Escapade à New-York

Leo - " Et bien pas de soucis, il fait beau et chaud, une ballade nous fera le plus grand bien. Je te suis, nous allons où tu veux. "

Un compagnon près à tout ; voilà quelqu’un qui n’avait pas peur de l’inconnu. Malgré cela, Yun ne savait pas ou débuter son enquête. Il sortit un petit bout de parchemin, le déplia et regarda son contenue ; c’était une énigme qui demander une grande intelligence et seul, le Gryffondor n’allait pas aller bien loin. Cependant, le rouge et or était avec un Serdaigle et, ayant la réputation d’avoir une bonne intelligence ; « cela vaut le coup d’essayer » se dit-il en jaugeant le serdaigle à du coin de l’œil.

- Es-tu doué pour résoudre une énigme qui ne repose sur absolument aucune certitude ? ce lança t-il finalement à lui demander.

La question n’était pas clair fini t-il par conclure mais si il la comprenait, le rouge et or serait rassurer. Il attendit malgré tout sa réponse tout en rangeant son morceau de parchemin dans une poche intérieur de sa veste.

Yun

Leo

Yun vit le jeune esquissé un petit sourire de bonheur. Etait-ce cela qu’il était venu chercher ; de l’aventure ? En fin de compte, le rouge et or se moquer bien des intentions de Leo et se contenta de lui parler de l’aventure ; mais pour cela, il fallait un petit coin tranquille loin de cette foule et de tous ce bruit qui commencer à lui filer mal au crâne. Il choisit d’aller dans un parc. Là au moins ils seraient tranquil pour commencer à réfléchir dans la tranquillité.

-Allons, au parc, lui dit-il. On sera plus tranquil pour discuter.

Le rouge et or se dirigea vers un point vert que l’on pouvait apercevoir au loin et qui indiqué sans nul doute un parc ou une zone plus tranquil qu’ici. Le soleil était haut et la chaleur se faisait de plus en plus ressentir entre tous ces immeubles, ces voitures et toutes ces personnes qui passer en tous sans prêter attention aux autres. Yun eu une légère pensée pour Poudlard et à son parc calme et son lac rafraichissant et …. Mais cela n’avait rien à faire dans sa tête pour l’instant.

Leo

Yun marcha jusqu’au banc accompagner de son nouveau compagnon de route, Leo. Il s’assit et sortit le parchemin de sa veste et le déplia. C’était un parchemin étrange car il ne dévoilé les énigmes qu’au fur et à mesure que le chasseur arrive à les résoudres. Le rouge et s’éclairci la gorge et énonça l’énigme au serdaigle :

Dans une oraison,
Aujourd'hui je m'éteins.
Que tous les gens dont,
Ma mort n'est le dessein,
Cherchent avec passion,
Ce trésor qui est mien

Ceux qui trouveront l'indice dissimulé, pourront entamer cette quête en première ligne, la réponse les emmènera peut-être vers la "capitale".

Comme l’avais devinait Yun, elle n’était pas dû tout facile. Il espérait que Leo arriverai à comprendre quelque chose car lui n’y comprenait vraiment rien du tout. Cependant, son instinct lui disait que la réponse était dans le poème, alors il se remit à la lire et relire, mais rien ne venait. Yun regarda Leo et voyait que lui aussi lisait la poème. Il avait peut-être trouvé quelque chose qui avait échappé à Yun. Il se risqua et lui posa la question :

- Alors, tu en pense quoi ?

Yun

Leo

[HRPG : RP avec Lucas Deenhis et Edjin]

Noémie arriva la première a New-York, la jeune brune avait décidé de s'accorder de petites vacances en compagnie de son amoureux et de son ami d'enfance. Il faisait assez chaud, la Poufsouffle s'était donc vêtue d'un léger débardeurs blanc et d'un short en jean un peu usé. Elle avait relevé ses cheveux en une longue queue de cheval et lunettes de soleil sur le nez, elle attendait patiemment ses deux compagnons de voyage. Sa tenue était parfaite afin de la faire passer pour une banale touriste, aucun moldu ne serait alerté par sa présence.

Elle avisa un banc en face d'un grand parc ou jouaient des enfants en bas âges. Elle les regarda un moment, puis lassée, elle s'intéressât plutôt aux grandes constructions derrière elle.

La jeune femme aimait beaucoup les grattes-ciels, qu'elle n'avait pas l'habitude de voir en France. Elle jeta un coup d'oeil à sa montre. Lucas et Edjin étaient en retard. Noémie trépigna, elle était impatiente de se lancer à l'assaut de la ville ! Avec un discret petit mouvement de baguette, ils pourraient peut-être même grimper aux sommets de ces Buildings qui la fascinaient tant. Elle eut un petit sourire ravis à cette idée tout en guettant la venu de ses amis.

