Re: Europe de l'Ouest Invité, le Jeu 13 Fév - 18:38
Après avoir fini de parler, la petite brune tendit les mains avec le tout petit serpent à l'intérieur et ferma les yeux. L'enfant trouvait le petit être plutôt mignon à regarder, aussi, quand sa cousine rouvrit les yeux, celle-ci semblait étonnée et ravit de voir que la petite fille n'avait nullement peur de Leïko. Il n'était pas difficile de comprendre son étonnement... Beaucoup de gens avaient peur de ce qu'ils ne connaissaient pas ou considérer comme indigne de leur attention. En l'occurrence, le petit reptile n'avait pas dû faire l'unanimité parmi les enfants, et surtout les adultes qui vivaient dans le village ou elle avait fini par trouver refuge. Azmaria avait eu la chance d'y aller une seule et unique fois, mais ses parents avaient dû l'emmener en urgence à l'hôpital à cause d'une soudaine chute de tension. Les médecins n'avaient pas réussi à en découvrir la cause, et avaient donc préférer la garder quelques jours sous surveillance si d'autre symptôme venaient à faire leur apparitions. Ce ne fut pas le cas, mais on lui demanda de rester chez elle pendant quelques semaines, et finalement, elle ne put visiter le village et ne put aller plus loin que le jardin des Blake.
Après avoir échangé un regard entendu avec la petite brune, le serpent glissa le long de sa main, pour aller s'enrouler autour du poignet de la blonde. 'était une sensation bizarre, ça chatouillait, mais ça ne chatouillait pas en même temps... Sensation étrange, je vous l'avai dit ! Alors que la petite fille s'amusait à observer le reptile autour de son poignet, Louna entreprit de répondre aux questions qu'elle lui avait posées un peu plus tôt...
- Bah Mr.Fox, le problème c'est qu'il était trop gros. Pas pour un renard hein, mais Leïko, lui il tient dans une sacoche, alors que Fox... Il savait que je pourrais pas rester avec lui du coup il est repartit dans la forêt... Mais il y est toujours tu sais, je vais le voir des fois ! Il m'a amené jusqu'au village ou habitent Lili et Drake ! Et je suis arrivée chez eux !
La petite fille écoutait sa cousine avec énormément d'attention. Elle avait toujours été d'un calme dépassant parfois celui des adultes, mais c'était deux fois pire en cet instant. Elle ne pipait mot, et se contentait d'écouter. Qu'on ne s'y trompe pas, la brune ne l'ennuyait pas, elle essayait simplement de s'imaginer la scène avec le plus d'exactitude possible. Mais n'ayant jamais vu de foret cela s'avérait être une tâche des plus ardue... Sa cousine continua à raconter son histoire après avoir fait une légère pause ou elle se laissa distraire. Sans doute par ses souvenirs, les seuls qi lui restaient...
- Bah, tu sais... Quand je me suis réveillée, j'ai pas tout de suite compris que j'étais dans la forêt, parce que j'ai commencé par garder les yeux fermés. Puis j'ai senti les feuilles sous moi et là j'ai eu très peur. Du coup j'ai ouvert les yeux, je savais pas ou j'étais et je savais pas comment me retrouver là ! La clairière me paraissait géante et j'allais pleurer quand j'ai vu les yeux.. Ils étaient tout brillants, et verts, et je voyais que ça. Je me suis rapprochée des yeux, parce que j'avais plus peur, j'étais pas seule. C'est là que j'ai rencontré Mr.Fox. Je crois que si je l'avais pas rencontrée, bah je serais restée dans la forêt, à pleurer beaucoup dans la clairière.
Azmaria se doutait bien que se réveiller seule, en pleine forêt et sans souvenir devait être terrifiant. Elle non plus n'avait plus de souvenir de ses parents, mais ils l'avaient abandonnée. Par conséquent, c'était sans doute mieux qu'elle ne se rappelle pas. Puis même s'il lui arrivait souvent de se sentir seule, ce n'était nullement lié à cela, mais à son incapacité a aller vers les autres enfants de son âge. Elle se sentait beaucoup plus à l'aise en compagnie d'adultes... Bien qu'il arrive que certains soient pire que des enfants. Après un assez long silence, Louna finit par reprendre la parole pour poser une question assez originale à la petite fille...
- Mais au fait ! C'est la que j'ai fait un truc marrant ! Dis-moi tu as déjà fait des trucs bizarres toi ? Genre de la magie ?
La blonde ne savait pas trop que répondre... Les Slown lui avaient conseiller de garder ça pour elle, mais Louna faisait partie de la famille... Elle avait le droit alors non ? Puis de toute façon, en parler ne blesserait personne, et personne d'autre ne serait au courant.
- Bizarre, oui. Je pense qu'on peut appeler ça de la magie... Ou peut-être que c'était une illusion. Et toi ? Qu'est-ce que tu as fait ?
Là-dessus, la petite fille se tût en attendant que Lou' lui raconte encore un morceau de son histoire...
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Re: Europe de l'Ouest Invité, le Mar 25 Fév - 22:33
Rp Azmaria
Tout le long de l'histoire de Louna, la blonde n'avait pas pipé mot, elle était toute calme et attentive, et la brune ne savait si c'est parce qu'elle l'ennuyait avec ses histoires de forêt, ou si au contraire c'était pour mieux comprendre et imaginer celle-ci. La petite fille préférait opter pour le deuxième option, qui lui paraissait la plus probable, mais aussi la plus gentille, pour elle du moins. Par contre sa dernière question semblait vraiment gêner sa cousine... Elle avait dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Non pas à sa connaissance, pourtant on aurait tellement dit ! Zaza ne faisait peu être pas de magie elle ? Non, c'était sa cousine alors... Pfff, Louna n'y comprenait rien tout ça, c'était bien trop pour sa petite caboche.... De toute façon, elle verrais bien, puisque la blonde semblait avoir fait un choix déterminant, et elle prit la parole :
- Bizarre, oui. Je pense qu'on peut appeler ça de la magie... Ou peut-être que c'était une illusion. Et toi ? Qu'est-ce que tu as fait ?
