Dans les îles...

Pv PeP ~

- Toutes mes excuses votre Majesté, car je vais vous imposer ma très noble présence !

Très drôle. Non sérieux, Esteban est mort de rire. Si, si je vous assure. Ironie. Son vis-à-vis ne fait pas fi de son air boudeur, de son corps crispé et de la lueur irritée dans ses yeux. Les lèvres purpurines se tordent en une grimace éloquente quand sa Majesté prend réellement conscience de la situation. Assis sur une malle d'époque, les jambes battants l'air en une cadence régulière, au beau milieu d'une étendue tout d'abord sableuse puis océane.

Vraiment, au début, il avait prévu une escapade pas comme les autres avec son vieil ami Asclépius. Mais ne possédant pas le permis de transplaner, il a fait appel à celui qui sera à même de l'aider -ou plutôt car les autres l'ont envoyé balader ayant des occupations "plus importantes" que satisfaire leur Roi humph !-. Le valeureux, le sublime métamorphomage nommé Andreas Schneider !

Cependant, Esteban n'avait pas prévu à l'équation que celui-ci décide de finalement rester s'amuser avec eux. En fait, c'est gênant pour ce que le Français a prévu de faire avec son comparse en sachant que son beau-frère ne se privera absolument pas de se foutre de lui.

Mais où est-il ? Comment ose-t-il me faire attendre ! Mains sur les hanches, port altier, regard perçant, le jeune homme à la tenue victorienne colorée avec des tons doré, violet et rouge, pousse un profond soupir. Dépité. Il y a quelques jours, il a contacté son ami grâce au sortilège #Fibula Loquor Filatim pour lui faire part de sa brillante idée. Cela fait trop longtemps qu'ils n'ont pas fait quelque chose ensemble, alors l'idée lui ait venu de venir sur cette île, située en Corse-du-Sud au doux nom de Île Piana, pour faire une activité plaisante. Mais espérons que l'Artiste hétéroclite-ment subliminal arrive d'ici peu, car le Roi commence à perdre patience !

Un passé, c’est toujours enrichissant. A la façon d’un trésor enfouit. Et des trésors, il en avait, dans les manches de sa robe de lin. De la simplicité au rendez-vous, tandis qu’il folâtrait, lunettes à verres teintés sur le nez, grand chapeau de paille, pieds nus, sa robe à la douce couleur ocre battant ses pas, quelques motifs de feuilles sur les manches, le col et le bas du vêtement. Sur ses épaules, un foulard de soie coloré, aux motifs des oiseaux de paradis. Dans son sac de cuir, pendu sur son épaule gauche, pour assurer une certaine balance, ses sandales de cuir, un carnet de notes, un crayon, des fioles et des ingrédients ramassés sur le chemin. Comme la fleur qu’il porte actuellement dans les bouclettes, tandis que ses pas s’enfoncent dans le sable, puis l’eau de mer. Il y fait un temps sublime, mais il sait que l’aventure n’a pas encore commencée. Evidemment, qu’il avait répondu présent à l’invitation d’Esteban ! Cet Apollon des temps modernes, ce Narcisse sublime était un bout de sa mosaïque existentiel. Le plus beau, évident. Alors quand ce dernier l’enjoint de le rejoindre, il accourt, présent et fidèle. Son côté chevaleresque.
Rejoignant l’île de Piana à pied, étant donné qu’il était possible d’y passer à gué, grâce à son banc de sable peu profond, il a le bas de sa robe relevé, tenu dans son poing droit. C’est qu’on aperçoit ses mollets, quelle indécence ! Mais il se sentait assez libre, là, et plutôt heureux, tandis qu’en avisant son ami, il accourt, l’enfance au bout des doigts de pieds.

« - Esteban, mon roi, navré de l’attente ! Un sourire, et le voici qui lui fait offrande de la jolie fleur cueillie tantôt. Je cherchais un miroir à votre beauté, mais n’en ait point trouvé, évidemment. Remonter ses lunettes, observer les alentours. Je ne t’ai pas trop fait attendre ? As-tu pu discuter avec les sirènes en m’attendant ? »

Fallait bien se concentrer sur les priorités. Et si c’était pas une sirène en déguisement que l’inconnu près de son ami, qui était-ce ? Mais, poli comme il est, le voici qui lui fait un « coucou » délicat de la main, une fois sa robe de lin relâchée à hauteur de cheville. Pas tant qu’il soit prude, juste précieux.

