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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ :: Cours :: Défense contre les Forces du Mal
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Cours n°3 : Les horcruxes
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Nikki Sullivan
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Nikki Sullivan, le  Sam 11 Mai - 13:57

Les élèves donnaient tour à tour leur réponse et Nikki les regardaient faire sans prendre la parole. Plume à la main, elle prenait toutes les notes possible pour ne rien oublier. C'était vraiment intéressant de parler des horcruxes. C'était un sujet super important et la verte et argent n'aurait jamais cru que cela soit un sujet abordé à Poudlard. Enfin, peu importe. Ces derniers temps, les enseignants étaient vraiment cool. Miss Vladescu finit par reprendre la parole leur demandant de faire une rédaction. Ah ben tiens. C'était pas cool ça par contre. La brunette n'était pas vraiment douée dans ce domaine et avait un peu de mal à écrire. Pourtant, le sujet lui donné énormément d'idées et sans se faire prier elle attrapa un nouveau parchemin commençant à rédiger le devoir. Il ne restait pas beaucoup de temps et elle espérait avoir le temps de finir.

---

Mon nom est Tom et je veux créer un horcruxes. Pas pour le pouvoir et dominer le monde. Non, simplement pour rester en vie. J'ai toujours était terrifié par la mort. Vivre pour mourir, stupide non ? Quoi qu'il en soit, je refuse d'être comme tous les autres, impuissant face au chemin qui nous a était écrit. Je ne deviendrait pas vieux attendant tranquillement que la mort vienne me chercher, non. Je resterai là, encore et toujours. Profitant pour l'étérnité de la vie qui m'as était offerte. Je sais que pour ça je devrais prendre la vie de quelqu'un mais, peu importe. Une vie pour devenir immortel ce n'est pas si important. Bien sûr je ne m'en prendrais pas à un innocent. Je prendrais un criminel, quelqu'un qui ne mérite pas de vivre. Quelqu'un qui a fait le mal autour de lui. C'est un comble non ? Prendre la vie d'un criminel et en devenir un à son tour.

Voilà pourquoi aujourd'hui je suis tranquillement tapi dans l'ombre d'une ruelle sombre. Tous les droguès du coin viennent ici et il y'en à un en particulier qui m'intéresse. Un toxico qui n'a pas hésité à tuer une passante juste pour avoir un peu d'argent et payer sa dose quotidienne. Il ne mérite pas de vivre. Il à déjà tout foutu en l'air. Ce ne sera pas une grande perte. Cela fait déjà quelques heures que j'attends et je me demande s'il va finir par arriver. Puis le voilà qui approche, toujours aussi défoncée. Il marche lentement ne s'attendant certainement à ce que cela soit son dernier jour. Je suis presque sûre qu'on pourrait me remercier d'avoir débarassé le monde d'une personne aussi insignifiante. Il est inutile, sans importance et mérite de mourire.

Doucement je sort de ma cachette, baguette à la main. Il m'a vut mais, à l'air trop abruti pour comprendre quoi que ce soit. Il me regarde d'un air ébété se demandant ce que je fais là. Si seulement il savait que j'allais lui arracher la vie en seulement quelques secondes. Un rictus méprisant apparut sur mon visage. C'était tellement facile de réduire quelqu'un en poussière. Un simple petit sortilège et tout serait terminée pour lui alors que ce ne serait simplement que le début pour moi. J'avais tout prévu. Je savais même qu'elle serait mon horcruxes. Alors dans un petit rire sadique je prononçais le pire des sortilèges impardonnable. #Avada Kedavra. Un éclair de lumière verte jaillit de ma baguette et le frappa de plein fouet. Sa dernière expression avait été l'imcompréhension. Pauvre de lui il n'avait rien vu venir mais, moi j'avais ce que je voulais.

Seulement, rien ne c'était produit. Mon âme aurait dû se briser mais, je n'avais absolument rien ressenti. Pourquoi ? Cela n'avait certainement pas marché. Je ne comprenais pas. J'avais pourtant fais tout ce qu'il fallait. J'avais ôté la vie d'une personne qui n'avait rien demandé. J'était un assassin. Alors pourquoi n'avais-je pas réussi à créer un misérable horcruxe ? Je soufflais de dépit en tentant de comprendre ce qui avait bien pu échouer. Il ne me restait plus qu'à recommencer. Trouver quelqu'un d'autre et tuer encore et encore jusqu'à ce que je parvienne à mes fins. Ce n'était que le début.

Mon nom est Tom est demain je tuerai encore pour devenir immortel.


---

La verte et argent posa sa plume avec un petit sourire. Elle avait fini à temps, c'était déjà bien. Elle posa son parchemin sur le bord de son pupitre et se dirigea vers la sortie pour assister à son prochain cours.


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Dernière édition par Nikki Sullivan le Dim 12 Mai - 3:27, édité 1 fois
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Invité, le  Sam 11 Mai - 14:53

Stephanie suivait le cours en silence, notant les choses que disaient ses camarades. Ailyne à côté d'elle, la rousse était heureuse car cela faisait très longtemps qu'elle ne s'étaient pas vues à cause des ASPICs de la Serdaigle. En plus, s'était sa dernière année, pourquoi mettre un examen la dernière année. Alors qu'elle voulait voir son papillon doré chéri, à la place elle devait réviser, et réviser et encore réviser. Stéphanie n'en pouvait plus, elle avait une mine fatiguée et des cernes sous les yeux. Elle avait tellement de choses a raconter à sa meilleure amie ! Apparemment, Ailyne aussi. La sortant de ses pensées, Miss Vladescu prit la parole :

- Vous vous imaginez bien qu'on ne peut pas vraiment faire de pratique avec ce sujet, nous allons donc la faire à l'écrit. Prenez une feuille de parchemin. Pour le premier sujet, vous devrez écrire un texte dans lequel vous ferez comme si vous aviez créé - ou avez comme but - de créer un horcruxe ou un objet maléfique. Vous y expliquerez pourquoi vous voulez le créer, comment, quels sont les contre temps que vous pourrez rencontrer, etc. Pour le deuxième sujet, cette fois, vous serez victime d'un horcruxe et chercherez à vous en débarrasser. En somme, je voudrais que vous me fassiez une synthèse du cours dans une rédaction ! Vous avez jusqu'à la fin de l'heure.


Une rédaction ? Et bien pourquoi pas. La Serdy fit un sourire complice à sa voisine, sortit un parchemin vierge, trempa sa plume dans son encre et se mît au travail. Le sujet n'était pas facile a exploiter car Stéphanie détestait la magie noire. Mais elle allait essayer de faire quelque chose. Se mettre dans la peau d'un personnage maléfique, pourquoi pas non plus. Aller, c'est partit !

