Après tous ces #Ridikulus, il était temps de passer à la pratique. La première élève à passer était la Gryffondor Lilith Bee. Le but était de se présenter face à l'armoire qui contient un Epouvantard, une fois sortit, l'Epouvantard se transforme en votre plus pire cauchemard, votre ou vos plus grandes peurs, à vous de l'humilier. Après plusieurs élèves, c'était au tour d'Alma Stroller, mais oui vous savez, la Poufsouffle que Quentin avait rencontré dans la Grande Salle, une fille très sympathique.
La Sorcière se présenta devant l'armoire et l'Epouvantard apparut. D'un seul coup des scènes défilèrent.
Quentin ne mit pas longtemps à comprendre que la victime dans ces scènes était Alma. Même si Alma eu du mal, elle réussit à envoyer le sort et les scènes de tristesses se changèrent en scène de joie. La fameuse soirée de la rencontre entre Alma et Quentin apparue.
Après cela Alma disparue au fin fond de la salle et Quentin décida d'allez la voir.
Il s'approcha d'elle discrètement et posa sa main sur son épaule et lui souffla:
"Alma, tu vas bien ?" Il savait qu'elle n'allait pas bien mais il n'avait pas réfléchi en posant cette question.
"Alma, regardes-moi, c'est fini tout ça, n'y pense plus. Tu t'es très bien débrouillée en plus." Quentin jeta un coup d’œil sur l'armoire et sur Renésmée, la Poufsouffle qui combattait l'Epouvantard.
Après quelques secondes Quentin fixa Alma: "Je vais sûrement passer dans les derniers, donc si ça va mieux, viens me voir"
D'un seul coup, sans le vouloir, Quentin prit Alma dans ses bras. Il était un peu gêné bien que ça ait duré quelques secondes seulement, mais c'était indescriptible.
Tout en s'éloignant il se retournait pour regarder Alma et se mit en rang.

Quelques Sorciers et Sorcières venaient de passer et c'était maintenant à son tour. Il avait un peu la pression car tout les regards étaient fixés sur lui et Miss Boccini regardait attentivement. Quentin ne savait pas si Alma le regardait, il était juste concentré sur sa future mission.
Miss Boccini ouvrit l'Armoire et l'Epouvantard apparut. Sa peur qu'il ne voulait avouer allait-elle apparaître ? C'était le cas.
Un Homme et une Femme apparurent. Ils ressemblaient à ... des Prisonniers d'Azkaban. Pour le moment rien d'effrayant, mais d'un seul coup ils devinrent ... des Mangemorts. Ils étaient habillés en noir, avec une capuche, et un masque assez terrifiant. La marque des ténèbres apparaissaient sur le bras. Ils semblaient s'approcher de Quentin, mais ce dernier restait sur place et se concentrant il lança un #Ridikulus tellement minable que Quentin se retrouva projeter au sol.
Les deux Mangemorts voulaient faire du mal à toute la salle, mais surtout à Quentin. Au sol, Quentin était un peu terrifié, mais le plus terrifiant était que les Mangemorts étaient de retour et qu'ils pouvaient être n'importe où, même dans les couloirs de Poudlard qui sait ? Peut-être que certains élèves sont des futurs Mangemorts ?
Quentin recula un peu. Que pouvait penser Miss Boccini et tous les autres élèves qui le regardaient ? Et est-ce qu'Alma le regardait ?
Les deux Mangemorts se rapprochaient de plus en plus.
Il se concentra très fortement et envoya un puissant #Ridikulus.
Devant toute la classe, les deux Mangemorts se retrouvaient en sous-vêtements.
Mission réussie pour Quentin, mais malheureusement il lui a fallu employer le sort deux fois. Il faut qu'il continue à travailler.
Néanmoins Quentin était assez heureux de son travail et il resta autour du rang pour voir la prestation des autres élèves, mais il avait un peu le traque, et si des élèves dans cette salle étaient en contact avec les Mangemorts ?
Il essaya de ne pas y penser et restait concentré jusqu'à la fin du cours.

