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Dans les rues de Paris
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Re: Dans les rues de Paris
Personnage, le  Ven 21 Sep - 18:23

avec Aidan Cray et son LA

Une odeur de café froid emplissait l'air. Une ambiance un peu pesante était présente. Le bureau assez grand et petit à la fois. Vide mais bien rempli. Les piles de dossiers sur certaines tables semblaient sur le point de s'écrouler. Des affaires conclus. D'autres en cours. Le tableau récapitulatif au centre de cette pièce peu habitée.

Sur une chaise dans un coin. Assis devant ses papiers, un homme avait l'air d'attendre quelqu'un. Il était seul. Ses collègues eux étaient sur le terrain, l'enquête avançait à grand pas mais il avait d'autres obligations. Il passa une main dans ses cheveux grisonnant en observant en détails des photos qu'il connaissait par cœur. Sa première affaire. Cela faisait des années qu'il n'avait pas rouvert et tourné ces pages.

Il avait un élan de nostalgie, se revoyant jeune et innocent, prêt à faire régner la justice. Mais il était rapidement redescendu sur terre à la découverte de la scène qui l'avait marqué à vie. La première fois était toujours la plus difficile et la plus marquante. Il tentait de faire le vide depuis un moment mais n'avait pas pu refuser à ce jeune homme sa demande. Il était lié aux victimes d'après ses dires. Il avait besoin de connaitre la vérité.

L'heure tournait. Les minutes passaient. Puis le moment de descendre avait sonné. Il ne savait pas si le jeune homme aurait du retard mais il ne pouvait pas risquer de faire attendre l'anglais trop longtemps. Alors il prit le dossier sous le bras et prit les escaliers. Il tentait de refouler les souvenirs de la découverte qui remontait doucement à la surface. Il prenait son temps. Réfléchissant à chaque pas qui le rapprochait de ce plongeon dans le passé.

Arrivé en bas, dans grand hall, il entendit un accent. Il avait trouvé son homme. Cela ne fut pas si compliqué finalement. Il s'approcha tranquillement. Écoutant la conversation en tendant l'oreille. Puis avant que la secrétaire ne réponde il s'exprima dans un anglais presque sans accent.

- Bonjour Monsieur Cray, je me présente Guillaume Larose. Si vous voulez bien me suivre nous seront mieux dans une salle pour discuter.

Il tendit la main pour la serrer. Puis fit signe au jeune anglais de le suivre jusqu'à une salle d'interrogatoire pour éviter aux oreilles trop indiscrètes d'entendre leur conversation.

- Je me suis occupé du dossier il y a vingt ans, en quoi puis je vous aider?

Il ne voulait pas prononcer le nom du dossier. Préférant attendre encore un peu avant de plonger.
Loredana Wildsmith
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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Jeu 28 Mar - 15:22


Paris, je t'aime

Ft. Theya Alomora

La lumière du soleil passe à travers mes paupières closes et me réchauffe le visage. La nuit venait de mourir, laissant sa place à une nouvelle journée que je voulais parfaite. Depuis quelques jours déjà, cette idée me trottait dans la tête. Une envie de m’évader, de voyager, d’avoir le temps de penser sans être interrompue. Les choses se déroulaient de façon compliquée et ce besoin de voler sans me brûler les ailes se faisait de plus en plus pressant. Loin de la saveur de la routine qui me laissait un goût amer. Mes pieds nus dépassant de ma couette, je sens une sensation désagréable de chatouillement provoquée par les moustaches fouineuses de Sydney qui me tirent définitivement de mon sommeil. Je pousse alors un grognement.
D’un léger clignement de cils, mes paupières s’ouvrent laissant la place à de magnifiques yeux bleus endormis. Une déception sur le visage en remarquant que les nuages gris semblaient plus nombreux que ce dont j’espérais. Je n’ai pas à me plaindre, il aurait pu pleuvoir. Je savoure ce silence quelques instants, en profite pour étirer mes membres endoloris après une succession de positions bizarres durant mon sommeil. Les mauvaises habitudes pour avoir passé autant de nuits seule depuis le départ de Daemon. Les bras tendus à l’horizontale de chaque côté, j’étais partagée entre la joie de pouvoir profiter de ce grand lit toute seule et la solitude qui s’installait peu à peu. C’était vite dit, mes pensées étaient bien évidemment occupées, mais la confusion m’empêchait de me projeter.

Je me décide enfin à me lever, me doucher et m’habiller d’une jupe et d’un t-shirt coloré que je recouvrirai d’une veste plus tard. La veille, j’avais envoyé Joy à Theya avec une lettre lui demandant de passer dans la matinée, assez tôt, pour que l’on puisse profiter, mais je ne lui avais rien dit. Cette décision avait été prise sur un coup de tête, une idée dans mon esprit embrumé. Voyager était ce que je préférais et cela faisait bien longtemps que je n’avais pas quitté le pays. La cafetière laissait couler le liquide brun et chaud qu’il me tardait de sentir sur ma langue. Il n’y avait rien de mieux pour ouvrir mes yeux pour la journée. En attendant, je profite de ces quelques minutes de liberté pour nourrir mes six animaux affamés qui commencent à s’agiter. Dans le même temps, mes yeux se perdent de nouveaux. Repensant à toutes ces péripéties de ces derniers jours, à ma vie qui prenait un nouveau tournant malgré moi, toujours accompagnée de celle qui était mon tout. Je l’avais invité aujourd’hui parce que je la savais aussi confuse que moi et ce besoin absolu de se divertir devait se sentir chez elle aussi. Je savais donc que ce cadeau improvisé lui ferait autant plaisir qu’à moi. Nous ne savions pas être monotones.

Quelques minutes plus tard, après le café pris sur le balcon, accompagné d’une cigarette, j’entends un bruit de clés dans la serrure de la porte d’entrée. Après une seconde, cette dernière s’ouvre, laissant apparaître la chevelure dorée de Theya. Je sautille presque pour la rejoindre afin de la prendre dans mes bras. Je me fiche qu’elle me prenne pour une folle. L’excitation de cette escapade est de mise et j’ai hâte de pouvoir lui dire. Je suis sûre que cela va te plaire ! Sers-toi un café si tu veux. Sans perdre mon élan, je pars fouiller dans un sac afin d'y récupérer une petite Tour-Eiffel miniature que j’avais dénichée dans une brocante, près de Convent Garden. Dans un Français approximatif et toujours avec ce bel accent de Cambridge, je lui fais part de mon projet. Ma belle, ce week-end, on transplane à Paaaaarrrriiiiis ! Je saute sur place telle l’enfant que j’étais à onze ans. Rien ne pourrait me rendre plus heureuse à cet instant.




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Re: Dans les rues de Paris
Theya Alomora, le  Jeu 28 Mar - 23:07


Paris, je t'aime

Ft. Loredana Sparks



Chevelure dorée aux reflets argentés. Lueur du soleil pénétrant sur le verre de tes fenêtres, effleurant ta peau. Escapade printanière matinale. A l'orée d'un matelas. Simple rêve imagé dans ton esprit. Des pétales de cerisiers viennent flotter autour de toi, caressant ta peau. Ta peau devenue plus rayonnante, plus belle, à mesure que les jours s'éloignent de ta rupture. De cette bête noire qui avait pris ton âme. Celle qui t'avait envouté, jusqu'à en perdre la raison, jusqu'à oublier où était la lumière, ce qu'elle était. Ce qui apportait le jour de ce monde. La lumière dans les ténèbres.

Plus que jamais tu étais prête à aller de l'avant, le passé était le passé et plus rien ne t'arrêterait désormais. Plus rien, mis à part peut-être les envies compulsives de ton amie. Tu t'étirais sous les draps soyeux en souriant. Au souvenir de la petite chouette de ton amie venue te rendre visite la veille pour te proposer de passer chez elle ce matin. Le temps passé avec elle n'était jamais assez, et tu étais prête à de nouvelles aventures. Les doigts s'amusent et jouent avec les rayons du soleil, pendant que tu paraisses, jusqu'à ce que tes petits niffleurs viennent vers toi effleurer ta peau, venant chercher leur gallions où le collier offert par ton amie. Tu caresses les deux chenapans de tes mains en voyant le petit Georgie grimper sur l'oreiller pour venir tresser tes cheveux comme à son habitude. Allé faut se lever...

Étirements, accompagnés de ta compagnie tu choisies ta tenue, robe noire simple, un coup de rouge à lèvre et tu es parti en un tour de jambe et tu atterrissais dans la ruelle près de son immeuble, assez isolée pour ne pas te faire remarquer par la population moldue. Tu sors incognito de la ruelle et te dirigent vers son immeuble. Hâtive de pouvoir la revoir, et de partager ce moment avec elle. Tu sentais les odeurs de café matinales s'immiscer dans tes narines jusqu'à ce que tu pénètres l'appartement avec toute ta compagnie, pour découvrir la sienne. Tes niffleurs s'échappent de ta veste et vont avec le frère et la sœur. Ton amie se jette dans tes bras tandis que Georgie grimpe sur ta tête en tapotant sur les cheveux de ton amie, histoire de se faire remarquer. Il a trop pris la confiance lui... Tu es radieuse ! Je vais me chercher un café oui !

