Que le meilleur gagne !

[Topic avec Cara, Nicolas Savel, Gabriel McQuinn, Abygael Thompson, Dumblerogue, Eurydice Andrews, Zepheryn Belkoven & Pandore Grindelwald.]

T. ne pourrait jamais s’entendre avec Cara, c’était un fait avéré, et quiconque les avait vues ensemble pourrait le certifier sans l’once d’une hésitation. Pourtant, elles étaient toutes les deux chez les serpents, et se croisaient donc bien plus souvent qu’elles ne l’auraient voulu. A chaque rencontre, c’était un véritable désastre, au sens propre du terme. Pour remédier à tout cela, T. avait, quelques jours auparavant, eu une idée : elles allaient s’opposer en duel. Mais pas un simple petit duel avec toutes les retenues liées au contexte de l’école. Non, tous les coups seraient permis ! C’est donc d’un pas décidé qu’elle était allée lui proposer de régler ça en combat singulier. Sa rivale avait bien entendu accepté, et c’est de là qu’était parti le rendez-vous : quatorze heures précises à la Salle sur Demande.

La vert et argent jeta un bref coup d’œil à sa montre. Il était treize heures, ce qui lui laissait une heure pour se préparer. Elle remonta rapidement jusqu’aux dortoirs, puis retira sa cape de sorcier, laissant ainsi apparaître des vêtements qu’elle appréciait déjà un peu plus, et qui l’encombreraient moins lors de son combat. Elle portait en effet un short en jean et un débardeur noir. Classique, mais pratique, pour de telles occasions. Elle relu ensuite quelques notes concernant des sortilèges plus ou moins violents ainsi que des sortilèges de guérison, puis se rendit devant la salle sur demande.

Elle attendit qu’il n’y ait personne qui puisse la voir, puis pensa très fort à une salle parfaite pour le duel qui se préparait. La porte s’ouvrit, et elle pénétra dans la salle. Des gargouilles étaient exposées de part et d’autre de la pièce et, au milieu, un long tapis tout juste assez large pour une personne permettait aux deux duellistes de se faire face. La jeune femme prit place sur l’un des bancs disposés aux bords de la salle, et attendit son adversaire, qui ne tarda pas à faire son apparition.

Tara - J'espère que tu es prête, je ne te ferais pas de cadeau, dit-elle, brandissant sa baguette magique dans la direction de la nouvelle arrivante.

T. savait qu'il valait mieux ne pas attendre de se faire attaquer et d'avoir à se défendre, et qu'il valait mieux charger la première. Toutefois, elle préféra opter pour un sort assez basique pour commencer, histoire de ne pas déjà mettre un terme à leur combat. Après tout, il fallait faire durer un peu l'amusement. Se dirigeant calmement vers le tapis, Tara ne quitta pas Cara des yeux.

Tara - Expelliarmus !

Elle n'ajouta rien, attendant de voir si son attaque avait eu l'effet escompté..

Edit : Attention les gens, en fin d'compte on a pas l'droit aux lancers d'dés !
Je vous propose donc de vous munir d'une pièce, face c'est bon, pile ça rate.. Faudra être honnête par contre. Je suis tombée sur face (bon en même temps, heureusement, pour un sort aussi basique.. xD)

Cara arriva dans la salle commune 1 minutes avant l'heure. Elle ouvrit la porte dans un petit grincement et d'un coup entendit une voix qu'elle connaissait malheureseument trop bien, qui retentie au bout de la grande pièce.
- J'espère que tu es prête, je ne te ferais pas de cadeau. Dit la peste que Cara destestait en brandissant sa baguette.
Elle se leva du banc où elle était assise.
- Biensûr que je suis prête ! Elle retin un "espèce de ga*ce" et sorti elle aussi sa baguette en venant se placer sur le tapis en face de son adversaire.
Cara eu à pein le temps de prononcer dans sa tête un Everte statis, mais O'Dywer fût plus rapide, et lança un haut et fort :
- Expelliarmus !
La baguette de Cara alla valser non loin de Tara, et Cara alla la chercher en courrant, elle chopa sa baguette et à à peine un metre de l'autre serpentard, elle scanda un
- Everte statis !

(Face, (pièce de deux centimes))

Comme d'habitude, John se baladait dans le château, il marchait le long du couloir du septième étage, il vit alors une Serpy' en accoutrement moldu *Qu'est-ce qui la prend à mettre des vêtements moldus ici?* entrer la Salle sur Demande, il fit semblant de se refaire les lacets, une autre Serpy se dirigeait vers la salle, *Mais je connais ces deux là, elles sont ennemies d'après ce qu'on dit, elles ne vont quand même pas se battre?*. Il suivit la jeune Serpy' dans la salle avant que la porte ne disparaisse.