Lucas venait d'arriver dans l'immense ville de New-York, à l'endroit exact ou sa compagne lui avait donné rendez-vous.
De là où il était, il pouvait voir sans difficulté la majestueuse statue de la liberté. La liberté... Cette pensée eut le don de l'amuser, il venait de réfléchir à un grand concept philosophique. Parler philosophie était un de ses passe-temps favoris, surtout avec sa superbe petite amie, tout aussi douée que lui lorsqu'il s'agissait de manier l'art de la rhétorique.

Il cessa un instant de penser aux différentes définitions de la liberté pour s'intéresser plus particulièrement à la foule de New-Yorkais qui arpentait les rues de l'ancienne capitale des Etats-Unis. Au milieu d'eux, il repéra une grande jeune fille brune, habiller de façon très banale, mais qui ne faisait que sublimer sa beauté naturelle.

Il traversa un trottoir et en quelques minutes, il fut sur elle. La jeune fille ne semblât pas l'avoir vu arriver, trop absorbée par les imposants immeubles qui se dressaient face à elle.

- Alors ? Comment trouve tu la vue ? Chuchotât t-il à son oreille.

Il s'écarta vivement de sa belle, sachant à quel point ses réflexes était rapide. Un léger sourire fleurit sur ses lèvres.

Noémie était toujours occupée à admirer le sommet des plus grands grattes-ciels, se faisant la réflexion que de là-haut, la vue devait être d'une beauté à couper le souffle lorsqu'elle reconnut une voix chaleureuse.

- Alors ? Comment trouve tu la vue ? Entendit-elle de derrière son dos.

Elle se retournât vivement et son visage s'éclairât d'un immense sourire lorsqu'elle reconnue son interlocuteur. Lucas, son petit ami qu'elle trouvait incroyablement beau, presque trop pour elle. Elle se jeta à son cou et l'embrassa avec fougue sur les lèvres, heureuse qu'il soit enfin là.

- Oh ouiiiiii ! C'est splendide j'adore déjà New-York ! Nous qui cherchions un appartement... Non, oublie cette idée, ce serait trop loin. La Poufsouffle s'arrêta un instant pour reprendre son souffle et remarquant enfin l'absence de son meilleur ami, elle demandât : Edjin n'est pas avec toi ? Je pensais que vous alliez arriver ensemble ! Qu'il se dépêche ! J'ai trooooop la dalle ! Gémit-elle en relâchant son étreinte.

Elle fit quelques pas en arrières et adressât un clin d'oeil à Lucas, elle se retournât ensuite vivement vers le Parc, là d'où devait normalement surgir le jeune Gryffondor.

Le grand Serpentad fut un peu surpris lorsque la jeune fille lui sauta au cou, mais il n'allait certainement pas se plaindre. Ravis lui aussi, il répondit à son baiser puis l'écouta parler.

- Oh ouiiiiii ! C'est splendide j'adore déjà New-York ! Nous qui cherchions un appartement... Non, oublie cette idée, ce serait trop loin. Edjin n'est pas avec toi ? Je pensais que vous alliez arriver ensemble ! Qu'il se dépêche ! J'ai trooooop la dalle ! Gémit-elle en relâchant son étreinte.

Lucas rit doucement, essayant de se souvenir de chaque information. Le fait qu'elle mentionne l'appartement l'amusa énormément, la jolie jeune fille semblait avoir hâte de pouvoir aménager quelque part, mais il fut soulagé qu'elle renonce aussitôt à l'idée extravagante de s'installer à New-Yok.

-Je ne sais pas, il n'était pas avec moi quand je suis partis, il ne devrait plus tarder. Répondit-il en cherchant lui aussi des yeux leur ami.

Il prit la main de la Poufsouffle et l'entraînât un peu à l'écart des voitures, où il pourrait attendre Edjin tranquillement.

POUF !

Edjin arriva comme par magie dans un lieu qui lui était carrément inconnu. Et m*rde ! Il s'était encore trompé de destination. Comme à son habitude après un transplanage, il partit derrière un arbre et son petit-déjeuner du matin ressortit de ses intestins. Il ne se ferait vraiment jamais au transplanage ! Il regarda autour de lui et décrivit le décor environnant. Il était vraiment nulle part... Dans une rue déserte avec des bâtiments cassés, limite il aurait pu croire qu'il se trouvait à Stalingrad après une bataille de la seconde guerre mondiale. Il sortit sa baguette et se concentra de nouveau, puis il transplana.

POUF !