Tu poses tes clés sur un meuble et ne te laisse même pas le temps de finir de remplir ton mug pour le porter à tes lèvres, sentant les effluves de caféine te réveiller un peu plus. Un tour Effeil dans la main, une annonce de voyage, un lieu que tu ne connaissais pas. Un pays, certes que tu avais déjà visiter, mais pas sa capitale. Et avec elle. Tout n'en serait que plus merveilleux ! Tu souris et lui saute dans les bras à ton tour Tu es foooolle tu le sais ça ! C'est une merveilleuse idée, je n'y suis jamais allée ! Partons dès à présent ! Les valises ! Tu regardais et filais dans sa chambre, attrapant un sac tu mettais tous les fringues que tu pouvais trouver dedans. Bon j'espère que ça t'ira hein, olalala !!! Tu te mettais à sauter sur place les mains jointes contre ta bouche J'suis si heureuse !!!! Ca va être génial !!! Merci merci merciiiii !

Quelques préparatifs et nous voilà les mains jointes l'une à l'autre, pour transplaner vers d'autres horizons, ceux d'une autre patrie, d'une autre langue. La ville de la mode de l'art, Paris, place du Trocadero. Les yeux éblouis. Le sourire s'illumine. Dans cette ruelle tu distingues une partie de la Tour au nom de son créateur. Paris, mon amour, je t'aimerais toujours.


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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Sam 30 Mar - 11:49


Paris, je t'aime

Ft. Theya Alomora


U n sourire sur mes lèvres qui ne me quitte pas. C’est à m’en donner des crampes aux zygomatiques. Évidemment que je suis radieuse, l’idée de voyager me traverse l’esprit depuis que ma tête est revenue sur mes épaules, depuis que je suis remontée de cet enfer dans lequel j’avais plongé les yeux fermés, sans me doutait de la douleur que cela pouvait provoquer. Une douleur qui n’était pas toujours physique. Une plaie n’était pas toujours une coupure suivie d’une coulée de sang et qui rosissait à la cicatrisation. Les douleurs internes étaient bien plus nocives et j’en avais assez fait les frais. Il était temps de mettre un terme à tout ça, de vivre ma vie de façon optimiste. La réaction de mon amie me met en joie. J’étais telle une petite fille qui venait de recevoir son cadeau d’anniversaire. Enthousiaste, la belle se dirige sans plus attendre dans ma chambre, prend tous les vêtements possibles tandis que je me dirige presque en courant vers la salle de bain afin d’y prendre le reste dans un ou plusieurs sacs de toilettes.

- Mais oui ! On va trop s’amuser ! Mon tout premier voyage en France et avec toi !!

Sorties de l’appartement, je nous emmène dans un coin désert, inhabité, là où l’on ne comptait pas être vues et nous étions parties pour atterrir à cet endroit que j’avais aperçu à plusieurs reprises sur des photos. Place du Trocadéro. Une petite ruelle, quelques chats qui s’enfuient à votre arrivée. Transplaner devant des animaux ne me dérangeait pas. Rien ne les empêchait toutefois de trouver cela bizarre et effrayant. L’important était de ne pas être vu par des Moldus. En une fraction de secondes, nous étions devenues parisiennes. J’aimais ce statut, moi la fille de Cambridge doté d’un bel accent britannique. Je souris, lâche la main de Theya, ignore l’odeur d’urine qui émane des murs. Je marche à reculons, sortant de la ruelle et lève les bras.

- Bienvenue à Pariiiis !!!!

Mes paroles se font entendre et certains passants se retournent. Je ne cherche pas à me faire discrète, ce n’était pas dans mes habitudes et sûrement pas accompagnée de Theya. Je regarde autour de moi, admire le paysage qui s’offre à moi. L’architecture, les enfants qui rigolent et les Parisiens pressés de se rendre au travail. Je ne lâche pas ma bonne humeur, bien trop heureuse d’avoir quitté mon train de vie ennuyeux et routinier. Visiter d’autres pays, tel était mon objectif avant de m’installer définitivement dans la ferme que l’on s’était promises d’acheter lorsque Theya aura quitté Poudlard. J’avais hâte de pouvoir vivre dans un tel endroit. Nos animaux n’en seraient que plus heureux que dans un appartement à Camben Town.

- Il faut qu’on aille…euh poser nos affaires ! UN HÔTEL ! Oui un hôtel ! Viens !

L’argent moldu allait pouvoir te servir. J’avais pris pour habitude de toujours en avoir sur moi lors de mes petites virées en solitaire dans les rues de Londres. La cohabitation avec les moldus étaient de plus en plus facile. Ce qui n’était pas pour me déplaire, bien qu’il ne soit pas toujours évidemment pour moi de comprendre toutes leurs coutumes et leurs artefacts. Mais avec une sang-mêlée à mes côtés, je n’avais pas vraiment peur d’être perdue ! Les valises posées dans une énorme chambre rien que pour nous, nous voilà déjà ressorties.

- Viens ! Passage à la Tour Eiffel obligé !

D’un pas enjoué, nous étions déjà en route pour la dame de fer. Mes rêves de petites filles enfouies au fond de moi commençaient à devenir réalité. La roue se mettait enfin à tourner. Enfin.

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Re: Dans les rues de Paris
Theya Alomora, le  Jeu 4 Avr - 23:26


Paris, je t'aime

Ft. Loredana Sparks



Place du Trocadero, et la Dame de Fer vous sublime. Le soleil et les étoiles invisibles vous surplombent, les carreaux blanc et noir de la place sont à vos pieds. Le Champ de Mars s'offre à vous, tout est si beau. Si merveilleux. C'est un rêve, devenu réalité.

Elle est radieuse, souriante, elle respire la joie de vivre, et c'est contagieux. Tu sautes, sur place, comme une enfant. La populace française et étrangère se retourne sur votre passage, deux sublimes demoiselles en quête d'aventures. Les bras se lèvent vers le ciel, près à décrocher la lune si lointaine, prête à attraper une petite Tour Effeil miniature vendue par ces gens, pour une modique somme. Tu souris, éclate de rire, danse. Tu vis. Maintenant, plus que jamais. Laissant de côté les souvenirs du passé, ouvre la porte à l'avenir. Et dans un français imparfait, tu te mettais à sauter dans les ruelles de Paris, en chantant Paris tu nous ouvres ton coeuuuuuur ! Et tout dans Paris est bonheuuuuuur ! Tu sautes en reculant, tournant sur toi même, basculant les hanches en marchant, la vie n'est que plus belle en cette journée parisienne. Tu prenais la main de ton amie et te mettais à avancer dans les rues bondées en sautant à ses côtés. La vie ne pouvait être plus belle qu'à ce moment. Ce moment parfait. Avec elle, une sœur que tu avais découvert au détour d'un arbre. Une sauveuse devenue sauvée.

Vos vies dépendaient l'une de l'autre à présent, remplies de projets communs, de péripéties, et un avenir ensemble. Une amitié fraternelle, allant au delà du lien du sang. C'était une relation d'esprit, la plus pure. Celle où tu connais la personne mieux que toi même, si elle saute, tu saute, si elle meurt, tu meurs, et si elle est heureuse, tu l'es aussi. Deux âmes connectées, sans jamais se séparer. Plus tard plus tard l'hôtel ! En plus faudra changer la monnaie, c'est pas des livres ici ! Oh tu crois qu'il y a un quartier pour les gens comme nous ?! Comme nous. Pour ne pas dire sorciers, à tue-tête, peut-être que les parisiens vont prendraient pour des folles, mais qu'importe. Peu importe ce que vous laissez paraitre au monde, le plus important est ce que vous représentez pour vous mêmes. Monnaie échangée, prête à conquérir Paris.

