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'Dé 10 faces' :

Alice avançait dans les couloirs de Poudlard. Elle allait participer à un cours de vol. Elle aimait bien cette matière, bien que ce ne soit pas une de ses préférées. Elle monta les marches d'un escalier sans même regarder où elle allait. Et voilà qu'elle se prit une poignée de porte en plein dans la tronche. La lionne se recula d'un pas et regarda aux alentours. Personne ne l'avait vu. Parce que si ça avait été le cas, elle ne se serait jamais remise de cet accident. Elle prit donc la décision très réfléchie de faire attention où elle marchait. Et elle avait bien raison. Car en plus de s'être fait mal, c'était une porte du troisième étage. Ce qui voulait dire qui fallait mieux pour elle que personne ne remarque sa présence en ce lieu.

C'est alors avec prudence qu'elle descendit l'escalier et continua son chemin. Lorsqu'elle fut arrivée sur les lieux, elle vit avec stupeur qu'aucun élève de Gryffondor et de Serpentard n'était présent. Seuls quelques Serdaigle et un Poufsouffle s'étaient déplacés. Elle s'approcha de Lizzie, la salua et lui demanda ce qu'il fallait faire. Alice avait été tellement impatiente de commencer qu'elle n'avait pas remarqué les pâtisseries qui volaient dans les airs. Et les joueurs qui essayaient de les poursuivre. Certaines pâtisseries étaient plus grosses que d'autres. On pouvait donc facilement constater que c'était plus celle-ci que les élèves poursuivaient. Le plus souvent sans succès. Lorsque la professeure de vol eut terminé, Alice enfourcha son balai et, comme les autres, essaya d'en attraper.

Lancé de dés:

Lancé de dé à 10 faces pour Alice Delacour.

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'Dé 10 faces' :

Sa main parcourait délicatement mon dos, mes yeux qui n'avaient pas quitté les siens se fermaient pour apprécier la sensation. Ma main se contractait davantage sur lui, puis je retrouvais le garçon. Le sourire doux toujours posé sur mes lèvres cachait ce sentiment de regret, cette sensation de faire une erreur, la même boule au ventre quand on ment alors qu'on ne devrait pas.

Puis ses mots, des mots qui s'envolaient aussi légèrement que le vent et qui pourtant me faisaient l'effet d'un poids monstrueux. Je restais sur place, les yeux s'ouvrant progressivement au fur à mesure que mon cerveau appréhendait la nouvelle. Je repassais les images du masque, de sa carrure, de cette voix qui lui ressemblait mais sur laquelle je n'avais pas eu le temps de m'attarder.

Sa main contre moi je ne voulais pas la voir s'échapper, pourtant je l’avais senti se décoller lentement en voyant son propriétaire s’envoler de nouveau. Ma main gauche rejoint alors mon visage, cachant ce sourire qui s'étendait progressivement. Un rire nerveux se déclenchait car en moi s'affrontaient la honte d'avoir dû paraître si idiote, si bête, la joie d'avoir trouvé une connexion, une idéologie commune et la légèreté de ne plus devoir lui mentir. Au milieu de tout cela, mon cœur battait aussi vite que possible parce qu'il m'avait sauvé la vie, parce qu'il s’inquiétait pour moi, parce que c'était lui.

J'attrapais alors le manche de mon balai et plongeais doucement vers le nuage de sucreries. J'essayais de le suivre, mais il était bien meilleur que moi. Je tendais la main complètement au hasard afin de simuler mon attention au cours, avec un peu de chance cela pourrait fonctionner.

Une fois arrivée à la hauteur de Riri qui avait bien voulu ralentir après sa prise, je m'approchais à mon tour de son oreille tout en posant ma main sur la sienne.

