-Bah tu sais, j'ai fait la coupe de duel, je crois toi aussi, mais on est pas allé loin et du coup j'aimerais apprendre des sorts, hum... surtout défensifs et pas de classique comme Protego, mais je suppose que des sorts offensifs peuvent être utilisés comme sorts défensifs.

Je réfléchis, je repense à la coupe de duel. J'ai eu des problèmes de réflexe, et quand je suis pas préparée il m'arrive de paniquer
-Améliorer mes réflexes ? Me préparer aux Buses en quelques sortes. Ca peut aussi t'aider toi pour les ASPICs.

Je tripote ma baguette en regardant celle de Peter qui est quand même magnifique.

-Ta baguette, toi, tu l'as eu où??? Ollivander's non? Mais ils en vendent des comme ça??

Le mode je veux tout savoir est activé, reste plus qu'à avoir les réponses, je repense à l'entraînement, me disant que bosser sur les mannequins peut être un bon début... Je réfléchis, comme une Serdaigle, sur pleins de sorts étudiés dans les livres et sans crier garde, tout d'un coup, je sors ma baguette et je lance un Malum Contigo, je veux voir comment Peter fait quand il a pas de chance.
Après il se peu que le sort ne l'atteigne pas.

Spoiler:

Peter avait ouvert la liste des doléances. Mathilde avait directement embrayé ! Elle semblait avoir plein d'idées sur ce qui n'allait pas. Pour le préfet, cela n'allait pas être évident de faire un cours cohérent sur de la défense, de l'offensif et des réflexes. Sur les réflexes surtout, lui-même n'en avait aucun ! Alors, pour le Serpentard, ce cours s'annonçait bien plus coton qu'il ne l'avait prévu ! La jeune élève de Serdaigle, elle, semblait passer du coq à l'âne sans trop de soucis ...

- Ta baguette, toi, tu l'as eu où ? Ollivander's non ? Mais ils en vendent des comme ça ?

*Hein ?*

Peter, assez interloqué, jeta alors un regard à sa baguette magique. En réalité, il s'agissait de sa seconde baguette magique. La première, il l'avait reçue comme tout un chacun avant sa première année d'étude. Mais, celle-ci, il l'avait acheté lors de ses dernières vacances d'hiver. Il s'agissait de l'une des pépites fabriquée par Isza et c'était vrai qu'elle était magnifique. Elle avait même un nom ! Ce qui était la toute grande classe pour une baguette !

- Euh ... Oui, chez Ollivander's ! Ils font des baguettes d'exception, ils appellent ça des "pépites", tu as devant toi Phaesporia !

Le jeune sorcier s'éclaircit alors la gorge et essaya de reprendre en canalisant la conversation sur le cours qu'il avait à donner.

- Et concernant notre petite affaire, je te propose que l'on commence d'abord par les sortilège de défense si ça te convient ?

Thomas, se déplaça lentement dans un couloir, perdu dans ses pensées. Sans réellement s'en rendre compte il se repassa trois fois devant un mur trois fois c'est soudainement en passant la quatrième fois devant ce mur qu'un changement eux lieu.

Il était sûr de lui, cette porte en bois. Cette porte massive n'été pas par là il y a trente secondes. Que se passe-t-il ici ? Ce n'est vrai que Thomas à encore beaucoup de choses à découvrir de cette école. Personne ne lui avait dit à propos des escaliers qui bouge tout seul. C'est alors qu'il se rendit dans le dortoir des Griffondors un soir où l découvrit cette particularité bien spécifique des escaliers.

Mais là ce fut une grosse différence, des escaliers qui bougent tout seul, pourquoi pas, mais là une porte en bois qui plus est qui apparaît de nulle partipart ? C'est impensable, même dans ses rêves les plus fous, elle ne peut exister.

Thomas regarda autour de lui. Il ne savait pas s'il avait le droit de pousser cette porte. Si de l'autre côté un professeur s'y trouver que lui dirait-il ? Il réfléchit pendant un bout de temps, mais la réponse était évidente, il dirait la vérité. Qu'il recherche un endroit tranquille, une salle de classe vide afin de s'entraîner comme il se doit à des sortilèges basiques.

Car oui, en effet Thomas a peur de se ridiculiser en public. Lui qui vient de parents sans magie dans leur sang comment pourrait-il être bon dans ce domaine ? S'assurant que personne n'était présent autour de lui, Thomas poussa la porte en bois. Celle-ci résista légèrement mais finalement le laissa pénétrer dans une grande pièce étrange.

Comment le décrire, il est impossible pour lui. L'endroit ressemble à si méprendre à une clairière avec un petit lac en son centre. Mais dans cette clairière des mannequins en bois font des mouvements de bras, d'autres mime quelqu'un en train de péché.

