Dans la Pénombre.

Après un instant, Levine déposa sa sacoche sur une table poussiéreuse et partit vers la porte d'entrée, baguette à la main. Il lui répondit rapidement.

- En effet, pour le sortilège de Désillusion, c'est une bonne idée.

Severus se doutait qu'il avait quelques idées dans la tête. Tant mieux. Le Serpentard se lança le sort de Désillusion sans oublier sa sacoche de cuir noire qu'il ne quittait jamais. L'impression de recevoir un oeuf sur la tête n'était jamais des plus agréables avec ce sort-là. Cependant, c'était nécessaire, surtout pour ce qu'ils s'apprêtait à faire ce soir. Imitant son complice, il alla déposer son sur la table. Se tournant vers Koenig, l'étudiant de dernière année le regarda lancer un #Vitro Convexo. Bonne idée. Au moins, personne ne pourrait voir l'ouverture de la pièce dans laquelle ils se trouvaient tous les deux. La sécurité commençait à devenir correcte. Seul un sorcier expérimenté pourrait les trouver. Les élèves ne penseraient pas à les chercher ici ou à s'amuser à envoyer des sortilèges ici.

Levine s’essaya sur une chaise. Étonnant qu'elle ne craque pas sous le poids de l'élève ou des années. Severus le regarda sortir un petit carnet dont la couverture était en cuir. De l'endroit où il se trouvait, le Serpentard ne pouvait savoir si c'était le même que lors de leur rencontre. Alors que Levine l'ouvrit, son camarade ne vit rien. Aucune marque, écriture, aucun signe ou dessin. Curieux. Il espérait juste que cela soit écrit en anglais et non en russe. Il ne connaissait pas l'alphabet cyrillique. Severus tenta le tout pour le tout.

- Tu as utilisé les Sortilèges de la Découverte et du Secret? demanda-t-il à son complice. C'est vachement pertinent en l’occurrence. Hélas, je ne te serais pas très utile car je ne connais pas la "Phrase secrète" qui permet de briser le secret justement.

Levine l'étonnait. Il disposait de bien plus de compétences et de connaissances que le trois quarts des élèves de son âge. En effet, leur rencontre était survenue au bon moment. Ils apprendraient beaucoup l'un de l'autre, c'était certain. La baguette toujours à la main, Severus alla s'appuyer contre le mur face à son acolyte. Aujourd'hui, ils feraient de la théorie. Mais, tout deux étaient surtout pressés de passer à la pratique.

- Il ne faudra pas oublier de fixer le programme de la prochaine séance, qui sera axée sur la pratique cette fois.

Le Serpentard voulait juste le lui rappeler afin qu'ils n'oublient pas alors qu'ils se laisseraient certainement entraînés dans l'euphorie de leur discussion...

- Tu as utilisé les Sortilèges de la Découverte et du Secret ? C'est vachement pertinent en l’occurrence. Hélas, je ne te serais pas très utile car je ne connais pas la "Phrase secrète" qui permet de briser le secret justement.

Levine n'avait pas dû attendre longtemps pour que son complice émette une hypothèse pour son carnet. Le russe s'était douté que Severus trouverait la réponse assez rapidement, mais peut-être pas du premier coup. Il fut assez surpris, sans pour autant le montrer. Il avait en effet utilisé les deux sortilèges, pour plus de sûreté. Ce balader avec un carnet où il était écrit quelques formules ressemblant étrangement à celle du Doloris ne pouvait que suscité l'intérêt de celui qui tomberait dessus et, si la personne était assez bonne, il aurait pu remonter jusqu'à l'héritier des Koenig. Ce que l'étudient de sixième année voulait éviter.

- J'ai bel et bien utilisé les sortilèges cités.

Après sa réponse, le Sang-Pur sortit un parchemin et une plume, mais n'eut toutefois pas le temps de noter une seul lettre que Storm enchaînait sur un autre sujet des plus importants.

- Il ne faudra pas oublier de fixer le programme de la prochaine séance, qui sera axée sur la pratique cette fois.

En effet, ce serait bête d'oublier, maintenant que différentes protections pour éviter les fouineurs avaient été mises en place. Le jeune homme posa donc sa plume et la poussa, ainsi que son carnet et son parchemin sur le côté. Ils y reviendraient en temps voulu.
Le Vert et Argent se mit alors à réfléchir quand la prochaine séance pourrait avoir lieu. Il avait déjà une petite idée en tête et ce décida donc de finalement la proposer à l'autre Serpentard.

- J'avais pensé que l'on pourrait faire ça durant le weekend. Ça ne serait pas tellement étonnant de ne pas voir deux élèves durant un certain laps de temps, donc on ne serait pas remarqué.