Tu observes les alentours, l'architectures, chaque ondulation de marbre ou de béton, tu souhaiterais coloré cette ville grâce à la magie. Donner de la couleur à ce souvenir, en honneur à l'art contemporain qui colorent les façades de certaines bâtisses. Dame de Fer, tu te rapproches, de plus en plus de nous. Sa grandeur est impressionnante, rayonnante. Chaque éclat solaire pourrait faire fondre l'acier, mais dessine des jeux d'ombres sur le sol de ciment à vos pieds.
Un tour de vos corps pourrait vous emmener au sommet, mais pour faire honneur à la Tour vous décidez d'emprunter le traditionnel ascenseur qui vous accorderez la vie la plus belle de Paris. Quelques pièces données en échange du service, et de la montée à trois cents vingt-quatre mètres au dessus du sol.
Un étage, vous amène au dessus des toits de Paris la belle. Le deuxième vous presque toucher le ciel. Le dernier, vous fait toucher les rayons solaires. La vie parisienne est plus belle encore vue d'en haut, des milliers de fourmis, se baladant entre les arrondissement. Du Premier au Vingtième arrondissement de Paris. De là haut, tu vois la Tour Montparnasse, dominé par Le Ciel de Paris en son dernier étage. Plus loin, tu aperçois l'Arc de Triomphe, l’obélisque de la Concorde, Oh Champs Élysées. Parcelle de vie à la Pyramide du Louvre, aux Tuileries. Le Grand Palais. Siège des plus grands défilés de mode. Tes yeux frémissent, pétillent, les larmes coulent par la beauté de ce monde. Celle que tu n'avais jamais pu découvrir. Tu serres la main de ton amie, en faisant le tour du troisième étage, observant chaque centimètre de la vue qui s'offrait à vous. Puis croise le regard d'une colline, la seule de Paris. Montmartre. Et son Sacré Cœur.

Tu restes un instant à contempler, son dôme blanc. Tu clignes des paupières, les larmes qui continuent de glisser contre tes joues, laissant un chemin sinueux et humides, heurtant tes lèvres et y laisser un goût salé. C'est merveilleux Nana... Merci... Un élan de tendresse te submerge, et tu la serres contre toi, pour la remercier une fois de plus. De ce voyage spontané, mais qui lui donne encore plus de magnificence.
Tu embrasses sa joue avant d'essuyer les quelques larmes qui restaient sur tes joues Ne t'inquiète pas, c'est juste que je suis... Éblouie. Tu laisses tes lèvres s'étirer en prenant sa main pour la faire tourner sur elle-même. Maintenant, je veux qu'on aille sur la colline, là-bas. Tu pointais du doigt, désireuse de visiter ce Mont au nom de Martre. Et au passage... Shopping ! On va pas venir dans la capitale de la mode sans faire des achats non ? Allé viens ! Tu la trainais par la main en te remettant à sautiller d'excitation. Tout est si parfait, avec elle, ta sœur.
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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Lun 9 Déc - 19:25

Re-coucou toi ♥ ♥

Notre arrivée n’était certainement pas passée inaperçue. Deux jeunes femmes, plutôt jolies – bah quoi, j’ai le droit de me trouver jolie – qui débarquent de façon à se faire remarquer. C’était devenue notre habitude. Toujours faire en sorte d’extérioriser nos ressentis, sans se soucier des personnes qui pourraient nous dévisager. Après tant d’émotions ces derniers temps, nous avions tout à fait le droit de nous accorder un week-end de folie dans la capitale française. Theya, livrée à elle-même, se lance dans une chanson tout en dansant. Sa joie de vivre ne peut que me faire sourire. L’envie de se dire que les choses pouvaient tourner rond, même pour nous deux. Sa remarque me fait rire. Je sais bien qu’il faut changer la monnaie, mais je ne vais pas me trimballer ce sac toute la journée. Et bien peut-être que si. À croire que la jaune et noire ne semblait pas se soucier du mal de dos que je pourrais ressentir à la fin. À vrai dire, je m’en fichais un peu moi aussi. Je pense oui qu’il y a des quartiers pour les gens comme nous. Paris ne regorge pas uniquement de Moldus. Enfin, c’était ce que j’espérais, j’avais toujours peur que mon don me fasse des siennes devant une foule de moldus. Je ne voulais pas vraiment attirer l’attention, pas de cette façon.

Pas le temps de respirer, de se laisser embobiner par quelques vendeurs clandestins. Non. C’est le regard droit devant que l’on se dirige vers la Dame de Fer, ce monument historique, symbolique de la capitale française que tous les non-natifs du pays voulait voir ne serait-ce qu’une fois dans leur vie. Je faisais partie de cette population-là. Tandis que certains se contentaient de quelques photos, Theya et moi nous apprêtions à y monter. J’aurais peut-être dû nous faire transplaner directement au sommet, mais cela aurait représentait un trop gros risque. Je n’aurais aucune peine à briser ce secret magique qui nous séparait des moldus. Néanmoins, je ne voulais pas risquer de tomber sur des moldus rejetant toute forme de magie de leur quotidien. Une magie qu’ils refoulaient, qu’ils se refusaient de voir et qui, pourtant, les entourait quotidiennement.

Du haut de la Tour Eiffel, nous observons le magnifique vu qui s’offrait à nous, dessinant intérieurement chaque contour. Je ne connais pas les monuments ou du moins pas tous. Ma seule envie de voyager me suffit à apprécier ce moment, à sourire, rire. Je me sens comme un oiseau à qui l’on viendrait de rendre ses ailes. Une liberté retrouvée, une envie de survoler Paris. L’éloignement de ma routine était ce qu’il pouvait m’arriver de mieux. Nous arriver de mieux. La voix de Theya me ramène à la réalité. Un remerciement avant de me prendre dans ses bras. Je la serre à mon tour, ravie de pouvoir partager ce moment en sa compagnie. Posant mes yeux sur elle, je me rends compte qu’elle était en train de pleurer. D’un regard interrogateur, je lui lance un Ça va ? Heureusement, il ne s’agissait que de larmes de joie. Je lance un Alleeeeeeez à sa demande de nous diriger désormais vers Montmartre, un quartier que j’avais déjà vu en photo, en passant par la case shopping. Oui, même les sorciers pratiquaient cette activité, étonnant non ? Mon dernier voyage remontait à bien longtemps maintenant, avec Daemon, trois ans auparavant, quelques mois avant que je ne décide à mettre un terme à notre relation. Après cela, l’idée de voyager m’avait laissée un goût amer. Son souvenir étant constamment dans chaque projet de voyage. Aujourd’hui, deux ans plus tard, tout était différent. Le souvenir de mon ex, bien que toujours présent, s’estomper peu à peu, laissant sa place à d’autres personnes, d’autres souvenirs. Ne pas se focaliser sur le passé.
Sur le chemin, plusieurs boutiques, certaines luxueuses. Sans me soucier des passants, je lance un Bordel ça fait combien en Gallions ça ? Je me retourne, une femme me fixait d’un air interrogateur. Mon énergie débordait, je me fichais des mots qui pourraient sortir. C’est une monnaie sorcière. Voyant ses yeux s’ouvrir d’incompréhension, je me mets à rire, avant de m’éloigner, Theya à mon bras. Allez viens, c’est pas mon budget. Je fais mine de pleurer avant de la regarder d’un air malicieux. OU ALORS…je m’arrête pour lui faire face. On s’autorise quelques petits cadeaux offerts par les commerçants…sans qu’ils ne le sachent. Oui, oui j’étais bien en train de parler de vol. Loin d’être parfaite, l’envie de m’aventurer dans ce genre de plan me plaisait. Évidemment, je ne comptais pas dérober dans une boutique de Luxe, bien trop risqué. Un regard rempli d’excitation. Si elle refusait, il était évident que l’on resterait dans la légalité. J’avais juste envie de m’amuser. Prendre des risques. La seule drogue qui ne m’avait jamais fait de mal. Ou presque.
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Re: Dans les rues de Paris
Theya Alomora, le  Mar 10 Déc - 9:36

Hey you mouais ♥

Tu goûtes la vie d’une anglaise devenue française pendant un week-end. Tu gesticules, bouges, parles, comme une française. Même ton galbe se compare à la française, ou plutôt, la parisienne - Sèche tes larmes de joie beauté, Paris s’offre à toi -.
Une farandole d’idée colorées venaient hanter ton esprit, et il fallait absolument que vous ayez le temps de tout faire avant la fin du séjour. Avec elle, aucun problème. Il fallait trouver les quartiers sorciers, afin de découvrir l’envers du décor français mais une visite à Montmartre se présentait, sous tes ordres qu’elle vous faisait transplaner. C’est que tu pouvais te montrer autoritaire parfois.

Un sourire sur les lèvres tu te retrouves en un tourbillon sur la colline pleine de commerces. Tu lâches un WHOAOUH ! Devant les vitrines qui te faisaient face et ta meilleure amie ne perdaient pas de temps, ça non. Elle te demandait déjà une conversion en argent moldu et toi t’es là Heuuuu… Mais j’suis pas Gringotts moi ! Et tu pouffes de rire en voyant l’étonnement de la femme qui fixait Loredana d’un air incompréhensif. Tu doubles ton rire quand elle, ELLE, oui Elle Loredana répond sans aucune crainte : C’est une monnaie sorcière.

Elle qui quelques mois plus tôt t’avais légèrement réprimandé lorsque tu avais sorti ta baguette dans les rues londoniennes. Tu te laisses prendre par le bras, éclatante de rire Qui es-tu et qu’as tu fait de Loredana ?! Tu souris et tu sais simplement que c’est la France qui lui a donné ce grain de folie, ou plutôt qui l’a fait ressortir en elle. Ce grain était déjà présent, attendant quelque chose pour le faire pousser, plus haut et encore plus haut, et en devenir l’arbre le plus grandiose pouvant exister. Et l’air français lui faisait du bon, vous fait du bon. Il vous rendait gracieuse, d’autant plus charmante que la normale. Une saveur exotique à offrir pour les pauvres français désespérés.

