Cours n°8

Un nouveau jour commençait, sous l'hégémonie d'un soleil d'été... La chaleur avait remplaçé le froid mordant restant de l'hiver, et tout le monde se sentait mieux.. Ismaël, professeur de DCFM, avait malheureusement eu une absence assez longue, pendant laquelle les élèves n'avaient pas eu cours.. Il fallait rattraper le temps perdu, sachant que la fin d'année arrivait, et que le temps courait de façon continu.. Quant on pensait que son collègue et ami (si ce n'est plus) Chris bennet avait presque fini son programme.. Comme quoi, il y avait des gens sérieux dans ce triste monde. Avant de commençer à parler de le-dit cours, intéressons nous au professeur, qui était encore dans sa maison à Godric, dans son salon, avec son animal de compagnie, Natrix, qui était enroulé près de lui. Les yeux cernés, le teint pâle, il ne dormait presque plus depuis quelques jours. regardant soudainement l'horloge ensorcelée que sa magique de colocatrice avait accrochée, il remarqua qu'il était 7h du matin... Et le cours qu'il devait faire commençait bientôt, exactement à 8h30.. Se levant doucement, il posa le grimoire devant lui, se frotta les yeux, puis se dirigea vers la salle de bain afin de faire ses ablutions matinales.. En passant, il vit son oiseau de cimetière qui dormait..

Après quelques minutes passés sous la douche, il alla devant la glace, et observa son reflet. Les yeux entourés de poches, une barbe de trois jours qui lui rongeait le menton... Sortant un traditionnel rasoir, il s'enleva cette barbe horrible, puis se coiffa rapidement. Ensuite, il s'habilla d'un pantalon noir et d'une chemise blanche. Enfin, il sortit de la maison, et transplana devant le portail de Poudlard. Il pénétra dans l'enceinte de cet etablissement où il faisait parti de l'équipe enseignante, et se dirigea vers sa propre salle de cours. Il déverouilla la porte, puis entra... Une odeur de propre se degageait de la salle.. Dommage ! Néanmoins il faisait chaud (ou alors était-ce son imagination ?) et il ouvrit toutes les fenêtres d'un geste ample de baguette magique. En parlant de baguette, il allait falloir qu'il aille s'en acheter, ou plutôt en fabriquée une nouvelle à Ollivander's. les recherches de Chris sara et lui même avait bien porté leurs fruits, et un large éventail de choix avait été mis en place. Trêve de pub.

Allant vers une fenêtre, il observa le ciel.. Il allait faire beau.. Et chaud ! heureusement, le cours du jour allait être rafraichissant... Ismaël se detourna de la fenêtre, et regarda le tableau. Jouant de sa baguette, il fit apparaître au tableau en écriture italique et harmonieuse:

"Cours de Défense contre les Forces du Mal n°8: Le Sortilège de Brouillard."

Ainsi, le cours allait incessament sous peu commencer.. Et il allait falloir rattraper le temps perdu par la faute, et ce par l'entière faute du professeur ! Ismaël retourna à la fenêtre, en attendant l'entrée de ses élèves, et regarda le ciel bleu... Il poussa un soupir, puis soudain, des bruits de pas se firent entendre.. Ils arrivaient.

La journée commençait assez bien aujourd’hui, réveillé par le chant des oiseaux qui s’élevait par vague de la forêt interdite la jeune rouge et or était debout à 6heures. Des l’apparition du soleil afin de prendre le premier bain de rayon de la journée après un tour sous une douche bien chaude pour mieux sortir du notre doux rêve de la nuit. Et la jeune rouge et or était prête à affronté sa journée. Ses cheveux blond détacher et volant dans le petit vent frais qui s’engouffrais par vague dans le dortoir. Elle prit son sac à dos qu’elle glissa machinalement sur ses épaules avant de disparaître par la porte du dortoir des sixième années. La jeune femme descendit rapidement l’escalier en colimaçon qui la séparait de la salle commune des Gryffondor, arrivant dans celle-ci un silence de plomb y régnait signe que des élèves avait mit le bazar la vielle il y avait encore des oiseaux de papier qui volait dans le ciel de la pièce. Quand elle arriva dans la pièce ceux-ci se ruèrent dans sa direction d’une geste rapide la jeune femme sortie sa baguette de son avant bras gauche et lancer un sort de base qui fit grillé les morceau de papier qui tombèrent sur le sol tout calciné, pour certain les autres se dispersèrent dans le reste de la pièce laissant ainsi la jeune demoiselle traversé ce qui lui restait de pièce avant de disparaître par le trou de la porte.