« Je ne veux pas non plus que tu te blesses plus que tu ne l'es aussi. J'en reviens vraiment pas. Je - je suis tellement bête, ça sonne comme une évidence maintenant. Merci de m'avoir sauvé Riri. »

1 - 3 - 5 - 7 - 9 : Le hasard fait mal les choses, mais mes pensées sont ailleurs
2 - 4 : Un petit chocolat, un truc tout mignon
6 - 8 : Un petit gâteau à la crème, faut pas que je m'en mette partout
10 : Encore un sac, mais le poids semble diffèrent cette fois

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'Dé 10 faces' :

Je n’avais rien attrapé cette fois. Peut-être que j’étais un peu perturbé. Envolé mais à côté. Elle avait même fini par me rattraper. Attrapant ma main comme pour empêcher demain de venir. La discussion n’était pas fini, c’était pour ça qu’elle était venue ici à coté de moi. Comme je pouvais m’y attendre, elle continua cette discussion, faisant des petites phrases jolie et remerciement. Alors je la regardais et je me suis dis qu’elle comprenait pas vraiment ce que j’avais voulut dire. Peut-être qu’elle pouvait pas comprendre, mais y a plus de temps à perdre. Alors je la regarde, avec ce regard ennuyé habituel, éternel.

« Je ne t’ai pas sauvé, je t’ai poussé. Tout comme je te pousse en dehors maintenant. »

Alors je la regardais après cette phrase, je ne savais pas si j’étais vraiment clair et je gardais sa main dans la mienne. Puis aller, faut bien se lancer des fois, surtout en ce moment, le temps n’est qu’un indicateur. Alors, d’un coups d’un seul, je l’embrasse, pas longtemps, un petit peu, parce que j’en ai envie, et que ça servit mon très court récit. Puis j’arrête, et lui dis.

« Arrête ça. »

Parce que je sais ce qu’il en coûte, parce que je sais que le moindre doute peut tout casser. Parce que je n’ai pas envie d’avoir à la protéger, à m’en soucier. Pas envie de me demander si elle va bien, si machin truc, pas envie de culpabiliser à vie. Et pour elle aussi. Puis, je me retourne, regarde notre préfète Aysha qui est non loin, et lui lance.

« Tu n’as rien vue la préfète, n’est-ce pas ? »

J’étais bien différent aujourd’hui, ces derniers temps j’essayais d’être différent. j’essaye de vivre un peu autrement qu’en étant le mec blasé. J’essayais d’autre truc. Mais j’avais également peur, que chaque jour, la fatalité me rattrape, et m’empêche de faire certaine chose.

Aysha referma la main sur un cookie au chocolat en forme de balais. Ce qui tombait à pique, vu son occupation du moment. Avec un sourire ravi, la jeune femme se rapprocha lentement du sol. Elle avait bien l'intention de déguster son cookie avant de repartir à la chasse aux chocolats. Elle s'estimait déjà heureuse d'avoir attrapé celui-ci, d'ailleurs. On ne pouvait rêver meilleur cours ! La bleue posa donc pied à terre et s'appuya sur son balai en observant les autres élèves, ceux qui volaient et les autres, revenus au sol et discutant. Le cookie était proprement délicieux. Et Aysha aimait Pâques, il fallait le dire. La seule occasion de manger du chocolat sans culpabiliser. Riri, qu'elle ne connaissait pas tant que cela finalement, atterrit soudain à côté d'elle sans lui dire un mot. La préfète esquissa un sourire et observa le jeune homme qui se dirigeait vers Anna. Qu'elle ne connaissait pas tant que ça non plus, d'ailleurs. Perdue dans ses pensées, et sans vraiment y faire attention, la bleue observait les deux élèves qui échangeaient, tout en grignotant son cookie avec délice.

Soudain, un mouvement la fit sortir de sa torpeur. Riri venait d'embrasser furtivement Anna, en plein cours. Aysha manqua de s'étouffer avec son cookie, se redressa en quittant ainsi son attitude nonchalante, et baissa les yeux un peu gênée de se sentir ainsi involontairement voyeuriste. Riri se tourna vers elle néanmoins et lui lança quelques mots. Elle n'avait rien vu ? Ce n'était pas tout à fait exact. Habituellement, elle aurait trouvé tout cela plutôt amusant, une situation rocambolesque, mais elle ne connaissait pas vraiment ces deux là et elle n'était pas très enjouée à l'idée qu'ils ne la prennent pour une voyeuse. Elle se racla la gorge, manqua de s'étouffer avec son cookie, et répondit :

- Heu, y a pas de problème, faites votre vie, on dira que j'ai très vite oublié.