Mais le plus étrange s'est sur les côtés les immenses étagères de pierre où se trouvent de nombreux livres.Thomas s'approcha lentement du lac regarda à l'intérieur de celui-ci et observa son reflet. Comment peut-il être ici ? Pourquoi a-t-il reçut une lettre de Poudlard, lui l'enfant sans talent.

C'est alors que son reflet refléta quelque chose qu'avait cru disparut depuis les quelques semaines où'il avait eu sa baguette. Son regard.

Ce regard que Thomas avait cru perdu, ce regard qui lui indique sa détermination, ce regard lui indiquant qu'il a de grandes choses et un grand rêve à réaliser. Il ne doit pas céder à la panique.Thomas respira un grand coup et soudainement jeta son sac derrière lui, il entendit le fracas des livres dedans s'entrechoquer et il sauta dans le lac.

L'eau est froide, mais cela ne l'empêche pas d’éprouver un immense plaisir. Pendant une minute il resta sous l'eau puis il refit surface sorti de l'eau et entrepris de retirer ses vêtements sauf son caleçon au cas où où entrerait dans la pièce.

- Je suis un nouvel homme ! Hurla-t-il

Thomas regarda autour de lui en espérant voir de petite caisse ou autres objet assez petit pour s'entraîner au sortilège de lévitation. C'est alors qu'il aperçut des coussins autour du lac. Comment a-t-il put ne pas les voir ?

Le jeune homme se tourna vers les coussins les déposa un peu plus loin du lac et ferma les yeux un instant

.- Wingardium Leviosa. Dit-il lentement tout en rouvrant les yeux.

Sort:

Thomas vit le coussin se mettre à décoller du sol. Mais alors qu'il sentit en lui un sentiment de fierté celui-ci retomba lourdement au sol.

Thomas compris alors que l'apprentissage de ce sort lui prendrait un peu de temps et qu'il n'a pas de quoi être fier. Ce sort est la moindre des choses à savoir utilisé pour porter au loin ses rêves.

Le jeune homme passa le restant de la matinée à apprendre et comprendre se sort.

RP libre alors je m'incrusteuh  


Mes quatre premières années à l'école ont été plus qu'inégales en terme de temps passé à étudier. Quand j'entends les autres élèves autour de moi se féliciter d'avoir enfin passé leurs BUSE et trépignant d'impatience d'alléger considérablement leur emploi du temps je ne peux pas m'empêcher d'avoir un petit sourire crispé. Moi c'était avant mes BUSE que j'avais le meilleur emploi du temps du monde ! C'était simple : botanique, SACM, astronomie, potion, puis plus tard divination et arithmancie. Le reste n'étaient que des heures de libres. Je pense que rien que pendant ma première année je n'ai tenu que deux mois sans sécher un seul cours d'enchantement. Et je ne parle même pas de ceux de DCFM, le prof ne connaissait même pas mon prénom tant j'étais aux abonnés absents.

Moi ça ne m'a jamais dérangé d'être aussi peu à l'aise avec la magie. Je crois que je n'ai jamais vraiment aimé ça en fait... Pour quelqu'un né dans une famille de sorciers depuis des générations c'est assez inhabituel et on ne rate jamais une occasion de me le faire sentir quand je suis en famille. Mes parents se sont fait à l'idée, eux, assez tôt. Et puis ma sœur compensait mon manque d'intérêt pour la magie par ses prouesses de sorcière modèle, donc ça allait ils n'étaient pas trop déçus.

Quand j'ai passé mes examens de fin de cinquième année j'étais vraiment content ! Enfin ! Enfin j'allais être débarrassé de toutes ces matières inutiles et j'allais pouvoir me concentrer sur les vraies bonnes choses de la vie. Ou en tout cas de la mienne. Sauf que j'ai vite déchanté. S'il est facile de faire l'école buissonnière quand on n'aime pas ce qu'on étudie, c'est beaucoup plus dur quand, au contraire, on l'aime. Envolé mon temps libre. Disparues mes longues balades au bord du lac. Terminées les siestes au pied des arbres du parc. Me voilà en sixième et je dois faire le deuil de cette liberté qui a été ma compagne pendant si longtemps.

Aujourd'hui ce n'est plus qu'étude, pratique, exercice, devoir, compte-rendu, recherche,... et parfois entraînement.
Avec un profond désarroi je me suis rendu compte que même en botanique ou en potion, on a besoin de savoir un minimum maîtriser sa baguette. Faute de quoi on perd un temps précieux, ce qui peut s'avérer dramatique parfois.
Alors de temps en temps je me rends dans le seul endroit où je sais que personne ne viendra rire de mes maigres capacités magiques : la Salle sur Demande.

