[Je te rassure, je ne t'ai pas oublié, j'étais un peu occupé IRL]

Anaelle regarda un peu plus son interlocutrice de serpentard. De puis le début, leur conversation n'était guère développée, enrichi. Les deux jeunes femmes ne se parlaient peu, mais leur regard voulait tout dire, voir résumé en gros la situation. La jeune auror trouvait ce moment assez gênant. Mais elle soutenait le regard de la jeune femme, elle ne voulait pas lui montrait qu'elle était... faible. La jeune professeur s'était présentée et la jeune serpentard en avait fait de même. Elle s'appelait Elizabeth Midford. Elle était élève en sixième année.

-Enchanté, je déteste ne pas avoir de nom sous un visage. Dit le jeune femme.

Elizabeth soutenait toujours le regard d'Anaelle, d'un air d'un air hautain. La jeune auror ne cillait pas. A regarder les deux jeunes femmes, on pourrait se croire dans un combat au temps des western. Il ne manquait plus que le saloon et le pistolet, et là, le tableau était complet. La jeune serpentard reposa son nez dans son livre. L-ex gryffondor en allait faire de même. Mais une question lui titillait.

-Dans quel domaine tu aimerais t'orienter plus tard? Enfin qu'est-ce que t'aimerais faire?

Anaelle regarda Elizabeth et commença pour la première fois depuis cette maigre conversation, la lecture de son livre...

[Malgré une longue coupure, ce rp reprend et désolé de la longueur]

Anaelle écouta attentivement Elizabeth Midford. Elle n'avait pas de matière préférée, la jeune femme en était étonnée. Quand elle était étudiante, l'ex-gryffondor aimait particulièrement les soins aux créatures, la défense contre les forces du mal et la métamorphose. C'est pour ça qu'elle avait 'sauté' sur l'occasion quand elle avait vu que Poudlard cherchait un professeur de SACM. Elizabeth continua à parler (non, ce n'est pas une pipelette ^^), dans ce qu'elle venait de dire, il y avait du vrai.

-Oui, c'est vrai que quand on a des relations, cela peux devenir très facile de monter dans la société. Mais le plus important dans la vie, c'est d'éxercer un métier que tu aimes. Il vaut mieux que ce métier soit une obligation. Mais après chacun ses goûts, tout le monde est différent.

La jeune auror (ce rp se passe longtemps avant le coup d'état ) avait l'impression de faire de la psychologie. Par moment, la jeune femme regarda la livre qu'elle avait pris et regardait aussi son interlocutrice.

-Avec certains métiers, certaines portes peuvent s'ouvrir assez facilement, mais surtout tu peux monter en grade. Passer de serveuse à gérante lorsque ta patronne ne tient plus la boutique ou le bar.

Un silence commenca à s'intaller. Heureusement il n'était pas trop court.

Il n'y a pas vraiment d'échange, dans ce genre de dialogue... On pourrait parler de « dialogue sourd ». Chacun campe sur ses idées, et la conversation devient.... Inutile. Là, c'est ce qui c'était passé. La jeune fille n'était pas surprise d'entendre « le plus important dans la vie, c'est d'exercer un métier que tu aimes ». De nos jours qui pourraient dire ça, c'est vraiment bête. En sachant que la plupart des personnes partent dans une branche, soit sous l'influence des parents, soit par la quantité de travail/d'argent fourni par celui-ci... Enfin bon, comme elle l'avait précisé, tout le monde est différent.

Quand l'enseignante parla des portes qui s'ouvraient... Là c'était de trop. Fallait vraiment être naïf pour croire ça...

Et à cet instant, Elizabeth ne put s'empêcher, de bouffer de rire.

- Oui, oui... Il faut attendre une bonne vingtaine d'années, et encore... Des fois attendre que le proprio décède.

Ce qu'elle avait énoncé, était justement, les cas que la jeune fille détestait.

- Non mais il y' a plus de simple pour monter en grade...

Bah ouais, elle en était sûre, certaine... La science infuse, la divination, c'était son concept... Elle se voyait déjà riche et célèbre (ou pas).

Bon on (tendance de schyzo) s'enfichait réellement de la réponse de l'interlocutrice. L'anglaise en avait marre de parler des projets, alors qu'elle était encore en cours. Et puis, ça dérivait surtout sur du n'importe quoi alors fallait y mettre un terme.
- Enfin...

