Tom Montrale entra dans la salle de cours pour sa deuxième leçon.Il dit au professeur:

-Bonjour monsieur ! ! !

Il sortit sa baguette et la remua d'un coup sec.La chaise qui était devant lui recula en arrière et il s'assit.Il sortit son manuel de CDCFM et plaça sa main juste au dessus de la couverture en cuivre.Le livre s'ouvrit tout seul,les pages se tournèrent toutes seul et s'arretèrent à la leçon des épouvantards.Il se mit à l'aise et attendit que le cours commence réelement en attendant les élèves en retard.Il sortit alors un morceau de parchemin et écrivit dessus une phrase que seul lui connaisait.Il le glissa dans sa poche et prit un bonbon à la menthe.Il le mit dans sa bouche et commença à le suçer en attendant l'arriver de tout les éleves qui ne devrait pas tellement tardé vu les 10 minutes qui c'était déja écoulé et qui faisait souvent perdre patience au professeur.Bref ce n'était en aucun cas son problème.Il se tourna néamoins vers le jeune Serpentard qui était rentré peu de temps avant lui.Il lui dit alors:

-Salut . . .

Il attendit alors une réponse de Reiner Heydrick.Il se retourna violament en voyant l'armoire qui tremblait.Il se dit:

*Quelle force . . .*

Il entendit le professeur dire:

-
-Est-ce quelqu'un à une idée de la créature qui se trouve la dedans?

Tom leva la main et dit alors:

-Je dirais monsieur que c'est un épouvantard ! ! !

-J'ai entendu des gens qui parlait de ce cours qu'ils avaient fait l'année dernière . . .

-Les épouvantards ont pour particuliarité leur capacité à prendre l'apparence de la chose qui effraie le plus l'adversaire.Par exemple si j'avais très peur des araignées l'épouvantard se changerait en araignée ! ! !Il n'existe qu'une formule pour se protégé de leur attaque.Le sortilège ridiculus ! ! !Il me permetrait par exemple de faire apparaitre des patins à roulettes au bout des pattes de l'araigné . . .

Il se tût et se dit qu'il avait déja raconté tout le cours.Il attendit une réaction positive ou négative de son professeur.

Jonathan se dirigea vers la salle de classe, comme a sa fidèle habitude, il était en retard, mais il avait une bonne raison cette fois, il avait eu une rencontre avec le directeur de sa maison au sujet de son poste de préfet, il devait avoir plus d’information pour pouvoir accomplir sa tache, il arriva devant sa classe, l’enseignant semblait en train de demander a ses étudiants ce qui se cachait dans l’armoire, c’était sur que c’était un épouventard, Jonathan avait envie de s’amuser, après tout, il était un petit farceur, il cogna a la porte de la salle pour que tout le monde se retourne et qu’on vois qu’il est arrivé…

Bonjour tout le monde, désolé pour mon retard, j’ai un mot de mon directeur Monsieur Lecter, j’espère que vous comprendrez…

Il se dirigea vers l’armoire et avait un peu entendu les propos des autres étudiants, il avait envie de s’amuser un peu, après tout, on ne peux pas s’amuser un peu en même temps que d’apprendre…

Et bien, dans l’armoire, je dirai qu’il y a un manteau, au minimum, vous savez, peux être un manteau enchanté, qui danse le twist sur commande… mais plus sérieusement, sûrement un épouventard, compte tenu du fait que se sont les seuls ¨créatures ¨ que nous pouvons avoir dans d’anciens lieux…

Il souria et fit léviter son équipement sur une table et se retourna pour observer le reste du cours…

D'autres élèves arrivèrent peu à peu. Il leurs souhaita la bienvenue. Peyton, une élève de Serdaigle répondit la première à sa question, puis deux autres élèves: Tom et Shannon ajoutèrent des informations pertinentes. Il en fut content, il dit alors:

-Oui, tu as raison Peyton, c'est bien un épouvantard, 20 points pour Serdaigle. Et 5 points à Tom et Shannon pour leurs ajouts. En effet
un épouvantard est une créature qui change d'aspect à volonté en produisant un claquement sonore et prend toujours la forme qui vous effraie le plus, c'est pourquoi personne ne sait à quoi il ressemble. De plus, il aime les endroits sombres et confinés comme les placards et les armoires. Lorsqu'il rencontre plusieurs personnes, l'épouvantard est affaibli car il ne sait pas quelle forme prendre pour faire peur à tout le monde en même temps. Pour le neutraliser, il suffit d'éclater de rire. Pour cela, il faut l'obliger à prendre une forme que l'on trouve désopilante en prononçant la formule « Riddikulus ». Pour qu'elle marche il faut penser très fort à une forme drôle qu'on voudrait qu'il prenne. Bien je vais vous faire une démonstration, ensuite vous vous mettrez les uns derrière les autres et passerez chacun votre tour.

Akshay s'avança alors vers l'armoire. Il se demanda alors si l'éouvantard allait prendre la même forme que d'habitude: celle de son frère égorgé par les crocs d'un loup. Il avait changé presque autant moralement que physiquement depuis sa transformation, il avait tellement peur de faire du mal autour de lui et se demandait ce qu'allait être da vie, les vampires étaient immortels... Il leva sa baguette et ouvrit l'armoire. L'épouvantard en sorti sous la forme de... sa fiancé, les yeux suppliants et larmoyants, elle s'écroula à terre et se trodit de douleur, deux filets de sang coulaient dans son coup, où deux orrifices de morsures étaient bien visibles. Akshay en fut bouche bée sur le coup, il ne s'attendait pas à cela, mais il se rendit compte que c'était en effet sa plus grande peur... Il brandit sa baguette et lança:

-Riddikulus!

Brook apparu alors en sous vêtements très osés, le regard plus qu'aguicheur et lui fit signe de venir d'un doigt compromettant en se mordant la lèvre du bas. Akshay rit alors de bon coeur. L'épouvantard recula. Akshay se dirigea alors vers le coin de la classe pour laisser la place et observer ses élèves. Il attendit avec curiosité ce qui allait venir.

Takara écouta ce que le professeur leur demanda au sujet de la créature de l'armoire. Pour sa part, elle n'en avait aucune idée, mais d'autres élèves avaient dit qu'il s'agissait d'un épouvantard. Selon la description qu'ils en firent puis celle du professeur, c'était une créature qui aimait les espaces confinés et noirs. De plus, celle-ci se changeait en la plus grande peur de quelqu'un lorsqu'il apparaissait devant. Par contre, les épouvantards s'affaiblissaient lorsqu'ils rencontraient plusieurs personnes. Là, ils ne savaient plus quelle forme prendre.

Takara s'était accroupi sur le sol de la classe pour prendre en note toutes ces données sur les épouvantards. La jeune fille se demandait fortement s'il y en avait un chez elle. Ainsi, le manoir recelait de vieilles armoires.

Puis, la jeune Serpentard pensa: *Pourquoi ne pas seulement attaquer l'épouvantard à plusieurs?* Ainsi, elle avait très bien retenue que ceux-ci s'affaiblissaient lorsqu'ils y avaient un groupe autour d'eux. Par contre, elle n'eut pas le temps de poser la question que le professeur fit une démonstration pour vaincre la «créature de la peur» comme Takara l'avait tout juste surnommée.

La jeune fille regarda un instant, mais trop dégoutée par la vision de la plus grande peur du professeur Lecter, elle détourna les yeux. Puis, elle fit de même pour celle de Zen. Même si le chiot était drôle à voir, c'était tout autre pour ce qui venait avant.

À son tour, Takara s'avança sa baguette magique devant elle et mémorisant la formule magique. La jeune fille se rappellait très bien qu'elle détestait les endroits étroits. Donc, elle s'imaginerait être sur la plage avec plein de monde qui se ferait bronzer. En revanche, à sa plus grande surprise, ce ne sera pas sa plus grande peur. Par un signe d'un tête, elle fit signe au professeur Lecter qu'elle était prête.

