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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Autres Lieux Magiques ~¤~ :: A l'étranger
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Europe de l'Ouest
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Sue Glanmor
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Europe de l'Ouest
Sue Glanmor, le  Lun 27 Aoû - 0:07

Création de sujet autorisée par Gloire LeComte

{PV : Violetta Beauregard, France}
Autorisation pour user de son libre-arbitre.


    « Vite, on va être en retard ! »

    « Ne t’inquiètes pas, Juliette… Si ça se trouve, c’est nous qui allons les attendre ! »


Les Brown marchaient d’un pas vif, presque tous inquiets de faire attendre les Beauregard qu’ils allaient retrouver d’ici peu. Jessy restait dans le silence pendant que ses parents se chamaillaient. Elle voulait paraître calme même si elle était totalement impatiente de revoir sa meilleure amie Violetta et de passer les vacances avec elle. La petite bouillonnait d’agitation mais n’en montrait rien pour l’instant, se contentant de suivre derrière ses parents.

Les deux familles avaient rendez-vous un peu à côté de Londres, dans un quartier plutôt vide pour prendre un Portoloin en direction de France, leur destination pour ces vacances. Une question que tout sorcier pourrait se poser : Pourquoi n’y transplanent-ils pas ? Eh, bien ici, même Jessy ne pouvait y répondre. Enfin, ses parents avaient de drôles d’idées parfois… On pourrait aussi croire que pour un tel voyage, ils seraient chargés de bagages. Cependant, les deux adultes pensaient à tout : pour ne pas se faire remarquer en transportant des cages d’hiboux parmi les Moldus de France, Mrs Brown avait décidé de seulement prendre son sac à main et d’augmenter son volume interne à l’aide d’un sortilège d’extension indétectable. Ainsi, ils voyageaient tous trois légers en prenant avec eux tout le nécessaire.

Après une dizaine de minutes de marche, les Brown arrivèrent dans une rue bien entretenue, verte, mais qui semblait vide. Très bien, personne n’allait les remarquer.

    « Papa, il est où le… » Puis, baissant d’un ton sous le regard de son père : « le Portoloin ? »

    « Tu vois là-bas ? C’est cette vulgaire bouteille de verre vide. Pour qu’on ne la reconnaisse pas… »


L’œil aguerri, Kristof Brown avait remarqué l’objet dès qu’ils étaient arrivés dans la rue. Une bouteille, à terre, sur le bord d'un trottoir. Au milieu d’une si belle ruelle, qui aurait laissé trainer une telle chose ? Surtout sans la briser. Bref, la petite brune demanda ensuite à quelle heure devait être le départ. Sa mère répondit qu’il était prévu pour onze heures, la fille regarda donc sa montre et remarqua qu’il leur restait dix minutes. Largement le temps ! Il n’y avait donc pas quoi se crêper le chignon pour savoir s’ils seraient à l’heure ! Jessy soupira de soulagement et patienta le temps que les Beauregard n’arrivent.
Alice N. Marshall
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Re: Europe de l'Ouest
Alice N. Marshall, le  Mar 28 Aoû - 12:44

Tu es vraiment sûr que c'est ici, Ludovic ?
La mère à Violetta était stressée, un peu normal puisqu'elle ne devra pas utiliser la magie devant ses beaux-parents car se sont des moldus.
Hum... eh bien, je crois que c'est ici mais... j'en suis pas sûr.
Le père de Violetta étant moldu, ce n'est pas très simple de se retrouver dans un monde pareil. Tout ce qu'il sait faire c'est coiffer. Violetta était impatiente de voir Jessy et de fêter son anniversaire avec ses grands-parents.
Papa, maman regardez c'est ici je m'en souviens on y va ?
Ils se faufilèrent alors pour pouvoir rejoindre les Brown dans la petite ruelle.

Violetta courut dans les bras de Jessy tandit que les parents se saluaient.
Oh, si vous aviez vu Ludovic quand je lui demandais si c'était ici, il bafouillait "hum...non euh si, je sais pas" hihi !
Par contre, les Beauregard ne leurs avaient pas dit pour les grands-parents moldus. C'était l'heure de partir, tout le monde se mettait autour de la bouteille de verre et la pris en main.
Après téléportation
En se réveillant, Violetta était sur un lit avec Jessy, Violetta se leva et avança d'un pas hésitant et, quand elle ouvrit la porte, vit ses parents et ceux de Jessy boire un coup, sans doute un sortiège, la tente était énorme à l'intérieur, comme un manoir en tissu, les parents l'avait plantée, sans doute pendant le sommeil de Violetta.
Jessy viens j'ai une experience à te proposer.
Sue Glanmor
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Re: Europe de l'Ouest
Sue Glanmor, le  Dim 2 Sep - 17:39

Au coin d’une rue, un trio apparut. C’était bien évidemment les Beauregard. Ils étaient en train de discuter, eux aussi, probablement à se demander s’ils étaient au bon endroit. A Londres, certaines ruelles se ressemblaient fortement… Violetta lança une phrase puis remarqua les Brown et se précipita sur Jessy. La petite brune la salua joyeusement pendant que les adultes faisaient de même entre eux. Elles discutèrent un peu, se dirent les dernières nouvelles… La bleue et bronze entendit même la mère de Violetta se moquer gentiment de son mari :

    « Oh, si vous aviez vu Ludovic quand je lui demandais si c'était ici, il bafouillait "Hum... non euh si, je sais pas", hihi ! »


La petite brune avait oublié de dire bonjour à M. et Mme Beauregard, mais ce n’était pas très grave : les deux familles se connaissaient depuis tellement longtemps qu’ils ne faisaient qu’une. Un instant plus tard, Mr Brown revenait au sérieux. Il annonçait qu’il ne restait pas beaucoup de temps avant le départ. Tout le monde vérifia les derniers préparatifs puis se mit en place. Autours d’une bouteille de verre, les six sorciers la tenaient chacun d’une main. Ce n’était pas très sûr mais il n’y avait pas beaucoup de place. Les deux jeunes filles eurent le droit de mettre leurs deux mains, un avantage.

M. Beauregard fixait sa montre et décomptait le départ : « Trois, deux, un… et… Hum ? » Rien ne se passa. Juliette Brown rit un instant tandis que son mari regardait sa montre pour être sûr et certain qu’ils étaient à l’heure. Un sourire malicieux naissait sur son visage pendant qu’il lançait : « Zéro ! » Une sensation parcourut l’ex première année. Elle serra plus fort la bouteille et ferma les yeux. Ce n’était pas la toute première fois qu’elle utilisait un Portoloin mais… Elle n’en avait pas l’habitude non plus. Elle se sentit soulevée dans les airs et était certaine que si elle regardait les alentours, elle ne verrait que des formes de couleurs abstraites. Elle entendit quelques secondes plus tard :

    « Lâchez ! »


Ce devait être la voix de son père, sensiblement mêlée à celle de Mme Beauregard ou de quelqu’un d’autre. Jessy obéit de suite, et ouvrit les yeux pour mieux distinguer comment ils arrivaient. Ces formes qu’elle imaginait étaient là, tout autour d’elle, mais ralentissaient et se positionnaient progressivement pour présenter un décor d’impasse parisienne, sans doute, située entre plusieurs murs de maisons couleur rouge sombre. La brune ne sentait donc plus rien au bout de ses doigts, et flottait dans les airs comme rien n’aurait pu l’imiter. Ses jambes battaient l’air, encore, encore… Puis soudain s’écrasèrent lourdement sur le sol. Jessy tituba un moment mais finit par retrouver l’équilibre.

Ses yeux lui picotaient ; l’air devait les avoir fatigués. Elle se frotta donc les paupières et observa ses parents arriver tranquillement, comme s’ils descendaient un escalier invisible. Au loin, elle perçut un bruit de verre brisé. Jessy tourna la tête et ne vit rien en face d’elle à part un mur sombre. Elle s’apprêtait à demander où se trouvaient leurs amis, mais elle ne dit rien avant de voir le couple de Beauregard portant leur fille dans leurs bras. Jessy écarquilla les yeux comme elle ne l’avait jamais fait. Que c’était-il passé ? Pourquoi Violetta ne marchait-elle pas à côté de ses parents ? Il s’était passé quelque chose.

    « Qu’est-ce qu’elle a ? Pourquoi… » commença-t-elle en bondissant vers son amie.

    « Elle n’est pas bien atterrie et a dû tomber sur le sol. » la coupa Mme Beauregard. « Ne t’inquiètes pas Jessy, cela va s’arranger. »

    « Elle se réveillera bientôt. » assura le mari.


Devant le calme des parents, malgré leurs yeux voilés, la Serdaigle ne pouvait qu’être rassurée. Elle souffla un coup puis attendit les instructions pour la suite, sans quitter la Violetta inerte du regard. Les sorciers avaient prévu de planter une tente au cœur de la région parisienne, c’était Mrs Brown qui avait prévu l’objet. Celle-ci ouvrit son sac puis plongea son bras à l’intérieur jusqu’à son épaule. Elle resta ainsi une seconde puis ressortit lentement son bras. Elle tenait une tente qu’elle allait monter ensuite avec les autres adultes.