Elle n'était pas vraiment à l'aise et s'appuya un peu trop fortement sur son balai, manquant de s'étaler dans l'herbe. Elle se redressa avec un geste ridicule et ne put s'empêcher de rire nerveusement. Super. Salut Riri, c'est moi Aysha, non seulement je viens de vous surprendre en train de vous embrasser et en plus je ne sais ni parler, ni tenir debout. Et toi, ça va ?

Je volais, dérivais et chavirais entre le cacao volant, ma main tendue passait entre chaque objet sans nécessairement que Lizzie n'eut besoin de les faire bouger. Toi aussi n'avais rien eu, pour les mêmes raisons, aucune chance pour moi de penser cela. Me croire importante aux yeux des autres n'avait jamais fait partie de moi. Puis ton regard me traversait une nouvelle fois, j'aimais tes yeux, je commençais à en saisir toutes les nuances à force, aucunement pensé comme un reproche.

Mes yeux roulaient, bien sûr que si tu m'avais sauvé, je n'osais même pas penser à mon état si j'étais restée perpendiculaire au sol, en fait j'aurais tout simplement pas été là pour y réfléchir. Mais que voulais-tu dire par me pousser en dehors. Je restais muette, attendant sûrement une part d'explications ou un indice supplémentaires. Ce n'était pas des mots qui vinrent à moi en premier. Le contact de tes lèvres, le temps à mon cœur de sauter un battement et déjà tu étais reparti, me laissant une saveur amère. Je n'avais eu le temps d'apprécier, de me remémorer cette sensation qui entre nous datait. Seulement je sentais bien plus de sens dans ce baiser que dans ceux que nous avions déjà échangés.

Et puis l'indice, celui que je ne voulais pas entendre , celui qui signifiait l'inquiétude et la volonté de me protéger. Arrêter, je ne pensais pas qu tu parlais du cours, mais plutôt de ceux à venir, ceux des ombres. Quelque part, je comprenais ta volonté et je ne voulais pas que tu te trouves mortellement blessé. Seulement je ne pouvais accepter, toute ma vie leur été liée, d'autant plus maintenant que tu l'étais aussi. Mon regard devenait désolé, je serais légèrement sa main et baissant légèrement la tête sans pour autant te quitter des yeux, je hochais la tête négativement.

« Je ne peux pas, j'ai mes raisons d'y rester. Tu dois avoir les tiennes, pourrais-tu arrêter si je te le demandais ?  »

Je tenais à toi et parce que je tenais à toi, je ne pouvais te demander d’arrêter une des raisons qui te faisait avancer, alors ne me demande pas l'impossible. Je n'avais pas remarqué la préfète jusqu'à ce qu'il lui parle. Quelle étrange intervention que de lui demander si elle avait vu quelque chose, de toute manière cela ne la regardait pas.
Mon regard se durcissait envers Aysha, pas méchamment, mais assez pour deviner le "Ne t'en mêle pas, ce serait cool" qui s'inscrivait dans mes pupilles. Visiblement la bleue avait fait le bon choix, je ne pouvais dire si elle m'avait vu. En tout cas, sa réaction suscita une légère culpabilité en moi, ce qui me décrocha un sourire gêné qui disparut dans la seconde même pour se voir remplacé par un sourire franc en réaction à sa maladresse.

