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La Salle de Lecture
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Lun 3 Déc - 22:05

Bon finalement je décide de jeter mon dévolu sur la médicomagie. Même si j’ai déjà quelque connaissance assez basique sur le sujet c’est toujours bien de les approfondir un peu surtout avec ce que j’ai prévu prochainement. Je reposais donc le livre sur la création de talismans sur l’étagère. Cependant ayant tout comme ma mère deux mains gauches et deux pieds gauches, couplé aux gestes un peu bourrin que je tiens de mon père, je crois avoir enfoncé légèrement trop loin l’ouvrage. Ce qui devait arriver dans ce genre de situation arriva bien évidemment et j’entendis les livres tomber de l’autre côté de l’armoire dans l’allée derrière.
Forcément doués comme je suis-je n’en rate pas une !
Un minimum soucieux de mes bêtises je vais quand même voir l’étendue des dégâts que j’ai causés. C’est donc un rayon plus loin que je pouvais trouver quelques livres par terre avec un jeune au sol non loin.

_ Ha m*rde !

Je n’ai pu m’empêcher de lâcher ce petit juron très élégant, raffiné et surtout de mise pour un premier contact avec un inconnu. J’espère au moins de ne pas l’avoir assommé avec mes conneries ! Je m’approchais donc de la scène de crime en commençant à ramasser les bouquins.

_ Je suis désolé. Vous n’en avez pas reçu un au moins ?
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Dim 9 Déc - 9:12


Au plaisir de nos mauvaises intentions.
ft Enzo M. Aiken & Alexandre S.


Même si ma lecture semble passionnante, elle n’est que de courte durée. Une avalanche de livres me tombe sur la tête, ainsi que l’un d’entre eux, m’écorche le sommet de ma tête, là, juste au-dessus de mon arcade droit. Une goût de sang s’écoule le long de ma peau avant d’atterrir sur la page que j’étais en train de lire. Une douleur vive dû à l’impact me rappelle aussi, que je suis en vie.

– « …Mmpfh… »

Sonné, je relève la tête vers l’allée du couloir où se tient un homme, sans doute, le coupable de son crime. Et ce responsable m’arrache un sourire malsain, une teinte de froideur dans mon regard et je ferme fermement le livre avant de l’envoyer rejoindre les autres qui sont déjà par terre.

– « Oui, tu peux le dire… »

Une grimace apparait sur mon visage d’ange démoniaque, m’arrachant aussi, un effroyable frisson tandis que je tente de me dresser sur mes pieds pour me mettre à sa hauteur. Chose assez difficile à faire puisque je le vois en double exemplaire et qu’il faut que je me tiennes à l’étagère pour ne pas me retrouver par terre, les 4 fers en l’air. Et puis, allant de surprise en surprise, je le vois s’approcher de moi à mon plus grand désarroi. Par un simple réflexe, je me recule en voulant préserver mon espace personnel et ma propre sécurité aussi.

– « … N’approche – pas, t’as déjà fait assez de mal comme ça … »

Puis, je lève ma main jusqu’à mon front avant de grimacer un peu de douleur, fronçant ensuite les paupières lorsque je rencontre ma main du regard. Mes doigts recouvert de ce liquide rouge qui commence déjà à coaguler. Aujourd’hui, je suis particulièrement tendu et lui, là, cet homme allait principalement déguster ma mauvaise humeur aussi.

– « Tu peux faire demi – tour et éviter de recroiser mon chemin, s'teuplait, merci ! »

Sur un ton aussi glacial que mon regard, je viens de lui dire ces quelques mots, alors que je virevolte sur moi – même, bousculant les livres de mon pieds avant de frapper l’étagère, qui dans un vacarme infernal, fait tomber quelques autres livres. Ensuite, j’entame ma marche pour mettre de la distance entre lui et moi, jusqu’à trouver refuge dans une autre partie de la bibliothèque. Là, dans la catégorie pour enfants, parmi une montagne de coussin. Je m’assois sur l’un d’eux avant de me mettre à chercher dans mes poches, un éventuel mouchoir… Mais rien. Je grogne rapidement avant de pester silencieux, maudissant cet inconnu malchanceux et maladroit dorénavant.
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Dim 9 Déc - 15:56

– « Oui, tu peux le dire… »


Ha oui en effet ça se voit, il a une jolie marque sur le front. Et vu comme il titube en se relevant je crois que je ne l’ai pas loupé. Et lorsque je m’approchais il se mit à reculer.

– « … N’approche – pas, t’as déjà fait assez de mal comme ça … »


On va dire que je comprends à peu près sa réaction, quoiqu’un peu exagéré sur la fin quand même, jusqu’à ce qu’il voit « l’étendue des dégâts ».