C'était vrai. Avec le nombre d'élèves qui disparaissaient le weekend pendant quelques heures, leur absence passerait inaperçu. Il fallait toutefois faire ça à des heures précises où ils pourraient être certains que la salle soit libre. Ce serait assez dérangeant d'arriver devant l'entrée sans pouvoir y accéder pour la simple raison qu'elle soit déjà occupée.

Désolé du retard - je suis dépassé par les cours... Wink

- J'ai bel et bien utilisé les sortilèges cités.

Alors qu'il commençait à s'affairer, Levine répondit calmement en revenant sur les propos de Severus.

- J'avais pensé que l'on pourrait faire ça durant le weekend. Ça ne serait pas tellement étonnant de ne pas voir deux élèves durant un certain laps de temps, donc on ne serait pas remarqué.

L'étudiant de dernière année réfléchit rapidement aux mots de son complice. En effet, personne ne remarquerait quoique ce soit de bizarre dans le comportement des deux jeunes gens. La fin de semaine était davantage propice pour les réunions entre élèves.

- Soit. Nous passerons à la pratique ce weekend, dans la Salle sur Demande. Je te propose dans la soirée: entre dix-sept heures et vingt-et-une heures - Le couvre-feu officiel. Si on ne veut pas se faire remarquer, il vaut mieux le respecter même si ce n'est pas dans mes habitudes et certainement pas dans les tiennes à ce que j'ai pu comprendre.

Severus marqua une pause et sourit à Koenig. Le jeune héritier était un joueur. Comme lui, il aimait jouer avec le feu et flirter avec le danger. Ce qui n'était pas si étonnant. Levine encourait des dangers constants. Cependant, sa détermination et son envie de se démarquer radicalement de la tyrannie familiale, notamment de celle de son père, était un élément intéressant de sa personnalité. * Ah la fierté... * pensa Severus. Lui était plutôt du genre à vouloir avoir le dernier mot. Encore et toujours. Deux styles différents unis dans l'accomplissement d'un même projet.

- Bien, reprit-il d'une voix plus basse. Sur quoi veux-tu porter la théorie? Sur la création de ton sortilège ou sur les effets du Doloris, de l'Impérium... Pour ma part, j'ai commencé à réfléchir sur ton sortilège. J'ai appris que tu avais suivi le cours de Médicomagie. Peut-être t'est-il venu certaines idées quant à l'action précise de ton sortilège.

Severus ne doutait pas un instant que l'héritier russe avait réfléchi à la question, au contenu de la partie théorique. Levine semblait avide de savoir. Et puis, c'était avant tout pour l'aider dans sa démarche que l'étudiant de dernière année lui venait en aide.

- Soit. Nous passerons à la pratique ce weekend, dans la Salle sur Demande. Je te propose dans la soirée: entre dix-sept heures et vingt-et-une heures - Le couvre-feu officiel. Si on ne veut pas se faire remarquer, il vaut mieux le respecter même si ce n'est pas dans mes habitudes et certainement pas dans les tiennes à ce que j'ai pu comprendre.

Le camarade du russe avait répondu rapidement. Le dernière année avait vu juste : Levine n'était pas du genre à respecter sagement les règles. En même temps, étant insomniaque, le sinople ne pouvait simplement pas rester sur place, dans son lit, à regarder le temps passer. Il préférait mettre ses nuits à contribution pour ses recherches, enfin, quand il ne se baladait pas en forêt ou dans les couloirs désert du château. Il se décida de répondre à son complice assez rapidement, voulant passer à la théorie le plus rapidement possible.

- La réserve se trouve être mon repère la plupart des nuits, mais les exceptions existes. Un grimoire emprunté devrait me tenir en place jusqu'à l'aube.

Suite à sa réponse, Severus décida d'enchaîner rapidement. Il était temps ! Le Serpentard ne pouvait qu'être d'accord avec son "locataire". Il commençait à légèrement s'impatienter. Oh, évidemment, il ne le dirait et ne le montrerait pas, mais c'était un fait. Il écouta attentivement les dires de Storm, qui parla d'une voix bien plus basse que précédemment :

- Bien. Sur quoi veux-tu porter la théorie? Sur la création de ton sortilège ou sur les effets du Doloris, de l'Impérium... Pour ma part, j'ai commencé à réfléchir sur ton sortilège. J'ai appris que tu avais suivi le cours de Médicomagie. Peut-être t'est-il venu certaines idées quant à l'action précise de ton sortilège.

Le septième année avait la faculté de poser les questions qu'il fallait, ce qui plaisait vraiment au noble héritier. En effet, il avait suivi le premier cours de Médicomagie, qui avait porté sur les blessures physiques. Pourtant, le russe avait tout de même fait des recherches annexes sur le corps humain. Déjà pour le devoir à rendre, mais également parce qu'en connaissant le corps humain, il pouvait maintenant se faire une idée précise pour l'action du sortilège. D'après le sinople, par exemple, le Doloris devait influer sur les nerfs, envoyant des signaux erronés aux différentes parties du cerveau, ce qui, bien connu, faisait ressentir la douleur insoutenable dans tout le corps. Ce qui est génial ! Hum, pas vraiment quand on se prenait le sortilège, mais en effet, c'était bien pensé. Le serpent décida de répondre à son camarade d'une voix également plus basse que précédemment, sortant ainsi de ses pensées.