Noémie entra avec légèreté dans l'immense bibliothèque. Elle respira l'odeur des livres et promena ses doigts le long des gros manuelles de sorcelleries.
Elle s'installa gaiment à une table avec une pile de livre dans les bras.
La jeune fille se mit aussitôt à tourner frénétiquement les pages lorsque un livre posé dans une étagère attira son attention. Elle s'en approcha, il avait une très belle reliure d'un bleu tendre, de petites illustrations ornaient la couverture.
Elle se pencha dessus et l'ouvrit lorsqu'à sa grande horreur le livre se mit à blasphémer à haute voix.
Terrifié elle glapit de surprise et le manuelle lui sauta des mains.

- Oh non ! Non, non, non ! Gémit-elle en poursuivant le livre.

Lorsqu'elle eut enfin refermé le mystérieux livres, elle leva les yeux vers les personnes présentes dans la bibliothèque. Elle s'aperçut qu'on l'a regardaient fixement et entendit même quelques rires de derrière une étagère.

Dépité elle balbutia :

- Désolé.... Pardon, je suis vraiment désolée !

Rouge de honte elle vola presque jusqu'à l'étagère pour y poser son livre, puis, replaçant une de ses longues mèches brunes derrière ses oreilles, elle commença à se diriger vers la sortie d'un pas mal assuré.

Les frères Shacklebolt entrèrent dans la bibliothèque. Ils la connaissaient par coeurs. C'était pour eux leur lieu ypique. Très calme, où on entendait voler les mouches. Cela collait parfaitement à leur caractère. Ils s'installèrent dans une table à l'opposée du bureau du bibliothécaire. Lucas sortit son livre de défenses contre les forces du mal et commença à lire tandis que son frère, Nicolas, lu, commença à fouiller dans son sac magique. Lucas ouvra son livre à la page 54, où commençait le chapitre "Les sortilèges informulés". Ce chapitre le fascinait. Il se posait temps de question sur ces sorts informulés. Il voulait vraiment réussir à faire ces sortilèges informulés, pour ensuite l'approfondir. En effet, il avait pour but de lancer des sorts sans baguette. Et réussir à lancer des sortilèges sans parler, c'était le début de ses recherches.Il commença sa lecture. Il était captivé par ce qui était écrit dans ce livre. La lecture était une de ses passions favorites. Il était capable de passer des heures, dévorant des livres, prêt à arriver en retard en cours pour pouvoir sa page.
(Cours, je suis en manque d'inspiration désolé)

Edit Céleste : Bonjour Lucas ! Je voudrais te faire remarquer que Harry Potter et Hermione comme tous les autres personnages de la saga ne vivent plus dans le contexte actuel du forum. Merci donc de bien vouloir éditer afin de te conformer au contexte mis en place. Merci de ta compréhension. Cordialement.

[j'avais pas trop d'idée ^^]

L'ex-gryffondor trouvait que cet échange entre les deux jeunes femmes étaient très... comment dire... Constructifs. La jeune femme trouvait que c'était un débat entre un professeur et une élève. Sur tout ce que les jeunes femmes venaient de dire, chacun avait son opinion. Anaelle écouta attentivement Élizabeth. Elle était bien élevée, autant le montrer. La jeune enseignante en avait plus qu’assez de cette discussion. Ce qu’elle voulait en ce moment, c’était finir au plus vite cette conversation. Elle regarda Élizabeth et lui fit un petit sourire, enfin celui-ci était un peu forcé. Ce qu’elle espérait c’était que la jeune Serpentard ne le prenne pas mal. Elle prit son livre, au même moment, quelqu’un chuta dans la bibliothèque et Anaelle entendit une jeune femme s’excusait. La jeune enseignante commença sa lecture et lança à Élizabeth.

-Cette conversation commence à partir en cacahuète. C’est un débat entre professeur et élève qu’il vaudrait mieux arrêter. Cette conversation ne nous mènera à rien.

Avant d’entamer cette discussion, Anaelle était bloquée à la page de garde. En même temps, la jeune femme n’aimait pas lire quand quelqu’un lui parlait. Elle ouvrit la page suivante, celle-ci parlait des caractéristiques de la Manticore.