La salle était assez vaste pour permettre un duel, elles vont se battre, *ou discuter un peu pour essayer de régler leurs problèmes* espéra John, mais d'après les regards qu'elle échangeaient, le duel semblait une idée plus logique, mais attendons pour voir, la première fille nommée Tara, qu'il connaissait à vue d'oeil parla la première:

- J'espère que tu es prête, je ne te ferais pas de cadeau, dit-elle tout en pointant sa baguette magique dans la direction de son adversaire.

- Biensûr que je suis prête ! Répliqua la fille, en ayant l'air de vouloir ajouter quelque chose, qu'elle s'empressa d'arrêter et brandit sa baguette à son tour.

Le duel allait commencer, John se débarrassa de sa robe de stopper le combat, mais trop tard:

Expelliarmus !

Tara attaqua, la baguette de son adversaire était en l'air, cette dernière la rattrapa au vol et lança:

- Everte statis !

John sortit de son coin et cria:

PROTEGO !!

Son bouclier se dressa entre le sort et son but.

- Allez vous deux, vous devez d'abord essayer de parler et régler vos problèmes comme deux personnes matures et non vous battre comme des gamines.

[HRPG: face]

Nicolas qui marchait paisiblement et comme à con habitude. Il observait les tableaux et remarqua que la décoration de ce couloir était de très mauvais goût, comme la pluspart de ces lieux il étaient sans couleur et aucune gaieté.

Mais lorsqu'il aperçut un Serdaigle marchant rapidement dans un des couloirs. Il ne put s'empêcher de le suivre de par sa curiosité maladive. Il entrait dans une salle il cacha derrière la porte et observa grâce à un miroir il le vit courir vers deux Serpentardes une inconnue et Cara.

Apparemment les deux jeunes filles se battaient :

Comme d'habitude....
Soupira Nicolas, car il connaissait le caractère de chien qu'avait Cara malgré qu'il l'appréciait.

Le jeune homme lança un sort de protection en faveur de l'inconnue .

Nicolas voulut passer son chemin, mais à deux contre un Cara n'avait aucune chance. Et le garçon qui était intervenu dans la bataille n'avait eu aucune raison de ce mêler de cette dispute il décida donc d'intervenir à son tour. Il était tous de noir et s'approcha de Cara . Il regarda le jeune homme il sorti sa baguette de sa cape tendit son bras vers l'avant et son autre bras recourber en position de duel et dit avec un aire hautain :

Un gentleman doit savoir rester neutre entre deux filles. Surement qu'on ne te l'a jamais dit.

Il lança le sortilège de flammes bleu, un torrent de flamme fonça vers le jeune homme .

[HRPG FACE mouahaha ^^]

Gabriel se promenait avec Abygael dans les couloirs, discutant gaiement avec elle. Cela ne faisait guère longtemps qu'elle la connaissait, mais elle l'appréciait vraiment et passait beaucoup de temps avec elle. C'est alors qu'elle aperçut Nicolas Savel. Le Serdaigle était la personne qu'on adorait détester: arrogant, lâche, stupide, superficiel et complètement sans intérêt. Et surtout, bien qu'il fut fort de sa puissance, il semblait et devait être très facile à battre. Elle eut un sourire carnassier, intimant d'un geste à Abyss de se taire. De sa démarche silencieuse, elle suivit le jeune homme, qui entra dans la Salle sur Demande, qui c'était transformée en salle de duel. Gab' aperçut une Serpentard en train de se battre avec Cara, puis un Serdaigle incanter un Protego. Elle jura tout bas: le Serdaigle ne connaissait donc pas les duels, pour s'interposer comme ça! Puis Nicolas dit quelque chose, avant de faire apparaître des flammes bleues! Avec un soupir, la néo-zélandaise sortit un couteau de sa poche, et l'apposa d'un geste sur le ventre de Savel, lui chuchotant à l'oreille d'une voix froide:

- Éteints-moi ces flammes, ou je te plante cette lame dans le ventre.