La grosse dame était aujourd’hui encore en pleine forme, on comprenait beaucoup mieux après plusieurs semaines dans se lieux pourquoi il avait choisit cette drôle de dame pour boucher l’entrer de la salle commune des Gryffondor. Celle-ci lui lança son habituelle « Bonjour » matinal avant de lui dire de ne pas revenir la déranger avant le souper de sa voix aimable comme a son habitude… Cela ne tira qu’un large sourire a la jeune femme qui pour simple réponse lui fit un petit signe de la mais signe qui voulait dire « Oui Chef ». Puis elle disparu dans les couloirs, tout d’abord en courant puis elle ralenti le pas pour passé devant les appartement de son directeur de maison une fois fais elle reprit sa course dans les couloir désert du septième étages. Arrivé devant les escaliers ceux-ci la laissèrent rentrer facilement mais ne la déposa pas facilement ou elle voulait. Après plusieurs subterfuge de sa part la jeune femme arriva enfin dans le hall d’entrée, une fois le grand escalier de marbre descendu elle entra enfin dans la grande salle. A la table des Serpentard, un jeune homme l’attendait déjà il lui fit un petit signe. Une fois sur regard ayant balayer la table des Gryffondor elle constata que aucune tête amical ne l’attendait elle se dirigea vers la table de Serpentard. « Oui, oui vous avez bien lu » Installer derrière l’un des banc de la table elle avait déposé un doux baisé sur la personne qui l’attendait.

Celui-ci ne s’était pas vraiment attendu a ce qu’il la rejoigne et était surprit mais pas le moins dessus cela se lisait sur son visage. La jeune femme se nourrit rapidement avant de prendre congé, rapidement plus rapidement qu’elle ne l’aurait voulut, elle devait se rendre dans le vestiaire du terrain de Quidditch elle avait oublier un truc important pendant l’entraînement du soir. Elle savait qu’elle retrouverais le jeune homme en cour alors elle disparu rapidement. Traversant le parc elle trouva ce qu’elle cherchait dans son placard le médaillon de la famille, elle le prit dans le creux de sa main avant de se diriger a toute vitesse vers son premier cour de la journée. Qu’elle heures était-il ? Etait-elle en retard voilà beaucoup de choses que la jeune femme n’avait vraiment aucune idée… Arrivant devant la porte de la salle de cour elle ralenti le pas jusqu'à se stoppé nette devant la porte ouverte, par habitude elle frappa trois petits coup sur le battant de celle-ci puis entra. Le visage rayonnant de joie la jeune femme entra et vue qu’elle était la premier « pour une fois… » ce dit-elle, puis elle prit la parole pour le professeur.

MOLLY – Bonjour professeur magnifique journée n’est-ce pas.

Lui dit-elle avait de prendre sa place dans les places du milieu de la salle près de la fenêtre. Une fois livre et parchemin sortie la jeune femme s’approcha de la fenêtre et l’ouvrit afin de pouvoir y passé la tête et sentir le doux vent frais de cette matinée lui fouetté le visage. Ramenant sa tête a l’intérieur elle ouvrit sa main droite qu’elle avait toujours laissé fermé. Au creux de celle-ci on pouvait voir une petit pierre d’une couleur foncer. Elle détacha le crochet d’attache et le glissa autour de son cou, une fois positionné autour du cou de la jeune femme la pierre changea radicalement de couleur passant de noir au bleu violet.

- "Ouah, une bonne nuit de passée..."

D'une manière pour le moins inhabituelle, Jason se leva avec douceur dans la pénombre de la chambre et ouvrit les rideaux de la fenêtre située à proximité de son lit : après avoir brièvement fermé les yeux sous l'effet de la lumière, le jeune étudiant parvint toutefois à s'habituer à la soudaine clarté de la pièce, et jeta un regard à sa montre... Une fois de plus, aucune raison de se presser : il était à peine 6h30, et le jeune Serdaigle avait de ce fait tout le temps nécessaire pour se préparer.

Jason risqua un regard dans le grand miroir situé à l'entrée de la chambre : manifestement, cette levée matinale lui serait bénéfique pour se remettre sur son 31, étant donné l'état déplorable dont il faisait montre actuellement... D'un pas sur et décidé, le jeune homme entreprit donc de se laver, de se parfumer et de se raser : avec un relent de motivation dont l'origine lui parut encore inconnue, le Serdaigle se risqua même à repasser sa chemise... Une routine pour certains, un exploit pour
d'autres.

Jugeant sa toilette terminée, le bleu et argent se toisa de nouveau dans le miroir : il était à présent nettement plus présentable, et offrait même une mine fraiche et accueillante... D'un air enjoué, le jeune homme adressa au miroir son plus beau sourire, comme pour corriger d'éventuels détails : après s'être admiré sous tous les angles, Jason ne trouva cependant rien à redire, et entreprit de descendre à la grande salle afin prendre un copieux petit-déjeuner. Inconcevable pour le jeune homme d'étudier le ventre vide.

- "Pouah, ça fait du bien !"

Après avoir dévoré plusieurs pains au chocolat (ainsi qu'une véritable montagne de tartines beurrées trempées dans du lait au miel), Jason parut en effet nettement plus détendu qu'au réveil : un large sourire lui fendait à présent le visage, et son petit-déjeuner royal semblait l'avoir arraché de son état végétatif, caractéristique du réveil poste-studieux...

Ce fut donc tout naturellement que Jason prit la direction de la salle de défense contre les forces du mal, d'un air presque joyeux : lorsqu'il pénétra dans la salle de classe, une autre élève semblait déjà arrivée, et tenait compagnie à leur professeur...