La tête fournit d'une chevelure anormalement argentée se lève brusquement aux sons des pas précités puis de cette voix aux accents familiers. Tout le corps de sa Majesté suit le mouvement, se redresse, se tient sur ses deux pieds... nus et laisse éclater un sourire beaucoup trop rayonnant sur son visage aux traits plus fins qu'à l'accoutumé. Gloussements enthousiastes et surpris à l'écoute des belles paroles du nouvel arrivant et dodelinement de la tête en avisant le précieux cadeau ; une fleur, douce, colorée et pétillante à son image. Merveilleux !

Contrairement à sa précédente attitude qui pouvait se résumer à imiter la toupie autour de son ami, les bras en l'air, riant aux éclats et le complimentant allègrement sur sa sublime tenue esthétiquement originale, le Français affiche à présent une moue extrêmement boudeuse. Sa lèvre tremble légèrement puis il s’écrit d'un ton ridiculement dramatique : - Diantre non ! Je n'ai vu aucune sirène ! Je suis persuadé que l'esprit diabolique d'Andreas les fait fuir ! Sa tirade spectaculaire s'achève sur un doigt accusateur dirigé vers son beau-frère. Beau-frère qui lui assène une énorme claque sur la tête en riant bruyamment.

Après avoir versé quelques larmes et s'être réfugié dans les bras de son ami-aux-sabots-ailés, la supposée réincarnation de Narcisse s'arme de courage pour dévoiler ses projets extraordinairement ingénieux ! Mais n'oubliant pas de présenter officiellement les deux individus à ses côtés -un peu terrorisé par le regard perçant d'Andreas. Il fiche la trouille avec sa dégaine de vampire-.

Hum, hum, messieurs soyez attentifs ! Bon, t'es pas vraiment concerné Andre- Glups. Une sueur perle brusquement sur sa tempe quand le brun le fusille du regard. Oui encore. - Ahem... je disais donc, Asclépius, aujourd'hui est un jour a marquer d'une pierre blanche ! A ton avis, nous sommes-nous déjà défiés en duel ? Tut, tut. Ne répond pas ! Bien évidement que non. C'est intolérable ! L'air sérieux sur son visage fond comme neige au soleil lorsqu'il pousse des couinements joyeux. - C'est pourquoi, je te défie ! Ici et maint- Non pas maintenant. Il se dirige en dansant vers la grosse malle, léger comme une plume tant il est euphorique. Une main sur celle-ci, un sourire faussement innocent. - Quelle est donc l'utilité de cette malle ? Voyons voir... oh je sais ! Une fois que je t'aurai battu, je te mettrai dedans. Au final, il rit à sa propre blague douteuse.

Tandis que le métamorphomage enlève une poussière imaginaire sur sa chemise en dentelle mauve, il considère son beau-frère d'un regard admiratif. - Figure-toi qu'avec l'aide d'Andreas, au moins il m'a servi à quelque chose... Oups, j'ai rien dit ! Euh... Qu'est-ce que je disais déjà ? Ah oui, nous avons dispersé quelques pièges "adorables" et quelques runes simples et "loufoques" sur ce coin de paradis ! - Ce que tu viens te dire est extrêmement bizarre. Pas étonnant vu le spécimen... Non. Il n'a rien entendu. Se tourner vers Asclépius et lui demander d'une voix aiguë son opinion sur ses plans ingénieux.

Choqué.
Déçu.