    ~~~~

    Qui je suis ? Peut importe. Que vais-je faire est plus important qu'un simple nom. Mais si il le faut absolument, sachez que je me nomme Aegnor, un prenom elfique signifiant feu cruel. Avant que je vous raconte ce que j'ai fait, je souhaite vous apporter des précisions pour que vous ne me jugiez pas trop mal. Je ne suis pas un adorateur du célèbre sorcier Lord Voldemort ni des Mangemorts. Je n'ai pas cette politique. Je ne suis pas une personne cruelle, je ne déteste pas les Moldus. Je suis juste une personne voulant etre reconnu pour ma personne. Je travail au Ministère de la magie, j'ai un poste presque inconnu des autres sorciers, je suis un être insignifiant. Je n'ai pas de femme, ni d'enfants, un physique qui n'est pas très avantageux.


    Un jour de plus au Ministère de la magie, dans ce bureau minuscule que je déteste tant. Mon salaire est si petit que je peux a peine m'acheter de quoi me satisfaire. Mais cette fois ci, j'en ai asser. Je n'en peux plus de cette vie horrible. De cette vie indifférente. De cette vie ..... Horrifiante. J'ai voulu dominer le monde. Être ... Oui ! Être immortel ! J'ai entendu parler d'une façon ... Mais ... Non ... Je ne peux pas. Oui plutôt, si je peux. Lorsque ma journée de travail fut finie, je transplana chez moi et fouilla dans ma bibliothèque. Je trouva ce vieux livre qui appartenait autrefois a mon arrière arrière grand père. Je chercha dans le sommaire la chapitre qui parlait de ce genre de magie noire ... Je tomba sur la page 105. Le titre ? Les Horcruxes et la façon de les créer.


    Je lu le chapitre en entier. Il fallait donc tuer une personne ..... Très bien. Même si je devais salir mon âme, je tuerais. J'attendis le soir et lorsqu'il fut assez sombre, je sortis de chez moi, baguette dans la poche. J'entrais dans un ruelle où quelques délinquants se postaient. J'en remarqua un, seul, le plus loin des autres. Ça y est, j'avais décidé. Ce sera lui qui mourra. Je sortis lentement ma baguette et lança ce sortilège si connu ... L'Avada Kedava. Cet homme tomba lentement. J'avais mal au ventre. Les hommes autour de moi couraient pour s'éloigner le plus possible de moi. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi avais-je fais ça ? Je transplana rapidement chez moi.


    Mon souffle étais court. J'avais mal à la tête. Je me sentais pitoyable. Stop !! Arrêtez !! Mon âme vient d'être mutilée. Pitoyable ... Je ne suis qu'un être chétif. Pourquoi moi ??! Soudain, j'eu une idée. J'ai tué un criminel mais maintenant je suis un criminel. Je vais quand même créer cette horcruxe. Mais je vais le détruire. Je pris une belle montre à gousset qui appartenait autrefois à mon père et déchira mon âme. Je me sentais séparé. Dans cette montre contenait une partie de mon âme. Sachez que dans quelques instants, lorsque j'aurais fini mon histoire, je lancerais ce sortilège, qui peut nous détruire, moi et mon Horcruxe. Ce sortilège se nomme Feudymon.


    Sachez que ma vie ne sera pas regrettée, ne pleurez pas devant cette feuille de papier. Je ne suis qu'un idiot et je vais mourir.



    ~~~



Contente d'elle, Stéphanie se relit puis regroupa ses affaires dans son sac. Cette histoire était triste mais ce n'était pas grave. Quelques minutes plus tard, Maria ramassa les copies. La sonnerie retentit et la rousse se leva. Elle attendit Ailyne pour quitter la classe, salua la professeur et partit.


Antoni Londubat
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Antoni Londubat, le  Sam 11 Mai - 15:34

« Vous vous imaginez bien qu'on ne peut pas vraiment faire de pratique avec ce sujet, nous allons donc la faire à l'écrit. Prenez une feuille de parchemin. Pour le premier sujet, vous devrez écrire un texte dans lequel vous ferez comme si vous aviez créé - ou avez comme but - de créer un horcruxe ou un objet maléfique. Vous y expliquerez pourquoi vous voulez le créer, comment, quels sont les contre temps que vous pourrez rencontrer, etc. Pour le deuxième sujet, cette fois, vous serez victime d'un horcruxe et chercherez à vous en débarasser. En somme, je voudrais que vous me fassiez une synthèse du cours dans une rédaction ! Vous avez jusqu'à la fin de l'heure. »

Une rédaction ? Voilà quelque chose qui était vraiment barbant, mais il fallait vraiment qu'Antoni la fasse bien, afin de rapporter un maximum de points. Il sortit une feuille et son nécessaire d'écriture, car il n'avait pas eut besoin de tout noter, il s'en souviendrait, normalement. Trampant sa plume d'oie dans son encrier, il commença à écrire. Il ne savait pas comment mais, il avait déjà une idée précise du contexte. Il fit abstraction de tout ce qui l'entourait et se concentra, le bout de la plume commençait déjà à gratter le papier.

***

Je m'appelle Antoni Londubat, j'ai aujourd'hui 37 ans. Le monde magique est bouleversé. Plus personne ne peut se faire confiance. Depuis que j'ai quitté Poudlard et rejoins les Aurors, les Mangemorts ont pris le pouvoir. La même atmosphère qui planait sur le monde des sorciers il y a des centaines d'années a fait son retour, la peur est constance, la Mort n'est pas loin. Mes amis et ma familles sont sains et saufs, tous, sauf mon idole, mon père. Pour moi, c'est le héros d'une nation. Il a tenté de nous sauver en essayant de détruire l'Horcruxe du chef des Mangemorts, inconnu. Mon géniteur est mort en essayant de nous sauver, je suis fier de lui. J'ai décidé de réaliser son rêve de paix en voulant moi-même détruire cet Horcruxe. Convaincu que moi, un simple mortel, un sorcier lambda parmi tant d'autres puisse espérer vaincre cet être machiavélique, j'ai besoin de jouer à son jeu, de m'armer moi aussi de l'immortalité. Mon but est devenu de créer un Horcruxe, non seulement pour pouvoir espérer détruire celui de mon ennemi, mais pour ma mère. La voir perdre son unique fils serait pour elle la fin de monde, alors j'ai décidé de ne pas mourir, de ne pas mourir avant elle. Je veux la protéger jusqu'à ce qu'elle meure d'elle-même, la voir mourir de la vile main d'un Mangemort serait pour moi insupportable. Déterminé, je m'avance à pas lent, ma cape de voyage qui virevolte au gré du vent de Little Hangleton.

