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Dans la grande gare
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Azénor Philaester
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Re: Dans la grande gare
Azénor Philaester, le  Mar 14 Juin - 13:56


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Réponse à Pandore, la meuf swag.
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Tu déambules seule le long des quais bondés. Tu regardes du coin des yeux les êtres impatients de rentrer. Les êtres impatients de partir. Sourires. Joie. Tristesse. Amertume. Colère. Temps. Ils sont pressés ou mécontents. Impatients ou nerveux. Pauvres moldus. Pauvre routine. Mais toi tu en ris de l’intérieur. Tu te moques de ces personnes malheureuses. Tu te moques aussi de ces personnes soit disant heureuses. C'est quoi le bonheur? C'est quoi être heureux? Se sentir bien? Être entouré de gens qu’on aime? Détrompez-vous pauvres camarades. La peur est partout. Le mal omniprésent.
Il fait chaud. Tu enlèves ta veste, la dépose dans ton sac. Tu laisses tes épaules dorées se réchauffer au soleil. Tu mets tes cheveux derrière tes oreilles. Parce qu'ils te gênent tes cheveux. Comme toujours. Ta jupe est courte. Peut-être trop. T'aurais du mettre un pantalon. Tous ces vieux mecs en manque de femme te regarde avec envie. Avec insistance. Mais tu joues de cela. Ça te fais même rire, à l’intérieur. Tu es désirée et c'est agréable. Alors tu souris à ces hommes. Comme pour leur donner un vain espoir. Pour les narguer tu les regarde dans les yeux. Un regard qu'ils ne sont peut-être pas prêt d'oublier.
Le vent est tiède et rare. Seule l'atmosphère est agréable. La vue te fais pitié. Ces trains qui sifflent. Ce temps qui presse. Ces immeubles au loin sales et pauvres. Mes le peuple est drôle pour toi. Un super passe temps. Tu leur imagine des vies. Des vies moldues. Celui là là-bas. Un grand homme, la cinquantaine sans doute. Habillé d'une chemise blanche, d'une cravate bleue, d'un pantalon de costard et de chaussures noires pointues. Il se dépêche. S'arrête. Il doit être en retard. Il regarde sa montre toutes les trois secondes environ. Son train doit être en retard. Ou alors il est stressé. Importante réunion. Cruciale décision.
Et cette fille là-bas. Blonde. Plutôt jolie. Elle est sur un banc. Elle regarde ce qu'il se passe autour d'elle. Elle est prise dans ses rêveries, c'est que tu crois du moins. Elle observe chaque faits et gestes des gens qui s'arrêtent et passent près d'elle. Elle est intéressante cette jeune femme. Elle est comme toi.
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Re: Dans la grande gare
Pandore Hastings, le  Mer 15 Juin - 14:17


Avec Azénor Philaester


Le champ de roses ne fane jamais.
À nouveau, Pandore se laisse embrasser par ses divagations. Puis elle se met à fredonner un air délicat qui embellit son monde. L'harmonie de son existence est si délectable, si exaltante ; tout devient irréel. Un frisson naît sur sa peau et un sourire paisible se dessine sur son gracieux visage. Elle reste immobile dans cette ruche effervescente et inlassable. C'est une intruse. Elle se joue de sa présence qui dérange. Comme si son droit d'être là volait en éclats. Elle termine son café pour esquiver la déplaisante confrontation avec les ondes négatives que dégage un groupe de passants. Quelques femmes et quelques hommes, en tailleurs et en costumes, qui se disputent les uns avec les autres. La sorcière ignore pourquoi. Elle esquisse un rictus désabusé. C'est encore du temps perdu. Encore des visages qui s'enlaidissent avec une colère sans noblesse.
Pandore regarde ailleurs. Elle veut retrouver cet état de satisfaction qui agitait ses pensées. Son regard se pose sur une autre fille, seule, aussi, dans un coin éloigné. Ses yeux clairs rencontrent les siens. L'inconnue la regardait. Elles se regardent. Tirée de sa rêverie, la jeune femme détaille l'arrivante, sans se cacher. Elle fait sûrement la même chose.

L'intrigante demoiselle avait des cheveux plus sombres que ceux de Pandore. Ses yeux, aussi, l'étaient. Plus sombres. Le soleil qui traversait les vitraux illuminait son visage à la peau légèrement halée. Lentement, le regard bleu de la rêveuse se perdit sur son corps, sur ses courbes. De loin, elle distinguait moins bien les motifs de ses vêtements. Elle appréciait cependant leur goût et se mordit doucement la lèvre, pensive. Quelque chose dans son attitude laissait croire qu'elles venaient toutes les deux du même monde. Partagée entre l'appel de son habituelle méditation et une curiosité renouvelée, Pandore fit tourner sa baguette sur elle-même pendant quelques instants. Elle décida toutefois de ne pas replonger dans son univers parallèle et se concentra davantage sur celle qui lui faisait face depuis plusieurs minutes déjà. Un instant, son attention fut attirée par d'autres promeneurs, qu'elle observa et dépeignit mentalement. De belles tenues faisaient chavirer ses sens, de beaux visages adoucissaient ses nerfs. Enfin, elle revint à la seconde intruse. Elles se regardèrent en chiens de faïence et la sorcière n'esquissa pas le moindre mouvement, impassible et dubitative. Elle pouvait rester là pendant un long moment, à sonder son opposante. Que faisait-elle là ? Pourquoi se démarquait-elle si bien des autres ? Pourquoi avait-elle jeté son dévolu sur la spectatrice plutôt que sur un bel homme, ou bien cet enfant qui tirait sur la robe de celle qui semblait être sa mère ? Pourquoi personne d'autre n'avait eu ce comportement avant elle ? Qu'avaient-elles en commun ?



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Re: Dans la grande gare
Azénor Philaester, le  Mer 15 Juin - 21:44



Et puis elle te regarde aussi. Vous vous trouvez. Elle a quelque chose de différent que tous les autres. Elle a quelque chose de comme toi. ais qu'est-ce dont ? Une pensée? Un sourire? Un regard? Un monde? Elle ne bouge pas. N'effectue pas la moindre petite mimique. Elle reste immobile à te regarder. Alors tu la regardes aussi. Elle à l'air de toucher à quelque chose, dans le fond de sa poche. Le reste devient flou. Ça te fait presque même mal aux yeux. Tu ne vois qu'un long couloir où le fond est éclairé par cette blonde. Tu la fixe d'autant plus. Et là. Tu souris. Esquisses une jolie mimique de tes lèvres maquillées de rouge mat. Tu laisses presque apparaître tes dents d'un blanc éclatant.

