Encore un cours pour finir la journée. Encore un avant de pouvoir aller chercher de quoi faire taire ce début de mal de tête. Rien de méchant, juste la nécessité de prendre un peu l'air. Sûrement trop d'humidité derrière les grosses pierre su château...

Heureusement, la botanique avait cet avantage de se dérouler dans des effluves naturelles des plus agréables, et surtout, gêneralement dans les serres. Passage obligatoire par le parc. Un peu d'air frais jouant dans les mèches de cheveux raccourcis, un petit rayon de soleil jouant entre les nuages, de quoi faire traîner les pieds avant s arriver en cours.

Un cookie sacrifié pour le trajet, mes opales regardant en arrière les traces de pas dessiné dans l'herbe fraîche, le parcourt s'avérait bien plus court que prévu au final. Derrière la porte de la salle de mademoiselle Lychn, un mélodie -inconnue a mes oreilles pour le moment- s'élevait

Prise de doute , sourcil rehaussé, la main partie chercher la poignée de porte s'était figée un instant. Initiation à la musique à la place de "essayez de ne pas vous faire tuer par un filet du diable" sonnait déjà mieux pour inviter les élèves du précédent cours a revenir sans crainte. Quelques notes de plus avaient reussi à ourler mes lèvres et à imposer quelques souvenirs alcoolisés à mes pensées. Il avait fallut entendre le refrain pour reconnaître la chanson sur laquelle, muni d'une mission sacrée, un serdaigle qui l'avait suivit en soiré,e avait du grimper des escaliers a 4 pattes pour se battre avec une clé-acromantule et une serrure mordeuse.

De quoi me faire oublier les blessures du dernier exercice avec notre enseignante et me faire pénétrer les lieux en fredonnant discrètement.

-Bonjour Miss Lynch. Les plantes aiment ce genre se musique?

Le classique me semblait être le plus conseillé. A moins qu' on ne m avait volontairement menti pour me faire supporter des heures de ce genre de musique. Qu'importait, ce n était pas désagréable.. abandonnant mon sac sur une table, je m'installais et récupérais une barrette pour fixer mes mèches de franges qui glissait. Lunettes sorties, grimoire également, coude appuyé sur la table et menton posé sur la main je regardais si quelques plantes reagissaient

Un gros bâillement et quelques larmes de fatigue, c’était bien la fin de journée, plus qu’un seul cours pour Arnaud avant d’aller se reposer dans sa salle commune, une petite sieste avant le diner n’a jamais fait de mal à personne ! Mais il fallait d’abord faire ce dernier cours, qu’est-ce que c’était déjà ? Ah oui ! Botanique, une matière qu’Arnaud semblait apprécié à première vue, espérons qu’il allait bien finir le cours en bon état. Les rumeurs d’élèves finissant à l’infirmerie après les cours de botanique sont assez nombreuses.

Il faut reprendre ses esprits, un élève de Serdaigle ne peut pas se permettre de louper un cours à cause de la peur. (Ou de la fatigue soit dit en passant…) Il se dépêcha donc et accéléra ses pas pour arriver vers la serre, une petite méthode pour se motiver rapidement par ailleurs, une marche dynamique et un dos bien droit !

Soudain, une musique résonnait quand Arnaud arriva.

« -Étrange, je ne savais pas que j’étais si fatigué au point d’entendre une musique par imagination. » Il s’empressa de passer la porte et se rendit compte que ce n’était pas son imagination… Il y avait véritablement une musique en attendant le début du cours. Intéressant, vraiment intéressant.

« -Bonjour Professeur » Lançait ’il d’un ton assez interrogatif vis-à-vis de la musique. Surement une méthode de décontraction du professeur Lynch avant chaque cours…

Oh, une élève était déjà présente, c’est vrai qu’Arnaud avait pour habitude d’arriver dans les premiers mais c’est toujours intéressant de voir d’autres élèves arriver avant lui (surement par amour pour la botanique ?).

Il déposa ses affaires sur une table et s’étirant très rapidement pour couper tout signe de fatigue de son corps.