Une maison solitaire se dresse non-loin du petit village, j'ai toujours rêvé d'y venir. Un mage noir y vit, et ce n'est autre que celui qui a assassiné mon père. Je ne pouvais pas transplaner aux alentours de sa maison, alors je m'y suis rendu à pied. Arrivé sur le seuil de sa porte, je la déverouille grâce au Sortilège de Déverrouillage. De par l'heure tardive, il doit sûrement être en train de dormir. Il n'y pas de lumière, j'active alors un faisceau de lumière au bout de ma baguette. Un escalier se dresse devant moi, je le monte alors à petit pas. Des ronflements se font de plus en plus net, je sais où il se trouve. Je fais sauter sa porte, il se réveille en sursaut. Il est surpris, désarmé, je fixe ses yeux, j'y vois un reflet vert, il est mort. Seulement, ce n'est pas moi qui ai jeté le Sortilège de la Mort, je ne peux donc pas créer mon Horcruxe. J'entends un rire démoniaque, j'ai peur. Dans l'ombre, quelqu'un se cache. J'appercevois ses pupilles blanche, dans l'un de ses oeils, il n'y pas d'iris, son oeil droit est tout blanc. Je ne connais qu'un sorcier qui ait cette particularité, c'était lui, le Mangemort inconnu. Ca y est, je sens la Mort près de nous, l'un de nous va mourir. Ses yeux s'écarquillent lorsqu'il voit les rubis incrustés dans un manche d'argent, accroché à ma ceinture. Il se rend compte que j'ai avec moi l'Epée de Godric Gryffondor, je peux alors détruire sa baguette, son Horcruxe. Si je le détruit, je peux le tuer. S'il me tue, c'est la fin. Je n'ai pas droit à l'erreur. A mesure que les éclairs fusent de part et d'autres de la chambre, je m'approche de lui. La destruction de son Horcruxe est proche, j'ai la possibilité de le détruire avec l'Epée. Mais le moment tant redouté est arrivé, l'incantation "Avada Kedavra" que tous les sorciers redoutent étirent les lèvres du Mangemort inconnu, c'est la fin pour moi. Désespéré, je dégaine l'Epée de Gryffondor et, alors que l'éclair vert me transperce, la baguette de mon ennemi est brisée en deux, j'ai réussi.

Je m'écroule, les yeux ouverts. J'ai échoué, je suis mort. Je pense à ma mère qui a tout perdu, son mari, son fils. J'espère qu'elle comprendra que je suis mort pour la bonne cause, j'ai détruit l'Horcruxe. J'espère qu'un vaillant sorcier tentera, comme moi, d'ôter la vie du Chef Mangemort. On dit qu'au moment de notre mort, notre vie défile sous nos yeux. Faux, sous mes yeux, mon ennemi de toujours se tient le coeur, je sens qu'autour de moi tout tremble, la maison ne tient plus, tout s'écroule. J'espère que ma mère est fière de moi, j'espère qu'elle ne sera pas trop triste. Mes yeux se ferment, je meurs en silence, sourire aux lèvres. Fin de l'histoire.


***

Quelques minutes plus tard, l'anglais déposa sa plume. C'est histoire était franchement émouvante, il l'aimait bien. Il avait certes un peu mal à la main mais il était fier de sa rédaction. Il rendit sa copie et s'affala sur sa chaise, il était fatigué.

« Et voilà, le cours se termine. Merci à tous pour votre participation, j'espère que le cours vous a plu, et bonne continuation ! »

Quoi ? Déjà ? Antoni avait l'impression que le cours venait de commencer mais il était fini, il était tellement déçu. C'est franchement dommage. Rangeant ses effets, il mit la bandoulière de son sac sur son épaule et quitta la classe. Ce cours avait été à la hauteur de ses espérerence, malgré la durée. J'avais appris quelque chose, c'est déjà ça.



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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Invité, le  Sam 11 Mai - 21:05

Vous vous imaginez bien qu'on ne peut pas vraiment faire de pratique avec ce sujet, nous allons donc la faire à l'écrit. Prenez une feuille de parchemin. Pour le premier sujet, vous devrez écrire un texte dans lequel vous ferez comme si vous aviez créé - ou avez comme but - de créer un horcruxe ou un objet maléfique. Vous y expliquerez pourquoi vous voulez le créer, comment, quels sont les contre temps que vous pourrez rencontrer, etc. Pour le deuxième sujet, cette fois, vous serez victime d'un horcruxe et chercherez à vous en débarasser. En somme, je voudrais que vous me fassiez une synthèse du cours dans une rédaction ! Vous avez jusqu'à la fin de l'heure.

Une rédaction ?! Maëlys sourit car elle aimait bien les rédactions : utiliser son imagination, rentrer dans la peau des personnages, etc. Le problème étant que cela ne plaisait pas beaucoup à la jeune fille de se mettre dans la peau d'un créateur d'horcruxes. Et oui, elle avait choisi ce sujet. L'autre ne lui plaisait pas car rien ne lui venait à l'esprit... La brunette commença quand même à réfléchir puis se lança dans la rédaction.

~

Mon prénom est Edward et ce soir ma plus grande peur va disparaître. Toute ma famille est morte il y a déjà bien longtemps, bien avant que je n'ai le temps de les connaître assez pour les regretter. J'ai failli les suivre, j'ai frôlé la mort et j'en suis ressorti avec la conviction que je ne revivrai jamais la même sensation. Ce jour là je me suis fait le serment que je ne mourrai jamais. Mes longues recherches ont enfin abouties. Enfin je n'allais plus vivre dans la peur de mourir à chaque instants ! Enfin j'allais devenir immortel. Et pour cela je vais devoir créer un horcruxe et tuer quelqu'un.

Ce n'est pas que cela ne me dérange pas. Je ne suis pas un monstre mais la peur est trop grande. C'est néanmoins en tremblant que je sortait de chez moi. Pourtant tout avait été préparé mais cela aurait trop stupide que je meure alors que j'allais enfin réaliser mon plan. De plus je ne sortait presque jamais de chez moi, terré dans ma maison.

Je ne marchais pas longtemps car j'avais donné rendez vous à un Moldu qui croyait voir un embaucheur. Pourtant l'homme n'était pas là. Je hurlai de rage. Cet imbécile allait faire rater le projet de toute une vie. Je me mis donc à la recherche de quelqu'un d'autre. Tout à coup, je vis une jeune femme s'adosser à un lampadaire. Tuer une femme me révulsais mais je n'en pouvais plus d'attendre. Encore un jour de plus avec cette terreur qui me tordait le ventre et je devenait fou, si je ne l'était pas déjà. J’hésitai néanmoins mais quelqu'un passa à côté de moi, me faisant faire un bond de 20 mètre.