[Rp seule et différent du post qui j'ai posté avant le 04/07/11]


Sur une table éclairée, une jeune femme était penchée sur plusieurs livres qui parlaient d’arithmancie et d’étude des runes. Cette jeune femme, c’était Anaelle qui essayait de se perfectionner dans ces deux matières. L’ex-Gryffondor n’avait pas eu de chance, elle n’avait pas pu étudier ces deux matières. Elle aurait aimé, Anaelle était une jeune femme qui aimait s’instruire. Elle allait lire les livres, mais elle allait surtout rencontrer des personnes qui étaient spécialistes en la matière. Cependant, la jeune enseignante devait trouver les adresses et ça ne serait pas une mince affaire. Anaelle en avait conscience, elle soupira et reporta son attention sur le livre d’arithmancie qui était ouvert devant elle.

L’ex-Gryffondor allait partir dans des recherches fastidieuses. Elle regrettait le monde des moldus où on pouvait trouver son bonheur sur Internet. Non, mais qu’est-ce qu’elle racontait ? Elle était une sorcière, et n’était pas allée à Poudlard pour ensuite revenir dans le même mode de vie que les moldus.

Anaelle savait à quoi se résumerait son quotidien à partir de ce moment là. La bibliothèque deviendrait non pas son amie mais comment dirons-nous. Cet endroit rempli d’ouvrages qui renfermaient des tonnes de secrets allait devenir l’endroit où la jeune femme serait le plus renfermé.

Lazara poussa les portes de la bibliothèque de Poudlard pour la première fois depuis son arrivée. Le portes grinçèrent avant de laisser place à la vision de millier de livres rangés sur d'immenses étagères. Le souffle coupé, la jeune griffondor eut soudain la vision très nette de la fôrét de pin qui entourait son village si loin en france, cette bibliothèque lui donnait la même impression que cette fôret de géant. Elle avait l'impression de rever, d'être en dehors de toute réalité.

Lazara fit quelque pas dans l'immense assemblée d'ouvrage, se sentant observée de toute part, comme si les livres possédaient autant d'yeux que la fôret. C'était vraiment ridicule, mais Lazara commencait à se sentir mal. Comme si une bête sauvage allait surgir entre le rayon "sortilèges anti-crasse" et celui dédié au sorciers célèbres. RIDICULE. Qu'avait dit le Choixpeau? Ah oui... la maison du courage. La jeune griffondor pris une grande inspiration et se concentra sur se qu'elle était venue trouver ici. Elle sortit de sa poche le mot qu'elle avait griffonné sur un parchemin aprés le repas.

horcruxe.

Horcruxe... Horcruxes... elle se remèmora des bribes de la conversation surprise au dinné avant de prendre des livres presque au hasard. Elle avait hate de se faufiler sur l'un de ces bancs confortable et de ne plus avoir à marcher parmis ces "arbres-étagères".

- Oups, pardon, j'allais te foncer dedans, lui dit Capucine. Moi c'est Capucine, dit-elle en souriant. Tu es nouvelle non? Moi je le suis, en tout cas ... c'est pas très facile.
Lazara, surprise mis un certain temps avant de répondre, elle eut du mal à trouver ses mots en anglais et faillit lui répondre dans sa langues maternelle.

-Hum... euh...

Parfais se dit Lazara maintenant cette fille, de griffondor, qui en plus avait l'air sympathique allait la prendre pour un vers à crasse particulièrement stupide.

-C'est pas grave, je ne regardais pas où je méttais les pieds ! Moi c'est Lazara Loup, je suis française.

Soulagée d'avoir reussi à prononcer ses quelques mots sans que Capucine ne la regarde de travers mais embarassée d'avoir ajoutée son nom de famille de manière si formelle elle repris:

-Je suis aussi nouvelle ici... je ne sais même pas si je reussirais à rejoindre le dortoir des Griffondor aprés mais j'ai des recherches à faire... sur plusieurs sujets à vrai dire. Et toi?

Lazara dissimula un livre de magie noire derrière une antologie des grandes familles sorcières. Capucine avait l'air aimable, lui souriant avec un entrain qu'elle avait rarement eut la chance de connaitre elle ne voulait pas lui laissé croire qu'elle pratiquait la magie noire, surtout qu'éfféctivement ses recherches étaient véritablement partie de bonnes attentions.