- Le Doloris... Il est bien possible que ta supposition soit exact. Les recherches couplé sur le Doloris et le corps humain, passionnant. Ce n'est qu'hypothèse, mais le Doloris influe certainement sur les nerfs, donc sur les différentes parties du cerveau faisant ressentir la douleur. Pour nos travaux, il faudrait viser certains nerfs en particulier. D'un doigt, par exemple. L'information partirait ainsi jusqu'au cerveau, zonant la sensation de douleur.

Le Koenig marqua une petite pause, semblant réfléchir. Il observait également les réactions de son camarade. Lui avait adopté une posture assez nonchalante, une lueur de folie et d'intérêt dansant dans son étrange regard. Après quelques secondes, il reprit :

- La Métamagie pourrait être utile. Modifier légèrement la formule du Doloris, ce servir de la complexe discipline, pour parvenir à nos fins. Le sortilège restant dans l'optique de la douleur, il y a aucune nécessitée de changer complètement la formule.

Attendant maintenant la réponse de son camarade, le russe reprit son parchemin et sa plume, se rappelant qu'il avait une phrase secrète à transmettre. Il écrivit donc simplement sur le parchemin, avant de le tendre à son camarade. Le sinople se doutait que son camarade ne garderait pas le parchemin, le faisant disparaître après avoir mémorisé ce qui y était écris : "Lucida luna in caelis regnum vafro cernens molitur."

[HRPG : Pour l'attente, ce n'est pas grave. Je comprends parfaitement. Pour la phrase en latin s'il s'avère que ça ne veut rien dire, désolé, je suis loin d'être un pro' pour cette langue, je n'ai que quelques notions...]

HRPG:

Severus s'était complétement perdu dans ses pensées. Il n'aurait su dire pendant combien de temps il n'avait pas pris la parole. Parfois, il pouvait se plonger dans ce qu'il appelait son "palais mental". Les yeux dans le vague, le jeune homme mettait en sourdine tout ce qu'il l'entourait. Il se retrouvait instantanément plongé dans ses réflexions. Réfléchir. Son cerveau ne pouvait s'empêcher d'essayer de trouver divers objets sur lesquels réfléchir. Il en avait besoin. Lorsqu'il ne trouvait pas d'objets de réflexion, Severus avait l'impression de devenir fou. Il pouvait se mettre à arpenter le dortoir ou la Salle sur Demande pendant des heures avec un air mélancolique. Tourner en rond le rendait malade. Mais...

* Là ! Là ! J'ai un motif de travail et d'activité cérébral captivant ! * se dit-il. Ses yeux brillèrent d'une intense étincelle de joie. Un sourire se dessina sur son visage. Le jeune homme adressa un franc sourire à Levine avant de lui répondre. Certes, il l'avait mis sur le côté un long moment, mais il entendait ses mots résonner à ses oreilles.

- Le Doloris... Il est bien possible que ta supposition soit exact. Les recherches couplé sur le Doloris et le corps humain, passionnant. Ce n'est qu'hypothèse, mais le Doloris influe certainement sur les nerfs, donc sur les différentes parties du cerveau faisant ressentir la douleur. Pour nos travaux, il faudrait viser certains nerfs en particulier. D'un doigt, par exemple. L'information partirait ainsi jusqu'au cerveau, zonant la sensation de douleur. La Métamagie pourrait être utile. Modifier légèrement la formule du Doloris, ce servir de la complexe discipline, pour parvenir à nos fins. Le sortilège restant dans l'optique de la douleur, il y a aucune nécessitée de changer complètement la formule.

Son regard s'orienta vers les mots de Levine sur le parchemin qu'il venait de lui tendre: "Lucida luna in caelis regnum vafro cernens molitur.". Son cerveau se mit en marche automatiquement. Bien, Severus ferait disparaître le parchemin quand il sortirait d'ici. Il se mit alors à arpenter la pièce de long en large en réfléchissant à haute voix.

- Bien. Le système nerveux de l'être humain ne m'ait pas inconnu. Je pense que toucher des éléments sensibles du corps humain pourrait être une bonne chose. Les organes principaux sont le cœur, le cerveau, les poumons et le sexe. Je ne pense pas que toucher les nerfs connectés à ces organes soient une bonne chose. Cela pourrait entraîner des dégâts importants, voir irréversibles. Donc... Travailler sur les nerfs d'un doigt est une excellente idée.