Et là. Quelqu'un te bouscule. Un jeune homme. Pas si jeune que ça en fin de compte. C'est un beau brun ténébreux, aux cheveux, yeux et barbe sombres. Il est charmant. Il s'excuse poliment. Te complimentes chaleureusement. Tu rougies. Tu lui souris et lui que " c'est pas grave". Et vous vous regardez encore. Mais que dire? Tu ne le connais pas. Alors pour briser le silence gênant. Alors tu fais mine de devoir partir vers ton "amie". Non tu n'as pas d'amie ici, tu en connais personne. Mais cette blonde pourrait facilement être ton amie, à première vue. Vous êtes très semblables. Alors tu te diriges vers elle en glissant un geste de la main au bel inconnu. Un geste qui veut dire " Adieu,on se reverra jamais".
Tu arrives donc à hauteur de la jeune femme. En un tournant de tête tu remarques que l'homme est déjà loin. Situation peu commune. Qu'est-ce-que tu fou devant elle? Comment ne pas paraitre cinglée devant une telle scène...?


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Re: Dans la grande gare
Pandore Hastings, le  Jeu 16 Juin - 0:43


Avec Azénor Philaester


La paix est un château de cartes.
Ça y est, tout est bouleversé. Ce duel entre les deux femmes est rompu. Il se dissout dans l'air. Il prend un goût fade et amer. Le beau brun vient compléter le tableau. Pandore hésite à disparaître. Comme si elle n'avait jamais été là, comme si elle n'avais jamais existé. Comme si elle n'avait été qu'un rêve dans les yeux de cette inconnue aux iris à la couleur de châtaigne fraîche. Elle se ravise. Elle reste de marbre, droite comme un balai, sur son banc. Elle ne cesse de fixer l'étrangère. Elle finit par tourner la tête pour regarder ailleurs. Elle voit un groupe d'écoliers qui court pour rattraper le train qui s'apprête à démarrer. Et lorsqu'elle revient à l'autre réalité, l'inconnue se tient là, devant elle. Elle est debout. Elle domine Pandore de sa hauteur. Est-ce une supplication, dans son regard ? Une invitation, une salutation ? La sorcière blonde ne saurait le dire. Elle sait lire les corps, et les regards, mais cette fois-ci, elle ne sait pas. Elle ne sait rien. La situation a pris une tournure surréaliste. Tout autour des deux filles disparaît, se fige. Elles sont soudain seules. En apesanteur.

La franco-britannique remarqua que son opposante avait le rose aux joues. L'homme ténébreux de tout à l'heure était-il en cause ? Se connaissaient-ils ? C'était invraisemblable, ils s'étaient à peine croisés. Ils n'avaient échangé que quelques mots. Leurs regards n'étaient pas ceux de connaissances mais de parfaits inconnus, intimidés et charmés l'un par l'autre. Ces rencontres éphémères étaient des plus belles, pour Pandore. Tant de sentiments mélangés en si peu de temps... Le spectacle avait été grandiose, pendant ces quelques secondes rallongées par la bousculade. Les pulsations de l'adrénaline répandaient dans la gare une tension délicatement parfumée de danger.

Pandore finit par relever la tête. Elle plante son regard frais et brillant droit dans celui qui se tient devant elle. Ses traits sont détendus. Elle n'exprime aucune hostilité, seulement une légère surprise. Puis elle sourit en coin. Elle retient un ricanement. Elle retient ses rêveries à l'intérieur d'elle-même.

Je peux vous aider ? questionna la sorcière assise d'un ton calme et courtois.



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Re: Dans la grande gare
Azénor Philaester, le  Ven 17 Juin - 19:49


La blonde te regarde. Étrangement elle n'a pas l'air de trouver cela bizarre que tu sois là, plantée devant elle. Elle ne bouge pas. C'est à peine si elle cligne des yeux. Tu es assez...interloquée. Toi tu aurais réagis, avec tes yeux, ta bouche. Et là elle dit "Je peux vous aider?"Euuuh. Moment de vide. Ou bien de flottement. Non elle ne peut pas t'aider. Cette phrase fourre-tout ne veut pas dire grand chose. Du moins pour ce contexte là. Mais qu'importe.
"-Non non, je euh...Pardon. Je voulais juste éviter ce...Un homme.
Tu dois faire une drôle de mauvaise impression à cette jolie blonde. Mais tu t'en fou. Vraiment. Tu continues de fixer la jeune femme avec ton regard irrésistible. Enfin, il ne doit pas vraiment être irrésistible pour elle. Vu la façon don elle te regarde. Encore fixement. Comme si c'était un mur. Elle est belle cette femme, mais on tu n'arrive pas à lire en elle. On dit que les yeux sont le miroir de l'âme. Cette femme, est l'exception qui confirme la règle, du moins selon toi.
Tu tournes la tête en entendant un bruit derrière toi. Encore un homme. Qui vous interpelle. Toutes les deux. Moins beau, moins charmant, plus maigre, plus vieux, plus barbu et plus triste que le premier homme que tu as préalablement croisé.
-"Bonjour m'mes'zelles. On profite du beau temps? Z'êtes bien jolies mes p'tites jeunes femmes. J'vous emmène prendre un verre?
Oh oh quel chenapan. Comme si tu allais accepter un rencard à deux. Non. Certainement pas. Tu déclines poliment d'un signe de tête affectueux. Puis tu attends à ce que la mystérieuse femme fasse de même.  
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Re: Dans la grande gare
Pandore Hastings, le  Dim 19 Juin - 3:51


Avec Azénor Philaester


Sa candeur attire des démons de lassitude.
Pandore sent bien que la demoiselle est gênée. Elle n'agit pas tout de suite. Puis arrive le deuxième homme. Un Moldu. Possiblement déjà enfumé ou enivré. Il propose de leur offrir un verre. Le malaise augmente. Une tension se forme entre les trois personnages, comme une toile d'araignée tirée entre leurs corps qui se raidissent d'une stupeur endormie. La jolie brune a déjà refusé lorsque la blonde remarque qu'une réponse est attendue de sa part. Elle prend son temps et savoure le silence qui s'installe entre eux. Elle détaille l'homme qui reste pendu à ses lèvres. La sorcière se demande ce qui le pousse à faire ça. Elle le détaille. Ses vêtements ne sont pas très luxueux, mais pas en charpies non plus. Il sent légèrement le chien et le tabac froid. Il a une barbe peu épaisse. Ses cheveux sont en bataille mais leur style est recherché. L'homme veut se donner un air jeune, un look mi-branché, mi-négligé. C'est dans l'air du temps. Cet homme fuit le temps qui passe, et celui qui est déjà passé. Il a un regard vitreux qui traduit de l'ennui de vivre. Cette vision déclenche l'empathie de la Gryffonne, qui fait taire ses pensées pour revenir au présent.

L'anglaise finit par se lever et posa une main discrète et rassurante en haut du dos de l'inconnue. Puis, avec un sourire courtois, elle refusa l'invitation lancée une longue minute auparavant.