Cela avait été une journée plus qu'agréable malgré la fatigue qu'elle avait entraîné, Mélinda attendait avec impatience le dernier cours de la journée. La botanique était un sujet passionnant et l'un de ses cours favoris avec le cours de soins aux créatures magiques. La raison principale était qu'ils se passaient à l'extérieure. Elle prit donc tout son temps pour rejoindre la serre où devait se dérouler la dernière heure de sa journée afin d'en profiter un peu pour prendre un bol d'air frais. Evidement le chemin jusqu'aux serres n'étaient pas très long mais cela lui suffirait amplement, elle n'avait besoin que de quelques minutes de solitude pour se ressourcer afin d'être au mieux de sa forme.

Tout en marchant elle rêvassait à la plante qui serait à l'honneur aujourd'hui, elle se demandait si celle-ci lui permettrait de créer un nouveau chapeau pour sa collection. Elle adorait s'inspirer des plantes et des créatures magiques pour les dessiner ce qui lui valait de nombreux regards curieux de la part des moldus durant les vacances. Mais lorsqu'elle arriva devant la serre, elle fut très surprise d'entendre l'air d'une musique funky provenir de derrière la porte. Elle connaissait bien cette chanson pour l'avoir déjà entendu à la radio à plusieurs reprises, sa mère aimant se réveiller en musique et de la même façon réveiller toute la maison. Un sourire illumina alors son visage et la curiosité s'empara d'elle, elle avait hâte que le cours commence. Elle n'avait encore jamais eu de cours de Botanique avec le professeur Lynch, mais avec cette musique l'heure ne pourrait être qu'agréable. Sans plus attendre elle poussa la porte afin d'entrer et saluer Mademoiselle Lynch.

- Bonjour Professeur ! Cette musique est entraînante ! Quel sera le sujet du cours aujourd'hui ? Demanda-t-elle d'une voix guillerette.

Elle prit ensuite place sur un banc autour du "U" avant de sortir ses affaires, prête à découvrir de nouvelles choses. Remarquant une élève de Serpentard et un élève de Serdaigle, n'aimant pas rester silencieuse, Mélinda leur adressa son plus beau sourire avant de les saluer :

- Salut !

Pour sa première année à Poudlard, le jeune sorcier avait donné toutes ses chances sur les cours de potions mais pas seulement: et c'est avec grand intérêt qu'il se dirigea à grand pas vers la sortie arrière du château pour se rendre aux serres. Sa journée fut constructive et il apprit énormément de chose, en espérant qu'il en sera de même jusqu'à la fin de la journée.

Le soleil commençait déjà à se coucher lorsque Akennov regarda les cieux. Rien de plus agréable que de prendre un bol d'air frais avant d'entamer la dernière heure. Il était de bonne humeur après avoir regardé son parchemin et s'être aperçu que pour cette dernière, ce sera de la Botanique !

Il commença à s'approcher du parc et son potager, repéra l'entrée de la classe et s'y dirigea. Avant même d'ouvrir la porte, il entendit de la musique: et pas un des style qu'il apprécie. C'est avec donc curiosité qu'il pénétra dans la serre et s'aperçut qu'il y avait déjà trois élèves ainsi que la professeure de Botanique.

D'un geste de la tête, Akennov salua les quatre personnes présentes et s'assit à un endroit d'où il pourrait observer la classe.
La musique provenait d'un vieux tourne-disque qui continuait de tourner, encore et encore. Le jeune sorcier l'observa tout en prenant son grimoire et essaya de se remémorer ce qu'il avait appris sur le pouvoir de la musique et tout autres sonorités sur les diverses plantes.

Après réflexion, il s'avoua vaincu et ouvrit son grimoire pour voir ce qu'il pourrait récupérer comme information.

