| Harry Potter 2005 :: ~¤~ Londres ~¤~ :: Rues de Londres :: Le Chaudron Baveur | |
| Serpentard |
|
| Re: Chambre n°4028 Cara De Lanxorre, le Dim 10 Mar - 12:25 | |
| Content warning - Contenu non-adapté à un jeune public Existait-il pire torture que celle-ci, immobilité subie ? Les lèvres mordues sont rouges – comme son teint. Et ses ongles, comme ils sont enfoncés dans la paume, mains devenues poings pour ne pas céder, pour ne pas saisir tes cheveux et te tirer à elle. Vouloir te regarder, ne pas en être sûre, envie troublée – est-ce que cela lui fera perdre la tête ? T’observer, finalement, un instant, doucement descendre, sentir le cœur s’emballer à la simple vision de ta lente avancée. Laisser sa tête retomber en arrière, fixer le plafond – se laisser prendre par surprise, par le baiser.
Immédiatement se rappeler de la première fois avec toi, braises des souvenirs rallumées – brasier. Et tu l’alimentes lentement, trop lentement, à en étouffer un gémissement de révolte entre les dents serrées. Sentir le plaisir arrêté aux portes de tes lèvres, comprendre que tu le lui refuseras aussi longtemps que tu le souhaiteras. Ne plus se soucier de rien à part de toi, admettre l’ascendance, abdiquer et te supplier – d’un murmure, à peine. Enfin sentir que tu la libères, et exploser, et le cri arraché, qui se heurte aux murs, assez fort sans doute, pour passer à travers.
Sentir ton regard, goûter ton baiser, de ceux qui apaisent après la tempête. Et tu passes la main, la laisse maitresse. Savoir, déjà, ce qu’elle veut te faire découvrir, vouloir t’initier. Elle glisse sur le bord du lit, se dirige vers la ceinture oubliée. S’en saisir, glisser la main sur le cuir, doigts sur la peau tannée. Dos à toi, te demander, pour s’assurer ; « Quelles sont tes limites ? »
|
| | |
| Serpentard (DC) |
|
| Re: Chambre n°4028 Kathleen Gold, le Dim 10 Mar - 15:10 | |
| Alanguie de la sorte, l'une contre l'autre, c'est une sorte de paresse Entre un baiser aux saveurs un peu musquées, les draps marqués et les jambes mêlées. Tu pourrais t'y habituer, à ces rencontres, ces longues nuits et au goût de ses lèvres. Tu essaies de percevoir un reste de tremblement, le frisson de sueur froide après l'embrasement. Tu aimes Ainsi partager le moment, qu'elle puisse sentir son parfum, qui envahit la pièce après son passage. Les mains errent, tendancieuses, légères. Tu espères Que la nuit est encore peu avancée, qu'elle sait comment relancer vos parties Tu ne veux pas en voir la fin.
Elle finit par se relever, et tu t'allonges entre les traces et les oreillers, main dans les cheveux et coudes sur le côté - tu te saoules de sa vue, de ce qui s'anime au fil des pas Sûrement sent-elle l'intensité du regard tandis qu'elle avance, peut-être en joue-t-elle - mieux vaut la surestimer que l'inverse.
Elle se penche. Tu penches la tête - autant pour savoir ce qu'elle fait que pour la vision que cela crée Et le son est plus révélateur que les autres sens. Un cliquetis familier - étrange dans ces circonstances, le son le plus anodin du monde, celui de chaque matin ou presque. Une nouvelle vague menace de s'écraser.
Tu te redresses, yeux contre son dos, ses cheveux. La respiration est calme, mais mélange Curiosité avide et appréhension - tu n'es pas certaine de saisir Pourtant, tu sens une forme d'envie, de rechercher la réponse - et jusqu'à un certain point, lui faire confiance dans ce domaine - Tant qu'elle parvient au même résultat que toi plus tôt.
C'est tout ce que tu lui demandes, lorsque tu te rallonges, élève rapide - et voix-murmures.
- Voyons cela ensemble. Je sais ce que je veux.
L'invitation est plus qu'évidente - tu sauras prendre les aventures en main s'il le faut - Mais tu es très tentée par ce qu'elle a à proposer. Tant que cela te plaît. |
| | |
| Serpentard |
|
| Re: Chambre n°4028 Cara De Lanxorre, le Ven 22 Mar - 12:12 | |
| Content warning - Non adapté à un jeune public. La lune remplissait le ciel, cercle blanchâtre accroché à la toile de la nuit. Elle laissait couler sa lumière jusque dans les maisons et dessinait sur le sol des traînées de lumière. Elle embrassait tout sur son passage, les objets et les corps, glissant sur eux comme sur celui de Cara. Nue au centre de la pièce, apparition fantomatique dont elle n’avait pas conscience, ses yeux rivés sur la ceinture entre les mains. Elle aussi brillait de lumière de nuit. Les attaches en or et le cuir brun, presque orangé, lisse à force d’avoir été tanné, chaque détail, Cara s’y attardait. Elle sentait l’envie, plan clair dans son esprit, jamais un désir n’avait été si vivement imprimé dans ses pensées.
Et ta voix, derrière, l’accord murmuré sur tes lèvres encore brulantes de pêché. Elle sourit, Cara, serre encore plus fort la ceinture entre ses doigts. Elle en tremble d’excitation, frisson, peau chair de poule maintenant. Se retourner lentement, prendre le temps, et sentir au creux du ventre, la pierre qui y tombe en te regardant. Toi aussi, tu es touchée par la lumière lunaire. Et tu ressembles encore davantage à une poupée de porcelaine, tant ta peau est translucide. Il n’y a pas meilleure chair à marquer.
S’asseoir doucement à tes côtés, sans bruit. Juste le matelas qui se creuse à peu sous le corps dénudé. Laisser les doigts courir sur ton corps, caresse. Dans l’autre main, serrer le cuir, la lever. Et l’abaisser, dans une force contrôlée, jusqu’à heurter ta peau blanche. Claquement.
|
| | |
| Re: Chambre n°4028 Contenu sponsorisé, le | |
| |
| | | |
| Permission de ce forum: | Vous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|