Sa réponse ne se fut pas attendre et déclencha un roulage d’yeux de mon coté. Nos situations n’était pas comparable. Et, je n’avais pas envie de l’avoir sur ma conscience. Le petit coin paisible en dehors de tout. Le petit coin loin des fou. Mon regard planté sur Aysha me fit voir qu’après sa réponse, c’était une réponse physique qu’elle fut. Rien de chaleureux, plutôt quelque chose malheureux. Je hoche légèrement la tête en voyant ça, elle doit se dire que je me fous d’elle. C’était à moitié vrais, mais j’avais du respect pour celle qui a marqué tant de but. Une dernière chose à faire, ou à dire. Regardant Anna avant de m’en aller.

« Je ne suis pas la question. Si tu veux on peut dormir ensemble ce soir … juste dormir. Ces derniers temps j’ai du mal à penser à rien le soir. »

Puis je la regarde, dans les yeux, avant de soupirer puis m’en aller. J’avais envie de continuer ce cours. Heureusement on était assez libre en vol. je n’avais pas du tout écouté la prof, ignorant tout ce qu’elle avait put me dire jusque là. Désolé madame. J’essaierais de ne pas faire de drame. Alors je me dirige vers Aysha, balais à la main. S’approchant d’elle. Lançant

« Si tu ne sais pas marcher, j’espère que tu sais voler marqueuse de but. Aller, voyons qui y arrive mieux, disons que c’est un entraînement. »

Avant de partir à balais. Je ne savais pas du tout si elle allait le faire. Si elle allait me suivre. Mais j’étais lancé et je comptais bien y arriver. Avancer et progresser, j’avais déjà fais de grand pas. j’avais énormément confiance en moi en ce moment, rien ne pouvait m’arriver. Rien ne pouvait m’emporter. Enfin si je savais, je le pensais et ça m’arriverais sûrement un jour. Et parfois, malgré ça, on a plus envie d’avancer, plus envie de se mouille, plus envie d’essayer, plus envie de se motiver. Juste envie de tout balancer, de tout éclater et tout faire voler en éclat. Puis on se dit que si on fait ça on n’aide rien. On s’enfonce, on creuse notre tombe petit à petit. Parce que reculer c’est simplement prendre du recule pour mieux sauter dans le ravin. A la fin c’est pareil. Il n’y a pas de merveille, juste un dur réveille.

1-3-5-7-9 La vie c’est toujours nulle
2-4 Petit chocolat facile à attraper.
6-8 Moyen chocolat qui veut pas trop se laisser faire
10 – Gros chocolat bien difficile à attraper. Mais rien de bien difficile pour un attrapeur. Rien ne fait peur.

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'Dé 10 faces' :

Anna n'avait pas l'air ravi qu'Aysha ait interrompu leur petite conversation, mais Riri lui ne semblait pas plus préoccupé que cela. Et puis après tout, c'était lui qui l'avait interpellée. Elle n'avait rien demandé, et encore moins voulu se mêler de ce qui ne la regardait pas. Elle se détourna donc légèrement tandis que les deux bleus continuaient leur conversation. Sa curiosité avait été néanmoins été piquée, et elle ne put s'empêcher de tendre l'oreille. Elle priait en parallèle pour que le rouge qui lui était monté aux joues redescende.

Contre toute attente, Riri s'éloigna d'Anna et vint se planter auprès de la préfète. Cette dernière ne souhaitait pas se retrouver coincée entre deux amoureux plus ou moins amoureux, mais elle ne put s'empêcher de réagir au défi que l'attrapeur lui lançait. Une âme de compétitrice s'était réveillée en elle, et elle enfourcha son balai tandis que le bleu s'élevait déjà à la poursuite de chocolats. Il avait un avantage en tant qu'attrapeur. Mais il ne fallait pour oublier qu'Aysha l'avait justement remplacé à ce poste à la saison précédente ! Elle n'avait peut être pas son talent, mais elle pouvait s'en sortir tout de même. Elle donna donc un coup de talon dans l'herbe et s'éleva à hauteur de Riri qui poursuivait un éclair en forme de nuage plutôt coriace. Elle chercha un chocolat ayant envie de se faire dévorer, puis se lança à sa poursuite, non sans un coup d'oeil à son adversaire. Au bout de quelques minutes, elle vit que Riri parvenait à se saisir d'une friandise. Elle lança alors :

- Si je attrape un aussi tu me donnes le tien ! Et tu me couvres pour le prochain entraînement de Quidditch, je dois voir ma copine ce jour là.