Elle l’attendait depuis qu’elle en avait entendu parler : le cours de botanique. Bien que ce fut la fin de la journée, Helen était plus qu’en forme pour le cours qu’elle allait enfin pouvoir suivre. Il lui rappèlerait son enfance pas si lointaine à la ferme familiale. Il lui rappèlerait sa sœur.
Helen avait déjà repéré cette serre durant ses balades matinales, bien qu’elle ne pensait pas le moins du monde que des cours s’y déroulaient. L’herbe vert pomme du matin avait tourné à l’orange sous les rayons du soleil couchant.
Qu’allait-elle bien pouvoir y apprendre ? Les noms et fonctions des plantes magiques, comment les planter et les récolter, comment les entretenir… Helen savait que le potager de son père ne recélait pas de tous les plants de l’univers, et surtout pas de plantes, de fruits, de légumes, d’arbustes ou d’arbres magiques. Elle jubilait de savoir qu’elle avait encore tant à apprendre.
Elle avait beau emprunter un chemin qu’elle connaissait déjà presque par cœur, ce moment particulier de la journée qui étire les ombres rendait une nouvelle perspective à l’endroit. Devant elle, un élève se dirigeait vers la serre dont il ouvrit la porte. Une musique s’en échappa, saturant l’air au rythme des percussions, dans le laps de temps où il entrait. Elle cru reconnaître l’air, mais n’en était pas sûre. À son tour, Helen poussa la porte pour pénétrer dans une atmosphère étouffante, physiquement et musicalement. En effet, elle connaissait cet air. Ou plutôt, ces airs. L’air suffocant d’une chaleur perpétuelle connue des serres. Et l’air d’un Bruno Mars, artiste d’une nouvelle ère.

— Bonjour.

Elle s’installa derrière la table en U qui lui rappela son cours de Divination précédent.
Décidément, plus le temps passait, et plus les similitudes avec son ancien monde lui sautaient aux yeux… et aux oreilles.

Thomas arrive en baillant dans le couloir menant à au salle de cours.
Il s'imagine déjà dans la salle commune posée sur un de ces moelleux fauteuils rouges.
Il se doit de résister à la tentation de le sécher, mais comment paraître attentif et ne pas vexer la prof en baillant toutes les cinq secondes.

Quelques choses interloquent Thomas, une musique.
Il l'a déjà entendu; Vite réfléchissons, Upton funk, ça doit être ça.
Mais comment se fait-il qu'une telle musique vient de la salle de classe ?

Thomas se serait-il une nouvelle fois perdus en se rendant en cours ?
Non, il ne pense pas, ça fait désormais quelque temps qu'il arpente les couloirs et il est sur qu'il est au bon endroit.
Curieux, il avance en direction de la salle.
Il ne fait aucun doute ça vient de là.

Il regarde dans la salle rapidement et voit de nombreuses personnes installées sur les bancs.

- Madame Lynch toutes mes salutations ! J'aime beaucoup cette musique et si je doit en déduire votre choix les plantes l'aime aussi.

Thomas s'avance lentement jusqu'à une table,
Saluant de la main les personnes déjà présentent.
Il pose son sac sur le banc qui tombe en s'ouvrant par terre.
Décidément ce n'est pas son jour.

Sortant de son sac des parchemins, plumes et divers matériels pour suivre le cours,
Thomas regarde de temps à autre s'il connaît des têtes dans cette pièce.
Mais non, il ne connaît personne.
Qu'importe, vient-il ici pour suivre un cours ou pour éviter de se retrouver seul ?

Il soupir un grand coup, puis redresse la tête se passe les doigts dans les cheveux,
Et soudain affiche un grand sourire, impatient de commencer le cour.

Bon, les élèves allaient surement arrivés d'ici peu, l'occasion de rêvasser encore un peu pour Arnaud.

Trouvant sa seule voisine bien calme et la chanson bien trop.. pénible le temps allait être long.

Heureusement une première élève arriva et qui plus est! Une jaune! C'est peut-être l'occasion pour Arnaud de se rappeler la rencontre avec Castielle Colt.

Pendant qu'il rêvassait de cette "fameuse rencontre" qui le fit sourire, sa nouvelle voisine leurs adressa un "Salut! ".

-Oh salutations à toi! Je suis Arnaud, enchanté!