Une illusion ? Elle serait deux à être folle alors... Mais bon, la petite fille ne pensait pas être assez folle pour avoir des hallucinations, et le petit lutin qu'elle était était heureuse de savoir que sa cousine aussi était une magicienne. D'ailleurs en y repensant, qu'elle avait été la première chose que Louna avait fait en tant que sorcière... Hummm, sûrement le feu dans la forêt. Oui, le deuxième soir alors que la petit commençait à geler, Mr.Fox l'aidait à rassembler des branchages quand le feu avait prit, majestueux et chaleureux, comme un phare dans la nuit. La gamine n'avait pas réfléchit au pourquoi du comment et s'était assise près des flammes. Mais par la suite, des actions inexpliquées de ce genre c'était répétée après qu'elle se soit installée chez les Northfells, et c'est Drake qui l'avait rassurée, avec un grand sourire à la clé. Quand la curieuse avait demandée pourquoi elle était comme ça, pour quelles raisons la petite de devait cacher ses dons en dehors du jardin, Lili lui avait dit "plus tard". Ouai, sauf que plus tard quand ? Raaaaah, c'était long le plus tard.... Se souvenant qu'elle n'était pas seule et que la petite blonde attendait sûrement une réponse, Louna se mit à grattouiller l'arbre tout en répondant :
- Si c'est une illusion, on est beaucoup à la voir... Baaaaaah... Le premier truc que j'ai fait en tout, c'était le feu dans la forêt. Tu vois un soir, avec Mr.Fox et Leïko on avait froiiiiiiid... Genre comme les glaçons ! Pis on avait rassembler les bout de bois, quand tout à coup, sa s'est enflammer ! Pis après quand jsuis arrivée chez Lili et Drake, y'avait des objets qui volaient des fois quand je boudais fort ou que je m'amusais beaucoup. Et toi ? Raconte !
La petite, maintenant qu'elle savait que son amie pratiquait elle aussi la magie, voulait tout savoir de ça, comment elle avait découvert ses pouvoirs, qu'est ce qu'elle avait fait la première fois, mais aussi si elle avait recommencer, si elle aussi devait se cacher, pourquoi... Autant de questions qu'elle se posait à un rythme rapide, n'ayant pas le temps de toutes les poser. Puis, en pensant au fait qu'elle étaient peu être en pleines illusions, un autre fait vînt la contredire puisque Drake lui aussi savait faire des trucs de fées. Ouai, sauf que lui il avait un baton quand il faisait ça, peu être parce que c'était n vieux fée ? Sûrement. D'ailleurs, puis qu'Azmaria était sa cousine, elle pouvait tout lui dire, et pour rassurer la petite blonde quand au fait qu'elles n'était pas folle, la brune lui assura alors :
- Pis on peu pas être folle hein, parce Drake aussi c'est une fée !
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Re: Europe de l'Ouest Invité, le Mar 18 Mar - 21:23
La petite blonde observait sa cousine qui venait de se perdre dans ses pensées suites à sa réponse. Elle venait d’appeler ce phénomène un illusion, mais sa mère l'avait vue elle aussi... Avoir la même "illusion" au même moment était étrange tout de même. Et ce genre genre de chose était arriver plus d'une fois... Et chaque fois la blonde avait peur d'être la cause de tous ces événements. Toutes les choses étranges se passait autour d'elle lui faisait peur... L'enfant ne voulait blesser personne, et elle s'avait que se possible "don" était incontrôlable... Du moins pour elle. Elle en avait pleinement conscience et tentait donc de ne pas trop s'approcher des autres pour ne pas leur faire de mal, bien que cette solitude lui pesait énormément... Louna sembla enfin revenir sur terre...
- Si c'est une illusion, on est beaucoup à la voir... Baaaaaah... Le premier truc que j'ai fait en tout, c'était le feu dans la forêt. Tu vois un soir, avec Mr.Fox et Leïko on avait froiiiiiiid... Genre comme les glaçons ! Pis on avait rassembler les bout de bois, quand tout à coup, sa s'est enflammer ! Pis après quand jsuis arrivée chez Lili et Drake, y'avait des objets qui volaient des fois quand je boudais fort ou que je m'amusais beaucoup. Et toi ? Raconte !
Elle pouvait vraiment ? La première fois, ça c'était produit parce qu'elle était heureuse, mais on aurait dit que sa mère, qui avait assister a la scène, avait eu peur... Ça avait effrayer l'enfant. Pas dans le sens ou le tour qu'elle avait effectuer était dangereux, loin de là même. Mais la réaction de sa mère l'avais déstabiliser. Elle s'était demander si celle-ci n'allait pas la ramener à l'orphelinat parce qu'elle était différente, parce qu'elle provoquait des événements inexplicables et bizarre. Finalement, personne ne l'a ramena d’où elle venait, et ses parents finirent par s'habituer a tous ces petits événements surprise. Malgré cela, la petite fille préférait se cacher un maximum...
- Bah moi, la première fois.... C'est quand maman est venu me voir et qu'elle a lancer des confettis. Ils ont voler très longtemps et je pouvais faire ce que je voulais avec. Mais je crois que maman a eu peur donc je les ais laisser tomber. Pis c'est arriver de temps en temps après, la neige qui fond un peu autours de mes pieds et tout et tout...
La petite blonde attendais une réaction de la part de sa cousine. Elle doutait que celle-ci la juge méchamment, après tout elle faisait la même chose, mais peut-être qu'elle trouverais certaines choses bizarre.
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Re: Europe de l'Ouest Invité, le Mar 1 Avr - 7:59
Même après son discours sur son premier tour de magie, Azmaria semblait tourmentée. Pourquoi, Louna ne le savait guère, mais elle se le demandait bien... Après tout, c'était cool être une fée non ? En tout cas, c'est ce qu'elle en pensait. La gamine n'avait peu être pas d'ailes dans le dos ni de baguette, quoique ça se réglait avec l'âge sur ce dernier point, mais cette idée hantait ses pensées tel l'aiguille d'une horloge, tournant et retournant indéfiniment dans une ronde infernale. Enfin, Zaza se décida à lui répondre, et la brune se recentra sur elle en se mettant en tailleur les yeux pétillant comme lorsque que Lily lui raconte une histoire avant de s'endormir...