Elle s’arrête après avoir jouer la comédie d’une âme en peine, et te propose une option… Tout à fait alléchante. Tu ouvres grand les yeux en entendant son option, et tu éclates d’un grand rire. Tu regardes un jeune homme élégant passer près de vous. Tu louches vers lui et te retournes vers lui, un grand sourire aux lèvres. L’audace vient montrer le bout de son nez. Tu caresses son épaule puis tapote doucement. D’un français à l’accent anglais très prononcé tu t’adresses en le regardant dans les yeux. Je voulais juste vous dire… Vous être extrêmement beau et élégant Monsieur. Un sourire radieux passe sur tes lèvres et tu t’écartes du jeune homme costumé à la barbe tondue. Bonne journée… A bientôt, peut-être. Un clin d’œil à la volée et tu attrapes ton amie par le bras en riant sans te soucier des yeux du beau brun qui se pose sur vos fessiers. Ne dis rien à Lïnwe, je sais pas encore s’il est jaloux. Pour revenir à la conversation, bien-sûr qu’on va se faire offrir ces petits cadeaux. Et c’était pour te montrer comment j’allais faire pour me laisser offrir de beaux cadeaux. Comme cette robe là, tu as vu comme elle est magnifique ! Allé viens ! Tu rentres dans la boutique en tirant ton amie par le bras et t’adresse à la vendeuse Bonjour ! Vous auriez une taille 38 pour cette robe en vitrine ? Elle est MAGNIFIQUE ! Sans plus attendre tu laisses la jeune vendeuse aller te chercher la robe pendant que tu regardes Loredana essayer des chaussures à talons. Tu louches devant l’étalage d’escarpins et faille l’évanouissement. On est bien dans la capitale de la mode, ça c’est sûr !

La vendeuse arrive avec ta robe, tu files dans la cabine et essaye la sublime robe en enfilant des escarpins noirs que tu avais préalablement choisi et tu sors de la cabine et fait un petit défilé au grand bonheur de ton amie, la main sur la hanche. Pour la collection printemps/été, Theya Alomora vous présente une sublime robe accompagnée de ses escarpins ! Tu rigoles en t’auto-commentant alors que la vendeuse vous regarde avec des yeux exorbités et tu dis à ton amie de filer dans la cabine pour qu’elle essaye elle aussi tout ce qui peut lui plaire.

Tu t’assois sur un des fauteuils et feuillette un magazine de mode français tout en entendant la sonnette de la porte, tu lèves doucement les yeux et reconnaît le jeune homme de tout à l’heure qui salue la vendeuse en lui serrant la main. Ton sourire en coin s’étire à son attention et il s’approche de toi d’un air enjôleur. Tout doux, je suis prise l’ami. Bonjour, Madame, vous avez trouvé ce qu’il vous convient ? Son sourire charmeur est rendu par un pincement de lèvres alors que tu te lèves pour lui faire face et tourne sur toi même. Qu’en pensez-vous ? J’attend mon amie, une italienne.
Envoûté, comme par le charme d’une vélane il te répond Superbe, oh et bien j’espère que nos articles vous conviendront…
Tu souris par politesse avant de regarder ton amie sortir de la cabine et de lâcher un Whoa, tu es magnifique Nana, dommage qu’elles soient hors de prix… Un clin d’œil vers ton amie. C’est le moment de passer à l’action. Soit draguer le vendeur comme jamais, soit… Profiter de notre don magique.


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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Mar 10 Déc - 10:19

Ma petite conversation à sens unique avec la femme moldue semblait amuser Theya. C’était un peu l’effet que j’avais recherché, ne plus me soucier de faire attention, d’envoyer balader le secret magique…et…me moquer aussi, un peu. Je me contente d’exagérer à la remarque de Theya, un faux-air de bimbo qui ne me ressemblait pas vraiment, mais qui avait le don d’être hilarant. J’étais dans un pays que je ne connaissais pas, qui ne me connaissait pas. Pas l’envie de faire des efforts d’éducation, pas l’envie de rester discrète. Juste cette volonté insatiable de m’amuser, de profiter et de laisser une trace de moi, une trace de nous deux dans la capitale.
Et tandis que nous marchons tranquillement dans les rues parisiennes, voilà que Yaya se met à…euh…oui, draguer un simple passant, moldu – probablement – inconnu. Cette envie lui était venue comme ça et je la regardais faire son petit spectacle, le regard mi-amusé, mi-interrogateur. N’était-elle pas en couple en ce moment avec le Blondinet joueur de Quidditch ? Ou peut-être que j’avais loupé un épisode et dans ce cas une petite explication s’imposerait plus tard. Je ne suis pas vraiment dans le même état d’esprit et tandis que Theya se rapproche de moi, c’est un regard un peu trop baladeur qui se pose sur nous deux. Je le regarde, le fixe et change la couleur de mes yeux. Hop ! Le voilà reparti. Theya ne semblait pas avoir vu mon action et me dit simplement de ne pas en parler à Lïnwe. Ils étaient donc encore ensemble. Mais où était la passion des premiers temps ? Rien que de penser à Arty me tordait le ventre tant il me manquait alors que je savais que j’allais le revoir en rentrant. J’avais oublié cette sensation. Ce n’était pas la plus agréable d’ailleurs.
Ouuuh je ne dirai rien, quelle amie serais-je si je ne te laissais pas régler tes problèmes de couple toute seule comme une grande ? Je lui adresse un clin d’œil tandis qu’elle part sur un tout autre sujet.

La petite Poufsouffle était bien décidée à user de son charme pour amadouer les vendeurs afin d’avoir des petits articles gratuits. Et évidemment, elle ne piochait pas dans le bas de gamme et me fait entrer dans une boutique avec agents de sécurité, caméra et tout le blabla. Très bien, après tout, c’est vrai qu’il y avait des articles absolument ravissants. Des articles qui m’iraient tellement, tellement bien ! Et alors que ma meilleure amie se dirige vers les cabines d’essayage, je me plais d’essayer une paire d’escarpins hors de prix qui me faisaient gagner une bonne douzaine de centimètres. Mesurant déjà un mètre soixante-treize…oui j’avais presque l’air d’une géante et c’était assez drôle de voir la vendeuse, le nez au niveau de ma poitrine. Le retour de Theya qui se prenait pour un mannequin professionnelle, me fais rigoler. Je lutte intérieurement pour ne pas changer de couleur de cheveux. Visage crispé, yeux fermés, je souffle un bon coup avant de me rendre compte que j’y étais parvenue ! Encore la magie parisienne qui opérait. Suivant ses conseils, je choisis à mon tour une jolie robe de luxe tout en couleurs – Loredana ne serait pas Loredana sans excentricité vestimentaire – Elle m’allait plutôt bien, surtout avec ses chaussures en particulier. Elle faisait ressortir mes formes qui revenaient petit à petit. Ma perte de poids de ces trois dernières années ne se voyait presque plus, à mon plus grand plaisir. Sortant de la cabine, je remarque que Theya se trouve encore en compagnie d’un vendeur charmeur dragueur, un Français quoi -paraît que c’est le cliché- Mmmh oui dommage qu’elle soit hors de prix.
Le regard de mon amie me fait comprendre ce qu’elle voulait. Je la regarde elle, puis le vendeur, puis encore elle, puis de nouveau le vendeur – je pourrais faire ça toute la journée comme le dirait un certain super-héros. Je fais non de la tête, aucune envie de faire du charme à cette personne beaucoup, beaucoup trop sérieuse et riche à mon goût. J’avais donné avec ce genre de personnes. Non il fallait agir autrement.

Usant de mon don magique de Métamorphomage, je me concentre pour que ma peau devienne blanche, blanche, blanche. Si blanche que les yeux du vendeur s’écarquillent, choqué, angoissé par ce qu’il se passait. Mademoiselle ? Mademoiselle, vous allez bien ? Qu’il me dit en français, mais en réalité, je n’avais absolument rien compris. Je fais mine de m’évanouir. Theya, il faut vraiment que tu me ramènes, tout de suite, maintenant ! Ça ne peut vraiment pas attendre, il faut qu’on s’en aille. Le vendeur, paniqué, semblait avoir envie de se rendre utile. Vous voulez que je vous aide, que j’appelle un taxi ? Continuant mon jeu, je réponds Non non, je veux juste qu’elle me ramène, c’est urgent !!! Je tousse, suffoque, pleure même, regardant Theya pour qu’elle me suive. La manipulation n’était pas vraiment ma spécialité. Mais à Paris, tout est permis.
Theya Alomora
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Re: Dans les rues de Paris
Theya Alomora, le  Mar 10 Déc - 18:13

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Feelin' Good

Comment laisser place à la joie sans être toi-même. Sans cacher ta vraie nature, celle qui était timide, innocente, sois-disant. T’avais bien décidé de montrer un nouveau jour de toi même, là, loin de la capitale anglaise. La drague innocente ne signifiait rien, absolument rien pour toi. Car même là, en laissant tes cordes vocales vibrer et ton faux regard enjôleur s’exprimer, un seul occupait ton esprit. La seule attirance que de le rejoindre en un claquement de doigt dans un temple indien. Te laisser vivre dans ses bras et te perdre, jusqu’à ne plus te reconnaître. Jusqu’à oublier ton passé, l’avenir, et le présent. Lui seul en avait le pouvoir, et les regards des autres n’avaient aucune importance. Ce jeu, ce n’était que pour ton égo, et voler. Non pas de tes propres ailes, mais bien de voler la beauté créée de l’homme, comme Loredana l’avait suggérer.