Ma décision était prise : je pointais ma baguette vers la jeune femme et fermais les yeux. Puis prononçait l'Avada Kedavra fatidique. La femme s'effondra dans un cri qui me glaça le sang. Je me dépêchais de rentrer chez moi. Puis je cherchai fébrilement dans le coffre où je l'avais caché, le cadre cassé qui contenait une photo de ma famille. Pour moi il symbolisait le fait que jamais je ne suivrai leur chemin. Je séparai mon âme en deux. Je poussai un soupir de soulagement. J'étais libéré, j'étais immortel. Je me mis à pleurer de soulagement.

Rapidement, la fatigue tomba sur moi et je remis à demain le temps de profiter de ma joie. Joie qui fut courte car a peine je fermai les yeux que l'image de la jeune fille hurlant venais me hantée. Mon sang se glaçai sang se glaçais dans mes veines. Et je hurlais de rage et de peur. Car ma crainte de mourir, bien qu'elle est disparu, venait d'être remplacé par celle que le fantôme de la jeune fille vienne me hanter. Je passais la nuit à hurler, à l'unisson avec mon souvenir.

Je ne mourrais peut-être jamais mais je le regretterai toute ma vie car j'allais passer l'éternité à souffrir.


~

La jeune fille avait écrit fébrilement, vivant tout ce qu'elle écrivait. Elle était plutôt fière de sa rédaction et elle laissa sa feuille avant de s'en aller car le professeur les y avaient autorisés. [i]
Ailyne Lawson
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Ailyne Lawson, le  Dim 12 Mai - 14:33

Le cours se passait bien. D'habitude, Ailyne avait l'habitude de participer, mais elle avait plutôt envie de parler avec Stéphanie aujourd'hui. Mais cette dernière ne prononça pas un mot. Ce silence fit froid dans le dos à la jeune fille. Bien sûr que Stéph' n'avait rien contre elle, néanmoins, ça l’inquiétait. Est-ce que son ami allait bien ?

- Vous vous imaginez bien qu'on ne peut pas vraiment faire de pratique avec ce sujet, nous allons donc la faire à l'écrit. Prenez une feuille de parchemin. Pour le premier sujet, vous devrez écrire un texte dans lequel vous ferez comme si vous aviez créé - ou avez comme but - de créer un horcruxe ou un objet maléfique. Vous y expliquerez pourquoi vous voulez le créer, comment, quels sont les contre temps que vous pourrez rencontrer, etc. Pour le deuxième sujet, cette fois, vous serez victime d'un horcruxe et chercherez à vous en débarasser. En somme, je voudrais que vous me fassiez une synthèse du cours dans une rédaction ! Vous avez jusqu'à la fin de l'heure.

La Française sauta littéralement de joie ! Elle adorait écrire. Ecrire, toujours écrire. Toute sa vie était un roman. Elle regarda son amie, amusée, et se mit en quête d'inspiration. Et comme toujours, elle lui vint tout de suite. Sa plume partit dans une valse effrénée.

~ ~ ~

Il s'appelait Alexander, et il courrait. Il courait si vite. Il courait à en perdre haleine. Il courait pour échapper à la mort. Une douleur aigu dans la poitrine, il fonçait dans les dédales de rues sombres et menaçantes. Ses jambes le lançaient. Il souffrait. Mais pas assez pour se laisser mourir. Pas assez pour cesser de se battre. Il avait été désarmé. Il savait qu'il n'avait aucune chance. Mais il luttait, et il n'arrêterait que quand le dernier souffle de vie s'échapperait de son corps.

Tout avait commencé quand il était gosse. Son jumeau, Aymeric voulait toujours être le meilleur, toujours être le plus fort, toujours être le plus puissant. Et ça avait continué ; son avidité à chercher le pouvoir s'accentuait de jour en jour. Comment Alexander aurait-il pu arrêter ça ? Il n'y avait aucun moyen. Il essayait de rester le même : le taquiner, lui parler de ses problèmes, rire avec lui mais il y avait eu un changement... Un changement indescriptible, infime et redoutable... Aymeric se renfermait de jour en jour. Ses yeux si clairs avaient mué en un regard sombre... Son frère avait basculé dans la magie noire, Alex le savait. Mais il ignorait ses certitudes, préférant continuer à jouer la comédie. Il n'avait pas le droit de douter de son frère. Les liens de fraternité étaient puissants.

Et aujourd'hui, il était là, à tenter d'échapper à la mort, tandis qu'Aymeric le poursuivait. Alexander était rapide, mais il n'allait plus pouvoir continuer comme ça. Dans un dernier élan de survie, il se demanda ce qui avait pu salir l'âme de son frère au point de vouloir le tuer... Au fond, Alexander le savait. Pour avoir le pouvoir, il fallait être immortel, et pour être immortel, il fallait créer un horcruxe... Mais pourquoi lui ? Pourquoi tuer celui qui avait les mêmes gênes, le même sang ? Et puis il trouva la réponse. Cela lui déchira le coeur. La vérité c'était que son frère était mort... Ce n'était que son corps, il n'y avait plus de traces de son jumeau. La quête de pouvoir l'avait tué. Et de voir ce double, tourner vers la magie blanche devait le torturer. Il devait avoir l'impression de ne pas être complet, de ne pas être assez puissant. Juste avant de ralentir, il espéra seulement une chose : que son frère soit heureux. Il aurait voulu que ce soit autrement, et de toute façon il n'était même pas sûr que son frère soit heureux avec cette vie. Mais il ne voulait plus se battre contre lui. Il s'arrêta, ferma les yeux. Il entendit la voix de son frère, si menaçante, prononcer les mots qui le tuerait. Mais même les yeux fermer, il vit l'éclair vert éclater. Il se laissa emporter, et pensa à son frère et lui, plus jeune, quand ils étaient encore capable de rire ensemble. Ce fut sa dernière pensée.


~ ~ ~

En se relisant, Ailyne frémit. L'Alexander de son histoire mourrait tuer par son jumeau... Elle ne put s'empêcher de pense à sa propre histoire. Son frère jumeau s'appelait Alexander... Et c'était un peu de la faute de la jaune et noire s'il était mort... Elle chassa ses sinistres pensées, reporta son attention sur son amie. Elle aussi avait fini. Elle croisa les bras contre sa poitrine, et rendit sa rédaction.

- Et voilà, le cours se termine. Merci à tous pour votre participation, j'espère que le cours vous a plu, et bonne continuation !

Bonne continuation ? Mhh. Elle ne disait pas ça d'habitude. Mais la préfète ne s'en préoccupa pas, et attendit son petit chaton bleu, comme elle l'aimait l'appeler. Elle sortit de la salle de classe.
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Invité, le  Lun 13 Mai - 19:29

Erza prit des notes en écoutant attentivement les interventions des autres élèves. Puis, le professuer Vladescu reprit le parole.