Les parents Beauregard confièrent leur fille à Jessy, qui la garda près d’elle pendant que les Brown s’activaient avec eux à monter la tente, façon moldue bien entendu puisque n’importe qui pouvait les surprendre. Ludovic Beauregard avait l’air très agile à monter une tente de telle manière. A vrai dire, aux dernières nouvelles il était fils de Moldus donc il était normal qu’il ait là plus de facilités. Quelques minutes passaient. Les Brown semblaient godiches tandis que les franco-anglais parvenaient à hisser l’objet. Jessy les observait, tout sourire.

    « Jessy, emmène Violetta dans votre chambre. » conseilla finalement Mrs Brown.


La tente était fin prête. Les quatre sorciers avaient commencé à marmonner de multiples formules qui servaient soit à agrandir l’intérieur de la tente, soit à repousser les Moldus, soit à faire disparaître les sons qu’ils produiraient… Jessy n’avait pas grand intérêt à rester pendant ce temps donc suivit le conseil de sa mère et entra la première dans la tente, suivie du corps de Violetta qu’elle traînait toujours. Elle ne fut pas très surprise en découvrant l’énorme intérieur de la petite tente : elle avait l’habitude. Elle jeta un coup d’œil circulaire dans les environs et se mit à sourire. Les vacances commençaient !

Elle chercha la chambre qu’elle partagerait avec Vivi et la trouva. Une grande pièce circulaire, éclairée, comportant dans les coins deux lits simples, deux tables de chevet, une commode, un bureau et deux chaises ainsi qu’un tapis et un espace pour pouvoir s’amuser plus tard. Le seul avantage à ce que son amie soit dans cet état était bien qu’elle pourrait choisir son lit ; sinon c’était une bagarre assurée ! Jessy déposa son amie sur un lit et s’approcha du bureau pour y déposer sa baguette magique. Elle n’en aurait pas besoin pour l’instant, mais dès l’après-midi, elle ne la quitterait plus !

Un souvenir brumeux lui traversa l’esprit. « Tenez : baguette en bois de lilas, ailes de lutin de Cornouailles, 20,02cm. » Et là, la magie avait réellement commencé. Jessy se sentit toute excitée en repensant à ça. Elle ne resta pourtant pas bien longtemps dans ses pensées et rejoignit Violetta. Elle s’assit auprès d’elle, sur son lit. Un regard posé sur elle, mais un esprit dans le vague. Elle se demandait tout ce qu’elle allait faire pendant les vacances. Elle était totalement impatiente ! Elle resta ainsi à rêvasser pendant un long moment. Les parents étaient déjà rentrés.

Violetta ouvrit lentement les yeux. Puis les cligna. Elle se redressa et se mit sur pieds pour marcher d’une démarche chancelante. Elle n'avait pas l'air d'avoir mal. Elle sortit de la chambre en silence et Jessy se demanda ce qu’elle pouvait bien fabriquer. Elle la suivit et remarqua ses parents et ceux de son amie qui buvaient et discutaient tranquillement dans la salle à manger. Ils dégustaient de la Bierraubeurre. Jessy se demanda le goût que cela avait mais n’avait pas très envie actuellement d’en boire… Violetta la sortit de ses pensées en l’appelant :

    « Jessy viens j'ai une expérience à te proposer. »


La petite brune s’interrogea. Que pouvait-elle donc avoir envie de lui montrer. Elle la suivit donc à travers la ‘‘villa-tente’’ pour rejoindre… la chambre attribuée à ses parents. Mais que trafiquait-elle enfin ? Jessy la suivait sans dire mot, quoiqu’un sourire flottant sur son visage. Quoi que cela soit, ce serait intéressant et elle le savait. Violetta avait le chic pour trouver des choses géniales à faire. La jeune sorcière blonde plongea sa main dans un sachet et en sortit deux petits gâteaux fort appétissants. Jessy les observa en fronçant les sourcils. Sa meilleure amie, elle, souriait malicieusement.

    « Mais, Viv’, on va bientôt manger… Pourquoi ces gâteaux ? »


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Hrpg : RP inachevé, sujet libre à tous.
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Re: Europe de l'Ouest
Invité, le  Ven 21 Déc - 20:02

[RP unique.]
En Hollande.

Parfois les souvenirs resurgissent douloureusement. Parfois, lorsque vos pensées se mettent à vagabonder, il vous arrive alors de vous laisser aller aux pires souffrances. Celles du mental, cet acier qui vous sert de carapace, mais qui parfois s’effondre contre vous même. Il peut vous arriver de vous sentir heureux et fier de vous même. Par d'autres moments, la vie s'écroule. Tout autours de vous vous semble misérable. Vous voyez alors le mal. Un mal délicieux, un vice qui vous sert de guide. Il vous montre la voie, celle du bonheur propre à soi-même. Il vous tend la main, lorsque vous vous sentez ainsi. Misérable et indéniablement inutile dans ce monde. Un monde de fou. Un monde d'ignorants, de puritains.

Je laissai en cet instant mes jambes se balancer dans le vide. Et mes yeux, vidés de tout, observaient sans voir. Je laissai avec frisson la légère brise emporter ma chaire, et mes idées demeurer en place. S'imposer en moi. S'imposer en mon être d'une telle violence que mon corps se mettait par moment à se laisser glisser vers l'avant. Allais-je tomber dans l'eau gelée ? Allais-je me laisser tomber dans le vide, et mon corps de reine rencontrer la glace ? Cette glace si merveilleuse. Je me retrouvai en elle. Je la voyais ici : fraîche et à la fois délivrente. J'avais un monde de neige et de dureté qui, à mes yeux, m'apparaissait comme étant le paradis trouvé. Ces quelques jours pris, de recul, à ma mercie, me laissait face à un dédale de nature apportant à mon esprit et à ma conscience une épaule, un soutien bienheureux et fondé. Je voyais continuellement la fin du calvaire avancer doucement. Retrouver cet endroit m'apportait un ensemble étrange de sentiments. A la fois bons et mauvais, et le mélange donnait une mixture difficile à avaler et à relever. Sur quoi étais-je assise ? Sur un pont. Plus particulièrement, j'avais passé mes pieds au delà de la barrière, cette barrière insupportable. Toujours des barrières partout. Toujours de quoi vouloir nous restreindre, de quoi nous limiter dans nos actes. J'avais donc balancé mes pieds dans le vide et m'étais posée avec précaution sur la rambarde. Sous mes pieds, la grande rivière menait son cours, à moitié glacée par le temps hivernal. J'y voyais un reflet éloigné. Un visage d'une adolescente blonde au visage émacié et ciré, comme ancrée dans l'éternité. S'il m'était apparu un double d'elle, je l'aurais aimée plus que tout au monde. Je voyais là sa détermination et son passé dans ce regard que je m'accordai à moi-même. Je m'aimais d'une force presque destructrice. Je m'adorais par ce que j'étais. Je m'adorais, car je voyais en moi la flamme inconsummable de la vie. Je voyais un souffle continuel, je voyais aussi le miroitement de la beauté se jouer de mon être. Je m'aimais aussi, surtout, parce qu'il m'était évident que jamais je ne pourrais aimer autrui que moi-même. Mais il m'est arrivé d'aimer. Un seul instant. Ou du moins, éprouver un début de sentiment. Des sentiments qui me nuisirent. Des sentiments destructeurs.

Ce pont, non loin de la frontière hollando-allemande, constituait un tout en mon esprit et en mon coeur. Parmi mes pensées les plus lointaines dans mon passé, je revoyais ces sentiments se miroiter dans cette eau bénite. En laissant voiler mon regard au loin, on voyait des chemins se croiser, de la neige recouvrir les pas. Personne ne viendrait en ce lieux. Car jamais personne ne venait ici. Mais il y a de cela sept années, il y a hélas bien longtemps, mon père m'eut laissé libre court. J'eus le plaisir de marcher en ce lieux, dans ma Hollande bénite. J'étais jeune et insouciante. Mais le suis-je encore ? Que penserais-je de moi-même s'il m'était possible de me rencontrer ? Je savais pertinemment qu'en m'observant dans le reflet de l'eau, je m'adorai car j'avais conscience de qui j'étais, de ce que j'avais vécu. De ma lutte. De mes rires et mes pensées. Mais peu importe. J'étais encore enfant, et insouciante. Je me pensais heureuse. Ou plutôt, je commençais à laisser défiler le bonheur de par mes doigts. La haine commençait à s'accaparer de mon coeur auparavant doux et ouvert. Je me revois, en contemplant ce lieux, des images surgir à mon esprit. Tout se déroule alors comme si le passé m'étais proche. Je revois ses cheveux de jais, et son regard doux. Il avait des yeux grands et de longs cils ; on y pressentait une douceur certaine. Son regard était apaisant. La couleur marrons aux reflets jaunes et émeraude se sublimait par la présence discrète du soleil. Il était seul, et me semblait proche et à la fois éloigné. Je crois n'avoir jamais autant aimé. Je n'étais qu'une enfant, et face aux péripéties nocturnes de mes parents séparés j'avais vu du lourd, autant vous le dire. Aussi il ne m'était jamais venu à l'esprit d'imaginer la force et le caractère merveilleux de l'amour. C'était tout nouveau pour mon esprit d'enfant. Il m'était apparu pour la première fois en cet endroit, seul. Toujours seul. Il était étrange. Et l'étrangeté m'eut attiré. Depuis toujours d'ailleurs.