A peine Arnaud finit sa phrase, un autre élève débarqua! Décidément, le cours allait vite commencer, une très bonne nouvelle. Il s'agit donc d'un autre Aigle qui entra, un nouveau qu'Arnaud avait croisé deux-trois fois dans un couloir et dans sa salle commune.
Le garçon n'est d'ailleurs pas très bavard, un petit signe de tête pour nous saluer et hop hop hop, il plonge dans son livre. (Quand on vous dit que les Serdys sont studieux!)

Suivi de deux autres élèves, une autre jaune et un griffon. Les bancs se remplissent petit à petit de jeunes élèves studieux ayant soif d'apprendre. Arnaud était donc peut-être le seul qui voulait vite faire une sieste? Possible.

Quoi qu'il en soit, il manquait toujours des élèves.

Fañch Guivarch rp numéro 70 :

"Envie" : Je veux pas y aller

"Le juge" : c'est la dernière matière, une fois que ce sera terminer on partira s'amuser

"Envie" : C'est vraie?

"Le juge" : oui c'est promis

Fañch poussa la porte de la serre pour entrer dans le dernier cours de la journée. au moment la porte s'ouvrit il entendit une musique d'un genre qu'il ne connaissait pas.

"Le négatif" : comment c'est de la m*rde cette zic

"Le positif" : mais ne juge pas en deux seconde, et moi je trouve que la musique est plutôt bien.

"Humour" : négatif il juge c'est cocasse.

"Le négatif" : gnégnégné de toute façon tu aimes tout même une crotte de vache tu trouverais ça beau.

Le serpentard entra dans la salle et vit que 5 élèves étaient déjà présents, il remarqua Elhiya une fille de sa maison qu'il avait déjà croisée à poudlard. Il se dirigea à coté d'elle et la salua

Fañch : hey salut, comment tu vas? la place à coté de toi est prise?

La porte derrière moi n'avait eu que très peu de répit. Un bleu avait investi les lieux, suivit rapidement d'une blaireautine à qui s'adressait un digne de tête et un sourire en guise de salutation. Mal de crabe menaçant de s'emplifiersois des bavardages inconsistantsle mutisme mesemblait actuellement mon meilleur ami. Avec un peu de chance la fille irai causer du côté de l'aiglon l'épargnant des politesses hypocrites de coutume. Présentation du garcon -supposément de circonstance-. Parfaite réaction de sa part, il occuperait la fille suffisamment pour que je j'ai pas à me forcer à décliner mon identité.

Ne me mêlant pas à leur surplus de sociabilité, je fouillais dans mon grimoire ce qu'il était dit sur la musique et les plantes magiques. Recherches vaines, tuées dans l'oeuf par l'arrivée d'un lionceau trop poli et trop souriant. Ce devait etre la journée de la politesse et du savoir vivre aujourd'hui.. comme pour les autres je me contentais d'un bonjour silencieux guidé d'un mouvement de mèches blonde et léger haussement de commissuresde lèvres.

Nouvelle tentative de lecture avortée par des mots m'étant directement adressés. Sourcils arqués, prunelles claires scrutant par dessus mes lunettes, j'avais du scruter le géant face à moins une bonne seconde avant de comprendre ce qu'il me disait. Place. Il avait parlé des places à côté de moi. Rapide coup d'oeil de gauche et droite pour voir quel était l éventuel soucis avant de lui adresser un sourire en coin. Sac attrapé et posé à mes pieds, je découvrais l usage de la parole.

- Ho Fañch! Désolée j'avais la tête ailleurs! Vas-y pose-toi, ça fait plaisir de te revoir. Prêt à frôler la mort?

Un pouffement m'avait échappé. A chaque fois que j'ai pu partager un instant avec mon collègue de maison, il était toujours en proie à une malchance effroyable.

-T'inquiète, j'ai des pansements nounours avec moi!