- Vous vous imaginez bien qu'on ne peut pas vraiment faire de pratique avec ce sujet, nous allons donc la faire à l'écrit. Prenez une feuille de parchemin. Pour le premier sujet, vous devrez écrire un texte dans lequel vous ferez comme si vous aviez créé - ou avez comme but - de créer un horcruxe ou un objet maléfique. Vous y expliquerez pourquoi vous voulez le créer, comment, quels sont les contre temps que vous pourrez rencontrer, etc. Pour le deuxième sujet, cette fois, vous serez victime d'un horcruxe et chercherez à vous en débarrasser. En somme, je voudrais que vous me fassiez une synthèse du cours dans une rédaction ! Vous avez jusqu'à la fin de l'heure.

Erza s'empressa de prendre un nouveau parchemin, et, vivement intéressée par le cours qui venait de se dérouler, elle fut prise d'une soudaine inspiration et rédigea.

~~
Je m’appelle… Peu importe en réalité puisque ce n’est pas de mon nom dont je vais vous parler. Je n’ai pas eu de ces enfances heureuses avec des parents aimants, une grande maison fleurie, une petite sœur exemplaire et plein d’amis. Non, rien de tout ça. Mon père est décédé alors que je n’étais encore qu’un bambin, j’ai eu six grands frères turbulents, quatre murs en guise de logement et une solitude constante. Oh, je ne vous raconte pas cela ni pour trouver une excuse à mes cruels actes ni pour obtenir un peu de pitié. Mes seuls objectifs dans cette minable vie, je les connaissais : je voulais à tout prix me démarquer de mes stupides frères faisant de l’ombre à mon intelligence supérieur depuis mon enfance, et surtout je souhaitais tuer. J’étais déterminé à achever l’Homme qui m’avait si tôt arraché mon père, tant affectueux envers moi durant les premières années de ma vie.

Lors de ma dernière année de scolarité à Poudlard, j’étais toujours aussi seul. Cependant cette fois j’étais puissant. J’avais acquis certaines notions de magie noire dont le nom échappait même à certain professeurs, et j’étais sur la trace de l’assassin de mon père. Après mes études je m’enrôlai chez les Mangemorts et perdis tout contact avec les membres de ma famille. Bien que contre certains propos et principes de Lord Voldemord, je pensais qu’être à ses côtés aurait été le meilleur moyen de m’entraîner au combat. Je voulais être certain de pouvoir tuer, quel qu’il soit, l’assassin de mon père. Un an s’écoula avant que je ne découvre enfin la véritable identité de celui-ci. C’était un homme d’un certain âge maintenant, que je côtoyais chaque jour depuis mon arrivée au quartier général des Mangemorts. Mais peu m’importais : j’arrivais bientôt à mon but.

Un soir alors que l’homme que je comptais tuer était de garde, je me glissai tel un serpent dans la pénombre, baguette à la main et couteau dans la poche. Je m’avançai face à lui, la lumière de la lune reflétait sur ses cheveux gris. J’étais plus que jamais sûr de moi, ce vieil homme ne pouvait m’égaler et encore moins me battre. En m’apercevant il se leva en un bond et brandit sa baguette sur ma poitrine. « Tu ne m’auras pas comme tu as eu mon père. » Lui dis-je sur un ton de défi. A mon tour je pointai mon baguette sur lui et lança un sortilège Doloris informulé. L’homme n’eut pas le temps de voir mon sourire de satisfaction avant de s’écrouler. Il se tortillait et ses hurlements déchiraient le silence de la nuit. Cependant je me rendis compte que quelque chose ne se passais pas comme prévu. En effet malgré l’effroyable douleur que subissait l’assassin, je perçus un étrange rictus. J’abaissai ma baguette et me penchai vers lui. Il éclata d’un rire de dément. « Jamais ! Jamais tu ne pourras me faire rejoindre ton père ! Pauvre ignorant… Je suis immortel ! » Je me relevai. Fallait-il le croire sur parole ?

Parmi tous les moyens que je connaissais pour survivre, une idée germa au fond de mon esprit : peut-être avait-il créé un horcruxe. Je me souvins d’une bague qu’il portait toujours, et qu’il refusait d’enlever sous aucun prétexte… *Accio horcruxe*pensais-je. L’homme à mes pieds sentit sa bague argentée ornée d’un dragon glisser de son doigt et je l’attrapai au vol. Mon adversaire se leva d’un bond et me sauta à la gorge. Je tombai à la renverse en lâchant malgré moi l’anneau. Après une longue lutte acharnée, je réussi enfin à frapper l’assassin d’un sortilège du saucisson. Je courus jusqu’à la bague avec une lueur folle dans les yeux. Et, je lançai un maléfice de Feudeymon. Après avoir brûlé l’horcruxe, je fis léviter mon ennemi jusqu’au feu magique, qui s’empressa de l’avaler.

J’avais atteint mon but ! Une idée grandissait maintenant en moi. Pour devenir encore plus puissant, j’allais à mon tour créer un horcruxe. Une lueur démente allumait mes yeux sombres. Soudain, arrêtant net mon projet, des hommes arrivèrent de tout part. Sûrement alarmé par le Feudeymon que j’avais produit, les Mangemorts me fixaient. Je leur souris en brandissant ma baguette, puis regarda bêtement l’un d’eux me rendre son sourire avant de me lancer un sortilège qui me frappa de plein fouet. L’Avada Kedavra. J'étais en train de mourir. Avant de m’écrouler raide au sol, une dernière phrase résonna à mes oreilles. « Où est papa ? –Il est partit. » Cette phrase qui ne signifiait rien, c’était ce que ma mère m’avait répondu lors de la mort de mon père. Et, huit en durant, je l’avait attendu chaque soir comme si je m’attendais à le revoir arriver du travail en souriant.

~~

Erza releva la tête de sa copie et regarda le résultat d'ensemble. Après s'être relu ses avis étaient partagé. Un père décédé, une envie de se démarquer de ses frères... Bien que cette histoire lui ressemblais sur quelques points elle essaya de se convaincre que jamais elle ne tournerais aussi mal que dans sa rédaction. Son texte était sombre et son style d'écriture pas assez fin à son goût, mais elle pensais cependant avoir respectée les consignes de son professeur. Au même moment cette dernière prit la parole.

- Et voilà, le cours se termine. Merci à tous pour votre participation, j'espère que le cours vous a plu, et bonne continuation !

Erza rangea ses affaires avant de sortir de la salle.
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Invité, le  Lun 13 Mai - 20:41

- Vous vous imaginez bien qu'on ne peut pas vraiment faire de pratique avec ce sujet, nous allons donc la faire à l'écrit. Prenez une feuille de parchemin. Pour le premier sujet, vous devrez écrire un texte dans lequel vous ferez comme si vous aviez créé - ou avez comme but - de créer un horcruxe ou un objet maléfique. Vous y expliquerez pourquoi vous voulez le créer, comment, quels sont les contre temps que vous pourrez rencontrer, etc. Pour le deuxième sujet, cette fois, vous serez victime d'un horcruxe et chercherez à vous en débarrasser. En somme, je voudrais que vous me fassiez une synthèse du cours dans une rédaction ! Vous avez jusqu'à la fin de l'heure.