- "Bonjour professeur, magnifique journée n’est-ce pas ?"

Croyant sur le coup que la jeune élève s'adressait à lui, Jason intervint dans la discussion et prit la parole d'un air enjoué, tout en s'installant au milieu de la classe d'un air nonchalant :

- "Salut Molly ! Effectivement, un temps idéal aujourd'hui... Parfait pour se la couler douce je dirais ! M'enfin, comment aurais-je pu me permettre de louper un aussi bon cours ? Oooh, b'jour professeur : désolé de vous avoir coupé la parole, c'tait pas voulu. J'croyais que c'était à moi qu'elle parlait, c'est pas contre vous."

Un soleil éclatant traversait les rideaux du dortoir, qui réveilla Elwin, encore plongée dans un profond sommeil. Elle frotta ses yeux encore endormit et se leva. Elle se dirigea vers la glace de la salle de bain et remarqua ses cheveux ébouriffés. Elle se dirigea vers la douche et entreprit de se laver. Une fois ceci fait, elle essaya temps bien que de mal de coiffer ses cheveux. Elle prit une petite barrette violette et attacha sa magnifique chevelure blond - or quand ils brillaient au soleil. Elle s'habilla en choisissant judicieusement les vêtements qu'elle allait porter aujourd'hui. Vu le soleil éclatant de cette matinée, Elwin prit une courte robe violette et de petites sandalettes violette également. Elle regarda vite fait quelle heure il était : 7 h 15. Bon, elle était encore dans les temps. Elle prit son sac et descendit les escaliers pour se diriger vers la grande salle, où le petit déjeuner l'attendait.

Elle se dirigea d'un pas joyeux vers la table des Griffondor, et s'installa à côté de ses compagnons. Elle mangea copieusement : Pains au chocolat, croissant et une tartine de miel accompagné d'un thé.
La rouge et or murmura un < Que c'était bon > et partit en direction de la salle de défense contre les forces du mal où son cours allait commencer.

Un rapide coup d'oeil à sa montre, lui rappela qu'elle n'était pas en retard. C'est donc d'un pas joyeux, et d' un sourire au lèvres que la jeune fille rentra dans la salle de classe non sans avoir toqué trois fois.
Une fois à l'intérieure, elle remarqua deux élèves et le professeur.

< Bonjour professeur ! > dit la rouge et or d'un ton plein de gaité.

Elle salua alors les deux autres élèves.

< Salut ! Moi c'est Elwin ! >

La jeune Griffondor s'installa pas loin de la jeune femme et regarda par la fenêtre les oiseaux chanter gaiement.

8h04.

Innoxia était depuis bientôt une heure dans le Parc du château, allongée contre un arbre, à quelques dizaines de mètres du Lac. Elle s'était levée dans un rayon de soleil qui avait égayé sa journée. Après une rapide toilette, elle était sortie, légère et satisfaite, sa baguette qu'elle ne quittait plus, un crayon et un cahier à la main. Elle pensait dessiner le paysage, les personnes qu'elle rencontrerait, le château : tout ce qui l'inspirerait. Mais, après avoir trouvé un endroit où s'allonger, elle était restée là à penser, contemplant émerveillée les reflets du soleil à peine levé sur le lac. L'immobilité de l'eau conférait à la scène un aspect éphémère, comme si le temps s'était arrêté, comme si chacun ne pouvait faire autrement qu'admirer la nature qui se réveille. Et depuis une heure, elle restait fascinée par ce spectacle extraordinaire...
À présent, il fallait quitter l'endroit, son cours de Défense Contre les Forces du Mal commençant dans peu de temps. Elle se leva, remonta au haut de son mètre quatre-vingt-cinq, ramassa ses affaires, et avança vers la porte du château, en jetant un dernier regard au parc.
Une fois dans le château, elle passa devant une glace : sa toilette avait sans doute été trop courte, ses longs cheveux blond platine étaient quelque peu ébouriffés. N'ayant pas le temps de remonter à son dortoir, elle fit de son crayon une épingle, qui permit de la coiffer d'un chignon d'où tombaient quelques mèches. Aucune importance. Et puis, elle était très bien ainsi.

8h22.

Elle était la première arrivée, la porte était encore fermée. Non loin de la salle de cours se trouvait une grande fenêtre, que le soleil baignait. Innoxia décida d'y attendre son professeur. Elle s'assit dans l'encadrement en pierre de la fenêtre, en scrutant la porte de la salle, dans le couloir perpendiculaire.

8h29.

Ismaël Lievitch, son professeur, arriva devant la porte. Innoxia le regarda entrer. Elle s'apprêtait à se lever de son coin ensoleillé, mais déjà d'autres élèves se présentaient. Fidèle à son habitude d'observation, elle regarda la première élève : une cinquième ou sixième année, Gryffondor sans doute, par son attitude joyeuse. Elle avait l'air sympathique.
À peine franchissait-elle la porte, qu'un autre élève la suivait. Un homme, sixième année, peut-être. Innoxia l'avait croisé quelque part dans les couloirs. Il devait être Serdaigle, ou Poufsouffle... Non, il ne faisait pas partie de sa maison. C'était un Serdaigle.
Une minute plus tard, une jolie blonde en robe se présenta à la porte.
Innoxia décida alors d'aller en cours. Elle se leva, regarda une dernière fois le soleil briller dehors, et marcha de son pas égal et léger habituel.