Il faisait terriblement chaud en ce milieu après-midi, une température estivale tout à fait adaptée pour ce dernier mois d'école. Cela sentait les vacances à plein nez. Gabrielle et moi avions décidé de profiter de ce beau temps pour faire un tour près du Lac, et, pourquoi pas y piquer une tête afin de se retrouver nez à nez avec un calamar géant ou un groupe de sirènes. Une occupation quelque peu étrange et dangereuse, mais il s'agissait de la dernière année qu'elle passait à Poudlard, aussi il nous fallait "marquer le coup". Nous passions dans les couloirs du septième étage pour y admirer la gigantesque tapisserie de Barnabas le Follet (en pleine tentative visant à apprendre la danse aux trolls!) qui s'y trouvait avant de descendre jusqu'au lac. Tout en marchant, d'une démarche souple et agile pour Gabrielle, d'un pas vif et dynamique pour moi, nous parlions joyeusement, notre discussion rythmée par des éclats de rire.

Alors que nous prenions le coude du couloir, elle aperçut un garçon que je ne connaissais pas. Vu sa tête, ce qu'elle voyait ne lui plaisait pas du tout. Son visage perdit son expression de dégoût mêlé de mépris au profit d'un sourire sadique doublé d'un regard "celui là je me le fais au goûter", le tout lui donnant un air de prédateur affamée.

Je regardais mieux le garçon. Son physique était des plus banals, avec un petit côté vampire-ou-très-malade-ou-drogué, je lui donnais dans les quatorze ans. Ce que l'on remarquait le plus chez lui, c'était son attitude stéréotype du Serpentard supérieur, méprisant et méprisable. Pas bien compliqué de savoir pourquoi Gabrielle peut pas le flairer...

Mon amie me fit un bref signe de la main pour me demander le silence le plus total, et nous le filâmes discrètement. Il ne tarda pas à entrer dans une salle... la Salle Va-et-Vient! Dans toute ma scolarité, je n'y étais entré qu'une fois et j'en gardais un souvenir impérissable ainsi qu'une paire de gants. Je ne saurais dire lequel des deux étaient le plus captivant. Nous attendîmes qu'il y soit complètement et que la porte commence à se refermer pour nous précipiter et la bloquer in extremis puis rentrions dans la célèbre salle à notre tour.

Nous arrivèrent en plein duel (Chouette! J'aime les bagarres!) entre trois élèves inconnus, plus trois spectateurs: nous et le garçon que nous suivions et qui était, je pouvais désormais voir clairement son blason, Serdaigle. Bon sang, quand je dis que le Choixpeau se fait vieux (et gateux)! Les sorts jaillissaient des baguettes. Ne connaissant personne (attends... la Serpentard là-bas c'est pas Cara?), je préférais ne pas agir bien que, il faut l'avouer, j'en mourrais d'envie. Parce que c'est pas le tout de tabasser, lancer des enchantements en veux-tu en voilà, il fallait choisir son camp. Et je n'étais pas suffisamment débile pour prendre cette décision à pile-ou-face. D'autant plus que je n'avais pas de pièces sur moi. Tout d'un coup, le garçon que nous suivions envoya des flammes bleues sur le second Serdaigle, celui qui combattait. J'avais un petit doute quant à la légalité de son acte, jeter des flammes en pleine face d'un élève dans l'enceinte du château. Mais je n'étais pas très bien placé pour parler de règlement. Gabrielle, une arme à la main, régla rapidement le problème d'un:
- Éteins-moi ces flammes, ou je te plante cette lame dans le ventre.
J'acquiesçai:
- Sobre, clair et rapide: j'aime!
Et je sortis ma baguette au cas où le petit voulait se rebeller.

[Je sais qu’tout l’monde n’a pas posté, mais j’sais pu qui est avec qui, ni à qui c’est l’tour, et les retardataires mettent un peu trop d’temps ‘fait que.. Au pire, ils nous rejoindront plus tard. Sinon, on fera sans eux.]

T. observa sa pire ennemie courir derrière sa baguette, un grand sourire aux lèvres. On aurait dit un bon petit toutou qui courrait derrière sa balle. Elle aurait pourtant peut-être dû faire un peu plus attention aux réactions de sa camarade, car celle-ci ne se contenta pas d’envoyer valser sa baguette. A peine eut-elle le temps d’entendre le sort que C. lançait que la vert et argent se retrouva protégée par un sortilège qu’elle n’avait même pas lancé. Son sourire s’effaça quelques secondes, le temps de reprendre ses esprits. Elle se retourna, calmement, et aperçut un jeune homme, un Serdaigle. A en juger par sa position, il avait dû vouloir tenter de calmer les hostilités, en vain. Il essayait maintenant de les raisonner, et leur proposait de régler leurs différends de façon plus diplomatique. Tara lui adressa un clin d’œil de remerciement.

Tara – Salut toi. J’ai déjà essayé, mais y’a rien à faire avec elle, c’est un cas désespéré.