Romy sortit un nouveau parchemin de son sac, une rédaction cela lui plaisait bien. Elle hésita quelques instants entre les deux sujets. Le premier avait l'air intéressant mais elle n'avais pas envie d'écrire l'histoire d'un meurtre, les émotions d'un tueur, elle ne pouvait pas s'imaginer cela et décida donc de prendre le second sujet.

♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪

Je me tenais devant l'entrée du manoir familial, mes parents étaient morts quelques semaines plus tôt et j'avais hérité de la demeure. Je n'avais même pas été y jeter un coup d’œil avant aujourd'hui, je vivais dans un appartement au centre de Londres et n'avait aucunement l'intention de venir m'installer ici. Mais je voulais la vendre le manoir et j'avais besoin de faire le tri dans les affaires de mes parents.

Je pris un grand souffle et entra dans pas déterminé. Les elfes de maisons avaient réunis toutes leurs affaires personnels dans le salon mais je devais faire le tri pour savoir ce que je voulais garder, donner aux autres membres de ma famille ou me débarrasser. Je me posais lourdement sur l'un des sofas et pris une des boites. Rien de bien intéressant, des papiers, quelques bijoux et des babioles inutiles.

Je passais plusieurs heures à faire le tour de toutes leurs affaires ne faisant que quelques pauses pour me nourrir ou m'hydrater, je m'ennuyais fermement mais je voulais finir cela en une seule fois. Alors que je fouillais dans un énième carton, j'eus un mauvais pressentiment, il y avait comme une sensation magie noire dans l'air et quand ma main toucha une pierre froide j'identifiais immédiatement la menace. Je sortis calmement la bague de la boite, ma baguette en ébène à la main.

Je lançais quelques sorts pour essayer de découvrir ce que cet objet faisait, j'avais eu un diplôme de sortilèges avancés quelques années plus tôt et je connaissais par conséquent les sorts d'identifications. J'avais l'habitude de manier des objets de magie noire, c'était même mon travail.

Après plusieurs sorts, je lâchais soudainement l'objet en trouvant de quoi il s'agissait. Un Horcruxe, l'un des pires objets de magie noire que l'on peut trouver. Je m'interrogeais sur sa provenance, pourquoi était il dans les affaires de mes parents, avaient ils... Non, ce n'était vraiment pas leur genre et il s'agissait du seul objet de magie noire de toute la maison.

Je pesais mes options, peu de choses étaient capables de détruire un Horcruxe. Les dents d'un basilik était un moyen mais je n'en avais pas sous le coude. Je pouvais aussi utiliser du FeuDeymon mais le sort était vraiment trop instable et je ne voulais pas détruire la maison et me tuer par la même occasion. Il me restait toujours l'option de l'épée de Gryffondor, j'avais appris qu'elle avait absorbé du venin de Basilik et qu'elle faisait désormais partie des rares moyens de détruire un Horcruxe.

Je n'avais pas vraiment d'autre option et je décidais donc de contacter le bureau des aurors pour savoir si il m'était possible d'y avoir accès. Dans tous les cas je ne pouvais être considéré comme fautif, les seuls qui auraient pu l'être été desormais mort. Je ramassais l'objet et le déposa sur la table puis je m'approchais de la cheminée pour contacter mon amie Anna qui était Auror.


♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪♫♪

Romy relit patiemment son travail, puis déposa sa plume satisfaite. Elle releva la tête pour voir si les autres avaient terminés.

- Et voilà, le cours se termine. Merci à tous pour votre participation, j'espère que le cours vous a plu, et bonne continuation !


Elle se leva calmement puis rangea ses affaires dans son sac, elle sourit à Kaëllie en partant puis se dirigea vers la bibliothèque pour profiter de son heure de trou pour travailler.
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Invité, le  Ven 17 Mai - 13:41

Le professeur leur avait demandé d’écrire un devoir sur les horcuxes. Si elle avait bien tout compris, il fallait soit qu’elle tue quelqu’un, soit qu’elle soit tuée par quelqu’un. Cela ne l’enchantait pas beaucoup, mais alors vraiment pas. Elle réfléchit quelques minutes à la recherche d’inspiration car, dans ce domaine là, elle n’était pas très douée. Elle choisis finalement de créer un horcruxe, se serait peut être plus facile. Elle attrapa un parchemin, trempa sa plume dans l’encrier et commença à écrire.

Spoiler:

Finalement, la petite fille estima qu’elle ne s’était pas trop mal débrouillée. Elle parcourut les lignes qu’elle avait écrire, pour relire son histoire. A ce moment là leur professeur leur annonça que le cours était fini et qu’ils pouvaient partir. Elle rangea ses affaires et sortit de la salle, saluant son professeur au passage, et se rendit à son prochain cours.
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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Invité, le  Dim 19 Mai - 19:33

Le cours se passait plutôt bien. Assez bizarrement, la plupart des élèves étaient assez calés sur le sujet ce qui pouvait assez surprendre car même si les horcruxes s'étaient fait beaucoup parler d'eux avec Voldemort, ça n'en restait pas moins de la magie noire. Une fois toutes les questions répondus, la professeur indiqua qu'ils allaient devoir s'attaquer à une rédaction. Génial. Charli n'aimait pas ça, il trouvait que c'était une perte de temps et quelque chose de très inutile. Mais bon, le sujet avait pour une fois l'air sympathique. S'armant de sa plume, il attaqua le parchemin.

Cela fait déjà un bon moment que j'y pense. Mais je ne sais pas pourquoi, j'ai comme un pressentiment, il faut que je m'en charge assez rapidement. Je commence à prendre de l'âge et mes jeunes années se font de plus en plus loin. Par moment, je ressens comme un sentiment de nostalgie, c'était fou comme c'était bon cette époque. Mais maintenant, avec mes agissements qui se font de plus en plus dangereux et l'âge que je prends, je me sens moins en sécurité. J'ai peur que la mort vienne s'amuser avec moi, peur qu'elle me prenne pour m'emmener je ne sais trop où, peur qu'elle fasse souffrir une nouvelle fois. Enfin, je ne pensais pas trop manqué à quelqu'un. Je n'avais plus de famille et je me demandai si les quelques amis que j'avais été vraiment tels qu'ils se le disaient.