Après avoir fini de manger à midi, je sors de la Grande salle en glissant quelques fruits, que j'ai récupéré juste avant qu'ils disparaissent, dans mon sac. Résigné à passer autant de temps qu'il faudra dans cette antre mouvant à volonté jusqu'à obtenir des résultats, je monte les escaliers quatre à quatre puis une fois devant le fameux mur je formule ma requête le plus simplement du monde. *J'ai besoin d'un endroit où m'entraîner*
Et la magie opère.
Comme à chaque fois.
Et je contemple cette porte majestueuse, des étoiles dans les yeux.
Comme à chaque fois.
Ça ne cessera sans doute jamais de m'impressionner !

Avant que quelqu'un ne me voit, j'entre et referme précipitamment la porte derrière moi.
Puis je reste planté là, la bouche ouverte de surprise.
Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai demandé, si ? Ou alors c'est ce que je voulais inconsciemment ? Mais pourquoi j'aurais voulu d'un lac ? Avec des... coussins autour ? Non vraiment je suis perdu là.
Sans trop savoir quoi penser de tout ça je m'avance vers le seul élément familier et rassurant de la scène : les étagères. Entre des livres, j'étais en terrain connu.

Thomas se rendit pour le souper dans la grande salle, malgré l'ambiance bon enfant à la table commune des Griffondor, il ne se sent pas vraiment à l'aise, il faut dire qu'il n'a pas fait de connaissance et ni tisser de lien depuis son arrivée.

Non pas le tord à ses camarades, mais plutôt à lui-même, après tout, il n'a pas assez confiance en lui. C'est ainsi qu'il mangea seul aux côtés de ses camarades, sans n'avoir personne à qui parler.

Le sentiment de solitude fut important pour lui, ce sentiment pèse lourdement sur ses épaules. Un sentiment de chagrin vient l'envahir. Thomas regarda autour de lui, voir le visage enjoué de ses camarade est un plaisir pour lui, mais en même temps le blesse, personne ne lui parle, car lui même n'ose pas se mêlée aux discussion.

Thomas se leva tranquillement de la table, emportant avec lui quelque petit biscuit et fruits. Il est temps pour lui de se rendre là où il peut être seul, là où il peut s'entraîner sans recevoir un quelconque jugement sur ses aptitudes magiques. La salle sur demande, son lieu paisible.

Quand il arriva devant le mur, il s'imagina l'endroit où il est entré il y a de cela quelque temps. La porte massive en bois apparut. Thomas la poussa lentement, elle ne grinça pas. Il entra précipitamment dedans ne faisant pas attention à l'intérieur.

Il décida après être entré de s'accorder quelque minute de repos dans le petit lac. Alors qu'il sortait caché du fond du lac afin de se rafraichir un peu il remarqua un jeune homme proche des étagères.

Intimidé par la position dans laquelle il se trouve simplement en sous-vêtements, il toussa légèrement et prit son courage à deux mains accoudé au bord du lac.

- Bon... Bonjour ! Dis-je n'étant pas sur de moi. Je me présente Thomas Garion, je suis désolé de vous interrompre pendant votre lecture, je ne pensais pas que d'autres personnes connaissaient cette salle.

Les grandes étagères regorgent de manuels scolaires. La tête légèrement penchée sur la droite, je parcours les tranches des yeux tout en effleurant du bout des doigts la pierre lisse et froide. Quand des titres plus atypiques arrivent sous mes yeux j'en prends un à la couverture en carton et commence à le feuilleter avec curiosité. Je n'ai cependant pas vraiment le temps de m'attarder dessus et de le lire plus sérieusement quand un raclement de gorge me fait sursauter, ce qui a pour effet - en plus du battement loupé par mon cœur - de me faire refermer le livre d'un coup sec, émettant un pouf! sonore tandis que je tourne la tête vers l'endroit d'où provient la voix.

Une petite voix fluette s'il en est, appartenant à un petit garçon barbotant dans l'eau du lac juste à côté. Je le regarde médusé, moi debout et lui accoudé à la surface modelée par la magie de la salle. Il n'a pas l'air si jeune que ça, comparé à sa voix, mais on peut lire clairement dans ses yeux noirs qu'il n'est pas aussi vieux qu'il en a l'air. Me rendant compte qu'il avait dû être là depuis le début je me mets à bafouiller excuses et présentations à mon tour : « Oh ! Oh euh, c'est que... non c'est moi qui débarque et... je crois que je suis dans ta salle en fait... »
Clairement tout ceci ne venait pas de moi. Même si je regrette de ne pas avoir sorti ce cadre idyllique de ma propre petite tête, il n'empêche que lorsque je viens ici pour m'entraîner l'environnement est toujours bien plus... académique. Une salle de classe vide, du matériel adapté, les inévitables bibliothèques bien sûr mais jamais en extérieur. J'entends d'ici la voix taquine de Castielle susurrer « Oz aurait-il un petit côté Serdaigle tout compte fait, mmh ? »

Je finis par m'agenouiller près du garçon et je lui tends la main. « Moi c'est Osvald » puis après une courte hésitation « tu es bien un élève, hein ? Pas une sirène ? » La dernière fois que je n'avais pas posé clairement la question je me suis retrouvé à glaner des informations sur la personne en question pendant des semaines avant de me rendre compte que je faisais fausse route. Enfin le bon point dans tout ça c'est que je peux dire que j'ai confondu une graine d'Auror pour une Nymphe pendant nos années d'école. C'est une jolie histoire, même si un peu effrayante par moment.
Pourtant, avec deux grammes de bon sens, je pourrais sans doute trouver la réponse moi-même sans avoir à demander directement à l'intéressé. Mais on n'est jamais trop prudent !