Severus marchait d'un pas vif. Obnubilé par ses pensées, ses sourcils étaient froncés. Certes, il parlait de choses horribles, de torture entre autres, mais il était enthousiasmé à l'idée de faire des expériences et de réfléchir à des théories magiques en particulier sur la magie noire. Rassemblant ses doigts devant sa bouche, le sorcier continua:

- Un doigt... C'est trop faible, trop gentil pour ce qu'on veut faire. Si l'objectif est d'immobiliser la personne, il faut toucher le système moteur. La moelle épinière serait une base, mais là encore c'est dangereux. Mais... OUI ! Fabuleux ! - Severus sauta de joie sous l'assaut de son idée - Le nerf sciatique ! Il faut touche le nerf sciatique pour immobiliser quelqu'un. Ensuite... La Métamagie. Oui, il serait effectivement possible de l'utiliser afin de modifier le sortilège. Le Multiplicare pourrait multiplier les zones à atteindre et s'étendre sur plusieurs nerfs. Tout en restant positionner sur un espace déterminé. Pour une formule, je pense instantanément à une nouvelle formule du style: Nervus Doloris. Pour viser le nerf sciatique, si je poursuis ma réflexion: cela pourrait donné: coxendicibus nervus doloris.

Severus s'arrêta alors pour se tourner vers Levine afin d'avoir son opinion sur la question. Sourire aux lèvres, emplis de curiosité et enthousiaste comme il était, le jeune homme avait cure de savoir si son ami trouvait son comportement indécent. Il adorait l'idée de mettre en application ses théories. Le jeu s'était enclenché et rien ne pourrait l'arrêter.

(Je pique le sujet vu que ça fait plus d'un mois et que Levine semble avoir disparu ! D: )

Chasse avec Abygael Thompson, LA accordé !

C'était un samedi et Morgan n'était pas en service aux Trois Balais. Aujourd'hui c'était donc repos, ou presque ! En effet, à sa dernière visite à Pré-Au-Lard, il s'était rendu à Waddiwasi et avait malencontreusement renversé un Marécage Portatif qui s'était déversé dans le magasin. Confus, il avait proposé à la propriétaire de l'aider à tout ranger et lui rendrait quelques services pour s'excuser. Miss Thompson lui avait alors proposé de l'accompagner dans une chasse au Bandimon.

Le Jaune et Noir s'était donc retrouvé devant une vieille masure pourrissante, assez éloignée des autres maisons. Lorsqu'il entra, accompagné par Abygael, la porte s'ouvrit dans un grincement sinistre. Ca faisait froid dans le dos, mais heureusement pour le français, dehors il faisait jour et donc la lumière arrivait à entrer dans l'habitation, même à travers les fenêtres pleines de crasses.

-Bon, je propose qu'on se sépare et le premier qui trouve quelque chose appelle l'autre, d'accord ?

1 : Morgan se promène dans la cuisine et ne trouve rien.

2 : Morgan entre dans ce qui semble être une cuisine. Une atroce odeur de pourriture le prend à la gorge, et le Poufsouffle voit un bandimon se promener tranquillement sous la table.

3 : Oh, de la poussière de partout ! Mais pas de bandimon.

4 : Le Jaune et Noir ouvre une porte et voit quelque chose s'enfuir sous le lit. Pouah, ça pue ici !

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'Dé 4 faces' :
Dans la Pénombre. - Page 9 D-4-2-10

Y avait ce gosse là, Morgan. Préfet de Poufsouffle de ce qu'il m'avait dit. Il avait fichu un de ces bazars dans ma boutique ! En même temps quand un marécage portable est impliqué, difficile de faire autrement. Le garçon l'avait accroché je ne savais trop comment et pouf catastrophe. Mais il était gentil quand même. Primo il s'était pas enfui en courant (eh oui ça arrive...) et secundo il m'avait aidé à ranger. Le mieux étant le tertio : il avait juré de devenir mon esclave à vie. Enfin, pas vraiment, simplement de me rendre quelque service. Je ne savais pas qui était ses parents mais ça devait être des chics types. Ou alors des gens vraiment horribles pour faire contre-exemple. Bref, j'avais demandé au français d'être de corvée de ménage avec moi. Il y avait cette vieille maison à Pré-au-Lard que la municipalité voulait vendre mais qui était encore plein de bandimons. Bandimons, créature; créature, zoo; zoo, argent... Le chemin s'était fait tout seul dans ma tête.

Ce fut ainsi donc que nous partîmes à la chasse un samedi matin. Le bâtiment abandonné était en proie à diverses crasses et moisissures, nul doute qu'il y avait une armée de bandimons là-dedans ! Et en effet, à peine avions-nous décidé de nous séparer pour les chercher que Morgan m'appelait déjà. Je suivis sa voix jusqu'à ce qui fut une cuisine. L'odeur de moisissure me frappa... C'était une honte tout de même de laisser un endroit dans cet état ! Que faisait le Service des Nuisibles du Ministère ?

(2) (4) Stupéfix ! lançais-je sur la moisissure sous la table.