Après que tout le monde fut enfin capable de bien prononcer le sortilège, Mme Boccini prit la parole

"Très bien. Placez vous tous en file indienne. Quand vous serez prêts, j'ouvrirais l'armoire et vous vous retrouverez face à un Épouvantard. Vous devrez vous concentrer pour prononcer la formule et ridiculiser votre peur. Restez calme. Hurlez si vous ne vous sentez plus capable de rien. Évanouissez vous si vous ne pouvez plus hurler."

C'était enfin le moment de passer à la pratique. Cela fit sourire le rouge et or. Cet instant, il l'attendait depuis son arrivée dans la salle. Tout le monde ce plaça donc les uns derrières les autres. Les participants s'enchaînèrent. Certains avaient bien réussi et d'autres c'étaient évanouis. Logan déglutit. Il espérait qu'il ne s'évanouirait pas de peur. Logan remarqua alors qu'il n'y avait personne devant lui et s'avança donc. Logan inspira un grand coup et dit à Mme Boccini qu'il était près. La professeur s'exécuta et ouvrit l'armoire.

Le beau brun aperçut deux personnes sortirent du meuble... deux personnes que Logan connaissait très bien. Sa mère et son frère. Les voir tous les deux fit monter un grand sourire au rouge et or. Il voulut courir vers eux pour les enlacer mais, l'Épouvantard ne lui en laissa pas le loisir. En effet, les deux êtres fusionnèrent et laissèrent apparaitre à la place une créature squelettique vêtu d'un voile noire transparent. Logan crut d'abord que c'était un Détraqueur cependant la faux que l'abominable créature tenait à sa main l'en dissuada. Le jeune Lion se figea et compris ce qui se tenait devant lui... c'était la chose la plus horrible qui soit, que personne ne pouvait vaincre ou y échapper... La mort.  

Logan déglutit de nouveau. Il observa alors l'étrange individu qui se tenait à quelque mètre de lui. Logan était à la fois fasciné et terrifié de l'apparence de l'Épouvantard. Il voulut pointer sa baguette vers sa peur mais, son bras droit refusait de se lever. Le rouge et or usa donc de son bras gauche pour soulever son autre membre. Sa baguette enfin pointé sur l'Épouvantard, le garçon tenta de prononcer la formule adéquate. Il lança donc un #Ridikulus mais, cela n'eut pas l'effet que le jeune homme espérait. Effectivement, sa baguette n'envoya que quelque petite étincelle minable. Cela commença à décourager Logan. *C'est moi qui suis Ridikulus*, pensa-t-il.

La mort voyant que le jeune homme ne faisait absolument rien se mit à rire d'un rire résonnant et puissant. Ce rire fit trembler tous les membres du corps du jeune Lion. Déjà qu'il flippait, à présent il était totalement terrifié. Il pointa de nouveau sa baguette qu'il tenait dans sa main droite avec l'aide de son bras gauche. Il tenta d'articuler le sortilège mais aucun bruit ne sortit de sa gorge. Sa peur s'approcha encore plus près de lui le toisant de ses yeux rouges ténébreux étincelant d'une certaine malice.
Le jeune Gryffondor ferma les yeux pendant quelques secondes puis les ouvrit de nouveaux pour voir si l'individu avait disparu. Sa peur était toujours devant lui. Il souffla un grand coup puis recula et se prit sans le vouloir, les pieds dans sa robe de sorcier, ce qui le fit glisser et tomber violemment sur le dos. Le rouge et or en eut le souffle coupé pendant plusieurs secondes.

Sa chute lui remit les idées en place. Il se rappela alors la personne la chose qui se tenait devant lui. La mort. C'était elle qui lui avait prit son frère puis sa mère. Elle qui prenait un malin plaisir à séparer les êtres qui s'aiment. Cette pensée fit enragé Logan. Il haïssait plus la mort qu'il n'avait peur d'elle. Il se leva difficilement les jambes toujours tremblante de peur. Une fois debout, le jeune homme pointa sa baguette vers l'Épouvantard. Il avait toujours le bras qui tremblait mais, pas de peur... de rage. Avant de lancer son sort il pensa à un truc de drôle puis hurla son sortilège

#RIDIKULUS !!!