Elle arriva dans la salle, salua d'un signe de tête respectueux et discret son professeur et ses camarades, avant de s'installer au milieu, derrière le Serdaigle.

- Innoxia Phidias, dit-elle à tout le monde sans rien dire à personne. Son nom n'était qu'une information parmi d'autres.

Elle écouta ensuite ses camarades parler.

Par cette journée ensoleillée, Owen s'était levé plus tôt pour aller se réveiller en douceur dans le parc et ainsi pouvoir apprécier le paysage que lui offrait le ciel s'éclaircissant, l'herbe verte couverte par la fine rosé du matin et le magnifique soleil levant. Il devait être tout près de sept heures quand il alla s'asseoir aux pieds d'un jeune frêne, couvert de sa robe d'école noire. Il pris une grande bouffé d'air frais, avant de ses dire que la journée serait sans doute très chaude. Owen resta là, à admirer le paysage d'une beauté magniphique pendant près d'une heure, réfléchissant à ses cours de la journée, après quoi, il partit vers son premier cours de la journée.

Défense contre les forces du mal. C'était un cours qu'Owen détestait et adorait à la fois; Il n'y était pas très bon, voir vraiment mauvais, mais les forces du mal l'intriguaient et c'était une façon indirecte de s'informer sur le sujet. Il entra donc dans la classe vers huit heures et demie, la classe étant déjà bien remplit et alla s'asseoir à un pupitre au fond de la classe en jaugeant celle-ci. De grandes fenêtres étaient ouvertes, plusieurs élèves étaient assis de place et d'autres dans la classe et le professeur Lievitch était assis à son bureau, derrière lequel le thème du cours était inscrit sur le tableau.

Après un soupire appréciatif, Owen ouvrit son sac et en sortit manuelle, encre et plumes tout en espérant que le cours serait théorique, ayant beaucoup de difficultés avec la partie pratique de ce cours. Quand il eut terminer de sortir son matériel, il tourna son regard las vers sa bouteille d'encre, tombant dans la lune, perdu dans ses pensées.

Une nuit blanche de plus… Les insomnies faisaient partie du quotidien de Lily. Cependant, elle n’en éprouvait aucune gêne. Au contraire, elle considérait ces instants comme privilégiés. Le fait de savoir tout le monde endormi lui donnait l’impression de posséder un pouvoir singulier. Lorsque le sommeil avait gagné les autres, que le silence avait envahi le château, que la nuit avait enveloppé chaque chose d’une ombre satinée… C’était comme si elle habitait un monde nouveau, un monde familier mais différent à la fois. Une fois dans l’obscurité, tout était teinté d’un brin de mystère : un fauteuil qui prend la forme d’une barque, une cape pendue à un clou qui devient un arbre biscornu, la lumière de la lune qui transforme le sol du dortoir en un lac bleuté… Et la respiration de ses camarades rappelant le souffle d’un vent calme et régulier.

Mais le soleil levant avait fait disparaitre peu à peu les ombres de ses rayons. L’arbre était redevenu une cape, la barque un fauteuil, et la surface du lac imaginaire avait laissé la place aux pavés de pierre. Le souffle endormi des élèves s’était dissipé et des bâillements résonnaient à présent derrière chaque rideau des lits à baldaquin. Lily consentit à se lever à son tour. Elle jeta un œil par la fenêtre : un soleil radieux qui promettait une journée caniculaire. Peut-être irait-elle se promener au lac après les cours ? Elle s’habilla et contempla le miroir de la salle de bain des Poufsouffles. Elle semblait reposée malgré le manque de sommeil. Ses yeux étaient rieurs, son sourire détendu. Seule sa chevelure en bataille pouvait trahir les nombreux allers-retours de sa tête au creux de l’oreiller… Elle releva ses cheveux avec un ruban, laissant libres quelques mèches brunes autour de son visage. Satisfaite, elle prit son sac et descendit en direction de la salle de cours, jugeant qu’il était inutile de prendre un petit déjeuner qu’elle n’avait pas envie d’avaler. Elle arriva devant la salle et passa la tête par la porte. Quelques élèves étaient déjà installés. Les fenêtres étaient ouvertes et laissaient entrer une légère brise. Elle repéra le professeur et lui adressa un signe de tête poli accompagné de son classique sourire courtois, puis s’avança en direction d’une place libre. Elle reconnu son ami Jason de dos. Allait-elle s’assoir près de lui ? Il allait surement la distraire et lui pourrir la prochaine heure… Ne dit-on pas que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ?

* Tu parles d’une excuse… *

Elle posa son sac avec fracas, à quelques centimètres du bras du Serdaigle, espérant lui arracher un sursaut de surprise. Elle sortit ses affaires, sans un regard vers lui :

« Bonjour Monsieur-je-sais-tout ! Comment ça va ? »

Une expression d’intense surprise se dessina sur le visage de Lily lorsqu’elle posa les yeux sur son ami.