- Bah moi, la première fois.... C'est quand maman est venu me voir et qu'elle a lancer des confettis. Ils ont voler très longtemps et je pouvais faire ce que je voulais avec. Mais je crois que maman a eu peur donc je les ais laisser tomber. Pis c'est arriver de temps en temps après, la neige qui fond un peu autours de mes pieds et tout et tout...
A eut peur ? La petite pencha la tête à cette phrase. Comment sa maman pouvait avoir peur, elle n'avait pas l'air méchante ou bizarre pourtant... Enfin, peu être que son papa et sa maman étaient pas des fées, ce qui expliquerais tout donc. En tout cas, Louna sourit de nouveau en entendant la suite. Azmaria était toute timide quand elle exprimait les petites choses qu'elle avait fait des capacités. Se balançant d'avant en arrière, elle finit alors par répondre avec un ton et des yeux rieurs, se voulant rassurante et engageante :
- Mais c'est trop cool la neige qui fond autour de tes pieds ! Pis les confettis j'ai jamais fait ça, mais il faudrait que j'essaye un de ces quatre peu être tiens... Mais franchement, la neige, c'est top, comme ça t'as pas froid au pied. Comment tu fais pour faire des bonhomme de neige alors ?
Cette nouvelle question l'avait vraiment intriguée, mais elle n'eut pas le temps d'entendre la réponse. En effet, alors que la gamine allait poser une nouvelle question, elle entendit distinctement prononcer son nom. Tournant la tête dans la direction du bruit, elle découvrit Lily et Drake qui l'appelait, Drake secouant les bras dans tout les sens, provoquant le rire de la petite. Il n'empêche que c'est a contre-coeur qu'elle avança vers eux. Ce n'est pas qu'elle n'avait pas envie de les voir, mais elle était bien avec sa cousine, elles se racontaient plein de choses alors partir maintenant... Dans un moue boudeuse, Louna se leva et tendit la main à la petite blonde pour l'aider à se lever. Quand ce fut le cas, la brune passa ses bras autour d'elle et lui fit un énorme câlin tout en lui disant :
- J'ai pas franchement envie d'y aller maintenant qu'on s'est rencontrées, mais du coup, c'est cool comme ça j'aurais super envie de revenir vite ! T'es trop top zaza !
Puis, avec un petit bisous sur la joue, l'enfant partit au quart de tour vers ses parents adoptifs. Après un au revoir au invités et au reste de la famille, Louna et ses parents partirent de la maison, pour faire le trajet inverse qu'à l'aller et retourner chez eux.
[Fin du RP pour Louna]
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Re: Europe de l'Ouest Invité, le Ven 25 Avr - 10:04
Première amie...
Quand la petite fille expliqua qu'elle pensait avoir fait peur à sa mère, Louna sembla ne pas en comprendre la raison. Elle avait de la chance elle, son père était une fée, mais pour la blonde, c'était un peu plus compliquer. Quand elle allait voir ses parents adoptif parce qu'elle avait fait apparaître quelque chose ou changer la couleur d'une autre, ils ne pouvaient pas l'aider et passer leur temps a lui répéter que ce n'était pas grave. L'enfant aurait aimer pouvoir parler avec Drake, peut-être que lui il pourrait l'aider ...
- Mais c'est trop cool la neige qui fond autour de tes pieds ! Pis les confettis j'ai jamais fait ça, mais il faudrait que j'essaye un de ces quatre peut-être tiens... Mais franchement, la neige c'est top, comme ça t'as pas froid aux pieds. Comment tu fais pour faire des bonhommes de neige alors ?
Cette question semblait vraiment intrigué sa cousine, et cette constatation fit sourire la petite fille. La réponse n'était pas forcément évidente... Mais l'enfant ne faisait tout simplement pas de bonhomme de neige. Angelica avait bien trop peur qu'elle ne tombe malade encore une fois et doivent être reconduite a l'hôpital. Alors que la petite blonde s’apprêtait à répondre a la question de la jeune fille, une voix retentit dans tout le jardin. Il s'agissait de Drake qui appeler Louna, apparemment il était déjà l'heure de rentrer pour toutes les deux... L'enfant aida la blonde a se relever tout en lui expliquant qu'elle était déçu de devoir partir, mais qu'elle avait très envie de revenir maintenant.
Après un câlin et un bisou sur la joue, Louna partit rejoindre ses parents suivi de prés par Azmaria. Elle dut dire aux invités qui partaient de passer une bonne soirée et par conséquent elle ne put assister au départ de sa cousine, mais celle-ci ne lui en voudrait sans doute pas beaucoup. Une fois tout le monde partit, la fillette se précipita dans les bras de sa mère et lui demanda avec un grand sourire quand est-ce que Louna pourrait revenir jouer avec elle...
Fin du RP pour moi également
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Re: Europe de l'Ouest Invité, le Jeu 12 Juin - 22:50
RP Unique. Le 20 Juin, la Seizième Année de Madison. Les évènements suivants se déroulent au cœur de Paris, au 13 5/4 Rue de la Paix.
Paris.
Voilà où tout se terminait. Sa belle vie libre d'étudiante française était finie. Elle avait grandit si rapidement qu'elle n'en revenait pas d'avoir déjà passé seize années à vivre en ce monde. Dont six où elle ne put dire un mot. Pour "célébrer" ce dernier jour elle invita son amie proche, Elizabeth, qu'elle avait rencontré à l'Académie de Magie de Beaux-Bâtons. Elle firent la cuisine dans ses appartements parisiens Rue de la Paix au dessus de la boutique Cartier de ses parents. Enfin, ce fut l'invitée qui s'occupa de la cuisine, sinon les macarons auraient explosés plus qu'autre chose. En ce dernier goûter ensemble, elle s’assirent sur les chaises surélevées du bar de la cuisine et dégustèrent leurs pâtisseries. Elles tentaient toutes les deux de faire comme si ce n'était qu'un après-midi ordinaire mais le silence semblait peser de plus en plus lourd sur leurs épaules et finalement l'une posa sa main sur la table et regarda l'autre droit dans les yeux. Sous ses airs de dure à cuire reposait une multitude d'émotions, Madison le sentait.