Pour adoucir ma question, qui dans le pire des cas lui paraîtra folle, je dis au pas-encore-confirmé-sirène-ou-humain « En tout cas c'est magnifique ici ! Tu as une jolie imagination ! »

- Moi c'est Osvald. Tu es bien un élève, hein ? Pas une sirène ?

Thomas regarde le jeune homme surpris. Il ne comprend pas tout.

- Pa....Pardon ? Une sirène ? Moi ?  Euh n...non je ne suis pas une sirène.

Thomas tend sa baguette en direction d'une des étagères. Il vise ses vêtements et prononce lentement.

- #Wingardium Leviosa.

Les vêtements de Thomas s’élevèrent lentement du sol. Commence à avancer vers lui, mais soudain ils se mettent à s'éparpiller partout tel un geyser.

-Mince, c'est pas encore ça. Dis-je en sortant de l'eau.

Thomas courut dans toute la pièce récupérer ses vêtements. Soudain il se met à rougir et court se caché derrière une étagère.

-Dé..désolé. Tu as put voir ma piètre magie.  En tout cas, je suis content de faire ta connaissance Osvald. Que viens-tu faire par ici ?

Thomas ferma les yeux et sur un des coussins apparut une théière et divers paquet de thé.

-On peut en discuté en buvant un petit quelque chose, j'ai appris à mes dépend que cet endroit pouvez réalisé beaucoup de chose.

Comme n'importe qui aurait pu s'en douter, sa question surpris le garçon - Thomas - et il lui répond qu'il est bien humain avec une expression d'incompréhension sur le visage. Oh à sa place j'aurais sûrement été un peu perdu aussi, ce n'est pas tous les jours qu'un aîné vous surprend en train de faire trempette en sous-vêtements dans un lac créé par votre esprit le tout dans une pièce magique censée n'être accessible qu'à vous.

Ignorant ma main tendue en présentation le petit brun préfère plutôt essayer de faire venir à lui ses vêtements. Me rendant soudain compte du potentiel de gêne de la situation je sens le rouge me monter aux joues. Je détourne les yeux pour qu'il puisse se rhabiller tranquillement tout en répondant à ses questions :
« Oh euh ... c'est rien, moi non plus je ne suis pas très doué en sortilèges tu sais ». Le Wingardium Leviosa, aucun risque que je l'oublie, m'avait aussi donné du fil à retordre. Des semaines entières que je m'étais appliqué à le réaliser correctement, sans succès. C'était au tout début de l'année, j'étais encore à moitié motivé mais rien n'y fit. Il a fallu que je rentre à la maison et que mes parents fassent office de professeurs particuliers pour m'en sortir. Il paraît que tout est dans le poignet et la concentration, mais même après avoir fait voler plusieurs objets correctement je sentais que quelque chose n'allait pas. Un truc qui clochait.
Ce n'est que des années plus tard que je me suis rendu compte que le truc en question était : je n'aime tout simplement pas ça.

Comme il y avait un petit quelque chose dans la voix de mon cadet qui me rappelle une version antérieure de moi-même je tente de le rassurer en lui expliquant qu'il n'est pas tout seul : « Ce sort-là n'est pas facile tu sais, c'est normal. Je connais peu de gens qui y arrivent du premier coup sans problème... puis moi j'ai mis des semaines avant de réussir à faire voler une bille donc bon »

Mélodieux tintements qui me font me retourner. Je pourrais reconnaître le bruit que fait de la fine porcelaine de service à thé entre mille ! Après y avoir été si gentiment invité - je ne me fais pas prier haha - je m'installe confortablement sur un coussin en face de Thomas. Un rapide coup d'œil à son uniforme et je comprends que c'est avec un petit lion que je m'apprête à prendre le thé. Bizarrement je n'en connais pas des masses, des Rouges. Il y a bien Aria et Olivia mais c'est tout. En comptant mentalement mes relations le constat est flagrant : j'ai plus d'amis Serdaigle et Serpentard que des autres maisons.
En examinant les sachets de thé à disposition entre nous j'explique : « C'est la Salle sur Demande, tu ne connaissais pas ? »
Je n'ai jamais été fan des sachets, je préfère les feuilles et... Oh en voilà ! « Tu es un chanceux, moi j'ai dû la chercher longtemps avant de tomber dessus. C'est une des salles les plus spéciales du château car elle bouge tout le temps et personne ne sait à quoi elle ressemble en vrai ! Dingue, hein ? ». Je mets à tremper les feuilles de jasmin dans la petite théière devant moi et maintenant il faut laisser le temps à la plante d'infuser. « Elle apparaît à ceux qui ont besoin de quelque chose en particulier et elle s'adapte à tous les désirs de ses occupants. Ce qui est marrant c'est que normalement personne ne veut exactement la même chose, tu vois ? Du coup elle est différente pour chacun. »