Je soupirai. Mes souvenirs se confondaient. Mon esprit tentait de les chasser, mais ils s'accrochaient avec force à moi. Ils s'imposaient à moi. Et un léger frisson me traversa alors. L'amour est un sentiment étrange. Étrange, certes, mais pas impossible. C'est un sentiment douloureux. Car aussitôt qu'il vous vient de vous accrocher à une personne, il vous consume. Il vous faut alors lui parler constamment. Il vous faut alors le voir, il vous faut alors vous assurer que le sentiment est réciproque. Souvent il vous revient l'image de la personne. En tête toute la journée : au levé comme au couché. Parfois même la nuit. Je me souviens bien de ce sentiment absurde. Notre amour était spécial. Nous nous aimions sans nous l'avouer l'un à l'autre. Bon sang, les souvenirs me tourmentaient d'une force inouïe. Ils me venaient en tout sens : de la fin du début, d'un épisode à un autre. Tout me venait alors sans dessus dessous. Voilà ce que provoque l'amour. C'est un effet néfaste à nous-même. Voyez comme il perturbe. Voyez comme... Il vous envahie.

Mais il semblait que malgré toutes tentatives, nous étions promis à toujours nous retrouver. Quelque fussent nos manoeuvres et nos échanges, nos éloignements et nos rapprochements, nous nous retrouvions toujours. Le mot je t'aime ne franchit jamais nos lèvres. Et combien de fois fût-il sur le point de tomber... Parfois le mot amoursurgissait sur nos lèvres, et se dérobait alors subitement. C'était presque comme un jeux. Un jeux d'enfant. Un jeux amical et amoureux. Qui dura une année entière.

Nous nous retrouvions sur notre pont, et nous jouions. Nous parlions passé et avenir, nous parlions famille et monde. Conflits et sentiments, diversité et injustice. Nous parlions de tout. C'était mon amoureux. J'étais la sienne. Aucun baiser ne franchit nos lèvres, et la beauté de la chose résida en ces gestes intellectuels et réalistes. Une part de ce que je suis devenue aujourd'hui fait parti de ce qu'il était. Mais un jour, plus rien. Un jour, je ne le trouvai plus. Du jour au lendemain : parti. Du jour au lendemain, échappé de mes mains frêles. J'ignorais où il habitait. Mais il venait chaque journée ici. Il venait toujours auparavant. La déchirure fut atroce. Je m'attendais à entrer à Poudlard, deux mois plus tard. Mais je gardais tout en moi. L'amour se transforma en haine. Je revoyais constamment ses yeux merveilleux, s'imposer à moi. Il ne m'avait finalement jamais aimé, et sotte que j'étais je m'étais imaginé de trop belles choses pour qu'elle fussent véritables. J'avais imaginé les choses les plus merveilleuses qui soient. Mais j'étais trompée et amadouée par mon propre coeur et ma propre raison dû prendre le dessus pour rendre à l'évidence de la réalité et de la vérité.

Une larme roula légèrement sur ma joue, souvenirs envahisseurs, souvenirs néfastes. Je me défis alors de mes vêtements chauds pour m'affronter au froid constant. J'étais seule. Face à la vie et au tumulte de la rivière sous mon être et sous ce pont maudit.

Maudit.

Alors complètement nue, je m'accrochai à la rambarde et laissai mes pieds se poser sur la barrière. Alors debout, je dominai le monde. J'étais folle. J'avais froid, faim, soif. Soif d'amour et de haine. Soif de sentiments et d'amitié. Mais je gardai tout en moi. Car jamais je n'aimerai un homme, ni une femme, ni un enfant, sans lui voir un défaut, sans lui voir une absurdité. Je me savais reine. Je hurlai alors, puissance de ma voix se répercutant en ma Hollande. C'était bon. De hurler au monde ce qui me tenaillait la gorge. Ce qui me tenaillait au plus profond de mon être. La nuit tombait doucement tout autours de moi, tout autours de mon monde de fou. Tout autours de mon monde de rêve.

J'aime rêver. Mais encore faut-il se réveiller.


J'étais alors bien. Mais pas encore suffisamment. Je dominai, tête haute, le monde. J'observai les cimes des arbres s'étendre à des kilomètres. La zone hostile me convenait. Alors moi-même, entièrement, je sautai. Dans le vide. Dans l'eau. Les relans frais et brutaux m'enserrèrent la taille. Mes cheveux se mouvaient dans l'eau. J'étais la sirène. J'étais l'eau. J'étais le poisson. Le poisson.

Mes idées se devaient de s'embrumer dans l'eau. Elles se devaient de partir de mon âme déchue. Il fallait qu'elles partent, qu'elles me laissent en paix. Doucement, je remontai à la surface. J'étais mouillée et gelée. Mes membres parvenaient à peine à s'activer, mais je parvins finalement, emportée à quelques mètres du pont par le courant, à m'accrocher aux branches d'arbre et à me remonter. L'air me prit. Elle me prit par tous côtés. Elle effleurait mon corps et mes cheveux. Et j'y prenais plaisir.

Ma vie, mon amour. Tu ne la connaîtras jamais.

A moins d'entrer dans mon esprit, jamais personne ne saura qui je suis. A moins d'être moi, tu ne sauras jamais rien. Jamais rien.
Sue Glanmor
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Re: Europe de l'Ouest
Sue Glanmor, le  Sam 28 Sep - 19:27

PV : Luna Hélanor, en Irlande

_ _ Un air frais gifla les joues de Jessy lorsqu’elle arriva en Irlande. Les yeux plissés à cause du vent et le visage rougi par la température, elle tentait d’admirer le spectacle qui s’offrait à elle. Un ciel d’un bleu timide surplombait un espace verdoyant d’une immensité étonnante. De multiples collines s’en détachaient tranquillement, mouchetées par endroits de hauts pins sombres et traversées d’un mince ruisseau. Ces lieux isolés de tout badaud moldu semblaient idéaux pour un évènement magique d’importance : la finale de la ligue britannique et irlandaise de Quidditch. Les signes de cette journée exceptionnelle ne pouvaient être ignorés car ils avaient fleuri au milieu de la nature et ne s’y fondaient nullement. Tout d’abord un immense stade à ciel ouvert - pour fêter la météo qui pour une fois ne contredisait pas les plans des organisateurs sportifs - se dressait au milieu de la plaine, entouré de près d’une centaine de tentes de toiles chacune plantée pour l’occasion. Et partout de petites fourmis se faufilaient jusqu’au dôme pour former en son entrée un attroupement surprenant.

_ _ Cela n’avait pas été simple pour la sang-pur, mais elle avait obtenu une place pour assister au match qui opposerait ce jour-là les Crécerelles de Kenmare aux Chauves-souris de Fichucastel. Il lui avait fallu acheter un emplacement légèrement bas-de-gamme dans les gradins, fermer exceptionnellement la boutique et s’éclipser du 424, Moonstone Street sans trop mentionner la raison de son départ - elle était prête à parier que si elle avait évoqué le Quidditch quelqu’un aurait insisté pour l’accompagner. Après s’être cachée dans le jardin bordant le Manoir, elle s’était concentrée pendant quelques minutes et avait transplané. Il s’était agi du plus long voyage qu’elle eût fait par ce moyen, car habituellement elle n’allait pas au-delà de l’autre bout de la région. Lorsqu’elle avait fait ses voyages à travers le monde, en effet, elle avait opté pour l’avion. Et quand elle était un peu plus jeune encore, elle avait privilégié le Portoloin pour se transférer jusqu’au pays voisin. Aujourd’hui était donc une nouvelle étape de sa vie, dont l’issue lui avait presque valu le rejet de son petit déjeuner.

_ _ Ce matin, elle s’était armée d’une charmante panoplie pour soutenir l’équipe des Crécerelles : un maquillage bicolore composé de fard à paupière couleur herbe fraîchement coupée et d’une touche de gloss au reflet scintillant tel un lingot précieux, un débardeur vert vif sur lequel étaient brodés en fils dorés un vif d’or et deux K calligraphiés, une écharpe de coton épais de couleur jaune, une fine veste de la même couleur, un pantalon vert où était dessiné à l’endroit de la cuisse droite un petit farfardet au sourire farceur posté à côté d’un chaudron empli de pièces d’or, et des baskets jaunes et blanches soigneusement lacées. Autant avouer qu’elle était une fervente supporter ! Au fond de son sac de cuir vert - à l’origine noir mais elle en avait changé la couleur - se trouvait également de merveilleuses Multiplettes héritées de son père, une paire de jumelles magiques permettant de vivre un match sans en rater un instant. Elle allait bien s’amuser avec cela !

_ _ Assez admiré le paysage, il était désormais temps pour elle de rejoindre la fourmilière. Après avoir secoué la tête pour chasser les nausées qui la gagnaient, elle dévala la pente à tout allure, serpenta entre les tentes qu’elle rencontrait, bondit par-dessus des rochers recouverts de mousse et de lierre ; telle une enfant libre de courir où bon lui semble, les cheveux ondulant au vent et les plis de ses habits palpitant derrière elle. Essoufflée, elle arriva finalement à l’entrée du stade. Quelques stands vendaient des accessoires aux fans n’ayant rien préparé ; des sorciers imposants comme des armoires à glaces faisaient passer les sorciers avec leurs tickets. Un tumulte impossible régnait en ces lieux ; Jessy dut se surpasser pour y survivre et gagner son siège sans égorger l’un de ceux qui prenaient un malin plaisir à ralentir les personnes qui les suivaient - en cherchant leur place au fond de leur besace ou en implorant tous ceux qu’ils croisaient pour acheter un ticket de dernière minute.