Large sourire amusé en décalant une meche de cheveux rebellede mes yeux

Isolde ramassa ses affaires et les fourra sans plus attendre dans son sac. L'avant-dernier cours de la journée s'était déroulé avec une lenteur extrême, si bien que la deuxième année espérait qu'en accélérant ses mouvements, les aiguilles du temps feraient de même. Elle passa aux toilettes car elle s'était retenue tout l'après-midi et qu'il lui était désormais urgent de soulager sa vessie. La sorcière se lava ensuite rapidement les mains et partit d'un pas énergique en direction du cours qui clôturerait cette dure journée de labeur. Elle était contente de pouvoir se dégourdir les jambes car elle supportait mal de rester constamment assise.

Tandis que la jeune lionne s'avançait, une musique parvint à ses oreilles. Elle ne la connaissait pas, mais cela ressemblait fortement à ce que ses grands-parents, voire arrière-grands-parents avaient pu écouter dans leur folle jeunesse. Un vieux tube du siècle précédent, en somme. Un sourire sceptique naquit sur ses lèvres roses lorsqu'elle comprit que la musique s'échappait de la salle de cours… de botanique ? Quelle drôle d'idée.

Sept élèves étaient déjà arrivés et quelques-uns bavardaient entre eux. Le reste de la classe arriverait probablement en grosses grappes quelques instants avant le début du cours. Isolde pénétra dans la salle et salua d'un bref hochement de tête la professeure. Elle choisit une place un peu en retrait, non sans jeter un regard plein de curiosité à l'étrange objet qui trônait au centre de la salle : un antique tourne-disque qui devait être plus vieux encore que la musique qui s'en échappait. Poudlard regorgeait décidément de reliques insoupçonnées ; Isolde avait en effet remarqué que les sorciers s'adaptaient aux technologies moldues avec un temps de retard. À croire que magie et désir de progrès étaient deux choses complètement antithétiques.

Isolde disposa ses affaires sur la table. Elle n'avait pas du tout envie d'écrire car sa main était toute tachée d'encre et relativement endolorie par trop de paragraphes rédigés. Incapable de rester les fesses collées à la chaise, la préadolescente qui avait une tendance à l'hyperactivité se leva et entreprit de faire des allers-retours, demeurant néanmoins à proximité de sa place. Peu bavarde, elle prit également soin d'éviter de croiser le regard de ses camarades. Il n'y avait rien de plus agaçant qu'un individu de type élève pénétrant dans sa petite bulle pour lui tenir des propos inintéressants – salut, ça va, il fait beau aujourd'hui, j'aime la botanique. Elle soupira, pressée de rejoindre l'atmosphère chaleureuse de son dortoir.

-Oh salutations à toi! Je suis Arnaud, enchanté!

Mélinda fut ravie que l'un des deux élèves lui répondent, elles avait l'habitude de saluer tout le monde mais certaine personne n'aimait pas forcément cette convivialité qui lui venait naturellement. Elle n'allait pas avoir à attendre que le cours commence en silence. Une nouvelle rencontre l'a réjouissée toujours.

-De même ! Mélinda Cœur, tu as déjà fait un cours de botanique en musique ? Je ne suis pas sur de comprendre, répondit-elle en ponctuant sa phrase d'un léger rire tandis que la musique continuée de raisonner en fond. Elle n'avait jusqu'à présent pas remarqué l'objet qui diffusait la chanson, dès qu'elle le vit, elle le fixa un moment fascinée par cette instrument d'une autre époque.

Les élèves continuaient d'entrer les uns après les autres et l'élève qui avait été la première se mit à parler avec un autre élève de Serpentard. Le cours allait surement bientôt commencer, il ne manquait que quelques personnes à présent.

Galway mordit dans une patacitrouille pour se donner de l’entrain. Ces cours de sixième année étaient tellement usants !  Mais il avait eu une double satisfaction aujourd’hui, déjà en sortilège où il avait enfin réussit à maitriser Arcanum Videre, le sortilège de perception de la magie. Il faisait partie des derniers de son cours à avoir réussi, mais voir les filaments sortir de sa baguette et se colorer avait été un véritable soulagement. En Histoire de la Magie, l’enseignante leur avait rendu un devoir et avait passer l’heure de cours à lancer des critiques acerbes sur chacun d’eux, la moyenne se situant aux alentours de D. Seul Galway et une élève de Serdaigle, qui avaient réussi à accrocher un A, avaient échappé aux critiques, sans obtenir de commentaires positifs pour autant.