Tu souris quand tu l’entends évoquer de possible problème de couple. Tu baisses la tête. Un peu confuse. Tu as envie de le lui dire, que pour toi tout ça n’est qu’une illusion, un masque. Un masque qui cache la réalité de tes sentiments pour lui, après tout peut-être devrais-tu lui dire autour d’un verre ? Plus tard, oui, plus tard. Car tu étais en perdition, dans une tornade d’émotions incompréhensibles. Mille-et-unes couleurs s’agitant autour de toi. Tu ne les comprenais pas, ces émotions, et il était bien trop loin pour que tu ressentes ça encore, ta dose, d’héroïne. C’était donc cela. Une drogue divine.

Les couleurs d’une drogue que tu ne connaissais pas, et qui t’attirait irrémédiablement dans les tréfonds de ton âme perdue. Prête à tout, pour lui, pour elle, pour le monde.
Voler, s’envoler, qu’importe, tant que vous être libre. Et que ces vêtements vont conviennent, que le premier venu veut vous les offrir. Et bien, qu’il fasse.
Ce n’était pas ton argent, et s’il voulait l’offrir à la première venue sans espoir de la revoir, c’était son problème.

Tu souriais à la vue de ton amie dans cette tenue - extrêmement coûteuse - qu’elle avait essayé mais qui lui allait si bien. Tu voulais qu’elle tente un truc, n’importe quoi, mais son signe de négation te fit légèrement bouder.
Puis, tout se passa rapidement, tu ne sais comment, c’est la surprise qui se montrait dans tes yeux lorsque tu voyais la peau de ton amie devenir de plus en plus pâle. Les yeux écarquillés tu te précipites vers elle. Alors que le vendeur s’enquiert de son état, et qu’elle, elle, te demande de la ramener. pu*ain. Tu ne savais pas comment faire, tes mains passent dans tes cheveux et tu t’excuses auprès du vendeur Pardon, mais je crois qu’elle va vraiment pas bien, je dois la ramener chez elle. Tu regardes les yeux de ton amie et tu es prise de panique. Tant pis pour les moldus. Tu l’enlace et transplane dans une ruelle adjacente. Nana, Nana, s’il te plait, tu es sûre de ne pas vouloir que j’appelle les pompiers ? J’ai paniqué, je ne trouvais que ça… J’ai transplané… Je...

Un sourire s’esquisse sur ses lèvres.
Tes yeux s’écarquillent. Tes mains passent dans tes cheveux. Prête à les arracher.

Tu n’aurais quand même pas…. pu*ain J’AI FLIPPÉ ! Rho mais toi alors !

Tu la dévisages quelque peu mais finit par rire de son manège, et de lui lâcher un compliment au sujet de sa progression pour son don. Tu l’attrapes par la main et lui murmure un léger Bon, vu qu’on a réussi à voler ces fabuleuses robes, je pense qu’il faudrait déjà enlever les étiquettes et ensuite, se rendre dans un endroit assez chic ! On va pas les salir quand même ! Tu te penches et arrache d'un coup sec l’étiquette du prix horripilant de ta robe et celle de la belle. Les sourires échangés sur les lèvres en passant devant les terrasses de café parisiennes tu finis par t’arrêter et demander à ton amie. J’aimerais bien savoir où se trouve le quartier sorcier… Faudrait surveiller si on voit une baguette surgir et demander à la personne… Tu observes les alentours et continues de marcher avec à ton bras ta meilleure amie jusqu’à un endroit où la musique vibrait entre les murs.
Mais pas simplement derrière une simple porte c’était… Plus profond. Un bruit sourd parvient à tes oreilles, et tu veux rejoindre. C’est comme une odeur irrésistible. Comme un gâteau au chocolat qui se promenait par là et que tu voudrais déguster. Tu rentres dans l’établissement, t'assois au comptoir et regarde le barman en lui demandant de ton plus beau sourire. Bonjour, il me semble entendre des vibrations, une musique… Mais c’est étrange, je ne l’entend pas ici… Vous avez une pièce cachée ? Même dans mes pas je sens une sorte de vibration…
Tu lui fais bien comprendre que tu ne seras pas prête à lâcher le morceau et alors qu’il finit d’essuyer le verre qui occupait ses mains, il vous demande de le suivre. Tu regardes Nana en fronçant le nez d’excitation, et il vous conduit dans un cul de sac dans l’établissement. Il y a simplement une table de billard. Euh… Ton regard passe de la jolie brune au jeune homme.

Sans plus attendre tu attrapes ta baguette, et le barman sort également la sienne. HEIN ?! Seulement des sorciers auraient eu envie de rentrer dans l’établissement. Les autres ne voient qu’une ruine. Il s’agit d’un repousse-moldu. Venez !
Tu exploses de joie, saute sur tes deux pieds en applaudissant et regardant ta meilleure amie. C’est génial !!! Le barman agite sa baguette et la table de billard se lève pour laisser place à une porte, dévoilant un escalier de marbre, qui laisse vivre la musique et les vibrations sonores. Tu descends doucement les escaliers et te retrouve au beau milieu d’une foule dansante, en pleine après-midi. Cocktail à foison, verre de champagne, musique française. Bienvenue à La Mélodie Enchantée. D’un geste de la main théâtral tu te contentes de contempler la beauté et les paillettes vous encerclants. Les personnes, envoûtantes. Les êtres, porteurs de magie comme vous. Prêts à faire la fête. Je pense qu’on va prendre deux coupes de champagne !



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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Mar 10 Déc - 18:59

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Comment laisser une pareille tenue dans un luxueux magasin parisien ? Quel gâchis cela serait. Cette robe pailletée, colorée, qui épousait mes formes à la perfection. Elle était faite pour moi, existait pour moi. Notre rencontre était simplement inévitable. Il ne pouvait en être autrement. Elle avait été à moi à la seconde où j’avais posé mes yeux pétillants d’envie sur elle. Alors non, je ne regrettais pas de m’amuser à entourlouper le vendeur, à lui faire peur, le faire penser que j’avais peut-être une grave maladie qui nécessitait mon départ immédiat notre départ immédiat de la boutique. Mais j’avais omis un détail qu’il était trop tard de rattraper maintenant. Theya ne lisait pas dans mes pensées et je ne lui avais montré aucun signe, aucun signal lui prouvant qu’il ne s’agissait là que d’une simple comédie, que j’allais bien. Tant pis, sa réaction n’en serait que meilleure, plus réaliste. Je m’excuserai plus tard.
Je la laisse prendre le relais, me faisant passer pour une malade incapable de me déplacer seule. Je ne veux pas qu’elle nous laisse ici, entourées de ces Français qui vomissaient de l’or et pleuraient des diamants. Je veux qu’elle nous sorte d’ici, dans nos tenues, que mon plan fonctionne sans avoir à séduire qui que ce soit. Je ne vends pas mon charme pour des paillettes. Je suis paillette, je suis couleur, je suis un caméléon, une louve caméléone. Nous venions de passer la porte. J’ai à peine le temps d’esquisser un sourire que me voilà portée dans un tourbillon qui me prend aux tripes. BAH ! J’ai horreur d’être escortée. Nous atterrissons dans une rue, elle me prend immédiatement dans ses bras. Je savais qu’elle s’inquiéterait. Je la regarde tandis qu’elle s’explique, les mots sortent difficilement. Alors je souris, je ris même, satisfaite d’avoir réussi. Je sens une légère rancœur qui ne dure pas. Je me contente de balancer un TADAAAA en tournant sur moi-même, robe de luxe, talons hauts. Nous étions parfaites.