(1) En passant la palier de la cuisine, je me heurtais violemment à la poignée à laquelle je n'avais pas prêté attention. Un bon bleu pour demain.

(3) Je ne savais pas trop sur quoi j'avais mis les pieds mais il y eut un craquement bruyant qui alerta la créature. Bye bye !

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'Dé 4 faces' :
Dans la Pénombre. - Page 9 D-4-4-10

Avec Abygael, c'était du rapide. A peine arrivée elle lança un stupefix sur l'horrible bestiole qui se l'est prise en pleine poire. Maintenant qu'elle ne bougeait plus, il était temps de la chopper. Par contre, fallait vraiment trouver un moyen de s'approcher, parce que l'odeur était ignoble. En plus, la maison était à vendre, et c'était pas avec cette odeur qu'elle allait partir !

Avant de se jeter sur la créature, le Poufsouffle lança un #Voluptas Garden et une agréable odeur que Morgan n'aurait pu décrire emplie la pièce. Bon, ça c'était fait, maintenant il fallait trouver un moyen d'attraper la bête. Sans la toucher serait parfait, parce que ça avait l'air gluant (et pas du tout appétissant). Le Jaune et Noir attrapa alors ce qui semblait être une cuillère en bois qui traînait sur la table et la lança sur l'horrible bestiole.

Face : Morgan formule un #Incarcifors, la cuillère se transforme en cage, et c'est dans la boîte !

Pile : Le fait de se prendre la cuillère annule le sort de la Poufsouffle, et la créature s'enfuit à toute jambe avant de pouvoir se faire capturer.

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'Pile ou Face' :
Dans la Pénombre. - Page 9 Face2-10

Bien, la créature était pétrifiée, c'était déjà la moitié du chemin de fait ! Ne manquait plus qu'à la capturer... Morgan semblait bien décidé et après un petit sortilège de préparation (une bonne odeur pour se donner du courage) il était déjà d'attaque. Ramassant un ustensile pas ou peu touché par la saleté, il la lança sur le bandimon. Euhhh mais qu'est-ce qu'il cherchait à faire en fait ? La cuillère en bois avait-elle des propriétés en soins aux créatures magiques ?

- Incarcifer ! s'écria le jeune poufsouffle, levant le mystère sur le rôle que devait jouer la cousine de la spatule dans cette histoire. Transformée en cage sous l'effet du sortilège, elle s'avérait une prison de choix pour la drôle de bestiole.

- Waow, t'es doué ! appréciais-je. Je toucherais deux mots à ta prof de méta' pour vanter tes mérites ! Bon la connaissant, elle sera pas très réceptive...

Je me baissais pour ramasser la cage et observer de plus près l'animal aux allures de moisissure. Le charme de volupté du jardin m'était bien utile je dois dire, je ne me serais probablement pas approchée de si près avec les sinus attaqués. Le petit être avait deux yeux oranges et de nombreuses toutes petites pattes. Son apparence générale avait beau être assez rebutante, le voir dans une cage était assez affligeant. Priver de liberté un être ou une créature magique était tout simplement dégueulasse mais j'avais peut-être un biais sur le sujet, ayant passé toute mon enfance à la campagne. Hum de toute façon, ce n'était pas pour très longtemps.

La cage dans une main, la baguette dans l'autre, j'annonçais la suite des opérations au frenchie : Bon, on en prend encore deux ou trois, ça vit en colonie ces trucs. Et après on débarrasse le plancher, direction le zoo et on partage les gains !

[Fin du RP]

Pv Elenna Benson, Mangemort 26, Mangemort 73

La journée d'Alexander avait été harassante, épuisante et bonnement ennuyante. Il avait tout d'abord passé sa matinée à s'occuper de futilités administratives pour permettre à la professeure de défense contre les forces du mal de Poudlard d'emmener ses élèves en sortie scolaire. D'ailleurs si ça n'avait tenu qu'à lui cette sortie n'aurait pas eu lieu... Cette femme était tout simplement inconsciente et le sorcier de l'est était bien placé pour le savoir. La première fois qu'il l'avait rencontré s'était dans la forêt interdite, à la suite d'un malheureux concours de circonstance elle s'était retrouvée blessée et n'avait rien trouvé de mieux à faire que d’entamer une conversation ! Une enseignante de Poudlard incapable de se défendre qui cherchait à discuter dans l'une des forêt les plus dangereuse au monde par un soir de pleine lune, c'était assez déconcertant. Et voilà qu'aujourd'hui elle envoyait une lettre aux Aurors pour demander la permission de créer trois portoloins pour emmener ses élèves hors de l'école de sorcellerie. Une idée brillante vu les récents événements ! Ce n'était pas comme si les mangemorts se promenaient dans tout le pays et enchaînaient les attaques toutes plus violentes les une que les autres ! Même si le château avait été attaqué au cours de l'été précédent il demeurait l'endroit le plus protégé de Grande-Bretagne et Renata Harshing restait la sorcière la plus à même de protéger les élèves. Cependant l'ancien Serdaigle avait finalement plié aux vœux de la professeure et était donc allé parlementer département des transports magiques pendant une demi journée. Après cela le sorcier de l'est avait passé le reste de sa journée à tenter désespérément de trouver une éventuelle corrélations entre les divers attaques des mages noirs. Il avait déjà tenté cette approche des dizaines, des centaines de fois sans succès mais il ne désespérait pas de trouver une éventuelle solution. Et pourtant... Les attaques étaient toujours aussi aléatoires et sans liens comme si les adorateurs de la magie noire frappait sans réfléchir où bon leur semblait.