Ces satisfactions étaient durement gagnées, il avait toujours l’impression qu’il ne pourrait pas suivre le rythme. Mais cela mettait un peu de baume au cœur. Le dernier cours de la journée était un cours de botanique, il se dirigea donc vers les serres, l’air frais de la fin de journée lui fit un peu de bien. Quand il arriva il vit que l’emplacement des tables avait été légèrement changé, elles étaient disposées en U. Et il y avait de la musique, Galway ne connaissait pas le titre, l’interprète ou le courant musical auquel cette chanson appartenait, c’était assez rythmé. Il s’adressa à son homonyme avec un petit sourire discret.

-Bonjour Professeur.

Puis il jeta un coup d’œil à la classe. Il y avait beaucoup de têtes inconnues, comme d’habitude ces cours rassemblaient des élèves de tout âge, les deux élèves de Gryffondor semblaient particulièrement jeunes. Et puis il y avait Elhiya et Fañch, ce dernier avait l’air de s’être rétabli c’était une bonne chose, mais il ne savait toujours pas trop quoi penser de cette histoire dont les versions différaient selon le point de vue de chacun. Mais enfin ce n’était pas le lieu pour y penser, ils avaient un cours à suivre.

Fañch Guivarch rp numéro 72 :

Elhiya avait eu l'aire perturbé de voir le celte, elle l'avait regardé quelques instants sans comprendre la demande de ce dernier. Puis la jeune femme lui sourit et déplaça son sac à ses pieds

Elhiya : Ho Fañch! Désolée j'avais la tête ailleurs! Vas-y pose-toi, ça fait plaisir de te revoir. Prêt à frôler la mort?

Le serpentard s'assit et laissa échapper un rire. C'est vrai que sa première avec sa collègue de maison avait été plutôt catastrophique et il avait failli y passer.

Elhiya : T'inquiète, j'ai des pansements nounours avec moi!

le géant pouffa une seconde fois. L'image de son visage avec un pansement nounours en plein milieu était plutôt drôle car il aurait vraiment l'aire ridicule.

Fañch : On est en botanique donc à moins que le cours du jour porte sur l'ingestion de poison mortel produit par les plantes je risque pas grand-chose, enfin j’espère.

Fañch disait cela en rigolant mais il avait entendu des rumeurs sur les derniers cours de botanique et il était loin d'être complètement serein.

Quelques pouffements de rire avait accompagné l’installation de mon compagnon de maison. N’empêche, tout aussi ridicule que l’imposant Serpentard pourrait avoir l’air avec un pansement trop mignon sur la tête, il ne fallait jamais se moquer d’un semblant de prévoyance, surtout en cours de Botanique. Chose qu’il ne semblait pas savoir pour le moment.

Adressant un signe de la main ainsi qu’un sourire lumineux à notre préfet de maison qui faisait partie de la classe, j’avais retourné la tête vers mon interlocuteur en rigolant doucement.

« Nan mais méfie-toi. Même si la musique est entrainement et relativement agréable, je suis sure qu’on n’est pas à l’abri d’une plante agressive qui détesterai ce genre de mélodie et qui essayera de nous mordre dès qu’on la rempote. »

Nan, nan, je n’étais pas devenue parano avec ce genre de cours. Mais avec le passage des filets du diable, et le nombre conséquent de blessé la dernière fois, j’avais fini par me méfier du moindre pot de fleur que je jugeais trop près de moi. Du coup, je me penchais sur mon sac et fouillais à la recherche des précieux collants illustrés. J’en extirpais 2 et les tendais à Fanch avec un sourire espiègle.

« On-ne-sait-jamais! Le mot d’ordre ici j’ai envie de dire. Tiens, ca à une meilleure tête que ce qu’on fait avec un ferrula »

Question de gout, je concédais mais au moins, il serait équipé.