_ _ Après avoir traversé un flot de fans et avoir été dirigée par l’un des grands gaillards, la sang-pur trouva son siège et s’y installa tranquillement. Certes, être dans les rangs les plus bas n’était pas du luxe puisque les joueurs s’envoleraient et qu’elle devrait se rompre le cou pour les voir, mais elle était présente et c’était tout ce qui comptait. Agitant la tête en tous sens, elle vérifia que les gradins se remplissaient. Jetant un coup d’œil à sa montre, elle s’assura qu’il ne restait que quelques minutes avant que le match ne commence - elle était arrivée un peu tard, il fallait l’avouer, mais les préparatifs lui avaient pris du temps. Impatiente, elle dégaina son ustensile de cuivre et retira sa veste - avec tout ce monde, elle aurait suffoqué en la conservant - pour déposer cette-dernière et son sac sur ses cuisses. Sourire aux lèvres, elle leva le menton pour observer les loges réservées aux animateurs du match sans se rendre compte que ses voisins remuaient.
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Re: Europe de l'Ouest
Invité, le  Dim 6 Oct - 10:20

Luna commençait à avoir un peu froid. Elle était actuellement en Irlande. Son oncle et sa tante lui avait acheté une place pour aller voir la finale de la Coupe de Quidditch pour son anniversaire. De la terrasse du café où elle se trouvait elle pouvait admirer le paysage. Sa mère lui avait toujours dit que l'Irlande était l'un des plus beau pays du Monde. La jeune fille constatait que celle-ci avait raison. Elle était émerveillée devant la beauté de ce paysage. Le soleil brillait dans le ciel bleuté. Le seul regret de Luna, c'était qu'il ne faisait pas très chaud. La jeune fille était très frileuse. Mais, elle pensait quand même réussir à survivre au moins le temps du match. Ca ne pouvait pas durer très longtemps non?

Elle avait fait le voyage en portoloin. N'ayant pas l'âge de passer son permis de transplanage, elle était obligé de se déplacer avec cet horrible moyen de transport. Elle sentait encore les courbature de son merveilleux atterrissage d'hier. Mais elle était prête à dormir par terre pour assister à un match de Quiddtch. Luna n'était pas une grande spécialiste de ce sport, mais c'est juste que son équipe favorite: les Crécerelles de Kenmare. La Poufsouffle aimait tellement cette équipe qu'elle avait dû tomber amoureuse de chaque membre masculin au moins trois fois chacun quand elle était petite. Cette pensée fit apparaître un sourire. La Poufsouffle fini son chocolat chaud, puis se leva.

Elle alla s'asseoir dans l'herbe, son maquillage à la main et commença à préparer son maquillage pour encourager. Luna se tressa les cheveux pour ne pas qu'ils fassent baver son maquillage. Elle dessina de grands "K" en vert sur ses joues. Elle se mit du mascara dorée et du liner vert. ce n'était peut être pas le plus beau maquillage du siècle, mais il était magnifique pour encourager l'équipe. La Poufsouffle attendit que son maquillage sèche avant de se détacher les cheveux. Elle prit une mèche, puis sa bombe à cheveux verte. Elle se colora trois mèches de cheveux. Une fois prête elle se leva.

Heureusement qu'elle n'était pas très loin de l'endroit où devait se dérouler le match, car sinon tout le monde l'aurait pris pour une folle, les moldus, comme les sorciers. La Poufsouffle vit plusieurs élèves de Poudlard qu'elle avait déjà aperçu dans les couloirs. A ce moment là, elle aurait bien aimé être avec son cousin... Ou encore avec sa meilleure amie car elle se sentait un peu seule. Une petite brise se leva. Malgré le fait qu'elle portait un gros pull, elle avait un peu froid. *Dommage que je n'ai pas le droit d'utiliser la magie..* se dit-elle.

Luna entra. En cherchant sa place, elle se faisait bousculer de tous les côtés. La jeune fille vit plusieurs sorciers encouragent l'équipe adverse. Malgré son sang chaud, Luna ne les regarda pas et alla s'asseoir à sa place qu'elle venait de trouver. Elle s'assit. La jeune femme qui était à côté d'elle était super belle au goût de Luna. La Poufsouffle était sûre de l'avoir déjà vu quelques part. Détournant le regard, pour ne pas paraître étrange elle continuait de réfléchir à l'endroit où elle aurait pu la rencontrer.

Elle jeta un autre coup d'oeil à côté d'elle et vit avec plaisir que cette femme encourageait la même équipe que Luna. Bon, elle allait lui parler. Mais la jeune fille ne savait pas quoi lui dire. Elle réfléchit. Peut être d'abord se présenter... La Poufsouffle se tourna et prit son courage à deux mains avant de demander:


- Bonjour, je m'appelle Luna. Je ne voudrais pas paraître indiscrète mais, est-ce que l'on ne se serait pas déjà rencontré quelque part?

Elle jeta un coup d'oeil sur le terrain pour voir si le match commençait et elle eu le soulagement que non. Très bien, elle pourrait discuter un peu comme ça.
Sue Glanmor
Sue Glanmor
Serdaigle
Serdaigle
Année à Poudlard : Cinquième année

Matière optionnelle : Divination

Spécialité(s) : Fourchelang


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Re: Europe de l'Ouest
Sue Glanmor, le  Lun 21 Oct - 17:04

_ _ Un homme âgé, dont le visage plissé de rides paraissait déformé par un sourire, discutait vivement avec ses voisins - deux charmants sorciers, l’un à la barbe de trois jours et l’autre aux yeux d’un bleu stupéfiant, ainsi qu’une vieille femme perchée sur une longue canne de bois ciré. Ils étaient tellement loin, et pourtant Jessy pouvait presque les entendre mêler leurs voix aux clameurs ; elle imaginait également croiser leur regard. Elle était tentée d’aller voir le jeune homme à l’allure désintéressée après le match, qu’elle ne trouvait pas mal du tout, et elle se surprit à se demander s’il avait quelqu’un dans sa vie. Secouant la tête, elle s’amusa de ses idées saugrenues et fit voleter son regard vers les alentours.

_ _ Le terrain était tout de même de grande taille ; il semblait bien plus imposant que celui de Poudlard où elle disputait parfois des matches. Les tours et les gradins, bondés de supporters enragés, s’élevaient jusque haut dans le ciel, cerclant un gazon lustré piqué de six poteaux dorés et étincelants. Certains sorciers dialoguaient, d’autres commençaient à encourager leur équipe et paraissaient recevoir des remarques désobligeantes de leurs rivaux, tandis que les retardataires s’installaient enfin à leur place. Devant ce spectacle unique, une soudaine bouffée de bonheur s’empara de l’ex-Serdaigle, qui assistait pour la première fois de sa vie à une compétition de professionnels avec les merveilleuses Crécerelles. Elle adulait cette équipe depuis toute petite, bien qu’elle ne les ait jamais vus à l’œuvre dans un tel tournoi. Ainsi, ce jour-là serait à marquer d’une pierre blanche.

_ _ Soudain une voix parut l’interpeler. Interpeler Jessy ? Mais elle n’était venue avec personne ; qui pouvait donc lui parler ? Un battement de cœur fit vagabonder son esprit jusqu’aux plus lointains de ses souvenirs, et elle imagina un instant que Naomé était vivante, ici, en Irlande, et qu’elle était venue avec elle pour voir un match de Quidditch. Bien que ce sport lui ait beaucoup plu, il était inimaginable qu’elle resurgisse de l’ombre pour se placer au milieu de vastes gradins. Elle avait disparu, c’était terminé ; et puis un brusque pincement au cœur lui fit réaliser que le timbre de cette voix lui était inconnu.

_ _ Se retournant enfin, et tentant de faire bonne figure après cet incroyable assaut, elle regarda son interlocutrice. Il s’agissait d’une jeune fille aux cheveux blonds bouclés méchés de vert et aux superbes yeux gris. Elle avait l’air gentille, et de surcroît semblait encourager la même équipe elle. Un sourire aux lèvres, la brunette écouta ce que la dénommée Luna avait à lui dire. Si elles s’étaient déjà rencontrées quelque part ? C’était probable… La sang-pur réfléchit un instant aux différents moments au cours desquels elle aurait pu la voir, mais ne tira pas de conclusion valable ; sauf si l’adolescente vivait à Londres ou à Poudlard - ce qui serait une coïncidence amusante -, elles ne pouvaient pas vraiment s’être croisées.