Après des heures de vain travail le jeune Scott referma ses dossiers poussant un soupir d'exaspération. Plus le temps passait et plus il avait l'impression que toutes ses recherches ne servaient à rien. Peu importe ce qu'il entreprenait il ne trouverait jamais les mages noirs... Si jamais le ministère voulait vraiment avoir une chance de capturer les renégats alors il devrait recruter des centaines d'Aurors qui garderait chacune des villes de Grande-Bretagne... Mais c'était tout bonnement impossible. La force des chasseurs de mages noirs s'était leur qualité et leur défaut s'était leur quantité et cela ne changerait jamais car peu d'élus étaient appelés à les rejoindre. Alexander attrapa son insigne et joua quelques minutes avec, si par le passé elle avait brillé alors ce temps était bien révolu. Désormais le morceaux de métal portait des traces de brûlures et du sang séchés et pour rien au monde l'ancien Serdaigle ne les ferait disparaître d'un coup de baguette magique. Ces marques étaient le témoignage du sacrifice qu'il, non, que les Aurors entreprenait chaque jour pour protéger la population magique. Et puis de toute façon le chasseur de magie noir n'avait jamais aimé être trop propre sur lui. Le sorcier de l'est se débarrassa de son insigne en l'envoyant sur son bureau avant d'attraper son blouson de cuir et de se lever. Il commençait à se faire tard et les bureaux des Aurors se vidaient petit à petit. Ce soir il n'y avait de tour de garde ni pour lui, ni pour Elenna et aucun d'eux n'était censé rester au ministère ! Ce n'était plus arrivé depuis une éternité ! Encore plus incroyable, il n'y avait aucun impératif lié à l'Ordre ce soir là ce qui voulait dire qu'ils allaient enfin avoir une soirée pour eux. Alex' ne pouvait s’empêcher de se réjouir, comment aurait-il pu en être autrement ? Passer des nuits loin l'un de l'autre n'avait rien de réjouissant que ce soit pour des histoires de tour de garde, de réunion ou même se transformation lunaire. Le Russe attendit patiemment que sa fiancée termine son dossier l'observant avec passion, jamais par le passé il n'aurait soupçonné qu'elle puisse devenir une Auror si compétente... Désormais il ne pouvait pas imaginer l'avenir des chasseurs de mages noirs sans elle ! La jeune femme fournissait un travail incapable et lui permettait d'oublier un tant soit peu le départ d'Antoni...

Finalement l'Anglaise termina son dossier et après quelques politesses d'usage le couple transplana dans le petit village de Pré-au-Lard. L'hiver était désormais bien installé et la température extérieure contrastait avec les bureaux surchauffés du ministère de la magie. L'heure tardive n'arrangeait rien de même que le vent glaciales qui sifflait dans les rues fouettant les visages et tout ce qui pouvait dépasser des manteaux ! Peu à peu les boutiques fermaient, quelques unes restaient ouvertes mais les clients se faisaient rares préférant sans doute rentrer chez eux pour se mettre à l'abris près d'un bon feu autour d'un bon repas chaud. Alexander affectionnait par dessus tout ce genre d'ambiance ! Elle lui rappelait la Taïga Russe et les steppes glaciales de son pays. Les rues désertes le réconfortait, il détestait lorsque les rues du petit village étaient bondés d'élèves qui braillaient. Le soir tout était tellement différent... On pouvait entendre les bruits de la forêt interdite au loin, des bruits que le couple de sorcier affectionnait plus que tout au monde. Les deux Aurors se dirigèrent finalement vers leur appartement se délectant d'avance de la soirée qu'ils allaient pouvoir savourer ensembles.

Libre arbitre de 26

Notre mission n'était pas compliquée, même si je ne l'avais pas encore bien comprise, mettre un peu de bazar était un bon moyen pour mettre faire un pied de nez aux aurors. Après tout j'avais bien compris que ce n'était pas difficile de les tourner en ridicule. Pour s'amuser un peu, nous avions décidé de casser quelque chose avec 26. Nous avions donc délibéré un bon moment du lieu où nous irions mais il m'avait clairement fait comprendre que c'était là où il voulait ou sans lui... Je me retrouvais donc avec mon compagnon à Pré-au-Lard.