C'est vraiment très gentil à vous, mais nous sommes attendues ailleurs. Tu viens ?, lança-t-elle ensuite à l'adresse de sa protégée. Nous allons être en retard.

Pandore prend les choses en main. Elle décide de jouer à ce jeu. Elle presse sa complice à sa suite, tout naturellement, comme si elle s'occupait d'une petite sœur ou d'une amie proche. Lorsqu'elle sent qu'elles sont hors de vue, elle s'éloigne à nouveau. Elle ne voudrait pas paraître grossière. Elle se rassoit sur le banc le plus proche. Elle semble vouloir que leur début de conversation reprenne. Sa curiosité se lit dans son regard. Son visage est détendu et lumineux. Elle est ouverte à cette étrange rencontre qui a transformé sa journée. Toutes ses préoccupations passées ont disparu depuis l'instant où leurs regards, roche contre rivière, se sont heurtés.

La sorcière ne croyait pas qu'un telle chose pût arriver, dans une garde aussi bondée. Au loin, dans le hall, le chant de la cohue résonnait encore, et toujours, alors que les pas des marcheurs se démultipliaient en des centaines de claquements et d'échos étouffés sur les dalles. À nouveau, le temps était comme suspendu, influencé par une magie obscure qui créait un voile tout autour des deux femmes. Pandore était presque certaine d'avoir à faire à une sorcière. Elle passa tranquillement les doigts sur le manche de sa baguette, comme pour se souvenir de sa propre nature. Le contact de l'aubépine lisse et raffinée rappela un parfum de bois à la grande blonde, qui reporta ensuite son attention sur l'inconnue qui l'accompagnait.

J'espère que je ne vous ai pas froissée en vous entraînant si soudainement. Vous aviez l'air d'appeler au secours, s'amusa-t-elle.



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Re: Dans la grande gare
Azénor Philaester, le  Lun 20 Juin - 19:32


La blonde attend. Elle l'observe et attend très longtemps avant d'enfin répondre.
─ C'est vraiment très gentil à vous, mais nous sommes attendues ailleurs. Tu viens ?Nous allons être en retard.
Elle te prends le bras. Très vite, tu l'a suis. Cool. "Sauvées". Hors de vue. Elle te lâche le bras soudainement, comme si cette situation était gênant. Mais pas tant que ça au final.
Elle a quelque chose en plus. Certes. Une jolie voix. Un joli visage. Un attitude exemplaire. Une prestance sans pareille. Une politesse prononcée. Mais quelque chose dont tu n'arrive pas à démasquer se cache en elle. Mystérieuse cette jeune femme.
─ J'espère que je ne vous ai pas froissée en vous entraînant si soudainement. Vous aviez l'air d'appeler au secours.
En effet. On peut dire qu'elle t'a "sauvé".
De ta plus jolie voix, armée d'un joli sourire ravageur, tu réponds cordialement:
-Oui eh bien aucun soucis, merci beaucoup d'ailleurs. En lui tendant la main, tu déclare Je suis Azénor. Azénor Philaester.
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Invité, le  Mar 6 Sep - 18:44

Matis devait aller à poudlard et le seul moyen possible est le poudlard express à Londres il était très heureux de pouvoir enfin faire ses études de magie. Quand il passa le quai 9/3/4 il vit un grand monde d apprenti sorcier , tout comme lui il était tous heureux. ses parents l'avaient accompagné même s'ils avaient du travail à faire. Il lui dit au revoir et l'embrassa. Sa mère lui dit: je compte sur toi pour bien travaillé sinon je t'enverrai une beuglante une sorcière qui est devenue mon ami me la dit faite bien attention ! Matis dit : ne t'inquiète pas maman je vais être sage et attentif, comme à l'école. il monta dans le train avec un peu d'enthousiasme. Dans son compartiment il se fit des amis de son âge. Ils trouvaient bizarre d'avoir 15 ans et de ne pas être en 5 e année car eux ils ont commencé à 11 ans sauf Matis. Il me trouvait sympa intelligent un peu drôle et je me fis vite des amis.
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Re: Dans la grande gare
Shae L. Keats, le  Sam 22 Oct - 2:07

Sujet inactif depuis plus d'1 mois,
J'reprends la main.
Mp si soucis,
Voir si on négocie.


Pv Niùt Johnson.


C'est pas parce qu'on a rien a dire qu'il faut fermer sa gueule


Des fois, les jambes portent, sans trop d'mander l'avis du cerveau quant à la route à emprunter.
On erre, comme ça, s'offrant au vent, au regard des gens,
Parce que le sommeil ne vient pas,
Et le silence non plus.

Ça a continué à jouer au tambourin dans ta tête, hein Keats ?
Toute la nuit encore.
Sans répit.
Et comme d'habitude, t'en as eu marre, t'es sorti.
T'as glissé la main de l'affreux qui te sert d'elfe de maison dans la tienne après lui avoir lancer un "Londres" au visage.
Pour respirer un peu cet air aussi pourri que tes pensées,
Pour te cacher dans cette crasse abondante,
Cette laideur des faubourgs.

J'ai erré toute la nuit, j'ai oublié quels parvis mes jambes-coton avaient pu fouler, quelles asphaltes elles avaient pu abîmer. Laissant la trace d'une semelle à peine user sur une pierre déjà polie par celles des anciens. J'ai essayé de compter les étoiles, de m'offrir à la lune en lui tendant les bras, en lui hurlant tout ce que je pouvais penser. Sans que cela fonctionne. J'en ai marre d'être déçu, parfois j'aimerais pouvoir monter plus haut, décoller avec tous ces maudits oiseaux, et aller frôler les nuées du bout des doigts. Un peu comme tu aurais aimer flotter dans les yeux de ce monsieur Le Dragon. Celui qui avait un ciel entier dans la tête, des mers et des vallées, allant des fjords sauvage d'atlantique nord aux étendues désertique d'Afrique du Sud. Moi aussi j'aimerais pouvoir survoler tout cela, voir le monde comme un enfant qui découvre la vie avec de grands yeux ébahis. J'ai pas envie de perdre ce rêve, ce voile rosé-sucré devant les yeux, Cette douce nostalgie qui ramène aux après-midi pluvieux qui nous forcer à transformer notre chambre en une cabane regorgeant d'aventures, de pièges. J'ai pas envie de perdre tout ça. Jamais, mais je n'ai pas le choix.

T'as pas envie, alors tu le cherches, cet éclat nocturne,
Dans les rayons de lune.
Cette odeur humide, de terre retournée,
Propre à la nuit,
Et à ce moment béni
- Où tous les chats sont gris.