Il arriva à New-York, pile au lieu de rendez-vous que Noémie et Lucas s'étaient donnés. D'ailleurs, Noémie se trouvait juste devant le jeune blond... Gros problème : Le jeune blond venait de transplaner. Il ne put retenir ses vomissements. Il se pencha sur Noémie et lui vomit tout bonnement dessus. En relevant la tête, il regarda le visage de Noémie et celui de Lucas, puis leur dit d'un ton ironique :

- Bonjour ?

Au moment même au Noémie regardait amoureusement Lucas, des étoiles pleins les yeux, un... individu surgit du néant et lui vomit dessus. La jeune fille écarquilla les yeux d'horreurs devant le liquide nauséabond qui ruisselait sur ses superbes Louboutins.

- Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Mes chaussuuuuuures espèce de... La jeune fille s'arrêta net lorsqu'elle reconnut enfin celui qui venait de lui vomir dessus.

- Bonjour ? Saluât ironiquement un jeune homme aux cheveux blond.

C'était Edjin. Elle papillonna des yeux, encore hébétée. C'était incroyable la manie qu'avait le jeune Gryffondor à la contrarier à la moindre occasion.

- Je suppose que je ne dois pas t'embrasser ? Demandât-elle avec une moue boudeuse.

Elle se tournât vers Lucas, le jeune homme était bien plus à l'aise qu'elle avec les sortilèges, elle comptait sur lui pour la débarrasser du vomis. Non, vraiment, son ami était la distinction et l'élégance incarnée. Elle soupirât bruyamment, ses yeux lançant des éclairs.

- Lucas ? Tu peux m'enlever ce... truc dégoûtant histoire que je puisse aller tranquillement foutre des baffes à notre très cher ami Edjin ? Interrogeât-elle en fusillant du regard le jeune blond.

Elle se rendit soudain compte qu'elle n'avait plus du tout envie de manger. Même si elle était ravi que son meilleur ami soit enfin présent, elle ne put s'empêcher de grimacer devant la flaque verdâtre à ses pieds. Ses vacances démarraient bien..

Tendis que Lucas écartait sa petite amie du trafic routier, se produisit simultanément deux choses. Tout d'abord, Edjin venait de se matérialiser brusquement en face de Noémie et lui vomit presque instantanément dessus, puis ensuite, un cri strident en provenance de la jeune fille faillit percer les tympans du jeune homme.

- Bonjour ? Venait de dire Edjin avec ironie.

Le Serpentad lui lançât un regard noir et se tournât vers Noémie qui semblait chambouler par l'état de ses chaussures.

- Je suppose que je ne dois pas t'embrasser ? Demandât-elle en s'adressant au Gryffy. Lucas ? Tu peux m'enlever ce... truc dégoûtant histoire que je puisse aller tranquillement foutre des baffes à notre très cher ami Edjin ?

Le jeune homme ne put s'empêcher d'éclater de rire. Il pointa sa baguette sur sa petite amie et prononnçât la formule magique.

- Tergeo !

Aussitôt la flaque de vomis disparut. Lucas put enfin répondre à son ami.

- Bonjour Edjin, je serais toi je m'éloignerais un peu avant qu'elle ne te saute dessus. Fit-il, mort de rire.

Il prit Noémie par la taille et l'obligeât à reculer, lui plantant un baiser sur le front.

- Ne t'en fais pas, si ce sont les chaussures qui te tracassent ont pourra aller en acheter d'autre. Alors, l'aventurière de New-York, qu'est-ce que tu nous proposes ?

Il lui sourit gentiment afin de l'encourager à se remêttre du "drame" qu'elle venait probablement de vivre.

Noémie avait fait une tête hébétée, si ce n'est outrée, lorsqu'Edjin lui avait vomit dessus. Elle avait ensuite dit d'une moue boudeuse :

- Je suppose que je ne dois pas t'embrasser ?

Le jeune blond ne prît pas la peine de répondre. Il avait osé espérer que Noémie ne lui en voudrait pas, mais ses espoirs furent vite stoppés lorsque Noé se tourna vers Lucas et lui dit :

- Lucas ? Tu peux m'enlever ce... truc dégoûtant histoire que je puisse aller tranquillement foutre des baffes à notre très cher ami Edjin ?

Lucas nettoya d'un sortilège les vomissements qui se trouvaient sur les chaussures de Noémie, puis se tourna vers le Co-gérant d'Honeydukes et lui dit, mort de rire :

- Bonjour Edjin, je serais toi je m'éloignerais un peu avant qu'elle ne te saute dessus.

Mouais... Le jeune blond n'allait tout de même pas avoir peur de son ancienne meilleure amie. Il salua de la tête Lucas puis rangea sa baguette dans sa poche. Il regarda ensuite la marque des chaussures de Noémie et lui dit :

- Oh, ce ne sont que des louboutins, ce n'est pas une grosse perte !