Lorsque l'épouvantard sortit de l'armoire, il se transforma en un homme, dans la fin trentaine, habillé d'une robe se sorcier noire portant une cagoule qui lui cachait la tête et la plupart du visage. Il tenait une baguette magique dans sa main. *Un mangemort...,mais comment?* s'effraya Takara. Prise de panique un instant, elle avait vraiment peur que son père en devienne finalement un. C'était cela sa plus grande peur: que sa famille se détruise par l'ambition de son père de devenir un Mangemort.

Tentant de se reprendre et ayant toujours la vision de la plage, elle lança la formule:

- Riddikulus!

Le mangemort se retrouva habillé d'une jupe de paille verte, des sandales en bambous et un collier de fleurs exotique au cou. Takara retrouva son sourire par la situation grotesque et par sa réussite.

*C'est vrai que c'est drôle* pensa t'elle riant de bon coeur.

Enfin, après être redevenue maître de ses émotions, Takara posa très sérieusement la question à laquelle elle pensait quelques minutes plus tôt:

- Professeur. Je pense que puisque les épouvantards s'affaiblissent quand il y a plusieurs personnes autour d'eux...Je me demande si ce serait mieux de les vaincre de cette manière.

Avant de prendre la parole, la jeune Serpentard s'était déplacée pour laisser les autres tenter l'exercice de vaincre l'épouvantard.

C'était maintenant à son tour, se retrouver face à l'épouvantard ne l'effrayait pas. Ce n'est pas la créature qui l'effraie mais ce qu'elle peut produire. Juste avant lui, une jeune Gryffondor avait réussi à lancer son sort avec assez de conviction pour que "la métamorphose" disparaisse. Il s'avança devant l'épouvantard. Et il vit peu à peu la chose se métamorphoser devant lui, c'est là qu'il comprit que ses pires craintes étaient fondées. Certains avaient peur des Mangemorts, de Voldemort ou autres. Mais ce n'était pas son cas vu qu'il avait une certaine adoration pour Tu-Sais-Qui mais également pour ses serviteurs. La forme que prit l'épouvantard était lui-même. En soi, ce n'était pas vraiment une crainte, c'était surtout le visage qui effrayait.

Sur le coup, il vérifia si sa cape était ajustée au niveau de son visage. Puis il vit ce qui aurait pu être son frère jumeau s'enlever la cape qui cachait son visage. D'énormes cicatrices, boursoufflures et autres désagréments ornaient le visage. L'épouvantard se mit à parler:

-Tu vois, je suis toi dans le futur en esquissant un sourire sadique.

Au fur et à mesure que la créature parlait, tout ce qui était disgracieux amplifiait à vue d'œil jusqu'à ce que le visage ne devienne plus qu'une bouillie informe. On ne savait plus différencier les yeux, le nez, la bouche.Reiner Heydrick se saisit de sa baguette et regarda ce qui le répugnait tant sur ce monde, lui-même. Le Serpentard essayait d'imaginer une situation "amusante" ou qui tournerait en ridicule cette plaie.Il lança un premier sort nommé Riddikulus qui fit mouche. La chose se mit à rire de plus belle et prit la parole.

Que crois-tu donc? Tu pensais pouvoir lutter contre toi-même?! Les choses ne sont pas aussi simple que cela.

Tout en énonçant ses paroles, il s'approcha du Serpentard, essayant à ce que l'aîné des Heydrick n'ait de cesse de le regarder dans les yeux, comme hypnotisé.Mais tout à coup, Reiner a bout de force lança ce que l'on pourrait appeler le sort de la dernière chance.

-Riddikulus.

Il vit peu à peu tous les éléments disgracieux disparaître du visage de son pseudo frère jumeau et au niveau du milieu du visage, l'apparition d'un nez de clown.Reiner émit un léger rire mais il ne fallait pas s'y tromper, celui-ci était trop faible pour qu'on puisse prétendre que le Serpentard trouvait ça drôle, il se sentait juste un peu plus rassuré.Il se retourna et croisa le regard des autres élèves.