Un clin d'oeil enjoué - le vol lui donnait des ailes, aussi évident que cela puisse paraître - et elle prit en chasse un chocolat qui passait par là. Ce cours était l'un des plus amusant jusqu'alors.

1 - 3 - 5 - 7 - 9 : Bon, elle allait devoir trouver une autre excuse pour louper l'entraînement de Quidditch de la semaine suivante, aucun chocolat ne se laissait attraper cette fois-ci...
2 : Et c'est un cookie pour Aysha ! Encore un !
4 : C'est pour qui le donut Gryffondor ? C'est pour la préfète des bleus !
6 : Hop là, et un sac de friandises, un !
8 : Ce sac là a l'air encore plus lourd que le précédent. Youhou !
10 : Aysha décrocha le gros lot en se saisissant d'un plateau ''Feel Home''. Avec ça, elle gagnait le droit de louper les 5 entraînements de Quidditch à venir, non ?

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'Dé 10 faces' :

Un miroir, répondant à mes mots comme je l'avais fait au sien, une vieille habitude n'est-ce pas. Je n'attendais pas cette réponse, ou du moins ce genre de réponse. Nous ne nous comprenions pas, il y avait tant de choses à éclaircir, ce genre de communications masquées ne pouvait engendrer que plus de questions et de complications, d'angoisses à ne pas savoir que penser. Il était tout autant la question que moi, en tout cas c'était le sens de ma réflexion. Je voulais qu'il comprenne qu'il était comme moi, à la recherche de quelque chose, qu'il comprenne que je ne pouvais pas abandonner comme je supposais que lui non plus et ce peu importaient nos motivations profondes.

Nous étions partisans, nous avions été choisi, nous avions fait nos preuves, nous étions allés si loin. Je n'étais pas une petite chose fragile qui accepterait de rester en touche pendant que les autres se battent. Surtout si lui voulait y aller sans moi, je ne le supporterais pas maintenant que je savais. Je voulais être là, être avec lui et eux. Difficile de dire tout cela sans effrayer, comme de demander ce qui l'habitait.

Sa proposition je l'acceptais silencieusement, pas besoin de dire quoi que ce soit. Il est vrai qu'être seule était une habitude, une vieille et épuisante habitude. Rangée dans la routine, une présence pourrait aider à fermer les yeux, surtout quand des flammes réveillent en sursaut.

Je le vois partir pour retrouver la bleue, de là débutait leur jeu. Moi je passe simplement entre les cartons en lévitation, toujours mon sac accroché à mon manche.

1 · 3 · 5 · 7 · 9 // J’aimais voler, vraiment mais entre cette douleur qui me relance et ma concentration partie ailleurs, on dirait plus un slalom qu'autre chose.
2 · 4 // Un spéculos, simple mais délicieux. Je le mets immédiatement dans ma bouche, je suis déjà trop encombrée.
6 · 8 // Une petite boite colorée, je la range dans le sac avant de poursuivre.
10 // Un donuts fou, depuis tout à l'heure il fonce sur tout le monde comme s'il faisait un slalom géant mais il semble bien déçu de se trouver dans ma main.

Après ces efforts ou pas, je redescendais simplement auprès de la professeur. Me posant délicatement à ses côtés pour observer les deux bleus sinuer encore et encore, c'était joli les balais aériens, surtout chez les habitués du sport sorcier.

« Tu crois que ce serait intéressant de faire une dérive acrobatique, artistique du Quidditch ? Un genre de ballet qui durerait 3 minutes. »

Mes yeux étaient allé rencontrer les siens quelques secondes avant de replonger vers les airs.

Le membre 'Anna Schomann' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Dé 10 faces' :