L'odeur de jasmin commence à émaner de la théière et ça me met l'eau à la bouche. Mais c'est encore trop tôt. J'aime quand le thé a goût est prononcé. Je souris à mon compagnon de fortune « Il faut croire qu'on est ici tous les deux pour la même chose. C'est chouette, on va pouvoir s'aider l'un l'autre ! »

D'aucuns diraient que c'est humiliant de montrer à un plus jeune à quel point on est peu dégourdi dans la même matière que lui. Pour moi c'est l'inverse : comme on est au même niveau ou presque, on sera sans doute plus à l'aise à s'entraîner car on sait que l'autre traverse les mêmes difficultés.

Bon je me promène dans les couloirs pour vérifier qu'il n'y a pas de retardataire, et vérifié qu'il n'y a pas de petit cracmol qui s'amuse à faire des bêtises. Jusque-là tout va bien et puis, je connais bien les élèves qui vont dans la salle sur demande pour avoir un "coin tranquille" me rendant alors dans le couloir je commence à faire trois fois le tour en me concentrant sur une salle utilisée par au moins deux personnes n'importe qui...
Et la porte apparaît, donc la salle est utilisée. Bien bien on va faire une petite visite sûre... prise. À peine rentrer je suis époustouflé par la pièce alors que la porte derrière moi se referme et disparaît, un lac, des coussins, des étagères, et deux jeunes gens prêts à boire un thé. Dont un qui était en train de s'habiller je hausse alors les sourcils m'imaginant plusieurs choses dégoûtantes... Je m'approche alors d'eux reconnaissant Osvald.

-Bonjour Osvald, ça fait bien longtemps... Bon alors vous faites quoi ici tous les deux a part boire du thé ?

Regardant d'un air insistant le jeune garçon de Gryffondor qui venait de finir de s'habiller. Puis je pose mon regard sur les deux tours à tour.

-Pas de bêtise j'espère ?

À première vue je commence à m'asseoir alors qu'il n'y a pas de chaise et dont ne sait où il y en a une qui apparaît juste avant que je ne tombe et croisant les bras, attendant une explication de leur part.

Thomas écoute les explications sur la salle sur demande et son esprit flotté en réflexion sur le comment la salle à put être créé, qu'elles sont les sorts utilisés pour la faire exister. Cela doit être de la magie de très haute volée, car elle doit sonder l'esprit de la personne, puis s'adapter en fonction de la pensée.

Thomas se demande s'il arrivera un jour à en faire de même à être une personne assez talentueuse pour arriver à créer de tel lieu.

En entendant le jeune homme lui avoué qu'il veut travailler en équipe avec Thomas, celui-ci est surpris et un petit peu méfiant, la personne en face est plus âgée ce que lui, comment Thomas pourrait l'aider ? En servant de marionnette ?.

Alors que Thomas regarde son compagnon de thé, la porte de la salle s'ouvre et un homme brun s'exclame :

-Bonjour Osvald, ça fait bien longtemps... Bon alors vous faites quoi ici tous les deux a part boire du thé ?

Voyant le regard insistant sur lui, Thomas est agacé, que se passe-t-il dans la tête de cette personne ?

Il étudia longuement en silence le nouvel arrivant. Un badge sur sa robe, la couleur verte des serpentard. Sans nul doute un préfet de serpentard.

Comment réagir ? Les différends entre Serpentard et Gryffondor sont présents, mais c'est un préfet. Que lui dirait le sien . Faire profil bas ? Se battre si sa dégénère ? Mais cette personne connaît Osvald. Et-il impliqué dedans cherchant à coincer un jeune Gryffondor ?

Que dire ? Bon, dans un premier temps ne pas se faire d'idée trop rapide. Rester calme.

- Bonjour à vous. dis-je en me levant. Bienvenue dans mon esprit. J'espère que la vue vous plaît. Voulez-vous une tasse de thé ? Moi c'est Thomas Garion première année chez les Gryffondor. En ce qui concerne les bêtises non, pas de chose ainsi en perspective. Je cherchais un endroit calme pour m'entraîner au sortilège de lévitation afin de ne blesser personne et quand vous êtes entré je venais tout juste de sortir du lac que j'ai utilisé pour me rafraîchir. Au début, je pensais que personne ne pouvait venir dans cette pièce mais Osvald ma démontre le contraire et vous-même aussi Monsieur ?