Il était bien sûr ironique. Il connaissait les marques préférées de Noémie concernant les chaussures, et elle adorait les louboutins. Il voulait simplement la charrier après lui avoir vomit dessus. Ceci dit, il se tourna vers Lucas et Noémie et leur dit :

- Bien, où allons-nous maintenant ? Je prendrais plaisir à vous poussez du haut d'un gratte-ciel, juste pour voir si on voit les tâches de sang du haut de ces immeubles gigantesques !

Noémie poussât un énorme soupir de soulagement lorsque le liquide nauséabond reflua enfin. Elle sourit chaleureusement à Lucas, en guise de remerciement et recula de quelques pas, s'éloignant imperceptiblement d'Edjin au cas où l'envie lui reprendrais de se mettre à vomir partout.

- Ne t'en fais pas, si ce sont les chaussures qui te tracassent ont pourra aller en acheter d'autre. Alors, l'aventurière de New-York, qu'est-ce que tu nous proposes ? Fit en premier le Serpentard, sans cesser de rigoler.

La jeune fille fut outrée qu'il ose ainsi en rire. Ce n'était vraiment pas drôle, ces chaussures lui avait coûté une fortune ! Elle n'eut pas le temps de lui répondre parce qu'à peine avait-elle ouvert la bouche que Edjin s'adressait déjà à eux.

- Oh, ce ne sont que des Louboutins, ce n'est pas une grosse perte ! Commençât-il en plaisantant. Bien, où allons-nous maintenant ? Je prendrais plaisir à vous pousser du haut d'un gratte-ciel, juste pour voir si on voit les tâches de sang du haut de ces immeubles gigantesques !

Réagissant tout de suite au début de la phrase, la Poufsouffle ouvrit grand la bouche tant elle était choquée qu'on puisse minimiser ce qui venait de se passer ! Comment pouvait-on oser dire que des Louboutins souillés de vomis n'était pas une grande perte ? Cette idée la fit frémir, mais elle se retient de justesse de se lancer dans une conférence sur l'importance de la mode. Décident d'être un peu plus diplomatique elle commençât lentement.

- Bieeeen... Si tu veux bien arrêter de me confondre avec un sac à vomis je dirais que nous pourrions en effet commencer notre visite. Elle laissât sa phrase en suspens et se tournât vers les grattes-ciels. Ah mais carrément, oueees ! Lucas ! Hurlât-elle en se retournant brusquement vers lui. Je veux grimper là-haut ! Puis elle avisa le jeune Gryffondor. Mais je ne veux pas qu'on me pousse. Oh s'il te plaîîîîît mon amour ont peux y aller !!! La vue va être magnifique et pour confirmer la théorie d'Edjin sur les tâches de sang, tu n'auras qu'a tirer sur un pigeon avec ta baguette, on verra bien ce que cela donne. Terminât-elle en soutenant le regard de son ami, les yeux suppliant

Depuis le temps qu'elle voulait grimper là-haut ! Si elle pouvait y aller sans qu'Edjin la pousse dans le vide, ce serait vraiment le pied. Elle sautillât d'impatience autour des deux garçons, prête à se lancer à l'assaut des gigantesques façades.

Le jeune homme regarda l'échange entre les deux amis sans broncher. Puis soudain, Noémie se tourna vers lui, l'air surexcitée.

- Lucas ! Je veux grimper là-haut ! Mais je ne veux pas qu'on me pousse. Oh s'il te plaîîîîît mon amour on peut y aller !!! La vue va être magnifique et pour confirmer la théorie d'Edjin sur les tâches de sang, tu n'auras qu'a tirer sur un pigeon avec ta baguette, on verra bien ce que cela donne. Terminât-elle en soutenant son regard, les yeux suppliant.

Le Serpentard pinça les lèvres avec une moue de contrariété. Lui ? Avoir le vertige ? Noooooon !

- Ecoute mon Ange et si on laissait les pigeons un peu tranquille et qu'on... je ne sais pas moi, on se baladait en ville. Sur le sol. Ajouta t-il en plissant les paupières face aux immenses gratte-ciels.

Il avait bien conscience qu'il passait pour un rabat-joie, mais rien n'y faisait, il ne supportait pas l'altitude, c'était même une chose qui le terrifiait. Et or de question d'avoir l'air malade devant sa copine et encore plus devant l'ironique Gryffondor qui en profiterais sûrement pour bien se moquer.
Il croisait les doigts pour que la jolie Poufsouffle se laisse facilement convaincre, il n'avait pas très envie de se battre avec elle et particulièrement aujourd'hui.