nuit et du fait qu'il soit sombre, il senti un tissu frais et soyeux sur sa peau et remarqua que c'était ta chemise qui était sur lui.

" Hey ! Mets un haut toi aussi sinon est toi qui sera malade et ça je ne le veux pas ! Il faut juste retrouver mon sweet et ça ira !"

Il se mît à chercher son sweet, à quatre patte au sol, il tâtonnait le sol à la recherche d'un tissu et ce fut de longue minutes plus tard quil le trouva enfin près d'un arbre et un peu éloigné d'eaux. Quand il l'eu enfin dans les mains il poussaun petit cri de victoire et enleva ta chemise pour mettre son haut et il revient vers toiser posa la chemise sur tes épaules et entoura ton cou de ses bras puis il déposa ses lèvres sur les tiennes en un chaste baiser. Il te souffla un «Je t'aime mon griffon.» et se recula de nouveau pour te regarder de finir de t'habiller.

Souriant, je reprenais ma chemise afin de la Mettre. Je fermais tous les boutons un à un, mais je laissais les trois boutons du haut ouvert. Il ne fallait pas non plus que je m’étouffe hein.

-Restons encore un peu ici, une fois habillé je trouve qu'il fait bon... Dis-je en m'asseyant en indien par terre. Nous n'avons qu'à discuter... Tu te souviens de cette fois où nous étions au restaurant et que Laurae est venue ? Et bien j'ai remarqué que nous ne connaissions pas beaucoup de choses l'un de l'autre... Dis-je gêné. Alors, vient t'installer entre mes jambes et nous allons discuter de tout ça.

Je tendais les bras vers toi afin de t'inviter à venir t'asseoir sur moi. Je voulais te connaître par cœur, en savoir plus sur toi que Héléna ou tes parents n'en savaient sur toi.

Edit William : Bonjour Andy. Conformément à la Charte du Forum, les messages à caractère sexuel sont prohibés. Merci d'éditer votre RP afin de corriger cela et de faire plus attention à l'avenir. Cordialement

Le serpentard sourit doucement et vient se placer entre tes jambes, lui aussi avait remarquait qu'il ne te connaissait pas trop et cela lui avait fait mal, il t'aimais tellement, il connaissait ta gentillesse, ta possessivité qui le faisait rigolait, ta gêne Uil trouvait mignon, ta perversité dans leur ébat qui l'emoustillait, mais il ne savait rien sur ta famille, tes envies, tes goûts et il voulait savoir.

" Moi aussi j'ai envie d'été connaître, te tout savoir sur toi, connaître ta famille, ce que tu aimes ce que tu veux faire plus tarmeme si maintenant je le sais. Je taime tellement mais je ne te connaît pas..."

Sa voix était légèrement triste mais il te regarda dans les yeux et caressa ta joue avec tendresse, avec toi il vivait de nouveau, avant toi il n'avait plus pensé qu'il pourrait éprouver de nouveau du plaisir mais surtout du désir charnel mais tu était la et il avait eu tellement envie de ce moment si intime.

Edit William : Bonjour Allan. Conformément à la Charte du Forum, les messages à caractère sexuel sont prohibés. Merci d'éditer votre RP afin de corriger cela et de faire plus attention à l'avenir. Cordialement

-Alors, pose moi toutes les questions que tu veux, j'y répondrai. Dis-je sur de moi.

Je n'allais rien lui cacher. En même temps, je n'ai pas grand-chose à lui cacher, mais bon... Il fallait en passer par là après tout. Je le regardai dans les yeux pour lui faire comprendre que j'étais sincère. Et puis, savoir toutes ses petites choses sur l'autre c'est quelque chose d'important. Savoir sa couleur, son plat, son dessert préférés, sa date d'anniversaire... Enfin bref toutes ses choses que l'on se doit de connaître sur l'autre.

-Et ce n'est pas ce que l'on va savoir sur l'autre qui va faire changer nos sentiments... Si ? Demandai-je aillant peur de sa réponse.

Je ne voulais pas jouer les rabat-joie, mais s'il n'aimait pas les choses que j'aime ? J'étais dans le caca pour deux raisons. Un je l'aime et deux je l'aime. Bon d'accord, ça fait une seule raison, mais on s'en fiche non ? L'essentielle c'est qu'il accepte les animaux de compagnie, ma présence à ses côtés pour toujours et une grande famille. Parce que oui, même si on est encore à Poudlard et qu'on est gay, je veux des enfants. Qu'ils soient adoptés ou autre je m'en fiche complètement.

Allan regardait avec tendresse son séduisant griffon, il lui caressa la jour et répondit a sa question.

" Non ce n'est pas tes goût qui vont me faire fuir, je t'aime comme tu es, j'aime quand tu es possessif car cela montrer que je suis important pour toi, et puis ce n'est pas parce que tu aime les chats et moi les serpents que je ne vais plus t'aimer bien que j'adore les chatons ! Mon attirance pour toi n'est pas seulement physique amour, je t'aime moralement.."

Il sourit tendrement à son amour et lui caressa la joue, il posa sa tête sur le torse musclé de son amant et ferma les yeux inspirant son odeur.

" Bien maintenant passons aux question, quel est ta couleur préférer ? Moi le vert, l'argent et le bleu."

Sa question avait été poser avec une voix douce et reposante, quand il avait parlait, il avait prit un es de tesmain et la caressa discrètement.

" Bien maintenant passons aux questions, quelle est ta couleur préférer ? Moi le vert, l'argent et le bleu."

Je caressais doucement tes cheveux tout en réfléchissant à la question.

-A vrai dire, je n'en ai pas vraiment. J'aime beaucoup le rouge comme le bleu ou encore le vers ou le violet, le noir... Enfin beaucoup de couleur quoi... Dis-je gêné de ne pas avoir une réponse claire et nette. Quelle est ta date d'anniversaire ?

Je baissai les yeux vers mon amoureux en priant intérieurement que je ne l'avais pas loupé. Je n'avais aucune idée de comment me rattraper, ni de quel cadeau offrir si jamais il avait lieu dans les jours à venir. C'est vrai que j'avais toujours la bague, mais je comptai la garder un bon bout de temps avant de faire quoi que se soit avec.

-Moi c'est le quatre novembre. Dis-je après avoir entendu ta réponse.

Souriant, je caressai toujours tes cheveux en jouant avec.