_ _ « Enchantée Luna, moi c’est Jessy. Je ne sais pas si l’on s’est déjà rencontrées, mais peut-être que… Tu es encore une étudiante en sorcellerie, non ? Si tu es à Poudlard, il est possible que tu m’aies vue pendant un match de Quidditch, puisque je suis capitaine de l’équipe de Serdaigle. Hum… Sinon, sans doute connais-tu le Chemin de Traverse ? J’y suis propriétaire de la Boutique d’Animaux Magiques, donc il est probable que tu m’aies croisée là-bas si tu y es déjà allée. Mis à part cela, je ne voyage plus beaucoup donc je ne pense pas que tu aies pu me voir autre part. » Elle fit une pause et contempla les habits de celle qui était à ses côtés. « Je vois que tu aimes bien les Crécerelles, ça tombe bien car j’apprécie également leur équipe ! C’est la première fois que tu viens voir un de leurs matches ou tu es habituée aux grands terrains ? »

_ _ Justement, le match n’allait pas tarder à débuter. Au loin, le vieil homme de la loge des animateurs se levait et dégainait sa baguette. Il n’allait pas tarder à annoncer l'entrée des équipes qui feraient leur show. Qu’est-ce qu’elle avait hâte de voir les joueurs enflammer le public, et plus encore d'admirer les merveilleux faucons qui serviraient d’exemple à l'aigle !

Luna étant absente, merci de ne pas emprunter le sujet avant son retour !

Edit le 04/01 : Finalement, le sujet peut être utilisé.
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Invité, le  Sam 4 Jan - 23:15



Fête de Bienvenue (Flashback)

Louna Blake et Azmaria Slown



Cela faisait déjà quelques mois que Louna avait été recueilli par ce qui serait sa nouvelle famille à présent. La petite avait eue beaucoup de mal à s'accoutumer à une vie calme et régulière, mais maintenant qu'elle avait pris le rythme, tout allait pour le mieux. Souvent tout de même, elle se rendait dans la forêt ou elle s'était pour la première dois réveillée, cherchant en vain des fragments de souvenirs perdus peu être à jamais. Mais la vie n'est pas si noire, et pour que la petite soit vraiment intégrée à la famille, ses parents adoptifs avaient décidés de faire un fête familiale pour lui souhaiter la bienvenue à elle et sa cousine... Oui car maintenant Louna avait une cousine, elle aussi recueillie. Ho non, pas une fête avec seulement ses parents, mais une fête avec presque toute sa nouvelle famille, comprenant ainsi une tante, un oncle et une cousine nouvellement nommés. Des amis aussi constituait la fête, mais étant donnée que ce n'était que presque tous des adultes, la brune s'en contrefichait un peu. La seule personne qui avait l'air intéressante dans le lot d'inconnus qui allaient se présenter à elle était la cousine dénommée Azmaria. D'après ce que lui avait dit, la blonde avait elle aussi été adoptée, et c'est ce point précis qu'il l'intriguait, bien qu'elle soit un peu plus jeune qu'elle. Après tout, peu être elle aussi avait-elle été retrouvée dans un lieu incongru ?

Ainsi la fillette monta à bord de l'engin de transport familial d'un air à la fois inquiet et pressée, les yeux brillants de curiosité enfantine. Mais qu'est-ce que le voyage semblait long ! Les deux maisons n'étaient pourtant pas à plusieurs heures de routes, mais avec autant d’excitation contenue il semblait presque durer des jours. Enfin la maison se profila à l'horizon et se redressant sur son siège, la gamine tenta de regarder toujours plus loin, comme si cette seule action lui permettait d'arriver plus vite. Dès qu'elle fut dehors, Louna courut à une vitesse folle dans le jardin, s'arrêtant brusquement à l'entrée de celui-ci. Une foule se trouvait là, dans le jardin, tous souriant et en tenue plus ou moins habillées. Les yeux écarquillés, la petite si sociable habituellement n'osait pas s'aventurer dans ce territoire inconnu jusqu'alors, et finalement ce fut la venue de ses parents derrière elle, qui la fit s'avancer dans le lieu. Les conversations prirent alors, et tout de suite la gamine se sentit mieux sans ses regards braqués sur elle.

Les conversations ne s'arrêtaient plus, et Louna cherchait maintenant du regard quelqu'un de précis. Une petite tête blonde fit son apparition entre les grandes personnes et un sourire resplendissant naquit sur les lèvres de la brune, avant de s'élancer dans la direction de l'enfant. S'approchant d'elle furtivement, elle sauta soudain sur la petite, lui souriant de plus bel et disant:

- Bonjour toi ! Tu dois être Azmaria ! Moi c'est Louna, j'ai 10 ans et toi ?

La gamine ne lui laissait même pas le temps de répondre enchaînant ses phrases à une vitesse surhumaine, tellement contente d'avoir enfin quelqu'un de son âge à qui parler. Regardant de gauche à droite tel un prédateur à l'affût, la petite remarqua alors un petit buffet à droite et elle entraîna Azmaria jusque la bas. Lui tendant un des gâteaux, elle dit joyeusement:

-Tu en prends un ? Chocolat ou fraise ?


Dernière édition par Louna Blake le Mer 15 Jan - 12:49, édité 2 fois
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Re: Europe de l'Ouest
Invité, le  Lun 13 Jan - 0:00

Depuis quelques mois, la petite Azmaria vivait enfin en France avec ses parents adoptif et elle se faisait petit à petit à sa nouvelle vie. Malgrè tout, la petite blonde n'arrivait pas a se sentir a sa place dans se grand manoir... On l'avait faite passer d'une chambre de taille raisonnable dans un orphelinat a une chambre gigantesque ou elle avait des jouets a foison. Alors qu'elle n'avait aucun passer, on lui donnait un futur dans une famille aimante. L'enfant était heureuse, mais au fond, elle se demandait si elle méritait réellement de vivre heureuse. Elle avait espérer qu'avec ce nouvel environnement, elle changerais peut-être, mais ce ne fut pas le cas et elle dut s'en accommoder

Ce matin, les Slown lui avaient rapidement parler d'une fête de bienvenue en l'honneur de leur arrivées. Parce que oui, Azmaria n'était pas la seule enfant adoptée dans cette famille. Il y avait une autre jeune fille... Louna si ses souvenirs étaient bon. Elle était un peu plus âgé que la blonde, mais elle ne savait plus exactement de combien d'année et dans l'état actuel des choses, l'enfant se préoccupait plutôt de savoir si elles s'entendraient bien ou pas. C'est donc avec énormèment d'appréhenssion qu'elle se prépara pour la petite soirée et qu'elle alla attendre dans le salon l'arrivée des invités. C'était sans compter, que ses parents l'abandonnèrent pour aller dans le jardin avec les tout premiers arrivant.

De nombreuse personnes arrivèrent les unes après les autres et commencèrent à envahirent la salle de séjour. La petite fille avait l'impression d'étouffer et elle ne pouvait s'empécher de lancer des regard inquiet a droite puis a gauche avant que quelque chose lui ne lui saute dessus. La petite fille paniqua et failli tomber sur le sol de marbre.

- Bonjour toi ! Tu dois être Azmaria ! Moi c'est Louna, j'ai 10 ans et toi ?

L'enfant en face d'elle se trouvait être la deuxiéme petite adoptée de la famille. Azmaria la détailla énormément de son regard vairons et ddécida qu'elle ne devait pas bien être méchante. La petite blonde allait lui répondre, mais la brune ne lui en laissa pas le temps. L'enfant l'entraina jusqu'au buffet qui avait été installer un peu plus tôt dans la journée... Il y avait dessus de nombreuses sorte de gâteau et autre mets divers. Mais aucun de ceux-ci ne donnait envie a la petite fille. Pourtant, Louna semblait tenir a ce qu'elle en prenne un morceau et elle ne se sentit pas l'âme de refuser... Elle prit donc une part au chocolat et lui dit en souriant...

- Oui, je suis Azmaria. Je sais qui tu es, papa et maman m'ont parler de toi. J'ai sept ans. Alors toi aussi tu viens de... D'un orphelinat ?

La petite n'avait pas beaucoup de bon souvenir de ses années a l'orphelinat et elle pensait a tort qu'il devait een être de même pour chaque personne en venant. Tous les enfants qui se trouvaient là-bas, voulaient être valoriser, être les premiers a partir avec une famille. Tout ce qu'elle souhaitait elle, c'était que ses parents reviennent la chercher. Finalement, elle avait été adopter mais elle se sentait seule. Trop seule dans ce grand manoir...
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Invité, le  Mer 15 Jan - 13:28

Rp Azmaria




Souriant de toutes ses dents, Louna attendait que la petite en face d'elle prenne un des deux gâteux pour se servir. Mai la petite blonde en face d'elle avait l'air très occupée à la fixer, aussi la jeune fille attendit un certain moment que la petite se décide à prendre une part.Elle choisit celui au chocolat, et Louna l'imita tandis que la petite aux yeux vairons lui répondait:

- Oui, je suis Azmaria. Je sais qui tu es, papa et maman m'ont parler de toi. J'ai sept ans. Alors toi aussi tu viens de... D'un orphelinat ?

* Zamria... Heu, Amzara... Nooooon, je vais jamais m'en souvenir !*

Les yeux de la brune s'étaient mis sur off pendant quelques secondes, réfléchissant à comment elle allait s'en sortir sur ce coup-là. Mais finalement, la petite qu'elle était alors décida d'adopter ce qui serait à l'avenir sa tactique signature : Les surnoms. D'aussi loin que la Serdaigle pouvait se souvenir, c'était là qu'avait commencé cette habitude si familière maintenant. Finalement, elle trouva le surnom parfait pour sa cousine et passa enfin à la seconde partie de la question, concernant ses origines. Comment expliquer à une fillette de 7 ans qu'elle s'était réveillée amnésique, complètement paumée dans une forêt francaise ou elle passait présent le plus clair de son temps à chercher ses souvenirs ? La question aurait put se révéler compliquée, si seulement la petite se posait ce genre de questions. Aussi elle entama sa part de gâteau, avant de répondre de la voix la plus simple qui soit:

- Un orpheli-quoi ? Non non, pas du tout ! En fait, je me suis réveillée dans la forêt, et je me souvenais de plus rien. Heureusement que y'avait Mr.Fox et Leïko, sinon j'aurais mouru !