– « Tu peux faire demi – tour et éviter de recroiser mon chemin, s'teuplait, merci ! »


Ok la prochaine fois je lui ferais tomber la bibliothèque entière sur la figure et sans aucun remords. Non mais et puis quoi encore ? Être fragile ça ne l’autorise pas à être odieux non mais ! En plus il ne range même pas son livre à lui et se permet d’en faire tomber d’autres … Est ce que je l’égorge tout de suite ou j’attends encore un peu ? Ho non j’ai une meilleure idée on va faire dans la subtilité.
Je remettais donc à leur place les livres que j’ai fait tomber en prenant grand soin de bien garder de côté les livres que ce petit con à fait tomber à évacuant sa frustration.

Une fois fait j’allais rejoindre l’autre sale gosse pour lui rapporter les ouvrages qu’il a fait tomber baguette en main avant de lui parler comme à un enfant pour le dénigrer un peu.

_ Hooo, pauvre petit trésor qui a eu un bobo. Tu veux un bisou magique tiens le voilà ! #Episkey !

Après avoir lancé ce sortilège de guérison je lui tendais un mouchoir en papier avant de lui demander toujours sur ce même ton à la fois sarcastique et mielleux.

_ Alors ça va mieux ?

Oui c’est ça que j’appelle la subtilité …
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Lun 10 Déc - 0:06


Tw présence d'un language fleuri (au cas où).
Au plaisir de nos mauvaises intentions.
ft Enzo M. Aiken & Alexandre S.


S’il ne me connait pas, aujourd’hui, il verra mon vrai visage. Je respire l’intolérance, l’arrogance et la violence à outrance. Je reprends cette même attitude sur le ton qu’il emploi avec moi, chose qui m’insupporte pas mal. Et s’il me soigne pour se voiler la face, grand bien lui fasse puisque je me redresse encore. Je ne lui laisse plus aucun échappatoire, il fait comme un rat, pris aux pièges dans mes filets. Je ne réclame pas de pitié, mais lui va délibérément goûter à ce côté négatif que je garde à l’abri des regards indiscrets. Et je n’hésiterais pas à recommencer si j’en avais l’occasion aussi. Ça serait tellement facile, trop facile surtout. Et qu’importe si l’adulte me grogne dessus à la manière d’un Lion, je le laisse croire à sa guise qu’il peut m’humilier. Je l’aurais à l’usure, parce que moi, on ne me marche pas sur les pieds de la sorte. Je ne prétends pas être invincible, mais je ne supportes pas certaines choses, encore moins qu’on me dérange quand je suis occupé à chercher des réponses sur des choses qui m’intrigue.

– « Tu sais, j’préfère encore passer mon réveillon de Noël avec le cadavre de Galway, mon ex-compagnon de chambre que toi. Paix à son âme parce qu’à t’entendre, il devrait se retourner dans sa tombe six fois d’suite. Lui, au moins, il était du genre plus joyeux et distrayant que toi.»

Puis, sur mes lèvres se dressent un sourire béant, taquin et malsain avant que je ne me décide d’en rajouter une dernière couche, préparant ma baguette sournoisement aussi.

– « Par exemple, pour éclairer ta lanterne. Lui, au moins, il aurait apprécier de partager un tel moment avec les siens. On était ses Serpents préférés, tu vois. Sa maison l’aimait et il était apprécié de tous que toi, tu m’les brise rien qu’en me prenant pour un con. »

Cependant, je soupire un peu tout en passant une main sur ma nuque avant de serrer ma baguette à mon tour, dans ma main.

– « Même son cadavre aurait été une compagnie plus chaleureuse que la tienne en ce moment, même, pour te dire à quel point que j’t’apprécie, tu vois le principe. Tu saisies, alors, maintenant, tu dégages et tu m’laisses tranquille. L’Abruti. »

Ainsi, je lance un #Pecus Udis dans sa direction, espérant peut – être qu’il touchera sa cible, mais sous le coup de l’énervement, je ne parierais pas là-dessus. Entre temps, j’en profite quelques instants aussi pour encore lui échapper. Distancer pour mieux « régner », alors, pendant que je m’amuse à t’énerver puisqu’il n’y a que comme ça que je me détends à ma manière, je te surveille du coin de l’œil, au cas où un autre sort m’atterrir en pleine poirei.
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Lun 10 Déc - 22:11

– « Tu sais, j’préfère encore passer mon réveillon de Noël avec le cadavre de Galway, mon ex-compagnon de chambre que toi. Paix à son âme parce qu’à t’entendre, il devrait se retourner dans sa tombe six fois d’suite. Lui, au moins, il était du genre plus joyeux et distrayant que toi.»