Elizabeth Deschamps.
- Tu vas me manquer Madison, tu le sais ça ? Lui enfonça-t-elle involontairement, la faisant culpabiliser plus qu'elle ne le faisait déjà.
La Cartier qui essayait tant bien que mal d'éviter le regard de son amie, fut contrainte de poser le gâteau qu'elle était en train de se fourrer délicatement dans la bouche. Elle leva les yeux et pencha la tête sur le côté pour lui faire comprendre que le sentiment était partagé. Elle lui signa qu'elle l'aimait et l'invitée en fit de même avant d’attraper des doigts un énième macaron...
- Tu vas me laisser pendant deux ans avec toutes ces riches harpies et ces beaux dragons qui viendront me demander "Où, Dieu-donc, t'es tu enfuie ?". Rajouta-t-elle la bouche pleine en en laissant échapper un rire.
Madison esquissa un sourire en peine, même si son amie ne faisait que de la taquiner. Elle lui versa du thé ainsi que dans sa propre tasse avant de lui signer qu'elle lui écrira tous les jours lorsqu'elle sera en Angleterre.
- Mais non ! Ne perds pas ton temps à ça ! Je suis sûre que tu auras plein de gens avec qui t'éclater une fois là bas.
Elle lui signa que la seule personne dont elle avait besoin était ici et lui tendit la main. Elizabeth l'attrapa et Madison cru voir une larme s'échapper, passant discrètement derrière les mèche de la tignasse de son amie. Celle-ci se rattrapa aussitôt, buvant tout son thé en quelques gorgées et se frottant les yeux prétendant qu'un cil s'y était glissé.
- Bon écoute, annonça-t-elle en se levant et en tentant un sourire, ce n'est pas que je m'ennuie mais je suis certaine que tu as encore plein de choses à préparer pour ton départ...
Sa voix s'éteint. Elle qui était une personne qui se voilait toujours la face, c'était assez triste de voir qu'elle ne parvenait pas en cet instant à dissimuler ses émotions. Madison se leva de sa chaise, épousseta sa robe et haussa la tête en lançant un regard compatissant à son invitée. Peut-être étaient-elles trop dramatiques à propos de ce déménagement. Après tout ce n'était qu'un au revoir. Madison allait vivre chez ses grands-parents paternels à Londres et finir ses études à Poudlard tandis qu'Elizabeth terminerait sa scolarité à Beaux-Bâtons et avec un peu de chance pourrait lui rendre visite à la boutique Cartier de New Bond Street en Angleterre. Car en ce qui la concernait, elle, ne pourra pas en sortir. Le travail demandé sera beaucoup trop important, pour ne serait-ce quelques jours de vacances. Son père lui avait bien fait comprendre qu'être un ou une Cartier était bien plus qu'avoir une renommée, c'était un travail perpétuel vers l'excellence.
Armand Cartier, Père.
Mais à ce moment-ci, elle fit fuir tous ces devoirs de sa tête et se jeta sur son amie pour l'enlacer. Elle se sentait terriblement bien avec elle et elle allait lui manquer d'une façon inimaginable. Elle était la seule personne avec qui elle pouvait se comporter en véritable humaine. Elle pouvait manger avec les doigts sans qu'elle ne dise rien, elle pouvait se moucher dans des mouchoirs en papier sans qu'elle ne crie "Au meurtre !" des arbres. Tous ces détails insignifiants et qui pourtant prenaient une telle ampleur lors de la séparation de ces deux êtres liés par un esprit commun. Elles ne s'étaient connues que pour quatre ans, mais c'étaient quatre fantastiques années. Elizabeth lui rendit son étreinte et s'en alla s'en ajouter un mot de plus. Madison n'avait pas pleuré en face de son amie et n'aurait pu le faire même si elle s'y était obligée. A force d'avoir été contrainte à ravaler ses sentiments, ceux-ci étaient restés cachés chez elle. Ils étaient bien là quelque part et lui faisaient l'effet de véritables coups de couteaux mais elle ne pouvait rien dire.
Héloïse Cartier, Mère.
La Demoiselle Cartier jeta les gâteaux restant à la poubelle et fit la vaisselle proprement, avant de courir aux toilettes de la salle de bain pour régurgiter tout ce qu'elle venait d'avaler. Elle ne supportait pas une telle nourriture. C'était certes délicieux sur le palais, mais dans le corps c'était une autre affaire. Les larmes aux yeux, la gorge douloureuse, elle s'observa dans la glace. Alors voilà donc ce qu'elle était devenue. Voilà la fameuse héritière du Cartier Londonien. Joli travail en apparence, c'est vrai mais de toutes évidences c'était bien simple avec une potion bien préparée. Elle s'allongea dans la baignoire de porcelaine et fit couler un bain chaud. Elle n'arrivait pas à discipliner son esprit. Ses pensées vagabondaient dans tous les sens à cause de ce changement qui perturbait l'équilibre qu'elle avait difficilement réussit à acquérir. Qu'allait-elle donc faire en Angleterre ? Elle qui ne savait même pas parler anglais. Dans le château de "Pourlarde" dont on entend les pires histoires. Des serpents gigantesques, des araignées reines de la forêt, une catégorisation en différentes classes selon leur personnalité. C'était vraiment absurde. Elle n'était même pas sûre d'y être acceptée. Non seulement elle ne parlait pas la langue de leur pays, mais en plus elle n'avait encore jamais accompli un seul sortilège de sa vie. C'est plutôt surprenant pour une jeune sorcière, surtout à l'âge de seize ans. Bien sûr il y avait l'obstacle de la parole mais sa mère, elle, avait réussit ses premiers sorts informulés dès quatorze ans. Elle n'avait plus qu'à espérer que cette fameuse école froide mais prestigieuse l'accepte par simple hasard ou erreur d'administration. Voire peut-être en tant qu'expérimentation.