Un voile s'était posé sur son regard à l'évocation de ses souvenirs. Ou était-ils ceux-là d'abord ? Pourquoi ils voulaient pas revenir ? C'était toujours pareil avec ce sujet là, à chaque fois ça la démoralisait. Mais son sourire éternellement accroché au lèvres, l'enfant reprit bien vite le dessus sur son discret laisser-aller. Mais au fait, d'ou elle venait zaza elle ? Se posant la question, elle n'attendit pas la réaction de la blonde pour enchaîner :

- Hey Zaza ! Ca te gêne pas au moins ce surnom ? Non ? Bref ! Comment t'es arrivée chez tatie toi ? C'est la bas que t'étais ? Dans un Morphée-lit-quoi ?

Louna se demandait bien ce que pouvait être cet endroit dont l'enfant parlait. Lili et Drake, ses parents adoptifs qu'elle surnommait comme ça, avait dis un mot qui ressemblait à ça eux aussi mais sur le coup elle n'avait pas fait gaffe. En effet, la jeune fille était en train de jouer de la guitare, aussi avait-elle été plus que distraite. Du coup, quand elle était arrivée ici, elle ne savait même pas comment s'appelait sa cousine, puisque qu'elle n'avait rien écoutée. Mais bon, c'était pas grave maintenant elle était à 100% à l'écoute maintenant. Tout en attendant la réponse de la gamine, elle pensait au machin dont la signification lui échappait. Son nom lui faisait penser à un endroit ou on dormait tout le temps, mais vu comment Zaza avait l'air sérieuse quant elle en parlait, ça ne devrais sûrement pas être le cas...

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Re: Europe de l'Ouest
Invité, le  Mer 15 Jan - 19:42

Les yeux de la brune firent quelque chose d'étrange et elle sembla réfléchir pendant un petit moment. De son côté, la petite blonde ce disait que sa "cousine" n'avait pas forcément envie de parler de son passé ou de ses parents. Peut-être même était-elle dans le même cas qu'elle n'avait aucun souvenir de ses parents... Azmaria avait été abandonner trop jeune pour avoir ne serait-ce qu'une vague image de ce a quoi ils pouvaient ressembler, et elle n'avait jamais pu s’empêcher de ce demander ce que le bébé qu'elle avait été a ce moment-là avait bien pu faire pour qu'on l'abandonne dans un endroit aussi horrible, l'orphelinat. Elle n'avait pas pu s'y faire d'amis, elle n'avait jamais pu s'intégrer. Pourtant elle avait grandit parmi tous les enfants qui y résidaient, elle avait grandit de la même manière. Mais ils ne l'avaient jamais accepter pari eux.

- Un orpheli-quoi ? Non non, pas du tout ! En fait, je me suis réveillée dans la forêt, et je me souvenais de plus rien. Heureusement que y'avait Mr.Fox et Leïko, sinon j'aurais mouru !

La phrase de l'enfant la sortit de ses pensées. La petite blonde du prendre un air un peu surpris en apprenant que son interlocutrice avait ouvert les yeux dans une forêt. Ce n'était pas vraiment commun comme endroit pour dormir, et il avait bien du se passer quelque chose pour qu'elle perde la mémoire. Ce n'était pas anodin non plus... Une autre question la turlupinait... Qui pouvait bien être M.Fox et Leïko ? Ce n'était pas vraiment des noms de personne des plus communs. Étaient-ils humains au moins ? La petite blonde voulut poser ses questions, mais la brune l'en empêcha en enchaînant sur d'autres questions a son adresse...

- Hey Zaza ! Ça te gêne pas au mins ce surnom ? Non ? Bref ! Comment t'es arrivée chez tatie toi ? C'est la bas que t'étais ? Dans un Morphée-lit-quoi ?

La petite fille baissa un peu la tête quand sa cousine demanda comment elle avait pu attérir chez les Slown. Elle n'avait jamais compris... Elle avait grandit seule dans un endroit pleins d'enfants ou elle aurait du se faire des amis, et du jours au lendemain, elle se retrouvait dans une famille. Avec des parents aimants, mais peu souvent présent et elle parcourait bien souvent la trop grande bâtisse seule a la recherche de nouveaux lieux a explorer afin de chasser l'ennuie.Elle n'avait pas le droit d'aller a l'école, elle était trop fragile pour ça. Cette annonce avait mis un terme a son souhait de se sociabiliser voir peut-être plus.

- Non, ça ne me dérange pas. Zaza c'est mignon, c'est petit... Comme moi ! J'étais a l'orphelinat. OR-PHE-LI-NAT. Maman m'a abandonner quand j'étais encore qu'un tout petit bébé, je ne me souviens même pas de son visage. Elle ne m'a pas laisser d'objet en souvenir. Tous les autres enfants en avais un de la d'ou je viens. Un orphelinat c'est une maison ou on met tous les enfants qui ont plus de parents sont envoyer. C'est comme un grand entrepôt...

La petite fille était tellement concentré dans son explication, qu'elle ne remarqua même pas sa mère adoptive qui se tenais juste derrière elle depuis quelques minutes et qui avais sans doute tout entendue. Angelica se baissa a auteur des deux petites filles et dit a Louna en souriant...

- Bonsoir Louna, je suis Angelica, la mère d'Azmaria. J'espère que tu t'amuse bien. C'est dur avec toutes ces grandes personnes que vous ne connaissez pas... Non ?

Elle caressa doucement la tête de sa fille et tendit sa mains libre vers la petite brune. Angelica était une femme douce qui aimait les enfants. Elle avait eu beaucoup de mal a accepter que cette fête soit organiser de la sorte. Il y avait seulement deux petites filles et plus d'une cinquantaine d'adulte ne sachant même pas pourquoi une fête était organiser. Non, tout ce a quoi ils pensaient tous étaient le boulot. Encore et toujours le boulot. La jeune femme c'était rendue compte en voyant sa fille adoptive marchant toujours seule avec un air triste a l'intérieure de la battisse, qu'ils n'étaient pas assez présent pour elle. Elle voulait a tout prix remédier a cela. Et si elle ou son mari n'arrivaient pas a se libérer, elle aimerais tout de même lui trouver une personne pour jouer. Cette enfant avait été solitaire bien assez longtemps. Elle ne voulais pas non plus lui voler son enfance en lui interdisant tout contacte avec l'extérieur ou les gens...

- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas les filles, je serais juste a côté dans la cuisine, je dois discuter de certaines choses avec les parents de Louna.

Elle embrassa les deux petites filles sur les joues, avant de se sauver dans la cuisine suivie de près par son mari. C'était toujours comme ça quand ils voulaient parler travail. Il l'a laissait toute seule, et ils s'isolaient pour ne pas l'avoir dans les pattes. Des fois, l'enfant ce demander ce qu'elle faisait ici, si ils l'aimaient, si un jour elle pourraient les appeler "papa" et "maman" sans craindre d'être rejeter par eux aussi... Il était étrange de voir une enfant de son âge réfléchir autant a des choses aussi complexe, c'est pour cela qu'elle jouait le rôle de l'enfant naïve qui ne comprend pas la moitié de ce qui se passe autour d'elle. Des fois, il lui arrivait de vouloir partir seule, en pleine nature, mais elle savait pertinemment que c'était impossible... Avec sa santé, elle mourrait en moins de temps qu'il ne faut pour dire ouf.

- Au faite. Qui sont Leïko et M.Fox ?
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Invité, le  Jeu 16 Jan - 17:18

Rp Azmaria



      Bon, vu l'air déprimée qu'elle avait, ce n'était définitivement pas ça non. Dommage, l'endroit aurait put être marrant sinon se dit la brune en mangeant une nouvelle bouchée de son gâteau. Louna observa la blonde et s'aperçut que sa phrase l'avait sortit de ses pensées, qui apparemment n'était pas vraiment rose. Du coup, elle était plutôt contente d'elle, puisqu'elle n'aimait pas quand les gens était triste. Elle ne comprenait pas vraiment comment un lieu pouvait rendre triste quelqu'un puisqu'elle même adorait la forêt ou elle s'était réveillée. C'était devenue son repaire, son terrain de jeu personnel et un lien très fort la reliait à cet endroit. La brune s'était une fois de plus mise sur off, un sourire réjouit au lèvres en pensant à ses chers bois. Mais elle fut bien vite tirée de sa léthargie, la petite répondant à sa question:

- Non, ça ne me dérange pas. Zaza c'est mignon, c'est petit... Comme moi ! J'étais a l'orphelinat. OR-PHE-LI-NAT. Maman m'a abandonner quand j'étais encore qu'un tout petit bébé, je ne me souviens même pas de son visage. Elle ne m'a pas laisser d'objet en souvenir. Tous les autres enfants en avais un de la d'ou je viens. Un orphelinat c'est une maison ou on met tous les enfants qui ont plus de parents sont envoyer. C'est comme un grand entrepôt...