C’est à ce moment là qu’un autre jeune homme, lui aussi chez les bleu et argent, fit irruption dans la pièce, et se rangea du côté de Cara. Bon, au moins, ça équilibrait un peu les équipes. Quoi que, cette petite peste était tellement inconsciente qu’elle ne comptait pas comme une personne à part entière. T. l’aurait facilement explosée d’une simple pichenette. Lorsque le nouvel arrivant s’en prit à l’allié de fortune de Tara, celle-ci ne put s’empêcher de répliquer.

Tara – Hhm.. Et qu’est-ce que tu es en train de faire, là, si ce n’est précisément ce que tu lui reproches ?

L’inconnu -visiblement classé dans le camp ennemi- attaqua le premier bleu et argent d’un torrent de flammes bleues. Original. Si la situation ne prêtait pas aux armes en tout genre, T. aurait probablement admiré le spectacle. Pourtant, en l’occurrence, la vie de son complice improvisé était en jeu. La vert et argent s’apprêtait à faire quelque chose, lorsqu’une camarade serpent se chargea de remettre le pyromane en place. Apparemment, ils se connaissaient, et ne s’appréciaient pas des masses. La jeune femme ordonna au bleu et argent d’éteindre son petit feu, sans quoi elle lui plantait son couteau dans le ventre. Son acte fut approuvé par ce qui semblait être l’une de ses amies. Décidément, ce ‘duel’ amassait la foule.. Qui plaidait en faveur de Tara, qui n’allait donc pas s’en plaindre. Elle observa la scène, amusée, puis se tourna à nouveau vers Cara, laissant les autres s’occuper de leurs petits problèmes respectifs.

Tara – Assurdiato !

Ainsi, elle s’assurait que son ennemie jurée n’entendait plus les sortilèges qu’elle lui lancerait, ce qui était déjà un bon point. La jeune femme décida de commencer par des sorts défensifs, et de voir ce que les autres allaient faire. Après avoir empêchée Cara d’entendre ce qu’elle disait, elle entreprit donc de l’empêcher de parler. Si la vert et argent ne parvenait pas à lancer de sort sans les énoncer tout haut, elle allait avoir du mal à continuer le combat.

Tara – Bloclang.

Quatre personne au total, étaient entrées dans la salle sur demande, pour participer au combat. D'abord un serdaigle qu'elle ne connaissait pas et qui avait enpêché le sortilège de Cara de toucher l'autre cinglée. Puis Nicolas, un autre Serdaigle, qu'elle connaissait cette fois et qu'elle aimait bien, il lança un sortilège de flammes bleues - magnifique, soit dit en passant -. Puis encore quelqu'un d'autre, une fille de serpentard cette fois.

- Ah nan pas cette *bip* ! S'exclama Cara à voix basse.

En effet elle la connaissait, et ne pouvait pas l'encadrer. Cette folle sorti une arme blanche et la plaqua contre le ventre de Nicolas en le menaçant. Puis une poufsouffle cette fois fit irruption dans la salle et se rangea -encore- du côté de Tara et autres fous furieux.
Ils étaient deux contre quatre, c'était particulièrement injuste, surtout que Tara, lui lança un sortilège de surdité.
Cara tenta de répliquer, mais cette peste lui avait aussi lancer un sortilège de bloclangue. Cara prononça dans sa tête un finité incantatem, et se libéra de ses sortilèges.
Puis lança un sortilège qui projeta la deuxième serpentars, celle au couteau, contre un mur de la pièce.
Elle s'arrêta et cria :

- STOP ! Maintenant vous allez TOUS me dire pourquoi exactement vous vous incrustez dans cette bataille que cette *bip* -elle montra Tara du doigt- m'a proposée, et à laquelle j'ai aimablement répondu affirmatif. Surtout que au cas où vous ne sauriez pas compter, vous êtes quatre contre deux. Je suis une serpentard, certes, mais j'ai une éthique, et l'injustice, je tolère pas. Donc soit vous dégagez tous, soit un de vous trois, là, qui prenez le parti de cette *bip* ,viens de mon côté.

Elle se retourna vers Nicolas et d'une voix douce, cette fois le remercia de l'avoir protégée. Elle lui adressa un sourir avant de se retourner pour voir la répponse des incrustés.

– Salut toi. J’ai déjà essayé, mais y’a rien à faire avec elle, c’est un cas désespéré, dit la première.