Une fois les étiquettes retirées, nous étions enfin prêtes à arpenter les chics rues de Paris. Je prenais un malin plaisir à prendre l’air d’une femme riche, née avec une cuillère en argent dans la bouche. Je connaissais un peu l’attitude à avoir. Après tout, je venais d’une famille de riches même s’ils ne m’aimaient pas. Je ne peux pas te dire, je ne connais pas du tout Paris ou même la France ! Mais je suppose que nous le verrons rapidement. Les vieux sorciers et leurs traditions…il y en aura forcément en robe. Certains n’aiment pas les vêtements moldus. J’entends un bruit sourd, je sais qu’elle aussi, semblant venir de nulle part, mais j’en appréciais la texture auditive. Une envie de pénétrer dans l’établissement. Inutile de résister. Nous étions là pour nous amuser, céder à nos envies, ne pas penser à l’Angleterre. Je m’installe auprès d’elle, l’écoute parler au Barman, un sourire sur les lèvres. Nous le suivons, j’étais capable de mordre si danger il y avait. Theya sort sa baguette en même temps que le barman qui était donc l’un des nôtres. Aucune inquiétude dans mon regard. Les bras croisés, je me contente de sourire tandis que mon amie saute de joie à l’idée d’avoir trouvé le coin si convoité. Eh bien voilà, tu l’as ton quartier sorcier !

La table de billard s’élève, une porte apparaît, puis un escalier. Mon sourire s’élargit, je ne regrettais pas d’avoir amené la Poufsouffle à Paris. La ville était pleine de surprises et ni elle ni moi ne pensais à nos problèmes londoniens. Je contemple la salle qui va devenir notre lieu de fête. Les cheveux prenant une couleur violette, je laisse le sorcier me contempler en ouvrant les yeux. Même dans le monde des sorciers, être Métamorphomage était une exception. Je profitais parfois de cette chance qui m’avait été offerte. On va en prendre plutôt…six…chacune. Oui, soyons fous, allez. Difficile de boire dans un bar moldu accompagnée d’une jeune femme de dix-sept ans. Ici, on pouvait se le permettre et je comptais bien rentrer à quatre pattes à l’Hôtel. Le barman revient avec douze coupes de champagne. Premier service, ces coupes vous sont offertes par la maison ! Je ne peux m’empêcher de pousser un .. Wouhoooou aussi fort que la musique. Je lève mon verre en direction de celle qui me permettait d’être qui je suis aujourd’hui. Celle sans qui je ne serais probablement pas ici aujourd’hui. La tête écrasée contre le bitume de Camden Town, le corps enterré, l’âme vagabondant dans l’air. J’étais en vie grâce à elle ! À nous ! À nos amours, notre vie, à Paris et heu…à tout quoi ! Nous trinquons puis je trempe mes lèvres avec délicatesse. Les bulles me chatouillent la langue. Tout en buvant, je donne un coup de baguette, il était temps de changer la musique. De mettre un truc qui bouge qui fait danser. ALLEZ YAYA ! On a l’habitude ! Cet endroit nous appartient ce soir !!
Theya Alomora
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Re: Dans les rues de Paris
Theya Alomora, le  Mar 10 Déc - 19:37

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[Paroles Anglaises]

Et c’est alors que la musique enchante vos âmes françaises perdues dans les limbes parisiennes. Symphonie mélodieuse, emportant, plus haut, plus fort. Vers des lieux inconnus. Vers des odeurs, mystérieuses. Décuplant vos sens.
Le quartier sorcier enfin à la portée de vos mains, du bout de vos doigts prolongées par votre baguette. L’amourette gesticule, virevolte, créait de l’étincelle, de la magie autour de vous. Alors que votre arrivée ne passe pas inaperçue dans ce genre de cabaret des plus pailletés.
Elle, avec ses mèches violines, toi, avec ta simple candeur, tu seras prête à faire chavirer, bouger, cette piste. Tu passes ta commande mais elle te reprend, tu souris. Six, chacune. Déraisonnable, complètement. Mais comment trouver la raison avec elle. La vie, était déraisonnable, injuste, alors, il fallait la rendre assez injuste pour que cela vous porte profit.
Coupes offertes. Et l’exclamation de ton amie te fait lâcher un éclat de voix, elle est aussi enthousiaste que toi alors que tu regardes les paillettes virevolter autour de toi. Suivant, une partition, chaque paillette représentant une note de musique. Tu es possédée. Et vous trinquez. A vos vies, Puissent-elles être aussi merveilleuses qu’aujourd’hui ! Tu souris, entrechoque vos verres. Tes lèvres se posent, laisse le contenu de la coupe se déverser sur tes papilles. Pétillant. S’agitant, comme de petites cellules, sur chaque millimètre carré de ta bouche. Tu fermes légèrement les yeux en savourant ce plaisir absolu, murmurant un léger Hmm… Tu es conquise.

Et la musique change. Tes yeux s’ouvrent, en écoutant cet air incandescent, bouillonnant vos chaires. Faisant, vibrer ton corps. Il te chatouille, ta peau se hérisse. Il est temps pour toi d’entrer sur la piste comme te l’indique ton amie. Qui te prend la main. Oui. Tu acceptes, le sourire aux lèvres, gardant ta coupe, en avalant le reste cul-sec. Sans en savourer les dernières gouttes. Et alors que tu la fais tourner, une première fois, et qu’elle te fait tourner, une deuxième fois. Vos corps sont pris de folie. D’envie. De désir, de monter en ébullition. Vers cette musique, digne de la folie. Une frénésie que tu laisses t'envoûter. Et tu déambules, sur la piste, comme si elle t’appartenait, qu’elle était à toi. Chaque mètre carré de cette endroit, tu l’épouses, il connaîtra chacun de tes pas. Tu virevoltes, tourne sur toi même. Attrapes des chemises, masculines, féminines, parfois même, celles d’êtres magiques comme des gobelins. Tu te fous de leur genre. Tu veux qu’ils t’entendent, qu’ils entendent la joie que vous avez à offrir. Celle de la vie qu’il y a dehors, celle de la vie ene chacun de nous. Tu agites ta baguette attirant deux nouvelles coupes de champagnes une pour toi une pour ton amie. Que tu sirotes, comme le nectar d’un Dieu nouvellement né. Celui à l’intérieur de toi qui s’éveille lorsque tu es avec elle et que vous êtes prête à mettre sans dessus-dessous la vie pour profiter de chaque secondes. Chaque minute. Tu entoures sa nuque sur les dernières paroles de la chanson et mime les dernières paroles. Tu sautes à nouveau et attrape sa main pour qu’elle te suive alors que tu es dos à elle. Et la basse. Raisonne. Rythmée par la batterie. Une musique bien trop vieille pour que tu la connaisses. Mais qui t’emporte, la guide à travers la salle dans des pas rythmés.


Tu te retournes vers elle et t’avance, alors c’est elle qui se met à reculer alors que tu claques tes doigts. Une poussée de voix et tu lèves tes mains au ciel, comme pour implorer un être céleste de prendre possession de ton corps. Pourquoi en aurais-tu besoin ? Tu glisses sur la piste, tourne autour des personnes présentes. Sautillant, comme un petit cabri en quête d’une nouvelle âme à embêter. Tu fais tourner ta baguette dans ta main, d’une manière rock’n’roll. Et tu aperçois un piano. Tu finis ton verre et te dirige vers le piano Bonsoiiiiiir ! L’alcool commence à perturber tes sens. Nana tu sais en jouer ?  Lïnwe sait en jouer, divinement bien. Tu pouffais de rire en repensant à ce Sonata improvisé et le glong imposant de tes fesses. Un moment comme ça… Hm oui, il te manquait déjà.

Tu poses tes fesses sur le banc du pianiste et le pousse d’un coup de hanche. Tu fais glisser ton doigt de la dernière touche jusqu’à la première. Trop cool ! #Accio Champagne ! Faut s’faire plaisir nan ! Encore une coupe, que tu bois et pose sur le dos du piano. Tu réfléchis, à une mélodie OH OUI ! VOUS ! Vous pouvez accompagner cette musique au piano ? Et tu agites à nouveau ta baguette pour changer la musique afin de mettre celle à laquelle tu pensais. Tu montes sur le piano à queue en disant, non, ordonnant à ton amie de te rejoindre et commence la chorégraphie. En chantant :
It's astounding
Time is fleeting
Madness...takes its toll
But Listen Closely
Not for very much longer
I've got to...keep control


Un clin d’œil à ta coéquipière de scène et tu sautes sur le sol pour continuer la chorégraphie, respecter chaque paroles, chaque déhanchement, oh oui. Car tu la connaissais par cœur, ta mère te la faisais souvent écouter enfant et c’est grâce à ces souvenirs que ton enfance restait tout de même heureuse, grâce à elle. Et maintenant tu voulais partager ça avec ton amie. Jusqu’à en perdre la voix. Enchaînant les pas incohérents. Tout comme les notes. Et les grimaces au public. Eh oui ! J’suis folle les gars ! Tu fais rouler tes yeux dans tes orbites et te laisses porter vers les dernières notes de musique où tu avais profiter pour prendre les deux mains de ton amie pour enchaîner quelques pas. Youuuhouuuuu !
Et de légères vibrations continuent de parcourir ton corps malgré la fin de la musique, l’adrénaline encore en toi. Il faut la laisser vivre, il faut la laisser s’échapper, et s’épanouir dans ce monde.Un clin d’œil vers ton amie. A ton tour Nana. Impressionne-moi.