      Un objet en souvenir... Ça, ça lui disait quelque chose. Mais elle n'avait pas qu'un objet en souvenir, cette famille qu'elle ne connaissait pas, elle lui avait aussi laissée une marque, indélébile formant une étoile blanche, presque translucide dans son cou. Touchant distraitement le bijou empreint de nostalgie et la vieille blessure, elle réfléchissait. Décidément, orfélinat, c'est pas si marrant que ça au contraire ! Elle aurait pas aimée être entreposer comme ça elle ! Derrière Zaza, une grande femme à l'allure maternelle c'était approchée et écoutait sa cousine elle aussi. Elle attendit que la blonde aie finit pour elle aussi parler à son tour, ce qui ne laissa donc pas le temps à la brune de donner ça façon de penser pour remonter le moral descendant de la petite. La femme se baissa pour faire la même talle que les petites filles et Louna sut alors immédiatement qu'elle était sa tante, ce qu'elle confirma juste après d'ailleurs :

- Bonsoir Louna, je suis Angelica, la mère d'Azmaria. J'espère que tu t'amuse bien. C'est dur avec toutes ces grandes personnes que vous ne connaissez pas... Non ?

      La femme qu'elle allait plus tard appeler Tatie était très douce, et sa voix étonnamment apaisante. Elle savait aussi déceler ben des choses se dit elle car elle avait très vite remarquée qu'être un enfant parmi autant d'adultes inconnus ne devait pas être très marrant. Aussi eut-elle un geste très doux envers les deux enfants, ce qui faisait assez étrange à Louna. Ce n'est pas que la brune était malheureuse avec ses parents adoptifs ou qu'elle manquait d'attention, c'est surtout qu'elle était tellement turbulente, que jamais on ne pouvait vraiment lui présenter ce genre d'attention. La surprise passée, elle répondit à sa tante, un sourire traversant son visage:

- Bijour Tatie ! Ca va pour l'instant, mais bon, au moins on est pas toutes seules entre cousines !

- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas les filles, je serais juste a côté dans la cuisine, je dois discuter de certaines choses avec les parents de Louna.

A peine la petite brune avait-elle répondue que la réponse d'Angélica avait fusée, et elle repartait à présent en direction de la maison, non sans avoir oubliée d'embrasser les deux filles. Dès que la mère de Zaza fut partie, la blonde semblait de nouveau réfléchir, et Louna décida qu'elle réfléchissait bien trop ! Elle décida de lui dire et de l'entraîner dans une partie du jardin moins occupée quand la petite lui posa une nouvelle question:

- Au faite. Qui sont Leïko et M.Fox ?

*CA ! C'est une question qui mérite une réponse... Allez, je vais lui montrer Leïko !*

Louna décida ne pas attendre plus longtemps, et prenant la main de sa cousine, elle l'emmena au bout du jardin familiale, ou les gens se faisait rare. Arrivant au pied d'un arbre désert, elle regarda malicieusement sa cousine, avant de réfléchir quelques minutes tout de même. Et si elle prenait peur ? Non, quand même pas, Leïko, il était tout mignon quoi, pis même si elle avait peur, le serpent ne risquait pas de la mordre, mais plutôt de se réfugier dans le cou de l'enfant. Elle décida tout de même de lui parler de Mr.Fox avant :

- Mr.Fox, c'est un renard. Quand j'me suis réveillée dans la forêt, c'est lui que j'ai vue en premier. Il m'as aidée à aller au village ! Pis Leïko... Lui aussi je l'aie rencontrée dans la forêt sauf que...

Une fois ces paroles dites, les souvenirs de la brune revinrent en mémoire, et le temps de quelques secondes, la petite se remit de nouveau en mode off. Mais très vite, elle revînt au monde réel et mis sa sacoche sur ses genoux et ouvrit la pochette avec précaution, comme s'il s'agissait d'une bombe. Après avoir murmuré quelque mots d'une voix douce a la sacoche, elle en sortit Leïko, magnifique petit serpent noir au reflets d'argent. S'enroulant autour de sa main, la petite fille le présenta à sa cousine, un sourire amusé aux lèvres :

- Leïko, il est resté avec moi ! T'inquiètes, il est pas méchant, sauf s'il sent que je suis en danger et avec toi, y'a pas de soucis ! Donc Leïko-Zaza, Zaza-Leïko !



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Re: Europe de l'Ouest
Invité, le  Ven 17 Jan - 0:43


Pour toute réponse à sa question, la petite blonde se fit embarquer par sa cousine soudainement. Elle ne savait pas ou celle-ci voulait l'emmener et elle se laissait donc entraîner par la brune. L'enfant la conduisait prudemment a travers tous les adultes présent dans la salle qu'elles quittaient afin de se rendre... Dans le jardin familiale.

Le jardin était un endroit de la maison que la petite blonde affectionnait énormément. Le terrain était grand et il faisait un excellent terrain de jeu... Mais le parcourir seule dans les moindres recoins finissait vite par devenir lassant. Elle aurait tout donner pour avoir quelqu'un avec qui jouer ou discuter quand elle était arrivée au manoir mais à présent, la blondinette avait peut-être enfin trouver la personne qui la sauverais de sa solitude. Elle commençait tout de même a se demander jusqu’où l'enfant qui la tenais par la main allait bien pouvoir la traîner. Certes le jardin étais grand, mais il était également arpenter par de nombreux adultes qui ne cessaient de parler de leur travail ou des nouvelles acquisitions des Slown. Azmaria le savait, beaucoup des personnes présente n'étaient que des hypocrites qui passaient leur temps à critiquer ses parents adoptifs dès que ceux-ci avaient le dos tourner...

Enfin, la petite brune se stoppa au pied d'un arbre et se tourna enfin vers la petite fille en lui offrant un petit sourire malicieux. Mais a quoi pouvait-elle bien penser ? Qu'elle idée avait bien put lui passer par la tête...

- Mr.Fox, c'est un renard. Quand j'me suis réveillée dans la forêt, c'est lui que j'ai vue en premier. Il m'as aidée à aller au village ! Pis Leïko... Lui aussi je l'aie rencontrée dans la forêt sauf que...

Ainsi donc, sa cousine avait été sauvé par un renard... La fillette en avais déjà vue. Dans les livres d'images, mais elle en avais déjà vue. Elle aimait beaucoup leur pelage roux qui semblait être tout doux... Puis... Il devait être drôlement intelligent pour avoir réussi à la mener jusqu'au village le plus proche. La blondinette était assez fascinée par les histoires que lui contait sa cousine. Celle-ci n'avait d'ailleurs pas fini de raconter son histoire puisqu'après ce petit morceau dont elle tut la fin, la brune s'agenouilla a terre et parla à... Une sacoche ! C'était assez bizarre, mais la blonde ne fit aucune remarque a ce sujet. Encore moins lorsqu'elle vit sa cousine sortir de celle-ci un magnifique petit serpent et le présenta a la petite fille...

- Leïko, il est resté avec moi ! T'inquiètes, il est pas méchant, sauf s'il sent que je suis en danger et avec toi, y'a pas de soucis ! Donc Leïko-Zaza, Zaza-Leïko !

Avec les quelques informations qu'elle venait d'apprendre, l'enfant put facilement déduire que Louna devait avoir une affinité des plus développer avec les animaux en tout genre. La petite présentation avec Leïko amusa la petite fille qui sourit au petit serpent tout en caressant doucement sa tête, de peur de lui faire mal.

- Enchanté Leïko ! Dis donc Lou'... M.Fox, tu sais pourquoi il est partit ? Dans quel village t'a t-il emmener ? J'aimerais que tu m'en dises plus ! Comment c'est de se réveiller seule en pleine nature ?

La petite était curieuse, elle voulait en apprendre un maximum sur sa cousine qui semblaitt avoir eu jusque-là, une vie plus palpitante que celle de la blonde. Celle-ci tendit la main vers le petit serpent en espérant que celui-ci monterais dessus et ne prendrait pas peur. Puis elle finit par s'asseoir dans l'herbee en attendant des réponses a ses questions avec beaucoup d'impatience et un sourire au lèvres...
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Invité, le  Mar 21 Jan - 9:11

Rp Azmaria




La petite blonde avait l'air émerveillée en écoutant les aventures de Louna, et l'écoutait d'un air attentif, captivée. Quand elle sortit Leïko, et juste après avoir parlée, la brune ferma les yeux les mains tendue, ayant peur que sa cousine prenne peur. Ce n'est pas que le petit serpent était terrifiant, mais avec les quelques mois d’expérience passés dans le village, elle savait aussi que souvent les enfants, et même les adultes ne réagissaient pas très bien à sa vue. Ils prenaient peur, ne comprenant pas comment une gamine comme elle pouvait tenir dans sa main, laisser cet être se promener toujours avec elle, alors que de son coté la petite fille trouvait cela tout à fait normal. Finalement, elle osa enfin rouvrir les yeux, et exagérant ses mimiques, elle finit pas sourire de toutes ses dents en voyant l'enfant aussi à l'aise avec son ami animal, caressant doucement la tête du reptile, comme si la bête était aussi fragile que du cristal.