John voulu répliquer mais il fut interrompu par un autre Serdaigle à l'air de quelqu'un qui souffrait d'une maladie mentale et au regard malsain:

Un gentleman doit savoir rester neutre entre deux filles. Surement qu'on ne te l'a jamais dit , dit le fou furieux, en lançant des flammes bleues vers John.

Il lança un sortilège de Gèleflammes, les flammes lancées n'eurent que l'effet d'une brise tiède sur lui, il voulu le réduire en miettes, mais une autre Serpy" fit son apparition et sortit une lame qu'elle posa sur le ventre du "rat-Serdaigle", et menaça ce dernier:

- Éteints-moi ces flammes, ou je te plante cette lame dans le ventre. Dit-elle.

Son amie Poufsouffle l'approuva:

- Sobre, clair et rapide: j'aime!

John aima la façon dont la Serpy avait fait taire le rat-Serdaigle, la première Serpy lança un Assurdiato suivi par un Bloclang. Même avec un Bloclang, la Serpy ennemie parvint à parler:

- STOP ! Maintenant vous allez TOUS me dire pourquoi exactement vous vous incrustez dans cette bataille que cette *bip* -elle montra Tara du doigt- m'a proposée, et à laquelle j'ai aimablement répondu affirmatif. Surtout que au cas où vous ne sauriez pas compter, vous êtes quatre contre deux. Je suis une serpentard, certes, mais j'ai une éthique, et l'injustice, je tolère pas. Donc soit vous dégagez tous, soit un de vous trois, là, qui prenez le parti de cette *bip* ,viens de mon côté.

Elle a dû annuler les effets du Bloclang, il se décida à lui répondre, mais avant, et pour empêcher que quelqu'un l'interrompe, il s'écria:

-Incarcerem, lança-t-il sur le Rat-Serdaigle qui se trouva ligoté dans son coin, car il risquait fort de faire une autre idiotie. Et continua:

- Premièrement, je voulais seulement mettre terme à votre dispute, et non prendre un côté, mais l'intervention de ton ami dérangé a changé mon avis. Deuxièmement, on peut vous écraser à deux contre deux si tu veux mon avis. Troisièmement, tu feras mieux de corriger ton langage, tu n'es pas en situation à menacer quiconque. Donc, soit tu la boucles et tu fiches le camp indemne, soit tu le regretteras, dit John d'un ton qu'il voulait le plus menaçant, il se tourna vers Tara et changea complètement de ton, à toi de décider ce qu'on va faire de ces deux.

[ rp avec Axelle et Morgan ]

Salle commune des Poufsouffles

Barney qui était habillé et coiffé s'apprétait à sortir de la salle commune lorsqu'il entendit tout près de lui des jeunes Poufsouffles discuter d'une salle dont ont ne pouvait entrer seulement lorsque l'on a envie, la salle en question se situait dans les couloirs du septième étage. Barney qui faisait comme si il n'avait rien entendu avança près du tableau pour aller déjeuner dans la grande salle, car il avait envie de manger soudain Barney pensa * Envie ! Mais oui si j'ai envie je verrais la salle en question et puis je voulais y faire un tour par pure curiosité, mais là j'ai une bonne raison*.Il sorti de ses pensées et poussa le tableau avec un léger sourire en coin.

Couloire du septième étage

Barney avançait rapidement vérifiant les moindres fissures du mur et aucune porte n'apparaissait ça faisait maintenant bien une heure qu'il traverssait le couloir en large et en travers. La faim lui tiraillait le ventre il ne désirait que manger et se reposer quand soudain une porte en bois de chêne apparut sur la pierre lisse de la paroie d'un mur. Barney étouffa un crie de joie d'avoir enfin trouvé la salle sur demande. Il poussa la lourde porte et à l'intérieur une magnifique table remplie de tous ce que Barney aimait : pomme, poire, cerise des ailes de poulets épicées comme dans son pays (les Etats-Unis).
Il y avait aussi un large canapé et un grand lit baldaquin.
Il était au ange, il prit donc une pomme et s'installa dans le lit savourant après ses recherches ce dont il voulait. *Finalement, dit-il après l'effort le réconfort* . Cette salle lui plaisait beaucoup et il allait passer beaucoup plus de temps ici qu'ailleur à trainer dans les multiples salles ou couloires du château. Il croqua la pomme à pleine dent et exprima son contentement par un léger *hum* il la finit donc en moins de quelques secondes. Après plusieurs pomme il ferma les yeux se reposant un sourire de plaisir flottant de sur son visage.
Il s'assoupi ainsi plusieurs heures quand tout à coup la porte s'ouvrit en grincant. Il se cacha sous le lit de peur que ce soit un prof ou le dirlo. Le visage collé au sol il pouvait voir ainsi tout ce qui se passait éspèrant ne pas être vu.