* Wow ! *

Elle le balaya du regard de la tête aux pieds et émit un sifflement admiratif.

« Et bien ! Tu es… (juste Wow !) ….. Tu es… habillé… et rasé… Je dois dire que ça te va bien mieux que le look plouc ! »

Elle esquissa un sourire moqueur et contempla la salle de classe. Ils n’étaient pas nombreux encore. Derrière eux se tenait une jeune fille blonde. Lily se rappela l’avoir vu discuter à la table des Poufsouffles après sa répartition. Ses jolis yeux clairs avaient attiré son attention, bien plus que sa taille impressionnante. Elle semblait jeune mais particulièrement intelligente, avec un esprit subtile.

Lily lui adressa un sourire avenant et se présenta en lui tendant une main amicale :

« Bonjour, je suis Lily. Tu es à Poufsouffle n’est ce pas ? Je t’ai croisée dans notre salle commune… J’espère que tu te plairas parmi nous ! »

Elle se retourna pour faire face au tableau tandis qu’une effluve d’eau de toilette lui parvint…

* Wow *

8h31 et 43 secondes.

Innoxia, les sens en alerte, comme toujours, entendit des pas légers et sautillants dans le couloir menant à la salle. Une femme. 1m65, d'après le bruit sec. L'écho que renvoyait les murs de pierre la situait à 15 mètres de la salle. Sa taille indiquait que chacun de ses pas mesuraient environ 50 cm. Des pas réguliers... Une seconde et demi d'intervalle. Trente pas jusqu'à la salle. Fois 1,5. Elle arriverait dans 45 secondes.

8h32 et 29 secondes.

La jeune fille ne tourna pas la tête lorsqu'une femme de taille moyenne, un sourire gai aux lèvres et la démarche joyeuse entra en cours. Innoxia remarqua que son approximation frôlait la réalité. Elle avait mis 46 secondes.
La jeune Poufsouffle était satisfaite de son raisonnement, elle regardait la fenêtre avec un sourire aux lèvres, contemplant les oiseaux au dehors. Elle ne paraissait absolument pas concentrée, mais elle l'était plus que jamais : après avoir dépassé la porte, la nouvelle arrivée avait jeté un bref coup d'oeil à la salle, qu'Innoxia devina grâce au court arrêt de la jeune femme. Ensuite, elle s'était avancée vers le milieu de la salle, s'était arrêtée à nouveau, avant de reprendre un pas plus rapide. Elle avait déposé son sac bruyamment sur la table voisine de celle du Serdaigle.
Ainsi, la demoiselle était juste devant Innoxia.

« Bonjour Monsieur-je-sais-tout ! Comment ça va ? »

Après ces paroles banales au Serdaigle, une expression sincèrement surprise se dessina sur le visage de l'observée.

« Et bien ! Tu es… Tu es… habillé… et rasé… Je dois dire que ça te va bien mieux que le look plouc ! »

Innoxia ne put tirer aucune information intéressante de ce dialogue, mis à part la connaissance amicale qu'exerçaient sans doute aucun ces deux individus. La jeune fille relâcha un peu son attention, elle regardait maintenant le parc à travers la fenêtre avec un réel intérêt.

« Bonjour, je suis Lily. Tu es à Poufsouffle, n’est ce pas ? Je t’ai croisée dans notre salle commune… J’espère que tu te plairas parmi nous ! »

Innoxia ne pensait pas que la dénommée "Lily" lui aurait adressé la parole. Mais la jeune fille se retourna vers elle et dessina un petit sourire-réflexe sur ses lèvres. Face à Lily, elle remarqua que sa camarade fixait ses yeux. Elle lui présentait sa main, attendant que l'on la lui serre. Docile, Innoxia la serra, tout en répondant, de son ton froid et ferme.

- Oui, Poufsouffle... Innoxia repensait à sa répartition déplaisante... Je m'y plais déjà. Et la météo se prête tout à fait à la découverte du château.

Dans la sombre humidité d'un cachot, un bruit de page qui se tourne. Un grincement de ressort : un jeune blond, livre en main, change de position sur son fauteuil.

Tout est calme ici bas. La salle commune est déserte en cette heure matinale. Les plus idylliques sont allés retrouver leur amant de feu, cet astre que tous adulent alors qu'il les crame. Atrion n'a jamais pu comprendre cet amour pour les "belles journées" ; cet adoration du "temps idéal". Pour lui, rien ne vaut la paisible compagnie d'un croissant de lune. Ce sourire blafard parmi les étoiles, tâches de rousseur scintillantes. Cette ironie au milieu du noir, ce défi lancé à l'obscurité. Briller dans l'ombre. Voilà quelque chose ô combien plus fascinante qu'une tâche jaune sur un fond bleu. Un bruit provenant du dortoir vient troubler le silence. Atrion jette soudain un œil à sa montre. Elle indique « Bientôt en retard ».