Et je l'ai cherché, pendant les neuf heures d'obscurité. J'ai marché longuement, je me suis caché dans les ombres, dissimulant mes actes, mes envies, mes sensations. J'ai perdu le compte à force, sans savoir où j'allais.. Et j'ai fini ici, là où tout à commencer. Dans cette gare que j'ai tant emprunté, enfant comme "adulte". L'ouverture du monde sorcier. Un léger pincement au cœur qui ne m'affecte pas tant que je l'aurais voulu. Alors je m'assois, sur une banc, j'observe les allées et venues de ces moldus, encore aveugles de tout ce qui les entoure, sans voir la petite branche venir craquer sur la surface de mon quotidien.  
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Re: Dans la grande gare
Mangemort 67, le  Lun 5 Déc - 9:55

PV 91, Amnesius et Alicia

Comme des ombres soyons...

Cette nuit, où la plupart de la population dort, rêve ou... d'autres activités actives et stimulantes, j'étais de sortie. Mais pas seul, pas mon amie à écailles, non. Elle devait chasser ou "dormir" ou que sais-je encore. J'étais avec eux. Nonante et un pour certains quatre-vingt onze pour d'autres, je vous laisse le choix.

Je n'avais pas encore pu profiter d'un tête à tête avec eux. Trop occupés, trop demandés... Cette nuit, oh oui, c'était une nuit pour une rencontre, je l'avais appelé à Hollow puis demandé, avec autorité, de m'accompagner en cette sombre et cruelle nuit sans ciel. Nuages dévorants chaque éclat d'étoile cherchant à percer.

Dans cette gare, lieu des vas et viens incessants, quelques noctambules alcoolisés se faisaient entendre. Résonner sans se faire repérer. Nous marchions, l'un à côté de l'autre. Le rouge sur mon visage, le noir sur mon corps, le bois dans ma main. J'étais moi. Le vénitien, 67, le Seingeur des Mangemorts. Loin de la vie lambda que je me forçais à mener.

Secret bien gardé d'une identité cachée



Des souvenirs refaisaient surface après tant d'années. Qui aurait pu m'imaginer que je me retrouverai à la tête de l'Ordre Noir en me regardant à 11 ans ? Cet enfant d'une taille déjà bien trop grande pour son âge.

- Étais-tu revenu souvent ici, après tes études ? Briser le silence par une question nostalgique ? "La vie nous réserve bien des surprises. Des choix à prendre, une volonté de changer les choses radicalement. Nous sommes dem...

- Hé les mecs, il y a deux gogols qui jouent aux fantômes là-bas. Hé, ils sont blancs hein ! Pas noirs ! Résonance forte, insultante, impertinente.

Voix stridente qui me fait tourner la tête lentement, en biais. Si mon masque ne couvrait pas on visage, elle verrait des yeux écarquillés, la dévorant d'un feu mortel.

Derrière la jeune femme, trois jeunes hommes débarquent. Ils viennent dans notre direction. Mauvaise idée.

- Fais-toi plaisir... Montre-moi ce dont tu es capable. Je veux entendre leurs cris résonnés. Je veux me le délecter...

Mon regard était toujours sur la leader désignée du quatuor. 91 devaient être habitués aux "gamines trop hautaines". Résonne dans ces murs, résonne tant que tu es encore en vie, résonne tant qu'il est encore temps, car le tien est presque révolu
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Re: Dans la grande gare
Mangemort 91, le  Lun 5 Déc - 12:36

Un soir tous les soirs et ce soir comme les autres, près de la nuit hermaphrodite, ils guettèrent. Les yeux mobiles comme un jouet d'enfant d'en l'espoir de tout saisir, de tout chérir, de s'offrir entièrement à lui. Il y eut la porte comme une scie chauffée à blanc dans leur bras. Et l'appel crevant l'air jusque dans leur âme.  Ils transplanèrent immédiatement pour trouver un  maître autoritaire qui voulut s'accorder le plaisir de leur présence à croissance à peine retardée pour une nuit. Ils ne purent que s'y plier, appréciant l'idée que ce soir l'imprévu teinterait leurs veines. Il leur sembla qu'ils ne s'ennuieraient pas.

Arpentant le sol carrelé de la gare, tant de fois encrassé par maintes et maintes sorciers, au côté de leur maître, ils espérèrent que ce dernier leur avait prévu quelque chose à la hauteur de sa réputation. Ils ne l'avaient jusqu'ici vu qu'à l'occasion de la délicate attention qui ornait désormais leur chair brachiale. Encre de son âme sur leur peau, présent auquel ils s'efforçaient de faire honneur. Heure après jour.    Jour après an. Présent qui avait dans un premier temps exercé une pression presque lacrymale avant de se transformer en l'orgueil d'une fierté mal placée. Elfe du moindre de ses désirs à l'acier dans leurs os, mais ce n'est pas pour leur déplaire. Ils aimeraient presque cette condition de servitude, car les idées sont proches des leurs. Elles sont aussi rouges que le masques du seigneur sous le fond noir de son corps. Aussi longue que leurs deux nez plastifiés, protecteurs et garants d'une liberté nouvelle. Le pantin et le vénitien, titre de livre d'enfant fort mal adapté.

Et c'est pourtant avec une question emprunte d'une nostalgie vermeille qu'il les tire d'une rêverie mal dissimulée. Leurs études, les trains, les heures, les retards, c'est loin tout ça. Du moins c'est ce qu'il pensèrent sur l'instant, avant de songer qu'il ne s'était finalement écoulé que peu d'années. Quelques mots moralisateurs non-inintéressants qui glissaient de ses lèvres lorsque une voix ménagère résonna, vrillant les tympans des neuf tandis que un se retourna. Regard sombre à travers deux fentes qui en continrent les éclairs. Ils restèrent proches de Matricule Six-Sept, retenant leur impulsivité au profit d'un feu Godot teinté de vert. Le banquet orgiaque continua de s’accroître de trois pinçons venant secourir les beaux yeux de leur caille. Ils interrogèrent d'un regard leur maître avant que ce dernier ne leur donne le présent tant chéri en secret.

L'os jaillit d'entre leurs doigts comme un ressort. Trois sorts, comme le veut la coutume, et quatre adversaires, voilà qui leur sembla jouable. Du moins c'est ce qui crurent sur l'instant, débridant les neuf chiennes, laissant échapper les laisses. Ils s'approchèrent lentement du quatuor à corde, prêt à jouer un concerto lyrique de chants gutturaux agonisants.

L'entrée fut facile à déguster, elle alla de paire avec le plat de résistance, servis par un #Ango Nubes Multiplicare, toujours ce goût prononcé pour la cuisson à l'étouffée. Tu la laisses les emmitoufler de sa fumée veloutée, ils  la laissèrent suffoquer, te concentrant sur le troisième violoncelle, cherchant comment en réduire les cordes en spaghettis de copeaux de bois. L'idée s'imposa, mentor toujours dans un coin de la tête, dont les idées se glissent parfois. Ils lancèrent un #Fustigeaflamma, laissant sortir de leur bout de bois une longue langue enflammée aux papilles toutes émoustillées par l'entre-met à venir.  Le fouet sur la peau craqua comme une feuille de menthe entre les dents, et la boule de glace fond sur le sol du palais, tombe à terre, hors d'état de nuire, corps fumant, et hurlant lui aussi de douleur, emplissant la gare de sa voix en chants ecclésiastiques.