*Que vont-ils penser de moi maintenant? Un couard qui a peur de son ombre et de son futur?*

Missoune regarda avec angoisse les élèves passer. Ils avaient tous réussit et elle était l'une des rares à ne pas être encore passé. Elle se mordit les lèvres et regarda autour d'elle, un peu affolée: sans nul doute, c'était à son tour de faire l'exercice. Combattre un épouvantard était nouveau pour elle mais cela ne l'effrayait pas tellement. Le jeune Gryff était morte de trouille à l'idée de rater, d'échouer à l'épreuve. De plus, elle n'avait pas la moindre idée de ce en quoi allait se métamorphoser l'épouvantard. Certains le savaient par avance et avaient pu anticiper leur défense mais ce n'était pas son cas.

Elle avait passé en revue les possibilités et les avaient rejetées les unes après les autres. Ainsi elle avait songé à une personne qu'elle appréciait morte comme cela c'était produit pour un nombre important d'élèves mais elle savait que ça ne serait pas ça; elle s'était trop faite à l'idée que la mort était omniprésente et hasardeuse. Aucun animal ne la terrorisait, elle n'avait pas de secrets cachés et aucun cauchemar récurrent. Elle avait un instant songé à Barbe-Bleue mais elle le craignait seulement étant petite. Voldy était au tapis et les Mangemorts guère impressionnant sans leur chef... Elle avait beau se creuser la cervelle, elle ne voyait toujours pas en quoi pouvait se transformer la créature! Missoune pensa qu'elle craignait de se faire enterrer vivante, de ne pas avoir d'enfant ou tomber dans le néant indéfiniment mais ce n'était pas des peurs concrètes que pourraient incarner l'épouvantard. Elle se dit que de toute façon, elle n'avait pas le choix, elle devait, elle voulait passer. Malgré sa crainte, son instinct de Gryffondor lui intimait de ne pas reculer devant le danger, d'être la plus forte. Et surtout son insatiable curiosité exigeait de connaître sa plus terrible peur.

Tout en se demandant si elle n'était pas masochiste, Missoune s'avança devant le placard contenant la créature, tint fermement sa baguette, les mains un peu tremblantes et une boule d'angoisse dans la gorge. Elle fit signe au professeur que c'était bon, qu'il pouvait ouvrir l'armoire ce qu'il fit d'un coup de baguette magique. L'épouvantard surgit et en un claquement se métamorphosa. La jeune fille risqua un regard vers le résultat: un petit garçon d'une dizaine d'années était allongé par terre. Il était très beau avec une carnation très pâle et des cheveux foncés. Sa chemise blanche était tachée de sang et un couteau était planté dans sa poitrine qui ne se soulevait pas. Elle le regarda, choquée et se demandait pourquoi il y avait cette apparition: elle ne connaissait pas cet enfant! Puis elle s'aperçut que le couteau était un fait un poignard soigneusement ouvragé qui lui appartenait et elle comprit immédiatement. C'était elle qui l'avait tué, il était mort par sa faute, elle l'avait tué, elle l'avait tué! Et la phrase tourbillonnait dans sa tête, la rendant quasiment hystérique, elle avait causé la mort d'un innocent. Missoune sentit la bile lui remonter dans la gorge et une forte envie de s'effronder en pleurant mais elle se ressaisit. *Ce n'est qu'une illusion* se répétait-elle* tout cela est faux, c'est une mise en scène. Concentre-toi pour trouver une parade qui te fasse rire*. Ce n'est qu'une illusion, murmura-t-elle avant de crier: RIDDIKULUS!.