S'arrachant à sa lecture et à son fauteuil dans un concert de soupirs et de couinements métalliques, il prend la direction du cours de défense contre les forces du mal. D'une utilité à peu près égale à celle de l'étude des moldus. À quoi bon se défendre du pouvoir ? À quoi bon étudier la vermine ? Haussant les épaules, Atrion se dit que faire ses classes dans une école de prestige devait forcément s'accompagner d'une contrepartie. Après tout, la vie n'est qu'une lutte infinie. Un équilibre instable, où chaque avantage a son prix. Où chaque souffrance a sa récompense.

Perdu dans ses pensées, le fils Aweness ne vit pas qu'il était déjà arrivé à destination. Comme bien souvent, ses jambes avaient pris le relais quand ses pensées s'étaient envolées. Le couloir était presque vide, seuls encore quelques élèves s'engouffraient avec précipitation dans les salles.

D'un pas très calme et tranquille il pénétra dans la classe, et s'aperçut qu'elle était déjà raisonnablement remplie. De nombreux étudiants étaient déjà installés, parmi eux ses deux plus proches amis, Lily et Jason. Leur adressant un sourire presque chaleureux en signe de salut, Atrion s'avança jusqu'aux premiers rangs.

- Bonjour monsieur. Je suis Atrion Aweness, dit-il sur le même ton haut perché qu'il avait l'habitude d'employer lorsqu'il prononçait son prestigieux nom de famille.

Puis, il sortit les affaires de son sac et s'assit à la table située juste devant le bureau professoral. Bref regard au tableau. Le sortilège du brouillard. Derrière lui, un brouhaha se levait peu à peu. Lui gardait le silence, la tête haute, digne et noble. Se mêler aux braillements de la populace ? Un héritier Aweness ? Jamais.

Emma n'avait vraiment pas envie de se lever, pourtant il le fallait si elle voulait aller au cour de défence contre les forces du mal. Elle mis au moins dix minutes à se lever et a aller à la salle de bain, où elle prit une douche de vingt minutes (l'eau était si chaude). Après s'être coiffée et habillé, elle sortit de la salle commune pour aller à la Grande Salle déja rempli de monde. A la table des Serdaigles une surprise l'attendait: il y avait une ribenbelle de croissant: brioché, au beurre ou au chocolat tous était là. Emma adorait les croissants c'était la viennoiseries qu'elle préfèrait. Les croissants était délicieux (elle les gouta tous sans exeption). Mais une fois qu'elle eu finit son bol de chocolat chaud, elle se rendit compte quelle serait en avance au cours, "J'aurais du rester coucher!" pensa-t-elle. Comme elle avait le temps elle alla a la volière pour envoyer une lettre à ses parents, puis fit une petite promenade digestive dans le parc de Poudlard. Le moment vint d'aller au cour de défence contre les forces du mal. Elle monta le long escalier en spirale et entra dans la salle et salua le professeur, elle regarda le tableau et vit qu'ils allaient apprendre le sortilège du brouillard. Elle s'assit a une table seule et attenda que le cours commence.

7h30. Le réveil sonne et Marion ne veux qu'une chose. éclater ce p**** de réveil.
Pour une fois qu'elle dans un rêve magnifique il fallait que ce réveil soit là.
Elle resta quelques minutes dans son lit, les yeux rivés sur le plafond.
*Bon allé, il faut que je me lève ...*
Marion avait un cours de défense contre les forces du Mal. Toute ses affaires était déjà prête, il ne restait plus que elle se lève, aille prendre sa douche et s'était bon.
Elle ferma les yeux, et quand elle les rouvrit, elle découvrit, pour son plus grand malheur, qu'une demi heure venait déjà de passer.
*Oh mon dieu !! ME***, c'est pas possible ...*
Elle se leva d'un bond et courra à la douche, dix minutes plus tard , elle y ressortait, enfilait une petite jupe et maillot, pris son sac à la voler et se dépêcha d'arriver en cours.
Toujours à moitié endormie, elle vit la porte de la salle où elle avait cours.
Elle regarda l'heure et vit qu'il lui restait encore quelques minutes pour arriver. Elle prit donc son temps ...
Elle entra dans la salle et essayant d'avoir l'air parfaitement réveillée, même si elle douta fortement d'avoir réussi à avoir duper quelqu'un.

"Bonjour Monsieur, belle journée n'est-ce pas ? dommage qu'on soit à l'intérieur ..."

Marion avait surtout dit cette phrase pour elle, mais bon, c'était pas plus mal, si elle restait au soleil, il y avait de très grande chance pour qu'elle se rendorme une nouvelle fois.
Elle se dirigea vers un des cotés de la salle et s'assit seule à une table.
Elle n'avait même pas prit le temps de regarder qui était présent...

Maeva allait en cours avec envie, après avoir assister au cours de Miss Kuders et Miss Rose, elle avait hâte de commencer les cours des autres professeurs, elle se prépara rapidement , elle mit une robe assez Longe, en faite elle lui arriver au pieds, avec juste une petite veste en jeans. Mae était très pressé, elle avait prit l'habitude d'être la première devant les salles de courts et quand elle était en retard elle ne savait plus ou se mettre. Maeva courut dans les couloirs, quand elle arriva dans la salle de lasse, elle vit qu'il y avait déjà d'autre élèves, avec qui elle partageait d'autre court, et parmi eux, Molly.