Une belle soirée tendant franchement vers la nuit. Pas trop de lumière. De bonnes conditions pour ne pas se faire repérer. Je me trouvais toujours en position de toute puissance sous tout mon attirail, comme si rien ne pouvait m'arriver. En plus de l'impunité, je pouvais faire valoir mes idées avec poigne et panaches, nous étions entendus et nous nous faisions écouter. Ceux qui nous entravaient sentait la pointe de notre baguette. Ceux qui nous aidait recevaient notre assistance. Simple, logique et efficace. Mais ce soir là, nous n'étions pas réellement dans le militantisme profond. Nous étions presque proches de l'éventuel précipice accueillant le ruisseau du vandalisme.

Nous avions attendu que les rues soient vides pour accomplir notre méfait. Postés dans une rue quelconque devant une maison sans intérêt apparent, nous n'avions plus que notre mission à accomplir. "Pourquoi celle-ci ?" Pourrait-on demander. Cela est notre problème. Une fois le calme et le silence imperturbables dévoilés. J'avais lancé un regard à mon compagnon et d'une seule voix nous avions fait exploser la maison avec un sortilège chacun, en tout cas le mur qui nous faisait face. Un fracas monstre se fit entendre, les pierres roulaient, le charpie s'envolait. Un bon petit chaos comme nous l'aimions chez nous. 26 et moi avions reculé de quelques pas pour éviter les chutes d'objets. Apparemment, personne n'avait été touché... Dommage... Enfin apparemment ! Nous venions de détruire une maison, je regardai alors mon acolyte, nous échangions un invisible sourire. Puis nous étions partis à pied, prendre un peu de distance... Ecouter la panique était tout de même un exercice argréable.

Pv: Alexander Scott, 73 et 26

Le silence est le sanctuaire de la prudence.

Il faisait froid ce soir. Un vent glacial s’insinuait entre chaque maison, dans chaque ruelle, dans tous les conduits de cheminée. Rien n’était à l’abri des courants d’air qui semblaient annoncer que quelque chose allait se produire ce soir. C’était comme si cette fraîcheur avait fait disparaître toute forme de vie, comme si toute existence s’était enfuie avec les bourrasques de vent. Bien que la fin de l’hiver approchait à grands pas, celui-ci ne semblait prêt à céder sa place au printemps, aux températures douces et aux fleurs annonçant le retour du beau temps. Il ne restait personne dans les rues des villages d’Angleterre, seuls quelques inconscients flânaient encore dehors.

Elenna avait passé la journée au Ministère de la Magie comme depuis les semaines passées, travaillant d’arrache-pied sur des dossiers et encore des dossiers, de la paperasse et des trucs parfois aussi inutiles que les journaux people des moldus. Oui, de temps en temps, l’Auror avait l’impression de lire les nouvelles du village du coin ou tel et untel avait vécu un truc merveilleux pour leur patelin mais inutile pour les gens du monde moderne. La jeune femme ne comptait plus le nombre de demandes qu’elle envoyait directement à la poubelle sans même prendre le temps de répondre. Alexander lui avait parlé lors d’une de leurs pauses de cette professeur qui demandait trois portoloins pour emmener ses élèves en promenade. Comme quoi, les gens étaient vraiment inconscients. Mais ce n’était rien en comparaison des demandes que traitait la demoiselle aujourd’hui. A croire qu’ils s’étaient fait passer le mot et qu’ils avaient décidé de rendre la journée d’Elenna encore plus lassante que d’habitude. Si seulement elle avait su qu’être Auror ce n’était pas faire la chasse à l’homme au masque noir toute la journée… Non si seulement rien en fait, dossiers ou non, elle aurait choisi ce métier pour ce qu’il apportait, pour ce qu’il signifiait pour les habitants sorciers de cette planète. La justice, la sécurité.

Un léger soupire s’échappa derrière le bureau de la belle qui jeta un coup d’œil à sa montre, ravie de voir que bientôt, elle pourrait rentrer en compagnie de son copain. Pour une fois, ils avaient la même heure pour débaucher et pourraient rentrer ensemble, prêts à passer une soirée enfin calme et détendue. Elle prit le dossier qui serait le dernier de sa journée et se mit à gribouiller dessus une ou deux notes. C’était une histoire de drogue dont il s’agissait une fois de plus, celle qui était dans toutes les bouches, tous les esprits en ce moment, un produit hallucinogène au nom ridicule de kiwicot. Bien vite, elle entendit des pas arriver vers elle avant même que la silhouette de l’homme soit visible. Cette odeur si particulière, ce parfum si envoûtant, elle le connaissait par cœur, elle savait tout de celui qui lui rendait visite. Relevant le regard vers Alexander, elle lui fit un mince sourire, expliquant rapidement qu’elle finissait une petite chose et arriver. Alors il attendit, posant sur elle son regard bleu et admirant la fin de son travail. Elenna se redressa enfin, rangeant ses dossiers et saisissant son manteau pour se couvrir. Ils saluèrent leurs collègues avant de transplaner, main dans la main.