Le dessert, lui, n'a pas bougé, le jeune femme, toujours immobile face à leur maître. L'occasion idéal de lui faire cadeau du coup de grâce. Afin de s'assurer que leur présent ne se fassent pas la malle, ils conservèrent   leur fouet, instrument d'intimidation suffisant pour s'assurer qu'elle reste  face à leur seigneur. Priant pour qu'il accepte de lui faire crier le cri suprême. Qui fera vibrer la gare de toute son âme.

 
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Re: Dans la grande gare
Invité, le  Mar 6 Déc - 22:53

Il faisait nuit noire. Une nuit sans nulle Lune inerte ni fil de nylon pour maintenir les planètes. Seul une atmosphère d'anis étoilée émanait du ciel sans qu'elle ne fut suffisante pour discerner les contrastes de la capitale endormie. Les néons bleus des contemporains éclairages urbains de l'autre monde s'était assoupis avec lui : c'était cette heure où les serpents cessent de se dissimuler sous les souches, s'exposant à la vue des rapaces aux serres acérées. Amnesius marchait dans ce décor curieux si souvent peint pas les adorateurs d'un topos épidémique que le tableau perdait à chaque fois de ses couleurs, se fondant dans un pastel fade et redondant duquel on ne discernait plus de contrastes. Et tandis qu'il se faufilait dans le Londres obscure, il songeait à cet étrange paradoxe qui motivait ses ennemis. Pourquoi fallait il que ce soient les même qui se défendent de devoir se cacher et qui vivaient au paroxysme du secret ? A ses côtés, Alicia devait être plongée dans une réflexion toute différente dont il ignorait tout tant elle se murait dans un silence certain. Recruté récemment par l'Ordre de la Raison pour défendre l'idéologie de ses semblables, la jeune femme, sans doute, avait elle enfin trouvé sa place parmi les siens. Et tandis qu'on lui prédisait un avenir radieux dans sa nouvelle famille, l'intrigué enquêteur avait souhaité mieux la connaître. C'est donc dans ce contexte qu'il lui avait tout naturellement proposé de le suivre dans l'une de ses marches nocturnes afin qu'il ne s'y sente moins seul. Si par ailleurs il aimait cette solitude entendue, les nuits constituant l'unique cadre dans lequel il pouvait profiter de la mégapole surpeuplée pour lui seul étaient devenues bien fraîches. Oh ça n'était pas la proximité d'un corps féminin qui le réchaufferait, bien sûr mais peut être le dialogue permettrait il d'oublier les tranchantes lamelles du vent glacial qui lacéraient ses mains. Pourtant, passées les premières minutes, le jeune homme plutôt bavard s'il en est n'avait plus trouvé la force de parler de peur d'ennuyer son auditoire. Et ils avaient tous deux continuer leur exiguë chemin ponctué par de rares phrases de soulagement.

Leur hasardeuse vadrouille les conduisit dans le centre ville où il était rare qu'Amnesius ne s'engouffre seul. Ils longèrent les pont de Londres redevenus calmes et continuèrent leur paisible chemin sur Goods Way qui, comme chacun sait, mène au hangar du moyen de transport anglais par excellence : debout sur ses deux arches, King's Cross n'avait pas bougée de la nuit. Le chasseur de mages noirs devenu braconnier se souvint, en voyant l'édifice, du jour où cette transfiguration avait été faite. C'était une nuit indifférentes de celle qu'ils étaient en train de vivre excepté concernant le mercure. La lutte pacifiste des protecteurs du monde aimé s'étaient heurté à la lutte passive des démons aux masques chromés. Déchirant l'amertume iconographique qui le narguait comme un diable dans sa boîte, comment oublier, ce duel à la Cervantes dans lequel le courageux sorcier s'était battu contre le papier prosélyte accroché au mur de la gare et surtout, comment oublier qu'il l'avait remporté ? Le jour suivant, Alexander l'enfermait dans une salle d'interrogatoire pour lui ouvrir les yeux. La suite, personne n'a pris le temps de la lire...

Rentrons.

Proposa doucement Amnesius à sa nouvelle sœur voyant que le gardien avait oublié de fermer la porte de service de ce cimetière endormi à l'heure où même l'incessant flux de pensées rigides obstinément fixées à leurs rails endoctrinant connaissait une trêve. Qui aurait pu penser que les gares cessaient de fonctionner la nuit ? Qui donc aurait pu croire que l'aliénation du transit sentencieux n'était pas si gnomique que ne le faisait croire l'habitude quotidienne que laissaient s'installer les maillons de la chaîne empruntant chaque jour les mêmes couloirs écrasés par d'égales foulées ? Pourtant le carrelage de marbre, lavé par un lucide Moldu sans conviction qui renonçait à ses rêves de voyage continuait de scintiller. Des losanges de fer formaient une voûte endormie dont la céleste clef n'était pas allumée. L'alliage de métal donnant sur l'extérieur craquait lorsque le vent s'engouffrait dans sa structure grise ouverte au froid. Vers le dortoir des trains, on entendait des rires. Les deux hommes n'étaient pas seuls. Homenun Revelio... Sept. Peut être plus que quatre vue les vibration étouffées qui s'étaient fait sentir sur la poignée de santal. Trois, donc si l'on ne comptait pas Alicia qui était avec lui. Tout en sachant que ce ne pouvait être qu'un groupe de clochards Moldus qui s'étaient retrouvés là pour mourir de froid, la curiosité empêchait le jeune homme de faire demi tour... et son amie le suivait...