La mort se retrouva alors vêtu seulement d'un caleçon Bob l'éponge, une série moldu que Logan regardait quand il était jeune. Sa faux se transforma en un vulgaire parapluie rose flashy et son visage squelettique se retrouva maquillé tels une Barbie. Cette vision fit éclater de rire Logan. La mort voyant son adversaire qui riait, observa sa tenue et constata avec effroi que sa nouvelle tenue était affreuse. Elle hurla de terreur puis se réfugia à toute vitesse dans l'armoire. Une fois le meuble refermé, le rouge et or souffla un grand coup et repartit s'asseoir à sa place les jambes toujours tremblante. De nouveau assit, Logan regarda dans le vide en se balançant sur sa chaise et attendit la suite du cours.

Je sentais que cette partie de mon cours allait être divertissante. J'étais postée près de l'armoire. J'examinais leur visages blêmes. Qui serait le premier à s'évanouir ? La petite Poufsouffle aux yeux vitreux ? Le Serpentard beau gosse ? Les deux, peut être ? Mon sourire était bien visible, et je me retenais même pour ne pas rire. Les voir ainsi apeurés, c'était désespérant. La plupart étaient en sixième ou septième année. Ce genre d'exercice se faisait en troisième année, normalement. C'était incontestable, avec les années, le niveau des étudiants baissait considérablement. Fermant brièvement les yeux, je me remémorais ma dernière rencontre avec MA peur. Je soupirais. C'était dur mais faisable. Affronter ses peurs, la seule chance de s'en sortir.

Comme je m'y attendais, la première à passer fût une Gryffondor. J'ouvris finalement la porte de l'armoire. L'ombre glaçante, qui m'étais maintenant familière, se faufila dans la pièce. Lilith, l'élève en question, se décomposa. Sa peur, une version vampirique d'elle même, la terrorisait littéralement. Elle chuta finalement au sol. Tout ce cinéma m'exaspérais. Pourtant, en faisant un cours sur la porte, je savais à quoi m'attendre. Je croisais les bras et la laissait réagir. Au bout de deux tentatives, la Gryffonne réussit à articuler un semblant de Ridikulus, et le vampire devint enfant. Le tout avait été plutôt rapide; la note serait bonne.

La jeune et jolie Jasmine passa ensuite, tandis que Lilith regagnait sa place tant bien que mal. Je voyais les autres regarder désespérément la porte, dans l'espoir de pouvoir fuir. D'un coup de baguette, je la verrouillais. Hé hé hé. Un brasier s'alluma dans la salle, et une vieille femme fripée y brûlait. La bleu et bronze avait elle vraiment vu cela, où n'étais ce qu'une idée sortie de son imagination ? Parfois, je me disais que certaines personnes devraient se faire interner à Ste. Mangouste. Elle parvint finalement à se détacher de cette vision, et elle rejoignit à son tour sa place.

Ebenezer eut, du cours, la vision la plus étonnante. Une réplique exacte du gar


La suivante n'était autre que ma filleule. Linae' s'avança. Dans ses yeux, brillait le feu de l'impatience. Et elle osait encore prétendre que nous n'étions pas de la même famille ? La créature se métamorphosa. Grande, laisse. Merrow. Je lui jetais un regard surpris. Quoi ? C'était ça, sa peur ? Bien. Elle tendit une main incertaine et entra en contact avec la chose. Elle affrontait sa peur de la façon la plus difficile qui soit. J'étais fière d'elle. Elle finit par se reculer et chasser, dégoûtée, sa vision d'horreur. Un peu comme si cette créature n'était pas digne d'être sa plus grande peur. Elle recula, la première personne qui ne semblait pas chamboulée.

-Allez, allez ! On se dépêche, au suivant.

Quand Ellay Welsh s'avança, je lui adressait un sourire encourageant. Elle était si innocente, cette petite. Elle ne manquait pas de courage et de foi en ses capacités. Elle fit bravement face à l'épouvantard. Elle aurait dut être à Gryffondor, pas à Poufsouffle. Le Choixpeau vieillissait, décidément. Je ricanais. Sa vision se peaufina. Une Ellay plus petite se recroquevillait sur elle même. La claustrophobie. Les mûrs se rapprochaient, l'étouffant, l'aplatissant. Comme une explosion, Welsh se débarrassa de sa peur. Bien, très bien même.