Je serais presque tenté d’ajouter que si ce cadavre tourne si vite sur lui-même il pourra presque en faire un ventilateur. Mais même moi je trouve cette blague nul alors je me suis abstenu et contenté de répondre en roulant des yeux.

« Tu m’en diras tant ! »

Réponse témoignant de mon indifférence la plus totale aussi bien vis-à-vis de la frustration qu’il s’applique à extérioriser, qu’à l’énonciation du décès de son petit camarade.

« Par exemple, pour éclairer ta lanterne. Lui, au moins, il aurait apprécié de partager un tel moment avec les siens. On était ses Serpents préférés, tu vois. Sa maison l’aimait et il était apprécié de tous que toi, tu m’les brise rien qu’en me prenant pour un con. Même son cadavre aurait été une compagnie plus chaleureuse que la tienne en ce moment, même, pour te dire à quel point que j’t’apprécie, tu vois le principe. Tu saisies, alors, maintenant, tu dégages et tu m’laisses tranquille. L’Abruti.

Une fois sa tirade larmoyante terminée il tente de m’envoyer un sortilège. Celui qui fait se comporter comme un mouton. Serait-ce une manière subtile de me dire que je le prends chèvre ? Nan décidément niveau jeu de mots je ne suis pas très inspiré aujourd’hui. Mais revenons à nos moutons … Hum … Bref …

Quoiqu’il en soit je dois dire que ça réaction était plutôt prévisible … pour ne pas dire rechercher en fait. J’esquivais donc simplement son sort en me décalant sur la gauche … Je précise : ma gauche. Néanmoins je le laissais s’enfuir sans même chercher à contre-attaquer. Cependant il me parut nécessaire de lui faire remarquer dans un soupir trahissant ma déception dans cette joute verbale.

_ Sérieusement ? Ta répartie se résume à me raconter ta vie ? Je dois dire que c’est vraiment décevant, surtout venant d’un serpentard …

Mon deuxième prénom ? c*nnard insensible ! Curieusement je le vis bien.
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Ven 14 Déc - 19:44


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Au plaisir de nos mauvaises intentions.
ft Enzo M. Aiken & Alexandre S.


L’adulte inconscient me toise, me menace sans prendre conscience des conséquences que je lui réserve. Parmi des ouvrages à l’allure sinistre, je déambules entre mont et merveilles, effleurant le dos des livres du bout de l’un de mes doigts. À présent, ce qui grandit à l’intérieur de moi, c’est un torrent d’une rage déferlante, ma colère tourbillonnante, suintante comme un poison qui, déjà, envahit la pièce s’abat sur ma baguette comme une foudre intransigeante. Cette chaleur que j’éprouve pour cette fille, laisse place à de la glace si froide qu’elle en gèle chacune des extrémités de mon corps. Et cette noirceur d’esprit dans lequel j’y trouve refuge, me transperce de ses milles glaives sanguinaires. S’il ose agir en fou pour s’attaquer à moi, il va découvrir qui je suis réellement lorsqu’on me cherche alors que je ne suis pas d’humeur à jouer. Ainsi, le Prince des Ténèbres que je suis, armé de mes cruels envies « meurtrières » pousse délibérément l’étagère qui tombe en une chute de domino, d’une main habile. Un sourire aussi sombre que mon regard qui se durcit, qui fend l’air comme des yeux de chat en pleine nuit, te dévisage sans même te demander ton avis.

- « Et ta connerie est à la même hauteur que ton discours. »

Au sein de mes pupilles de jade, on y distingue facilement, un océan obscur d’un calme plat, qui lorsque je me mets à sourire d’un air purement sadique et machiavélique, se transforme rapidement en une montagne de flammes infernales. Ce brasier s’étend au-delà de mes espérances jusqu’à dévorer toute surface et s’exalte à m’embraser de la sorte. Mon cœur qui, dans une course folle, s’enflamme en une valse follement distrayante. Et ma fierté Serpentesque n’est – elle pas toute justifiée lorsqu’on sait que je domine les hauteurs comme les profondeurs, que mon esprit créatif n’est que « sans – limite », même si je ne suis pas à l’abri des envies torturesques des Masquées, des punitions ou d’un renvoi définitif de Poudlard aussi. Bien sûr que j’en suis conscient et que je sais que ça me pends au nez. Pour l’heure, le meilleur moment pour vouloir te faire comprendre d’y mettre un terme est d’anéantir tout espoir qui te laisse croire que je te laissais avoir le dessus sur moi. Donc, il est presque hors de question pour moi, de priver mon âme insatiable, assoiffée d’une envie de me venger de toi en t’imaginant déjà souffrir avec délice et gourmandise.