Le petit garçon se releva en souriant il tenait dans une main un manche de poignard et de l'autre une tache de sang en plastique et il se mit à faire la roue et d'autres figures extravagantes de gymnastiques en criant de joie. Un petit rire nerveux s'échappa de la bouche de Missoune qui devint bientôt un franc éclat de rire car elle était de nature joyeuse. Eprouvée mais heureuse d'avoir réussi, la jeune fille qui se sentait fatiguée s'assit par terre; la tension avait été trop forte pour elle et elle en accusait le coup.

Moona Lovegood qui venait d'arriver au collège se leva pour la première fois depuis longtemps à Poudlard. Elle oublia qu'elle avait cours de Défence contre les forces du mal et resta un peu pour lire au lit, mais quand elle s'apperçue que tout le monde étaient parties à leurs cours depuis un moment elle compris tout de suite qu'elle était en retard. La brunette s'habilla rapidement et ne décendit même pas à la grande salle prendre son petit déjeuner. Son premier cours depuis son retour et elle était déjà en retard. Elle marchait tellement vite qu'un professeur qui passait par là l'intercepta et lui dit de ne pas courrir dans les couloirs. Quand la jolie Poufsouffle arriva dans son cour de défence contre les forces du mal la porte de la classe était déjà entre-ouverte. elle s'y glissa et personne ne sembla remarquer son arriver car ils étaient déjà tous entrain de rire au éclat devant un petit garçon qui fesait des pirouettes. Elle remarqua qu'elle avait déjà eu ce professeur au par avant il y a bien longtemps de cela dans son cours de botanique. *Il devait trouver que le cours de botanique manquait d'action.* pensa-t-elle. Même si personne avait remarquer son arriver elle décida quand même d'aller voir le professeur pour lui dire qu'elle était présente. Elle lui fit un signe de la main et il lui fit un signe de tête pour lui répondre qu'il avait vue qu'elle était présente dans son cours.

En observant tout les élèves vivre leurs peur et les ridiculiser, Jonathan avait confiance qu’il puisse enfin savoir sa peur et la surmonter, il se dirigea vers l’épouventard qui se transforma en femme plutôt séduisante qu’il aimait beaucoup, elle était étendue par terre et ne bougeais plus, Tomoko était la devant lui, morte, les larmes se mirent a couler de nouveau, pourquoi était ce sa plus grande peur, a chaque fois qu’il essayait de l’oublier elle rentrait de nouveau dans sa vie, Jonathan essaya de surmonter sa peur, il pointa sa baguette et pensa a un clown…

Riddikulus!

Rien ne se produisit, il eut juste encore plus de larmes aux yeux…

Riddikulus!

Cette fois ci, un clown se leva et se mit a jongler, Jonathan s’en alla plus loin dans la pièce et s’assit, il plongea la tête dans ses genoux et se mit a penser pourquoi était elle sa plus grande peur…

Comme tout les gens qui étaient avec elle dans son cours de soins aux créatures magiques l'an passé, Moona Lovegood savait qu'elle avait une peure bleue des dragons. Justement dans ce cours que je vien de faire mention, notre personnage adorée tomba évanouhie la créature entre percu. Lorsqu'elle c'était réveiller les professeur paniquait. La jolie Poufsouffle avait bien peure qu'un dragon se matérialise dans cette salle où avait lieu le cours de défence contre les forces du mal. Elle vit que Jonathan avait vue sa grande amie Tomoko Danan sans souffle étendue su le sol et cela lui fit conprendre qu'il tenait beaucoup à elle. Lorsque Moona s'approcha à son tour de l'épouvantard, à sa grande surprise il ne se transforma pas en dragon. Aiu lieu qu'il y ait une immence bête cracheuse de feu ce tenait là une jeune femme aux cheveux blonds qui n'avait pas plus de 27 ans qui était tombée par terre sans vie. La jeune femme en question était la mère de la brunette. Un grand flot de sanglot monta en la jeune fille mais celle-ci se maîtrisa et prit sa baguette d'une main tramblante.
-Riddikulus!, dit Moona avec un hoquet de peine.
Puis la mère de la Poufsouffle se leva difficilement et dit : Na laisse moi dormir un peu...