Après une agréable visite à Pré-au-Lard, Morgan se sentit nostalgique des séances d'entrainement dans la Salle sur Demande. Elle ne comprenait pas trop ce sentiments puisqu'elle venait de passer une agréable matinée à flâner dans les différentes boutiques, s'arrêtant plus longuement devant les bars, son ventre se manifestant par de petits gargouillements. Son porte-monnaie était vide alors elle se dirigea vers le château, puis eut l'idée de se sustenter dans la Salle sur Demande, pour conjuguer sa faim et son désir de retourner dans cet endroit magique.

Le temps était frais et sec en ce week-end de Novembre mais le ciel était menaçant. Morgan accéléra le pas, de peur de se faire surprendre par la pluie et entra dans le Hall du château, la respiration un peu haletante. Elle se dirigea vers les escaliers qui ne voulaient pas la mener où elle le voulait. Mais ça, elle en avait l'habitude. Elle s'arma de patience et attendit le bon moment pour pouvoir accéder au Septième étage.

Elle marchait toujours aussi rapidement comme si elle n'avait pas remarqué qu'elle n'était plus dehors. En fermant les yeux, elle fit trois allers et retours à l'emplacement précis de la Salle sur Demande, pensa très fort à un endroit où elle pourrait enfin manger et ouvrit à nouveau les yeux. Une porte en bois de chêne était apparue. Ni une ni deux, elle poussa cette porte avec force et énergie.

La Salle s'était transformée. Il y avait de la nourriture un peu partout : de la viande, des fruits, des gâteaux, du jus de citrouille... C'était parfait ! Se croyant seule Morgan s'exclama : "Foutus escaliers !" en prenant un verre et une coupole de fraises. Elle s'installa sur le grand lit à baldaquin et commença son festin. Le lit semblait un peu vieux et le sommier s'affaissait un peu plus à chaque mouvement qu'elle faisait pour manger. Les fraises étaient bien mûres et bien sucrées : c'était un délice.

Soudain, la porte s'ouvrit à la volée. Morgan regarda avec attention qui entrait, la main dans la poche, prête à sortir sa baguette au cas où ce serait un Serpentard qui voudrait faire le malin... Pourquoi donc quelqu'un se sentait obligé de la couper dans sa dégustation ?

Le pas de la Serpentard étaient nonchalants et réguliers. Chaussée de ses bottines à talons pointues, chacun de ses pas était accompagné d'un 'cloc' sonore. Le mois de novembre était souvent synonyme de pluie, au grand dam de la sorcière. Axelle n'eut même pas besoin de vérifier ses pensées, le bruit caractéristique de la pluie battant contre la fenêtre était bien présent dans tout le château.

La plupart des élèves restait cloîtré dans leurs quartiers généraux et cela avait pour conséquence d'étouffer la jeune Higgs. En tant que préfète, elle connaissait un peu tout le monde et il était impossible pour elle d'avoir un peu de quiétude. Certes, c'était rare, mais l'adolescente avait parfois besoin de solitude. Connaissant la salle sur demande depuis plus d'un an, la sorcière s'y rendait à l'occasion.

Alors qu'elle s'approchait de l'endroit clé qui permettait d'accéder à la salle magique, le ventre d'Axelle lui rappela qu'elle avait sauté le déjeuner. Ayant déjà en tête un endroit confortable pour se détendre, la Serpentard ajouta à ses pensées un festin pouvant rassasier son petit creux. Lorsque la porte apparût, après le dernier aller-retour, la jeune sorcier l'ouvrit rapidement, trop heureuse d'enfin accéder à son petit havre de paix. Cependant, son rêve fut de bien courte durée lorsqu'elle aperçut une jeune fille se régalant de fraises.

Devait-elle partir ou rester ?

Axelle referma la porte, mais laissa une petite ouverture, au cas où.

- Eh bien, il me semble que nous avons eu la même idée...

Elle marqua une pause, détaillant l'élève. De mémoire, elle était à Gryffondor. Le visage de la jeune fille sous-entendait qu'elle n'appréciait pas le fait d'avoir été interrompu.

- Partagerais-tu se repas avec une autre élève en quête de quiétude ?

[HRPG : désolée pour ce petit post mais je ne suis pas très inspirée en ce moment...]