Clarissa fût moins courageuse. Avant même que l'épouvantard ne s'avance, je crus qu'elle allait défaillir. Je souriais doucement. Ce n'était pas le moment de flancher ! La créature se forma en une vision que je pouvais aisément assimiler comme déroutante, un cadavre et un tueur, un tueur et sa victime. Clarissa ne fit pas long feu. Elle tenta à peine de lutter : elle bascula en arrière et s'évanouit. Spencer la réveilla, la rassura, et passa à son tour. Je fus étonnée. Une boite ? Oh non. Pire. Une boite et une nuée de blattes. Elle coulèrent du récipient, s'étalèrent dans la pièce. Je restais stoïque par habitude. Moi-même, je haïssais les blattes. Je retenais un soupir comblé quand il les fit disparaître. Je lui montrais sa chaise d'un geste du menton et l'élève suivant s'avança.

Alma avait peur de la Peur. Je le compris quand différentes petites angoisses s'enchainerent sans que l'épouvantard ne prenne de forme précise. Je contemplais ses souvenirs à peine effrayant. Cette frayeur était stupide bien que compréhensible. Cela démontrait une certaine forme de courage. Qui, après tout, n'était pas terrifié à l'idée même d'avoir peur ? Le noir, les fantômes, les cauchemars... Tout ça, ce n'était que fables faites pour former les enfants à la peur.  Je me décidais à donner une bonne note à Alma rien que pour ça. Elle chassa sa peur et s'en fût.

La suivante s'évanouie en un rien de temps. Dommage. Justin Davis la remplaça. La créature effrayante qui se forma face à lui me surprit. Qu'étais-ce ? Je reconnaissais certains des traits des loups-garous, sans pour autant pouvoir affirmer que c'était bel et bien cela. La chose grogna un peu. Si l'adolescent avait peur, il le camouflait plutôt bien. J'appréciais ce trait de caractère, qui correspondait tour à fait à l'idée que je me faisais de la maison Serpentard. Il chassa fermement l'épouvantard et alla au fond de la salle.  

Heather prit place devant l'armoire. L'ombre se modela longuement avant de laisser apparaitre une créature de taille. Un bec recourbé, des plumes... Un superbe hyppogriffe. Je n'avais jamais trouvé ces chevaux munis d'ailes effrayants. Pourtant, je comprenais la jeune verte et argent. Au bout de quelques instants de contemplation, elle reprit son souffle et l'hyppogriffe bascula en avant, déséquillibré par un bec devenu énorme. Je sourais et applaudissais. Oui ! Un spectacle réjouissant.

Ebenezer eut de loin la vision la plus étonnante du cours. Une réplique exacte du jeune homme se tenait devant la classe. Mais sa baguette était brisée, inutile, inefficace. Je restais béate et imaginais ce que ressentait le garçon ? Un vrai Serpentard. Oui, le Choixpeau était sénile. Je lui soufflais de le détruire, de tuer le Moldu. En un Ridikulus, la baguette s'éveilla et des étincelles colorées jaillirent du bout de bois, qui au final, était notre plus important artéfact.

Quentin Dawson, un Pouffy, passa enfin. Il avait peur des Mangemorts. Quel garçon naïf. En tant que professeur, je ne pouvais pas exposer mes convictions, mes croyances au public. Je trouvais ça dommage. Quand est-ce que le monde se rendrait compte que si les Masqués agissaient, c'était pour que le peuple sorcier puisse garder ses droits, pour ne plus qu'il vive en fonction de ces satanés moldus ?! Exaspérée, je refermais l'armoire à peine son épouvantard neutralisé. Logan Jackson avait quant à lui peur de la mort. Après plusieurs tentatives infructueuses, il finit par dévêtir le spectre muni d'une faux. Le tout était assez comique. Il était le dernier de la file : personne d'autre n'était venu s'aligner. Je pouvais donc clôturer mon cours.