Il n'y avait qu'une chose de sûre, si je voulais vivre il fallait que je commette ce geste, ce geste que peu de sorciers avaient établi car c'était un acte horrible, voir même totalement tabou dans toute la communauté des sorciers. Ca faisait peur et pour cause, Tom Jedusor, plus connu sous le nom de Voldemort est le mage noir connu qui en a créer le plus, sept exactement. Or, ayant terrorisé le monde entier par ses agissements, il est normal que la création d'Horcruxe fasse peur. Mais moi, je m'en fichais, je comprenais parfaitement pourquoi il les avait crée et j'allais faire comme lui mais dans une moindre valeur puisque j'allais en créer seulement un unique.

Je savais déjà dans quoi j'allais renfermer le bout de mon âme. J'avais un pendentif qui avait appartenu à ma mère que je gardais précieusement. C'était l'objet idéal car il avait une certaine valeur sentimentale et je ne me voyais vraiment pas m'enfermer dans quelque chose qui ne signifiait rien pour moi. Il ne me restait donc plus qu'à choisir la victime qui me permettrait de commettre ce geste abominable que j'attendais depuis maintenant un bout de temps. Je ne savais pas si je devais prendre la première personne qui me venait sous la main ou si justement elle devait avoir une importance. Ce choix n'aurait aucune influence sur la création mais pour moi, ça changerait peut-être bien qu'au final, je m'en fichais. Ce n'était pas la première personne que j'allais tuer. D'autres étaient déjà passés sous ma baguette et même sous mes mains. Le plus généralement, je tuais de sang froid, sans vraiment de but particulier si ce n'est que pour assécher ma soif de sang.

Je venais de faire mon choix. C'était un acte atroce que j'allais commettre, mon meurtre le serais également. Je me hâta alors dans la rue et transplana en direction de Pré-Au-Lard, là où j'étais sûr qu'un tas d'enfants traineraient et ça n'avait pas loupé. J'étais camouflé dans ma cape de manière à ce que personne ne puisse me reconnaitre. Par chance, je ne passais pas vraiment pour louche puisque les températures hivernales étaient tout à fait compatible avec mon accoutrement. Je n'avais plus qu'à choisir ma cible parmi tous la marmaille qui gambadait devant moi et là, je la vis. Cette petite qui ne devait pas avoir plus de 12 ans. Elle était tout simplement magnifique, c'était rare de voir des enfants d'une pareille beauté. Maintenant que je la tenais en ligne de mire il fallait que j'agisse avant qu'il ne soit trop tard. J'entrai dans la foule et la bouscula manquant presque de lui faire perdre l'équilibre. Pendant ce temps, j'avais informuler un Confundo de manière à ce qu'elle soit bien à l'ouest et qu'elle ne comprenne pas vraiment ce qu'il se passe. Je la jouais rassurante et lui indiqua de rester là ou elle était, ce qu'elle fit sans broncher. Une fois la masse vidée, je la pris par le bras et transplana en direction d'une vielle grotte dont j'étais quasiment certain que personne ne connaissait.

Au vue de sa petite bouille et même si elle était toujours sous l'emprise du sortilège, je voyais bien qu'elle avait peur. Elle était effrayée comme pas possible et ça m'excitai. Elle savait exactement à quoi s'attendre mais elle n'osait pas crier, elle était tellement tétanisée que la seule et unique chose qu'elle pouvait faire, c'était me regarder avec les yeux pleins de larmes. Elle m'aurait presque fait de la peine mais c'était trop tard maintenant. Je n'avais plus aucune compassion, elle s'était envolée il y a de ça bien longtemps, si j'en avais déjà eu.

Je m'approchai d'elle et elle reculait jusqu'à ce qu'elle bute l'une des parois rocheuse de la grotte. Elle était prise au piège pour mon plus grand plaisir. Il y avait encore une petite question que je me posais, je devais jouer avec elle ou non ? Est-ce que j'épargnai une souffrance atroce à cette petite fille ? Tout dépendrait de sa coopération. Mais je crois qu'elle avait comprit en lisant mon regard. C'était fort dommage, elle avait l'air intelligente. Ma baguette reposait sagement sur son jolie petit cou, son pouls battait de plus en plus vite mais elle ne tenta rien, bien trop tétanisée.

J'attrapai mon pendentif, le tenant bien fermement dans ma main. J'allais enfin commettre ce geste qui me permettrait la vie éternelle. Ni une, ni deux, le temps seulement d'inspirer un bon coup, je lui lançai le sort de la mort. L'éclair vert vint la percuter et elle s'écroula au sol. Pendant ce temps là, je ressentais une douleur assez atroce, comme si quelque chose venait à se séparer de moi. C'était tout bonnement insupportable, j'essayai de lutter contre la douleur mais je ne le pouvais pas. C'était tellement atroce que je m'étais retrouvée à terre. A côté de moi, le médaillon tremblait.

Le temps passa comme ça un instant. Je me réveillai juste là, dans cette grotte au côté de la petite que j'avais lâchement tué, le pendentif non loin de moi. J'avais crée mon premier horcruxe.


L'heure venait de finir, juste à temps pour qu'il pose son dernier mot. Charli rangea ses affaires, fila rendre son parchemin et se hâta de sortir de la salle.
Trystan J. Harper
Trystan J. Harper
Gryffondor
Gryffondor
Année à Poudlard : Aucune année renseignée

Matière optionnelle : Pas encore disponible

Spécialité(s) : Permis de Transplanage


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Re: Cours n°3 : Les horcruxes
Trystan J. Harper, le  Lun 20 Mai - 17:46





Je fus la dernière élève à donner une réponse à la question de Mme Vladescu, avant que cette dernière reprenne enfin la parole dans un court résumé de ce qui avait déjà été précédemment détaillé. Je m’étais alors afféré à en inscrire les diverses informations sur mon parchemin. Puis, alors que je terminais de prendre mes notes et commençait d’ailleurs à souffrir de plus en plus d’un poignet endolori – j’avais complètement horreur des cours théoriques, l’enseignante poursuivait en expliquant qu’il était impossible de faire de la pratique avec un tel sujet de cours. Elle nous proposait donc une rédaction sur l’un ou l’autre des sujets mentionnés. *Génial...* Je n’avais donc pas fini d’avoir mal au poignet et même que, si seulement j’avais su ce qui nous attendait, je ne crois pas que je me serais donné la peine de prendre des notes... Ça n’avait servi qu’à me meurtrir inutilement le poignet!

C’est alors avec un long et profond soupir – tentant ainsi de me redonner quelque peu courage, que je sortis un parchemin encore vierge de mon sac à dos. Plume à la main et regard parcourant cette vaste page vide déposé devant moi, j’étais en quête d’inspiration pour rédiger mon texte. Quel sujet prendre? Par où commencer? Je mis facilement une dizaine de minutes avant d’écrire enfin mon tout premier mot... Mais une fois eu-je commencé que je ne pus m’empêcher de poursuivre à toute allure jusqu’à mon point final. Les idées coulaient soudainement comme de l’eau alors que les mots s’enchaînaient et laissèrent place à des phrases – puis à des paragraphes qui formèrent un texte.