Poudlard.
Elle s'avançait d'un pas silencieux et élégant jusqu'à sa chambre, bien qu'il n'y eut personne à impressionner. Elle fit son unique valise avec essentiellement des vêtements chauds, sombres et sobres. Sa voiture devait partir le soir-même direction Londres pour qu'elle rejoigne ses grands-parents là bas. Elle descendit à l'atelier pour serrer sa mère dans ses bras une dernière fois et elle fit la bise à son père en remontant l'escalier menant à la boutique. Elle leur avait déjà dit au revoir ce matin et ils étaient de toutes évidences bien trop occupés pour renouveler de telles émotions. Ils étaient bien tristes de voir leur Madison partir si tôt, mais le travail et la tradition passaient avant tout. Et la Demoiselle Cartier comprenait parfaitement. Elle courut docilement jusqu'à l'atelier où elle avait oublié sa valise et celle-ci lui parut soudainement beaucoup plus légère que lorsqu'elle avait du la descendre jusque là. Elle interrogea sa mère du sourcil, mais celle-ci fit mine de ne pas l'avoir vue. Esquissant un léger sourire en levant les yeux en l'air, elle remonta les escalier d'un pas assuré. Traversant gracieusement dans le magasin, elle souriait aux clients de la boutique, gardant la tête haute et les épaules en arrière. Elle eut à peine le temps de poser sa valise sur le trottoir que déjà sa voiture arrivait. C'était une Lincoln Town Car, plus classique que moderne, avec le nom Cartier inscrit en argent sur la carrosserie. Le portier la débarrassa de sa valise qu'il mit au coffre et la laissa s'asseoir dans l'espace confortable de la banquette arrière. Soudain, alors qu'il venait à peine de claquer sa porte, un coup de fouet retentit et une sorte d'onde presque invisible vint frapper tous les passants. Ceci remonte au milieu du XXIème siècle, durant lequel la voiture volante s'est modernisée en France avec un système d'invisibilité au meilleur de la magie, effaçant la mémoire de tous les moldus ayant pu apercevoir l'engin apparaître ou disparaître. Ils décollèrent aussitôt et la chaleur et le ronronnement apaisant du moteur firent sombrer presque aussitôt Madison dans un sommeil profond. La journée l'avait épuisé tant en émotions, qu'en efforts et il fallait qu'elle reprenne ses forces pour entamer comme il se doit la nouvelle vie qui l'attendait à Londres, au 1751/2 New Bond Street.
Dernière édition par Madison Cartier le Sam 20 Sep - 8:02, édité 7 fois
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Re: Europe de l'Ouest Invité, le Dim 22 Juin - 21:42
Flashback
C'était il y à déjà plusieurs années, mais la Louna d'aujourd'hui pourras vous le conter comme si c'était hier... Alors que la brune retournait chez Drake et Lily pour les vacances, il lui annoncèrent un nouvelle qui la supprit tout d'abord avant de la réjouir. Elle allait participer à un camp de vacances. Rien que ça, pendant plusieurs jours, dans une tente, à se balader et faire des activités en forêt. Lily avait déjà préparée le paquetage de la jeune fille, et Drake des réserves de bonbons qu'il lui donna pendant que sa femme avait le dos tournée. Après un au revoir rapide, la française étant très pressée de partir explorer son lieu de vacances, l'aventure commença, avec en cette fin de journée un traditionnel feu de camp. La nuit tombait lentement sur le groupe d'enfant quand l'animateur, d'une voix grave, annonça qu'il allait raconter l'histoire du... Hibou Garou. Sortant sa baguette d'un geste expert, il anima le feu d'une lueur nouvelle, les flammes formant d'inquiétantes images déjà. Puis l'animateur entama l'histoire...
Il était une fois, dans de lointaines contrées, un hibou prétentieux et casse cou. L'animal n'avait peur de rien, pensait être le plus fort et surtout inventait toujours de belles histoires ou il était le héros pour que ses amis se pâment devant lui. Un jour, alors qu'il était de nouveau en train de raconter une histoire imaginaire, les animaux de la forêt décidèrent de lui donner une bonne leçon :
- Mais dis moi hibou, toi qui est si fort, débarrasses nous alors du loup garou qui hante la forêt la pleine nuit venue !
Le prétentieux n'avoua pas que lui aussi avait peur de a bête féroce et se contenta d’acquiescer d'un air décidé, cherchant une solution à son problème en pensée. Il lui restait qu'une semaine avant la pleine lune, et s'il ne trouvait pas de ruse, l'oiseau serait obligé de combattre le loup-garou bec et serres dehors. Malheureusement pour lui, la semaine passa mais nulle solution ne s'offrit au jeune hibou qui ne se résolu pas pour autant à perdre la face devant les autres animaux. Paré de peinture de guerre, il se posa sur une branche à l'orée de la forêt tandis que la lune commençait son ascension dans le ciel noir d'encre.
Un hurlement survint. Il résonnait dans la nuit, tel un appel à l'aide, cri de détresse prononcée à la place de l'oiseau. Puis, dans l'horizon, éclairé par la pâle lueur nocturne, un silhouette se dessina, pour se préciser tandis qu'elle avançait, monstrueuse et gigantesque. Alors que la bête était presque arrivée, l'hibou plongea et l'attaqua de face, serres en avant. Il n'eut le temps de ne toucher qu'un œil avant de recevoir un coup de gueule et d'être projeté au sol tel une poupée de chiffon. Mal en point, la fierté du bel oiseau ne pouvait se résoudre à abandonner et une idée germa dans son esprit pendant qu'il reprenait son vol tant bien que mal. Il était un endroit, plus loin dans la forêt, que les animaux évitait comme la peste car il était empli de pièges. Si notre hibou arrivait à voler assez vite malgré la morsure, le loup garou pourrait ainsi tomber dans un d'eux et les bois serait sauver de ce fléau, et ce serait le hibou qui en serais le héros.