"Bonjours, je m'appelle Maeva"

Elle s'avança et s'assit légèrement à l'écart es autres, elle ne voulait pas avoir a faire à eux. Tout d'un coup elle entendit un petit glapissement , elle regarda et vus que Aloysia l'avait suivit jusqu'ici, elle se releva et alla voir le professeur pour lui dire de l'excuser.

"Excuser moi monsieur je vais remettre ma chienne dans mon dortoir j'ai pas fais attention et elle ma suivit..."

Sans même attendre une réponse elle ressortit et alla la déposée dans sa niche avant de revenir très rapidement à sa place. Allait elle puni ? seul le temps ne nous le dira, elle prit sa baguette et la fit passait entre ses doigts tout en observant se qu'il y avait au tableau. A son retours, elle vit que Marion était elle aussi présente, elle lui fit un petit signe de la main histoire de lui dire bonjours sans se faire plus remarquer.

Les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas tous. Depuis le temps que les élèves de toutes les maisons qui s'étaient inscrits au cours de Défense Contre les Forces du Mal attendaient avec impatience le prochain cours, ils étaient enfin servis. Le panneau d'affichage de la maison de Serpentard avait annoncé qu'il y aurait cours de DCFM en ce jour même. Depuis le temps... Le professeur était de nouveau disponible apparemment.

Sans trop s'attarder, Perceval qui avait déjà fait un tour dans la salle de bain des préfets pour ses ablutions matinales s'appliquait sans plus tarder à revêtir ses vêtements; A savoir, sa robe de sorcier, ses bottes et la minuscule insigne qui confirmait son rôle de préfet au sein de la digne maison de Salazar Serpentard. Le sorcier, une fois prêt, se saisit de son sac à dos qui avait été préparé et placé la vielle au pied de son lit pour ensuite descendre dans la salle commune de la maison et quitter les cachots en direction de la Grande Salle.

Il avait encore le temps de manger avant d'aller en cours. Aussi, le Serpentard ne se priva pas de ce privilège. Perceval se servit un grand verre de lait et beurra une tranche de pain qu'il entamait à peine lorsqu'une personne plus que particulière -pour lui- fit son apparition. Hésitant entre s'approcher d'elle et ne rien faire du tout, le jeune homme se contenta de la saluer d'un petit signe de la main et de lui sourire. Quel ne fut pas sa surprise lorsque celle qui captivait son attention et lui faisait oublié de manger vint s'installer à ses cotés et lui posa un doux et léger baiser sur la joue. Deux fois en une vie et il ne s'y habituait toujours pas. Il était toujours parcouru des mêmes frissons à chaque fois...

Donc, c'est attablés côte-à-côte que le Serpentard et la Gryffondor terminèrent leur repas avant que la Rouge et Or ne devance le Vert et Argent. C'était rare, sinon carrément impossible de voir des membres de ces deux maisons à la même table et pourtant, les faits étaient là: Une Gryffondor était installé en compagnie d'un Serpentard à la table de ce dernier. Il était bientôt temps d'être en cours et elle devait faire une dernière course avant de s'y rendre. De quoi à donner matière à se presser.

Perceval ne tarda pas plus encore. Il était temps de se rendre en classe, sous peine d'arriver en retard sinon. Le préfet des Serpentards traversa rapidement les différents couloirs et éventuellement, les étages qui le séparaient de sa classe de cours. Arrivé au pas de porte, il toqua une fois avant d'entrer dans la classe.

Bonjour professeur Lievitch. Bien longtemps que l'on ne vous avait pas vu.

Il adressa un sourire à l'enseignant suite à sa phrase et se dirigea sans réflexion inutile, vers Blanche. Un dernier sourire à son endroit et il défit ses affaires de cours; Sortant quelques parchemins, sa plume de phénix et un encrier.

[RP plus que pourri :P]

Il faisait chaud, trop chaud. Framboise avait très mal dormi et n'avait fait que tourner et se retourner toute la nuit. Enfin elle se leva plus tôt que prévu pour profiter de l'air frais dans les endroits sombres du Parc de Poudlard. Ainsi, elle s'était préparée en prenant son temps. Le moment qu'elle avait le plus apprécié en cette matinée qui s'annonçait chaude, était la douche tiède qui lui avait fait un bien fou. Enfin, quoi qu'il en soit, la jeune Rouge & Or avait tout fait pour sortir au plus vite à l'extérieur et n'avait même pas séché ses cheveux histoire de ne pas se réchauffer trop vite.

Une fois à l'extérieur elle se posta dans un coin tranquille, enfin en même temps il n'y avait personne donc ce n'était pas difficile puis elle sorti un des livres qu'elle avait pris à la bibliothèque. C'est un des livres qui lui permettait d'en apprendre plus sur Poudlard, son histoire et son existence.