*

    La vie... jusqu’à quel point est-elle importante? Jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour la conserver? Jusqu’à l’immortalité? Et si on en a la chance en fait, pourquoi ne pas la prendre? Voilà la réflexion qui m’était traversé l’esprit à de nombreuses reprises depuis maintenant plus de cent cinquante ans – alors que je m’apprêtais à créer l’objet sans doute le plus important que je n’eus jamais possédé dans ma longue existence. Un objet qui allait alors faire partit intégrale de mon être et dont je chérirais, dès lors de sa création, autant que ma propre existence parce qu’il en serait tout simplement intimement relier. Mais également, un objet que j’apprendrai à aimer autant qu’à détester profondément...

    Toutefois, avant tout chose, permettez-moi de commencer par le commencement, car toute histoire a un début – un contexte dans lequel il est essentiel de plonger pour en comprendre pleinement son dénouement. Mon nom? Est-il seulement nécessaire de le connaître? Après tout, peu importe le nom que je porte, cela ne changera rien à mon l’histoire... Néanmoins, question d’assouvir un peu votre curiosité; je m’appelle Emmanuel Ackles et j’ai grandi au nord de Londres, dans un petit village nommé Wealdstone. Enfant unique d’une famille de sang pure, j’avais – et d’aussi loin que je me souvienne, toujours abrité en moi une frayeur sans limites pour la mort. Cette chose atroce qui n’avait cessé de s’abattre autour de moi en menace de mettre fin à la vie que je chérissais bien trop : la mienne. Ce fut alors, guidé par cette crainte me rongeant et m’obsédant jour et nuit, que j’étais parti en quête de, nul autre que, l’immortalité.

    Ce désir de perdurer à tout prix au-delà des ravages du temps et de la maladie eut tôt fait de me guider dans les profondeurs les plus obscures de la magie noire. Là où la plupart des sorciers n’auraient jamais osé risquer y mettre, pas même, le bout de leur baguette magique. Mais ça avait porté fruit, car j’étais parvenu, non sans maintes recherches et entorses aux lois magiques, par trouver une solution – un moyen de devenir enfin immortel et j’étais prêt à tous les sacrifices que cela impliquait. Peu importe ce que j’y laissais, car j’allais immanquablement y laisser quelque chose... Je n’étais toujours bien pas assez sot pour croire que l’on pouvait détenir l’immortalité sans rien y laisser en retour! J’étais donc décidé à prendre tous les risques et à créer un Horcruxe. Bien que peu de sorciers y était parvenu avant moi, je n’allais laisser rien n’y personne me mettre les baguettes dans les pieds.

    Tout se mit en place l’été de mes 28 ans, lorsque je parvins enfin à rassembler tous les éléments nécessaires pour accomplir mon œuvre la plus maléfique. Malgré les nombreuses années qui s’étaient écoulées par la suite, je me souvenais encore parfaitement de cette nuit sans étoiles, alors que j’étais dissimulé sous le couvert des arbres qu’abritait cette vaste forêt derrière la demeure familiale. Je m’étais rendue, quelques heures plus tôt, chez une vieille sorcière rabougrie et un peu confuse qui vivait en retrait du village. La création d’un Horcruxe demandant le meurtre d’un être humain, j’avais tout planifié pour me faciliter la tâche et réduire mes chances d’attirer l’attention. Après tout, qui se roussirait de la disparition de cette vieille folle?! Je n’allais rendre qu’un fier service à la communauté magique en l’en débarrassant. L’ayant d’abord pétrifié, puis transporter jusque dans la forêt – à l’abri de tout regard ou oreille indiscrets, je m’étais ensuite afféré à la création de mon immortalité.

    Les étapes de création d’un Horcruxe n’avaient en fait rien de bien compliqué... Outre le meurtre par Avada Kedavra de la vieille sorcière, je n’avais eu qu’à placer mon médaillon – un magnifique pendentif représentant un aigle en plein vol et qui symbolisait en fait les armoiries de ma famille, devant moi et réciter une courte formule de magie noire. C’est plutôt la suite des choses qui fut plus difficile : l’intense souffrance de sentir toute son âme se déchirer en deux. Donnant l’impression que deux trolls s’étaient emparés de mes bras et jambes avant de tirer avec lenteur chacun de leur côté, jusqu’à me déchirer. La souffrance fut telle que je crus avoir échoué et que la mort s’emparait de moi. Tant d’effort pour rien... comment pouvait-il être possible? Ce ne fut qu’à l’aube, après avoir passé une nuit en enfer, que je compris avoir réussie! Je ne peux même pas trouer les mots assez puissants pour vous décrire tout le bonheur et la fierté que j’ai ressentie à ce moment. J’avais l’impression de renaître encore plus puissante... J’étais enfin immortel – le rêve d’une vie sans fin!

    J’en ai pleinement profité pendant plus de 100 ans, jusqu’à ce qu’une malédiction s’abatte sur moi. Une malédiction que je n’aurais jamais cru subir un jour : l’amour. Oh, mais je ne la considérai pas tout de suite comme une malédiction, car la sublime sorcière qui fit battre mon cœur accepta de partager ma vie et me donna quelques années de pur bonheur – un bonheur qui vint d’ailleurs rivaliser celui de la création de mon Horcruxe. Cependant, ce bonheur ne fut que de trop courte durée, car Miranda n’accepta jamais de me suivre dans l’immortalité et se laissa rattraper par la mort. Une mort lente et atroce qu’est la vieillesse...

    Aujourd’hui, je n’ai pas moins de 211 ans... Toutefois, j’ai tout perdu avec la mort de Miranda. Il ne me reste plus rien, autre que mes sinistres questionnements : À quoi me servais l’immortalité si ce n’est que pour tout perdre encore et encore. Je me retrouve maintenant totalement seule et dévaster pour l’éternité – c’est bien loin de la vie de rêve que je m’imaginais vivre sans fin. C’est pourquoi je vous la raconte, assis dans le noir et mon Horcruxe de malheur déposé devant moi. J’ai l’intention de le détruire et d’ainsi mettre un terme à ma trop longue existence. Je crois en fait que c’est dans l’ordre des choses... Absolument tout a une fin et on ne peut lui échapper. Voilà que ça ne m’aura pris que 211 pour le comprendre.


*

Mon texte achevé, j’eus tout juste le temps de le relire une dernière fois avec satisfaction, avant de le remettre entre les mains de Mme Vladescu. Le cours de Défence contre les forces du mal touchait maintenant à sa fin. Je rassemblai donc tous mes effets, saluant ensuite mes collègues de cours avant de franchir la porte pour prendre la direction de la Salle Commune des Gryffondors.
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