Je verrouillais l'armoire à double tour et repassait le drap noir sur le meuble. Je souriais à l'assistance et allais tranquillement m'asseoir sur min bureau. Les quelques personnes qui n'avaient pas voulu participer détonnaient étrangement au milieu de ce concert de sanglots, de sueur et de soupirs. J'allais parler quand mon regard fût attiré par un corps inanimé. Renesmée. Je me levais, la posait sur la chaise et lui donnait une série de petites baffes jusqu'à ce qu'elle se réveille. Adressant un clin d'oeil aux autres, je retournais doucement m'installer et cherchais mes mots. Je trouvais enfin :

Je sais. Ce que vous avez vécu là n'est pas facile. La peur est un sentiment violent et destructeur. Mais comme tout sentiment, on peut le contrôler. Vous avez fait du bon travail, je suis satisfaite. Je m'adresse maintenant à ceux qui n'ont pas eut le courage de participer. Vous faites perdre chacun dix points à votre maison. Mes félicitations ! Ce cours est maintenant terminé. Avant de partir, vous prendrez un parchemin se trouvant sur la table du fond. Il s'agit de vos devoirs. À la semaine prochaine !  

Je marquais une pause.

-Ah ! J'allais oublier ! Mr. Davis, vous resterez un instant je vous prie.

Sur ce, j'attendais le départ des élèves.


____________

HRPG
Vous avez une semaine pour poster votre départ de cours et me rendre par MP votre devoir. Sachez que dix points seront retirés pour chaque devoir non-rendu. Bravo pour votre activité de dernière minute. Pour toute question, MP moi ou contactez moi par skype. Amicalement.

Devoirs !:

Quentin vint tout de suite rejoindre Alma au fond de la classe. Il essaya de la réconforter et de la calmer. Pris d'un élan de gentillesse, il entoura la jeune fille de ses bras forts. Elle n'eut même pas eu le temps de répondre à son étreinte qu'il la lâcha, mal à l'aise. Ils tournaient en rond. Il lui assura qu'elle avait bien fait et la quitta pour rejoindre la file. Elle ferma ses yeux et respira doucement.

Elle les rouvrirent quand la voix assurée de Mlle Boccini résonna dans son esprit. Le cours était fini. La sorcière se releva, la tête tournante et les genoux balançant. Elle attrapa machinalement ses effets personnels, prit le devoir et quitta la salle de cours sans se retourner. Elle avait besoin d'être seule, maintenant.

Une fois que tous les élèves volontaires pour affronter l'épouvantard furent passé, Mlle Boccini prit la parole

"Je sais. Ce que vous avez vécu là n'est pas facile. La peur est un sentiment violent et destructeur. Mais comme tout sentiment, on peut le contrôler. Vous avez fait du bon travail, je suis satisfaite. Je m'adresse maintenant à ceux qui n'ont pas eut le courage de participer. Vous faites perdre chacun dix points à votre maison. Mes félicitations ! Ce cours est maintenant terminé. Avant de partir, vous prendrez un parchemin se trouvant sur la table du fond. Il s'agit de vos devoirs. À la semaine prochaine !"

Elle marqua une pause et s'empressa d'ajouter

-Ah ! J'allais oublier ! Mr. Davis, vous resterez un instant je vous prie.

Le cours était terminé. Le rouge et or fut un peu déçut, car c'était déjà la fin. Il avait passé un bon moment. Bon d'accord, il avait vraiment eu peur et avait tremblé de tous ces membres en affrontent sa peur mais, il s'était bien amusé. La seule chose qui le dérangea fut les devoirs. Il adorait les cours de Défenses contre les Forces du Mal mais il ne raffolait pas énormément des devoirs. Il se leva donc en rangea ses affaires. Logan partit alors chercher son parchemin puis salua avec un petit sourire narquois Mlle Boccini en ajoutant

"C'était vraiment un super cours Madame, je me suis bien amusé même si j'ai flippé face à la mort. Hâte de vous retrouver à un cours prochain"

Puis il sortie de la salle son sourire narquois affiché sur son visage.