C'est ce qui se passa pendant cette nuit. Au petit matin, les amis de l'animal à plume l'acclamèrent et le portèrent en triomphe, se promettant de ne plus jamais penser du mal de lui. Mais un autre fléau, plus grand encore se produit un mois plus tard. Alors que la première pleine lune depuis la chute de la bête entamait sa lente montée dans le ciel étoilé, notre fameux hibou prétentieux se sentit mal, comme s'il était tiraillée de tout coté. Il avait beau appelé de l'aide, personne de répondait. Son corps enfla, se plumes s’espacèrent et ses yeux s'emplirent d'un rouge sang. Toute la prétention dont il avait put faire preuve s'envola pour laisser place à une rage sans limite, une envie de détruire, piller et manger : Il était devenue un hibou garou. Enfin, non, pas un hibou garou mais LE hibou garou. Voici ce que lui avait coûté sa vantardise et ses mensonges.
Si d'aventure vous entendez par une nuit de pleine lune un hurlement ressemblant vaguement à un hibou, demandez vous si ce n'est pas lui qui traîne dans les parages... Il sait voler vous savez...
Pendant toute la durée de l'histoire, la petite Louna avait gardée ses yeux rivés sur les flammes et les jolies images qui apparaissaient. Cette nuit-là, la brune tendit l'oreille dans l'attente du hibou garou, mais elle s'endormit sans n'avoir rien entendue. Même si elle est adulte maintenant, il arrive à la française de chercher des fois dans le souffle du vent un hurlement suspect qui pourrait prévenir l'apparition du fameux hibou.
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Un chasseur sachant chasser... Invité, le Sam 7 Fév - 22:49
Début RPG avec Kaëlie Dorkins
Flash back...
Alors que j'étais dans la salle commune des Gryffondors, assise sur un fauteuil face à la cheminée, en train de me venir les ongles. J'entendais pour la cinquième fois au moins notre chère Kaëlie Dorkins, préfete des Gryffondors, raconter à qui voulait l'entendre sa "fabuleuse" capture d'une étrange créature qui vie en Russie, au corps velu et à l'immonde tête grise dépourvu de poils. Elle était tellement excitée et fascinée par sa capture que je ne me lassais pas de l'écouter, afin de retenir le moindre détail de son aventure, rêvant moi aussi d'en avoir une tout aussi palpitante.
La préfete ne trouvant personne d'autre que moi à qui elle n'avait pas encore raconter son histoire vint s'asseoir sur le fauteuil à droite de celui sur lequel je me trouvais et ne faisant pas vraiment attention au fait que je l'écoute ou non commença une sixième fois ou peut-être plus son histoire. Alors que je laissais sécher mes ongles, je n'écoutais que distraitement plongé dans mes pensées. *Et si je lui proposais de venir faire une capture avec moi ? Après tout je n'ai rien à perdre.*. J'attendais avec impatience la fin de son récit pour lui proposer mon idée.
- Maintenant que tu as fini ton récit sur ta "fabuleuse" capture ça te dit de venir faire une capture avec moi ?
Et c'est d'un commun accord que le lendemain après avoir préparées leurs affaires qu'elles utilisèrent un portoloin afin de se rendre en Irlande et de capturer un de ses symboles, le Farfadet.
Fin du Flash back.
Grâce au potoloin nous avons donc atterris dans l'une des forêts se trouvant en Irlande.
- Alors, Kaë' nous allons par où maintenant ? Lui demandais-je
Un chasseur sachant chasser... Maître de jeu, le Sam 7 Fév - 22:49
Le membre 'Andy Potter' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé 4 faces' :
Trystan J. Harper
Gryffondor
Année à Poudlard : Aucune année renseignée
Matière optionnelle : Pas encore disponible
Spécialité(s) : Permis de Transplanage
Re: Europe de l'Ouest Trystan J. Harper, le Mer 11 Fév - 5:27
The hunter can hunt : Ireland. PV : Andy Potter
・ ◇ ・ ◇ ・
Si j’avais le morale dans les talons depuis plusieurs jours déjà, la chasse fructueuse que j’avais tout récemment effectuer avec Leister n’avait pu que me redonner un brin d’énergie. C’avait été sur un coup de tête qu’on avait répondu à la demande lancé à la communauté magique pour peupler un futur Zoo. On avait alors décollé en Portoloin vers Moscou – capitale de la Russie, à la recherche de ces fameux Povrebines. La chance nous avait sourie à pleine dents cette nuit là, car nous n’avions mi que peu de temps avant de rencontrer la créature et de s’élancer dans une longue poursuite qui s’était finalement achevé par la capture de la bête. Cette aventure m’avait d’ailleurs fait beaucoup plus de bien que je ne l’aurais cru. Sortir de la routine pour fuir tout ces tracas du quotidien, était grandement rafraichissant. Qui sait, peut-être que c’était justement les aventures de ce genre qui était le remède à ces trop nombreuse saute d’humeurs dont j’étais victimes ces temps-ci ?! Chose certaine, la simple idée de recommencer ne me décollait plus de l’esprit ! J’étais même prête à partir là maintenant, si quelqu’un me le proposait.
Mais pour le moment, je faisais passer mon manque d’aventure en racontant à qui voulait bien l’entendre, l’histoire de ma capture. Bon évidemment, comme toute bonne histoire, j’en avait quelque peu enjolivé les scènes. Les rendant beaucoup plus mouvementées et dangereuses qu’elle ne l’avaient été réellement, mais ça, seul Leister aurait pu le savoir. Faisant rapidement le tour de la Salle Commune, j’avais terminée mon parcours sur un fauteuil au tissu bourgogne dont le rembourrage sortait légèrement à l’extrémité d’un des bras – donnant l’impression qu’un élève un peu trop stressé y avait enfoncé les ongles. À mes côtés, une Lionne se voyait forcé désormais forcé d’écouter à son tour mon récit. Ça ne sembla toutefois pas lui déplaire, car à mon grand étonnement, elle attendit que je termine de parler avant de se proposer à partir en quête d’une prochaine capture.