- « Autrement dit plat et aussi pathétique que tes rapports sexuels. »

Épris d’un tel sadisme sans fin, d’une malsainité prédatrice, je laisse la violence de mes mots l’atteindre sans faire de « chichi ». Qu’elle provoque des débats, qu’elle bouleverse des foules à en donner des frissons aux personnes qui liront ceci. Je ne laisse pas de place à la peur de pouvoir atteindre mon esprit. Passer maître dans l’art d’agir démoniquement comme étant l’investigateur de mes propres conneries. Je laisse l’ire de mes souvenirs « oubliés » de faire « luire les reflets métalliques d’une couronne » imaginaire sur mes cheveux d’une couleur noir-ébène. Les pulsions cardiaques de mon myocarde qui battent de façon naturellement calme, beaucoup trop calme, m’élèvent au rang de « Dieu de la Guerre » et s’il ne connait pas mon second prénom, je vais le lui apprendre d’une façon plus directe aussi.

- « Avoir une aussi grande gueule et une si p’tite b**e pour oser m’tenir tête. Soit t’es stupide, soit inconscient. Et quoi que tu puisses m'dire, j’ai déjà ma réponse à ma question.  »

L’agressivité sournoise de mon expression singulière s’accroit encore après quelques secondes de réflexions. C’est tout un tableau qui se dresse derrière moi. Un trône dans mon dos, des flammes incandescentes tout autour et dans ma main, mon trident alors que j’aborde ma couronne avec fierté sur ma tête. Là où d’autres ont compris qu’il est plus sage de marcher avec moi que contre moi, j’vais me faire un plaisir d’assister à sa chute pendant que je fixe de mes yeux, mon ascension vers mon « propre paradis » désormais. Et si je piques et te provoques, sifflant comme un serpent en répandant mon venin sans prendre de gants. Je laisse à mon âme abyssale, le soin d’éclore et d’imploser à la l’intérieur de moi. D’une façon comme une autre, cette noirceur s’empare de chaque parcelles de mon être jusqu’à ternir le vermeil qui s’écoule dans mes veines. Ainsi, j’enfile mon masque invisible à l’œil nu, déterminé par cet orgueil irréfréné, alors que la prunelles verdoyantes de mon regard brille d’une lueur affolante. Plus que les paroles pour décrire la scène qui se prépare, je laisse place à mes gestes qui s’enchainent vers un point de non – retour, tout doucement.

- « Comme ça sent le roussit pour tes fesses, du coup, j'me casse. J'me fais ch*er, ici, t'es d'un ennuie. À la prochaine, vieux.  »

Certes, un cliquetis puissant fend l’air et quelques secondes plus tard, c’est l’odeur du brûlé qui commence à se faire ressentir. Le briquet au bout de mes doigts, des flammes qui consument tout sur leurs passages et mon regard qui ne s’ébranle pas pendant toutes ces secondes, voir minutes qui défilent. Et puisque pour un Serpentard, il est si facile de mentir, de dire sans substance ce que l’on pense sans leurs donner le pouvoir d’espérer qu’il puisse croire me donner une leçon. Sur cette dangereuse valse que compose ces flammes éblouissantes qui augmentent au fur et à mesure qu’elles tracent leurs chemins, je t’offre un dernier sourire narquois. Puis, dans un CRAC, je réapparais dans un autre endroit presque aussi simultanément que j’ai disparu de la « Bibliothèque » en prenant le soin de vérifier du regard, qu’aucun moldu ne traine dans le coin, quoi que j’m’en fiche pas mal de leurs problèmes à ceux – là aussi. Et tel un monstre, j’arpente les rues en direction de Poudlard, parce que quoi qu’il en soit, pour cet imbécile, une chose est sûr, c'est déjà fini.
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Dim 16 Déc - 0:10

_ Et ta connerie est à la même hauteur que ton discours. Autrement dit plat et aussi pathétique que tes rapports sexuels. Avoir une aussi grande gueule et une si p’tite b**e pour oser m’tenir tête. Soit t’es stupide, soit inconscient. Et quoi que tu puisses m'dire, j’ai déjà ma réponse à ma question.

Face à ces remarques je ne pus m’empêcher de pouffer de rire.

_ halala ! Ce que vous pouvez manquer d’imagination vous les jeunes. Ce genre de tacle c’est tellement cliché que ça en ferait presque pitié. Mais puisque tu veux mettre ma vie sexuelle sur le tapis j’en ai une bonne pour toi. Ton sel, ta colère et ta haine, témoins de ta frustration feront mes plus beaux orgasmes !