Le couple avançait dans les rues de Pré-au-Lard, blottis l’un contre l’autre alors qu’Elenna s’était collée à son fiancé pour se réchauffer et que lui l’avait encadrée d’un de ses bras puissants. Il n’y avait pas un bruit, pas un chat, juste le vent qui soufflait, faisant siffler les rues désertes. Les deux amoureux parlaient de leur journée, se racontant leurs anecdotes et autres sujets plus ou moins marrants. Ils étaient tous les deux préoccupés par les mêmes choses et avaient les mêmes envies, les mêmes buts, c’était aussi cela qui leur réunissait si bien. Pourtant, leur tranquille discussion fut soudainement brisée par une, deux explosions. La jeune femme jeta un regard à Alex qui réagit aussi vite qu’elle. Se détachant l’un de l’autre, ils s’élancèrent vers le bruit de fracas, de destruction et de murs qui s’écroulaient sous le poids d’une attaque. Bien vite, ils tombèrent nez-à-nez avec une maison à la façon totalement détruite mais ce ne fut pas ça qui retint l’attention de la louve. Non loin, disparaissant dans une ruelle sombre, deux silhouettes noires encapuchonnées venaient de se dissimuler, quittant les lieux du crime.

" Viens ! Je crois avoir vu quelque chose… "

Elle trottina un peu, suivi de près par Alexander avant de ralentir, pointant sa baguette vers l’avant. Au détour d’une rue, les deux ombres réapparurent et la jeune femme n’attendit pas plus longtemps. Elle lança rapidement un Electrocorpus avant d’informuler un Protego au cas où l’ennemi soit très réactif. Avec un peu de chance, au moins l’un des deux silhouettes aux tenues si reconnaissables seraient touchées et avec son collègue mais aussi compagnon à ses côtés, la jeune femme se sentait prête à casser des bouches comme l’aurait dit les moldus…

La nuit était noire, sombre, obscure, angoissante, morne, ténébreuse, sinistre, lugubre, mélancolique, triste, terne, morose, maussade, sépulcrale, menaçante, funèbre, macabre, froide, amère, nébuleuse, sibylline, profonde, trouble, opaque, cabalistique, glaciale, impassible, calme, insensible, aigre, acerbe, rude, mystérieuse, placide, impénétrable, inhospitalière, inamicale, sèche, implacable. Bref, une nuit de Mangemort.

73 avait envahi de s'amuser et avait besoin de moi pour la chaperonner. Pourquoi pas, après tout cela pourrait me changer un peu les idées et surtout me dégourdir un peu. Je la laissais choisir le lieu des festivités, me contenant d'observer les alentours. Personne n'était dans les rues et la zone choisie étaient nettement moins habités que les autres. Les occupants de la maison serait probablement dans un pub du village à cette heure donc probablement peu de victimes à déplorer. Le but du jeu était plutôt de faire un petit exemple, de rappeler aux gens que la vie n'était pas aussi rose qu'ils le souhaiterait et que l'ont pourraient frapper n'importe où et n'importe quand.

Je sortit une fiole de ma poche avec un sourire et la vidait d'une traite, laissant le liquide couler le long de ma gorge alors que 73 brandissait sa baguette. Je l'imitait aussitôt et bientôt la maison ne fut plus que ruines. Tandis que l'on s'éloignait, je sentait les effets de la potion apparaître peu à peu. Le vent soufflant dans la ruelle se faisant plus intense, je pouvais presque entendre la respiration de ma comparse ou sentir son parfum. La potion d'Agilité Accrue portait peut-être mal son nom ; je l'aurais plutôt nommé de "sens accrus" ou quelque chose comme ça ; mais elle avait le mérite d'être diablement efficace. Les pas derrière nous m'avaient l'air assourdissant et je ne put retenir un sourire tout en me retournant.

- Protego !

Les éclairs vinrent s'écraser sur ma barrière qui résista sans mal et mes yeux tombèrent sur nos agresseurs que je reconnu sans mal. Alexander Scott que j'avais bien entendu déjà affronter à de nombreuses reprises et à côté de lui sa chère compagne que je rencontrait enfin. Elenna Benson, aucun doute possible là dessus. Au moins 58 avaient eut le temps de nous transmettre des infos utiles avant de crever.

- Je vois que tu ne peux plus te passer de moi Scott... C'est gentil de m'amener ta chère Elenna, je vais avoir le plaisir de vous tuer tous les deux ensemble...

Je brandit aussitôt ma baguette, informulant un Hostium Halitus en direction de Benson puis fendit l'air en direction de mon Némésis, hurlant la formule.

- Gladius Purpura !