C’est que ses traits ont adoptés la figure du désespoir, de concert avec les mimiques faciales de son ami. Faut dire, il a toujours eu du goût pour le mimétisme. Déjà, enfant, quand il faisait tapisserie…
Mais là, c’est comme si la bulle de verre entourant son cœur venait de se briser sous une poigne aride, impérieuse et autoritaire de réalisme. « - Oh ! » car il est outré et « - OH ! », d’autant plus outré, en voyant le roi qui s’en va virevolter avec sa couronne d’argent, sous la boutade physique dudit Andreas.
C’est qu’il doit avoir l’air convaincant, ou menaçant. N’est-il point chevalier dans l’ordre royal de Sa Majesté Narcisse ? Ça ne serait pas étonnant ou incohérent. Mais il n’irait pas demander : faut dire, il reste appréhensif, depuis les sirènes. L’autre a des preuves à fournir, avant qu’il ne puisse l’estimer comme faisant partie de leur gens.
Et c’était mal parti.

Nonobstant, il demeure attentif aux énoncés de Sa Majesté. C’est qu’en tant qu’homme de cour et courtisan de premier ordre, il sait paraître plaisant et sait aussi plaire dans l’appareil. Question de fonction et de façon : il a le sourire grand qui étire les lèvres, dévoilant les dents, tandis qu’un mouvement ascensionnel du chef fait danser ses bouclettes blondes. Elles semblent prendre des couleurs sous le soleil. Oui, même sous le chapeau de pailles. Et même, le voici à rire de concert d’Echo, comme des gouttelettes d’une cascade tropicale, à l’idée de finir dans une malle. On le prend pour un épouvantard ? Epouvantail, époux… C’est qu’avec tous ces « et » et tous ces « poux », il finirait par s’y perdre. Ou se gratter le cuir chevelu.

Toujours prompt à se laisser distraire à l’intérieur, tandis que l’extérieur fait la parade, le voici qui joint ses deux mains gantés contre son cœur, de l’admiration débordant du vase. Ou de l’excitation. Ou de l’appréhension. Le panel des émotions n’est pas encore véritablement à jour. Disons simplement qu’il s’est mélangé dans les étiquettes, quand ça sort des domaines de la convention. C’est qu’interagir avec des êtres humains, ce n’était jamais une tâche aisée.
Mais avec certain, bien particuliers, ça pouvait être toléré.

« - Ô mon Roy, mais c’est merveilles ! » Car il s’émerveille, à l’idée. « - Je vous ferai honneur, lors de cette joute. Sinon, que je sois exécuté ! » Le sourire est peut-être un peu trop enthousiaste, étant donné les paroles.

Et suivant les mots, les gestes, le voici qui tire sa révérence, avant de se tenir debout, dans un affût de prétendant, le goût du défi sur les papilles et le regard qui papillonne sur ce petit bout d’île.

A vos marques…

PV Alexeï ; ce RP fait suite à celui-ci

Dis-moi danger, comment vas-tu ? Crois-tu encore pouvoir m’arrêter aujourd’hui ? Dans le temps, quand on disait que je n’avais rien à faire à Poufsouffle, c’était dans l’idée de tâcler ma langue de vipère. Nul n’imaginait alors que je puisse développer des goûts si téméraires. Mais la recherche en potions ne peut se faire seulement depuis un bureau. Enfin j’ai essayé mais j’ai alors dû essuyer nombres d’aléas ; mes potions étaient de moins en moins réussies, et mon recueil s’en restait au point mort.

D’autres auraient pu penser qu’avec mon boulot à Poudlard je ne prenais pas assez le temps de me poser. C’est peut-être vrai, je dis pas ! Mais j’ai déjà l’impression de croupir dans des salles confinées et exiguës lorsque je ne donne pas cours, et il n’est pas dans mon idée de poursuivre mes recherches dans ces conditions. J’ai besoin de bon de vrai de pur de libre, oui de libre avant toute chose.

D'ailleurs au lieu d’aller chercher des musards dans une ménagerie magique, j’ai proposé à Alexeï qu’on aille en attraper nous-mêmes, des escargots aux couleurs changeantes. Et pas moins joueur, le sorcier a trouvé que c’était une bonne idée. Donc on est partis, tous les deux. Il a fallu faire plein de pause entre nos transplanages, parce que sauter d’un continent à un autre c’est juste épuisant.