Cela dit je remarque que ce môme à vraiment le melon. Je me demande d’où peut bien lui venir un tel ego, crise d’adolescence peut être. Quoiqu’il en soit le brun ne s’arrêta pas à la joute verbale, qui … je dois quand même l’avouer est décevante mais passons.

Il décida de saccager la bibliothèque tel un enfant mécontent mettant le souci dans sa chambre pendant un caprice avant de disparaitre.

Personnellement je me contente d’observer la chose, prenant tout de même soin d’éviter les meubles qui me sont destinés. Et je dois dire que ce que je vois est très instructif. Même si quelque part je suis un peu déçu que cette personne n’ait fait que brasser de l’air avant de partir malgré ça un rictus ne quittait pas mon visage pendant que je remettais la salle en ordre par magie. Tout d’abord j’appliquais un #Ventus pour éteindre le début d’incendie.

Suite à cela j’allais chercher le bibliothécaire pour leur faire constater l’étendue des dégâts. Je leur expliquais donc ce qui s’est passé et les invita chaudement à déposer une plainte à l’encontre du jeune homme pour les dégradations occasionné.

Enfin je leur donnais un petit coup de main pour remettre la salle en ordre à l’aide du #reparo pour réparer ce qui pouvais l’être et tout remettre à leur place grâce au sortilège # Failamalle.

Ce n’est qu’une fois tout remis en place que je quittais enfin le bâtiment avec les livres empruntés. Pourtant un rictus restait imprimé sur mes lèvres. Je crois m’être trouvé une nouvelle distraction …


Fin du RP
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Dim 30 Déc - 17:11

Entrevue & Intérêts Communs ?

W/ Aya Lennox

— LA d'Aya.

A
ssise sur une chaise, près de la baie vitrée donnant sur le splendide jardin intérieur de la Bibliothèque de Londres, Lara attendait patiemment, tenant toujours un parchemin entre les mains. Il y a de cela quelques jours, la jeune femme avait reçu une lettre de la part d'Aya Lennox, une cliente qu'elle avait eu à la Boutique d'Animaux Magiques pour une intervention bien funeste malheureusement. Depuis, les deux jeunes femmes ne s'étaient pas recroisées mais, de ce que Lara avait lu dans les journaux, l'ancienne Serpentard avait été professeure de Potions mais n'était pas restée au sein de l'Académie Magique. Un aller - retour bien rapide mais qu'importe ... L'enseignement n'est pas chose aisée et il fallait une certaine patience pour s'occuper d'élèves. Ce n'était peut - être pas le cas de Miss Lennox qui était bien vite retombée sur ses pattes.

En effet, si les deux femmes devaient se rencontrer en ce jour, c'était dans le cadre d'une discussion au sujet de quelque chose qui touchait particulièrement Lara, et dans le cadre du nouveau métier d'Aya. En effet, celle - ci expliquait dans son courrier qu'elle travaillait maintenant au sein du Département des Mystères, en tant que Langue - De - Plomb. Vraisemblablement, l'ancienne professeure de Potions souhaitait étudier les dons et malédictions magiques puisque c'est dans le cadre du don de Métamorhomagie de Lara qu'elle lui avait envoyé un hibou. Recensée auprès du Ministère, il est vrai que l'information était facilement trouvable pour quiconque et notamment pour quelqu'un travaillant là - bas.

Au début hésitante, la Lionne avait fini par accepter une entrevue. Après tout, Lara commençait à se contrôler, lui permettant de modifier des parties infimes de son visage et de ses cheveux. De plus, se morfondre ne servait à rien ... Bien que les débuts de cette nouvelle vie aient été difficiles au vu des circonstances, l'apprentie magizoologiste avait fini par se ressaisir. Si elle souhaitait retrouver et sauver sa mère, il était indispensable qu'elle en apprenne plus sur son don ... Et qu'elle le maîtrise à la perfection. Si en plus cela pouvait aider Miss Lennox dans son nouveau travail, alors toutes deux en tireraient quelque chose de bénéfique.

Dans ses pensées, l'ancienne Gryffondor en fut tirée par l'arrivée d'Aya qui arriva à sa hauteur qu'elle salua avant de se rasseoir « Bonjour Miss Lennox ! Installez - vous, je vous en prie. J'espère que ce coin de la Bibliothèque vous convient, nous serons plus à l'aise ici je pense, au vu de ce dont vous voulez que l'on discute. »

Sariel Fawkes
Sariel Fawkes
Serpentard
Serpentard
Année à Poudlard : Diplômé(e)

Matière optionnelle : Médicomagie

Spécialité(s) : - Permis de Transplanage


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Re: La Salle de Lecture
Sariel Fawkes, le  Dim 6 Jan - 11:00

LA peut-être emprunté (je préviens, on sait jamais).