Alors que Morgan se saisissait d'une troisième fraise bien rouge, une Serpentarde fit irruption dans la pièce. Morgan reposa le petit fruit de la couleur de Gryffondor dans l'assiette dorée et prit quelques instants pour réfléchir à une réaction, mais ses pensées furent interrompues par l'inconnue :

- Eh bien, il me semble que nous avons eu la même idée...

Morgan sentit le regard de la jeune fille se poser sur elle de haut en bas, tel un scanner à rayons X, une machine de moldu. Elle lui rendit son regard en l'analysant de la même manière. Elle semblait avoir à peu près le même âge que Morgan. Ses cheveux ondulés étaient d'un noir de jais, plutôt longs. Une fois de plus, l'inconnue sortit Morgan de ses pensées :

- Partagerais-tu se repas avec une autre élève en quête de quiétude ?

Morgan hésita longuement. Sa main pénétra dans sa poche, effleura sa baguette, resortit et elle se redressa un peu, de manière à être assise et pas allongée nonchalamment. Elle n'y pouvait rien, elle avait un problème avec les Serpentards. Sa langue s'agita avant qu'elle ait eut le temps de réfléchir :

- Peut-être, mais pas avec une Serpantard.

Trop tard. Au moins, il y allait avoir un peu d'action... Elle n'attendit pas une seconde et se leva, la main droite dans la poche, prête à dégainer au cas où la Serpy aurait un caractère un peu plus désagréable avec les Gryffons.

Barney qui se tenait sous le lit avait pus voir des chaussures très feminines passer la lourde porte en bois et qui avancaient jusqu'a sa récompense -son buffet- le son de ses talons résonnaient sur les dalles en pierres dures. Il s'énervait lui qui avait attendu toute une matinée pour pouvoir enfin déguster ce fabuleux festin. Il ne savait qui elle était il ne voulu donc pas se lever au cas où ça aurait été un prof ou une directrice. Il pesta contre lui-même *Ca m'apprendra à être trop curieux !*. Soudain le sommié blanc qui se trouvait au-dessus de lui se rabaissa lui plaquant la tête contre le sol froid. Un son sourd lui tapait dans la tête il sentait le sang coaguler vers la bosse future. Quelques étincelles blanches firent apparition dans son champs de vision et il senti ses muscles se relaché. Il se concentra et essaya de comprendre ce qu'il venait de se passer. Il ne pouvait bouger que ses doigts et encore une fois sur deux la tentative se soldait par un échec. Au bout de quelques minutes il reprit ses esprits tant bien que mal. Heureusement il ne s'était pas évanoui il soupira de douleur et compris avec le son des machoires au-dessus de sa tête que la cause de son terrible mal de crâne était l'ours qui s'était jeté avec fatigue sur le lit qu'il trouvait si confortable. Il voulut sortir professeur ou pas et lui dire a quel point ces manières était plus que barbarres. Mais alors qu'il tentait de ramper pour sortir de dessous du lit une autre personne fit son apparition. Encore des talons le sang lui battant contre ses tampes la colère monta vite à un niveau insupportable. Mais après quelques réflexions intérieures et surtout le son d'une voix qui ne lui était pas nouvelle, mais qui par le choc antérieurement lui paressait étrangère la voix qui essayait d'être amicale, qui au fond restait autoritaire dit alors :

- Eh bien, il me semble que nous avons eu la même idée... * Et bien dans ce cas nous sommes troix* ironisa Barney intérieurement. Puis après quelques seconde elle reprit

- Partagerais-tu se repas avec une autre élève en quête de quiétude ? *Quel quiétude !! Sérieux je suis coincé sous un lit où je devrais être allongé en train de manger mes fraises !*

Alors une voix qui lui venait de la personne et qui cette fois lui fut complétement étrangére dit avec un ton arrogant *Surement un Serpentard* pensa Barney :