Il continuèrent encore en silence à l'aveugle dans le semi silence de la nuit qui faisait résonner leurs pas comme des interrogations dans l'esprit cartésien de l'homme. Au fond d'un couloir, on entendait des cris, des rires. Une épaisse fumée se dégageait en petites volutes derrière l'angle du mur qui cachait la vision d'horreur du canevas qui se jouait derrière. Des ombres chinoises dessinaient en traits grossiers les noires actions des soldats anonymes qui tendaient à le rester. Une étrange lueur semblait surgir de l'ombre dégageant avec clarté les ténèbres sur les parois de cette Caverne de Platon d'un nouveau genre. Les deux sorciers avançaient à pas de loups vers les formes lupines pour enfin découvrir cet étrange tableau. Trois hommes étaient à terre. Deux d'entre eux semblaient simplement dormir ; assoupis dans une rêverie. Mais leur sommeil de plomb et d’étain n'avait rien d'onirique. Il ne songeaient plus comme leurs infertiles esprits avaient autrefois tenté de le faire. Le troisième, en revanche paraissait avoir nourri le feu d'une souffrance atroce. Feu de joie s'il en est car la chaire brûlée de ce pantin de bois désarticulé et consumé ne laissait plus paraître que d’exorbités globes continuant de fixer avec un strabisme certain la baguette d'un sorcier. Debout, devant les corps, c'était une photographie tirée d'un champ de bataille. Mais cette photographie là ne bougeait pas, comme arrêté net par la mort. Deux sorcier surplombaient avec un mépris inégalable les gisants à leurs pieds et si le style de l'un crachait toute la puissance dont il pouvait faire preuve, Amnesius n'avait d'yeux que pour le second. Cet homme immense au visage plus voilé que masqué par la couleur du sang ; il le reconnaissait pour les deux fois où il lui avait fait face. Il se souvenait de cette nuit dans l'Allée des Embrumes, bien sûr mais il se souvenait surtout, jeune phénix qu'il était alors, de l'attentat terrifiant au milieu duquel il s'était retrouvé. Un terrible événement qui avait failli marquer la fin de la vie d'un Auror alors même que la survie de celui ci ne représentait qu'une maigre consolation pour les dizaines d'échec successifs aux vains sauvetages. Un cris ! Le regard du jeune homme suivit directement la ligne directrice du triangle isocèle que représentait le trio. Devant le mage noir dans la main duquel se tenait toujours une arme formidable de force incandescente, une femme au cheveux de feu et tétanisée laissait échapper l'expression de sa terreur.

Accio !

Amnesius pointa la rousse de sa baguette et celle ci fut aussitôt attiré par la force du sortilège. La réceptionnant, le traqueur se plaça devant elle entre les bourreaux et leur victime. Or il était impossible que ces deux seigneurs des ténèbres ne l'aient pas vu à cet instant et s'attendant au choc qu'il anticipait, le garçon lança alors un Protego Horribilis droit devant lui, créant de ce fait une bulle de protection qui le recouvrait lui et les deux représentantes de la gente féminine. Mais le charme est coûteux et ne durera pas bien longtemps. L'ineffable difficulté de la protection obligea le Phénix à craindre l'échec. « Partez ! souffla -t- il à l'adresse de la Moldue, priant pour qu'Alicia ne le prenne pas pour elle. Et toi occupe toi du grand, je me fais le petit. »

Oui j'ai pris mon temps et oui, je me suis fais plaisir
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Re: Dans la grande gare
Invité, le  Mer 7 Déc - 18:34

Premier combat
Pv Amnesius Croupton, MM67 & 91


Une nouvelle page de la vie d'Alicia s'écrivait, vie déjà bien remplie à seulement 24 ans. Élevée par la famille Boccini suite à la mort de sa mère par les mains de son propre père, la jeune femme avait vécu une enfance et une adolescence plus que basique. Élève douée en Enchantements et en Métamorphose, sa scolarité n'avait pas été non plus incroyablement brillante. Juste normale. C'était à sa sortie de Poudlard que les choses devinrent intéressantes : isolée en Irlande pendant 3 ans pour atteindre un niveau d'aptitude mental assez impressionnant, Alicia n'était revenue en Angleterre seulement pour passer sa formation devant le Ministère. Néanmoins, les choses prirent une tournure qui n'étais pas prévue : embauchée à Ollivander's, l'ancienne Poufsouffle entra par la suite au Département de Mystères en tant qu'Assistante Langue-De-Plomb. 2 ans après, elle fut choisie pour devenir Professeure d'Enchantements à Poudlard, grâce à ses aptitudes obtenues à travailler au Ministère et en cette nouvelle année scolaire, la Wind avait été nommée Directrice de Poufsouffle et avait dû quitter avec regret son travail au Département. Néanmoins, ce n'était pas la chose la plus remarquable à l'heure actuelle. En effet, des changements de boulots, beaucoup de gens connaissent. Non, la Directrice avait rejoint l'Ordre du Phénix.

En effet, l'Animagus avait toujours plus ou moins était alliée à l'Ordre depuis son retour en Angleterre depuis 3 ans maintenant. La mort de sa mère, tuée par magie noire, avait motivée la blonde à combattre les Mangemorts mais ce qui était le moteur de ce combat, c'était ses élèves. Cette jeunesse qu'il fallait absolument protéger, loin d'idées aussi sombres que celles que prônent les membres de l'Ordre Noir. Ce qui était d'autant plus inquiétant quand on se doute que certaines personnes à Poudlard partageaient les idées des mages noires. Alicia se demandait même si certains n'étaient carrément pas des Mangemorts.

Soupirant à ces pensées, l'ancienne jaune et noire tourna son regard vers Amnesius. Alicia n'avait fait que très peu attention à lui depuis qu'ils étaient partis alors que le jeune homme lui avait gentiment proposé de l'accompagner dans Londres afin d'apprendre à se connaître. Néanmoins, chacun avait rapidement pris par son flot de pensées et ainsi, aucune discussion n'avait lieu. Ainsi donc, ils passèrent silencieusement au niveau des ponts de Londres avant de continuer vers la gare King's Cross.

"Rentrons."

Hochant la tête positivement en adressant un léger sourire à son frère d'armes, l'Hermine rentra dans la gare silencieuse. Enfin silencieuse, pas tant que ça. Des bruits se faisaient entendre et poussée par la même curiosité qui semblait également animer Amnesius, la jeune femme, sous son apparence de Phénix, le suivait discrétement. Lors de son arrivée dans l'Ordre, il lui avait été expliqué qu'elle devait choisir un pseudonyme ainsi qu'une apparence pour qu'on ne puisse pas la reconnaître. Ainsi donc, à l'heure actuelle, elle se nommait Caitlyn, habillée de noir aux cheveux châtains. Impossible donc que quelqu'un puisse la reconnaître, surtout avec le port de son masque à la silhouette de chat.

"Accio !"