En vérité, on n'est pas partis à l’autre bout de l’Afrique non plus : on s’est arrêtés sur un archipel tunisien qui nous paraissait un peu inspirant. D’après la carte qu’un guide touristique distribuait, ça s’appelait les Kerkennah. Bon, bon.
— Par où commence-t-on ?

1.2. On est partis vers le coeur des terres. (échec)
3.4. On a eu la présence d’esprit de suivre notre instinct pour aller s’abriter sous le premier arbre… (réussite)

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'Dé 4 faces' :

Qui aurait crû qu'attraper des bestioles aussi insignifiantes allait être une épreuve aussi compliquée et ardue ? Certainement pas toi. Pourtant, force est de constater que vous aviez fait chou blanc. Lizzie a eu la très bonne idée d'aller chasser des musards pour en récupérer du venin, paraît que c'est le plus efficace dans les cas d'infestation d'horglup ... Peut-être aurez vous plus de chance dans cette aventure que dans la précédente.

Et hop, un tour sur le continent Africain. Ca te rappel l'époque où Kalén et toi aviez chasser du lion, de l'époque où elle travaillait encore avec toi ... où elle était encore en vie. Forcément ça te fais un pincement au coeur de repenser à elle, à cette amie qui avait partagé un bout de sa vie avec toi avant de mettre fin à ses jours.

Forcément, ton moral était un peu miné ... mais tu devais te ressaisir, montrer à Lizzie que tu étais prêt à capturer des musards, ces petits escargots changeant de couleur. Métamorphomage à leurs heures perdues, leur venin étant utile à l'expédition que vous aviez mené dans ton jardin ... sans grand succès.

Par où allez vous commencer que demande Lizzie. Bonne question. Tu lui proposes de vous enfoncer dans les terres, peut-être près d'un point d'eau ? Sans grand succès à vrai dire. Vous marchiez de longues minutes durant, tantôt par ci, tantôt par là, vous arrêtant quelques fois pour boire un coup - le soleil tapant sur le crâne pas forcément agréable - et toi, suédois de par tes origines, n'appréciait pas grandement la température actuelle.

- J'vais finir par fondre ... Faut qu'on trouve ces trucs.

1 - 2 Bingo, vous trouvez des traces de venin au sol, peut-être qu'au bout des musards se tiendront prêt à vous filer leur venin.
3 - 4 Rien, nada, comme d'habitude.

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'Dé 4 faces' :

Bon, au départ on part pas gagnants. Je ne perds pas espoir pour autant : en ta compagnie, on devrait s’en sortir. Et le prétexte de la chasse me permettait de tester de récupérer du jus de horglup, du venin de musard, tout plein de trucs cool qui pourraient me servir.

 Tu es plus efficace que moi pour repérer que la végétation est vraiment brûlée par endroits, et je te suis pour en savoir plus. On distingue bientôt un musard, qui arbore alors des couleurs violettes. Plutôt jolies, pour dire la vérité.
— Bien joué Alex.

 Tiens, j’ai dit Alex. Pas Alexeï. On prend un peu la confiance ? Je sais pas. J’ai vu une tristesse dans ton regard et j’ai voulu être plus proche, genre c’est venu spontanément. Je le regrette déjà, me demandant si je vais me faire reprendre à ce sujet. Enfin flemme d’attendre les reproches, je préfère passer à l’action. J’use d’un Sortilège d'Inanimatus Apparitus pour me faire deux gants bien protecteurs en cas d’agression venimeuse, et…

 1. Je marche dans le venin, y laissant au passage la fine semelle de ma chaussure et un bon cri de douleur. Je savais qu’il fallait se protéger les mains, mais j’ai oublié les pieds. Quelle idiote ! (blessure)
3. Il est déjà plus là. Comment c’est possible ? C’est un escargot ! Après la fuite du champignon, vous pouvez pas me faire ce coup-là ! (fuite)
 2.4. J’use de manumagie pour le fatiguer. En gros c’est un Sortilège de Harcèlement qui lui met plein de gravillons autour de lui et entrave ses mouvements. (réussite)

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'Dé 4 faces' :

Il semble que la chance vous ait enfin sourit ! Vous remarquez très rapidement une trace de brûlure sur le sol qui vous mènent encore plus rapidement à un gastéropode de couleur assez violacée. Parée à l'éventualité, Lizzie est déjà prête et use de magie sans baguette pour l'encercler. La magie ... c'est tellement magique. Tu as encore du mal à croire que cette forme d'expression existe réellement, comment peut-on canaliser autant de puissance sans réceptacle ? Faudrait que tu lui en parles à l'occasion ...