- Peut-être, mais pas avec une Serpantard. *Ah bah non raté un Griffy quel ton étrange pour une personne de cette maison*
Barney avait eut le signal qu'il voulait il était à présent sur que ces deux personnes n'étaient pas du personnel de Poudlard. Il sorti avec énervement de ce lit. Il se releva entre les deux filles et il poussa un léger soupire en voyant son costume remplit de poussière et froissé il sorti alors sa baguette et jete un sort qui remit son costume propre comme il l'était au début de matiné. Puis il regarda la jeune fille de droite avachit sur le lit. Cette fille une griffondor, cette fille celle qui lui avait volé son buffet, cette filles qui l'avait assomé sur son lit ! La colère commencait à monter, mais alors qu'il s'approcha d'elle. Il se souvînt qu'il y avait une deuxième fille. Il se retourna d'un pas léger, mais rapide. La jeune fille il la connaissait....mais d'où avec le choc qu'il avait subi impossible de se souvenir exactement. Il émit un petit cris de douleur entre ses dents et se tînt la tête. Il avait l'impression qu'elle allait explosé. Puis il regarda à nouveau la Griffy qui lui allait sûrement être la cause d'une petite bosse et d'une affreuse douleur crannienne pendant quelques jours. De plus elle avait été d'une méchanceté ignoble avec la Serdy bien que ces maisons soient rivales ça n'est pas une excuse pour ignorer la politesse basique que l'on apprend à un enfant en bas âge. Ca rendait Barney sur les nerfs qu'une personne de part son statu ou de part sa maison se sentait supérieur aux autres et se permettait de la juger. L'accumulation de ses choses monta alors à la tête de Barney. Il regarda avec un regard noir la Griffy et lui dit avec froideur :

- "Elle te demande si elle peut se joindre à toi et tu l'envois bouler. Même si tu ne la connais pas jsute par la couleur de sa maison. Je trouve ça tellement stupide et immature." Il se retourna vers la Serpentarde et lui dit "je trouve quand même votre manière de demander un peu barbarre un petit bonjour et un s'il te plais passerais sans doute mieux mais en vu de l'intelligence de votre interlocutrice ça n'aurait eu aucun effet, mais simplement par pure politesse." Il s'arreta de parler et regarda les jeunes filles et dit d'une voix douce et calme " Bonjour mon nom est Stinson, Barney Stinson." La colère semblait avoir disparu et la tempette qui faisait rage dans sa tête semblait s'atténuée.

Soudainement, Morgan sentit le sommier bouger. Elle se demanda ce que cela pouvait être mais eut la réponse plus vite qu'elle ne l'attendait. Un élève de Poufsouffle sortit de sous le lit, ses vêtements tout sales et tout froissés. Il sortit sa baguette et se nettoya, l'air de rien. La Sang et Or, prise par surprise avait presque oublié la Vert et Argent. C'était sans compter l'intervention fort désagréable du Jaune et Noir.

- Elle te demande si elle peut se joindre à toi et tu l'envois bouler. Même si tu ne la connais pas jsute par la couleur de sa maison. Je trouve ça tellement stupide et immature.

Non mais de quoi il se mêle celui-là ?? Morgan n'avait jamais eut réellement l'occasion de se confronter avec une vert et argent, et voilà qu'un élève sortit de nulle part allait l'empêcher d'explorer sa face obscure. La Gryffon se leva, décidée. La jeune fille ne réfléchit pas avant de répondre, elle était trop énervée par ces deux inconnus qui gâchaient son repos et son repas. Elle regarda le Poufsouffle droit dans les yeux, une flamme de haine l'animant soudainement.

- Est-ce que je peux savoir de quoi tu te mêles ?

Elle serrait fort sa baguette dans sa poche, s'attendant à une réaction d'un des deux élèves. Le Poufsouffle avait apparemment l'intention de se montrer impartial puisqu'il donna aussi une leçon à la Serpentard :

- je trouve quand même votre manière de demander un peu barbarre un petit bonjour et un s'il te plais passerais sans doute mieux mais en vu de l'intelligence de votre interlocutrice ça n'aurait eu aucun effet, mais simplement par pure politesse.

Là s'en était trop ! Mais pour qui est-ce qu'il se prend ? Il vouvoie la Serpentard et il tutoie la Gryffonfor ? C'est quoi ce manque de respect ? Morgan répliqua, avec fermeté :

- Non mais toi, t'as un problème ! Qu'est-ce que tu veux ? Il me semble que j't'ai rien fait !

C'était maintenant trop tard pour se calmer, les deux inconnus avait réussi à faire sortir Morgan de ses gonds. Elle qui, d'habitude était si calme, était comparable à une bombe prête à exploser. Elle parvint à se retenir quelques secondes de plus avant de sortir sa baguette, le Poufsouffle en profita pour dire, comme s'il ne s'était rien passé :

- Bonjour mon nom est Stinson, Barney Stinson.

La Sang et Or n'avait aucune envie de se présenter et se demanda quelle était l'origine de ce changement soudain. Elle reporta son attention sur la Serpentard, toujours prête à dégainer en cas de besoin. Elle était tellement énervée qu'elle n'avait même pas calculé l'éventuelle puissance de son adversaire. Tant pis. Elle semblait avoir à peu près le même âge que Morgan, et comme la Gryffon n'était pas trop mauvaise en duels - elle était même plutôt douée - elle était confiante.