«Je.. Oui, bien sûr que ça me dit !» Commençais-je par lui répondre, un large sourire étirant mes lèvres à la simple idée de repartir prochainement à l’aventure. «Mais à une seule condition, que tu arrête de mettre l’emphase de la sorte sur le «fabuleuse» capture.»
Après quelques réflexions et négociation, nous avions finit par rendre verdict : dès le lendemain matin, nous allions mettre le cap vers l’Irlande et ces populaires Farfadets. C’est d’ailleurs exactement ce que nous avions fait, peut de temps après le petit-déjeuner. À l’aide d’un Portoloin, nous avions transplané jusqu’à la lisière d’une forêt Irlandaise – habitat de la créature que l’on convoitait aujourd’hui. Autour de nous, tout était très calme. Une fine couche de givre recouvrait les feuilles, brindilles et pousses d’herbes à nos pieds, alors qu’un mince voile de brouillard matinale persistait à se dresser devant nous. Le vent faisait grincer les branches des arbres et transportait les bruits des créatures réfugier dans cette forêt. Ce fut Andy qui vint briser cette quiétude la première, me questionnant sur la direction que nous devions maintenant prendre. Je m’étais contenté que d’un haussement d’épaules alors que je prenais les devant pour m’enfoncer davantage dans la forêt.
・ ◇ ・ ◇ ・
Citation :
1. On avançait depuis déjà un bon moment entre les troncs d'arbres et pourtant aucun, signe d'un quelconque Farfadet.
2. Plus on s'enfonçait dans la forêt et plus la végétation devenait danse, à tel point qu'on ne pouvait désormais plus avancer sans écarter les branches sur notre passage. J'ouvrais la marche, mais je n'avais sincèrement aucune idée où aller... Est-ce que les Farfadets préférait élire domicile dans les profondeur des bois ou plutôt en lisière? Occuper à tenir une branche afin d'éviter qu'elle ne se déploie dans la direction d'Andy, je ne fis pas attention où je mettais les pieds et je trébuchai sur un objet au sol. M'étalant de tout mon long et échappant la branche qui vola droit vers ma camarade Gryffondor qui la reçus en plein ventre, j'entendis un petit ricanement dans les arbres qui nous surplombaient. Voyant que j'avais en fait trébucher sur ce qui semblait être un tas de pièce d'or, je me relevai en vitesse. Ça y est! On avait trouvé un Farfadet, il n'y avait pas de doute là dessus!
3. Zigzagant ça et là entre les arbres, nous avancions à l'aveuglette dans cette végétation. Hormis le craquement des branches et feuilles mortes sous nos pas, on distinguait clairement le bruit caractéristique d'un court d'eau qui traçait son chemin non loin de nous. Puis, soudainement, Andy s'arrêta net – croyant avoir vu quelque chose bouger du coin de l'oeil. Scrutant les alentours, la Gryffondor l'aperçus enfin : ce petit être perché dans les arbres à nous observer curieusement. C'était bien ça, un Farfadet!
4. On avançait depuis déjà un bon moment entre les troncs d'arbres et pourtant aucun, signe d'un quelconque Farfadet.
Re: Europe de l'Ouest Maître de jeu, le Mer 11 Fév - 5:27
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'Dé 4 faces' :
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Un chasseur sachant chasser... Invité, le Ven 13 Fév - 21:38
Alors que je te regardais prendre n'importe quelle direction, je regardais autour de moi une dernière fois avant de te suivre. Cela faisait déjà plusieurs heures que nous marchions et toujours aucune trace d'un seul Farfadet, à croire que nous les faisons fuir !
En aillant marre de ce silence pesant je me suis mis à chantonner le célèbre hymne de Poudlard tout en marchant :
- Poudlard, Poudlard, Pou du Lard du Poudlard, Apprend-nous se qu'il faut savoir, Que l'on soit jeune ou vieux ou chauve Ou qu'on ait les jambes en guimauve, On veut avoir la tête bien pleine Jusqu'à en avoir la migraine Car pour l'instant c'est du jus d'âne, Qui mijote dans nos crânes, Oblige-nous à tout étudier, Répète-nous c'qu'on a oublié, Fais de ton mieux, qu'on se surpasse Jusqu'à c'que nos cerveaux crient grâce.
Lancé de dé:
1: On tombe sur un Farfadet. 2: On finit par se perdre et on ne trouve rien du tout. 3: Par le plus grand des hasards on finit par en trouver un entrain de galérer parce qu'il est arrive pas à retrouver son chemin. 4: On en trouve rien, on le suis mais on finit par perdre sa trace pour se retrouver dans un milieu assez sombre de la forêt.
Un chasseur sachant chasser... Maître de jeu, le Ven 13 Fév - 21:38
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Trystan J. Harper
Gryffondor
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Spécialité(s) : Permis de Transplanage
Re: Europe de l'Ouest Trystan J. Harper, le Sam 14 Fév - 18:39
The hunter can hunt : Ireland. PV : Andy Potter
・ ◇ ・ ◇ ・
On zigzaguait entre les troncs d’arbres depuis un bon moment déjà – contournant présentement le tronc tordu et bossu d’un arbre centenaire qui poussait de travers, et pourtant, aucun signe d’un quelconque Farfadet qui se trouverait dans les parages. Tout était calme, trop calme… hormis peut-être chacun de nos pas qui venaient raisonner dans de bruyants craquements en brisant cet quiétude qui nous entourait. Alors qu’on avançait en silence, je tentais de me remémorer toutes les informations que je connaissais sur la créature que nous chassions. J’espérais ainsi en dresser une liste afin de voir si nous n’avions pas passé aux côtés d’un détail important. On pouvait donc retrouver ces êtres exclusivement en Irlande – où ils habitaient principalement dans les bois et forêts : pour ça c’était bon, on était sur la bonne voie. Ensuite, c’était des petits bonhommes à la peau verte, doté de parole et qui aimait particulièrement attirer l’attention par toutes sortes d’espiègleries... Ces aspects ne nous avançaient pas plus qu’il faut dans notre recherche, car s’ils aimaient attirer l’attention, qu’attendaient-ils pour le faire ?!