- Enchanté Leïko ! Dis donc Lou'... M.Fox, tu sais pourquoi il est partit ? Dans quel village t'a t-il emmener ? J'aimerais que tu m'en dises plus ! Comment c'est de se réveiller seule en pleine nature ?

Décidément, cette rencontre apportait à la brune plus qu'elle ne l’espérait ! Sa cousine lui ressemblai un peu de ce coté là, elle était différente. Mais contrairement à la petite aux yeux émeraudes, la blonde était plus seule que jamais à cause de ça. L'enfant tendit la main encore un fois vers le serpent, et après un échange sans parole avec Leïko, le petit serpent noir partit dans vers sa cousine, s'enroulant autour de son poignet. C'était drôle quand même la connexion qu'avait des fois l'amnésique et le reptile. Il se comprenait sans avoir de parler, et même si elle avait besoin, Louna avait l'impression de le comprendre quand elle le regardait ainsi. Les question de la blonde revinrent à la surface, et la gamine décida de répondre tout d'abord à la première, la seconde étant plus compliqué à aborder :

- Bah Mr.Fox, le problème c'est qu'il était trop gros. Pas pour un renard hein, mais Leïko, lui il tent dans une sacoche, alors que Fox... Il savait que je pourrais pas rester avec lui du coup il est repartit dans la forêt... Mais il y est toujours tu sais, je vais le voir des fois ! Il m'as amené jusqu'au village ou habite Lili et Drake ! Et je suis arrivée chez eux !

Raconter ça lui rappelait tellement de souvenirs... L'enfant se revoyait encore devant la porte, dansant d'un pied à l'autre, ayant peur que le retour à l'humanité ne lui plaise pas... Mais immédiatement dans cette famille, Louna s'était senti chez elle, et si maintenant sa famille s'agrandissait, avec de nouvelles tête, c'était d'autant mieux puisque que ce bout de famille qu'elle découvrait était tout aussi chaleureux que Lili et Drake, le soir ou ils l'avaient découverts sur le palier de leur porte, dans des vêtements d'une propreté laissant à désirer, un serpent dans le creux de son cou, et pour seule identité un médaillon à l'allure particulière. Finalement, Louna sortit de sa transe pour répondre à sa cousine, le sourire aux lèvres et les yeux dans le vide, pour mieux se rappeler les sensations qu'elle avait eut :

Bah, tu sais... Quand je me suis réveillée, j'ai pas tout de suite compris que j'étais dans la forêt, parce que j'ai commencer par garder les yeux fermés. Puis j'ai senti les feuilles sous moi et là j'ai eut très peur. Du coup j'a ouvert les yeux, je savais pas ou j'étais et je savais pas comment me retrouver là ! La clairière me paraissait géante et j'allais pleurer quand j'ai vue les yeux.. Ils étaient tout brillants, et verts, et je voyais que ça. Je me suis rapprochée des yeux, parce que j'avais plus peur, j'étais pas seule. C'est là que j'ai rencontrée Mr.Fox. Je crois que si je l'avais pas rencontrée, bah je serais restée dans la forêt, à pleurer beaucoup dans la clairière.

Contrairement à ce qu'on aurait put croire, Louna gardait le sourire aux lèvres, même en évoquant cette possibilité pourtant si terrifiante. Parce qu'elle n'était pas restée dans la forêt. Parce qu'elle avait arrêter de paniquer en rencontrant son sauveur. Elle n'était plus cette petite fille perdue dans les broussailles, tentant d'en sortir. Ce souvenir lui en rappelant un autre, la brune posa alors une question tout autre à sa cousine, un bon temps tout de même après avoir finit de raconter ses souvenirs :

Mais au fait ! C'est la que j'ai fait un truc marrant ! Dis moi tu as déjà fait des trucs bizarres toi ? Genre de la magie ?

Les yeux écarquillé et son sourire éternel au lèvres, Louna regardait la petite en quête de réponse dans son visage. Le souvenir d'avoir pratiquée la magie éait un des premiers qu'elle avait eut, et elle s'intéressait donc particulièrement à ce phénomène, même si Lili lui avait expliquée que ce n'était pas pour tout de suite. Drake lui se contentait de se moquer d'elle gentiment chaque fois qu'elle essayait de dévoiler ses talents particulier, pendant que lui était en train de l'imiter. Sauf que quand c'était lui qui essayait, ça marchait. Louna repartait alors dans la maison en boudant, et le brun revenait alors la taquiner jusqu'à ce qu'elle retrouve son sourire, ce qui ne durait jamais très longtemps, tellement la petite était d'un naturel joyeux.

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Invité, le  Jeu 13 Fév - 18:38

Après avoir fini de parler, la petite brune tendit les mains avec le tout petit serpent à l'intérieur et ferma les yeux. L'enfant trouvait le petit être plutôt mignon à regarder, aussi, quand sa cousine rouvrit les yeux, celle-ci semblait étonnée et ravit de voir que la petite fille n'avait nullement peur de Leïko. Il n'était pas difficile de comprendre son étonnement... Beaucoup de gens avaient peur de ce qu'ils ne connaissaient pas ou considérer comme indigne de leur attention. En l'occurrence, le petit reptile n'avait pas dû faire l'unanimité parmi les enfants, et surtout les adultes qui vivaient dans le village ou elle avait fini par trouver refuge.
Azmaria avait eu la chance d'y aller une seule et unique fois, mais ses parents avaient dû l'emmener en urgence à l'hôpital à cause d'une soudaine chute de tension. Les médecins n'avaient pas réussi à en découvrir la cause, et avaient donc préférer la garder quelques jours sous surveillance si d'autre symptôme venaient à faire leur apparitions.  Ce ne fut pas le cas, mais on lui demanda de rester chez elle pendant quelques semaines, et finalement, elle ne put visiter le village et ne put aller plus loin que le jardin des Blake.

Après avoir échangé un regard entendu avec la petite brune, le serpent glissa le long de sa main, pour aller s'enrouler autour du poignet de la blonde. 'était une sensation bizarre, ça chatouillait, mais ça ne chatouillait pas en même temps... Sensation étrange, je vous l'avai dit ! Alors que la petite fille s'amusait à observer le reptile autour de son poignet, Louna entreprit de répondre aux questions qu'elle lui avait posées un peu plus tôt...

- Bah Mr.Fox, le problème c'est qu'il était trop gros. Pas pour un renard hein, mais Leïko, lui il tient dans une sacoche, alors que Fox... Il savait que je pourrais pas rester avec lui du coup il est repartit dans la forêt... Mais il y est toujours tu sais, je vais le voir des fois ! Il m'a amené jusqu'au village ou habitent Lili et Drake ! Et je suis arrivée chez eux !

La petite fille écoutait sa cousine avec énormément d'attention. Elle avait toujours été d'un calme dépassant parfois celui des adultes, mais c'était deux fois pire en cet instant. Elle ne pipait mot, et se contentait d'écouter. Qu'on ne s'y trompe pas, la brune ne l'ennuyait pas, elle essayait simplement de s'imaginer la scène avec le plus d'exactitude possible. Mais n'ayant jamais vu de foret cela s'avérait être une tâche des plus ardue... Sa cousine continua à raconter son histoire après avoir fait une légère pause ou elle se laissa distraire. Sans doute par ses souvenirs, les seuls qi lui restaient...

- Bah, tu sais... Quand je me suis réveillée, j'ai pas tout de suite compris que j'étais dans la forêt, parce que j'ai commencé par garder les yeux fermés. Puis j'ai senti les feuilles sous moi et là j'ai eu très peur. Du coup j'ai ouvert les yeux, je savais pas ou j'étais et je savais pas comment me retrouver là ! La clairière me paraissait géante et j'allais pleurer quand j'ai vu les yeux.. Ils étaient tout brillants, et verts, et je voyais que ça. Je me suis rapprochée des yeux, parce que j'avais plus peur, j'étais pas seule. C'est là que j'ai rencontré Mr.Fox. Je crois que si je l'avais pas rencontrée, bah je serais restée dans la forêt, à pleurer beaucoup dans la clairière.

Azmaria se doutait bien que se réveiller seule, en pleine forêt et sans souvenir devait être terrifiant. Elle non plus n'avait plus de souvenir de ses parents, mais ils l'avaient abandonnée. Par conséquent, c'était sans doute mieux qu'elle ne se rappelle pas. Puis même s'il lui arrivait souvent de se sentir seule, ce n'était nullement lié à cela, mais à son incapacité a aller vers les autres enfants de son âge. Elle se sentait beaucoup plus à l'aise en compagnie d'adultes... Bien qu'il arrive que certains soient pire que des enfants. Après un assez long silence, Louna finit par reprendre la parole pour poser une question assez originale à la petite fille...

- Mais au fait ! C'est la que j'ai fait un truc marrant ! Dis-moi tu as déjà fait des trucs bizarres toi ? Genre de la magie ?

La blonde ne savait pas trop que répondre... Les Slown lui avaient conseiller de garder ça pour elle, mais Louna faisait partie de la famille... Elle avait le droit alors non ? Puis de toute façon, en parler ne blesserait personne, et personne d'autre ne serait au courant.

- Bizarre, oui. Je pense qu'on peut appeler ça de la magie... Ou peut-être que c'était une illusion. Et toi ? Qu'est-ce que tu as fait ?

Là-dessus, la petite fille se tût en attendant que Lou' lui raconte encore un morceau de son histoire...
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