Un sortilège, précédé d'un cris. Une jeune femme était près du duo de Phénix, totalement horrifiée. En face d'eux, se trouvait deux hommes masqués vêtus de noir. Comprenant rapidement la situation, la jeune femme sortit sa baguette, bien que paralysée par l'anxiété. Alicia n'avait jamais combattu de sa vie et se retrouver devant deux mages noirs était impressionnant... Néanmoins, il fallait se ressaisir et aider l'Auror qui allait être en difficulté si l'Hermine ne l'aidait pas. Chassant la Moldue brusquement pour qu'elle ne fasse plus blesser, la Professeure se tourna vers le masqué que l'Auror lui avait désigné (67). Il fallait agir vite et bien avant de finir en pâté pour chiens. Ainsi donc, la jeune femme informula un #Aguamenti vers l'homme avant de transformer l'eau en piques de glace grâce à un #Glacio. Enfin, pour tenter d'augmenter ses chances de toucher son adversaire, l'Hermine visa le banc derrière les Mangemorts et informula un #Confringo.
HRPG : Je tiens à préciser le choix de l'adversaire vient d'Amne. Vais me faire manger '-'
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Re: Dans la grande gare
Mangemort 67, le  Jeu 8 Déc - 10:16

C'était un sacré spectacle qui se déroulait devant moi. Face à ce quatuor qui vit son nombre descendre radicalement et rapidement, baguette en main certes, mais encore endormie laissant celle de mon sombre acolyte accomplir sa tâche. Il savait s'y prendre, varions les plaisirs. Oh oui mais pour un seul but que la terreur prenne possession sur leur visage. Qu'ils comprennent que leur vie allait s'éteindre dans un instant, tenter de se sauver alors que c'était impossible. Voir la peur crisper leur visage, les yeux paniqués cherchant un moyen de comprendre ce qu'il se passait. Mais pauvre de toi, tout t'échappe. Un monde entier vous échappe où ce qu'il s'y passe vous dépasse.

Une odeur de brûlé, pas très étonnant je vous l'accorde. Un corps calciné dégage de la fumée d'un noir qui rejoint le plafond sombre de cette grande gare, une senteur qui vient vous agresser le nez. Et une détresse aux cheveux roux m'est offerte, quelle gentille intention. Et si on jouait ?

J'allais m'avancer vers elle lorsque... Elle fût attirée par quelque chose, une force invisible qui la fit crier un bon coup. Résonance supplémentaire en ce lieu mythique. Réaction, corps en alerte, que se passait-il ? Une silhouette sortit de derrière un coin. Tiens, elle me disait quelque chose, attendons de voir la suiiii... De l'eau, de la glace et commutatio Loco informulé. Concentration importante pour échanger ma place avec le cadavre brûlé, ce n'était pas trop loin, c'était mort, première pensée venue, cela me sortait d'une situation délicate. La glace fonça contre le sol et explosa en mille morceaux dans un bruit loin des plus gracieux. Mais il semblait que la deuxième venue était la fautive, j'en déduis que c'était une femme vu son allure mais rien n'était certain en ce monde.

Pas le temps de réfléchir d'avantage qu'une explosion me fit sursauter, accompagnée de bouts de l'objet victime du sortilège m'arrivant dessus à une certaine vitesse. Petites écorchures et bleus seront au rendez-vous dans quelques heures.

- Je vois que nous avons de la visite ce soir. Bienvenue à vous deux.

Balancer des prénoms au hasard pour les déstabiliser ? Cela pouvait être une solution. Mais si je tombais sur une corde sensible qui les motiveraient encore plus à en finir avec 91 et moi ? Pour l'instant, il valait mieux éviter.

- C'est donc toi mademoiselle qui te désignes comme mon adversaire ? C'est parti !

Je n'avais pas vraiment imaginé faire ce genre de rencontre cette nuit, mais cela mettait un peu de piments. Depuis les ponts, les contacts s'étaient plutôt fait rares.

- Serpensortia Multiplicare ! Murmurai-je sèchement et rapidement. Puis dans un fourchelang suffisamment audible pour tous, j'ordonnai de tuer les deux derniers venus.

Pour éviter une attaque directe, j'invoqua un ragnarok devant moi. Les reptiles filaient en direction de nos ennemis. Certes leur nombre d'adversaire s'était légèrement accru mais cela ne les stopperait pour autant.
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Re: Dans la grande gare
Invité, le  Dim 11 Déc - 16:10

Laissant la place à la troupe de théâtre inhabituelle qui rompait avec ce topos de la lente agonie des trains endormis dans les sous-sols crasseux de ce Londres évanouis, le fléau du galop des chevaux de fer s'était interrompu depuis quelques heures. A présent ce n'était plus le strident sifflement des sphincters mécaniques qui fusait dans l'atmosphère saturée de suie mais les sermons psalmodiés des parasites désertant la raison pour plonger leurs esprits dans la stupeur spectrale : force était de constater que les peintre de la souffrance n'avaient plus besoin de motif pour faire découvrir leurs arts. Des baguettes et des regards de braises, les bouts de bois sec, parmi ces feux croisés n'étaient pas les plus dangereuses des armes. Mais l'on eu pas le temps d'y penser car à peine les deux Mangemorts s'étaient ils rendus compte de la présence d'Amnesius et de sa compagnonne que cette dernière, fautant dans un élan paroxysmique de manque de savoir vivre, débraya sans attendre et fonça tête baissée sur l'épée brandie du bras tendu du plus grand homme. Ce dernier, d'une taille respectable qui faisait flotter derrière lui une ombre filiforme, d'un indolent geste du poignet échangea la place avec celle de l'un des corps qui gisaient encore sur le sol. Il ne tarda pas à se relever tandis que l'homme déchu et brûlé était bien refroidit. Ses yeux exorbités dont les orientations peu canoniques se rencontraient l'une l'autre éclatèrent lorsque le froid les fendit. Le reste de la glace fondait sur le sol carrelé lorsqu'elle n'avait pas été brisée au contact de celui ci. Une flaque se déversait sur les motifs losanges d'une rougeurs pareille à celle du foulard que l'on retrouvait sur le nez de l'homme qui se redressait déjà alors qu'une assaillante explosion le fit sursauté ainsi qu'Amnesius. Des petits bout de corps décharnés, carbonisés et durcis par la fraîcheur des précédents sorts vinrent perler la peau du géant de soie.


Je vois que nous avons de la visite, ce soir, dit celui ci alors que ses deux ennemis lui faisaient face. Bienvenu à vous deux.


Amnesius lui fit un rapide sourire en coin en entendant cette voix inconnue se répandre dans l'entièreté de l'univers qui les entourait. Il connaissait cet homme pour l'avoir vu sur les ponts ; lui qui avait manqué de le tuer de si près et qui devait d'ailleurs masquer derrière un foulard sa surprise de le retrouver en si bonne santé. Mais la voix portante de cet individu se perdait en échos déformant qui ne permettaient guère de l'identifier aussi bien que l'Auror l'aurait voulu. La frustration de se faire ouvertement narguer se lisait sur les pommettes vermeilles du jeune homme. Mais comme il ne voulait pas que cela se remarque trop, il se contenta de sourire en levant les sourcils d'un ton intimidant. Puis, parce que la tension était retombée et parce qu'il ne voulait pas craindre de se montrer aussi impoli que son apprenti, il bloqua la progression de cette dernière d'un geste de la main :


Regarde et apprends. Dit il en s'inclinant aussi bas que possible dans un respectueux salut.


C'est donc toi, Mademoiselle qui te désignes comme mon adversaire ? C'est parti !