Miss Wind était spéciale. C'était peu dire. Elle avait un quelque chose qui intriguait particulièrement Aya.

Cela dit, Aya ne connaissait absolument pas la sorcière qu'elle devait rencontrer ce jour-là, à part peut-être sous un certain aspect professionnel. Aspect qui les avait réuni lors d'une bien triste décision à prendre. Mais en rencontrant la jeune vétérinaire magique, il y avait quelques mois de cela, Aya n'avait su imaginer, ne serait-ce qu'un instant, la possibilité que celle-ci fut particulière à ce point.

Sur les registres privés d'un certain recensement, Lara Wind était la seule Métamorphomage. La seule.
La Langue-de-Plomb avait d'abord cillé, puis cherché si d'autres feuillets avaient été mal rangés, égarés dans une autre catégorie, dans celle des Loups-Garous, par exemple, tiens, Azphel, quelle surprise ! Ou alors. Ou bien non. Lara Wind était le seul nom sur cette liste. Les autres ne s'étaient sûrement pas présentés. Elle ne pouvait tout simplement pas être la seule.
D'être face à tant de listes la mit un long moment face à son propre chef, sa propre histoire : devait-elle se faire recenser ? Non, certainement pas. Très mauvaise idée. Aya n'avait aucune envie de se laisser catégoriser. Bien qu'elle travaillait au Ministère, elle n'avait aucune envie que ses collègues ne la considèrent que comme le monstre qu'elle paraissait être. Qu'elle était bien, en réalité. Tout le monde cachait des secrets, des fantômes du passé qu'il valait mieux taire, pour la sécurité et la préservation de la santé mentale des autres, mais aussi pour son propre Salut aux yeux des Autres. Mais que la nouvelle Langue-de-Plomb fut un Loup-Garou, assez jeune en plus de cela, était un fait à passer sous le joug du silence, indéniablement.

Trouver comment contacter Miss Wind n'avait pas été très difficile. Quand on bossait au Ministère, on avait un accès facile aux choses, aux détails de vie partagés avec témérité. Trouver les mots, par contre, voilà qui était moins aisé. La convier ? La convoquer ? Ou lui proposer un rendez-vous, faire passer ça pour un truc intime, posé, décontracté pour ne pas brusquer la demoiselle ?
La dernière option était la plus tentante, et la moins professionnelle cependant. Mais Aya savait que la recherche était un milieu particulier. Il fallait savoir se faire des relations pour trouver ce que l'on souhaitait. Il fallait savoir argumenter, négocier, plaire, mais surtout savoir où chercher. Et directement à la source, auprès d'un.e concerné.e, voilà qui la ravissait. Un vrai témoignage pour une vraie discussion. Il n'y avait pas mieux.

Pour débuter cependant, il fallait se renseigner au maximum auprès des livres, ouvrages répétitifs, ou alors parfois plus inédits quoique parfois barbants de stéréotypie, sur le sort des Métamorphomages, sur le pourquoi du comment.
Être fascinants, surtout lorsqu'ils s'ignorent encore. Où vivait la Chose, cette chimie qui se révélait finalement, un beau jour, et changeait la vie de ces doués du charnel, de ces enveloppes caméléoniennes ? La question demeura un long moment dans la tête de la chercheuse. Et persista même jusqu'au jour de la rencontre, alors qu'elle se dirigeait vers la bibliothèque londonienne où elles s'étaient données rendez-vous.
Elle joua du pouce, au moins le temps de traverser quelques rayonnages vides, accompagnant l'abandon d'écorce de cuir de la mallette qu'elle trimbalait par son anse abimée. Lorsque, enfin, elle trouva son sujet d'études, installé non loin d'une baie vitrée, Aya se risqua à sortir de son silence, et ainsi, de ses pensées.
- Miss Wind, je suis Aya Lennox. Merci de vous être déplacée. Parfait endroit pour discuter, ajouta-t-elle en jaugeant l'éclat du soleil hivernal qui donnait à la vitre une impression de miroir.
Un sourire éclaira le visage de la presque-Vélane-maispastropnonplus, et elle s'installa face à elle après lui avoir serré la main délicatement. Elle laissa un court silence s'installer, au moins le temps de se mettre à son aise et de se débarrasser de l'étole en fausse fourrure rose-pêche qui habillait son cou.
- Comme je vous l'ai expliqué dans mon courrier, je travaille au Ministère de la Magie en tant que Langue-de-Plomb et mon travail s'intéresse particulièrement aux dons et malédictions.
Avant d'oublier et de louper quoi que ce fut à prendre en compte, Aya fit un geste vers son sac pour en sortir de quoi noter.
- Pour commencer, j'aimerais vous poser quelques questions personnelles, histoire de pouvoir compléter mes recherches. Rien de trop intime, je vous rassure. Mais plutôt axées sur vos intérêts, votre famille proche, etc. N'hésitez pas à me couper ou à me réorienter si je vais trop loin, je ne veux pas m'immiscer dans votre vie. Juste en savoir plus sur vous. Et ces notes ne resteront qu'à ma portée.
Comme pour s'assurer d'être bien claire, Aya hocha légèrement la tête pour accompagner ses paroles avant d'entamer :
- Vous êtes originaire d'Angleterre ? Ou d'un pays du Royaume-Uni ? Votre famille a-t-elle des origines particulières ou notables ?
Ouais, bon, ça ne se disait pas comme ça, mais il fallait bien entamer par une recherche ethnologique ou un truc comme ça. Aya s'intéressait aux faits, pas aux idées de races, etc. Pouvoir retracer un peu la famille de Lara ne pouvait que l'aider à cerner mieux son don et ses possibles origines. Et peut-être aider la sorcière qui lui faisait face, également.