Après être restée un long moment sur sa chaise, immobile, tentant de faire abstraction des bruits alentours, Jasmine entendit les paroles de Mlle Boccini. Cela la rassura bien plus qu'elle ne le pensait. Ce cours était terminé, elle n'aurait pas d'autres altercations avec un épouvantard. Du moins, elle l'espérait.

- Je sais. Ce que vous avez vécu là n'est pas facile. La peur est un sentiment violent et destructeur. Mais comme tout sentiment, on peut le contrôler. Vous avez fait du bon travail, je suis satisfaite. Je m'adresse maintenant à ceux qui n'ont pas eut le courage de participer. Vous faites perdre chacun dix points à votre maison. Mes félicitations ! Ce cours est maintenant terminé. Avant de partir, vous prendrez un parchemin se trouvant sur la table du fond. Il s'agit de vos devoirs. À la semaine prochaine !  

Bien que cette expérience l'ait terrorisée, elle était fière d'elle d'y avoir tout de même participé. Elle se serait détestée pendant longtemps si des points avaient été retirés à sa maison par sa faute. De plus, elle savait maintenant qu'elle était sa plus grande peur. Perdre un être cher dans un incendie, chose qui l'effrayait depuis son plus jeune âge.

Finalement, la jeune femme se leva, passant rapidement une main dans ses cheveux. Elle se dirigea vers les parchemins où étaient écrits les devoirs, et en prit un. En passant devant le bureau de la professeure, elle adressa un sourire à cette dernière, lui faisant ainsi comprendre qu'elle avait apprécié ce cours.

"Au revoir Professeure, et merci pour ce cours," déclara-t-elle en sortant de la salle.

Machonnant songeusement sa deuxième chocogrenouille, Ebenezer décida qu'il finirait sa journée en utilisant la magie pour tout et n'importe quoi, histoire d'exorciser son épouvantard. Il n'avait strictement rien contre les moldus, ni contre les cracmols mais lui, il était sorcier et il comptait bien le rester.

- Je sais. Ce que vous avez vécu là n'est pas facile. La peur est un sentiment violent et destructeur. Mais comme tout sentiment, on peut le contrôler. Vous avez fait du bon travail, je suis satisfaite. Je m'adresse maintenant à ceux qui n'ont pas eut le courage de participer. Vous faites perdre chacun dix points à votre maison. Mes félicitations ! Ce cours est maintenant terminé. Avant de partir, vous prendrez un parchemin se trouvant sur la table du fond. Il s'agit de vos devoirs. À la semaine prochaine ! Ah ! J'allais oublier ! Mr. Davis, vous resterez un instant je vous prie.

Des devoirs, encore des devoirs, toujours des devoirs. Il avait plein d'autres trucs à faire lui! Il grommela un #Accio en direction de la pile, rangea le parchemin en boule dans son sac, se leva et remit sa chaise sous la table d'un coup de baguette. Il souhaita une bonne journée à la prof et rejoint Lilith qui l'attendait près de la porte. Il quittèrent donc la salle en parlant des épouvantards, surtout de ceux des autres. Entre la fille qui avait peur d'un grimoire de magie noire, l'autre qui faisait apparaître des mangemorts en plein cours et celles qui s'étaient tout simplement évanouies, il y avait de quoi rire.

Renésmée avait lentement reprit ses esprits puis était retourné s'assoir à sa place. Elle voulait partir le plus vite possible, mais elle devait attendre que tous les élèves aient finit. Dans un état second, elle attendit. Lorsque la Professeur prit à nouveau la parole, la Pouffy ne le remarqua pas. Elle vit alors les élèves partirent et se leva lentement. Elle salua vaguement la Professeure, prit ses devoirs. Elle maugréa un peu car ils allaient lui rappeler ce cours. Elle tenta de descendre cet escalier qui craquait... et tomba du haut de deux marches. Elle ne voulait pas aller aux autres cours et retourna donc dans le dortoir des filles. Elle était enfin seule sans toute cette agitation. Elle se promit malgré tout de vaincre un jour sa peur.