Traduction : C’est stupéfiant
Le temps est éphémère
La folie... prend son péage (péage ??)
Mais écoutez attentivement
Plus pour très longtemps je dois... garder le contrôle




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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Lun 16 Déc - 16:39

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Les verres se vident et la musique s’anime. Les corps s’agitent à l’unisson. Je lâche tout, ne pense plus à rien d’autre qu’à cette mélodie qui me fait voyager. Nous sommes dans un état de pure folie, un besoin de se défouler, de s’amuser loin de la contrainte anglaise qui nous attendait. La routine ennuyeuse, aussi monotone et agaçante que le bruit d’une goutte d’eau dans un évier qui fuit. Ce week-end était pour nous, rien que pour nous et nous aimions nous donner en spectacle, laisser une trace de notre passage. Que les gens se souviennent. Theya est égale à elle-même et souhaite faire venir le plus de gens possible sur la piste de danse. Aucune retenue, presque pas de politesse. C’est par des tirages de chemises qu’elle les traîne tous jusqu’ici. Et tandis qu’elle se dirige vers un piano qu’elle venait d’apercevoir, je continue, le temps de quelques secondes, de danser en finissant mon verre d’une traite. Puis je l’entends me demander si je savais en jouer – du piano. Je la regarde, étonnée de constater qu’elle ne le savait pas encore. À vrai dire, cela faisait bien longtemps. La dernière fois remontait à ma rencontre avec 87, juste après ma rupture avec Daemon. C’était il y a plusieurs années maintenant. Installée sur une colline loin de la civilisation. Juste moi et mon synthétiseur qui prenait désormais la poussière dans le placard à balais de mon appartement. Quelle maltraitance…

Toujours dans sa délicatesse naturelle – non – Theya s’installe à côté du pianiste qui conservait un sourire aux lèvres, semblant apprécier l’excentricité dont on faisait preuve ce soir. Il devait être habitué et des ambiances moroses et fades. Aujourd’hui, c’était une euphorie de couleurs. On donnait vie à cet endroit, à ces sorciers parisiens qui, clairement, ne savaient pas s’amuser. Ils étaient pourtant connus pour être des gros buveurs non ? Ce soir, nous étions en train de changer ça et peu à peu, les autres commençaient à se lâcher, jusqu’à oublier leur pudeur, la peur du ridicule. Le ridicule n’existe pas par ici ! Je bois une nouvelle coupe avant de rejoindre la Poufsouffle sur le piano. S’enchaîne ici une danse sensuelle qui correspondait au rythme de la musique, avant de s’emballer sur celle-ci, se déhancher, en criant, chantant. Le rythme entraînant encore plus de monde sur la piste. Je pousse un nouveau Woouuuuuuh en voyant toutes ces personnes s’amuser. On avait réussi à métamorphoser cet endroit. Nous se sommes que deux jeunes touristes voulant laisser notre marque. Après cette danse complètement déjantée, mêlée au chant, je descends du piano. Je peux ? Que je dis au pianiste à qui je tends ma coupe de champagne. Celui-ci s’éclipse quelques secondes. Prends sa pause, parfait. Allez Theya, donne tout ! ON APPLAUDIT THEYA S’IL VOUS PLAÎT !! Ceux qui comprenaient l’anglais s’étaient exécutés immédiatement, les autres avaient simplement suivi. La foule nous acclamait comme si nous étions deux stars hollywoodiennes. Parfait, c’était notre heure de gloire. Je souffle un bon coup, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas touché un piano. Pourtant, ce sont mes doigts qui me guident, aucun besoin de réfléchir. La musique m’emporte dès les premières notes et je jette quelques coups d’œil à mon amie afin de profiter à fond de ces instants. Je chante en même temps, je me dandine sur le banc. C’est fou comme cela faisait du bien.

À la fin de la chanson, je fais glisser énergiquement mes doigts sur toutes les notes du piano avant de me relever et de saluer le public en délire qui nous acclamait. L’ambiance était donnée. Le pianiste avait repris sa place et c’était lancée dans diverses mélodies qui nous déchaînaient. Yeeeeeah ! C’est c’qu’on veut !!! Je cours chercher deux autres coupes, pas prêtes à laisser l’alcool s’estomper pour le moment. Je veux que ce moment dure toute la vie ! En effet, il était loin de s’estomper, il était même à son apogée actuellement. On rentre à Londres, on ramène tous nos amis et on revient ici !!! C’était évidemment impossible, mais j’aimais pouvoir faire part de mes envies.

Soudainement alertée par un rideau qui menait à une autre pièce, et où certaines personnes allaient et venaient, je laisse la jeune femme quelques secondes pour aller voir ce qu’il s’y passait. J’entrouvre le rideau, c’était un salon de tatouage installé là, tenu par un sorcier. C’EST-PAS-VRAI !! Theya ! Je crois qu’il y a quelque chose pour nous ici !
Je n’avais pas oublié. Je n’avais pas oublié chez les Becker, son souhait que l’on ait des tatouages assortis.

Theya Alomora
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Re: Dans les rues de Paris
Theya Alomora, le  Lun 16 Déc - 18:50

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COMMENT EST-CE POSSIBLE DE S’ÉCLATER AUTANT ?! Voilà ce qui résonnait dans ton esprit, t’étais perdue entre la folie de l’instant, la danse, le chant, tout était si euphorique. Vous étiez comme hypnotisée par l’environnement, comme enfermée dans un monde, une bulle qui faisait passer le temps plus rapidement que vous ne pouvez le sentir. Tu te donnes corps et âme pour le plus grand plaisir des spectateurs, ce soir tu es le spectacle. Mais pas seulement.

La plus belle t’accompagne, la jolie femme aux mille-et-unes couleurs et paillettes. Celle avec qui tu étais capable de voler dans une boutique de luxe, avec qui tu serais capable de braquer une banque à l’aide de vos quatre niffleurs. Et, de danser sur un piano comme deux folles en pleine frénésie, une frénésie alcoolisée. Elle saute, rejoint le banc du pianiste à son tour et elle joue, MERVEILLEUSEMENT bien en plus ! T’étais étonnée, tu ne lui connaissais pas ce talent, en même temps, elle était pleine de talent ! C’était Nana quoi, the best of the best. T’avais pas les compétences mais t’aurais bien fait apparaitre une banderole avec écrit Nana The Best pour que le bar le sache, que tu le cries au monde. Pourquoi pas engager un pilote d’avion pour qu’il l’affiche dans le ciel aussi ? - Ouais ça serait carrément cool !

L’endroit n’était plus morne, il était endiablé, grâce à vos âmes perverties. Les applaudissement t'était destiné, tu souriais, saluait la foule en délire Merci, merci ! C’est trop d’éloges ! FAITES UN MAXIMUM DE BRUIT POUR LOREDANAAAAAAAAAAAAA ! Avec tout autant de A prononcé.
L’alcool continue de couler à flot, ne te laissant aucun repos - jamais - la nuit ne s’arrêterait jamais. C’était une nuit éternelle, comme elle le souhaitait. Manquait bien tous nos amis, mais impossible de les ramener, Faut être égoïste, ce moment est à nous Nana ! Rien qu’à nous !

Tu la regardes s’éloigner mais qu’est ce qu’elle fait ? et elle se met à crier et tu cries à ton tour Aaaaah ! tu pouffes de rire, l’alcool te fait réagir de manière complètement folle et elle t’annonce qu’il y a quelque chose pour vous. Ah bon ? MAIS Y A QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIII ? Tu as peut-être un coup dans l’aile, enfin même un gros coup. La coupe de champagne de trop. Tu la rejoins près d’un rideau et là tu exploses MAIS NAAAAAAAAAAN ! Un saloon de tatouaaaaage !!!!!! VIENS. DE. SUITE. Tu la prend par le bras et rentre dans le salon de tatouage, Bonsoiiiiir ! On voudrait un tatouage s’il vous plaît ! Alors un loup et une loutre ! Un loup pour moi et une loutre pour la jolie demoiselle !

Le tatoueur - assez mignon ou est-ce l’alcool qui le rend mignon ? Un truc assez minimaliste pour moi, genre avec des petites étoiles, un loup qui regarde le ciel ! La loutre c’toi qui décide Nana ! Le tatoueur te dessine ça en un coup de main - C’EST TROP BEAU REGARDE NANA ! OK J’veux ça ! Sans demander la permission tu t’allonges confortablement sur le lit du tatoueur - non pas pour faire des galipettes rassurez-vous - et tend ton bras gauche, indiquant le creux de ton coude tu dis au tatoueur J’peux l’avoir là s’il vous plaaaait ? Tu bats des cils comme si tu allais le charmer alors que pas besoin de charme, juste de quelques pièces pour qu’il te fasse quelque chose de PAR-FAIT.