Soupirant bruyamment, je m’apprêtais à demander l’avis d’Andy sur notre situation qui commençait à être plus que déprimante, lorsque cette dernière se mit tout bonnement à chantonner l’hymne de Poudlard. Me tournant vivement vers la lionne pour le dévisager un bon coup, je m’interposai à la fin de sa chanson :
«Non mais tu fais quoi là au juste ?! lui avais-je demander d’un ton un peu plus brusque que nécessaire. Tu sais, je ne crois pas que ce soit à nous d’attirer l’attention des Farfadets, mais plutôt à eux d’attirer la nôtre ! Ça nous avance à rien si tu les fais fuir !»
Bon ce n’était évidemment qu’une simple chanson et Andy n’avait probablement pas l’intention de saboter notre capture avec ça, mais je n’étais certainement pas connu pour ma patience légendaire et là, en ce moment, cette dernière commençait à s’effriter dangereusement. J’étais venu en Irlande dans le but d’y retrouver une aventure et de me dégourdir un peu les jambes à la suite de ces trop longues heures passé derrière un bureau de classe. Ce n’était surement pas pour une simple balade santé au beau milieu des arbres tout en chantant de belles petites comptines… Arrivant à l’instant au pied du tronc tordu et bossu d’un arbre centenaire qui poussait de travers, j’eu soudainement un impression de déjà-vu. Voilà qu’on tournait en rond !! Il y avait de cela une quinzaine de minutes qu’on avait contourné ce même arbre… Inspirant profondément pour tenter de calmer ma frustration qui grimpait en flèche, je posai mes iris – qui avaient d’ailleurs commencé à se colorer en lilas, sur ma collègue. J’espérais fortement qu’elle trouverait une solution à notre situation, car pour ma part, je n’en avais présentement aucune !
・ ◇ ・ ◇ ・
Citation :
1. Ce clame plat m'exaspérait au plus haut point! Où était passé mon optimiste habituel? L'inaction de cette forêt combiné au fait de s'être tout bêtement perdu avait probablement finit par avoir raison d'elle. Si ça continuait comme cela, nous allions bien finir par rentrer au Château, bredouille.
2. Un craquement raisonnant à notre droite, Andy et moi se tourna dans un même mouvement – juste assez rapidement pour voir un petit être è la peau verte disparaitre derrière un tronc d'arbre. Ça y est, on en avait enfin trouver un!! Criais-je de joie intérieurement, avant de m'élancer à sa poursuite.
3. Un Farfadet nous suivait depuis un bon moment déjà – probablement même depuis que nous étions entré dans cette satané forêt. Ayant sans doute entendu des brides de notre conversation sur un souhait commun de croiser le chemin d'un membre de son espèce, le petit être avait décider de nous laisser tourner en rond... Un forme d'espièglerie de sa part. C'est seulement lorsque nous nous remis en marche que nous avions réaliser être suivis. La manche d'Andy étant resté coincé dans une branche d'arbre, elle s'était brusquement retourner pour la décoincer et c'est là qu'elle avait aperçus le Farfadet.
4. Ce clame plat m'exaspérait au plus haut point! Où était passé mon optimiste habituel? L'inaction de cette forêt combiné au fait de s'être tout bêtement perdu avait probablement finit par avoir raison d'elle. Si ça continuait comme cela, nous allions bien finir par rentrer au Château, bredouille.
Re: Europe de l'Ouest Maître de jeu, le Sam 14 Fév - 18:39
Le membre 'Kaëlie Dorkins' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Dé 4 faces' :
Invité
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Un chasseur sachant chasser... Invité, le Dim 15 Fév - 16:23
« Non mais tu fais quoi là au juste ? ! lui avais-je demander d’un ton un peu plus brusque que nécessaire. Tu sais, je ne crois pas que ce soit à nous d’attirer l’attention des Farfadets, mais plutôt à eux d’attirer la nôtre ! Ça ne nous avance à rien si tu les fais fuir !»
Je fronçais les sourcils suite à cette phrase, non mais elle croit que je chante comme ça pour m'amuser ? Bon d'accord il y a une petite part de vérité, mais ça fait avant tout partie de mon plan pour attraper un de ses farfadets.
<< Et bien figure-toi que je ne chante pas par plaisir, mais parce que ça fait partie de mon plan. Les farfadets sont des créatures qui cherchent à attirer notre attention n'est-ce pas ? Alors, à ton avis est-ce qu'ils vont faire quelque chose pour attirer notre attention s'ils voient qu'on les cherche ou bien s'ils voient qu'on en a rien à foutre d'eux ? A mon avis, je pense qu'il y a plus de chance des les faire réagir si on fait semblant de ne pas les chercher que si on les cherche vraiment. >> Dis-je un peu irrité, mais en gardant tout de même mon calme.
Reprenant mon souffle je regarde autour de nous, notamment cet arbre centenaire devant lequel on est déjà passé.
<< Soit on tourne vraiment en rond, soit ce sont les Farfadets qui nous jouent un tour ou soit on nous a lancé un sortilège l'illusion... On devrait essayer de s'éloigner de cet arbre en allant vers le Nord et après toujours tout droit. Ça nous aidera à savoir si ce sont les Farfadets ou un sortilège d'illusion. >>
Alors qu'on se mettait tranquillement en route vers le Nord, je continuais à chanter l'hymne de Poudlard en jetant quelquefois des regards autour de nous ne me sentant pas totalement en sécurité. Tout à coup quelque chose se mit à bouger dans un buisson non loin de nous.
Lancé de dé:
1. Pas de chance ce n'est qu'un lapin. 2. C'est un Farfadet. 3. Ce n'est que mon imagination trop débordante. 4. C'est un Farfadet, quelle chance !