N'y tenant plus je décide de me contente d'un thé au goût un peu moins fort que ce que j'aime d'habitude. Je me sers une tasse tandis que le petit lionceau semble réfléchir à tout ce que je viens de dire. C'est vrai que le fonctionnement de la Salle sur Demande est impressionnant !

Un sucre.

- Bonjour Osvald, ça fait bien longtemps... Bon alors vous faites quoi ici tous les deux a part boire du thé ?

Pas de lait.

Hein ?

Je tourne la tête vers cette voix familière et me retrouve à lever le nez au plafond/ciel pour y croiser un visage connu. Ses yeux bleus telles des pierres précieuses nous regardaient d'un air inquisiteur. Enfin plus Thomas que moi. Comme je suis moi-même assez grand je ne m'étais jamais demandé ce que ça faisait comme effet de voir quelqu'un d'en-dessous. Et c'est assez perturbant. Surtout que Jace a une attitude, une prestance, que moi je n'aurais jamais. Le tout agrémenté avec les cicatrices qu'il a sur le visage, si j'étais à la place de Thomas en ce moment je ne saurais pas rassuré.

- Pas de bêtise j'espère ?
Est-ce que c'était possible de s'asseoir comme ça, aussi aisément, alors qu'on sait que ce n'est qu'une fraction de seconde avant la chute que l'objet censé nous rattraper va apparaître ? Quand je parlais de prestance...

On doit avoir l'air tout droit sorti d'un tableau de maître. Trois garçons, assis dans l'herbe autour d'une petite table à prendre le thé. Au milieu d'une prairie à l'herbe si verte et soyeuse qu'à trop la fixer on pourrait douter de sa réalité - ce qui, dans le cas présent, n'est pas tout à fait faux. La surface du lac secouée d'imperceptibles vagues alors que pas une brise ne souffle, la lumière du soleil dessinant comme des paillettes sur son eau bleue et claire. Oui, si un artiste passait par là, il ne résisterait sans doute pas à l'envie de nous immortaliser sur une toile pour ensuite l'exposer sous le nom « Réunion entre élèves » !

Pourtant, même si le cadre est effectivement idyllique, l'atmosphère qui s'était soudain installée à l'arrivée du Serpentard, elle, l'était nettement mois. Il y avait comme... une légère tension dans l'air ? D'ailleurs avant même que je n'ai le temps d'ouvrir la bouche Thomas se met à parler.
Beaucoup.
Il a un vocabulaire assez poussé pour un élève de première année ! Mais franchement, après avoir connu Guéthenoc plus rien ne pourrait m'étonner quant à la façon de parler de mes cadets. Les enfants sont incroyables de nos jours, je me sens dépassé parfois !
Le petit rouge lui n'a de problème ni avec ses mots, ni avec ses idées. Moi à sa place j'aurais bégayé sec et je me serrais emmêlé les pinceaux dans mes phrases.

- Au début, je pensais que personne ne pouvait venir dans cette pièce mais Osvald ma démontre le contraire et vous-même aussi Monsieur ?
« Jace ! » tentant de couper un peu cette méfiance dans l'attitude de chacun, j'enchaîne directement à la fin de sa phrase. Si c'est moi qui fais les présentations peut-être que ça apaisera un peu le jeu ?
« C'est Jace »
Un peu plus de présentation, peut-être ?
« Mon ami Jace. Très sympa. C'est le cousin d'Elhiya aussi, elle est gentille aussi d'ailleurs. » Enfin en tout cas avec moi, d'après ce que j'ai cru comprendre. Mais c'était pas le moment pour les détails ! « Salut » je dis en lui faisant un petit signe de la main.
Avec Thomas qui s'est levé et lui assis sur une chaise, je suis le seul à être presque à même le sol sur mon coussin.
J'explique calmement au Serpentard : « En fait je cherchais un endroit pour m'entraîner moi aussi. Alors la Salle a dû penser qu'elle pouvait bien nous mettre ensemble et c'est comme ça qu'on en est arrivé aux présentations autour d'une infusion au jasmin. »
« Tu veux une tasse, au fait ? » je demande au nouvel arrivant en lui tendant une tasse vide.

Le petit Gryffondor commence a parler comme la plupart de ses semblables il est de toute évidence tout feu tout flamme assez rapidement au vu de sa façon de me regarder c'est indéniable cependant, la différence qu'il a avec ses congénères c'est qu'il répond de façon assez calme. Alors qu'il se lève et que moi je m'assois il commence à me vouvoyer et à me faire une petite présentation que j'écoute attentivement.
Thomas Garion première année, bon il me précise qu'il est chez les Gryffondor mais ça se voit à sa robe, il m'explique ensuite qu'il chercher un endroit où s'entraîner... En effet s'il commence à tourner en rond et qu'il voudrait être au calme et s'exercer logiquement la salle sur demande est parfaite pour ça et je comprends très rapidement que c'est la première fois qu'il vient ici et il mappe ensuite "monsieur".