Dernière édition par Aya Lennox le Mer 27 Fév - 13:17, édité 2 fois
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Re: La Salle de Lecture
Invité, le  Ven 8 Fév - 15:16



L
es quelques minutes d'attente avant l'arrivée de Miss Lennox permirent à Lara de songer à sa nouvelle condition et à ce qu'elle allait pouvoir dire à la Langue-De-Plomb. Après tout, son don lui était apparu que récemment et la jeune femme ne le maîtrisait pas, loin de là. Elle ne pouvait amorcer que quelques changements physiques et pour une courte durée, n'arrivant pas à faire durer ses transformations plus de 5minutes. Pourtant, la vétérinaire magique s'entraînait régulièrement, plusieurs fois par jour quand elle en avait la volonté. Néanmoins, la Métamorphomagie était loin d'être chose aisée et, même si ce Don était de naissance, il fallait apprendre à l'apprivoiser, à le maîtriser, à l'amadouer. Autant dire qu'elle ne risquait pas d'être grandement utile à Aya ...

Celle-ci sortit Lara de ses pensées à son arrivée et il fallait le dire : il s'agissait d'une très belle femme, ce qui fit buguer l'apprentie Magizoologiste. Un charme certain, envoûtant se dégageait d'elle et Lara dû cligner plusieurs fois des paupières pour reprendre ses esprits. Des belles femmes, l'ancienne Gryffondor en avait vu et en côtoyait également comme Harmony dont elle était totalement amoureuse mais son interlocutrice dégageait autre chose, comme presque d'inhumain. Du sang de Vélane ne coulerait-il pas dans ses veines ? En tout cas, cela ne serait pas étonnant aux yeux de la jeune femme qui afficha un petit sourire alors qu'elle suivait des yeux, dans un calme olympien, les mouvements de Miss Lennox.

De quoi prendre des notes, afin de recueillir les déclarations, le témoignage de la Caméléon. La douée du charnelle se demandait toutefois pourquoi son interlocutrice s'intéressait aux Dons et Malédictions. Il fallait avouer que ce domaine de recherches était assez intéressant mais, au fond d'elle-même, la spécialiste magique restait convaincue qu'il fallait une bonne raison pour se lancer dedans. Miss Lennox connaissait-elle des personnes, de près ou de loin, touchées par cela ? Ou était-elle personnellement concernée ? Après tout, personne ne savait ce que pouvait cacher un visage aussi angélique. Il en était de même pour Lara au final. Qui aurait pu croire un seul instant que, derrière ce visage de poupée, se cachait un Don aussi impressionnant que la Métamorphomagie ? Personne.

« Je suis née en Irlande, de parents sorciers. Ma mère est française et je ne sais rien d'elle, hormis son nom qui est Estelle Palel. Mon père était Michael Asperlin, qui était irlandais, également vétérinaire magique mais il est décédé. Je n'ai jamais connu ma famille paternelle néanmoins, mon père étant fâché avec ses parents. A son décès, j'ai été adoptée par Alicia Wind, sa compagne. Voilà tout ce que je peux vous dire sur ma famille. »

Sariel Fawkes
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Serpentard
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Année à Poudlard : Diplômé(e)

Matière optionnelle : Médicomagie

Spécialité(s) : - Permis de Transplanage


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Sariel Fawkes, le  Mer 27 Fév - 18:08