C'est ton tour maintenant. Faut que tu réussisse à l'immobiliser pour ensuite l'enfermer dans quelque chose qu'il ne pourra pas brûler avec son venin. Et ta baguette brandit, c'est un joli stupéfix que tu lui envoies, espérant que la dose de magie ne le fera pas exploser. Après tout, tu ne veux ni blesser Lizzie, ni cet animal qui est la solution de tous les maux de ton jardin ... C'est ta mère qui sera contente quand tu lui ramènera cet escargot !

Pile - Le gastéropode est immobilisé, la capture est réussie.
Face - C'est un échec, le sort ricoche sur sa coquille et il a le temps de s'enfuir.

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'Pile ou Face' :

Mes gravats n'ont su suffire : l'animal s'enfuit.
— Raaah j'y crois pas, il est passé où !
Dommage ! On n'abandonne pas pour autant, et continue de chercher un musard plus joueur que ce petit peureux qui nous a échappé. Après on va pas se mentir, c’est sympa les explorations dans la nature, mais diantre que ce peut être agaçant quand cela n’aboutit pas !

Je ne suis pas venue pour m’offrir de la contemplation, vous savez. Je suis là pour obtenir ses résultats. Enfin, des plantes et des créatures feront l’affaire pour débuter, mais j’ai besoin de nouvelles muses, d’une inspiration soudaine et vertigineuse, d’un grand déclic pour donner sens à mes recherches. Car les idées ne manquent pas, mais leur aboutissement, leur consécration est toujours menacée par quelque trivialité de proportions.

Au début je pensais qu’il fallait juste adapter les dosages, couper les rondelles en plus petit pour limiter les risques d’explosion, mais j’ai fini par m’en remettre à l’évidence : c’est la nature des ingrédients qui ne convient pas. En l’occurrence, je crois que c’est le sang de gobelin qui a tout fait capoter.

On marche, on marche, et bientôt...
1.3. On aperçoit une nouvelle trainée de venin.
2.4. On se rend compte qu'on tourne en rond. Il faut dire qu'on n'a pas un grand sens de l'orientation... On devrait peut-être demander conseil ? Mais comment repérer des sorciers dans le coin...

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'Dé 4 faces' :

Et ça se prétend Auror ... Même pas capable de lancer un sortilège appris durant les années d'études à Poudlard sur un simple escargot. Il est beau le représentant du Ministère de la Magie britannique ! Heureusement que personne ne s e trouvait à proximité pour voir à quel point tu venais de te vautrer. Tu rumines intérieurement et bougonne dans ton coin avant de reprendre l'exploration, cherchant une nouvelle traînée de venin pour te faire pardonner.

C'est dingue d'ailleurs, durant tes sept années à Poudlard, jamais de cours sur les musards n'avaient été donné. Peut-être que le professeur Blanchet aurait pu vous apprendre quelques trucs et astuces afin d'en capturer un peu plus facilement ... Beh non. Faut dire que dans tous les cas, t'allais pas souvent à ses cours ... préférant plutôt rester à rêvasser contre un arbre ou manger dans la grande salle.

Il fallut pas beaucoup plus de temps pour que Lizzie remarque de nouvelles traces ... et bingo, c'est le même musard qu'avant ! Tu lèves à nouveau ta baguette, prêt à l'immobiliser.

- Terraballi Mortis !

1 - Outch. Tu lances même pas le sort parce qu'en fait, ton pied droit commences à te démanger. Beaucoup. Vite, soigne toi idiot !
2 - Fallait le laisser respirer ... Et un musard de mort.
3 4 - Bingo, l'escargot est emprisonné et n'attend que sa capture.

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'Dé 4 faces' :