Alors que j'ouvre la bouche pour lui répondre, Osvald enchaîne très rapidement en essayant visiblement de faire les présentations. Il mentionne Elhiya mais ça m'étonnerait que ce petit rouge connaisse Love, mais le bleu me fait un petit signe de la main m'expliquant à son tour pourquoi il était ici aussi. Donc ils voulaient un coin tranquille pour s'entraîner, je fais de petit mouvement de la tête pour indiquer que je comprends tout à fait.

-Tu peux me tutoyer Thomas Garion, donc comme le dit Osvald je m'appelle Jace. Préfet de Serpentard, c'est effectivement le meilleur endroit pour s'entraîner ici. Après y a le heurtoir à Londres, j'y suis inscrit dans la catégorie B. Si j'ai bien compris c'est la catégorie des meilleurs duellistes de Poudlard, je vous conseille d'y allez si vous voulez vous améliorer. Et non merci pour le thé je n'en bois pas.

Thomas regarde tour à tour les deux personnes qui s'exprime, il se gratte la tête.
Et-il stupide de s'être comporté ainsi.
Apparemment Osvald et Jace se connaissent très bien.

Thomas souris, il ferme les yeux et imagine un ciel étoilé et de multiples lucioles qui volent dans les airs.
Quand il ouvre les yeux la pièce à changé de forme.

- Jace, je suis enchanté de te rencontrer. Pardonne-moi ma méfiance vis-à-vis de toi, mais ton grade de préfet ma surprise plus qu'il ne m'a impressionné et je pense faire une chose illégale en venant dans cette salle. Je dois donc comprendre que non.

Thomas se penche en arrière rapidement espérant faire comme Jace mais l'effet escompté et plus impressionnant. En effet, la chaise n'apparaît pas en dessous de lui mais au-dessus de lui.

- Ouille ! Dit-il en se relevant. Je ne sais pas comment tu fais Jace pour contrôler tout ceci aussi facilement.

Thomas sourit. Puis se tourne vers Osvald.

- Osvald, il existe donc des clubs de duel de magicien ? En fait tu partit toi ?

Finalement la tension dans l'air s'estompe rapidement. Le vert se présente le plus normalement du monde, tout en se vantant quand même un peu au passage, et le rouge se détend en comprenant qu'il n'est pas en proie à des éventuels ennuis. C'est vrai que nos préfets nous impressionnent beaucoup au début, alors ceux des autres maisons ! Quand on les croise dans les couloirs on a parfois cette petite appréhension du « est-ce que j'ai fait une bêtise ? » et ce même quand on n'a rien fait du tout, c'est bizarre.

Le décor change du tout au tout en une fraction de seconde. À peine le temps de cligner des yeux et voilà que la douceur de la nuit nous enveloppe. Le ciel dégagé et parsemé d'étoiles est si magnifique qu'il en ferait perdre la tête à n'importe quel astronome passionné, dommage qu'il soit artificiel. Les constellations ne sont pas complètes, ou alors mal placées, mais c'est normal vu qu'elles sortent de la tête d'un petit garçon. De l'horizon jusqu'au dessus de nos têtes, un dégradé de bleu de mélange et se perd peu à peu dans du mauve puis finit par disparaître totalement confondu dans un noir profond. Le petit aurait-il une âme d'artiste ?
Ou alors ça vient de moi ?
Après tout, nous sommes trois dans la pièce et elle doit s'adapter aux petits désirs et intentions de chacun, c'est donc une possibilité à envisager.

Pendant que les deux autres discutent - de quoi ? va savoir, j'écoute à peine - moi je suis fasciné par ce paysage de rêve dans lequel Thomas vient de nous plonger. Si la clairière et le lac étaient dignes d'un tableau de maître, cette ambiance nocturne elle est parfaite pour une aquarelle illustrant un livre de contes et légendes ! Éclairés par les seules étoiles et les lucioles, dansant tout autour de nous au rythme d'une musique inconnue à nos oreilles, on n'a pourtant pas de mal à y voir clair. La magie est si belle.
Et moi je pourrais rester là indéfiniment.
Je pourrais mourir dans un cadre aussi beau sans que ça ne me pose le moindre problème.