Aya ne savait pas vraiment si elle arrivait à mettre son interlocutrice à l'aise, et ne pouvait que comprendre la répugnance à parler de soi, surtout à une parfaite inconnue employée du Ministère. Certes, ce rendez-vous passait par les quelques règles de connivence qu'elle ne s'était pas attardée à présenter : ce qu'Aya apprendrait ce jour-là, de plus privé cela dit, resterait entre elles. Le témoignage de Lara ne lui servirait que dans ses recherches et ne dépasserait jamais sa fonction première, à savoir celui d'exemple, simplement. En cela, elle s'efforçait de paraître digne de confiance, à savoir par un sourire mince et des manières délicates.
Dans tous les cas, Aya trouvait la jeune femme qui lui faisait face très courageuse. Elle, n'aurait jamais été capable de parler de sa particularité à quelqu'un en termes anodins, ou simplement attablée dans une bibliothèque. Encore moins à une inconnue. Certes, on ne mélangeait pas Métamorphomages et Lycans, mais quelque part, elles étaient presque dans le même bateau. Cela restait, envers et contre tout, un poids à porter. Pour autant, Aya se considérait bien moins chanceuse en terme de fardeau que Lara. Une métamorphomagie contrôlée revêtait du magnifique ; Aya, elle, se transformait à chaque Lune en un Monstre dont elle préférait oublier l'existence. Et qui pourtant persistait en elle.

C'était un début, mais surtout une fin. Perdre un don pour lequel on avait travaillé d’arrache-pied ; finalement se découvrir toute neuve. Comme dans une nouvelle enveloppe. L'idée était malheureuse et pouvait pourtant emprunter au joyeux, au plaisant. On se réjouissait bien trop souvent du commencement d'une chose, et elle, en jeune Créature lunaire, vivait les deux, le joie et son inverse, le pack complet en même temps, sur bien des plans.
Chaque Lune était une naissance et une mort ; mort de soi, de son humanité, mais aussi extraction d'une nouvelle chose, hostile et inflexible. On repassera donc pour le tout à fait joyeux. Il n'y avait rien d'aussi dramatique que de se perdre totalement.

Elle continuait donc à prendre des notes, tout en laissant son esprit vagabonder au gré des quelques éléments que la demoiselle voulait bien partager. Pour l'instant, rien de très croustillant. Une famille, certes, mais pas vraiment d'éléments notables. Une mère adoptive, des parents décédés. Dans une ironie amère, elle songea que tous n'avaient pas cette chance. Frotta le bout de son nez d'une phalange, sans s'excuser intérieurement de son amertume, de sa vision tordue des choses.
- Vous n'avez donc pas connaissance de la présence de Métamorphomages dans votre famille ? Aucun élément pouvant attirer votre attention sur cette piste ?
Certes, la jeune femme venait sans doute de lui dire tout ce qu'elle savait de pertinent, mais on était jamais à l'abri d'un élément tardif et pourtant déterminant. Le stress d'une entrevue comme celle-ci pouvait faire perdre les mots. Et bien qu'Aya tentait de ne pas transformer tout cela en interrogatoire austère et accusateur, l'idée de s'ouvrir ainsi pouvait en rebuter plus d'un. Chose tout à fait naturelle, quand on y pense.
- Je veux dire par là, et elle reformula, ou ajouta plutôt, en posant les yeux sur un point fixe hors de la, de leur réalité, que si votre particularité vient de quelque part, la piste héréditaire n'est pas à négliger. Peut-être avez-vous un ancêtre qui lui-même s'était découvert ces capacités pour le moins inhabituelles ? Avez-vous suivi cette piste, à tout hasard ?
Elle essayait, au mieux, d'emprunter le ton des rassurants et des gens pleins de tact. Se savait pourtant un peu moins chaleureuse que le reste du monde. Comme protégée par un mince voile, qui l'empêchait de trop s'attacher aux autres, ou de les laisser s'attacher quelque part.
Si elle savait. Si elle savait à qui elle fait face, songea-t-elle en joignant ses mains sur la table. M'aurait-elle accueillie de la façon dont elle l'a fait ? Aurait-elle accepté de me parler d'elle ?
La vérité était brutale, et pourtant. Elle savait bien que non. Elle savait bien que derrière cette enveloppe charmante se cachait bien pire que ce que les yeux voulaient bien imaginer. Et qu'en l'apprenant, les gens finissaient toujours par fuir.
Bien plus clairement qu'auparavant, Aya se persuada qu'on pouvait rendre la Métamorphomagie belle. En concevoir une fabuleuse, plaisante magie, facile à assimiler pour les autres. Mais pas la lycanthropie qui, en plus de se laisser croupir à l'intérieur de l'être comme un marécage bien trop calme, lui pourrissait les os à force de piqures de rappel mensuelles. Irrémédiables.
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