Amnesius ne pouvait s'empêcher de supplier à mi-voix pour que son amie ne fasse pas preuve de trop de zèle. Il ne savait que trop ce qu'il pouvait se passer lorsque le combat tourne mal. Et il n'avait pas eu l'occasion de se refaire la main autrement que sur ses collègues depuis sa dernière défaite. En effet les combats ne faisaient pas vraiment rage dans les rues de la ville depuis quelque jours et c'est la raison pour laquelle le fonctionnaire tâchait comme il le pouvait de ne pas perdre ses acquis en matière martiale. C'était donc avec les autres Aurors qu'il s'était mis à s'exercer comme le veut la profession. Mais comment être certain qu'un entraînement si intensif soit il permette de prendre la défense de son amie face à deux Mangemorts qui faisaient couler le sang avec un plaisir coupable et, à juste titre, condamné par cet écumeur de sombres ascètes. Au moins ce combat allaient il avoir l'avantage certain de ponctuer d'un intérêt coloré la vie devenu tranquille et grisâtre du mage. Et s'ils ne parvenaient pas à les capturer, au moins la traque n'aurait elle pas été vaine en ce sens qu'elle constituait pour Alicia une entrée flamboyante dans le monde de la lutte camouflée.


Trois serpents jaillirent de la baguette du plus grand des deux hommes. Celui là même qu'Amnesius avait indiqué à Alicia, le désignant comme cible. Le perspicace inspecteur nota avec un intérêt tout particulier le fourchelang élégamment parlé dont on pourrait chercher s'il était notifié. Sous les ordres certain de ce sorcier, l'un des serpents se dirigea vers Oreste tendis que les deux autres filaient avec ardeur vers la charmante Andromaque.


Ô narrateur, diseur, bonimenteur. Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ? Sont ce des sifflements qu'on susurre en silence ? Est ce que l'on essai de nous faire cesser notre respiration ? Qui servent ces sauriens asservis aux consonances associatives ? Y sent on l'assurance d'un décès décidé à l'avance ?


Mais au delà de sa crainte et dans un élan d'instinct, Amnesius décida d'utiliser la même arme que l'adversaire de ce jour. Lançant un Inathiranum Sortia il fut satisfait de voir apparaître un petit blaireau sur le sol de la gare. Le mustélidé insensible au venin vipérin et ophiophage fondit sur le reptile avec avidité et l'englouti sans que le sorcier ne doivent s'en préoccuper d'avantage. Libre de ses mouvement, il semblait alors inconcevable que l'on puisse en dire autant de l'adversaire qui avait tué les trois Moldus au sol et qui, immanquablement, n'aurait pas hésité à en faire autant pour la femme aux cheveux roux s'il en avait eu le temps.


Incarcerem* prononça le garçonnet. Le Mangemort se retrouva alors ligoté par des liens bien rêches. Des cordes brunes de chanvre le maintenaient en place à la perfection pour le sort suivant qu'il in-formula pour surprendre : Duro.




*Libre arbitre de 91 accordé.
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Mangemort 91, le  Ven 23 Déc - 16:44

La pointe amère et assassine de la voix qui s'élevait autour d'eux ne pouvait que leur tirer un sourire élastique retenu par deux trombones à la commissure des lèvres. Heureusement, leur masque savait cacher les gouttes vermeilles avec justesse, laissant tout de même leurs yeux se satisfaire de l'once de contentement qu'ils prêtaient à 67, en espérant secrètement que ce dernier n'oublierait pas de le leur rendre. Le présent agenouillé à la grandeur du maître de fer, du corbeau vénitien, qui à défauts de ses yeux jaunes ne possédait pas un regard moins perçant. Qui à une brûlure près savait rameuter sa portée de rejetons. La tendre brûlure paternelle qui les avait mené jusqu'ici, sur la voie de ce qu'ils pensaient bien, une gratitude peut-être, une confiance presque aveugle, ils sauraient suivre leur maître là où celui-ci les mènerait. Du moins c'est ce qu'ils se plaisaient à croire.

La chevelure renard devenue fourrure, prête à devenir tapis sur lesquels bientôt ils essuieraient leurs pieds. Du moins c'est ce à quoi ils avaient osé rêvé avant que dans une envolée enflammée, leur proie ne soit ravie loin de leur être. Ils en pleureraient presque. Si ils n'étaient pas ils. Eux. 91. Ils se ressaisirent rapidement alors que leur prunelles captèrent la présence de deux autres formes humaines de l'autre côté du hall. Mais le jeu pourtant si divertissant des couteaux tirés ne dura pas, car l'eau vitale fusa de la flûte de bois de l'hermine hivernale. Glace durcie, polie, presque brûlante de lustration, reflet opalin de cette gare en vibration, que le maître sut esquiver avec agilité, laissant la chair du grand brûlé se rafraîchir à coups de bâtonnets.

L'explosion leur tira un rebond, accommodé à ce qui pourrait sembler être un sursaut, accompagné comme toujours par le corbeau qui craquetait à leur droite. Des éclats de bois vernis vinrent à leur tour vernir leur peau de quelques marques rougies. Vermeilles. Assorties au vénitien. Au fil brûlé de leur bras, cadeau de leur mentor.

"Je vois que nous avons de la visite ce soir. Bienvenue à vous deux. C'est donc toi mademoiselle qui te désignes comme mon adversaire ? C'est parti !"

Ils écopaient donc du jouvenceau près à mordre. celui qui leur avait ravi leur proie, ils se feraient donc un plaisir de ne rien contrôler. De laisser les neuf chiennes lui faire la fête, comme elles se le devaient. Mais déjà des serres de l'oiseaux jaillirent des reptiles qui se précipitèrent vers les deux intrus, obéissant au sifflement de l'aigle. Ils n'eurent que peu d'instant pour admirer la scène de marionnettes qui se jouait devant eux car déjà un de ces animaux nauséabond jaunis par l'école vint régler leur compte aux rampants dont les frères ornaient déjà leurs bras. Le fils les cueillit en plein ventre, et les liens apparurent tout autour de leur être, entravant la liberté que leur offrit leur masque. Ils grognèrent et informulèrent un #Ragnarok sur lequel vint s'écraser la lumière bleue du sort qui suivit.

Ils étouffaient dans leur carcan, il s'agissait maintenant de trouver un moyen rapide d'en sortir sans se brûler ni même laisser le temps à l'autre de réagir. L'idée effleura leur esprit malade, et se modélisa entre leurs doigts alors que le #Lashlabask quitta le morceau d'os qui leur servait de baguette. Les liens tombèrent à terre et ils purent enfin faire face à l'ennemi qui se dressait non loin.  Lançant le premier sort utile qui leur traversa l'esprit. #Mentum Confusem. Peut-être que leur sort ferait mouche, et que l'ombre prendrait à son crochet la jeune femme. La prenant pour l'un des oiseaux de nuit.  
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