Une luciole passe devant mon nez et je me sens sourire tout en la suivant des yeux, elle virevolte un peu au-dessus de notre théière avant de s'envoler vers les étoiles.
- Osvald, [...]
Si je pense très fort à une étoile en particulier, est-ce qu'elle va se rapprocher ? Mais ce ne sera pas vraiment elle, ce sera... l'idée que je me fais d'une étoile vue de près, pas vrai ? C'est ça le problème avec la Salle sur Demande, elle te donne ce que tu veux voir mais pas forcément ce qui existe et -
- En fait tu parti toi ?
« Hein ? Quoi ? »
La chute de la lune à la terre est brutale.
On parlait de quoi déjà ?
Je jette un regard encore à moitié perdu à Thomas qui semble attendre de moi une réponse à je ne sais plus quelle question qu'il m'aurait posé. Et puis il a une chaise maintenant. Qu'est-ce qu'ils avaient contre les coussins ?
« Euh... » le mieux était encore d'être honnête. J'avais pas fait attention, j'avais pas fait attention. Voilà tout. C'est pas un drame et puis Jace commence sûrement à avoir l'habitude maintenant « Désolé j'ai pas suivi mais vous avez vu ça !? » Doigt tendu vers un couple d'astres luisant dans l'obscurité du ciel. Un au rayonnement presque doré et l'autre d'un bleu pâle discret. Est-ce que ça existe ce genre d'étoiles dans la nature ? Je veux dire, en dehors de nos imaginations ? Et est-ce que ça venait du petit lion, de Jace ou de moi ?

Non, vraiment, je pourrais passer ma vie dans cette Salle.

Fañch Guivarch rp numéro 214 tw :

Après sa discussion dans la maison en ruine avec Elhiya il ne l’avait quasiment pas laché, tant que le serment n’avait pas été prononcé il ne pouvait pas être sur à 100% qu’elle était de son coté.

Quand l’heure du coucher fut venu le serpentard feignit d’aller dormir mais une fois que tout le monde était endormi il ressortit et s’assit dans un des canapés de la salle commune. Face au dortoir d’Elhiya. il allait veiller toute la nuit pour être sûr que sa potentielle alliée n’allait pas se carapater avant le serment.

“Le positif” : On ne peux pas juste lui faire confiance et aller se coucher.

“Le juge : Non, nous devons prendre aucun risque.

“Le négatif” : Et si elle veut nous la mettre à l’envers, on la fait disparaître.

La nuit passait et le vert et argents luttait contre le sommeil du mieux qu’il pouvait, ce n’était pas facile. A plusieurs reprises il dut faire appel à un #elctrocorpus minima pour éviter de sombrer dans les bras de Morphée.

L’heure approchait et Elhiya ne devait pas tarder. Le fou l’attendait de pied ferme, il ne restait plus longtemps avant la délivrance et la réponse final à la question : Elhiya est-elle honnête?

LA Fanch

Nuit courte, très courte, trop courte, au moins il y'avait eu une nuit. Des films vides derrière les paupières, le ronronnement du fléreur au pied t'avaient bercée sans difficulté dans un autre monde au sommeil vaguement réparateur. C'était ton réveil, bruyant, qui te faisait réaliser que tu avais finalement dormi sans te poser de question. Pour une fois.. malgré le hibou de Lizzie, le cumul de fatigue avait eu raison de toi, t'offrant une mine un peu moins tirée que les autres fois.

D'un passage express aux douches, c'était les pointes de cheveux trempées, l'uniforme négligemment enfilé que tu descendais vers ta salle commune. Le bâillement aux lèvres,  le cookie en main, t'avais pensé être la première debout, visiblement à  tort. La tête ébouriffée, l'air grave, Fanch surplombait de sa carrure la pièce aux couleurs nauséeuse. Une attente qui semblait bien lourde.

-Me dit pas que t'as dormi ici... tiens bouffe ça, ça va pas faire crédible devant Lizzie si tu bafouilles car t'as mal dormi

Une sucette extirpée de ton sac tenu en bandoulière qui volait jusqu'au garçon qui avait bien besoin d'une tasse géante de café, toi aussi d'ailleurs. Mais l'option petit-déjeuner attendrait que vous ayez terminé avec vos explication à votre enseignante.

- Allé on y va, tu sais comment formuler ça?

Si tu avais pu connecter quelques neurones supplémentaires, tu te serais dit que votre requête allait forcément être accueillie par un regard suspicieux de la part de Miss Bennet, qu'elle allait même surement vouloir vous dissuader. Mais vu l'heure bien trop matinale pour toi, tu t'étais contentée de bailler de nouveau, de frotter tes yeux et faire un signe de tête à Fanch pour qu'il te suives sans bruit dans les couloirs de l'école.

Personne dans les escaliers, quelques bruits dans la cuisine de la part des elfes de maison, quelques grincement de volée de marches capricieuses, pas un chat pour ralentir votre progression jusqu'au 7ème étage. Vous y arriviez sans encombre sur le couloir de la salle sur demande, pas de Llizzie en vue pour le moment. Bon ou mauvais signe, tu étais bien trop endormie pour arriver à savoir ce qu'il en était.

- Tu veux faire ou je fais?

Vu ta fatigue, tu ferais apparaitre un canapé immense et moelleux avec des casses de café, alors autant que Fanch s'en charge