Plongée dans sa lecture, elle ne vit pas le temps passer car le temps passe très vite, surtout quand on est (bien) occupé ! Du coup, elle marcha énergiquement vers la Grande Salle et y prit un croissant puis se mit en route vers son dortoir afin d'y récupérer ses affaires de cours. Après avoir échangé son livre sur Poudlard et son livre de DCFM auquel s'ajoutent sa plume, son encrier et ses parchemins, elle se rendit au cours d'Ismaël Lievitch.

Il y avait déjà du monde. Elle reconnu des visages car Framboise était le plus souvent avec les mêmes personnes en cours. Enfin, elle salua son professeur :

- Bonjour M'sieur !

Molly était toujours appuyé le long de la fenêtre attendant la réponse de son professeur, n’imaginé pas la surprise quand elle entendit une réponse venir de sa question mais devant elle, mais derrière. Quand elle se retourna elle se retrouva nez à nez avec un jeune homme de serdaigle qu’elle côtoyait dans de nombreux cours. Celui lui répondit d’une voix douce et très souriante ce qui tira aussi un petit sourire sur le visage neutre de la jeune femme.

Jason – Salut Molly ! Effectivement, un temps idéal aujourd’hui… Parfait pour ce la couler douce je dirais ! M’enfin comment aurais-je pu me permettre de louper un aussi bon cours ?

Molly se mit a rire doucement très amusé par temps de courbette et de flatterie que les Serdaigle pouvaient être bon dans toutes les matières sa elle le savaient mais en plus excellent pour lécher les bottes de certain professeur en l’occurrence le jeune homme s’adonnait a la discipline d’une façon remarquable. Voilà ce que la jeune rouge et or avait remarquer avant de prendre la parole sur une voix tendre et douce comme a son habitude :

Molly – En effet qui pourrait louper un telle cour !

Elle se moquer non vraiment s’était pas son genre, enfin presque pas son genre. Le jeune homme avait reprit de nouveau la parole s’excusant au près du professeur celui-ci avait sembler vouloir répondre à la jeune demoiselle mais il semblait qu’il lui ai couper la parole. Molly regardait le discourt entre les deux jeune homme sens s’interposé et finit même par détourner son regard sur les nouveau arrivant dans la salle de cour. Elwin une jeune rouge et or fi son entré a son tour elle salut le professeur et se tournant vers eux elle leurs dit d’une voix pleine de gaieté :

Elwin – Salut ! Moi c’est Elwin !
Molly – Enchantée, moi c’est Molly…

La jeune rouge et or s’installa rapidement à une place non loin de Molly, a peine prit place qu’une nouvelle élève arrivait déjà dans la place se présentant a son tour Ses ajouté rien de plus elle s’installa a un place livre et attendit en silence le début du cour. Un jeune homme de Serpentard très remarquable par rapport au blason brodé sur sa cape, s’installa en silence a son tour. Puis une jeune femme pétillante fit son entrée a son tour, elle parlait fort et sens complexe au jeune Serdaigle qui était non loin de molly. Puis elle se dirigea vers la jeune Poufsouffle qui était arrivé un peut plutôt afin de sympathisé. Une fois la jeune fille pétillante fut installé et commença a discuter avec sa collègue de table. Un jeune serpentard fit son entrée, dans la salle de classe, molly lui regard un cour regard avant de regarder de nouveau par la fenêtre. Elle avait vraiment du mal à supporter se garçon il se prenait pas pour n’importe qui se qui la mettait régulièrement en boule … Elle préférait donc faire comme si elle ne le voyait pas que plutôt que de rentrée dans son jeux. Ensuite deux jeunes femmes entrèrent chacune leur tour la premier était une jeune Serdaigle qui semblait ne pas vouloir faire de bruit car elle n’ouvrit pas la bouche et s’installa en silence la suivante une jeune serpentard du nom de Marion, molly n’avait pas beaucoup parlé avec elle mais elle était sur qu’elle s’entendrait bien si jamais elle le faisait.

Puis un petit groupe de trois personnes fit son entrée dans la salle de classe, trois personnes que la jeune rouge et or adorait chacun a sa manière bien sur mais elle les considérait comme des amis. La premier était une jeune femme de Poufsouffle qu’elle avait eu le plaisir de rencontrée la toute premier fois a la bibliothèque, le second était un jeune homme de Serpentard tout à fait formidable, et pour finir une jeune femme de sa maison Framboise quelques avec qui elle s’entendait bien et partageait beaucoup de passions. Perceval se dirregea directement vers elle et s’installa a ses côtés ce qui tira un magnifique sourire ravit a la jeune femme. Qui laissa finalement sa fenêtre se sa vue sur le parc pour s’installé a sa place et pouvoir regardé un tout autre tableau, le visage du jeune homme qui se trouvait maintenant à ses côtés. Elle attendit en silence le début du cour, heureuse que le professeur lancer un nouveau cour de défense contres les force du mal.

Molly – J’espère que le cour sera palpitant …

Dit-elle plus a elle même que pour les autres, mais suffisamment fort pour être entendu des plus proche.