L’aiguille se pose, et tu réagis automatique par un rire, comme si c’était une chatouille. Gesticule pas si non tu vas tout faire foirer. C’est drôle ça picote ! Oooh mais c’est magique ça marque tout seul ! Regarde Nana ! Tu es toute éblouie par cet art nouveau, gravé sur ton corps. Ca te brule, légèrement mais tu supportes et tu gigotes tes fesses contre le cuir du lit sur la musique dancehall - changement d’ambiance - un verre de rhum accompagnerait bien ce moment d’ailleurs Nanaaaaa tu peux aller me chercher du rhuuuum  ? Battement de cils en guise de formule de politesse - s’il te plait - et le temps qu’elle revienne vers toi c’était terminé ! Regaaaaaaaarde !!!! Merci pour le verre t’es parfaite ! A toii maintenant ! Regarde comme c’est beaaaaau ! Les yeux remplis de cœurs invisibles, tu te saisis de ton verre de rhum et commence à le siroter en attendant que la belle se décide pour son tatouage.






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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Mer 15 Jan - 22:18

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Elle semblait aussi enthousiaste que moi à l’idée de se retrouver dans ce salon. Comment était-ce possible ? Nous avions tout ce que nous voulions ce soir. Absolument tout. Des boissons alcoolisées à volonté, une piste de danse que l’on s’appropriait, un piano dont les touches nous appartenaient désormais et des tas de Français à l’accent tellement parfait. Puis il y avait ça. L’occasion pour nous deux de tenir notre promesse, de lier notre amitié sur notre peau. Il ne s’agissait pas réellement d’un tatouage commun, plutôt un signe qui nous rappellerait l’autre. Nos patronus, nos animaux totems : La loutre pour elle, le loup pour moi. Notre amitié n’était plus à prouver. Après tout ce temps, je n’en doutais même plus. Parce qu’elle était restée même dans les pires moments et j’avais fait de même. Ce soutien mutuel ne pouvait être éphémère.

Elle ne tarde pas à faire part de son idée au tatoueur. Elle n’attend pas, ne veut pas attendre. Elle fait preuve d’une telle hyperactivité que même mes yeux alcoolisés ne parviennent pas à la suivre. Le tatoueur, lui, semble ravi d’avoir une telle ambiance dans son salon. On n’entend presque plus la musique venant de l’extérieur, plongé dans une ambiance différente. Des dessins sur les murs, des photos de ses œuvres sur les gens. Tout un tas de matériel. Theya me ramène sur la terre ferme. Elle veut du rhum. Tout de suite ! Je passe à travers les rideaux telle une star de cabaret. Je m’adresse au Barman, un grand sourire aux lèvres. Une grosse bouteille de rhum et deux verres ! Il s’exécute sur le rythme de la musique et je ramène tout à Theya, ne faisais pas gaffe aux personnes que je bouscule au passage. TADAAA ! Je lui serre un verre et le lui tends. Monsieur, je ne vous en propose pas, je ne veux pas que vous vous loupiez. Il rit. Il ne devait pas être habitué à ce qu’on l’appelle Monsieur. C’est trop beauuuuu ! BON à mon tour. Je veux que ma loutre soit sous l’eau, avec des bulles, que l’on ait l’impression qu’elle nage. L’idée, je l’avais très bien en tête et il parvient à la représenter de façon admirable.

Un verre cul-sec, je m’installe à mon tour et tends mon bras gauche. Je le veux là. En montrant mon biceps. Il teste une première fois, pour être sûr que je n’étais pas trop craintive. Puis il attaque. Quelques picotements, mais rien de plus. Un peu désagréable quand il repasse plusieurs fois au même endroit. Le temps passe vite cependant et le résultat est juste fabuleux. C’est trop bieeen ! Merci !! Sans réfléchir, je lui sors deux billets, sûrement bien plus élevé que le prix d’origine, mais tant pis. Un travail vite fait, bien fait, c’était ce qu’il nous fallait. Tenez, prenez un peu de rhum, c’est notre pourboire. Je regarde Theya. On l’a enfin faiiit ! Depuis le temps qu’on en parlait ! Nous avions enfin pris le risque de graver une part de l’autre sur notre peau. Un grand pas, mais je sais que je ne le regretterai pas.
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Re: Dans les rues de Paris
Theya Alomora, le  Ven 17 Jan - 19:33

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Tu es SUR-EXC-ITÉE ! Tu commences en sirotant mais finit par un cul sec. A quoi bon être dans la modération si tu te fais tatouer !
EH OUAIS TATOUÉE LES GARS JE ME SUIS FAITE TATOUÉE BITCHES !
Tu ricane, tu es ivre, de pouvoir. Tu domines le monde là avec ton tatouage de loup AOUUUUUH ! Cri obscure de pleine lune.
Tu saisis la bouteille de rhum et sert un autre verre à ton amie qui est semi-allongée pour son tatouage. Tu veux une paille ? Ça sera plus simple ! Tu regardes l'endroit où le tatouage serait gravé A VIE. Ah le biceps hein, comme ça on remarquera plus ta force Herculéenne face aux acromentules ! Un petit rire s'échappe et tu bois une gorgée de son verre pour te donner du courage et hurle en tournant sur toi-même TU ES MON MILLESIME MA PLUS BELLE ANNÉE !

Même pas le temps de faire la fête dans le salon que l'artiste a terminé son œuvre d'art. MAGN-I-FICO GRAZIE MILLE ! Tu tends la bouteille de rhum, enfin ce qu'il en reste au Monsieur tatoueur, par dessus tu ajoutes deux billets en plus, il sera grassement payé celui-là !

Tu ricanes comme une adolescente et prends Nana par le bras pour lui dire Vieeeeens on va fêter ça ! Et si on changeait de registre, j'ai entendu une chanson dancehall tout à l'heure ca te dit ? Le rhum irait parfaitement dans l'ambiance !! Puis on pourra exposer tu lèves le bras en l'air et bascule la hanche NOS MAGNIFIQUES TATOUAGES BITCHES YEAAAH ! Une Theya hystérique, qui attrapes son amie par le bras pour la diriger vers un endroit caché au sous-sol ou des musiques jamaïcaines faisaient danser les plus audacieux d'entre-eux.
Prête ?


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Re: Dans les rues de Paris
Loredana Wildsmith, le  Ven 17 Jan - 21:45

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Je ris à en avoir des crampes dans le ventre. L’alcool est sans aucun doute responsable d’un tel fou-rire devant l’excentricité dont faisait preuve Theya. Une envie de crier sa fierté au monde entier. Avoir résisté sans grande peine à une aiguille qui lui avait déchiré la peau pour y glisser son encre. J’étais assez fière moi aussi, même si ce n’était pas mon premier. Ma narratrice n’avait pas trouvé mieux que de retranscrire l’un de ses tatouages sur ma peau à moi : L’ancre sur le poignet droit qui pouvait paraître simple, mais qui signifiait pourtant tant de choses. Tout comme cette loutre désormais.

Prête ! Loin de penser à la fin de cette soirée, loin de penser au retour pour le moment. L’alcool me rend toute légère, prête à m’envoler sur ce rythme. On ne cherche pas à faire bonne figure, ni à se cacher des autres. Non. On se dirige sur la piste et on commence à montrer notre déhanché à qui veut. Repoussant les quelques personnes qui s’étaient décidés à nous coller d’un peu trop près. Surexcitée, oui, par l’ambiance de la soirée. Cela ne me donnait en aucun cas l’envie de gâcher ma relation fraîchement née avec un Loup-Garou. J’attrape alors Theya et m’unis à sa danse, m’adapte à ses pas. Je bouge mes cheveux, me fichant de qui je pourrais fouetter au passage. C’est une soirée qui me libère l’esprit, qui me fait rencontrer Paris dans un aspect qu’aucun autre touriste de ne pourrait connaître. Parce que nous étions uniques en notre genre. Ne jamais faire comme les autres, c’était notre règle de base.

Nous avions commencé par un vol de fringues, un tatouage improvisé et voilà où nous en étions. Deux Anglaises qui s’appropriaient un bar où elles n’étaient même pas connues. Nous avions un don pour cela. En duo, cela fonctionnait davantage. J’étais contente de pouvoir expérimenter tout cela avec elle. La soirée dura encore quelques heures, sous l’acidité d’une soupe de champagne, de mojitos corsés et de danses endiablées. Autant vous dire que nous n’étions plus très belles à la fin de la soirée.

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Loin de la piste de danse, de la musique qui s’estompaient, des sorciers qui s’en allaient, dans un couloir étroit et peu éclairé. Une porte entrouverte, un bruit désagréable. P*taaaaaiiiin. Je n’étais pas près de l’oublier cette soirée. Ou peut-être que si.
Justement.
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